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Pourquoi fallait-il attendre qu'Hugo Chavez soit malade pour que Benoît XVI démissionne ?
La première lettre du pape François est pour les juifs !
Une info très intéressante qui nous donne une nouvelle piste pour savoir sur la base de quels évènements mondiaux importants qui se sont passés depuis 2011, en décembre 2012 et notamment ces dernières semaines pour que Benoît XVI ait pu avoir reçu le signal des USA et d'Israël pour démissionner et pour lui permettre d'être remplacé par un Jésuite qui plus est un Argentin parce qu'il était très important qu'il soit Argentin ou d'Amérique Latine, figurez-vous.
1er Indice : Nous savons que Jean-Paul II détestait les communistes et que Ratzinger a organisé l'inquisition en Amérique Latine.
1er Indice : Nous savons que Jean-Paul II détestait les communistes et que Ratzinger a organisé l'inquisition en Amérique Latine.
Comme vous le savez tout ce qui se passe en religion et en politique est parfaitement synchronisé et tout a toujours été programmé par avance.
Surtout que Benoît XVI a toujours indiqué que son pontificat serait provisoire et qu'il avait annoncé en 2011 qu'il lui était possible de démissionner à l'occasion deson 85ème anniversaire en avril 2012.On nous préparait déjà à cette échéance et il s'agissait soi-disant d'une rumeur que le pèreJésuite (encore un)Federico Lombardi, porte-parole du Vatican, avait démentie, rajoutant qu'il faisait des voyages qui se passaient très bien. Il n'a pas démissionné en avril 2012 parce que l'évènement qu'il attendait tardait à se produire. Listes des voyages entrepris par Benoît XVI, dont en 2012 le 24e voyage : au Mexique et à Cuba (du 23 au 29 mars 2012). Le Pape arrive au Mexique le vendredi 23 mars 2012 dans la ville de León, situé dans l'État de Guanajuato, où il est reçut par une foule d'environ 4000 personnes. Le président Felipe Calderón prononce un discours de bienvenu au souverain pontife lors d'une cérémonie de réception, en présence de la première dame Margarita Zavala. Le pape reste au Mexique jusqu'au lundi 26 mars, et séjourne dans une maison d'hôtes attenante d'une école catholique, le Colegio Miraflores. À son départ du Mexique, le pape se rend dans les villes de Santiago de Cuba et La Havane sur l'île de Cuba. Il y reste jusqu'au jeudi 29 mars.
Quel évènement important attendait-il depuis 2011 pour démissionner ?
2ème indice : Qui dit Argentine dit Amérique Latine, n'est-ce pas ?
Une carte pour vous aider à identifier les pays de l'Amérique Latine
3ème indice: Qui dit Amérique Latine dit Argentine
Qui organisait la dictature en Argentine au Nom de Dieu ? Le Jésuite Jorge Mario Bergoglio alias François 1er.
Quels étaient les liens entre François 1er et la dictature du général Videla?
Combien de présidents d'Amérique Latine ont-ils eu le cancer ?
5ème indice :Les élections arrivent au Venezuela en 2012
Qui est l'adversaire d'Hugo CHAVEZ aux élections de 2012 ?
Henrique Capriles un juif sioniste Venezuela. Qui est Henrique Capriles, l'adversaire du dauphin de Chavez ?Cet avocat de 40 ans né dans une famille de riches entrepreneurs "est avant tout le représentant des classes moyennes", note le JDD. Petit-fils de juifs polonais survivants de l'Holocauste,Henrique Capriles a été formé à l'université catholique.En 2004, il a passé quatre mois en détention, accusé par les autorités de n'avoir pas réagi lors d'une tentative de coup d'Etat contre Hugo Chavez.
Que veut-il réformer ?
Un partisan de nouvelles alliances internationales
Le gouverneur Capriles s'est démarqué nettement de son adversaire de 2012 en matière de politique internationale, annonçant qu'il réorienterait les relations avec les alliés actuels du pays : "Qu'avons-nous de commun avec l'Iran,mis à part la production de pétrole ? Ou avec laBiélorussie?", s'est-il demandé. "Nous avons honoré à deux reprisesKadhafi.Est-ce que ce sont les relations dont veulent les Vénézuéliens ? Non !" Il a également annoncé vouloir mettre un bémol aux relations avecCuba,le soutien indéfectible, et avec la Russie, à qui le Venezuela achète chaque année pour plusieurs milliards de dollars d'armes.
Du 9 décembre 2012 au 11 février 2013, cela faisait déjà 2 mois qu'HUGO CHAVEZ nétait plus apparu en public. Comme il doit bien y avoir à l'hôpital de La HAVANE quelques bons informateurs jésuites pour prévenir le Vatican qu'Hugo CHAVEZ ne se relèverait pas de sa maladie. Le moment est donc opportun pour que Benoît XVI annonce sa démission, maintenant que le champ était libre au Venezuela.
7ème indice:Le 11 février 2013 Benoît XVI annonce sa démission et la fin de son règne pour le 28 février 2013. Il faut bien attendre encore quelques jours dêtre assuré quHugo CHAVEZ ne se relèvera plus.
Hugo Chavez est mort ! Les USA et ses acolytes, complices de sa mort ?
Devant les caméras de la télévision officielle le vice-président s'en était alors pris aux «ennemis» historiques du Venezuela: les États-Unis. «Nous n'avons aucun doute, arrivera un moment dans l'Histoire où nous pourrons créer une commission scientifique (qui révélera) que le commandant Chavez a été attaqué avec cette maladie (...) Les ennemis historiques de cette patrie ont cherché un point faible pour atteindre la santé de notre commandant», a-t-il déclaré.Dans la foulée, Maduro a annoncé l'expulsion, sous 24 heures, de deux membres de l'ambassade américaine, accusés de chercher à déstabiliser le pays. Le vice-président a ajouté que les autorités préparaient des «mesures spéciales» pour déjouer tout complot.
9ème indice :Le 13 mars 2013 est élu à la vitesse grand V, Le Cardinal Jésuite Bergoglio et doù est-il originaire ? D'Argentine, encore un pays d'Amérique Latine où il a participé à instaurer la dictature religieuse et politique auprès du Peuple.
Il était donc nécessaire pour continuer à instaurer la dictature religieuse et politique en Amérique Latine en faveur des USA et des Sionistes que le nouveau Pape soit originaire d'Argentine et quil connaisse les lieux, les responsables politiques et le contexte général pour continuer à massacrer à distance les peuples dArgentine et de lAmérique Latine.
C'est maintenant que le pire est à venir pour les peuples d'Amérique Latine. Ils seront envahis, ruinées, détruits tout comme ont été détruits les indiens du Canada, les amérindiens et les Rwandais, etc. et que d'autres génocides seront organisés par le Vatican et ses armées secrètes surtout avec un Jésuite luciférien à sa tête.
Le jésuite Jorge Mario Bergoglio était le chef d'une Eglise argentine contestée
L'Eglise d'Argentine, dont Bergoglio était le primat avant de devenir le nouveau pape, est l'une des plus contestées d'Amérique latine pour sa passivité,voire sa complicité, à l'égard de la dernière dictature militaire (1976-1983). Le national-catholicisme était l'idéologie dominante des forces armées, qui comptaient avec la bénédiction de la hiérarchie de l'Eglise.
10° indice :Curieusement Obama doit se rendre en Israël sûrement pour discuter de la prochaine attaque de l'Iran puisque le sionisteHenrique Capriles qui se présente aux élections au Venezuela veut rompre les relations internationales avec l'Iran, la Biélorussie, la Lybie, Cuba et la Russie.
Et comme par hasard les Etats-Unis seront sans président et vice-président pour quelque temps sous prétexte dune erreur de planning. Ils se précipitent surtout pour aller donner et prendre des ordres dIsraël et du Vatican
Le président américain de la chambre des représentants, John Boehner pourrait être pendant quelques temps le dirigeant le plus haut placé des Etats-Unis à cause du voyage du présidentBarack Obama dans le Proche-Orient et la visite du vice-président Joseph Biden au Vatican. Le président et le vice-président quittent très rarement le pays ensemble. Cette fois-ci, les responsables du planning aurait commis une erreur, estime Ben Rhodes, le conseiller adjoint de la sécurité nationale. /L
11° indice : Maintenant nous allons voir que ce sont les USA et l'état sioniste qui ont influencé le choix du nouveau Pape ou du président de la Cité Privée du Vatican et que le nouveau criminel qui occupe le poste de Pape au Vatican à quelques raisons légitimes davoir écrit en premier aux Juifs.
A présent nous pouvons dire qu'Hugo CHAVEZ avait raison d'accuser les USA de vouloir l'assassiner parce qu'il fallait qui'l meurt ou en voie de mourir pour que Benoît XVI démissionne et que le nouveau dictateur prenne sa place pour faire avancer leurs plans machiavéliques de destruction des peuples d'Amérique Latine pour instaurer lunique religion mondiale et leur Nouvel Ordre Mondial et pourquoi pas la 3ème guerre mondiale pour couronner le tout en rompant les relations internationales.
Previous to Chavez’s death they seemed to have a much less interest in Latin America’s growing economy. It appears that pandora has left the box and the talking heads are able to speak of Latin America in a good light.
Now that one of their stiffest economic leaders has fallen to “OIL CANCER” of course.Why else break the silence on Latin America’s gigantic growth in the past 10 years, and the pope being of Latin descent is just the cherry on top.
What does this mean in terms of geopolitics?
Well this marks a new era in which the west will begin to invest a great deal in Latin America now knowing that it controls all of its puppet democracy leaders.The money powers of the west had no intentions of moving in until Chavez was gone to ensure their profits are secure and not at risk of confiscation. Shrewd move.
Watch as the west begins to sell more of its overpriced Chinese manufactured/American company patented gadgets and automobiles to Latin America. We must also look for the west to continue its sale of consumerism and loan ideals that inevitably lead to a country in debt. This way the giant corporations can buy up the Latin American countries valuable natural resources at below market price.
Of course this is nothing new and has been going on for decades. This is just the marking of a new era of exploitation in which they enter in a more banker style throw-down as opposed to brute force that they so often used in the past.
La première lettre du pape François est pour les juifs
Dimanche 17 mars 2013
Non, ce n'est pas une blague, ni l'exagération d'un « complotiste antisémite » croyant que les juifs tiennent même le Vatican. L'information est officielle, rendue publique sur le site de la « communauté hébraïque de Rome » .Le jour-même de son élection, François a trouvé le temps d'écrire une lettre à la dite communauté, dans laquelle il affirme :
"A Monsieur le Docteur RICCARDO DI SIGNI - RABIN EN CHEF DE ROME
Le jour même de mon élection à l'évêché de Rome et Pasteur Universel de l'église catholique, je vous adresse mon cordial salut, en vous annonçant que l'inauguration officielle de mon pontificat aura lieu le mardi 19 mars 2013.Confiant dans la protection du Très Haut, jespère vivement pouvoir contribuer au progrès que les relations entre juifs et catholiques ont connu à partir du concile Vatican II, dans un esprit renouvelé de collaboration et au service d'un monde qui puisse être toujours plus en harmonie avec la volonté du Créateur ».
Mais on peut s'attendre à ce que François repousse encore les limites en la matière, comme le note avec satisfaction le site ultra-sioniste JSSNews, qui rappelle que Mgr Bergoglio a participé à des cultes talmudiques dans des synagogues, co-écrit un livre avec un rabbin, préfacé celui dun autre (présenté comme son « professeur »)
Voici, celui qui est chargé de détruire le Venezuela et toutes les alliances créées par Hugo Chavez.L'agent secret des USA, des sionistes et du Vatican !
Il a été l'adversaire d'Hugo Chavez et il sera celui de son dauphin aux prochaines élections.
Il essaie de nous endormir avec la foi et avec son rapprochement de l'église catholique, en tant que sioniste !
C'est gens-là n'ont ni foi, ni loi ! C'est le pouvoir avant tout et poursuivre leur objectif d'instauration du Nouvel Ordre Mondial.
Venezuela. Qui est Henrique Capriles, l'adversaire du dauphin de Chavez ?
Mis à jour le 11/03/2013 | 09:47 , publié le 11/03/2013 | 09:46
Henrique Capriles lors de l'annonce de sa candidature à l'élection présidentielle du 14 avril, le 10 mars 2013 à Caracas (Venezuela).
(LEO RAMIREZ / AFP)
La campagne sannonce brève mais intense. Le gouverneur Henrique Capriles a annoncé, dimanche 10 mars, qu'il serait candidat à l'élection présidentielle du 14 avril au Venezuela, après la mort d'Hugo Chavez. Il affrontera notamment le président par intérim et dauphin désigné de l'ancien dirigeant, Nicolas Maduro. "Je vais lutter", s'est exclamé Henrique Capriles. Francetv info passe en revue le parcours de cet opposant de 40 ans.
Un bourgeois qui a la foi
Cet avocat de 40 ans né dans une famille de riches entrepreneurs "est avant tout le représentant des classes moyennes", note le JDD.Petit-fils de juifs polonais survivants de l'Holocauste, Henrique Capriles a été formé à l'université catholique.En 2004, il a passé quatre mois en détention, accusé par les autorités de n'avoir pas réagi lors d'une tentative de coup d'Etat contre Hugo Chavez."Quand tu passes par la prison, il y a deux chemins : ou tu t'éloignes de tout ce qui fait ta foi, la partie chrétienne, ou tu t'en rapproches. Je m'en suis rapproché."
Très courtisé par la gent féminine, il se dit toutefois toujours "à la recherche de (sa) première dame".
Un parcours politique sans faute
Elu député de Caracas à 26 ans, il est devenu le plus jeune président de lAssemblée nationale en 1998. Son ascension n'a ensuite connu aucun accroc. En 2000, il se fait élire à la tête d'un des districts aisés de la capitale Caracas, soutenu par le jeune parti social-chrétien Primero Justicia, dont il fait toujours partie. En 2008, il devient gouverneur de l'Etat de Miranda (nord), le deuxième le plus peuplé du pays. Il est réélu à ce poste en décembre 2012, avec comme domaines de prédilection l'éducation, le logement et l'accès à la santé.
Le candidat malheureux à la dernière présidentielle
Henrique Capriles est devenu incontournable sur la scène politique du Venezuela depuis la campagne présidentielle d'octobre 2012. Multipliant les rassemblements publics, il a réussi à démontrer sa capacité à mobiliser d'immenses foules, à l'instar de son adversaire d'alors, Hugo Chavez. Il a surpris en réalisant le meilleur score jamais enregistré par un opposant face au "Comandante", rassemblant 44% des voix, contre 55% au candidat sortant. Mais Hugo Chavez l'a emporté grâce l'appui sans faille des classes populaires.
Un social-démocrate partisan de "l'union" de quoi ? Du Nouvel Ordre Mondial ?
A l'origine étiqueté à droite, Henrique Capriles se revendique aujourd'hui social-démocrate, proche du modèle impulsé par Luiz Inacio Lula da Silva au Brésil. Partisan de l'initiative privée, il assure dans le même temps que la priorité de l'Etat doit être la politique sociale. Au cours de sa campagne en 2012, il a revendiqué "l'union" au-delà des partis politiques. Il se déclare à ce titre admirateur de l'ancien président sud-africainNelsonMandela.
Un partisan de nouvelles alliances internationales
Le gouverneur Capriles s'est démarqué nettement de son adversaire de 2012 en matière de politique internationale, annonçant qu'il réorienterait les relations avec les alliés actuels du pays : "Qu'avons-nous de commun avec l'Iran, mis à part la production de pétrole ? Ou avec la Biélorussie?", s'est-il demandé. "Nous avons honoré à deux reprises Kadhafi. Est-ce que ce sont les relations dont veulent les Vénézuéliens ? Non !" Il a également annoncé vouloir mettre un bémol aux relations avec Cuba, le soutien indéfectible, et avec la Russie, à qui le Venezuela achète chaque année pour plusieurs milliards de dollars d'armes.
Un opposant qui ne ménage pas son adversaire
Avant même l'annonce de sa candidature, Henrique Capriles a donné le ton. Alors que Nicolas Maduro l'a qualifié de "prince décadent de la bourgeoisie parasitaire", il n'a pas tardé à répondre que ce dernier était "un rond de cuir professionnel, un paresseux, un fainéant". Dimanche lors de lannonce de sa candidature, il a de nouveau accusé le pouvoir d'avoir menti au peuple vénézuélien sur l'état de santé d'Hugo Chavez.
Cependant, la bataille s'annonce rude pour le gouverneur : il y a trois semaines, l'institut de sondage vénézuélien Hinterlaces indiquait que Nicolas Maduro battrait Henrique Capriles de 14 points.
Nous allons voir dans un prochain article pourquoi Hugo Chavez avait raison dès 2011, d'accuser les USA d'être capables de provoquer le cancer aux dirigeants des pays d'Amérique Latine qui résistent à l'impérialisme USA, Sioniste et à l'empire Romain du Vatican.
Inoculer n´est pas le bon mot, provoquer le cancer serait plus adapté. Rien de plus facile, il suffit de mettre quelque milligrammes de matière radioactive comme du polonium, qui a déjà été utilisé comme arme du crime, sous une chaise ou dans le matelas de la victime et le tour est joué, cancer assuré. Pas d´odeur, pas de bruit, pas de preuves.
Vous verrez dans l'article combien de présidents d'Amérique Latine ont eu le cancer en très peu de temps.
Pour Chavez, les États-Unis peuvent «inoculer le cancer»
Par Jérémy MACCAUD Mis à jour le 29/12/2011 à 14:53 | publié le 29/12/2011 à 12:31
Hugo Chavez et Dilma Rousseff, lors d'un sommet à Montevideo, en Uruguay, le 20 décembre.Crédits photo : HANDOUT/Reuters
Habitué des provocations, le président vénézuélien affirme que trop de leaders sud-américains souffrent de cancers pour que ce soit une simple coïncidence.
Les cancers qui touchent les chefs d'État d'Amérique latine sont-ils le fruit d'un complot américain? C'est la question soulevée par Hugo Chavez, le chef d'État vénézuélien. Tout commence mardi soir, lorsque les Argentins apprennent que Cristina Kirchner, leur présidente, est atteinte d'un cancer de la thyroïde et sera opérée début janvier, avec un diagnostic très optimiste. Son nom s'ajoute à la liste des leaders d'Amérique latine atteints de cette maladie: Fernando Lugo, président du Paraguay, a un cancer du système lymphatique depuis 2010 en phase de rémission. Lula, l'ex-président du Brésil, est pour sa part atteint de ce mal à la gorge, et serait en passe de le vaincre. Celle qui lui a succédé, Dilma Rousseff, a pour sa part gagné ce combat en 2009, face à un cancer lymphatique.
«C'est très bizarre»
Une série noire ne serait peut être due au hasard, estime Hugo Chavez, qui a lui-même déclaré s'être débarrassé d'un cancer en septembre mais dont il souffrirait toujours. «C'est très bizarre», s'est-il exprimé lors d'un discours prononcé devant des soldats et retransmis à la télévision.
D'après le Vénézuélien, le nombre de cancers chez les leaders d'Amérique latine serait «difficilement explicable selon les lois de probabilité», sans préciser ou développer son argument. Et de tourner une fois de plus les yeux vers les États-Unis qu'il n'a de cesse de provoquer depuis des années: «Serait-il étrange qu'ils aient développé une technologie pour inoculer le cancer sans que personne n'en soit au courant?», s'est demandé le chef d'État. Chavez joue même la carte de l'humour: «Je vais prendre grand soin des présidents de la Bolivie (Evo Morales) et de l'Équateur (Rafael Correa) de peur qu'on leur diagnostique aussi un cancer!»
Un précédent dans l'histoire des États-Unis
Pour appuyer sa théorie, le leader vénézuélien a rappelé que les Américains ont déjà pratiqué des expérimentations douteuses de ce type dans les années quarante. Dans le cadre d'une étude sur les effets de la pénicilline, des centaines de Guatémaltèques s'étaient vu inoculer des maladies sexuellement transmissibles, comme la syphilis, entre 1946 et 1948, par des scientifiques américains. Depuis, Washington a présenté officiellement des excuses.
Hugo Chavez mène depuis des années une politique très hostile à l'administration des États-Unis. Il n'hésite d'ailleurs pas à les appeler les «yankees de merde» et les a souvent accusés par le passé d'avoir tenté de le renverser, voire de l'assassiner. Cette nouvelle accusation apparait donc comme une nouvelle provocation, le dirigeant vénézuélien n'ayant pas avancé l'esquisse d'une preuve tangible et se gardant bien pour le moment de proférer une «accusation irréfléchie».
Le sommet des survivants
Avant cette sortie polémique, Hugo Chavez a été le premier à apporter un franc soutien à son alliée Cristina Kirchner. «Nous allons vivre et nous allons conquérir», lui avait-il transmis. Cette dernière lui a répondu qu'elle insisterait alors pour devenir la «présidente d'honneur» du sommet des survivants. Un clin d'oeil à une plaisanterie sortie précédemment par Lula et Hugo Chavez, qui avaient proposé d'organiser un sommet pour tous les présidents d'Amérique latine qui ont vaincu le cancer.
Cristina Fernandez de Kirchner, réélue en octobre à la présidence de l'Argentine, a annoncé deux jours après Noël être touchée par un cancer de la glande de la thyroïde. Aucune métastase n'aurait été détectée. Elle va donc subir le 4 janvier une ablation partielle ou complète de cette glande, une opération qui affiche un taux de survie de près de 95%. L'intérim sera alors assuré par son vice-président, Amado Boudou, entre le 3 et 23 janvier.
En juin, Hugo Chavez disparaît subitement pour une opération en urgence à la Havane, à Cuba. Pendant un mois, le président vénézuélien est invisible, les rumeurs enflent. On l'annonce mort tous les deux jours ou dans un état critique. Il revient finalement, triomphant, début juillet, et annonce qu'on lui a enlevé avec succès une tumeur cancéreuse. Le combat n'est cependant pas terminé et il continue les séances de chimiothérapie à Cuba. S'il dit aller mieux, même son entourage politique ne sait vraiment de quel cancer il est atteint et dans quel état il se trouve vraiment.
Le Paraguayen Fernando Lugo, ancien évêque, est devenu le premier président de gauche de l'histoire du pays en 2008. Il a annoncé l'été 2010 qu'il était atteint d'un cancer du système lymphatique. L'évolution de sa maladie a particulièrement été scrutée par l'opposition car s'il lui devenait impossible de conserver les rênes du pays, c'est alors son vice-président de droite, Federico Franco, qui devrait prendre le pouvoir. Mais Fernando Lugo est resté en place et son cancer serait en phase de rémission.
Un an après avoir quitté la présidence du Brésil, qu'il a gouverné de 2003 à 2010, Luiz Inacio «Lula» da Silva, se rend à l'hôpital pour un simple mal de gorge. Un cancer du larynx lui est alors diagnostiqué, il doit débuter une chimiothérapie. «Je suis prêt à faire face à cette autre bataille et je crois que je vais réussir», a-t-il déclaré à ce moment là. Dans la foulée, et pour prévenir les effets secondaires de son traitement, il se rase les cheveux. Le très populaire Lula, désormais méconnaissable, se bat. Quant à Dilma Rousseff, qui lui a succédé au poste suprême, elle a aussi été atteinte d'un cancer lymphatique en 2009. Elle est depuis totalement guérie.
Un article intéressant qui va nous donner les moyens de comprendre pourquoi Hugo Chavez a été contaminé par le cancer par les USA et ses alliés sionistes et pourquoi Benoît XVI a démissionné pendant que Hugo Chavez agonisait, pour laisser la place au nouveau Pape de Washington.
Un petit retour en arrière sur les déclarations faites par Hugo Chavez en 2011 et celles que faisait son dauphin, à l'annonce de son décès, sera nécessaire ainsi que pour savoir qui est Henrique Capriles l'adversaire de Hugo de Chavez et qui sera celui du dauphin de Chavez ?
Un mois avant le conclave, un insider du Vatican révélait l'identité du pape dimanche 17 mars 2013
Voici la retranscription d'une discussion qui a eu lieu sur le forum " Godlikeproductions" le17 Février 2013soit près d'un mois avant l'élection du pape François. On y apprend que ce sont les USA qui ont favorisé l'élection de Jorge Mario Bergoglio à ce poste afin de reconquérir leur influence en Amérique du sud mais aussi pour s'emparer de l'or du Vatican (ce sera l'objet d'une autre discussion).
Il va être argentin, je ne sais pas qui exactement, mais j'en suis certain, attendez un peu et vous verrez que c'est vrai :)
Q Cela pourrait être Leonardo Sandri
R Sandri ou Bergoglio, je pense
Q Pourquoi pensez-vous qu'il viendra d'Argentine ?
RJ'ai mes sources, je ne suis pas en train de jouer aux devinettes.
Q Tout peut arriver dans le conclave.
R Vous n'avez aucune idée de ce qui se passe dans notre monde.Tout est planifié à l'avance, tout.
Q Est-ce que votre groupe contrôle les événements ?
R Je n'appartiens à aucun groupe et je ne contrôle rien, j'ai juste mes infos de quelqu'un "très proche du Vatican".
Je peux dire que c'était plutôt par accident que je les ai eues. Attendez et vous verrez que cela arrivera.
Q Et la stratégie derrière le choix du candidat Argentin est ?
R Hé bien, c'est une longue histoire, mais je peux la résumer. Les Etats-Unis veulent contrôler de nouveau l'Amérique du Sud, après avoir perdu leur influence. (voir le Venezuela, le Brésil, et bien d'autres) En outre ma source a déclaré que le futur pape serait le dernier. C'est tout ce que je sais.
Q Hé bien, s'ils veulent contrôler l'Amérique du Sud, ils pourraient aussi choisir le candidat du Brésil (Odilo Pedro Scherer)
R Je sais. Je ne sais pas pourquoi ils ont choisi l'Argentine, c'est l'explication que l'on m'a donnée, je pourrais peut être obtenir plus d'informations la semaine prochaine.
Il sera le dernier pape, ce qui implique que Rome pourrait être détruite comme le dit la prophétie, et j'ai été choqué d'entendre cela.