Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/01/2015

Le Chemin dans le chaos

Voici pour quelles raisons énergétiques et spirituelles, nous ne devons pas nous identifier à Charl/Isarël !

Au risque de perdre notre propre identité, en leur conférant le pouvoir de faire une prise de pouvoir sur nous et de renforcer leur égrégore* maléfique dont ils se nourrissent !

*Un égrégore (ou eggrégore) est, dans l'ésotérisme, un concept désignant un esprit de groupe, une entité psychique autonome ou une force produite et influencée par les désirs et émotions de plusieurs individus unis dans un but commun. Cette force vivante fonctionnerait alors comme une entité autonome. Le terme, apparu dans la tradition hermétiste, a été repris par les surréalistes, qui l'ont chargé d'un fort potentiel subversif.

Adhérer ou prier pour une religion, entraîne de même, le renforcement de cet égrégore dont nous devenons dépendants !

 

Le Chemin dans le chaos

Zdzislaw Beksinski15

Par le Passeur.

Voici venu le moment où notre centrage – entendez par là notre capacité à demeurer au centre de nous en conscience de qui nous sommes – va devoir faire ses preuves.

L’extérieur reflète bien les divisions intérieures. Ce qui se met en place dans la manipulation des foules, soigneusement planifié depuis très longtemps, est arrivé dans une nouvelle phase de déstabilisation qui amène dans un premier temps l’être dans un état de réactivité émotionnelle. A ce stade, par pure identification, un egrégore puissant est créé qui nourrit les êtres qui l’ont voulu au plus haut niveau. Ceux nombreux qui s’identifient un peu partout aujourd’hui savent-ils vraiment ce à quoi ils s’identifient en brandissant une pancarte commune ? Les évènements qui se succèderont auront pour objectif d’attiser la division – donc le sentiment de séparation – jusqu’à la haine. A cet ultime stade, l’être touche inconsciemment au désespoir du sentiment de séparation et cherche alors à adhérer au groupe qui le sécurisera. C’est là que le nouvel ordre tant attendu par ceux qui l’ont fomenté pourra se mettre en place avec le soutien ignorant du plus grand nombre. L’adhésion ou la non adhésion au groupe déterminera notre liberté.

J’ai parlé il y a quelques années (déjà…) du chas de l’aiguille par lequel nous sommes en train de nous faufiler. Que ce chas est étroit… C’est une sacrée cure d’amaigrissement de l’égo qu’il nous a fallu tous entreprendre. Pour autant, n’oublions pas que l’égo est une baudruche multivalves toujours prompte à se regonfler par là où on l’attend le moins (voir ici). Nous qui avons entrepris de nous libérer devons nous revisiter en profondeur maintes fois et toujours sous les angles inédits que notre Soi supérieur nous propose au quotidien. Tel est le chemin de la connaissance de Soi. Je devrais dire, tel est LE chemin. Il n’y en finalement pas d’autre que celui de la connaissance de Soi, car là tout se trouve, là tout se révèle, là s’offre la vision éclairée de toute chose, là se découvre voile après voile le sens de l’unité et l’illusion de la séparation.

Parce que finalement nous ignorons qui nous sommes réellement alors que nos peurs nous séparent, nous nous identifions toujours à quelque chose dont nous épousons la cause et nourrissons la croyance  par notre adhésion. Nous ne pouvons au mieux que nous défaire de ces peaux que nous revêtons, au fur et à mesure d’une meilleure connaissance de nous. Ce qui implique donc d’avancer non à travers de nouvelles identifications qui se présenteraient sur le chemin – et il va s’en présenter encore –  mais en nous dépouillant pour n’être qu’un observateur lucide et attentif qui nourrit sa maîtrise non par la recherche extérieure à laquelle il s’identifierait encore, mais dans l’espace intime de son être où l’amour de toute chose réside. Là il peut véritablement agir en conscience, si cela lui est demandé ou si cela naît d’un plaisir nourrissant pour son âme. Être dans ce monde mais pas de ce monde.

L’amour n’est pas ce concept mielleux souvent véhiculé au sein des adeptes du New Âge et qui n’est rien d’autre qu’une stratégie d’évitement de ses douleurs, propice à nous éloigner de notre libération de la matrice à laquelle nous avons adhérée.  L’amour n’a rien de mielleux, c’est la force suprême, parfois impitoyable, qui régit la Création et dont nous ne sommes en aucun cas séparés. Il réside en nous et ne demande qu’à rayonner, malgré les blessures et les peurs qui le masquent, nécessitant de ne pas brûler les étapes.

L’épée de lumière ne se brandit pas avant d’avoir été forgée, nombre de pèlerins l’ont oublié et se nourrissent de l’illusion de la brandir, souvent à travers la force du groupe, qui s’auto-valide par son souci permanent de cohésion pour maintenir sa force et son pouvoir, et dont il convient pourtant de se défaire (lire Michael Brown). Je l’ai dit et redit et le répète encore, c’est un chemin éminemment solitaire, où les aides sont acceptables tant que l’on ne joue pas le jeu de l’adhésion au chemin d’autrui, tant que l’on n’est pas dupe des jeux de pouvoir plus ou moins conscients qui s’exercent en toute communauté qui éprouve le besoin d’elle-même. De même, vouloir aider autrui d’après ce que l’on croit et même si on nous le demande ne nous oblige pas à nous investir d’un rôle d’enseignant ni encore moins de marchand et ne nous astreint pas à présenter une image de l’impeccabilité.

Nicholas Roerich43

Nous sommes de passage et rien d’autre que de passage. Est-ce pour laisser une trace en ce monde ? Non. Seuls les égo espèrent qu’on se souviendra d’eux. Nous passons pour ne laisser justement aucune trace, aucune empreinte, rien qui nous enferme une fois de plus ici-bas.

Si nous nous défaisons de nos programmes en ce périple très formateur, nous devenons une faille par laquelle s’engouffre l’inconnu au cœur d’un hologramme défini par l’adhésion que la communauté humaine lui accorde. Ce qu’est cet inconnu n’est rien d’autre que l’amour débarrassé des conventions humaines à son sujet et des croyances que nous avons de le voir rayonner là où seuls nos espoirs maquillent son absence. Même là pourtant, dans le vif de la blessure, l’amour n’est pas absent, il épouse au plus juste le jeu de rôle qui convient pour nous conduire à le révéler.

Nous sommes filles et fils de la Terre et du Ciel, nous sommes le Haut et le Bas, le Très Haut et le Très Bas, unis dans la forme et au-delà de toute forme. Nous avons donné des noms pour jouer le jeu de l’identification et là nous avons commencé à nous séparer. Nous sommes des fractions illustrant une part séparée du Tout dans une matrice pratiquement close qui est notre terrain de jeu. Nous y créons tout en inconscience jusqu’à apprendre à créer tout en conscience. L’expérience peut potentiellement s’arrêter pour chacun à tout moment. Elle va de toutes façons s’arrêter dans cette forme pour tous d’ici peu, et s’il est certain que chacun vivra ce qu’il appelle à lui selon ce qu’il vibre, quiconque en revanche affirme pour tous comment les choses se dérouleront n’est lui-même que la proie de son égo qui œuvre à créer sa réalité en espérant la projeter sur autrui.

Collectivement, c’est à dire pour tous ceux qui adhèrent à une croyance de communauté et vibrent à l’unisson avec elle, quelle que soit la taille du groupe, la philosophie exprimée ou les peurs sous-jacentes qui maintiennent sa cohésion, c’est la croyance dominante du groupe – l’égrégore – qui déterminera leur vécu. Individuellement, pour les êtres qui ont suffisamment cheminé pour ne plus léguer leur pouvoir à autrui – autrui étant un groupe, un gourou, une religion, un parti politique, un Etat, une lignée, leur femme, leur mari, leur père, leur mère, leur voisin… – et qui ne s’identifient plus à une empreinte – des mémoires, des traumas, un sentiment d’appartenance, des résurgences émotionnelles… – pour ceux-là personne ne peut dire ce qu’il adviendra car à ce stade chacun suit librement son propre trajet. Seul l’égo cherche toujours à prévoir, sur le lit de ses peurs encore vivantes.

L’adhésion, c’est la version de l’identification de celui qui nourrit sa dépendance dans le soutien d’autrui. Celui-là cherche seulement la main qui le conduit et le rassure, l’aile sous laquelle il se sent plus en sécurité. Celui-là donne son pouvoir, devient dépendant et se ferme à sa voie de libération, croyant que l’autre, le groupe, le retour d’un Messie, le nouvel ordre mondial, l’arrivée des frères des étoiles ou l’intervention de ne je ne sais quelle Fraternité travaillant pour eux, va l’entraîner dans son sillage. Ca n’est pas faux, sauf que c’est le sillage d’un chemin ne menant pas là où il croit aller. L’adhésion, c’est aussi celle à un système de pensée ayant sa forme de logique, une croyance. A nouveau on est de ce monde et pas seulement dans ce monde. Identification et retour à la case départ. Tout se façonne autour de cela. Il ne s’agit pas de fuir toute adhésion à ce qui nous semble sonner juste chez autrui, ce serait absurde et d’ailleurs contradictoire car de quoi encore aurait-on peur ? Il s’agit de ne pas disperser notre énergie et de ne pas faire de cette adhésion une identification, ni de la prolonger en un refuge collectif. (lire Krishnamurti).

En ce subtil jeu de mikado que nous démêlons, tout est l’occasion d’aller au contact le plus intime de ce que nous ressentons derrière ce que nous croyons ressentir. C’est un examen qui demande de la fermeté avec soi, beaucoup de rigueur et qui n’est pas toujours facile car c’est un exercice dont la difficulté est proportionnelle à la force du mental qui s’y oppose. Mais il n’y a pas d’autre manière de faire qui ne soit trompeuse et matière à alimenter notre mental au détriment de l’ouverture de notre cœur.

Lorsqu’on touche à nos blessures primordiales nous avons grand mal à exercer notre discernement, nous perdons de notre lucidité, nous nous masquons la réalité de ce qui reste encore en nous et que l’on croyait guéri et, à fortiori, ce que nous n’avions pas encore vu. Au mieux, nous nous contentons alors d’analyser avec justesse ce qui se passe, mais seulement jusqu’au degré qui précède la pleine lucidité, tout en croyant avoir totalement approfondi le sujet. J’en sais moi-même quelque chose pour avoir l’avoir vécu et le vivre encore régulièrement. Comment éviter cela ? Peut-être justement en ne s’identifiant pas à ce que nous croyons alors de nous en cet instant, en acceptant d’envisager que nous ne sommes pas allés assez loin dans notre exploration, en jouant le jeu de déceler le voile qu’il reste à lever alors que nous avons l’impression qu’il n’y en a plus. Bref, en n’étant sûr de rien et en l’acceptant sereinement, jusqu’à remettre si nécessaire en cause nos fondements.

Rose Gicquiaud03

Nous sommes une énergie toujours en mouvement et par nature propre à capter tout ce qui nous traverse, sous forme de ressentis, de pensées, de sentiments, parfois de visions ou d’autres perceptions extrasensorielles. Qu’est-ce là-dedans qui nous appartient vraiment ? Et d’ailleurs quelque chose nous appartient-il vraiment ? Sommes- nous ce qui nous traverse ? Pouvons-nous juste vivre le sentiment d’être là et accepter que nous n’en savons pas plus ? A partir de là pouvons-nous juste ressentir la simplicité de notre condition empêtrée par tant de constructions issues de notre ignorance des mécanismes profonds de la vie, de nos souffrances et de nos conditionnements qui sont autant de programmes implantés sur notre virginité primordiale ? Pouvons-nous finalement être le virus qui va désactiver définitivement tous ces programmes ? Juste en retrouvant le chemin de notre innocence ?

Notre innocence n’est pas loin, elle est juste brouillée par l’illusion faite d’identification et d’adhésion que nos programmes ont créée dans leur virtualité. Il n’y a aucune différence entre ce que nous avons vécu jusque-là et ce que vit un adolescent addict au jeu vidéo qui hante ses jours et ses nuits. Comme nous à un autre niveau, il est totalement identifié à son rôle dans le jeu et adhère totalement à la réalité de cet univers et de ses règles, au point de n’accorder au reste que la valeur d’une parenthèse en-dehors de la réalité.

Aujourd’hui plus que jamais, grâce à l’énergie dont nous bénéficions, nous avons la capacité de sortir de l’illusion, pour peu que nous acceptions de poursuivre en nous avec ténacité, rigueur et sans concessions, mais toujours avec bienveillance, tout espace d’inconscience qui se manifeste à travers nos attitudes, nos paroles, nos postures, mais aussi l’énergie que nous mettons dans ce que nous faisons, ce que nous disons, et qui n’est parfois perceptible que par l’autre, juste devant nous, qui va nous le dire sans jugement et sans résonance en lui s’il a fait lui-même le travail, ou qui va y réagir par résonance s’il ne l’a pas fait.

Il faut aller au bout du bout de ce processus, il n’y a pas d’échappatoire qui mène à la libération. Tout autre chemin que cette rigueur implacable quoi que bienveillante avec nous-même, nous dissimule encore à nous-même. Ce n’est peut-être pas plaisant à entendre, cela ne cadre pas avec les discours qui nous disent qu’il n’y a pas à se fatiguer, que d’autres travaillent pour nous, mais si l’on a fait le choix de se libérer, si l’on a pris le sentier escarpé, les obstacles et les tentations de s’en éloigner sont nombreux. C’est pourquoi nous devons renouveler en permanence le choix du chemin sur lequel on s’est engagé, sans s’identifier à quoi que ce soit, sans se laisser embarquer émotionnellement dans les dramaturgies organisées du monde, sans non plus se prendre au sérieux et en appréciant l’humour et la joie que la vie nous offre au-delà des tourments illusoires. J’ai écrit un jour que personne ne serait laissé sur le bord du chemin et je le pense toujours, mais cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas se laisser tout seul au bord du chemin… Chacun a toujours le choix de croire qu’on va le prendre par la main ou celui de grandir.

Fraternellement,

© Le Passeur – 9 Janvier 2015 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est volontiers autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Eveil ».

Israël surfe sur la tuerie à Charlie Hebdo pour justifier sa politique contre la Palestine et l’Iran

On ne vous dit pas ce que les sionistes doivent rigoler derrière notre dos, d'avoir pu à ce point toucher les moutons qui croient à leurs manipulations, aux mensonges des VRP politiques, des banksters et à leurs merdias aux ordres !

3 jours de panique complète pour certains naïfs et heureusement qu'ils ne sont pas sous les bombes de l'état terroriste sioniste depuis 65 ans, comme les Palestiniens !

Nous n'avons encore rien vu, mais nous ne tarderons pas à connaître la puissance de destruction de l'état et de ses lobbys sionistes en France et ailleurs !

 

Israël surfe sur la tuerie à Charlie Hebdo pour justifier sa politique contre la Palestine et l’Iran

10 janvier 2015

Source : E&R
 

Israël surfe sur la tuerie à Charlie Hebdo pour justifier sa politique contre la Palestine et l’Iran

À l’image des nombreux sayanim présents dans l’Hexagone et qui ont utilisé la tuerie à Charlie Hebdo pour servir les objectifs de l’idéologie sioniste (et même leur avide désir de vengeance comme Frédéric Haziza), Israël s’est emparé des événements en cours en France.

C’est ainsi qu’Avigdor Lieberman, ministre israélien des Affaires étrangères, a diffusé ce communiqué (extrait) :

« L’offensive terroriste en cours depuis trois jours ne vise pas seulement le peuple français ou les juifs de France mais tout le monde libre. »

Même grossière récupération chez Benjamin Netanyahu, qui, lors d’une visite à la résidence de l’ambassadeur de France Patrick Maisonnave, a déclaré :

« Nous réaffirmons notre engagement à travailler ensemble pour vaincre les ennemis des valeurs démocratiques que nous chérissons tous. Nous devons lutter contre ces ennemis de notre civilisation commune. Ces terroristes qui ont abattu des journalistes à Paris ; ils décapitent les travailleurs humanitaires en Syrie ; ils enlèvent écolières au Nigeria ; ils détruisent des églises en Irak ; ils égorgent les touristes à Bali ; ils tirent des roquettes sur des civils depuis Gaza, ils s’efforcent de construire des armes nucléaires en Iran. Ils peuvent avoir des noms différents : ISIS, Boko Haram, Hamas, al-Shabab, Al-Qaïda, ou Hezbollah. Mais tous sont entraînés par la même haine et le même fanatisme sanguinaire. Et chacun d’entre eux cherchent à détruire nos libertés et à nous imposer à tous une violente, la tyrannie médiévale. C’est une lutte mondiale. Et ce n’est que le début… Cela doit être suivi par un assaut, dans le monde entier, contre les forces de l’Islam radical. C’est le combat de tout le monde. Les terroristes ont montré qu’ils ont la volonté de nous écraser, mais ils n’ont pas cette capacité. À présent, nous devons montrer que nous avons la volonté de les vaincre et de les écraser. C’est l’essence de la bataille que nous livrons : la liberté contre la barbarie. La liberté doit gagner, mais pour gagner, nous devons être ensemble et combattre ensemble. »

Ananalyse de la rédaction de Quenel+ :

Shimon Peres, ancien président israélien, s’est lui aussi fait remarquer en brandissant, avec l’aide de l’ambassadeur français en Israël, une pancarte « Je suis Charlie ».

shimon pere je suis charlie israel

S’affirmant en fervents défenseurs de Charlie Hebdo, nous sommes ravis de voir que les dirigeants israéliens ont gagné en humour. Ils se tordent sans doute de rire devant ce TOP 10 des meilleures UNES de l’hebdomadaire « satirique ».

 

 

Sites terroristes : le Gouvernement notifie son projet de blocage à Bruxelles

 

 

 

Sites terroristes : le Gouvernement notifie son projet de blocage à Bruxelles

 

Le Gouvernement a notifié jeudi à la Commission européenne le projet de décret qui permettra à la police d’obtenir le blocage de sites terroristes sans vérification de la nature des sites par un juge indépendant.

 

Au lendemain de l’attentat commis dans les locaux de Charlie Hebdo, la France a notifié jeudi à la Commission européenne son projet de décret « relatif à la protection des internautes contre les sites provoquant à des actes de terrorisme ou en faisant l’apologie et les sites diffusant des images et représentations de mineurs à caractère pornographique« . En fait de protection des internautes, il s’agit de mettre en place le blocage sans contrôle judiciaire prévu par la loi anti-terrorisme du 13 novembre 2014.

 

Le projet de décret ci-dessous prévoit que la liste des sites à bloquer est établie par l’OCLCTIC (Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication), et qu’elle est adressée aux FAI « selon un mode de transmission sécurisé, qui en garantit la confidentialité et l’intégrité« .

 

La liste contiendra les noms de domaine à bloquer au niveau du serveur DNS, ou les adresses IP des serveurs. Les FAI auront 24 heures pour se conformer aux mises à jour, et devront rediriger les internautes « vers une page d’information du ministère de l’intérieur, indiquant pour chacun des deux cas de blocage (terrorisme ou pédopornographie, ndlr) les motifs de la mesure de protection et les voies de recours« .

 

C’est un ajout bienvenu qui n’avait pas été prévu par la loi, et qui permettra aux internautes de savoir pourquoi un site est bloqué, et qui permet éventuellement aux sites concernés de contester la mesure, dont la légalité ne sera vérifiée que par une personnalité qualifiée désignée au sein de la CNIL.

 

La procédure d’urgence demandée par Paris devrait permettre au Gouvernement de publier le décret au Journal Officiel dans le courant du mois de janvier. « Compte tenu de l’accélération des phénomènes constatés de radicalisation par l’usage d’internet, les dispositions envisagées présentent un caractère d’urgence qui a trait à l’ordre public et notamment à la protection des mineurs« , justifie-t-il.

Notification Draft 2015 10 F FR

http://www.numerama.com/magazine/31824-sites-terroristes-...

 

Pourquoi le gouvernement avait-il retiré une voiture de police stationnée devant Charlie Hebdo?

Excellent article de Panamza ! Qui nous rapporte une fois de plus que le False Flag avait été préparé par avance par l'état !

Mais où était et que faisait la Police ?


Par ailleurs quelles meilleures preuves avons-nous que le False Flag avait été préparé par avance par l'état, si ce n'est de prêter une grande attention à l'interview donnée par la compagne de Charb,
Jeannette Bougrab, à BMFM TV ?

Si elle avait voulu désigner l'état, comme étant responsable du décès de son compagnon, elle ne s'y serait pas prise autrement !

En mettant de côté son émotion naturelle due au décès de son compagnon, attachons-nous à ce qu'elle dit clairement, que son compagnon vivait dans la peur et qu'il était en permanence sous protection policière, mais qu'il voulait à tout prix continuer le "COMBAT", tout comme elle-même qui appelle à le poursuivre, en entendant même réclamer de nouvelles lois pour lutter contre le terrorisme ! Soit contre le Peuple français qui devrait en pâtir !

Quel combat au juste faut-il mener tout en étant en France, un pays réputé pour être en paix,  pour et contre qui, faut-il combattre et surtout au profit de qui ? Et pour défendre quelle idéologie ? 

Voyez aussi quels sont ses propres combats, avec qui elle pactise et quels sont les milieux et les personnalités qu'elle a l'habitude de côtoyer !

Toutes les réponses sont dans son interview !

Pourquoi le gouvernement avait-il retiré une voiture de police stationnée devant Charlie Hebdo?

INFO PANAMZA. Peu de temps avant l’attentat du 7 janvier, Valls et Cazeneuve avaient allégé la protection policière de Charlie Hebdo en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda.

Le 09.01.2015 à 22h11

Mai 2013 : Stéphane Charbonnier alias Charb – directeur de publication de Charlie Hebdo et citoyen sous protection policière depuis le mystérieux incendie de novembre 2011- avait fait l'objet de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda-au-Yémen et relayées par une pseudo-revue islamiste dénommée Inspire

Automne 2014 : le ministère de l'Intérieur -qui chapeaute le Service de la protection (en charge des personnalités)- a mis fin à la présence permanente de deux policiers devant l'entrée du siège de Charlie Hebdo, situé -depuis le 1er juillet- au numéro 10 de la rue Nicolas Appert. Une photographie de Google Maps, datant du mois d'août, a capturé incidemment une image de la voiture de police.

 

charlie2014

Dans la soirée du jeudi 8 janvier, au lendemain de l'attentat perpétré contre l'équipe de l'hebdomadaire, Jeannette Bougrab, ex-secrétaire d'État du gouvernement Fillon, proche d'une organisation ultra-sioniste américaine, figure de la mouvance islamophobe hexagonale et compagne de Charb, était l'invitée de BFM TV. 

Interviewée par Ruth Elkrief, elle a relaté ce qu'elle a vécu depuis l'annonce du drame. 


 

À 1'22, elle évoqua un détail troublant :

On avait supprimé une protection statique devant Charlie Hebdo qui aurait peut-être pu éviter le drame.

Vendredi 9 janvier, dans la matinale d'Europe 1, Laurent Léger, journaliste d'investigation de Charlie Hebdo et rescapé de l'attaque, a été interrogé à ce sujet par Thomas Sotto.


 

Question de Sotto (qui confond par ailleurs deux interventions de Bougrab, l'une sur BFM TV,  l'autre sur TF1): 

Jeannette Bougrab a déclaré hier soir, lors du 20h de TF1, que le dispositif de sécurité de Charlie Hebdo avait été allégé depuis quelques semaines. Vous l'aviez constaté, ça, ou pas? 

La réponse de Léger (audible à partir de 5'55) : 

Effectivement, y avait plus la voiture statique en faction devant le journal. 

Le journaliste ajouta aussitôt son sentiment personnel : d'après lui, une telle présence n'aurait pas empêché les assaillants d'accomplir leur dessein.

Pas si sûr : deux policiers armés et prêts à réagir en cas d'arrivée de deux hommes cagoulés auraient pu retarder leur opération, voire la saborder. A fortiori s'ils étaient en contact audio avec le policier Franck Brinsolaro, présent dans la salle de rédaction aux côtés de Charb et tué lors de la fusillade. 

Brinsolaro : un homme croisé sur le même trottoir, l'automne dernier, par l'auteur de ces lignes -de passage dans le quartier du journal pour un déjeuner parisien. En compagnie d'un collègue, il escortait le tandem Charb-Léger, deux mètres en arrière, dans la rue Amelot. En tant qu'ancien lecteur de longue date de Charlie et ex-collègue de Léger au sein du média en ligne Bakchich, j'avais immédiatement reconnu les deux journalistes.

Comme les policiers en faction devant le siège du journal, Brinsolaro faisait partie du Service de la protection (ex-SPHP), dirigé par Frédéric Auréal.

Ce dernier, nommé en juillet 2012 par Manuel Valls (alors ministre de l'Intérieur), a été récemment promu (par décret en date du 22 décembre) en devenant "inspecteur général des services actifs de la police nationale".

Double particularité de l'homme -réputé proche de Valls- à la tête du SDLP :

* L'hostilité exprimée à son endroit par ses subordonnés, agacés par des missions de protection jugées excessives ou inutiles (tel le cas emblématique du député franco-israélien Meyer Habib).

* Sa proximité avec Sammy Ghozlan, ex-policier, vice-président du Consistoire, membre du B'naï Brithmentor d'Hassen Chalghoumi et militant ultra-sioniste passé par les instances du Crif.

En décembre 2013, en compagnie de la magistrate Sylvie Moisson (alors en charge de l'affaire Bourarach), Auréal a participé à une soirée privée organisée par Ghozlan en hommage au nouveau préfet du département et au nom de la communauté juive de Seine-Saint-Denis.

Résumons : en dépit de nouvelles menaces imputées à Al-Qaïda et proférées en mai 2013, la protection policière de Charlie Hebdo -instaurée fin 2011- a été allégée, un an et demi plus tard, sur un point névralgique : l'entrée de l'immeuble dans lequel l'équipe était installée au 2ème étage, derrière une porte blindée et verrouillée par un code. Responsables de cette décision aux conséquences tragiques dans les semaines qui ont suivi  : Manuel Valls (Premier ministre), Bernard Cazeneuve (ministre de l'Intérieur) et Frédéric Auréal (patron du SDLP).

Reste à savoir si les médias traditionnels, désormais hypnotisés à l'unisson par la "grave crise que traverse la France depuis trois jours" (pour reprendre les termes de Laurence Ferrari d'I-Télé) interpelleront les trois hommes concernés pour leur demander des comptes ou continueront de réaliser le mauvais remake en cours de "l'union sacrée" des Américains au lendemain de la mystification du 11-Septembre.

HICHAM HAMZA  

 

Charlie Hebdo : De nouvelles preuves du False Flag

 Alors que les salariés de Charlie Hebdo bénéficiaient de la protection policière permanente qui a ouvert la porte de la rédaction ? Où était la Police ?