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10/03/2010

Le cratère GALE apporte de nouvelles connaissances sur le passé aqueux de Mars





http://photojournal.jpl.nasa.gov/figures/PIA12507_fig1.jpg

Pasadena/USA - à l'intérieur de l'un des cratères de Mars, des chercheurs de la NASA ont découvert une montagne énorme, avec des couches de sols entrouvertes, de la dimension de l'Etat fédéral américain du Connecticut, et de la hauteur des Rocky Mountains, dans laquelle les recherches d"indices, dans les conditions ambiantes sur la planète rouge, permettent de remonter à des milliards d'années.

L'histoire géologique de Mars, comme le révèle la montagne énorme au fond du Gale-cratère, est exacte, et avec cela les théories actuelles....

Source et compléments: http://grenzwissenschaft-aktuell.blogspot.com/2010/02/gal...

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Un tunnel sur la Lune !

La sonde Lunar Reconnaissance Orbiter a photographié cette étonnante structure sinusoïdale dans la région volcanique de Marius Hills, sur la face visible, près de l'équateur. Il s'agit d'un tube de lave souterrain d'environ 4 km de long.


Cette tache sombre est l'entrée d'un tunnel de lave. Elle a été photographiée par LRO sur le plateau volcanique Marius Hills, dans l'océan des Tempêtes. Crédit : NASA/GSFC/ASU/Ciel et Espace Photos

La petite tache d'un noir profond, visible en haut à gauche, est une entrée de cette caverne lunaire creusée jadis par la lave. Et en novembre 2009, la sonde japonaise Kaguya avait déjà détecté cette cavité, mais avec une résolution moins bonne (lire notre actu du 26 novembre 2009).

La sonde Mars Reconnaissance Orbiter a aussi photographié des cavités similaires sur la planète rouge (voir l'image).

Ciel & Espace

Un conduit de lave sur la Lune

26/11/2009 – Simon Casteran

Les images prises par la sonde Kaguya lors de son survol de la face visible de la Lune ont révélé l’existence d’un ancien conduit de lave.




Situé dans la zone de Marius Hills, un dôme volcanique de la Mer des Tempêtes, le trou ferait environ 65 m de diamètre et 88 m de profondeur.

Dans un article à paraître dans la revue Geophysical Research Letters, le docteur Junichi Haruyama, de l’agence spatiale japonaise (JAXA), précise qu’il pourrait s’agir d’une « lucarne ». Une telle formation se crée lorsque le plafond d’un tunnel de lave s’effondre en un point donné.

D’une longueur estimée à 370 m, ce tunnel pourrait avoir été percé au jour à cause du retrait de la lave, ou plus…

InfoSciences

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SpacePort: le premier aéroport spatial prend forme au Nouveau-Mexique

Il n'y a rien qui vous interpelle avec le Nouveau-Mexique ?
Les bases souterraines ET et du NOM à DULCE au Nouveau-Mexique, le virus H1N1 qui naît au Mexique, etc...
Tout ce beau monde travaillerait-il de concert avec les ET ?

Regardez la forme de cet engin spatial.

Jeudi, 25 Février 2010 09:25 Alain Coffre



Les premières coulées de béton ont été déposées à Upham dans le Nouveau-Mexique aux Etats-Unis afin de bâtir la piste du premier aéroport spatial au monde: le SpacePort. Les premiers avions de Virgin Galactic pourraient décoller en 2011.

Les rêves de Richard Branson deviennent réalité dans le désert du Nouveau-Mexique.

La piste d'atterrissage du Sparceport American est en cours de construction depuis août 2009 mais pour la première fois cette semaine, du béton a été coulé sur la piste.

Cette piste d'une longueur de 3 kilomètres et d'une largeur de 61 mètres servira à l'atterrissage des avions de l'espace de Virgin Galactic.

Le Spaceport est situé à Las Cruces au Nouveau-Mexique sur les terres d'un ancien ranch de la famille Cain.



Comme ce périmètre est interdit aux vols du fait d'une base de lancement de missiles située à proximité, les avions spatiaux pourront décoller en toute tranquillité.

Les avions de Virgin Galactic, comme le Space ShipTwo dévoilé en décembre dernier vont utiliser cette piste pour emmener les voyageurs pendant deux heures dans l'espace. Cet avion de huit places transportera six passagers à une altitude de 110 kilomètres.

Les passagers pourront profiter de 5 minutes d’apesanteur seulement!

Plus de 250 voyageurs auraient jusqu'à présent réservé un vol via un dépôt de 20000 dollars, le billet étant commercialisé à 200000 dollars.

Avant de pouvoir profiter du vol, les passagers subiront de nombreux tests afin de mesurer leur capacité de résistance.  Car l’accélération de l’avion sera de l’ordre de 4g au décollage et de 7g à l’atterrissage.

Au décollage le SpaceShip Two sera accroché à un autre avion qui volera jusqu’à une altitude de 17000 mètres. A ce stade, le SpaceShipTwo allumera ses réacteurs et s’envolera à Mach 3 pendant 70 secondes.

Le vol irréel permettra de voir le ciel varier du bleu au noir en quelques secondes. Le temps de vol suborbital sera très court, soit environ quatre minutes. L’avion reviendra alors dans l’atmosphère en une minute et demie de descente, un atterrissage semblable à celui de la navette spatiale.

Richard Branson espère que les premiers vols auront lieu en 2011. Le coût total pour la construction du Spaceport devrait avoisiner 198 millions de dollars. La FAA américain a autorisé le décollage d'avions en mode vertical ou horizontal.

Businesstravel

New Orion capsule heat shield a “breakthrough” for NASA


Looking like a UFO from an old science fiction movie, the new resin Orion heat shield hovers above its mold at the Lockheed Martin composite development facility in Denver. Credit: Lockheed Martin.

The Orion crew capsule as a shining example of new technology development? Well, that’s the latest word from Lockheed Martin which on Monday hailed the space capsule’s new heat shield as a  breakthrough.

“[Orion] is at the height of its development phase, which has spurred several new technologies and innovations such as a cutting edge high-temperature composite material system,” said a press release on Monday, seemingly tailoring its language to the Obama administration’s new vision for NASA.

According to the release, the 16.4 foot diameter heat shield was described as a “resin system” developed over 18 months by in partnership with TenCate Advanced Composites.

It was dreamed up in house at Lockheed in Denver as a cheaper replacement for Orion’s original titanium heat shield which would have to be made in sections and takes up to a year to put together, according to Colin Sipe, who was in charge of the team working on the project. The new composite shield takes only months to make, weighs slightly less than the titanium shield and would save lots of money.

“In addition to the technology advancement, we achieved a $10 million cost savings and improved the project schedule by 12 months through the innovative tooling, materials and fabrication processes the team put into action,” Cleon Lacefield Lockheed Martin’s Orion program manager said.

The giant Frisbee-like shield is supposed to go on the bottom of the Orion “ground test article” – the first full-sized mock up of the capsule being built at NASA’s Michoud Assembly Facility in New Orleans, La. — described as “a production pathfinder to validate the flight vehicle production processes and tools.”

The problem is that the new heat shield has not officially been accepted yet by NASA as officially be part of Orion because the titanium shield is still considered to be the baseline design. A procedure is underway to change that, Sipe said.

But it all might be too late. The Obama administration has proposed cancelling Orion and its Ares I launch vehicle as part of a major overhaul of NASA.

After five years and at least $9 billion spent on the development of the new spaceship, the president’s 2011 budget would scrap the centerpieces of the agency’s Constellation moon program because they were deemed “unsustainable.” Several government studies found Ares and Orion too expensive and behind schedule and thought their development funds could be better spent on other projects.

In their place, the White House wants to fund a “game-changing” new technology development program to discover new tools and more affordable systems that could send humans to Mars in weeks not months.

While there is no doubt among engineers and space industry analysts that Orion has developed important new technologies, many see a touch of irony and desperation in the company’s use of language about new technology development and its promotion of its cost savings at this particular point in time.

“There is no doubt that Lockheed Martin is trying to save it’s baby and is doing whatever it can to keep Orion alive,” said one aerospace industry executive, whose company competes with Lockheed Martin.

Lockheed Martin executives are currently lobbying Congress to keep some parts of the Constellation program alive that would guarantee Orion’s survival.

Orlando Sentinel


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Pour accéder à l'espace, la Nasa se tourne vers des projets privés


Par Rémy Decourt, Futura-Sciences

Après l’annonce par le président Obama d’abandonner le programme Constellation et avec lui le moyen de transport prenant la suite de la navette, la Nasa change de paradigme. Elle noue actuellement des partenariats avec cinq entreprises ayant déjà des projets d'engins d'accès à l'espace.

L'agence spatiale lance le partenariat public-privé CCDev (l’équivalent de Cots qui, lui, concerne le fret) afin d'étudier des projets liés aux vols spatiaux du secteur privé et sélectionne cinq firmes qui vont pourvoir avancer sur des projets bien précis.

Ces firmes sont Sierra Nevada, Boeing, United Launch Alliance, Blue Origin et Paragon Space Development. Elles ont chacune en projet des systèmes ou un moyen de transport spatial susceptibles d’être développés dans des délais raisonnables.

Elles vont se partager une première subvention de 50 millions de dollars provenant du plan de relance américain. Celui-ci a pour objectif d’étoffer les industries spatiales amenées à absorber une partie des emplois que la Nasa sera contrainte de supprimer. Pour autant, l’agence spatiale américaine ne souhaite pas couper les ponts avec ses fournisseurs historiques. Elle souhaite bien sûr ne pas perdre leurs expériences acquises tout au long de ces 60 dernières années mais veut avant tout éviter de former de nouveaux monopoles. L’arrivée de nouveaux fournisseurs pourrait également favoriser l’émergence de nouvelles solutions ou technologies susceptibles de rendre les vols spatiaux plus sûrs et moins chers.

Pas de rupture technologique significative

Le projet de Sierra Nevada est bien connu des spécialistes. Il s’agit du Dream Chaser de SpaceDev, une de ses filiales. Cet avion spatial de type Hermès se base sur le système de transport HL-20 développé par le Centre Langley de la Nasa au milieu des années 1980. Il sera lancé par un lanceur en ligne et se posera comme un avion. Il ne s'agira pas d'un engin novateur. La firme américaine prévoit d'utiliser des technologies et des concepts éprouvés et disponibles sur étagère. Cette solution vise à développer et mettre l'engin sur le marché rapidement et à un coût raisonnable. Il pourrait être lancé dès 2014 au moyen d’une Atlas 5 opérée par la United Launch Alliance (ULA), une joint-venture formée par les firmes américaines Boeing et Lockheed Martin pour construire et lancer des fusées EELV (non récupérable) pour le compte du gouvernement des Etats-Unis. Les deux seules fusées opérées sont l'Atlas 5 de Lockheed Martin et de la Delta IV de Boeing aux performances similaires. Le financement reçu par ULA concerne la mise au point d’un système de détection de pannes imminentes ou de situation dangereuse de façon à éjecter du lanceur le véhicule spatial avant que la panne ne se produise.

Quant à Boeing, l’argent reçu servira à pousser plus en avant son projet d’avion spatial annoncé comme suffisamment versatile pour être lancé par différents lanceurs. Paragon Space Development, un sous-traitant impliqué dans le développement du véhicule spatial Orion, pourrait à l’avenir fournir des éléments du système vie d’un véhicule spatial comme un système de régénération de l'atmosphère.

Enfin, Blue Origin, dirigé part Jeff Bezos, le fondateur d’Amazon, obtient un financement pour pousser plus en avant son concept original de tour d’éjection. Cependant, la Nasa ne mise pas sur son projet de véhicule suborbital New Shepard capable de décoller et d'atterrir à la verticale. En novembre 2006, Blue Origin avait procédé au lancement et à l'atterrissage d'un prototype de cet engin qui avait réussi à s’élever verticalement jusqu'à une altitude de 87 mètres avant de revenir se poser en douceur.

Futura Science :

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Le fond d’une «grotte» martienne révélé

Mars 2009.

L’image est monochrome, partiellement surexposée et granuleuse, mais elle constitue un document : c'est le premier aperçu du fond de l’un des mystérieux «cratères-puits» identifiés sur Mars depuis 2007. Ces étranges cavités circulaires, aux parois si abruptes que la lumière du Soleil ne parvient pas à en éclairer le fond, sont considérées comme de possibles accès à des «grottes» martiennes. Certains géologues pensent qu’il s’agirait de tubes de lave effondrés en certains endroits. De fait, ces trous d’environ 150 m de diamètre ont tous été repérés sur les flancs de volcans, comme Arsia Mons ou Olympus Mons.


Ce puits a été photographié sur Mars, non loin du volcan Ceraunius Tholus. Il résulterait de l'effondrement du toit d'une cavité souterraine. Crédit : NASA/JPL/ U of AZ
Cliquez pour agrandir

Le 30 décembre 2008, la sonde Mars Reconnaissance Orbiter a pris cette photo à haute résolution (28 cm/pixel) d’un cratère-puits similaire, non loin du volcan Ceraunius Tholus, le long des failles tectoniques de Tractus Fossae. En tirant les contrastes au maximum, les astronomes sont parvenus à faire apparaître le fond du cratère, faiblement éclairé par des réflexions secondaires de la lumière solaire sur le haut de ses parois. Conclusion : ce trou béant d’environ 150 m de profondeur est bien une cavité dont le toit s’est effondré. Toutefois, il n’est pas forcément relié avec un tube de lave vide (qui constituerait une caverne), mais résulterait d’effondrements tectoniques.

Philippe Henarejos, le 23 mars 2009
http://www.cieletespace.fr/image-du-jour/3104_le-fond-d-u...

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