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07/10/2014

Twitter porte plainte contre le gouvernement américain sur ses demandes de données

Le pays le plus criminel et terroriste au monde qui crée des attentats sous fausses bannières, qui fabrique, forme et finance tous les groupements terroristes au monde pour en faire supporter la responsabilité, principalement aux pays arabes,  qui se permet de demander les données personnelles à Twitter comme il l'a déjà fait avec plusieurs groupes de l'internet comme Facebook, Google, Microsoft, Apple, AOL, Skype ou Yahoo qui ont  dû fournir des données au gouvernement dans le cadre du programme Prism de la NSA, qui permet d'intercepter les communications électroniques pour fliquer tout le monde au nom sans doute de leur sécurité nationale ! 

Comme vous l'aurez compris il faut qu'ils identifient les lanceurs d'alerte, les militants et les  résistants à leur empire, à leurs mensonges et à leur hégémonie mondiale pour ensuite les faire condamner comme étant des terroristes qui pourraient nuire à leur soi-disant, sécurité nationale !

Ah, si cela avait été la Russie, la Chine ou un pays arabe qui s'était permis de réclamer toutes ces données, nous les aurions entendus crier aux crimes, à la dictature et aux dictateurs  !  !

 

Twitter porte plainte contre le gouvernement américain sur ses demandes de données

Publié le 07.10.2014, 22h30

 

Twitter porte plainte contre le gouvernement américain, qu'il accuse de violer la liberté d'expression

Twitter porte plainte contre le gouvernement américain, qu'il accuse de violer la liberté d'expression | Fred Tanneau


   

Twitter a porté plainte mardi contre le américain, qu'il accuse de violer la liberté d'expression en refusant que le réseau social publie des chiffres précis sur les demandes de données formulées par le FBI ou le département de la .


"Nous sommes tenus, au nom du Premier amendement (de la Constitution sur la liberté d'expression, ndlr), de répondre aux inquiétudes de nos utilisateurs et aux déclarations des responsables du gouvernement en fournissant des informations sur l'étendue de la surveillance par le gouvernement américain", a expliqué le vice- de Twitter, Benjamin Lee, dans un billet.


"On devrait être libres de (fournir ces informations, ndlr) de manière sensée, plutôt que dans une fourchette large et inexacte", soutient-il.

Le département de la Justice et le FBI refusent que Twitter publie dans son "rapport de transparence" des chiffres précis sur leurs demandes de données.

Un accord conclu avec cinq grands groupes de l'internet (mais pas Twitter) n'autorise ces derniers qu'à chiffrer ces demandes dans des fourchettes allant de 0 à 999 ou de 1.000 à 1.999.

"Nous avons essayé d'atteindre le niveau de transparence que nos utilisateurs méritent sans avoir recours aux tribunaux mais sans succès", a estimé M. Lee.

"En avril, nous avons soumis un additif à notre rapport de transparence au département de la Justice et au FBI, qui aurait apporté davantage de transparence. Mais après des mois de discussions, nous ne sommes pas parvenus à les convaincre de nous autoriser à publier une version, même censurée, du rapport", a rapporté le dirigeant de Twitter.

Twitter accuse le département de la Justice et le FBI de l'empêcher d'inclure dans son rapport des chiffres précis sur les lettres du FBI réclamant, au nom de la sécurité nationale, des données de ses utilisateurs, ou sur les ordonnances du tribunal secret Fisc (Foreign Intelligence Surveillance Court).
Twitter juge que ces clauses de confidentialité sont inconstitutionnelles parce qu'elles "violent le droit de Twitter à parler de vrais sujets d'intérêt général".

Une porte-parole du département de la Justice Emily Pierce a rappelé que les autorités s'en tenaient à l'accord conclu en janvier avec cinq sociétés. Les parties "ont travaillé ensemble pour permettre aux groupes technologiques de fournir de larges informations sur les demandes du gouvernement, tout en protégeant la sécurité nationale", a-t-elle affirmé.

L'association de défense des libertés Aclu (American Civil Liberties Union) s'est félicité que Twitter "défie cet enchevêtrement de règles secrètes et d'injonctions". Son directeur juridique adjoint Jameel Jaffer a ajouté espérer que "d'autres groupes technologiques suivent désormais" le réseau social.

Un ancien consultant de l'agence américaine de renseignement NSA, Edward Snowden, a révélé depuis juin 2013 l'étendue de la surveillance menée par les Etats-Unis à travers le monde.

Plusieurs groupes de l'internet comme Facebook, Google, Microsoft, Apple, AOL, Skype ou Yahoo! ont ainsi dû fournir des données au gouvernement dans le cadre du programme Prism de la NSA, qui permet d'intercepter les communications électroniques.

http://www.rtbf.be/info/medias/detail_twitter-porte-plainte-contre-le-gouvernement-americain-sur-ses-demandes-de-donnees?id=8372892

 

Avis de tempête en Iran

« Sous nos yeux »

Avis de tempête en Iran

 

Les initiatives du nouveau président iranien, cheikh Hassan Rohani, se sont largement écartées de la ligne anti-impérialiste de l’imam Khomeiny. Il semble que le Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, qui avait favorisé l’élection de Rohani, ait décidé aujourd’hui de saboter l’accord qu’il a secrètement négocié avec les États-Unis et l’Union européenne. Washington ne l’entend pas de cette oreille et prépare son « plan B ».

 

| Téhéran (Iran) | 7 octobre 2014

 

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Pour Ali Shariati, le penseur de la Révolution iranienne, tout musulman se doit d’être révolutionnaire et tout authentique révolutionnaire doit être considéré comme musulman, quelque soit sa religion. Dès lors, l’appellation « République islamique d’Iran » peut être comprise comme « République révolutionnaire d’Iran » ; une interprétation contre laquelle lutte le représentant de la faction pro-US du clergé chiite, cheikh Hassan Rohani.

Le projet de cheikh Hassan Rohani

Depuis la Révolution khomeiniste, l’Iran soutient tous les mouvements anti-impérialistes du Proche-Orient, quelle que soit la religion de leurs membres. Cependant, cette politique a été vivement contestée par la « Révolution verte » de 2009. À l’époque, le candidat « moderniste », Mirhossein Moussaoui, déclarait durant sa campagne électorale que, tout en saluant la Résistance du Hamas et du Hezbollah, ce n’était pas aux Iraniens de payer pour leur armement, ni pour la reconstruction de la Palestine et du Liban. Une fois élu, en 2013, le nouveau président cheikh Hassan Rohani intriguait les commentateurs en brandissant une clé et en laissant entendre qu’il mettrait le Trésor iranien au service de son peuple plutôt que de le consacrer à financer de hasardeux mouvements de Résistance dont certains ne sont pas même chiites. Toutefois, le peuple iranien n’accordait que peu d’importance à cette polémique, qu’il considérait à tort comme de la politique politicienne.

Lors de son élection, cheikh Rohani soulevait un vaste espoir dans son pays, les électeurs étant persuadés qu’il parviendrait à un accord avec les États-Unis et l’Union européenne qui mettrait fin aux « sanctions » et améliorerait leur pouvoir d’achat. Aujourd’hui, l’Iran a retrouvé la possibilité de vendre son pétrole sur le marché international et dispose donc de devises étrangères. La monnaie nationale, le rial, est désormais stabilisée.

On en arrive maintenant au dénouement : cheikh Rohani a négocié en secret un accord avec Washington et Bruxelles qu’il devrait rendre prochainement public [1]. Et cet accord va beaucoup plus loin que les propos de Mirhossein Moussaoui, il y a cinq ans. Il s’agit, ni plus, ni moins, que de faire basculer l’Iran dans le camp occidental, malgré sa récente entrée dans l’Organisation de coopération de Shanghai.

Selon cet accord, l’Iran livrerait son gaz à l’Union européenne. De la sorte, celle-ci pourrait s’affranchir de sa dépendance vis-à-vis de la Russie et lancer une nouvelle Guerre froide. En outre, ce gaz manquerait à la Chine et à son développement [2].

Le 24 septembre, cheikh Rohani s’en est entretenu avec son homologue autrichien, Hans Fisher, en marge de l’Assemblée générale de l’Onu ; l’Autriche assurant la gestion du projet de pipe-line Nabucco. Les deux hommes ont discuté du financement du raccordement des champs gaziers et pétroliers iraniens, dont le coût devrait s’élever à 8,5 milliards de dollars. Un méga-chantier qui devrait générer beaucoup de corruption.

L’accord devrait conclure la polémique sur la prétendue bombe atomique dont, depuis l’élection de Mahmoud Ahmadinejad en 2005, l’Iran devrait disposer « dans quelques semaines » [3].

Le conflit entre pro-US et anti-impérialistes

Contrairement à une idée simpliste répandue par la propagande atlantiste, la Révolution islamique ne s’est pas faite avec le clergé chiite, mais à la fois contre le Shah et contre lui. Le clergé qualifiait même l’ayatollah Khomeiny de « schismatique » jusqu’à ce qu’il suive le mouvement populaire et finisse par se rallier à l’imam. Les relations entre les révolutionnaires et le clergé s’envenimèrent à nouveau durant la guerre imposée par l’Irak : à l’époque, les Gardiens de la Révolution —dont Mahmoud Ahmadinejad— constatèrent que les enfants du clergé manquaient au front.

Durant des siècles, le clergé chiite a usé et abusé de son pouvoir en Iran. La Révolution de l’ayatollah Rouhollah Khomeiny était tout autant une réforme du chiisme qu’une lutte pour la libération nationale. Avant lui, les chiites iraniens pleuraient beaucoup la mort de l’imam Ali, avec lui, ils tentèrent de l’imiter et de combattre l’injustice.

En matière de mœurs, si tous défendent les mêmes principes, ils ne le font pas de la même manière : aussi bien le clergé (dont cheikh Hassan Rohani est aujourd’hui le représentant) que les « Forces de la Révolution » (représentées notamment par les frères Laridjani) sont favorables à la coercition, tandis que les anti-impérialistes (dont Mahmoud Ahmadinejad est le leader) prônent la valeur de l’exemple. Ainsi, le président Ahmadinejad entra en conflit avec la police des mœurs durant ses mandats, et prit publiquement position contre l’obligation du port du voile pour les femmes et la forte recommandation de la barbe pour les hommes. Le conflit devint si aigu que des collaborateurs du cabinet du président furent arrêtés et incarcérés plusieurs mois pour « sorcellerie » (sic).

Le Guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, qui est un disciple privilégié de l’ayatollah Rouhollah Khomeiny, dispose de pouvoirs supérieurs à ceux du président de la République, mais il ne peut intervenir que rarement. Durant les dernières années, il a tenté de limiter les initiatives du turbulent Mahmoud Ahmadinejad et de le contraindre à maintenir son alliance avec les frères Laridjani. Le président Ahmadinejad s’est alors heurté à lui, notamment à propos du choix de son vice-président Esfandiar Rahim Mashaei, finalement ramené au rang de chef de cabinet du président. En définitive, l’alliance entre les Laridjani et Ahmadinejad s’est brisée dans une ambiance délétère d’accusations publiques de corruption [4].

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Le Guide suprême a favorisé l’élection de cheikh Hassan Rohani en espérant marquer ainsi une pause dans l’affrontement avec Washington. Il considère désormais que le nouveau président a franchi la ligne jaune et menace l’idéal révolutionnaire.

Les réactions au projet de cheikh Hassan Rohani

Plus d’un an après son élection, la popularité de cheikh Rohani est en chute libre, l’opinion publique étant partagée entre ceux qui l’accusent de ne pas avoir changé grand-chose et ceux qui l’accusent de favoriser une classe sociale aux dépens de la majorité. À l’évidence, si Mahmoud Ahmadinejad était autorisé à se présenter à la prochaine élection présidentielle, il serait élu dès le premier tour. Cependant, on peut douter que l’occasion se présente. En 2013, son candidat, Esfandiar Rahim Mashaei, fut interdit de concourir, alors que les sondages le donnaient gagnant au second tour. Tout sera donc fait pour écarter Ahmadinejad de l’élection de 2017.

Quoi qu’il en soit, l’ancien président n’a jamais été aussi actif qu’aujourd’hui. Il mobilise son camp et semble certain de prévenir un basculement de l’Iran dans le camp atlantiste. Signe de sa probable victoire, le Guide suprême a laissé ses partisans organiser un colloque international anti-impérialiste alors qu’il s’y était opposé l’année dernière [5]. L’ayatollah Ali Khamenei s’y est même fait représenter. Il devrait donc opposer son veto au projet Rohani.

Pour les disciples de Khomeiny, ce projet équivaudrait à annihiler la Révolution et à revenir à l’époque du Shah. L’Iran renoncerait à son influence politique et se consacrerait au commerce international. Au plan intérieur, cela signifierait à nouveau l’opulence pour les dirigeants, mais pas forcément pour la population. Au passage, les peuples du Proche-Orient qui emmagasinent des victoires face à Washington, Londres et Tel-Aviv, principalement au Liban, à Gaza, en Syrie, et au Yémen, seraient à nouveau progressivement orphelins et démunis.

Le « plan B » des États-Unis

Dans la cas probable —sauf décès prématuré du Guide suprême— d’un échec du plan Rohani, Washington continue à préparer son « plan B » : une vaste déstabilisation du pays, bien plus puissante que celle de 2009. À l’époque, il s’agissait de faire croire à un trucage de l’élection présidentielle qui aurait été gagnée par les pro-US [6]. Cette fois, il devrait s’agir d’un remake de la pseudo-révolution syrienne de 2011.

Depuis cinq ans, Washington crée et fait créer plus de 70 télévisions satellitaires en langue farsi, alors que cette langue ne connaît qu’environ 100 millions de locuteurs dans le monde, dont 80 millions en Iran. Chaque allié des États-Unis a été sollicité, de l’Union européenne à la Corée du Sud, pour diffuser des programmes à destination des Iraniens. Si tous ces médias venaient à diffuser en même temps une fausse nouvelle, celle-ci semblerait certaine aux Iraniens, dont beaucoup se sont détournés des télévisions nationales qu’ils jugent trop militantes ou trop puritaines.

En outre, personne ne sait trop qui est responsable en Iran de la censure de l’Internet. Pour prévenir la diffusion de la pornographie, les vidéos sont toutes inaccessibles et quantité de sites également. Toutefois, chaque Iranien s’est doté d’un proxy qui lui permet de contourner la censure. Le seul et unique résultat de cette pratique est de discréditer l’État ; une situation que ne manqueront pas d’utiliser les États-Unis.

Dès lors, on peut pronostiquer qu’en cas d’échec de cheikh Hassan Rohani, Washington lancera de fausses nouvelles que le public croira. Avec les techniques numériques, il est possible de donner à voir des événements d’actualité fictifs, comme cela a été expérimenté en Libye (avec la chute de la Jamahiriya diffusée avec 4 jours d’avance pour démoraliser la population) et en Syrie (avec les nombreuses manifestations que chacun à vues mais qui n’existèrent jamais).

Le rejet du projet Rohani ne fera donc que donner le signal d’une nouvelle confrontation.

 

[1] « L’abdication de l’Iran », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 2 décembre 2013.

[2] « La géopolitique des pipelines à un tournant capital », par Melkulangara K. Bhadrakumar , Traduction Nathalie Krieg, Asia Times Online , Réseau Voltaire, 1er février 2010. « Iran, la bataille des gazoducs », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 9 mars 2012.

[3] « Qui a peur du nucléaire civil iranien ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 30 juin 2010.

[4] « Ahmadinejad, l’insubmersible », par Thierry Meyssan, Al-Watan (Syrie), Réseau Voltaire, 21 février 2013.

[5] La conférence New Horizons s’est tenue du 29 septembre au 1er octobre 2014 à Téhéran dans une ambiance d’unité nationale. L’ayatollah Abbas Hosseini Qaem-Maqami, Saïd Jalili (qui se présenta à l’élection présidentielle contre Hassan Rohani) et Mohammad-Javad Larijani participaient à son ouverture.

[6] « La CIA et le laboratoire iranien », « Pourquoi devrais-je mépriser le choix des Iraniens ? », « La « révolution colorée » échoue en Iran », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 17, 21 et 24 juin 2009. « Iran : le bobard de l’« élection volée » », par James Petras, Traduction Marcel Charbonnier, Réseau Voltaire, 19 juin 2009.

http://www.voltairenet.org/article185506.html

 

Economie européenne: les Français redoutent une mainmise US (expert)

Comme quoi, il va falloir que les politiques VRP des Illuminati/Banksters, cessent de prendre tous les français pour des débiles mentaux qui ne comprennent pas qui a la main mise sur la France et les Pays Européens !

Economie européenne: les Français redoutent une mainmise US (expert)

 

Economie européenne: les Français redoutent une mainmise US (expert)

17:01 07/10/2014

MOSCOU, 7 octobre - RIA Novosti

L'assistance accordée par Paris aux autorités de Kiev ne trouve pas de soutien au sein de la société française, les Français considérant avec prudence la politique de Bruxelles et redoutant une mainmise américaine sur l'économie européenne, a estimé mardi l'expert russe Alexeï Moukhine.

"Dès le départ, les Français ont observé avec méfiance les démarches de Bruxelles, imposant des sanctions à la Russie et menées sous la houlette des Etats-Unis" a déclaré à RIA Novosti M.Moukhine, directeur général du Centre d'information politique.

Selon un sondage commandé par l'agence Rossiya Segodnya et réalisé par la compagnie ICM, la moitié des Français estiment que la contribution de l'Union européenne à la résolution du conflit en Ukraine devait se limiter à l'envoi d'aide humanitaire, alors que moins de 10% des citoyens de France sont favorables à des livraisons d'armes et à l'octroi de prêts aux autorités de Kiev.

D'après l'expert, les résultats de ce sondage correspondent à l'état d'esprit général au sein de la société française.

"Les Français redoutent un contrôle américain serré sur l'économie européenne, y compris sur l'économie de la France. Les craintes des Français sont faciles à expliquer et à comprendre", a souligné M.Moukhine.

Les résultats d'un sondage similaire de l'ICM parmi les Britanniques ont été publiés lundi. La plupart des Britanniques (85%) ont également estimé que le rôle de l'UE dans le règlement du conflit ukrainien devait se réduire à des livraisons d'aide humanitaire.

Les politologues expliquent ces résultats par le fait que les Britanniques, confrontés à une multitude de problèmes, ne veulent pas s'impliquer dans la situation en Ukraine, préférant accorder une aide humanitaire au lieu de financer les réformes des autorités de Kiev.

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Multimédia

http://fr.ria.ru/world/20141007/202637336.html

 

Ukraine: les politiciens européens ont perdu la guerre médiatique (médias) - Poutine adoré et adulé par son peuple !

Il était temps non, qu'ils comprennent ces imbéciles lobotomisés à la sauce US/UE/Sionistes !

Ils peuvent dire ce qu'ils veulent sur Poutine l'important c'est que son peuple l'adore avec 86 % de cote dans les sondages et les démonstration de joie et de louanges faites par son peuple, aujourd'hui, 7 octobre 2014, jour où il fête son 62 ème anniversaire.

Poutine est leur héros ! Ce que nous sommes loin d'avoir à manifester et de chanter en France et en Europe, contre les caniches et les VRP des US/UE/Sionistes acoquinés avec les Banksters !

Poutine ce héros

Rassemblement en son honneur en Tchétchénie, exposition de tableaux le présentant en « Hercule » accomplissant ses « douze travaux », vidéo d'enfants chantant ses louanges: Vladimir Poutine fête mardi ses 62 ans dans la taïga sibérienne, bien loin des manifestations d'adoration dont il fait l'objet. Selon son porte-parole, Dmitri Peskov, c'est la première fois que le président russe s'accorde du repos le jour de son anniversaire.

Mais il ne se trouve pas au Kremlin ou dans sa résidence de Sotchi sur les bords de la mer Noire. Le chef de l'Etat est quelque part dans la taïga sibérienne, à « 300 ou 400 kilomètres du premier village ».

L'occasion de revenir en images sur les passe-temps du président russe, entre la chasse dans la taïga et le vol en ULM avec des oies sauvages.

 


Ukraine: les politiciens européens ont perdu la guerre médiatique (médias)

Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

Les politiciens européens ont perdu la guerre médiatique (médias)
16:16 07/10/2014
MOSCOU, 7 octobre – RIA Novosti

Les représentants de la majorité des pays européens commencent à comprendre qu'ils ont perdu la guerre médiatique visant à imprimer, dans les esprits, l'image "des gentils Ukrainiens et des méchants Russes", écrit mardi l'édition Czech Free Press.

Les médias commencent à dévoiler des détails passés jusque-là sous silence, prouvant que l'Ukraine a violé les conventions internationales, annonce l'article intitulé "Les politiciens européens commencent à comprendre qu'ils ont perdu la guerre médiatique". On apprend que, sur les territoires contrôlés par l'armée ukrainienne et les bataillons volontaires néonazis, la population civile a été tuée et torturée, que des violences ont été commises sur des enfants, et qu'un trafic d'organes a été mis en place.

Les politiciens et les médias semblent avoir enfin compris qu'à l'époque d'internet, des téléphones portables, des webcams et d'autres technologies numériques, il n'est plus possible de jouer à cache-cache comme au siècle dernier pendant la Guerre froide.

Les responsables politiques ont demandé aux médias européens de fournir plus d'informations véridiques sur la situation dans le Donbass. Ainsi, par exemple, la télévision publique allemande a présenté ses excuses aux spectateurs pour avoir présenté les événements en Ukraine de manière tendancieuse et partiale.

D'après Czech Free Press, presque tous les hommes politiques sensés commencent à comprendre la situation actuelle, alors que le président ukrainien Piotr Porochenko se retrouve entre deux feux et doit choisir s'il mènera l'Ukraine sur le chemin de la paix ou poursuivra sur sa ligne de confrontation actuelle.

http://fr.ria.ru/world/20141007/202636643.html

 

Echelle de distance dans l'univers

Ecoutez bien, on nous ressasse sans cesse les oreilles en ce qu'il n'y aurait pas d'eau dans l'Univers et pourtant partout dans le Grand Univers il y a de la glace ! Et sans eau comment la glace pourrait-elle se former ?

Comme nous retrouvons dans le grand Univers tous les constituants dont nos cellules ont besoin.

La vérité c'est que l'Univers est fractal ce qui veut dire que tout ce qui est en haut et comme ce qui est en bas, de l'infiniment grand à l'infiniment petit. Ce qui revient à dire que si l'on comprend le fonctionnement de l'une de nos cellules et ses besoins, ou comment fonctionne notre cerveau, nous comprenons les constituants,  le mode de fonctionnement et les besoins de l'Univers.

Ce qui veut dire encore que si sur terre nous faisons des enfants, dans l'Univers les étoiles  accouchent aussi d'enfants en fabriquant d'autres soleils ou systèmes solaires et les planètes accouchent d'autres planètes ou de lunes et autres éléments qui constituent les cellules de l'Univers. Ce qui remet en cause la théorie du Big Bang.

Au centre de notre galaxie, la voie lactée, se trouve le Grand Soleil Central ALCYONE qui est constitué de 7 étoiles ou 7 soleils qui aspectent chacun d'entre eux, un système solaire parallèle au nôtre. Un système solaire nait donc de l'accouchement d'un Grand Soleil central. De même, la mort n'existe pas dans l'Univers où tout n'est que transformation permanente. L'explosion d'une supernova donne naissance à des milliards d'étoiles ou de soleils.

L'explosion d'une Supernova

Comme l'Univers est électrique qui est l'un des vecteurs de l'information cosmique ou quantique, le second vecteur de l'information est l'eau, dont notre corps en contient 90 % tout comme la Terre qui est composée de 90 % d'eau, tout comme l'Univers doit être constituée de 90 % d'eau.

 

Echelle de distance dans l'univers