Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/04/2019

Livre : Monast Serge - Le gouvernement mondial de l'antéchrist

Monast Serge - Le gouvernement mondial de l'antéchrist

 

           

Auteur : Monast Serge
Ouvrage : Le gouvernement mondial de l'antéchrist
Année : 1994

Pour télécharger le livre : http://echodesmontagnes.hautetfort.com/media/02/02/395039...

 

Introduction. Ce volume est le résultat, l’aboutissement devrais-je plutôt dire, d’une quinzaine d’années d’investigation dans l’univers des Illuminatis, du Gouvernement Mondial des Nations Unies, de la Conspiration Universelle de l’Âge du Verseau, et des milieux Politiques, Économiques, Militaires et Médicaux internationaux.

Les investigations, les compilations de documents et la rédaction du présent ouvrage eurent conduites d’une manière rigoureusement scientifique afin de constituer un rapport d’enquête journalistique. Ce volume n’est donc pas une conception religieuse ou spirituelle des événements passés, présents et futurs, car je ne suis pas un religieux ; ni non plus une thèse quelconque rédigée dans le brut de défendre une certaine idéologie ; et encore moins un traité prétendant avoir analysé un sujet donné d’une manière exhaustive. Ce volume, au contraire, est le détaillé suivi d’une enquête ne s’appuyant que sur les faits, que sur la réalité de diverses situations historiques et présentes. Par conséquent, les faits spirituels ou religieux qui s’en dégagent, ne sont nullement volontaires, mais plutôt le fruit, la conséquence directe, mais évidente de l’analyse et de la synthèse de tous les documents examinés.

Et en ce sens, la question fondamentale qui fut le point de départ de tout ce travail, fut : « C’est quoi au juste, le Gouvernement Mondial de l’Antéchrist », « La Conspiration Universelle de l’Âge du Verseau » ?

 

Au-delà des prodiges dus à l’usage d’une technologie qui mariera — comme c’est le cas actuellement — la matière au spirituel le plus abaissé depuis le début de l’humanité ; bien en deçà de la dictature qui sera imposée de force à l’humanité avec tout son attirail de « Police Multinationale » et de « Camps de Concentration-Rééducation » à perte d’horizon sur toute l’étendue de la planète ; c’est avant tout — il faut bien tôt ou tard finir par se l’admettre sans emprunt et sans masque — l’aboutissement brutal et irrévocable d’une « Condition Intérieure » historique préparée, et en route depuis plusieurs siècles. En premier lieu, ce fut l’humanité qui, en révolte contre Dieu, tenta de se construire son propre pouvoir.

Ainsi la création plus que sanglante des « Droits de l’Homme » en fut, et l’aboutissement suprême, et l’une des prémices les plus indiscutables de la descente vertigineuse de l’homme vers le XXe siècle. Puis, après, ce fut l’humanité se voulant exister sans Dieu en tentant de se créer un monde nouveau, dépourvu de toute présence divine. L’avènement du règne de la « Raison », et sa manifestation dans le « Siècle des Lumières » demeureront les preuves les plus révélatrices de la glorification de l’homme pour l’Homme !

Enfin, aujourd’hui en cette fin de XXe siècle, c’est l’humanité se voulant elle-même Dieu, la source incontestable de toutes choses. Le simple individu, de nos jours, qu’il soit religieux ou non, prêtre ou laïque, croyant ou incroyant, a non seulement tout intellectualisé, y compris l’amour, mais encore, et surtout, il s’est totalement débarrassé de toute humilité, et a fini par nier toute condition de souffrance...

Ce fut ainsi la création des sociétés de loisirs par et pour l’homme ; l’émergence d’une nouvelle Église Chrétienne, mais basée uniquement sur le rejet de la souffrance, et sur la glorification humaine de ses membres ; et l’imposition intérieure et extérieure générale, d’une manière de penser et de ressentir implacablement scientifique, nouvelle manière d’être et de paraître de celui qui se veut maintenant et avant tout, « l’Homme-dieu » !

Qu’on le regarde sous quelque facette que ce soit, et surtout malgré et envers toutes les apparences extérieures, le pouvoir, le sens même de l’Antéchrist est d’abord et avant tout « Religieux », « Spirituel ».

L’Antéchrist, somme suprême, d’une époque à l’autre, de toutes les fuites en avant de l’homme vers l’orgueil et la satisfaction volontaire de tous les appétits de sa nature humaine au détriment de l’esprit de sacrifice envers son Créateur, est ici, le reflet évident de la volonté intérieure des peuples pour leur déification. En d’autres mots, il est celui qui arrive pendant que l’Autre quitte ; il est le « désiré » des peuples et des Nations tandis que l’Autre, le Dieu des Chrétiens, Celui de la Rédemption, en est l’ultime « Rejeté » !

C’est le début de la « Passion », le « Temps des Temps de la Semaine Sainte » pour toute l’humanité ! Pour les non croyants, ce Temps sera perçu comme étant celui du nouvel esclavage car sous les pas de l’Antéchrist, tout sera nivelé, les Nations et les peuples, des plus puissants aux plus démunis. Mais pour le tout petit nombre au milieu de la « Nuit des Nuits », ce sera le Temps de la « Nouvelle Église », celle du Silence, celle des Martyrs, celle des Catacombes !

Pour tous ceux qui liront ce volume, et pour tous les autres qui ne veulent pas savoir, pour qui le « Nouvel Ordre Mondial » des Nations Unies placé sous la gouverne de l’Antéchrist est enfui la naissance d’une « Nouvelle Ère » pour l’humanité se débarrassant enfin de ses chaînes du passé, le problème dans très peu de temps ne sera pas de croire ou de ne pas croire en un seul Dieu, niais bien plutôt de savoir s’il est encore possible de croire, uniquement de croire ! Car ce qui ne fut un jour réservé qu’aux Saints et aux favorisés, les nuits de l’âme sans limites seront alors le lot de tous, des plus grands aux plus petits. Et sur toute l’étendue desséchée de la plaine, là où l’on avait élevé avec grand éclat le « Château », « l’Or » et la « Gloire », il n’y avait plus que solitude extrême et lamentations stridentes qui perçaient sans cesse la nuit ténébreuse. Serge Monast Le 4 Janvier 1994. ...

 

 

Les commentaires sont fermés.