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28/08/2008

Géopolitique : Les Rothschild et l'apparente opposition entre capitalisme, nazisme et communisme

Les Rothschild conduisent la "Symphonie Rouge" par Henry Makow Ph.D., rédigé le 9 novembre 2003.

Aussi incroyable et bizarre que cela puisse paraître, l'humanité est vraiment victime d'une conspiration diabolique. Les guerres, les dépressions et les génocides du siècle passé n'étaient pas accidentels ou inévitables mais le résultat d'un dessein malveillant.

Géopolitique : France : Vote sur l'Afghanistan fin septembre.

Il faut se mobiliser pour mettre un terme à cette participation à une nouvelle guerre d'agression coloniale au bénéfice des Etats-Unis !

Un débat sur l'engagement militaire en Afghanistan est prévu fin septembre au Parlement. Aucune surprise dans l'annonce gouvernementale dans la mesure où la révision constitutionnelle exige le recours à cette procédure.

"Le Premier Ministre proposera aux présidents des Assemblées que le prochain débat sur l'Afghanistan soit suivi d'un vote, en application du 3e alinéa de l'article 35 de la Constitution issu de la révision votée en juillet dernier", indique le texte.

Le gouvernement avait promis hier jeudi "une déclaration" sur l'Afghanistan suivie d'un débat, dans le cadre de la session extraordinaire du Parlement à partir du 22 septembre.

Ce vendredi matin, l'ancien Premier ministre Edouard Balladur (UMP), le socialiste Jack Lang et le Verts Noël Mamère (Verts) ont demandé que ce débat soit suivi d'un vote sur la présence militaire française dans ce pays.

La loi constitutionnelle, votée le 21 juillet par le Parlement réuni en Congrès et promulguée le 24 juillet, prévoit que le gouvernement doit soumettre à l'autorisation du Parlement la prolongation d'une intervention des forces armées françaises à l'étranger, lorsque la durée de l'intervention excède quatre mois (article 35 de la Constitution).

 Source : http://www.toutsaufsarkozy.com/cc/article02/EkEAuuuulyLtz...

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Géopolitique : BH Lévy, le petit Goebbels Usraélien payé par "Le Monde".

Contrairement à ce qu'il a écrit dans Le Monde, le philosophe n'a pu se rendre dans la ville de Gori. Ce n'est pas la seule affabulation.

Qu'on l'apprécie ou non, il faut reconnaître que Bernard-Henri Lévy, qui s'est rendu, très briévement, la semaine dernière en Géorgie, ne manque pas d'air, ni de convictions Usraéliennes. Mais BHL n'est pas un journaliste, c'est un propagantiste et le récit qu'il a rapporté pour Le Monde , titré « Choses vues dans la Géorgie en guerre », est à prendre avec des pincettes à ordures. Ainsi, lorsque BHL déclare qu'il est arrivé à Gori mercredi 13 août et qu'il a vu une ville « brûlée », il affabule. Il n'a pas réussi à entrer dans la ville.
 
 

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Géopolitique : La guerre en Afghanistan a-t-elle encore un sens ?

La mort de dix soldats français, mardi, relance le débat sur ce conflit qui dure depuis sept ans.
 
Afghanistan : Le Prix de l'alignement
Un communiqué de Nicolas Dupont-Aignan, député DLR, gaulliste et républicain - 19 août 2008
 
L’annonce de la mort des 10 soldats français en Afghanistan me peine profondément et m'indigne. Je pense à ces jeunes vies sacrifiées pour mener une guerre qui n'est pas la nôtre et qui de surcroît est conduite en dépit du bon sens.
Souvenons-nous, à l’époque du renforcement des effectifs français, et surtout de leur redéploiement dans les zones à risque, le Président de la République nous avait promis que cet effort national permettrait d'obtenir des Etats-Unis un changement de stratégie militaire sur le terrain. En vérité, il n'en a rien été.
Autant en 2001, la présence française était légitime pour chasser les Talibans du pouvoir, autant aujourd’hui il est contre-productif de conforter une politique américaine qui ne fait que nourrir le retour des Talibans.
Voilà ce qui malheureusement arrive quand on veut plaire, voire complaire, aux Etats-Unis de Georges Bush.
Combien de morts faudra-t-il pour que le Président Sarkozy et son gouvernement ouvrent les yeux sur cette politique qui engage nos troupes dans un bourbier, dans une impasse ?
Lorsque j’ai voté la motion de censure, certains ne l'avaient pas compris.
J’avais osé le faire, car pour la première fois, l'engagement de troupes supplémentaires en Afghanistan, tout comme la réintégration complète de la France dans l'OTAN, était contraire à la politique d’indépendance nationale, voulue et restaurée par le Général de Gaulle à partir de 1958.
Une politique digne qui n’engageait la vie de nos soldats que lorsque notre intérêt national était en jeu.
Aujourd'hui, le choix est simple : soit les Etats-Unis revoient leur politique en Afghanistan et nous pouvons alors maintenir nos troupes, soit ils poursuivent dans l'impasse et nous devons au plus vite redéployer nos soldats sur le terrain ou même les rapatrier.
Le Président de la République osera-t-il prendre ses responsabilités pour défendre l'intérêt de la France ou persistera-t-il à privilégier l'idéologie d'alignement sur les Etats-Unis, quel qu'en soit le coût politique et humain ?
 

00:15 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, L'OTAN | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

23/08/2008

Géopolitique : George W. Bush sous tutelle des généraux US ?

George W. Bush « délègue » son autorité en matière de renseignement

Le président George W. Bush a signé un décret présidentiel, préparé à l'insu du Congrès, élargissant considérablement les pouvoirs du Directeur national du renseignement.

Créée en avril 2005, cette fonction vise à coordonner les 16 principales agences de renseignement états-uniennes. Pour ce faire, le directeur national ne disposait que d'un pouvoir d'arbitrage en qualité de président d'un conseil rassemblant les directeurs de chaque agence. Désormais, le directeur national sera un véritable commandant-en-chef et ses décisions s'imposeront à chaque agence, civile ou militaire.

Dans la pratique, cela signifie que le président des États-Unis vient de déléguer tous ses pouvoirs en matière de renseignement à l'amiral Mike McConnell, alors que celui-ci est un des principaux officiers à avoir conduit une mutinerie contre son autorité. Opposé à une guerre contre l’Iran, McConnell n'avait pas hésité à publier une synthèse des agences de renseignement affirmant que l'accusation formulée par le président Bush contre le programme nucléaire iranien est sans fondement.

Il est plus que jamais évident que, pour les derniers mois du second mandat, George W. Bush a été privé de ses principales prérogatives et se trouve placé sous la surveillance de ses principaux officiers supérieurs.

Source : http://www.voltairenet.org/article157849.html