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20/11/2014

Les USA veulent instaurer un nouvel ordre mondial hiérarchique dans le monde (diplomate russe)

 
 

Quand la  théorie de la conspiration des Illuminati/Sionistes/reptiliens dirigée contre les pays et l'humanité, n'est plus une théorie mais qu'elle est reconnue publiquement par une diplomate russe qui accuse l'ONU de ne plus écouter l'avis des pays membres de cette organisation Illuminati et qui est déjà le siège du Gouvernement Mondial puisque 196 pays y ont adhéré et qu'ils sont tenus par cette organisation mafieuse qui prend des décisions à géométrie variable, en fonction des propres intérêts de ses Maîtres tout en violant les lois internationales.

22:06 19/11/2014

MOSCOU, 19 novembre - RIA Novosti

La communauté internationale assiste à une tentative d'établir un ordre mondial rigoureusement hiérarchisé et ayant la forme d'une pyramide au sommet de laquelle on trouverait les Etats-Unis et leurs alliés, a déclaré mercredi à RIA Novosti la représentante permanente de la Russie auprès de l'UNESCO, Eleonora Mitrofanova.

"Le comportement de ce genre fait généralement en sorte que l'opinion de la plupart des pays membres de l'Onu est complètement ignorée", a indiqué la diplomate.

Mme Mitrofanova a annoncé mardi que l'UNESCO avait décidé de fermer son bureau à Moscou au second semestre 2015 en raison de difficultés financières.

Sur le même sujet

 

Un corps céleste géant entre dans le système solaire ? Nibiru la planète des ANNUNAKIS ?

Un astronome professionnel qui travaille pour une organisation gouvernementale, lance une alerte anonyme en vidéo pour prévenir que les perturbations connues par le Soleil, Uranus et d'autres planètes de notre système solaire sont dues à l'arrivée d'une planète massive dans notre système solaire et que la mission Rosetta/Philae a pour but d'étudier cette planète.

Ce qui peut en effet expliquer, non seulement les perturbations climatiques connues sur Terre mais aussi, l'inversion des pôles magnétiques terrestres en cours.

S'agirait-il de Nibiru, la planète des ANNUNAKIS dont l'arrivée est annoncée depuis quelques années déjà et qui a un cycle de révolution autour de notre Système Solaire de 2600 ans ?

Ce qui pourrait expliquer pourquoi les Illuminati accélèrent leurs plans pour nous instaurer leur Nouvel Ordre Mondial quitte à déclencher une guerre nucléaire mondiale, car ils ont promis à leurs Dieux de leur livrer la Terre et ses richesses pour leur retour.

Restons à l'écoute !

En lien avec le précédent article :

* - Des tempêtes monstrueuses sur Uranus depuis cet été !

 

Un corps céleste géant entre dans le système solaire ?

L’info reste à vérifier. Sous couvert d’anonymat, et on comprend pourquoi, un astronome dévoile la découverte d’une planète géante derrière Saturne. Le gouvernement US serait au courant.

Si d’autres personnes ont des infos là-dessus, ça serait sympa de les envoyer.

 

11/19/14 LEAKED! GIANT BODY BEHIND SATURN ENTERING SOLAR SYSTEM - COVERUP


Traduction rapide de ce que dit l’astronome :

Mon nom est Ken et je travaille comme astronome pour une agence gouvernementale.

Nous faisions des recherches suite à d’importants changements des planètes dans le système solaire et nous avons découvert une perturbation très importante sur Uranus.

Cette image a été prise début Novembre 2014.

Nous n’avions jamais vu autant de perturbations sur Uranus.

Ensuite nous avons trouvé que derrière Saturne un énorme objet arrivait dans notre système solaire.

Sur l’image vous voyez un halo, et quand nous augmentons la luminosité vous pouvez voir qu’il s'agit d’une énorme planète.

Pour info, la mission sur la comète 67P est une couverture, la réelle mission de Rosetta/Philae est d’étudier cette planète. Et ça, je peux vous l’assurer à 100%.

Cet objet est massif et solide dans sa forme, il ne s’agit pas d’un gaz.

Je ne suis pas sûr qu’il s’agisse d’une planète, mais cela en a les caractéristiques.

Je risque une possible arrestation. Je filme avec mon tel portable mon écran car les ordinateurs sont protégés et je ne peux en extraire aucune donnée.

Le système solaire est affecté par cet objet quel qu’il soit.

Source :

 

 

Des tempêtes monstrueuses sur Uranus depuis cet été !

Depuis cet été des tempêtes monstrueuses agitent l'atmosphère d'Uranus. Astronomes professionnels et amateurs, se mettent en observation depuis lors.

A vos télescopes observateurs amateurs : l'Univers nous parle ! Entre le Soleil qui fait des siennes et Uranus qui le suit, nous ne serions pas étonnés que toutes les planètes soient touchées.

Une explication aux perturbations climatiques et à l'inversion des pôles magnétiques terrestres ?

 

Des tempêtes monstrueuses sur Uranus

Par Joël Ignasse

Publié le 18-11-2014 à 14h00Mis à jour à 15h44

Depuis cet été, de gigantesques tempêtes agitent l'atmosphère d'Uranus. Elles sont si grosses que même les astronomes amateurs peuvent les repérer.

 

La tache brillante sur la surface d'Uranus est une gigantesque tempête. Imke de Pater (UC Berkeley) & Keck Observatory images.

La tache brillante sur la surface d'Uranus est une gigantesque tempête. Imke de Pater (UC Berkeley) & Keck Observatory images

 

MYSTÉRIEUSE. Uranus, la 7ème planète du système solaire, est une géante de glace encore bien mystérieuse. Seule la sonde Voyager 2 a pu l'explorer de près et fournir des images qui ont révélé une planète sans caractéristique particulière en lumière visible, sans couches nuageuses ou tempêtes. 

Pourtant depuis cet été, l'atmosphère d'Uranus est le siège d'une activité violente et inexpliquée avec des tempêtes géantes qui sont visibles depuis la Terre par les astronomes, professionnels et amateurs.

Une tache brillante sur un disque normalement bleu


Les premières tempêtes ont été détectées par l'observatoire Keck les 5 et 6 août derniers. Elles apparaissent comme des taches lumineuses sur la surface de l'hémisphère nord d'Uranus. En deux jours les astronomes en repéré huit évènements climatiques. Et quand la nouvelle est arrivé aux oreilles des astronomes amateurs ces derniers ont pointé leurs télescopes, ils ont également pu confirmer l'existence de tempêtes.


Images prises par un astronome amateur en Australie, en septembre dernier.  Anthony Wesley, Murrumbateman.

 

Les dernières observations réalisées courant octobre montrent toujours la présence de phénomènes très violents. Leur origine reste pour l'heure mal définie : a priori Uranus n'a pas de source de chaleur interne et la planète a dépassé depuis plus de sept ans son périhélie (distance la plus proche au Soleil).


La chaleur du Soleil est donc sa seule source d'énergie et ne peut expliquer l'intensité des tempêtes observées.
"Ces observations inattendues nous rappellent que nous ne comprenons pas grand-chose à la dynamique atmosphérique des planètes extérieures" écrivent les astronomes de l'Université de Californie qui publient une étude sur ce mystère.

 

 

18/11/2014

La vie : origine et distribution possible dans l'univers par André Brack - Astrobiologiste

BRACK André

Astrobiologiste

Spécialiste en exobiologie

 

Sa biographie sur Futura Sciences : ICI

 

Il y a environ 4 milliards d'années, se développèrent dans l'eau terrestre des structures capables de se reproduire et d'évoluer. L'omniprésence de la cellule dans tous les systèmes vivants suggère un ancêtre commun de type cellulaire. Dans la mesure où la formation des ARN/ADN porteurs de la mémoire cellulaire apparaît comme peu probable dans l'eau de la Terre primitive, on peut penser que la vie primitive émergea de structures plus simples que la cellule et l'ARN. La simplicité de ces structures suggère qu'elles ont de réelles chances d'apparaître et de se développer chaque fois que sont réunies les conditions qui ont contribué à l'apparition de la vie terrestre : eau liquide, atmosphère, micrométéorites et/ou sources hydrothermales sous-marines. Ces conditions existaient vraisemblablement sur Mars il y a 4 milliards d'années et existent peut-être encore aujourd'hui sous la calotte glaciaire d'Europe, l'une des lunes de Jupiter. Les 83 molécules organiques détectées dans le milieu interstellaire par radioastronomie et la découverte d'une vingtaine de planètes extrasolaires permettent d'envisager la présence de vie au-delà du système solaire.
 

 

http://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoir...

 

16/11/2014

Philae, bonne nuit, tu as magnifiquement travaillé !

Comprenez ce qui se passe réellement avec cette expérience scientifique qui se déroule actuellement sur la comète Tchoury. Les scientifiques sont persuadés que les atomes et les composants chimiques qui ont amenés la vie sur Terre, proviennent de l'Univers et notamment des comètes. Ils recherchent des molécules organiques, c'est-à-dire des molécules constituées essentiellement de carbone, d'hydrogène, d'oxygène et d'azote, ou CHON, précurseurs des molécules biologiques contemporaines.

S'ils retrouvent toutes ces molécules, notamment dans la comète Tchoury, ce que nous croyons, cela voudrait dire que tout l'Univers est composé en grande partie de ces molécules, et que la vie est possible dans tout l'Univers. Ce qui validerait la vie extraterrestre. Cela relève de l'exobiologie, (exo de l'extérieur de la planète Terre).

Philae, bonne nuit, tu as magnifiquement travaillé !

Le vaillant et imprévisible Philae aura travaillé jusqu’au bout. Il a foré (une première mondiale), il a analysé l’échantillon recueilli et, lors de sa dernière session d’échanges radio avec Rosetta, il a transmis ses données jusqu’à épuisement de sa pile électrique. Hier soir, il a pu se soulever un peu et pivoter, de sorte d’améliorer son ensoleillement, donc peut-être se réveillera-t-il un jour…

Prise par Rosetta, cette photographie montre l'atterrissage de Philae, du moins le premier. On y voit la tache sombre de la poussière soulevée par le robot. Le losange vert indique le lieu calculé (flight dynamics solution), à 10 m seulement du point de toucher réel. L'atterrissage a donc été d'une précision excellente... au détail près que Philae a rebondi pour remonter à environ 1 km au-dessus de la surface et toucher une deuxième fois 1 km plus loin et 1 h 50 plus tard. Le second rebond, suivi d'un survol de quelques minutes, l'a amené dans un endroit au relief tourmenté, où il n'a pas encore été localisé. © Esa/Rosetta/NAVCAM – CC BY-SA IGO 3.0

Prise par Rosetta, cette photographie montre l'atterrissage de Philae, du moins le premier. On y voit la tache sombre de la poussière soulevée par le robot. Le losange vert indique le lieu calculé (flight dynamics solution), à 10 m seulement du point de toucher réel. L'atterrissage a donc été d'une précision excellente... au détail près que Philae a rebondi pour remonter à environ 1 km au-dessus de la surface et toucher une deuxième fois 1 km plus loin et 1 h 50 plus tard. Le second rebond, suivi d'un survol de quelques minutes, l'a amené dans un endroit au relief tourmenté, où il n'a pas encore été localisé. © Esa/Rosetta/NAVCAM – CC BY-SA IGO 3.0 Encore une fois, Philae, posé sur la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko, a ménagé son suspense, comme lors de son atterrissage mouvementé mercredi 12 novembre. Mal installé, juché de travers sur la rocaille d’une pente, en partie à l’ombre, éclairé seulement 1 h 30 toutes les douze heures, il comptait d’abord sur l’énergie de sa pile électrique, non rechargeable, qui disposait d’une soixantaine d’heures d’autonomie. Vendredi matin, il avait transmis les données du spectromètre APXS (analyse de la composition de la surface) et de Mupus, qui a sondé les propriétés mécaniques et thermiques et du sol. L’instrument Consert (un échange radar avec Rosetta à travers la comète pour en réaliser une sorte de scanner) continuait à travailler depuis l’atterrissage.

Ordre a été donné, alors, de déclencher sa foreuse SD2, au risque de le déséquilibrer. Advienne que pourra… Le foret a progressé de 25 cm, mais nul ne savait s’il avait tourné dans le sol ou dans le vide. Fin de la session radio à cet instant.

Darmstadt. Centre des opérations de l'Esa. Vendredi 14 novembre, minuit. Les données de Philae, après un contact intermittent, commencent à défiler sur les écrans. © Esa
Darmstadt. Centre des opérations de l'Esa. Vendredi 14 novembre, minuit. Les données de Philae, après un contact intermittent, commencent à défiler sur les écrans. © Esa

Les instruments de Philae ont travaillé

Vendredi soir, à partir de 23 h 19 en heure française, Philae a repris contact avec la sonde Rosetta qui, après un tour de la comète, était revenue au-dessus de l’horizon de l’atterrisseur (elle doit être en « portée optique » avec lui, c’est-à-dire sans obstacle entre les deux). Immédiatement, le robot a expédié les données qu’il avait recueillies durant la période de silence et les responsables de la mission ont vu défiler les données sur les écrans de contrôle (voir aussi le blogCielmania de Jean-Baptiste Feldmann).

L’un après l’autre, les instruments, comme venus au rapport, indiquaient qu’ils avaient fonctionné ! Oui, la foreuse a foré. Oui, le chromatographe et le spectromètre de masse de Cosac ont analysé un échantillon à la recherche de matière organique. Oui, les appareils photo de Rolis ont pris des clichés. Oui, Ptolemy a étudié les rapports isotopiques des substances volatiles émanant du sol. Apparemment, seul Sesame, au bout des pattes et chargé de mesures acoustiques, n’a pas donné de ses nouvelles.

Un peu abscons mais il y a là de quoi déboucher le champagne : l'instrument SD2, c'est-à-dire la foreuse, explique à sa manière qu'il a descendu puis remonté le foret. © Esa
Un peu abscons mais il y a là de quoi déboucher le champagne : l'instrument SD2, c'est-à-dire la foreuse, explique à sa manière qu'il a descendu puis remonté le foret. © Esa

Changer de position pour recevoir un peu plus de lumière

Alors que l’indicateur de charge de la pile indiquait une chute irrémédiable de la tension, annonçant un épuisement proche et définitif, les responsables de la mission ont tenté une ultime manœuvre : actionner les jambes du train d’atterrissage et faire pivoter le corps de Philae sur l’axe qui le solidarise à ses pattes.

But du jeu : rehausser le robot de 4 cm et le tourner de 35° pour amener le plus grand des panneaux solaires, le « 1 », en meilleure position par rapport au Soleil, de sorte que les cellules photovoltaïques rechargent un peu mieux la batterie secondaire, qui est, elle, rechargeable. L’inexorable est arrivé : à bout de pile, comme une lampe électrique ou une bougie, Philae s’est éteint.

Encore plus abscons mais après cela, il faut sortir les coupes pour boire le champagne débouché précédemment : c'est Cosac au rapport. Cet instrument (Cometary Sampling and Composition) contient un chromatographe, pour séparer les différents composés de l'échantillon confié par SD2, et un spectromètre de masse pour les identifier un à un. Qu'a-t-il vraiment analysé ? Pour le savoir, il faut lire ces lignes de plus près. Réponse bientôt. © Esa
Encore plus abscons mais après cela, il faut sortir les coupes pour boire le champagne débouché précédemment : c'est Cosac au rapport. Cet instrument (Cometary Sampling and Composition) contient un chromatographe, pour séparer les différents composés de l'échantillon confié par SD2, et un spectromètre de masse pour les identifier un à un. Qu'a-t-il vraiment analysé ? Pour le savoir, il faut lire ces lignes de plus près. Réponse bientôt. © Esa

Une hibernation dont Philae pourrait peut-être sortir

L’Esa préfère parler « d’hibernation ». On ne sait jamais : la lumière solaire pourrait recharger la batterie suffisamment. Rien n’est sûr car l’engin est posé sur un sol à -70° C et doit être chauffé jusqu’à environ 0° C pour que son électronique fonctionne. Il lui faut donc une batterie bien chargée pour commencer à travailler et à bavarder avec Rosetta. Et avec une heure et demie d’ensoleillement toutes les douze heures, ce n’est pas gagné…

Dans les mois qui viennent, la comète s’approchant du Soleil, ses rayons seront plus efficaces, alors que Rosetta sera toujours en mission autour de 67/P Churyumov-Gerasimenko. Sortira-t-il de son hibernation ? Et quelles données a-t-il récoltées ? Les scientifiques mettront des mois à décrypter les milliers d’informations envoyées. Et où est-il ? Car on ne le sait toujours pas exactement et Rosetta le cherche encore ! Il faudra donc reparler de Philae, le robot vaillant et imprévisible…

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Les fidèles de Futura-Sciences ont suivi l'atterrissage le 12 novembre 2014 sur notre page spéciale (http://www.futura-sciences.com/live/), où le direct sur cet événement est toujours disponible.

Mission phare de l’Agence spatiale européenne, Rosetta doit pour la première fois installer une sonde en orbite autour d’une comète et y poser un atterrisseur. Décidée en 1993, elle a été lancée le 3 mars 2004 et a atteint 67P/Churyumov-Gerasimenko en août 2014, et y a déposé l'atterrisseur Philae le 12 novembre 2014.

Futura-Sciences a suivi cette longue saga. Revivez ses moments clés en suivant ces liens :

http://www.futura-sciences.com/magazines/espace/infos/actu/d/astronomie-philae-bonne-nuit-tu-as-magnifiquement-travaille-56044/