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17/02/2010

Cinq de suite au TSX, crise financière en Grèce

Crise financière en Grèce, JP MORGAN et Goldman Sachs encore montrés du doigt !

Le Mardi 16 février 2010 | Mise en ligne à 16h17


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Certainement un peu en raison d’un repli du billet vert sur les marchés. Probablement aussi un peu en raison de la demande pour les matières premières.

Le baril de brut s’est apprécié de 4% et le prix de l’or a gagné 3% mardi sur les marchés. Ces deux éléments ont contribué à faire avancer de 1% le principal indice de la Bourse canadienne. Le Dow Jones et le S&P 500 ont avancé de près de 2%. Une poussée de fin de séance a aidé les indices américains à bonifier les gains du jour. L’action de Bank of America (BAC) a notamment bondi de 6%.

La mise à jour de l’Empire State Manufacturing index par la New York Fed a montré que l’activité industrielle dans la région de New York continue de progresser. Les attentes des économistes ont été surpassées et les investisseurs l’ont assurément remarqué.

Le TSX a maintenant réalisé des gains au cours des cinq dernières séances dans un marché où la volatilité a secoué les indices depuis quelques semaines.

Le bond appréciable du prix du pétrole survient aussi au lendemain d’une journée où même si les marchés nord-américains étaient fermés, le momentum ne semblait guerre en faveur d’une hausse des prix de l’énergie.

Le repli du dollar américain face à l’euro mardi peut être interprété comme un signal de confiance des investisseurs envers la situation financière en Grèce et ailleurs dans la zone euro.

Une bombe a par ailleurs explosé dans les dernières heures devant les bureaux de la banque JPMorgan dans le centre d’Athènes, en Grèce (photo ci-dessus). Il n’y a pas eu de victimes et l’explosion avait été précédée d’un appel anonyme. L’agence Reuters souligne que les banques et les entreprises étrangères sont fréquemment la cible d’attentats en Grèce.

Depuis une semaine, plusieurs reportages ont été publiés dans les médias expliquant comment Goldman Sachs et d’autres banques ont utilisé des instruments financiers complexes comme ceux qui ont été à l’origine de la crise financière américaine, pour aider la Grèce à dissimuler l’ampleur de sa dette. Le nom de JPMorgan a été notamment cité par le New York Times.

http://bloguesmu.cyberpresse.ca/lapresseaffaires/dufour/


09:19 Publié dans Crise Financière & Mondiale | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

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