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30/11/2011

L'Élysée, une zone de non droit

Le roi, sa cour et ses valets sont intouchables !

Mais il reste quand même un agent des Rothschild, de la CIA et du NOM.

Comme il s'est fait élire sous un nom d'emprunt, il ne bénéficie d'aucune immunité, ni lui et ni ses copains !

Nous voyons où se trouvent les compromissions parmis les juges choisis, placés et déplacés au gré de la fantaisie du Roi de l'Elysée et de France.

Voilà comment on trompe et on escroque les français dans un pays dit démocratique et transparent soi-disant !


 

L'Élysée, une zone de non droit

Devinette : dans quelle cité française policiers et juges n'ont-ils plus le droit d'entrer ? Réponse : non, il ne s'agit pas des 4000 ou des Tarterêts, mais de l'Élysée...

La Cour d'appel de Paris en a décidé ainsi. Dès lors que tout ce qui se trame à l'Elysée peut avoir été commandité par le président himself, plus aucune enquête n'est permise. Le cas portait sur l'affaire des sondages de l'Elysée : en 2008, le Château (qui n'a jamais aussi bien porté son nom) avait eu recours aux très chers services de la société Publifact études, dirigée par Patrick Buisson, un proche de Sarkozy, sans passer par la case "appel d'offres" alors que la loi l'y contraignait (190 sondages réalisés pour la modique somme de 3,3 millions d'euros - dont 1,5 million pour la seule Publifact, un prix d'ami...). Un délit de favoritisme levéen 2008 par la Cour des comptes.

Président à responsabilité limitée

La cour d'appel a donc estimé (voir l'arrêt publié sur le site de rue89) que l'immunité juridique du président de la République s'appliquait aussi à toute personne qui pourrait agir en son nom. Problème : pour savoir si une personne agit au nom du président, il faut enquêter. Et c'est justement cette enquête qu'a refusé d'ouvrir la Cour d'appel, au motif que cela "conduirait à exercer une action ou à réaliser des actes d'information pouvant mettre en cause la responsabilité du chef de l'Etat". De fait, toute enquête concernant une personne travaillant au service de l'Elysée est interdite. Circulez...

La République irresponsable

Pire, la décision de la Cour immunise aussi de fait toutes les entreprises en relation commerciale avec l'Elysée. Champagne ! Voire, encore pire : pourquoi ne pas imaginer que de simples proches de Sarkozy, non employés par l'Elysée, puissent bénéficier de ce bouclier juridique ? L'argument a déjà été utilisé... par l'Elysée, pour justifier que Dâme Cécilia sèche une séance de questions/réponses devant la commission parlementaire chargée d'enquêter sur la libération des infirmières bulgares... Il suffira bientôt de toucher la main de l'Élu pour voir tous ses ennuis judiciaires s'évaporer !

On n'arrête pas le progrès (mais le procès)

L'association Anticor a décidé de se pourvoir en Cassation, en dernier recours. Et le Sénat pourrait ouvrir une enquête parlementaire. Il n'en reste pas moins que cette décision de la Cour d'appel est une première. On se rappelle que, dans l'affaire des écoutes de l'Elysée, alors que François Mitterrand était encore Président de la République, son ancien directeur de cabinet et plusieurs autres de ses "collaborateurs" avaient bel et bien été mis en examen. Et, en 2001, la Cour de cassation avait jugé que si "l'action publique à l'encontre d'un Président de la République (...) pendant la durée du mandat présidentiel" est exclue, "les juges d'instruction restent néanmoins compétents pour instruire les faits à l'égard de toute autre personne, auteur ou complice". Mais c'était une autre époque...

Les voies de l'Élysée sont dorénavant... insondables !

http://www.lesmotsontunsens.com/l-elysee-une-zone-de-non-droit-11594

 

Royaume-Uni : vers la plus grande grève depuis 30 ans dans la fonction publique

Tout va bien dans les pays dits démocratiques !

Pour les Arabes c'était soi-disant, "le printemps arabe", maintenant c'est quoi, "l'automne Anglais" ?

Heureusement qu'il ne s'agit pas d'un pays musulman, autrement, les merdias aux ordres  leurs maîtres, nous auraient encore inventé un nouveau printemps arabe ou un automne arabe.

A quand l'hiver des élites Illuminati-reptiliens et des mondialistes ?

Royaume-Uni : vers la plus grande grève depuis 30 ans dans la fonction publique

LEMONDE | 29.11.11 | 14h10   •  Mis à jour le 29.11.11 | 20h30

Londres Correspondance - Pour la première fois de sa vie, Margaret Palmer va faire grève, mercredi 30 novembre. Mais c'est la mort dans l'âme : à 44 ans, cette spécialiste des soins psychologiques pour les enfants, qui travaille dans une clinique de Londres, n'a rien d'une militante. Elle estime cependant que l'heure est grave : "L'ensemble du secteur public subit une attaque majeure. Le gouvernement tente de faire retomber sur nous les conséquences de la crise financière, qui est pourtant la faute des banquiers."

Le 30 novembre, elle ne sera pas la seule à descendre dans la rue pour la première fois. Trente syndicats, essentiellement de la fonction publique, ont voté la grève. Environ deux millions de personnes sont attendues, ce qui en fera le plus grand mouvement social depuis janvier 1979, quand "l'hiver du mécontentement" avait immobilisé le Royaume-Uni. Pour certains syndicats, la décision est historique : celui des directeurs d'école appelle à la grève pour la première fois de son histoire de 114 ans. Une grande partie des écoles seront fermées. Les douanes appelant également à arrêter le travail, le chaos est attendu dans les aéroports.

L'ampleur de la colère est donc inédite depuis une génération. L'explication vient de la réforme des retraites de la fonction publique. Le gouvernement négocie depuis neuf mois un changement radical : les salariés devront augmenter de 50 % leur contribution (qui passe de 6 % de leur salaire à 9 %) ; ils toucheront une pension plus faible, basée sur la moyenne des salaires plutôt que sur les dernières années ; et l'âge de la retraite, qui s'étale actuellement entre 60 et 65 ans, va être augmenté à 65 ans pour tous en 2018, puis 66 ans dès 2020 et progressivement jusqu'à 68 ans d'ici une trentaine d'années.

Jane Wilson, une collègue de Mme Palmer, a calculé qu'elle allait devoir contribuer d'environ 100 euros supplémentaires chaque mois pour toucher 100 euros de moins par mois quand elle sera à la retraite : "Cette réforme est idéologique et politique."

Le gouvernement réplique que l'allongement de la durée de vie rend ces changements indispensables. De plus, il souligne que les retraites dans le secteur privé sont nettement moins généreuses : celles-ci fonctionnent sur la base de fonds de pension, dont la valeur s'est effondrée avec les différentes crises boursières.

La colère de la fonction publique britannique va cependant bien au-delà des retraites. Le vaste plan d'austérité lancé par le gouvernement, en vigueur depuis le début de l'année, se fait sentir très fortement. Rien qu'au premier semestre, 150 000 emplois du service public ont été supprimés, sur un total de six millions. Les collectivités locales sont les plus touchées, le gouvernement réduisant les transferts vers elles d'un quart en cinq ans.

A Kaleidoscope, le centre de soins psychologiques pour mineurs du sud-ouest de Londres où travaille Mme Palmer, le budget a été réduit de 25 % cette année. Une dizaine d'emplois sur cinquante ont été supprimés. La conséquence sur la qualité des soins se fait sentir. En particulier, l'attente pour recevoir les enfants pour leur première visite est passée de trois à quatre mois en moyenne. "Le moral est très bas actuellement, estime Mme Palmer. Pendant longtemps, travailler dans la fonction publique apportait une garantie de l'emploi. Ce n'est plus le cas. Les retraites étaient le dernier avantage qu'on avait."

A la mairie de Westminster, à Londres, Jo, une assistante sociale, raconte la même histoire. Elle aussi fait grève pour la première fois de sa vie. "Dans quelques semaines, on va perdre 20 % de nos effectifs. Concrètement, ça veut dire que je vais moins rendre visite aux gens dont je m'occupe, que je ne vais pas avoir le temps de bien les connaître. C'est pour eux que je me bats. "

Si la colère est profonde, les syndicats prennent cependant un important risque avec cette grande grève. Le secteur privé ne suit pas le mouvement : les transports - gérés par des entreprises privées - fonctionneront presque partout pendant la mobilisation, par exemple. "Les syndicats n'ont pas réussi à faire passer le message que la bataille pour leur retraite était dans l'intérêt de tous", estime Paul Marginson, spécialiste des questions sociales à l'université de Warwick.

Pour l'instant, les Britanniques semblent solidaires : 61 % disent soutenir la grève, selon un sondage de la BBC. Mais dans un pays où les mouvements sociaux sont très rares depuis les années Thatcher, cette attitude est très fragile. L'opposition travailliste ne s'y trompe pas et ne sera pas dans les manifestations. Les grévistes eux-mêmes ne savent pas s'il s'agit du début d'un long mouvement social ou d'une action sans lendemain. "Cela va être une journée-clé, estime Mark Perry, un collègue de Mme Palmer. La grève peut galvaniser les énergies et lancer une vague de manifestations. Mais beaucoup de nos collègues disent qu'ils ne sont pas prêts à se mobiliser plus d'une journée. C'est sur cette faiblesse que compte le gouvernement."

Eric Albert

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/29/royaume-uni-vers-la-plus-grande-greve-depuis-30-ans-dans-la-fonction-publique_1610662_3214.html#ens_id=1569464

USA/UE/RUSSIE/CHINE - La France doit-elle participer à une intervention de l'OTAN en Syrie ?

La réponse est non !

Qu'elle s'occupe de ses affaires et surtout du marasme dans lequel elle a plongé les français qui ont été contraints de rentrer dans l'Europe pour se laisser ruiner par les élus et agents du NOM !

Selon Jean-Bernard Pinel, il n’y a rien d’étonnant à ce que des agents Français de la DGSE soient au contact des rebelles syriens en Turquie et au Liban. C’est le rôle des services secrets de se renseigner et d’aider, "si la décision politique en est prise", "d’aider une rébellion".

Si cela n'est pas un aveu de participation active de la France complice à l'organisation de rébellions dans les pays musulmans et à l'avancement des projets du NOM, et si ce n'est pas de l'ingérence faite dans d'autres pays que de répondre aux politiques agents de la CIA, du Mossad et du NOM, on pourrait se demander ce que c'est ?

Et puisque c'est normal que nos services secrets "sur décision politique" fassent ingérence dans d'autres pays et aillent "aider à la rebellion", nous demandons aux gouvernants arabes et non alignés à l'empire US-Sioniste/Anglais/Européen de décider de nous envoyer les services secrets arabes pour venir nous aider en France et en Europe à organiser la rébellion !

Ce sera au moins une vraie guerre humanitaire et de libération !

 

Moyen-Orient

Publié le 26 novembre 2011 - Mis à jour le 27 novembre 2011

Jean-Bernard Pinatel

Général (2S) et dirigeant d'entreprise, Jean-Bernard Pinatel est un expert reconnu des questions géopolitiques et d'intelligence économique. Il est l'auteur de "Russie, Alliance vitale" paru dernièrement aux éditions Choiseul.
Il anime aussi le blog :
www.geopolitique-géostratégie.fr

La France doit-elle participer à une intervention de l'OTAN en Syrie ?

Selon le Canard Enchainé de cette semaine, des officiers du renseignement français ont été envoyés au Nord du Liban et en Turquie pour former les premiers contingents d'une armée syrienne libre. Une intervention de l'OTAN en Syrie se rapprocherait-elle ?

 

 
Selon le Canard Enchaîné, des officiers du renseignement français ont été envoyés pour former une armée syrienne "libre". Va-t-on tenter de faire tomber Bachar El Assad

Moyen-Orient

La France doit-elle participer à une intervention de l'OTAN en Syrie ?

Selon le Canard Enchainé de cette semaine, des officiers du renseignement français ont été envoyés au Nord du Liban et en Turquie pour former les premiers contingents d'une armée syrienne libre. Une intervention de l'OTAN en Syrie se rapprocherait-elle ?
 
Selon le Canard Enchaîné, des officiers du renseignement français ont été envoyés pour former une armée syrienne "libre". Va-t-on tenter de faire tomber Bachar El Assad

Selon le Canard Enchaîné, des officiers du renseignement français ont été envoyés pour former une armée syrienne "libre". Va-t-on tenter de faire tomber Bachar El Assad

Le Canard Enchainé de ce mercredi, sous la plume de Claude Angéli, toujours aussi bien renseigné, annonce que des officiers du renseignement français ont été envoyés au Nord du Liban et en Turquie avec pour mission de constituer les premiers contingents de l'Armée syrienne libre grâce aux déserteurs ayant fui la Syrie. "Plusieurs membres du Service action de la DGSE et le Commandement des opérations spéciales (COS) sont déjà prêts en Turquie, s'ils en reçoivent l'ordre, à former ces déserteurs à la guérilla urbaine", affirme l'hebdomadaire. C'est une "intervention limitée préparée par l'Otan" qui est en projet. "Aide à la rébellion civile et militaire, présentation d'une résolution à l'Assemblée générale de l'Onu, trafics d'armes aux frontières de la Syrie, contacts nécessaires avec Washington via l'Otan… autant de sujets en discussion entre Paris, Londres et Ankara" indique le "Canard".

Que doit-on en penser sur un plan géopolitique ?

Remarquons en préalable qu’il n’y a rien d’étonnant à ce que des agents Français de la DGSE soient au contact desrebelles syriens en Turquie et au Liban. C’est le rôle des services secrets de se renseigner et d’aider, si la décision politique en est prise, d’aider une rébellion. De plus, la France a toujours exercé un rôle particulier au Levant. A la fin de la seconde guerre mondiale qui a connu la fin de l’Empire ottoman, allié de l’Allemagne, la Société des Nations le 25 avril 1920 attribua à la France un mandat de protectorat sur la Syrie et le Liban. Il devait permettre officiellement aux États du monde arabe d'accéder à l'indépendance et à la souveraineté. En septembre-octobre 1920, s’appuyant sur les communautés ethniques et religieuses afin de diviser pour régner,  le général Gouraud, haut-commissaire de la République, créa 6 États :

  •          le Grand Liban en majorité des chrétiens ainsi que de villes côtières conformément aux souhaits émis par les maronites.
  •          l’Etat d’Alep centré sur la ville d’Alep et de sa région.
  •          l’Etat de Damas. Il comprend la ville de Damas et sa région.
  •          un territoire autonome alaouite directement placé sous autorité française
  •           l'État du Djebel druze est institué avec Soueïda comme capitale.

En juin 1922, un premier regroupement a lieu avec la réunification des États de Damas, d'Alep et de Lattaquié en une Fédération syrienne avec Homs comme capitale, située au centre stratégique du nouvel Etat.

Pour la France soutenir un corridor humanitaire est une position diplomatique incontournable vis-à-vis des peuples arabes. Comment en effet, justifier que l’on soit intervenu en Libye pour protéger les populations et que l’on ne fait rien pour elles en Syrie. Mais c’est à mon avis le maximum qu’il faut faire.

L'influence turque dans la région

Pourquoi ? Parce que nos intérêts sont fondamentalement différents de ceux de la Turquie en Syrie. La Turquie est en pointe en Syrie à cause du problème Kurde et de son ambition qui vise à rétablir son influence dans le monde arabe. En effet, le risque pour la Turquie est que se créée en Syrie comme en Irak une situation de faiblesse du pouvoir central et qu’un autre Kurdistan autonome se mette en place le long de ses frontières couvrant le Nord d’Alep à la frontière irakienne où résident 1,5 à 2 millions de Kurdes qui sont des alliés objectif de Damas comme le sont toutes les minorités face au risque d’une prise de pouvoir de la majorité sunnite et de sa faction extrémiste religieuse, les frères musulmans.

Si cette situation se réalisait, la Turquie craint que les 15 millions de Kurdes de Turquie, qui sont considérés comme des citoyens de seconde zone, cherchent à disposer de la même liberté. Cette perspective est inimaginable pour la Turquie qui est prête à la réprimer comme dans le passé dans le sang[1].

Par ailleurs, la Turquie d’Erdogan, déjà omniprésente en Irak, veut rétablir son influence sur le monde arabe. On l’a vu lors de l’intervention franco-britannique en Libye. La Turquie en juillet 2011, alors que le rapport de force entre les rebelles et des forces fidèles à Kadhafi n’évoluait pas, a tenté de se positionner en médiateur entre les deux parties, jouant son propre jeu dans une coalition dont pourtant elle faisait partie.

Le monde aura un jour à se pencher sur le problème du peuple Kurde. N’insultons pas l’avenir en laissant l’OTAN faire sienne les intérêts et les objectifs de la Turquie en Syrie.

La question kurde

En effet, le Kurdistan historique, zone de peuplement kurde, s’étend sur environ 520 000 km², la superficie de la France. La majeure partie du Kurdistan est située en Turquie et borde au Nord toute la frontière syrienne, irakienne et le Nord-ouest de la frontière iranienne. C’est une région montagneuse qui s’élève d’Ouest en Est depuis une altitude de 1000 m à des sommets supérieurs à 3000 mètres. Les Kurdes seraient 25 à 35 millions, répartis majoritairement entre ces quatre États : environ 15 à 17 millions en Turquie (20 à 25 % de la population turque), 6 à 8  millions en Iran (#10 %), 2 à 3 millions en Irak (#10%), 1 à 2 millions en Syrie (10 %) et plusieurs dizaines de milliers disséminés en Arménie, en Géorgie, en Azerbaïdjan, au Turkménistan, en Kirghizie et au Kazakhstan. En outre, on estime que 700 000 Kurdes sont réfugiés en Europe. 

Enfin, la situation intérieure syrienne est très différente de celle de la Libye. En Syrie vivaient en paix jusqu’à aujourd’hui de nombreuses communautés religieuses qui représentent 30 à 35%[2] de la population face à 65 à 70 % de sunnites au sein desquels existe la minorité extrémiste des frères musulmans. Le pouvoir syrien bénéficie ainsi du soutien de ces minorités qui craignent l’arrivée au pouvoir de la majorité sunnite.

Le risque est de remplacer un pouvoir qui protège ces minorités par un pouvoir qui les opprime.

C’est ce que craignent les Russes pour la communauté orthodoxe. Par ailleurs, la Russie est historiquement en compétition avec la Turquie dans cette partie du Monde. La Russie et l’ancien empire Ottoman, directement ou dans le cadre d’une coalition, se sont faits en 4 siècles 12 fois la guerre durant un total de 60 ans. Il n’existe pas d’autre exemple ou 2  belligérants peuvent afficher un tel « palmarès »[3].

La Russie s’opposera avec fermeté à toute résolution du conseil de sécurité qui entrebâillerait la porte à une intervention militaire en Syrie. Pour toutes ces raisons la France ne doit pas aller au-delà d’un discours humanitaire et s’opposer à toute action de l’Otan en Syrie initiée par les Turcs soutenus comme toujours par les Américains. [4]



[1] A partir de 1984 une guerre civile eut lieu en Turquie qui a fait 37 000 morts (pour la plupart kurdes) et abouti à la destruction de 3 000 villages kurdes dans " le Sud-est de la Turquie " et produit entre 500 000 et 2,5 millions de réfugiés internes

[2]2,5 millions alaouites,  2 millions de chrétiens dont la moitié d’orthodoxes, 1,5 millions de kurdes, 500 000 druzes sur 20 millions d’habitants

[3]Guerres russo-turque de 1568-1570, de 1676-1681, 1686-1700, 1710-1711,  1735-1739 ou « guerre austro-russe contre la Turquie », 1806-1812, 1828-1829, de 1853-1856 ou guerre de Crimée, de 1768-1774, de1877-1878. Il faut y ajouter la guerre russo-turque de 1914-1917 dans le cadre de la Première Guerre mondiale et la guerre Soviéto-turque de 1917-1918 dans le cadre de la Guerre civile russe

[4] Voir à ce sujet mon livre,  Russie, Alliance vitale, éditions de Choiseul, 2011,  pages 100 à107

http://www.atlantico.fr/decryptage/france-participer-otan-preparerait-intervention-syrie-turquie-jean-bernard-pinatel-230991.html

 

Londres menace l'Iran de "graves conséquences" après l'attaque contre son ambassade.

Allez ça continue les provocations, les mensonges et les manipulations.

Il faut à tout prix inventer les prétextes pour déclencher la 3ème guerre mondiale nucléaire au profit du NOM !

Encore une belle propagande sioniste et des mondialistes assoiffés de sang !

Pourraient-ils nous dire combien d'agents de la CIA, du Mossad et des services secrets français, anglais et autres se trouvaient parmi les manifestants ?

Comme la France le fait déjà en Turquie et au Liban.

Syrie: Les services secrets français vont-ils former les soldats déserteurs syriens?

Des officiers du Renseignement français ont été envoyés au Nord du Liban et en Turquie avec pour mission de constituer les premiers contingents de l'Armée syrienne libre grâce aux déserteurs ayant fui la Syrie, affirme le "Canard enchaîné" du 23 novembre. "Plusieurs membres du Service action de la DGSE et le Commandement des opérations spéciales (COS) sont déjà prêts en Turquie, s'ils en reçoivent l'ordre, à former ces déserteurs à la guérilla urbaine", affirme l'hebdomadaire.

http://www.noorinfo.com/Syrie-Les-services-secrets-franca...

Que de militaires laissés libres de déserter l'armée et de manifestants laissés libres de manifester et d'organiser le soi-disant le "printemps arabe" dans les pays musulmans dits de dictature, quand en France les indignés se font virer brutalement de la défense par les forces de l'ordre.

Qu'ils cessent de nous manipuler avec leurs mensonges et leur propagande raciste.

Du reste posez-vous la question de savoir, si ces ambassades et consultats disséminés dans le monde, ne sont pas les sièges de services secrets en tous genres.

Quoi de mieux que des diplomates pour être des agents de renseignements et renseigner leurs pays respectifs ?



Londres menace l'Iran de "graves conséquences" après l'attaque contre son ambassade

LEMONDE.FR avec AFP | 29.11.11 | 14h11   •  Mis à jour le 29.11.11 | 21h45

Le ton monte entre la Londres et Téhéran, après l'attaque, mardi 29 novembre, de deux complexes diplomatiques britanniques, dont l'ambassade de Grande-Bretagne dans la capitale iranienne, par des manifestants qui protestaient contre les sanctions décidées par Londres contre le pays en raison de son programme nucléaire controversé.
 
Voir la vidéo dans l'article original : ICI

"Nous tenons le gouvernement iranien responsable en raison de son incapacité à prendre les mesures nécessaires pour protéger notre ambassade, comme il est tenu de le faire", a déclaré le chef de la diplomatie, William Hague. "Bien qu'il ait dit qu'il était désolé de ce qui est arrivé et qu'il allait prendre des mesures, il n'en demeure pas moins que cette affaire constitue une très sérieuse erreur du gouvernement iranien", a souligné dans un communiqué M. Hague. "Il y aura assurément d'autres conséquences graves", même si aucun membre du personnel diplomatique ne manque à l'appel, a ajouté le secrétaire au Foreign Office. Londres a demandé à tous ses ressortissants en Iran "de rester chez eux" et "d'adopter un profil bas".

 

 

Des dizaines de manifestants iraniens ont pénétré dans l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran, le 29 novembre 2011.

Des dizaines de manifestants iraniens ont pénétré dans l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran, le 29 novembre 2011.REUTERS/STRINGER/IRAN

 

En début d'après-midi, des dizaines de manifestants ont escaladé le mur d'enceinte du parc et brisé les vitres de la chancellerie avant d'y pénétrer et de jeter des objets par les fenêtres, selon des images de la télévision d'Etat. Ils ont ensuite enlevé le drapeau britannique pour le remplacer par le drapeau iranien, a constaté un journaliste de l'AFP. Les manifestants ont également brûlé des drapeaux britanniques et israéliens, selon la télévision d'Etat.

Les forces antiémeutes qui protégeaient l'ambassade ne sont pas intervenues pour empêcher cette attaque qui s'est produite alors que plusieurs centaines de manifestants, qualifiés d"étudiants" par la télévision, étaient rassemblés devant la mission diplomatique pour réclamer sa fermeture et l'expulsion "immédiate" de l'ambassadeur. Plusieurs dizaines de policiers en tenue antiémeute ont finalement pénétré à leur tour dans l'enceinte de l'ambassade pour leur faireévacuer les lieux, selon les images de la télévision.

Après cette évacuation, le chef de la police de Téhéran, le général Hossein Sadjadi-Nia, est venu personnellement devant l'ambassade britannique pour demander aux manifestants toujours présents "de mettre fin à leur rassemblement". Mais en début de soirée, les manifestants sont entrés une deuxième fois dans l'ambassade pour y brûler des documents avant d'être définitivement évacués.

>>> Un portfolio de l'attaque de l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran sur le site de l'agence de presse semi-officielle Fars News.

Moins d'une heure plus tard, quelque deux cents étudiants de la milice islamiste des bassidjis ont pénétré dans un deuxième complexe diplomatique britannique dans le nord de Téhéran, a rapporté l'agence officielle d'information IRNA. La police antiémeute s'est déployée en début de soirée devant l'entrée du site pour "mettre fin à la manifestation", selon les médias iraniens.

VIVES TENSIONS BILATÉRALES

Selon la correspondante du Financial Times en Iran, ces événements sont survenus dans le cadre d'une manifestation à laquelle participaient trois cents à cinq cents personnes pour marquer le premier anniversaire de l'assassinat du scientifique iranien Majid Shahriyari. Les services de renseignement israélien et occidentaux sont soupçonnés être derrière cet assassinat.

La police anti-émeute iranienne déloge les manifestants ayant pénétré dans l'ambassade britannique à Téhéran, le 29 novembre 2011.

La police anti-émeute iranienne déloge les manifestants ayant pénétré dans l'ambassade britannique à Téhéran, le 29 novembre 2011.AFP/ATTA KENARE

 

Bien que la Grande-Bretagne ait toujours nié toute implication dans cet assassinat, elle est considérée par les Iraniens les plus radicaux comme le chef de file des ennemis étrangers de l'Iran. Les tensions se sont à nouveau cristallisées après la décision de la Grande-Bretagne, comme d'une grande partie de la communauté internationale, de prendre des sanctions contre la République islamique à la suite de la publication, le 8 novembre, d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui établit que l'Iran travaille à la conception d'une bombe nucléaire. L'Iran a rejeté les conclusions du document, le jugeant "politique".

Les attaques contre la représentation diplomatique britannique sont les plus violentes depuis celle de l'ambassade américaine par des étudiants iraniens en 1980, qui avaient pris en otage cinquante-deux diplomates pendant quatre cent quarante-quatre  jours et avait entraîné la rupture des relations entre Téhéran et Washington. Comme alors, les manifestants ont qualifié l'ambassade britannique de "nid d'espions" et ont affirmé y avoir trouvé des "documents confidentiels d'espionnage".

"INACCEPTABLE" POUR LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE

De hauts responsables britanniques "se sont entretenus avec le chargé d'affaires iranien à Londres pour demander instamment aux autorités iraniennes d'agir au plus vite afin de reprendre le contrôle de la situation et de protéger [leur] enceinte diplomatique, comme elles sont tenues de le faire par les conventions internationales", a indiqué le Foreign Office dans un communiqué, "scandalisé" par "l'intrusion inacceptable" des manifestants dans son ambassade à Téhéran. Une réunion de crise s'est également tenue à Downing Street en présence du premier ministre, David Cameron. Mercredi, le secrétaire au Foreign office, William Hague, fera une déclaration sur l'Iran devant le Parlement.

L'Union européenne et plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la Russie, la France et l'Italie, ont également fermement condamné l'attaque "inacceptable" contre la mission britannique, que les Occidentaux ont indiqué vouloir porter devant le Conseil de sécurité de l'ONU. Ce dernier a immédiatement réagi, en condamnant "dans les termes les plus sévères" cette attaque.

Dans un communiqué publié par l'agence Mehr, le ministère des affaires étrangères iranien "exprime ses regrets pour le comportement inacceptable d'un petit nombre de manifestants en dépit des efforts de la police", et affirme avoir "demandé aux autorités de prendre immédiatement les mesures nécessaires" pour mettre fin à l'occupation de l'ambassade.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/11/29/ir...

Nucléaire iranien

Deux complexes diplomatiques britanniques, dont l'ambassade de Grande-Bretagne à Téhéran, ont été la cible, mardi 29 novembre, d'attaques de la part de manifestants iraniens.

En images A Téhéran, l'ambassade britannique prise pour cible

Les faits Les proches d'Ahmadinejad persécutés par la justice iranienne

Les faits L'Iran expulse l'ambassadeur de Grande-Bretagne

 http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2011/11/29/iran-des-manifestants-saccagent-l-ambassade-britannique-a-teheran_1610758_3218.html

29/11/2011

Mystérieux bruit d’explosion aux environs de la ville d’Ispahan (Iran)‏

La guerre contre l'Iran est déjà commencée !

Raid israélien  avec des bombardiers furtifs de type B2 ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Northrop_B-2_Spirit Que « théoriquement » les Israéliens n’ont pas ?

Libya : Exemple Bombardier furtif Libye B-2

http://www.youtube.com/watch?v=2dydPl108k8

Ou missile » tomawak » (ou mieux)  tiré d’un SLNA ou d’un porte-avion ? Ou missile à guidage laser piloté du sol par un agent français ? (DCRI ex DGSE)

La suite arrive avec la Russie et la Chine qui ne resteront pas les bras croisés. La Russie a déjà lancé un avertissement contre l'UE et les US/Israël.

Mystérieux bruit d’explosion aux environs de la ville d’Ispahan (Iran)‏