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28/01/2010

Progression du Nouvel Ordre Mondial

Par Paul Joseph Watson

Le 1er décembre 2009

Des documents choquants de l’ONU élaborent le projet d’utiliser les escrocs climatiques pour « contourner » les souverainetés nationales. Les documents stratégiques demandent que l’ONU dirige les économies et mettent en place un gouvernement mondial, sous le prétexte de l’écologie.

Des documents stratégiques troublants de l’ONU récemment découverts révèlent comment les élites recrutent des membres des milieux universitaires des quatre coins du globe dans un effort pour cacher leur « contournement » des souverainetés nationales que leur agenda représente, en soulignant comment les escrocs climatiques qui ont été récemment pris à manipuler des données scientifiques afin de « cacher la diminution » du réchauffement de la planète qui travaillent avec les Nations Unies dans la poursuite d’un gouvernement mondial justifiée par la fraude du réchauffement de la planète qu’ils contribuent à perpétrer.

Un des documents de planification, intitulé « Le Programme environnemental des Nations Unies que nous voulons », a été produit par un groupe spécialement sélectionnés de fonctionnaires influents en environnement et remis au directeur exécutif du Programme environnemental des Nations Unies, Achim Steiner.

Le Programme environnemental des Nations Unies est l’organisme de réglementation qui a créé le Groupe d’experts intergouvernementaux sur les changements climatiques, l’organisation politisée qui a tenté de claquer la porte au scepticisme sur le réchauffement climatique en affirmant être l’autorité suprême, en dépit du fait que les scientifiques utilisés par le Groupe ont été pris à manipuler les données et à conspirer pour cacher les preuves d’un refroidissement global pendant le scandale du climat.

Le Groupe a tenté de réfuter la gravité du scandale climatique en prétendant qu’il n’avait pas d’incidence sur leurs conclusions concernant le réchauffement planétaire, en dépit du fait que les scientifiques de l’Université d’East Anglia ont utilisé l’intimidation et la chasse aux sorcières universitaires pour que les données avec lesquelles ils n’étaient pas d’accord politiquement ne puissent pas apparaître dans le rapport de la quatrième évaluation du Groupe d’experts, qui a été publié en 2007.

Les participants qui ont contribué au premier document du Programme environnemental des Nations Unies incluent Janos Pasztor, l’actuellement chef de l’équipe qui pousse la campagne de lobbying Seal the Deal sans précédent du Secrétaire Général de l’ONU Ban Ki-moon pour forcer les gouvernements membres à signer une nouvelle entente environnementale à Copenhague, Domenic Waughray, actuellement chef des initiatives environnementales au Forum Économique Mondial, et Maria Ivanova, universitaire bulgare, directrice du Projet de gouvernance économique mondiale au Centre Yale pour les lois et les politiques environnementales.

Le premier document est très semblable au deuxième du Programme environnemental des Nations Unies intitulé : « Stratégie à Moyen Terme Proposée pour 2010-2013 ».

Les documents présentent un programme d’implantation d’un système global de gouvernance basé autour d’une réglementation et des lois environnementales, en insistant sur l’agenda de la « nature évolutive du renforcement de la gouvernance environnementale internationale. »

Le but d’élever l’influence du Programme environnemental des Nations Unies à une position où il pourra imposer des règles aux nations, plutôt que les nations soient les superviseurs du Programme environnemental des Nations Unies, comme c’est actuellement le cas, est préconisé.

Les documents discutent du recrutement des universités pour augmenter encore plus le pouvoir du Programme environnemental de l’ONU, notamment à la lumière des récents scandales climatiques où des scientifiques des grandes universités ont été pris à dissimuler des preuves du refroidissement de la planète.

« Comme un journal suisse l’a déclaré, le Programme environnemental des Nations Unies devrait être le pionnier d’un nouveau style de travail. Cela exige d’aller au-delà des interprétations étroites des parties prenantes du Programme environnemental, comme compris par ses États membres, ou même les gouvernements mondiaux, et le recrutement d’un soutien beaucoup plus large de la communauté, dans la société civile, du monde universitaire et du secteur privé. » En même temps, le journal avertit que ces groupes doivent être « liés à la mission du Programme environnemental de l’ONU sans paraître contourner les gouvernements membres », résume George Russell de Fox News.

Ce passage est assez accablant, puisque l’ONU n’admettra jamais que son programme représente un « contournement des gouvernements membres », et qu’ils doivent faire de leur mieux pour cacher le fait. Que les universitaires doivent être « attachés à la mission du Programme environnemental » et non pas attachés à produire des données scientifiques objectives sur le réchauffement climatique révèle aussi comment la question des changements climatiques a été détournée pour servir les besoins d’une élite mondiale penchant pour un gouvernement mondial.

Le premier document appelle également à un « Bretton Woods environnemental pour le 21ième siècle », où l’agenda environnemental est inextricablement relié à l’économie et le rôle de l’ONU est d’avoir le commandement sur les économies des gouvernements nationaux.

Les objectifs inclus dans le document stratégique de quatre ans comprennent « des efforts aux niveaux local, national et mondial » afin de lever « un financement suffisant pour répondre aux défis environnementaux, y compris les changements climatiques », ce qui se traduit par l’utilisation du problème du réchauffement climatique afin de recueillir des fonds pour le fonctionnement de la structure du gouvernement mondial, qui est exigé dans les documents de planification.

Les objectifs énoncés dans les documents, une contrepartie à l’accord mondial que les Nations unies cherchent à obtenir à Copenhague le mois prochain, sont « certains de rester un long cri de ralliement du Programme environnemental, après la fin de la réunion de Copenhague, et, tandis que les autres idées de réflexion qui étaient dans la nouvelle stratégie de quatre ans, sans parler de la stratégie elle-même, entrent en vigueur », écrit Russell.

Ce document représente encore une autre évidence qui prouve que le culte des changements climatiques n’est rien d’autre qu’une expansion du pouvoir d’une dictature, un gouvernement mondial non élu, diluant les pouvoirs des nations, saisissant le contrôle de l’économie mondiale, évinçant la classe moyenne avec une série de nouvelles réglementations et de lois, et provoquant la fermeture des industries avec des mandats de réduction de CO2 impossibles, tout en érigeant l’environnementalisme, qui n’est en réalité qu’un mince voile pour le fascisme mondial, comme la nouvelle religion universelle.

Tout ceci n’a rien à voir avec le sauvetage de la terre et, comme le scandale climatique l’a illustré, rien à voir avec la vraie science, mais tout à voir avec une clique relativement faible de mondialistes faisant peu de cas de l’humanité elle-même en cours d’exécution de la poursuite du contrôle malthusien de leur agenda insensé.

http://www.prisonplanet.com/bombshell-un-documents-outline-plan-to-use-climategate-crooks-in-end-run-around-national-sovereignty.html

La nuit dernière, le Royaume-Uni a cessé d’être un État souverain

Par Daniel Hannan – Le 1 décembre 2009

Nous nous sommes réveillés dans un pays différent aujourd’hui. Bien sûr que cela ne semble pas très différent. Les arbres semblent encore noirs sous le soleil d’hiver, les autoroutes continuent à bloquer inexplicablement, les navettes exercent toujours en évitant le contact visuel. Mais la Grande-Bretagne n’est plus une nation souveraine. À minuit, la nuit dernière, nous avons cessé d’être un État indépendant, lié par des traités internationaux à d’autres États indépendants, et sommes devenus au contraire une unité subordonnée au sein d’un État européen.

Oui, un État européen. Regardons rapidement la définition énoncée à l’Article un de la Convention de Montevideo de 1933 sur les Droits et Devoirs des États: « L’État comme une personne de droit international devrait posséder les qualifications suivantes: (a) Une population permanente; (b) Un territoire défini; (c) Un gouvernement, et (d) La capacité d’entrer en relations avec les autres États ».

Jusqu’à hier, l’Union Européenne se qualifiait selon les motifs (a), (b) et (c). Maintenant, ils ont coché la case finale. En vertu du Traité de Lisbonne, qui est entré en vigueur aujourd’hui, l’Union Européenne acquiert une « personnalité juridique », ce qui lui donne le droit de signer des accords et d’établir des relations avec d’autres États. Et ce n’est pas une simple rhétorique: l’Union Européenne dispose maintenant d’un Ministre des Affaires Étrangères, d’un corps diplomatique (l’Agence européenne des actions extérieures) et 160 ambassades à l’étranger.

Jusqu’à hier, l’Union Européenne ne pouvait pas annexer de nouvelles zones politiques sans un nouveau traité, qui devait être ratifié par toutes les nations qui la composent. Maintenant, ils ont la clause dite « passerelle », ou le mécanisme auto-modifiant. En d’autres termes, le Parlement ne détient plus le dernier mot sur les extensions de la compétence de l’Union Européenne. L’Union Européenne ne tire plus son autorité de ses 27 membres, mais de ses propres textes fondateurs.

Jusqu’à hier, la Grande-Bretagne pouvait tout simplement se retirer de l’Union Européenne par l’abrogation du Traité de Rome et en rejetant l’Acte des Communautés Européennes de 1972. Désormais, la Grande-Bretagne devra passer par la procédure de sécession prévue à Lisbonne. En d’autres termes, dans l’esprit des avocats européens, en tout cas, si ce ne sont pas les constitutionnalistes britanniques, l’Union Européenne peut établir les conditions dans lesquelles ses membres peuvent être autorisés à quitter. La Souveraineté formelle a été déplacée de notre capitale nationale à Bruxelles.

Il est consternant, dégradant et honteux qu’une telle chose ait dû être faite sans le consentement populaire, et en l’absence de tout référendum que les trois partis politiques avaient promis. « Il ne sert à rien de pleurer sur le lait renversé », direz-vous. Vrai. Mais qui va ramasser les dégâts?

http://blogs.telegraph.co.uk/news/danielhannan/100018459/...

Traduit par Oscar Blais

http://pleinsfeux.com/progression-nouvel-ordre-mondial/

 

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