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Le Salon Beige a décidé, après un grand débat au sein du comité de rédaction, de se joindre à tous ceux qui appellent à résister à l’extrême-droite, contre le retour aux heures les plus sombres de notre histoire. Voyez plutôt :
Allez DEBOUT les Français, faisons BARRAGE à MACRON et aux BANKTERS apatrides, de la MAFIA KHAZARE des ROTHSCHILD !
FAISONS HONNEUR A LA FRANCE EN LEUR FAISANT UNE BELLE QUENELLE, dimanche prochain en virant tous ces apatrides, adeptes de la Secte Judéo-maçonnique qui détruisent la France depuis près de 300 ans et 27 pays européens dans l'objectif de nous mener à la guerre et à la ruine, sur lesquelles, ils pourront encore s'enrichir !
SOYONS EN EXEMPLE POUR PERMETTRE AUX 27 PAYS EUROPÉENS DE SE LIBÉRER DU NAZISME DES BANKSTERS !
Rappel d'une autre '' croisée des chemins''
En souvenir de Charles de Gaulle, Jeanne Hachette, Charles Martel, Sainte Geneviève, Jeanne d'arc... Et tant d'autres...
Ces phrases ne font pas partie de l'Appel du 18 juin 1940 lancé depuis Londres par le général de Gaulle, mais elles en résument le sens.
Après les défaites françaises sur la Somme et l'évacuation de la capitale, le commandant en chef français Weygand demande l'armistice le 13 juin 1940, appuyé par le maréchal Pétain. Le 15 juin à Bordeaux, où les dignitaires se sont réfugiés, le président du conseil Paul Reynaud propose au contraire la capitulation de l'armée mais le repli du gouvernement hors de métropole pour continuer le combat auprès de l'Angleterre. Devant le refus des défaitistes, Reynaud démissionne dans la soirée du 16 juin, et il est immédiatement remplacé par le maréchal Pétain, qui fera signer l'armistice à Rethondes le 22 juin 1940, dans l'ancien wagon du Maréchal Foch utilisé lors de la signature de l'armistice du 11 novembre 1918.
Sous-secrétaire d'état à la défense nationale, le général de brigade à titre temporaire Charles de Gaulle décide de continuer la lutte et s'envole pour Londres le 17 juin. Le jour-même, il rencontre au 10 Downing Street le premier ministre britannique Winston Churchill, qui lui offre les micros de la BBC pour secouer le peuple français.
Le premier message est lancé le lendemain 18 juin 1940 à 22 heures dans le studio 4C de la BBC, à Oxford Circus. Après l'ouverture de l'antenne par le speaker français Maurice Thierry ("Ici Londres, la BBC parle à la France"), le général de Gaulle prononce le discours suivant :
"Les chefs qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des armées françaises ont formé un gouvernement. Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des États-Unis.
Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain comme aujourd'hui, je parlerai à la radio de Londres".
Les deux premières phrases du discours ont été coupées à l'antenne et remplacées par celles-ci, jugées plus consensuelles par les Anglais :
"Le gouvernement français a demandé à l'ennemi à quelles conditions pourrait cesser le combat. Il a déclaré que, si ces conditions étaient contraires à l'honneur, la lutte devrait continuer."
Comme on le voit, la célèbre citation mise en exergue ici n'a pas été prononcée dans l'Appel du 18 juin, ni dans ceux qui suivront les jours suivants. Elle est en fait issue d'une affiche qui sera placardée fin juillet sur les murs de Londres et dont voici un fac-simile :
Il faut souligner que le général de Gaulle se serait inspiré d'un discours du ministre de l'information britannique Duff Cooper prononcé le 28 mai 1940 et publié dans le Times du lendemain :
"Even if the Allies lost this battle, we should not have lost the war" ("même si les Alliés ont perdu cette bataille, nous n'avons pas perdu la guerre").
La Chambre des représentants a proposé, dans la nuit de mercredi, une mesure qui remettrait au vendredi 5 mai l’échéance pour adopter une nouvelle loi budgétaire. Elle doit encore être votée par les deux chambres du Congrès.
Le gouvernement américain pourrait-il s’arrêter ce week-end ?
Cette année, par un étrange hasard du calendrier, la possible cessation des activités du gouvernement tombe pour les cent jours de la présidence de Donald Trump, le 29 avril. Alors que les élus des deux chambres du Congrès sont de retour après deux semaines de congé, ils doivent maintenant s’accorder à rédiger, avant samedi, un projet de loi budgétaire qui convienne aux républicains comme aux démocrates.
Qu’est-ce qu’un «shutdown» (arrêt) du gouvernement ?
Aussi étonnant que cela puisse paraître, la constitution américaine prévoit la possibilité d’un arrêt du gouvernement. L’arrêt des activités du gouvernement se traduit par l’obligation faite à plusieurs centaines de milliers d’employés fédéraux, considérés comme «non essentiels», à rester chez eux. Une inactivité temporaire qui suspend le versement des salaires. L’arrêt est déclenché lorsque élus démocrates et républicains au Congrès ne parviennent pas à convenir d’une proposition de budget, ou encore lorsque la Maison Blanche n’accepte pas leur proposition de budget.
«Quand les agences fédérales et les programmes manquent de fonds appropriés, ils doivent cesser leurs opérations, sauf en cas de situation d’urgence, selon la loi Antideficiency», décrit un rapport du Congrès sur le sujet. La cessation des activités du gouvernement se poursuit aussi longtemps qu’un accord n’est pas trouvé. Mais certaines, considérées comme vitales, à l’instar des fonctions militaires, du contrôle aérien, de la sécurité aux frontières, sont épargnées par un «shutdown». En revanche, les démarches telles que la délivrance de passeport ou de prêts bancaires d’Etat sont suspendues. Les musées et parcs nationaux fermés. Au total, quelque 800 000 employés du gouvernement, sur un total de plus de 5,3 millions, pourraient se retrouver en congé forcé. Mais les élus du Congrès, comme le Président, continuent, eux, d’être payés.
Cela pourrait-il arriver samedi ?
Les démocrates se trouvent en position de force : le camp adverse a besoin d’une majorité qualifiée de 60 voix pour voter le projet de loi de dépenses, or ils n’ont que 52 sièges au Sénat. Pour ne pas devoir porter la responsabilité d’un «shutdown», les républicains et la Maison Blanche ont fait des concessions aux démocrates depuis le début de semaine.
Alors que Trump avait d’abord menacé de ne plus payer les subventions de l’Obamacare si les démocrates refusaient de financer la construction du mur à la frontière entre les Etats-Unis et le Mexique, la Maison Blanche s’est rétractée mercredi matin. Les élus républicains du Congrès avaient, de toute façon, dès le début de semaine, balayé la possibilité d’inclure le financement du mur dans cette loi de dépenses. Tandis qu’ils sont déjà fragilisés dans leurs circonscriptions par le bilan mitigé des cent premiers jours de Trump, les républicains veulent à tout prix éviter un arrêt du gouvernement. Dans la nuit de mercredi, la Chambre des représentants a, pour cela, proposé un projet de loi budgétaire temporaire qui repousserait l’échéance du «shutdown» au 5 mai. Elle doit encore être votée par les deux chambres du Congrès, ce qui a beaucoup de chances d’arriver.
Un accord n’est pourtant pas assuré. Des points de litige persistent. Les démocrates refusent notamment de signer des «dispositions» (appelées «riders» aux Etats-Unis), ajoutées par les républicains à cette loi de finances pour les faire passer discrètement. Une première disposition qui restreint l’accès à l’avortement via l’assurance santé Obamacare et une autre qui supprime les réformes de Wall Street passées sous Obama après la crise financière de 2008.
Cela s’est-il déjà produit ?
La dernière fois qu’un «shutdown» du gouvernement a eu lieu en octobre 2013, quand les républicains ont bloqué l’adoption d’un nouveau budget pour que la réforme de l’Obamacare ne soit pas appliquée. Après quinze jours de négociations, les deux camps se sont entendus pour sortir de cette crise politique qui a coûté 2 à 6 milliards de dollars au pays, rien qu’en productivité perdue, selon un rapport de la Maison Blanche. Le précédent «shutdown» et le plus long avait duré vingt et un jours, du 16 décembre 1995 au 6 janvier 1996. Les désaccords entre républicains et démocrates portaient sur le montant des dépenses publiques, que les premiers voulaient diminuer. Pour faire pression sur le président Clinton, les républicains avaient alors menacé les Etats-Unis de faire défaut sur leur dette publique. Bill Clinton était finalement sorti plus populaire de ce blocus, l’opinion tenant les élus républicains pour responsables.
À l’issue du décompte de 50 % des bulletins de vote, Marine Le Pen recueille 24,10 % des suffrages exprimés, suivie d’Emmanuel Macron (22,44 %), indiquent les données du ministère français de l’Intérieur.
Après le dépouillement de 50 % des bulletins de vote, c’est la candidate du Front national, Marine Le Pen, qui mène la course avec 24,10 % des suffrages exprimés, indique le ministère français de l’Intérieur.
Emmanuel Macron se classe deuxième, crédité de 22,44 % des voix.
François Fillon figure en troisième position avec 19,57 % des votes, suivi de Jean-Luc Mélenchon (18,28 %).
« En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi.» Franklin D. Roosevelt, président des Etats Unis de 1932 à 1945.
Vous avez certainement déjà presque tous senti en vous-mêmes que le résultat du premier tour de la présidentielle est absolument impossible.
Je viens de comprendre comment ils ont fait. Je vous livre l’idée à chaud, à vous de creuser. Le con pédé traître incompétent macron de rothschild qui faisait des meetings dans des salles quasiment vides ne pouvait pas arriver premier. C’était impossible. Il incarne tout ce que les français ne supportent plus. C’est sa politique, son gouvernement et son bilan monstrueux, qui provoquent un dégoût quasi-total. Le vote sanction aurait dû être phénoménal, et d’ailleurs il l’a été. Tout a été fait pour. C’est justement ça le problème et le coup de génie.
Depuis peu, le vote nul est comptabilisé, mais sans influence, soi-disant.
Je pense qu’il y a eu falsification du résultat par transfert de presque tous les votes nuls vers le compte de macron.
Donc ça ne change rien aux chiffres de la participation. La fraude principale n’est pas là, quoique beaucoup d’exemples semblent très crédibles.
Regardez surtout ce commentaire en bas. Je souligne ce qui a fait tilt dans ma tête :
Ularius vendredi 28 avril 2017 à 10 h 29 min
Bonjour à toutes,tous, Dimanche devant l’ordi pour regarder les résultats, sur les sites de la Presse Quotidienne Régionale, on avait le dépouillement en direct au fur et à mesure qu’arrivaient les résultats des communes, la Voix du nord impossible de consulter le dépouillement en direct une bonne partie de la soirée, idem pour Ouest france. Sur le site de Sud Ouest à 20H40 sur 6 régions, à moitié du dépouillement on avait : 1MLP (25% environ), 2JLM (23%),3 Jean Lassalle(17%), 4Hamon(6%), NDA, Poutou, Asselineau, Cheminade autour de 5%, et Fillon , Macron, Arthaud tous autour de 2% !!!! Oui stupéfiant ! après le site a été bloqué.
Avec un peu de recul, je pense que la mayonnaise Macron n’avait pas pris et que Fillon était englué dans les affaires alors ils ont joué les sondages à fond pour les sauver (remarquez comment la sondagerie devient une science exacte avec ces élections) et ensuite au cours de la soirée ce sont les résultats du ministère de l’intérieur qu’ils ont modifiés pour qu’ils soient en correspondance avec les sondages. (à noter que dans deux arrondissements de Lyon mon colomb, le nombre de bulletins blancs s’élèvent à zéro !!! sur plusieurs milliers de votants !!! )
2% pour macron, qui d’un coup deviennent 24%…
Je crois que les résultats ont été falsifiés par le gouvernement, qui nous ment constamment sur les chiffres du chômage, de la sécu, de l’immigration, qui exige la destruction des enregistrements des caméras de surveillance du massacre de Nice…
La perte de confiance et le discrédit étant tellement total que je n’ai même plus à apporter de preuve. Le bon sens mélangé à l’intime conviction suffisent.
Je crois qu’une partie des voix de chaque candidat a été détournée. Pas beaucoup, peut être 0,5% pour rester crédible, dans les « erreurs de comptage », mais sur 10 candidats, ça fait beaucoup à la fin.
Je crois que les « petits candidats » qui n’ont pas assez de troupes pour vérifier partout, se sont fait voler beaucoup plus de voix.
… mais je crois surtout que des millions de voix ont été détournées de là où elles n’éveillent pas de soupçons, là où elles n’appartiennent à personne, là où personne ne va les réclamer, en revendiquer la propriété : les votes nuls, les millions de votes de rejet du système électoral.
Voilà à quoi servait la nouvelle loi pour comptabiliser et rassembler les votes nuls et les votes de sanction qui augmentent à chaque élection. Fabriquer un réservoir de millions de voix de rattrapage en cas d’échec à une élection. Plus le peuple est mécontent et plus le vote de rejet grossit. C’est brillant. Il suffit d’une magouille informatique sur deux lignes avant de publier les résultats.
Voilà pourquoi ils semblent faire tout pour nous mettre la rage par leurs incompétences, leurs injustices, leurs crimes, leur impunité, leurs trahisons…
C’est pour grossir considérablement la réserve de voix falsifiables sans risquer qu’un candidat puisse remarquer qu’il lui manque des voix.
Le candidat du gouvernement qui ne faisait que 2% s’est retrouvé d’un coup avec 10 fois plus.
Un vote de "BARRAGE" contre MACRON, les criminels et les Banksters de la Mafia Khazare de ROTHSCHILD, en attendant François Asselineau pour mettre en oeuvre le FREXIT !
Nicolas Dupont-Aignan :Tous les français, d'où qu'ils viennent, vont se rassembler pour sauver la France !
Après l’annonce du soutien de Nicolas-Dupont-Aignan (Debout la France) à Marine Le Pen (Front national) vendredi 28 avril 2017, les deux représentants du patriotisme français ont fait une déclaration commune ce samedi 29 avril 2017 lors d’une conférence de presse.
Nicolas Dupont-Aignan fera le discours d’ouverture du meeting de Marine Le Pen lundi 1er mai 2017.