Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

21/10/2008

La Conspiration d'Orion

10/10/2008

Des sources de la FEMA confirment le projet de loi martiale

Des milliers de soldats sont déployés à travers les Etats-Unis, prêts à assumer le contrôle des foules
WMR, Wayne Madsen, 8 octobre 2008

WMR a appris de sources bien informées de la Federal Emergency Management Agency (FEMA) que l'administration Bush met la touche finale à un projet qui envisagerait la déclaration de la loi martiale aux États-Unis en fonction de divers scénarios considérés comme des déclencheurs. Ces déclencheurs incluent la poursuite de l'effondrement économique avec d'énormes troubles sociaux, la fermeture de banques entraînant des violences contre les institutions financières, et une nouvelle élection présidentielle frauduleuse, dont pourraient résulter des émeutes dans les grandes villes et sur les campus des quatre coins du pays.

En outre, des sources du Army Corps of Engineer indiquent que l'affectation de la 1st Brigade Combat Team (BCT) de la 3rd Infantry Division au US Army North du Northern Command a pour but de renforcer la FEMA et les forces fédérales de maintien de l'ordre, dans l'imposition de contrôles routiers et des foules, de couvre-feux, du renforcement de la sécurité aux frontières et dans les ports, et des patrouilles d'îlotage dans l'éventualité où la situation d'urgence nationale serait déclarée. La BCT était en service en Iraq, avant d'être affectée au Northern Command.


Selon Medvedev, les États-Unis menacent la sécurité mondiale

Nicolas Sarkozy et Dimitri Medvedev arrivent à la World Policy Conference d'Evian. Photo : 24 heures.

Moscow Times, Oleg Shchedrov, 9 octobre 2008

Mercredi, à Évian, le Président Dmitry Medvedev a déclaré que le soi-disant rôle des Etats-Unis en tant que puissance dominante mondiale a été de saper la sécurité internationale. Des actions étasuniennes depuis les attentats du 11 septembre 2001, il a déclaré .

Le désir des États-Unis de renforcer leur domination mondiale, les a amené à rater la chance historique . . . de construire un véritable ordre mondial démocratique.

S'exprimant à la conférence internationale d'Evian en France, Medvedev a aussi déclaré que la guerre russo-géorgienne d'août a montré que le mécanisme sécuritaire européen, établi autour de l'OTAN et des États-Unis, a besoin d'un grand remaniement.

Le chef du Kremlin a proposé un nouveau pacte de sécurité, qui interdirait l'usage de la force ou de la menace, et préciserait qu'aucun pays seul, incluant la Russie, ne pourrait avoir le monopole d'assurer la sécurité sur le continent.

Dans un discours exceptionnellement émouvant, Medvedev a déclaré que Washington avait laissé passer la chance historique d'un nouveau partenariat après les attentats du 11 septembre sur des villes étasuniennes, quand Moscou a proposé de se joindre à Washington dans la lutte contre le terrorisme.

Medvedev a déclaré que, l'invasion de l'Irak et le plan de Washington de placer des éléments d'un bouclier antimissile en Europe de l'Est, un projet auquel s'oppose Moscou avec acharnement, a mis fin à ce partenariat.

« Après avoir renversé le régime Taliban en Afghanistan, les États-Unis ont commencé une série d'actions unilatérales, » a-t-il dit. « En conséquence, une tendance à créer des lignes de division est apparue dans les relations internationales. C'était en fait la reprise d'une politique populaire du passé, connue sous le nom de confinement. »

La suite ici http://www.alterinfo.net/Selon-Medvedev,-les-Etats-Unis-m...

Crise financière : L'Ecureuil et la Banque Populaire officialisent leur projet de fusion

Les deux institutions financières ont donné leur accord pour négocier leur rapprochement, qui donnera naissance au deuxième groupe bancaire français.

Les groupes Caisse d'épargne et Banque populaire, déjà partenaires à parts égales dans la banque d'investissement Natixis, durement affectée par la crise financière, ont officialisé leur projet de fusion.

L'opération vise à «sécuriser non seulement la capacité commerciale, mais aussi la solidité financière» des deux groupes coopératifs, indique la Caisse d'épargne.

Doté de fonds propres de plus de 40 milliards d'euros, de 480 milliards d'épargne et de dépôts, et d'un produit net bancaire de 17,5 milliards d'euros, le nouvel ensemble donnera naissance au deuxième groupe bancaire français derrière BNP Paribas, devenue récemment la première banque de la zone euro en terme de dépôts, depuis le rachat d'une grande partie des activités de Fortis.

Selon l'AFP, Philippe Dupont, président du groupe Banque Populaire, prendra la tête du nouvel ensemble, organisé en société anonyme à directoire et conseil de surveillance. Charles Milhaud, président du directoire des Caisses d'Epargne, présiderait alors le conseil de surveillance.

L'Elysée soutient la création d'un nouveau géant français

Le patron de l'Ecureuil a déclaré dans un entretien qui sera diffusé jeudi sur Radio Classique, que le président français Nicolas Sarkozy soutient «de toutes ses forces» le projet de fusion des deux établissements mutualistes. L'Elysée «considère qu'il est important pour la France, mais aussi pour l'Europe, qu'elle puisse s'appuyer sur des acteurs bancaires de forte dimension», a t-il ajouté.

Le statut des Caisses d'Epargne etant défini par une loi, cette fusion devra passer par une modification législative. Le Comité des établissements de crédit et des entreprises d'investissement (CECEI) devra en outre s'assurer que le nouvel ensemble n'occupe pas une position dominante.

LIRE AUSSI

» INFOGRAPHIE - Un nouveau géant de la finance (avec jdf.com)

» Le management de Natixis maintenu ?

Source : http://www.lefigaro.fr/societes/2008/10/08/04015-20081008ARTFIG00630-l-ecureuil-approuve-la-fusion-avec-les-banques-populaires-.php

Crise financière : Une bulle spéculative prête à crever

Les «Subprimes» ce n'était encore rien. Voici les «CDS». On ne parle plus de 1000 milliards, mais de 60 000 milliards de dollars prêts à sauter en l'air

Mercredi soir, le Sénat votait pour le plan de sauvetage américain, qui prévoit la mise à disposition pour les établissements financiers en crise de 700 milliards de dollars. Le monde de la finance attend maintenant de façon plus angoissée le deuxième vote de la Chambre des représentants, ce vendredi. Il sera plus difficile, car les élections sont pour le 4 novembre. Les députés craignent la réaction de leurs électeurs s'ils approuvent le plan. «S'il voit le jour, nous éviterons la chute des dominos», analyse John Roux de la banque Hottinger Groupe. «Presque toutes les grandes banques et tous les instituts financiers majeurs sont liés entre eux. Suite à la faillite de Lehman Brothers, par exemple, de nombreux autres établissements avaient immédiatement perdu plusieurs milliards de francs.»