Pour comprendre pourquoi les Francs-maçons défilaient à la grande marche de l'imposture qui savait qu'il y avait une réunion le mercredi et qui pouvait donner des infos à partir de l'intérieur de Charl/Israël Hebdo ?
Revue le Lys Noir distribuée par mail du 12 janvier 2015, que vous pourrez télécharger ICI et notamment le fichier intitulé, Hommage à notre compatriote ICI.
Rappel de l'article précédent :
*- Franc-maçonnerie : Le Gouvernement secret français est sorti de l'ombre pour sa marche dite "Républicaine" !
Hommage à notre compatriote Frédéric Boisseau
A la suite du carnage, chaque communauté a pu rendre enfin hommage à ses morts."Les juifs ont été fortement touchés, mais les gauchistes et les franc-maçons aussi. Quant à nous, par bonheur, nous ne déplorons qu'une seule victime : notre compatriote Frédéric Boisseau, agent d'entretien...
Hommage à notre compatriote Frédéric Boisseau
17 morts... mais une seule victime chez les «Français d’entre-soi»...
L a société multi-culturelle est ainsi faite à Paris qu’il n’y a pratiquement aucun «français de base» dans les victimes... Aucun personnage de la famille Bélier n’est là.
Evidemment, Jean Cabut, Bernard Verlhac dit «Tignous», Philippe Honoré, dit «Honoré», et Stéphane Charbonnier, alias Charb,sont tous les quatre des «français de souche»,mais ce sont aussi des membres du haut-clergé libertaire gauchisant.
Wolinski est d’origine juive comme les quatre malheureuse victimes civiles de l’hyper Casher et comme Elsa Cayat, psychanalyste et chroniqueuse à Charlie-Hebdo.
Il y a aussi des nord-africains comme Mustapha Ourrad, le correcteur du journal, et comme Ahmed Merabet, 42 ans, héroïque policier qui appartenait à la brigade VTT du commissariat central du 11ème arrondissement de Paris... Mais aussi une antillaise, Clarissa Jean-Philippe, la fliquette municipale abattue dans le dos par Coulibaly.
Il y avait également deux franc-maçons :
Bernard Maris, chroniqueur caché sous le pseudonyme d'Oncle Bernard, économiste de formation, Conseiller général de la Banque de France, classé à gauche, ancien membre du conseil scientifique d'Attac, membre de la Loge Roger Leray avec Jean-Luc Mélenchon (Parti de gauche), Bernard Pignerol (conseiller d’Etat, PS) et Jean-Paul Escande (professeur de médecine, polémiste, vulgarisateur).
L’autre Franc-maçon est Michel Renaud, ancien journaliste, ancien dircom de la mairie de Clermont-Ferrand. Il était de passage à la rédaction de Charlie Hebdo, selon le quotidien La Montagne et France Bleu. Fondateur de la biennale du Carnet de voyage dans cette localité, Michel Renaud était venu voir Cabu afin de lui remettre des dessins prêtés lors de la dernière édition de la biennale. Il avait été ainsi invité à participer à la conférence de rédaction de Charlie Hebdo, un journal dont il était friand...
Quant au brigadier Franck Brinsolaro, fils d’immigrés italiens communistes, il était affecté depuis plusieurs années au service de protection des hautes personnalités, dans le service de la protection (SDLP, ex-SPHP), l‘aristocratie de la police Nationale où n’entrent pratiquement aucun français de souche susceptibles de péter les plombs ou simplement de «donner une mauvaise image de la profession».
Brinsolaro assurait la protection de Charb avec lequel il avait fini par se lier fortement d’amitié. Brinsolaro avait été auparavant garde du corps du juge antiterroriste gauchiste Marc Trévidic. Puis de Joël Mergui, le président du Consistoire central israélite de Paris. Pour mener ces missions délicates, Brinsolaro, époux d’une journaliste locale de gauche en Seine-maritime, avait été choisi pour son tact et sa totale absence d’idées nationales qui auraient pu, sinon, gêner son rapport avec des personnalités de l’oligarchie !
En vérité, le seul français de base est naturellement la victime dont on parle le moins!
Il s’agit de l’agent d'entretien Frédéric Boisseau, 42 ans, qui était employé de Sodexo depuis quinze ans. Agent de maintenance, Frédéric se trouvait à l'accueil de l'immeuble au moment de l'attaque.
Première victime, notre compatriote Frédéric Boisseau était aussi le plus pauvre des 17 ! morts laissés derrière eux par les terroristes de la katiba Kouachi...
Marié et père de deux enfants de 11 et 13 ans, Frédéric Boisseau était originaire de la Brie, en Seine-et-Marne.!
Natif de Recloses et habitant de Villiers-sous-Grez, ce rural des environs de Paris était comme tous les Français...
C’est à dire qu’il pouvait se poser la question de sa chance d’être né ici. Frédéric Boisseau se rendait à Charlie Hebdo pour la première fois, lorsqu’il a été abattu.
Frédéric Boisseau n’a pas eu de chance... Au milieu de cette hystérie vengeresse des terroristes musulmans contre leur société métissée d’origine, Frédéric n’avait rien à faire :!ce n‘était pas sa guerre.
Cependant, Frédéric Boisseau était un membre très actif et apprécié au club de Krav-Maga de l’Entente Sportive de la Forêt, à La Chapelle-la-Reine, dont il était l’un des piliers.
Frédéric Boisseau votait Front National et ne s’en cachait pas au sein de son club...Frédéric Boisseau était une force de la nature, 1m80 pour presque 110 kg. Un physique de rugbymen. «Très assidu avec ça. Un exemple pour tous, un plaisir pour un professeur comme moi» confiait, ces jours-ci, son professeur de Krav-Maga Philippe Hubert.
Notre compatriote Frédéric était ceinture verte, à trois marches de la ceinture noire. «Il y a quelques années, il m’avait remercié pour mon enseignement du krav-maga. Il m’expliquait que grâce à ses compétences en auto-défense, il avait pu se défendre face à deux individus qui étaient venu piller son camion d’entretien», poursuit le maitre d’art martial.
Lors de cette confrontation avec deux racailles de banlieue, Frédéric avait réussi à en mettre un en fuite, et à attraper l’autre pour le remettre aux forces de l’ordre... Frédéric était notoirement un brave homme. Tout le monde en témoigne dans son village...Frédéric Boisseau est d’ailleurs tellement «français de base» et «entre-soi français», que son nom a souvent été oublié de la liste récitée de toutes les victimes... Aussi, c’est à sa famille qu’une simple conseillère du président Hollande a téléphoné en dernier parce que la veuve s’était plainte dans la presse locale en déclarant pudiquement : «nous nous sentions démunis...
Nous ne comprenions pas pourquoi, depuis mercredi, nous n'avions pas de nouvelle de l'Etat. Nous avons besoin d'un soutien psychologique. C'est très dur de faire face... »...
Finalement, pour éviter un couac, Frédéric Boisseau sera fait chevalier de la Légion d’Honneur sur son cercueil et les frais de ses obsèques seront assurés par l’Etat...
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