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01/02/2010

2010 Mexique, Un Airbus A-320 a volé à proximité d'un Ovni

 

http://www.youtube.com/watch?v=QrYIUpG0xFY


Le lundi 18 janvier 2010, un airbus a-320 de l’aviation mexicaine a volé à proximité d’un ovni au dessus de  Xochimilco, selon Alfonso Salazar (Ufologue et technicien de l’aviation). Cela s’est passé alors que l’avion effectuait ses manœuvres d’ascension pour atteindre une altitude appropriée pour un vol rectiligne en palier. L’heure était  11h55. L’avion de ligne Mexicain volait à 200 mètres d’un objet sphérique, d’apparence métallique qui changeait de couleur (du gris aluminium au rouge écarlate).

Mexico, Mexique, janvier 2010

L’avion se dirigeait vers l’est de Mexico City tandis que l’objet se dirigeait vers le sud. Selon une source non officielle, sous d’excellentes conditions météorologiques, l’ovni a été détecté visuellement à une altitude approximative de 10 000 mètres. Le personnel de l’aéroport international de Mexico City a eu accès à l’information.  Il est à noter que cette région, en particulier celle près de Xochimilco, s’est fait connaître pour ses rapports d’objets semblables : des sphères métalliques qui survolent l’eau, touchant presque   la surface du canal. Des ovnis ont été enregistrés les jours précédents (16 et 17 janvier) dans le couloir aérien près de l’aéroport.


http://www.les-ovnis.com/rubrique,2010-mexique-airbus-et-...

http://www.les-ovnis.com/rubrique,videos-ovnis,183745.html

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Ovni de Haïti 17 Janvier 2010, reportage après le Tremblement de terre

Ovni de Haïti 17 Janvier 2010, reportage après le Tremblement de terre

 

Ovni de Haïti 17 Janvier 2010

Lors du reportage de Tf1 le 17 Janvier 2010, au milieu de la vidéo un Ovni est visible brièvement dans le ciel bleu, selon certain ufologue depuis plusieurs jours des Ovnis sont observés au alentour de la capital port au prince....

Voir la Vidéo :

Ovni de Haïti 17 Janvier 2010

http://www.youtube.com/watch?v=csFd5aFRE30&feature=pl...

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers

Bien sûr nous allons croire qu'il s'agit d'une belle querelle entre les présidents et les banquiers !
Les campagnes des politiques sont financées par les banquiers qui choisissent leurs meilleurs VRP et ils voudraient nous faire croire qu'ils se disputent !

Si les politiques étaient honnêtes cela ferait belle lurette qu'ils auraient déchu les banquiers de leur monopole sur la finance !

Débats

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers

Dossier: Forum économique mondial de Davos

Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers
Davos 2010 : une belle querelle entre les présidents et les banquiers
20:09 01/02/2010
© REUTERS/ Michael Buholzer
Par Vlad Grinkevitch, RIA Novosti

La principale intrigue du forum économique actuel de Davos réside dans la proposition du président américain Barack Obama d’interdire officiellement aux banques de se livrer à la spéculation et de financer des fonds spéculatifs. En réponse, les banquiers prédisent de grands troubles dans l’économie mondiale et brandissent la menace de fuites de capitaux.

Le président américain et son équipe ont l’intention d’obtenir du Congrès l’interdiction aux banques d’investir dans les "hedge funds" et les fonds d’investissement privés dans les opérations sur des titres n’ayant rien à voir avec les services aux clients. Cette idée a été appréciée par les dirigeants de plusieurs États. « Nous continuerons à faire courir des risques insoutenables à l’économie, à encourager la spéculation, si nous ne changeons pas la réglementation bancaire » a déclaré le président français Nicolas Sarkozy. Alexeï Koudrine, premier vice-premier ministre russe, a également invité à soutenir la politique des États-Unis en affirmant : « Il faut soutenir les mesures annoncées par les Etats-Unis, car l’administration Obama est dans la situation la plus délicate ».

Dans l’ensemble, les arguments des hommes politiques sont clairs : la surchauffe spéculative de l’économie a été la cause de la crise économique. La situation se répète puisqu’une bonne partie des sommes affectées par les États à la lutte contre la crise (les Etats-Unis, à eux seuls, ont alloué plus de 10 000 milliards de dollars) a servi à gonfler de nouvelles bulles sur les marchés des valeurs et des hydrocarbures. Citons un exemple : au milieu de l’année dernière, la CFTC (la Commodity Futures Commission) est arrivée à la conclusion qu’environ 70% des ventes de pétrole de la marque Texas Sweet à la Bourse de New York étaient d’ordre spéculatif. A peu près en même temps, les autorités américaines ont parlé de la nécessité de restreindre les possibilités des opérations spéculatives, mais rien de concret n’est sorti de ces déclarations. Naturellement, toutes ces initiatives provoquent une résistance farouche de la part du lobby financier.

Inutile de dire que les banquiers ont fort mal accueilli cette initiative du président américain et les représentants des milieux financiers n’ont pas tardé à avancer comme argument que l’intention de contraindre les banques à réduire leurs activités provoquera une récession du commerce mondial et les conséquences négatives pour l’économie mondiale seront imprévisibles. Selon le Times britannique, les responsables des grandes banques britanniques (HSBC, Barclays Standard Chartered) et américaines (JPMorgan et Morgan Stanley) préparent une rencontre secrète avec le ministre britannique des Finances Alistair Darling. Les banquiers ont probablement l’intention d’avancer des griefs à l’encontre de la politique américaine et de parler, par la même occasion, des conséquences négatives globales que pourraient avoir les initiatives de Barack Obama.

Les banquiers assurent qu’ils n’ont pas besoin de régulateurs extérieurs et que le marché remettrait, disent-ils, tout à sa place. Pourquoi donc, au plus fort de la crise, presque toutes les institutions financières s’en sont-elles alors remises non pas à la "main invisible du marché", mais à l’aide que leur apportaient leurs gouvernements ? Comme l’a souligné à juste raison Nicolas Sarkozy, sans l’intervention des États, tout se serait effondré.

La position des banquiers est compréhensible : ils s’inquiètent avant tout pour leurs propres profits. Quant aux hommes politiques qui soutiennent Obama, on peut leur reprocher leur manque d’esprit de suite. Malgré toutes les belles paroles sur la nécessité de réformer le système économique mondial, la majeure partie des mesures anticrise de tous les États développés sans exception s’est réduite à injecter de l’argent dans le secteur financier. Autrement dit, les États ont soutenu la superstructure financière que M. Sarkozy a qualifiée, en inaugurant le forum, de principal responsable de la crise.

Le soutien à la position de Barack Obama annoncé par la Russie n’est pas tout à fait clair, car la mise en œuvre des initiatives de l’administration américaine menace de créer de graves problèmes pour l’économie russe. Rappelons que les 70 dollars le baril sur lesquels se fonde l’espoir d’assurer l’essor de l’économie russe cette année sont le résultat direct de l’afflux du capital spéculatif sur le marché des hydrocarbures. Crever les bulles spéculatives provoquerait de nouveaux ébranlements économiques dans le pays.

Il y a là un cercle vicieux : la reprise de l’économie mondiale (russe, entre autres) a été rendue possible grâce aux investissements dans le secteur financier dont le gonflement démesuré a été la cause de la crise. La réforme du système économique dont parlent beaucoup les hommes politiques n'est probablement pas impossible sans banqueroutes ou, au moins, sans réforme de nombreuses institutions financières, mais les actions entreprises par les gouvernements au plus profond de la crise montrent bien qu’ils n’y sont pas prêts.

Il se peut que cette "main du marché" le fasse pour eux. Ce n’est pas par hasard que de nombreux économistes préviennent que les causes fondamentales de la crise ne sont pas éliminées, et donc que la fameuse "seconde vague" n’est qu’une question de temps.

Ce texte n’engage que la responsabilité de l’auteur.

http://fr.rian.ru/discussion/20100201/185973774.html


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Vers une nouvelle guerre mondiale ?

Dimanche 31 Janvier 2010

La guerre mondiale aura-t-elle lieu ?
Par Eva r-sistons


Mes amis,

La guerre est la pire des solutions. Mieux dit: Elle est le problème N° 1.


Le plus grand danger qui menace l'humanité !

Les peuples veulent vivre en paix. L'oligarchie qui s'est octroyé le droit de vie et de mort sur les peuples, programme les guerres qu'elle ne fera jamais, et qui lui permettront de réaliser de juteux profits. Les Médias criminels (d'ailleurs aux mains des industriels de l'Armement, en France) font, ouvertement ou indirectement, l'apologie de la guerre; Marie Drucker et Benoît Duquesne sont parmi les plus zélés exécutants des consignes données.


Melle Drucker va jusqu'à présenter la guerre comme un moyen de promotion des femmes !

Cinq grands généraux de l'OTAN ont ouvertement prôné l'utilisation du nucléaire dans les guerres futures; tout est banalisé, même l'horreur absolue. Il est vrai que le nucléaire tue plus radicalement, à grande échelle


- une aubaine pour les partisans de la dépopulation. Derrière leurs écrans, bien à l'abri, des hommes sèment mort et désolation sur la terre. Dans les coulisses, les industriels de la Reconstruction se frottent les mains, les industriels du Pétrole aussi. Et on ne se gêne plus, aujourd'hui, pour faire la promotion des guerres préventives, permanentes, totales et bien sûr nucléaires. Ceux qui ont le pouvoir jouent avec la vie des citoyens comme nos jeunes jouent virtuellement à la guerre: en tuant le plus possible. J'écoute une vidéo de la guerre d'Irak, j'y ai appris que les soldats américains avaient une prime pour chaque Irakien tué. Joli monde... et qui ose se dire démocratique, moral, défenseur de la Liberté, du Bien, sans parler de ceux qui se réclament de Dieu pour prôner le choc de civilisations et anéantir la partie de la population qui déplaît.  

La 3e guerre mondiale est-elle pour bientôt ? Certains parlent de quatrième guerre mondiale, la 3e ayant été, selon eux, "la guerre froide". Trop froide, sans doute, parce qu'on la veut chaude, aujourd'hui, bien chaude et même brûlante.... avec des armes laissant des séquelles irréversibles sur l'environnement et sur les générations futures. Les Vietnamiens ou les Palestiniens sont bien placés pour en parler... et même les vétérans de tous les conflits ! "La der des der", évidemment ! Le dernier poilu l'a dit et répété...

Alors, guerre, ou pas ? Pour moi, quoiqu'on en dise, elle est inévitable.
L' "Elite" réclame du sang, elle a besoin de sacrifices vivants, et disons-le, les multinationales ne sont pas en reste, le capitalisme est un Système monstrueux qui a besoin, pour prospérer, d'innombrables victimes, pauvres prêts à travailler pour une obole, ou jeunes appelés à mourir pour la Patrie (voir le documentaire de Marie Drucker). Or, quand il est en crise, à bout de souffle, pour redémarrer, pour gonfler ses profits, le Système imposé aux peuples a besoin de conflits. Et aux Etats-Unis, pays capitaliste par excellence, l'industrie la plus florissante est la militaire. Quel paradoxe pour ceux qui revendiquent si fort leur appartenance chrétienne !

Sur mon blog r-sistons à l'intolérable, j'ai souvent évoqué le risque de la guerre contre l'Iran - un authentique scandale, d'ailleurs, puisque ce pays n'a jamais attaqué personne; quant à sa dissuasion nucléaire, elle est nécessaire: L' Iran est encerclé par des puissances hostiles.

Vous le savez sans doute, les généraux américains, plus raisonnables que leur Chef, ont retenu le bras de Bush, brûlant d'en découdre avec l'Iran. Et les mois ont passé. Certes, l'Iran ne se laissera pas attaquer comme l'Irak, en ripostant pour la forme; il dispose d'un armement dissuasif, et d'une flotte impressionnante, stationnée dans un détroit stratégiquement important.


Les essais de déstabilisation économique ou politique n'ont gère ébranlé sa légitime détermination à préserver sa souveraineté. Bref, l'Iran n'est pas un adversaire facile: On hésite à l'attaquer. Il semblerait aussi que la Chine soit décidée à protéger ses intérêts dans la région, et les Etats-Unis ne peuvent se permettre de mécontenter le pays qui le maintient sous perfusion. Sans l'aide de la Chine, sans ses prêts, l'économie américaine, en effet, s'effondrerait. Un pays lourdement endetté n'est pas aussi libre qu'il le voudrait. Bref, il existe de bonnes raisons pour ne pas attaquer militairement l'Iran; il semblerait que le Pentagone songe plutôt à provoquer des tremblements de terre comme, dit-on, à Haïti.

Reste l'inconnue israélienne; les récentes déclarations de Shimon Perès au Bundestag ("L'Iran est un danger pour le monde") ne présagent rien de bon, l'Allemagne de Mme Merckel n'a jamais été aussi proche d'Israël, et l'équipe de néoconservateurs français, de Sarkozy à Kouchner en passant par Morin, brûle de passer à l'attaque. Obama, sitôt son prix Nobel de la Paix reçu, a entrepris de le défendre en multipliant les guerres, Peres est prêt à tout, et un autre Prix Nobel de la Paix israélien, Elie Wiesel, tient des discours que les Bushistes ne renieraient pas.

Cela conduira-il à la guerre ? Deux facteurs me semblent prépondérants: La crise du capitalisme, synonyme de besoin d'élans nouveaux, de quête de nouvelles sources de profit, et le caractère imprévisible d'Israël, pays d'ailleurs gouverné par une équipe d'irresponsables, d'extrémistes, de fanatiques. Les apprentis-sorciers sont aux aguets, tôt ou tard, à mon avis, ils commettront l'irréparable. Et un irréparable aux dimensions planétaires vite titanesques...

Quant aux partisans de la dépopulation, le moment venu, ils ne seront pas mécontents d'apporter leur soutien, quel que soit le prix payé pour l'humanité en termes de souffrances et de sacrifices.

Le monde est aux mains de fous, de psychopathes, d'irresponsables, vouant un culte à Mâmon et aux Forces de mort.  

Sans doute l'apocalypse est-elle déjà en marche... Si elle ne se produit pas, je serai la première étonnée. L'Histoire nous a trop souvent enseigné, malheureusement, que les Puissants sont prêts à tout pour augmenter leur pouvoir. Les irresponsables sont toujours aux commandes, et la crise va bientôt rebondir. Alors... préparons-nous au pire ! Nous l'aurons très vraisemblablement... Et nos meilleures armes seront, sans aucun doute, la prévoyance, la solidarité et la créativité...

Fraternellement à tous, votre Eva  

Dossier complet sur la guerre, ici :

http://r-sistons.over-blog.com/article-dossier-guerre-aur...

http://www.alterinfo.net/Vers-une-nouvelle-guerre-mondial...

 

Nouvel Ordre Mondial : on rapatrie des forces en Afrique !

Ensuite ils viendront nous parler de l'identité nationale !
Tout et son contraire pourvu que l'on y trouve des intérêts pour les élites et que l'on pousse les peuples à se révolter !

L'Union Africaine, allié stratégique de l'Union Européenne

(front.polisario@gmail.com) - Lundi 1 Février 2010

Zapatero invité au sommet africain d'Addis Abeba



L'Union Africaine, allié stratégique de l'Union Européenne

Le président Rodríguez Zapatero, qui détient la présidence tournante européenne ce semestre de 2010, assistera au sommet africain d'Adis Abeba le 31 janvier prochain. L'Union Africaine (UA) célèbre sa quatrième réunion de Chefs d'État à la capitale l'Ethiopienne laquelle seront abordés les conflits dans le continent, la mondialisation et les nouvelles technologies et les relations de l'organisme panafricain avec l'Union Européenne et le G-8. Pedro Canales, 27/01/2010 L'UA réunit tous les pays du continent excepté le Maroc qui s'est retiré de l'organisation pour protester contre la présence de la République Arabe Sahraouie Democratique. Mohamed Abdelaziz, Secrétaire général du Front Polisario, détient l'une des viceprésidences de l'Union panafricaene, et par conséquent, il sera l'un des interlocuteurs du Président Zapatero.

Alger et Rabat observent avec attention la réunion de l'Éthiopie et la participation dans la même de Zapatero, ainsi que du Sous-secrétaire d'État nord-américain Johnnie Carson. Entre les "conflits internes" que l'UA abordera se trouve celui du Sahara Occidental, en plus du Soudan et la Guinée. L'Union panafricaine discutera des nouvelles technologies, en particulier de l'introduction dans le continent des technologies spatiales. Au mois de novembre, une réunion préalable a eu lieu en Afrique du Sud et en décembre à Alger, pour coordonner les plans de développement spatial dans le continent.

L'Afrique du Sud, le Nigeria et l'Algérie ont décidé de créer une coordination de satellites spatiaux destinée à la lutte contre la désertification, la gestion de l'eau et de l'étude géologique. Alger veut installer de plus un câble de fibre optique entre les capitales algérienne et nigériane qui passera parallèlement avec le gazoduc transaharien NIGAL. Avec un total de plus de 4 mille kilomètres, ce gazoduc a un budget de plus de 120 milliards de dollars et transportera vers l'Europe via l'Algérie entre 20 mille et 30 milliards de mètres cube de gaz naturel. Mais le sujet le plus délicat sera sans aucune doute celui de la gestion des conflits internes en Afrique. Bien que l'objectif des pays membres de l'UA soit de s'occuper de ceux-ci "avec ses propres moyens", le ministre algérien des relations avec le Maghreb et l'Afrique, Abdelkader Messahel, reconnaît que l'Afrique "ne dispose pas des moyens suffisants" pour résoudre des conflits comme celui du Soudan, où des élections sont prévues en 2010 et un référendum au Darfur en 2011, ou celui de la Guinée où le processus de solution du conflit "est en cours".

Le conflit du Sahara Occidental est aussi considéré comme "interne" par l'Union Africaine, avec la différence que dans ce cas seul un des protagonistes, le Front Polisario, est membre de l'organisation panafricaine, alors que le Maroc ne l'est pas. L'Union Africaine attend un engagement plus important de l'Union Européenne pour résoudre ce conflit vieux de 35 ans. La déclaration de l'ambassadeur espagnol à Alger, Gabriel Busquets en affirmant que "l'Espagne soutient les efforts de Nations Unies pour trouver une solution juste, définitive et mutuellement acceptable qui garantit le droit d'autodétermination du peuple sahraoui", a freiné la susceptibilité créée dans l'Union Africaine, le Polisario et l'Algérie en particulier, par l'ambiguïté de la position espagnole, mantenue malgré la déclaration du ministre Miguel Ángel Moratinos affirmant que l'Espagne "n'a pas reconnu la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental" faite pendant la crise provoquée par l'expulsion de l'activiste sahaouie Aminetou Haidar d'El Aaiun et son postérieure admission au territoire.

Deux sujets clefs que le sommet abordera, en présence du Président espagnol, seront l'immigration illégale et la lutte contre le terrorisme.

Pour les deux, un interlocuteur privilégié est l'Algérie, puisque la Plate-forme et le Plan d'Action pour faire face au problème migratoire a été créée dans sa captale . En outre, c'est à Alger où siège le Centre Africain de Recherches et d'Études sur le Terrorisme (CAERT, son sigle en français). Le sommet d'Adis Abeba évaluera aussi le chemin parcouru dans le partenariat entre l'UA et le G-8. La participation du Président Zapatero au sommet africain permettra peut-être renforcer le protagonisme de l'Espagne dans le continent, chaque jour plus soumis aux luttes d'influence entre les grandes puissances traditionnels, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, et les plus récente, la Chine, la Russie, l'Iran et quelques monarchies du Golfe. Source : EL IMPARCIAL, 28 janvier 2010 Traduction : Diaspora Saharaui

http://www.dabio.net/L-Union-Africaine,-allie-strategique...