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L'Otan rapproche ses troupes de la frontière russe

Et peut-on savoir de quelle crise Poutine serait-il le responsable ?

De celle fabriquée de toutes pièces par les US/Sionistes et ses caniches de l'UE ?

 

L'Otan rapproche ses troupes de la frontière russe

Dossier: Règlement de la situation en Ukraine

RBC Daily

RBC Daily

© REUTERS/ Thomas Peter

14:14 11/03/2014

MOSCOU, 11 mars - RIA Novosti

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry a déclaré samedi dans une conversation téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov que toute démarche favorisant le détachement de la Crimée du territoire ukrainien rendrait impossible un règlement diplomatique de la crise, écrit mardi le quotidien RBC Daily.

Washington a déjà laissé entendre qu'hormis les sanctions promises contre de hauts fonctionnaires russes il comptait faire pression sur la Russie en renforçant la présence militaire de l'Otan aux frontières russes.

Le président américain Barack Obama, en vacances en Floride avec sa famille, s'est entretenu par téléphone avec les dirigeants des pays baltes pour la première fois depuis le début de la crise en Ukraine."Le président a confirmé l'engagement des Etats-Unis pour la protection collective dans le cadre du traité de l'Atlantique Nord et son soutien à la sécurité et la démocratie de nos alliés baltes", a déclaré la Maison blanche. La projection dans les pays baltes de six chasseurs américains F-15 supplémentaires, appelés à renforcer la sécurité de l'espace aérien des alliés, devrait convaincre ces derniers du sérieux des promesses d'Obama.

A l'heure actuelle, l'ingérence de l'Otan dans la situation en Crimée est exclue, affirment les hommes politiques. Le ministre tchèque de la Défense Martin Stropnicky a confirmé dimanche l'impossibilité d’une telle opération. Cependant, l'accroissement de la présence militaire aux frontières russes et l'accélération de l'intégration de l'Ukraine à l’Otan pourrait devenir la stratégie à long terme de l'Alliance. Si en 2009, d'après le sondage de Pew Research, 21% de la population était en faveur de l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan et 51% s'y opposaient, aujourd'hui la situation pourrait changer radicalement. Selon l'Agence d'information indépendante de l'Ukraine UNIAN, lors d'un prétendu référendum national sur internet 80 000 personnes se sont prononcées pour l'adhésion à l'Alliance contre 35 000.

L’Otan, pour sa part, semble profiter de la situation en Ukraine pour accroître son budget. Le ministre britannique des Affaires étrangères William Hague a déclaré sur SkyNews que Londres insisterait sur l'augmentation du budget pour la défense suite aux actions de la Russie en Crimée, lors du sommet de l'Otan en septembre.

L'absence d'unité de l'Occident concernant les sanctions diplomatiques et économiques à adopter contre la Russie poussent les Etats-Unis à renforcer la pression militaire sur cette dernière. Le sommet extraordinaire de l'UE, la semaine dernière, a montré que les puissances européennes n'y étaient par prêtes. "Nous ne pouvons pas nous permettre une politique de sanctions à l'égard de la Russie car depuis que l'Allemagne a renoncé à l'énergie nucléaire nous sommes de plus en plus dépendants des fournitures de gaz russe. Les sanctions frapperaient comme un boomerang l'Allemagne et l'UE", a déclaré Hans-Werner Sinn, directeur de l'institut Ifo de Munich.

"Ces sanctions n'auraient aucune conséquence pour les Etats-Unis car les échanges commerciaux avec la Russie ne sont pas élevés. Théoriquement les USA pourraient même adopter des sanctions contre Vladimir Poutine. Mais à l'heure actuelle on discute de mesures contre des responsables impliqués dans l'exacerbation de la situation en Crimée. Ensuite pourraient être adoptées des sanctions contre des hommes proches de Poutine et ceux qui occupent des postes importants dans l'économie russe. Cependant, l'UE ne soutiendra pas ces sanctions. Des pays tels que l'Allemagne et l'Italie utiliseraient leur droit de veto. Par ailleurs, certains membres de l'UE comme la Pologne, la Suède et les pays baltes pourraient adopter des sanctions conte des entreprises russes", a déclaré Stefan Meister, analyste politique pour les relations internationales au Conseil européen.

http://fr.ria.ru/presse_russe/20140311/200688851.html

 

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12/03/2014 | Lien permanent

Shoah : vous en reprendrez encore un petit coup pour la rentrée, histoire de ne pas oublier ? ?

Si ce n'est pas du lavage de cerveau pour soumettre les français et les peuples du monde, les contraindre à se prosterner devant les sionistes  et à nous taire éternellement tout en acceptant de nous faire coloniser sans nous battre contre les envahisseurs !  Il serait temps de boycotter la télévision, et de reprendre le pouvoir chez nous, NON ? 

SHOAH pour tous : 8 x 52 minutes de pleurniche pour la rentrée sur France 2

Devant la montée toujours plus grande, toujours plus infâme, toujours plus spectaculaire du nazisme en France, avec en tête le leader nauséabond Dieudonné M’Bala M’Bala, le CRIF se réjouit que France 2 se soumette à ses ordres et projette de diffuser un 8 x 52 minutes, c’est à dire quasiment 8 heures de pleurniche, aux citoyens français… parce qu’il NE FAUT PAS OUBLIER, BORDEL DE MERDE !!

LA SHOAH 8 x 52 mn France 2

Impression écran du site Crif.org, personnalisé par nos soins.


 

Le Nouvel Observateur, en bon chien de garde et organe de propagande massif du Système, qui n’avait pas oublié de nous cracher dessus il y a quelques mois, s’est également empressé de relayer l’information :

 

En 2015, à l’occasion de l’anniversaire de la fin de la Seconde Guerre mondiale, France 2 diffusera une série de 8 documentaires signés William Karell sur la Shoah.

la shoah fr2 Nouvel OBS

Impression d’écran du Nouvel Observateur, personnalisée.


 

Nous souhaitons interrompre cet article quelques instants afin de nous recueillir tous ensemble en repensant aux propos de sa Sainteté Roger Cukierman, lors de l’émission politique sur Judaïque FM, le 12 Septembre 2013, concernant « la désacralisation de la Shoah » :

Cukierman — Parce que pour eux, c’est très loin, c’est 40… 70 ans en arrière, donc heu… on leur a pas appris à l’école, suffisamment, ce que c’était…

L’animateur  Eux, ils disent le contraire ! Ils disent qu’on les a abrutis avec cela ! Enfin, les interviews qu’il y a eut.

Cukierman  Écoutez, moi je trouve que l’Éducation nationale n’a pas bien rempli son rôle, heu… je trouve que… heu… ça n’est pas au niveau du collège qu’on devrait enseigner ces choses là mais dès l’école primaire… heu… je me demande même s’il ne faudrait pas commencer à la maternelle… heu… parce que les gens ne naissent pas antisémites… donc ils le deviennent…« 

AMEN ROGER !

La Shoah à la maternelle

http://www.youtube.com/watch?v=28dY87kqHqE

 

 

Après ce moment de recueillement collectif amplement justifié, poursuivons notre aperçu de cette propagande de masse concernant l’imprescriptible, l’impardonnable et l’innommable pour des temps immémoriaux dans l’infini de l’univers intersidéral.

Ci-dessous, une troisième impression d’écran éloquente :

 

Entre archives et témoignages, les huit épisodes de 52 minutes en prime time relateront la Shoah depuis la montée du nazisme jusqu’à la libération des camps de concentration.

 

Impression écran customisée par nos soins du site leblogtvnews.com

Impression d’écran (personnalisée par nos soins) du site leblogtvnews.com


 

Pour finir cet article qui s’imposait de lui-même par le devoir de mémoire auquel nous sommes tous soumis et que nous ne voudrions en aucun cas bafouer, nous souhaitons rendre un dernier hommage à la souffrance éternelle, celle qui ne se compare pas, celle qui ne s’oublie pas, celle qui ne s’excuse ni ne se pardonne.

Présentation de la pièce de théâtre N’oublie jamais, le parcours d’un enfant rescapé de la Shoah. Reportage de janvier 2014.

On notera bien sur l’immense qualité des dialogues et du jeu d’acteur, prouvant s’il le fallait encore qu’il n’est pas nécessaire d’avoir du talent lorsqu’on veut parler de ce qui ne se pardonne pas. Au contraire, il est plutôt recommandé d’être totalement nul et de déblatérer son texte sans comprendre ce que l’on dit :

David Achau et Astu Bardamu, en direct de la zone occupée, pour Croah.fr.

http://croah.fr/corbeau-dechaine/shoah-pour-tous-8-x-52-m...

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07/07/2014 | Lien permanent

Les chefs d’Etat-major des forces américaines se mobilisent pour éviter la guerre

Au regard de l'instabilité mentale d'OBAMA  !

Est-il le seul à se comporter comme un psychotapthe ?
Nous aurions aussi beaucoup à dire sur certains dirigeants français et européens.
 

Les chefs d’Etat-major des forces américaines se mobilisent pour éviter la guerre

30 novembre 2011 - 10:00
1318 visites | 9 commentaires
 

30 novembre 2011 (Nouvelle Solidarité) – Une source haut placée du magazine EIR dans le renseignement américain, a confirmé hier que le Comité des chefs d’États-majors interarmées (Joint Chiefs of Staff – JCS) est pleinement mobilisé pour éviter une guerre, craignant que le Président Obama ne soit devenu – pour employer un euphémisme – « imprévisible ». La source a insisté sur le fait que, tant que la situation iranienne restera incertaine, les plus hauts gradés des forces américaines s’opposeront à toute opération militaire, y compris contre la Syrie.

Ce qu’ils craignent le plus, étant donnée l’instabilité mentale d’Obama, c’est d’être embarqués dans une guerre à laquelle ils s’opposent virulemment et qui résulterait d’une attaque israélienne contre l’Iran, entraînant à son tour une riposte iranienne contre Israël, les forces américaines et les alliés des Etats-Unis dans le Golfe persique. Les Etats-Unis ont des accords bilatéraux avec plusieurs pays membres du Conseil de coopération du Golfe (GCC), accords qui seraient activés dans l’éventualité d’attaques iraniennes contre eux.

Une fois les Etats-Unis embarqués dans une telle guerre, il n’y aura aucune limite au conflit, y compris le recours à l’arme nucléaire. De plus, la source a insisté sur le fait que les Etats-Unis sont toujours déployés en Irak, et que les relations avec le Pakistan sont devenues extrêmement complexes. On craint davantage une crise militaire avec le Pakistan, qu’un conflit impliquant la Syrie. Et il y a toujours une possibilité réelle que la Libye tombe dans une violence sectaire qui se transforme en guerre civile. C’est pour toutes ces raisons, a insisté la source, que les responsables du Pentagone sont clairement opposés à une quelconque escalade contre la Syrie ou l’Iran. La source a rajouté que la seule guerre dans laquelle le Pentagone souhaite s’engager, et immédiatement, c’est une guerre contre le Congrès et ses coupes budgétaires dans la Défense.

La source a aussi reconnu que la position russe sur les plans américains de bouclier antimissile (BAM) en Europe de l’Est est parfaitement légitime, et doit être prise en compte. Ni l’administration Obama ni aucun des pays de l’OTAN n’ont fait suffisamment pour qu’un véritable partenariat puisse s’établir avec la Russie sur le BAM. Cet état de fait s’est notamment confirmé par la détérioration des relations d’Obama avec Medvedev et Poutine.


À lire ou voir aussi...

 

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30/11/2011 | Lien permanent

À la recherche de planètes



Ken Tapping, le 10 mars 2010


Jusqu'à présent on a découvert au-delà de 400 nouvelles planètes gravitant autour d'autres étoiles. La recherche se poursuit tambour battant, en particulier pour des planètes similaires à la nôtre. De plus en plus de télescopes, y compris ceux d'astronomes amateurs, se lançant dans l'aventure, les découvertes ne pourront aller qu'accélérant. Cependant, cet engouement ne se rapporte qu'à d'autres systèmes planétaires. Et le nôtre?

Ptolémée et d'autres astronomes de l'Antiquité voyaient dans la Terre le centre de l'Univers. Ils étaient persuadés que la Lune, le Soleil, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne tournaient autour d'elle. Sept étant un nombre au sens particulier, il semblait tout à fait naturel que sept corps gravitent autour de nous, dans le firmament. Inutile d'aller chercher plus loin, même si les mouvements de Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne jetaient une note discordante dans cette cosmogonie. Copernic rectifia le tir en prouvant que le Soleil était le centre du système et que Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter et Saturne lui tournaient autour, sur des orbites concentriques. La Lune faisait toujours le tour de la Terre. Kepler donna des bases plus solides aux théories de Copernic, puis vint Newton, qui expliqua tout. Cependant, le nombre de planètes demeurait le même. On le doit au fait que celles énumérées jusqu'alors se voyaient aisément à l'oeil nu. Les télescopes firent leur apparition au XVIIIe siècle, mais ils étaient rudimentaires et ne montraient qu'un minuscule pan du ciel. Trouver quelque chose en fouillant le firmament au petit bonheur était fort peu probable.

Arriva William Herschel. Après avoir examiné les télescopes disponibles, cet Allemand établi en Angleterre en construisit un de qualité nettement supérieure. Il se lança alors dans un long programme visant à cataloguer les nébuleuses, ces nuages de gaz et de poussières qui luisent dans le cosmos. Un jour, il observa un disque verdâtre. Croyant avoir découvert une nouvelle nébuleuse, il se rendit compte que l'objet s'était déplacé à l'observation suivante. C'était Uranus.

Il y avait donc au moins encore une planète, là-bas! On l'avait vue sans la remarquer ni la consigner. Galilée lui-même avait pointé sa lunette dans la bonne direction. Quand Alexis Bouvard analysa l'orbite d'Uranus et nota avec précision ses futures positions en 1821, il prépara la scène pour une autre découverte, car, avec les ans, une erreur grandissait entre la position qu'il avait calculée et celle qu'on observait. Travaillant chacun de leur côté, John Couch Adams, en Grande-Bretagne, et Urbain Le Verrier, en France, conclurent que ces aberrations résultaient de la force d'attraction d'une planète inconnue. Ils calculèrent où elle devait se situer dans le ciel. Lorsqu'on la découvrit enfin, elle reçut le nom de Neptune. Ensuite, la recherche de planètes cessa, car, s'il y en avait d'autres dans le système, elles luisaient certainement moins qu'Uranus ou Neptune. Non seulement seraient-elles très éloignées de nous, mais la distance les séparant du Soleil ferait en sorte qu'elles seraient presque invisibles. Puis, en 1930, Clyde Tombaugh découvrit Pluton.

On pense maintenant que Pluton est une planète naine, à l'instar de nombreuses autres. Pour l'instant, rien n'indique qu'il reste quoi que ce soit qu'on conviendrait d'appeler une planète dans les coins reculés, glacés et obscurs du système solaire. La quête se poursuit, mais elle est ardue. Le fait qu'il est désormais plus facile de trouver des planètes tournant autour d'autres étoiles que gravitant autour du Soleil donne à réfléchir.

http://www.nrc-cnrc.gc.ca/fra/education/astronomie/tappin...


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21/03/2010 | Lien permanent

À la recherche de planètes


Ken Tapping, le 10 mars 2010

Jusqu'à présent on a découvert au-delà de 400 nouvelles planètes gravitant autour d'autres étoiles. La recherche se poursuit tambour battant, en particulier pour des planètes similaires à la nôtre. De plus en plus de télescopes, y compris ceux d'astronomes amateurs, se lançant dans l'aventure, les découvertes ne pourront aller qu'accélérant. Cependant, cet engouement ne se rapporte qu'à d'autres systèmes planétaires. Et le nôtre?

Ptolémée et d'autres astronomes de l'Antiquité voyaient dans la Terre le centre de l'Univers. Ils étaient persuadés que la Lune, le Soleil, Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne tournaient autour d'elle. Sept étant un nombre au sens particulier, il semblait tout à fait naturel que sept corps gravitent autour de nous, dans le firmament. Inutile d'aller chercher plus loin, même si les mouvements de Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne jetaient une note discordante dans cette cosmogonie. Copernic rectifia le tir en prouvant que le Soleil était le centre du système et que Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter et Saturne lui tournaient autour, sur des orbites concentriques. La Lune faisait toujours le tour de la Terre. Kepler donna des bases plus solides aux théories de Copernic, puis vint Newton, qui expliqua tout. Cependant, le nombre de planètes demeurait le même. On le doit au fait que celles énumérées jusqu'alors se voyaient aisément à l'oeil nu. Les télescopes firent leur apparition au XVIIIe siècle, mais ils étaient rudimentaires et ne montraient qu'un minuscule pan du ciel. Trouver quelque chose en fouillant le firmament au petit bonheur était fort peu probable.

Arriva William Herschel. Après avoir examiné les télescopes disponibles, cet Allemand établi en Angleterre en construisit un de qualité nettement supérieure. Il se lança alors dans un long programme visant à cataloguer les nébuleuses, ces nuages de gaz et de poussières qui luisent dans le cosmos. Un jour, il observa un disque verdâtre. Croyant avoir découvert une nouvelle nébuleuse, il se rendit compte que l'objet s'était déplacé à l'observation suivante. C'était Uranus.

Il y avait donc au moins encore une planète, là-bas! On l'avait vue sans la remarquer ni la consigner. Galilée lui-même avait pointé sa lunette dans la bonne direction. Quand Alexis Bouvard analysa l'orbite d'Uranus et nota avec précision ses futures positions en 1821, il prépara la scène pour une autre découverte, car, avec les ans, une erreur grandissait entre la position qu'il avait calculée et celle qu'on observait. Travaillant chacun de leur côté, John Couch Adams, en Grande-Bretagne, et Urbain Le Verrier, en France, conclurent que ces aberrations résultaient de la force d'attraction d'une planète inconnue. Ils calculèrent où elle devait se situer dans le ciel. Lorsqu'on la découvrit enfin, elle reçut le nom de Neptune. Ensuite, la recherche de planètes cessa, car, s'il y en avait d'autres dans le système, elles luisaient certainement moins qu'Uranus ou Neptune. Non seulement seraient-elles très éloignées de nous, mais la distance les séparant du Soleil ferait en sorte qu'elles seraient presque invisibles. Puis, en 1930, Clyde Tombaugh découvrit Pluton.

On pense maintenant que Pluton est une planète naine, à l'instar de nombreuses autres. Pour l'instant, rien n'indique qu'il reste quoi que ce soit qu'on conviendrait d'appeler une planète dans les coins reculés, glacés et obscurs du système solaire. La quête se poursuit, mais elle est ardue. Le fait qu'il est désormais plus facile de trouver des planètes tournant autour d'autres étoiles que gravitant autour du Soleil donne à réfléchir.

http://www.nrc-cnrc.gc.ca/fra/education/astronomie/tappin...


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10/03/2010 | Lien permanent

Cinq exoplanètes découvertes par le télescope Kepler

04 janvier 2010

Cinq exoplanètes découvertes par le télescope Kepler

Il n’a pas encore un an, et déjà cinq exoplanètes à son tableau de chasse. Elles ont été baptisées 4b, 5b, 6b, 7b et 8b et complètent la liste des 415 exoplanètes déjà détectées grâce à d’autres télescopes. Le télescope Kepler a été lancé par la NASA en mars 2009 pour trouver des planètes aux caractéristiques proches de celles de la Terre, où la vie serait possible. Ces cinq premières planètes sont toutefois trop chaudes pour que la vie y soit apparue. Elles sont en effet trop proches de leurs étoiles qui sont plus chaudes que le Soleil… Leur température va de 1 200 à 1 648 °C. Une température à ne pas mettre un être vivant dehors. [Edit : un être vivant tel qu’on l’imagine… cf commentaires]

Cité par l’Agence France Presse, William Borucki, le responsable de l’équipe scientifique de Kepler, est ravi des découvertes faites grâce à son rejeton :

“Ces découvertes montrent que les instruments fonctionnent bien et que Kepler pourra remplir tous ses objectifs. Ces observations permettent de mieux comprendre comment les systèmes planétaires se forment et évoluent à partir des disques de gaz et de poussière cosmique pour donner naissance aux étoiles et à leurs planètes.”

Même satisfecit pour Jon Morse, directeur de la division d’astrophysique de la NASA :

“Nous nous attendions à ce que Kepler découvre en premier lieu de telles exoplanètes. Ce n’est qu’une question de temps avant que le télescope ne détecte des planètes extrasolaires de plus en plus petites (…) avant de découvrir la première planète sœur de la Terre.”

L’observation des planètes n’est pas directe. Pour les repérer, Kepler scrute quelque 100 000 étoiles sur les millions qui se trouvent dans son champ de vision. Le passage d’une planète entre l’une de ces étoiles et le satellite provoque une infime variation de la luminosité de cette étoile. C’est cette variation que Kepler est capable de détecter et de mesurer, pour en déduire qu’une planète est passée par là. C’est ce qu’on appelle la méthode du transit. Le photomètre de Kepler est un assemblage de 42 capteurs CCD de très grande précision qui peuvent déceler des fluctuations de l’ordre de 0,002 % de la luminosité.

Identifier une planète n’est pas tout, il faut en déterminer les caractéristiques. L’une de ces caractéristiques, la distance qui sépare cette planète de son soleil, est déterminante pour les scientifiques dans leur quête d’une planète habitée ou habitable. Les données fournies par Kepler permettent de connaître la période de révolution de la planète, puisque la variation de luminosité de l’étoile se répète à intervalles réguliers. Grâce à la troisième loi de Kepler, justement, on peut déduire de la période de révolution la distance qui sépare la planète du centre de son orbite, c’est-à-dire de son soleil. On peut donc savoir si la minuscule planète située à des milliers d’années-lumière se situe dans la zone d’habitabilité de son étoile, ni trop près ni trop loin.

Photo : NASA

[La dernière partie de cette note est empruntée à une note précédente sur le sujet. De l’autoplagiat…]

Une “boîte à questions” est désormais à votre disposition. L’idée est de sélectionner deux  d’entre elles chaque mois – pour le moment – et de chercher pour vous les réponses, sur le modèle du New Scientist. Vous pouvez d’ores et déjà nous poser vos questions à cette adresse : enquetedesciences@gmail.com

http://sciences.blog.lemonde.fr/2010/01/04/cinq-exoplanet...

 

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06/01/2010 | Lien permanent

Illuminati, Preuves et plan général dont le déroulement est en cours !

Reconnaissez-vous les plans qui se déroulent sous nos yeux actuellement ?


Des origines à nos jours. Les Illuminati dominent maintenant tous les gouvernements et toutes les nations. La bataille finale contre l'humanité va bientôt commencer, nous serons tous esclaves de la plus machiavélique et satanique des dictatures ou l'horreur sera le quotidien des survivants, à moins que vous vous décidiez à agir ...


L'auteur de la vidéo ayant bloqué le code d'intégration, merci de cliquer sur le lien de la vidéo.

Illuminati, Preuves et plan général dont le déroulement est en cours !

http://www.youtube.com/watch?list=PL4CABFE9D26429537&NR=1&v=Cblr2_i6QUI&feature=endscreen

 

La lettre d'Albert Pike en 1871 qui annonçait 3 guerres mondiales

http://www.youtube.com/watch?v=w5YbA-FoZZ8

Voici ce que contient la lettre d'Albert Pike, sauf qu'il devait ignorer sans doute à son époque les changements cosmiques que nous traversons actuellement et que l'humanité s'éveillerait à une autre conscience qui ne la contraindrait plus à adopter une quelconque religion.


" Cette lettre du 15.08.1871 fut révélée par le Commodore William (1895-1959) dans son livre « Pawns in the Game » " Des Pions sur l'Échiquier ", Éd. Canadienne éditée en 1954 par la « National Federation of Christian Laymen ». Cet officier de marine canadien faisait partie de l'équipe formée par l'amiral britannique Sir Barry Domville, ancien chef de la « Naval Intelligence », retraité en 1936 et plus tard incarcéré par W. Churchill comme antibelliciste. [...]

VOICI LA LETTRE (authentique d'Albert Pike à Mazzini):

  1. " La Première Guerre Mondiale devait permettre aux Illuminati de renverser le pouvoir des Tsars en Russie et de transformer ce pays par la mainmise du Communisme athée. Les divergences « naturelles », attisées par les Agents des Illuminati entre les Empires Britannique et Allemand devaient servir à fomenter cette guerre. Le conflit terminé, le Communisme devait se constituer et être utilisé pour détruire les autres gouvernements et affaiblir les religions.
  2. " La Deuxième Guerre Mondiale devait être fomentée en jouant sur les divergences entre Fascistes et Sionistes Politiques. Cette guerre devait permettre la destruction du Nazisme et accroître la puissance du Sionisme Politique de façon à ce que l'Etat souverain d'Israël put s'établir en Palestine. Pendant la Deuxième Guerre Mondiale, la puissance du Communisme International devait arriver au niveau de celle de la Chrétienté tout entière. Arrivé à ce point, il devait être contenu et mis en réserve jusqu'à son utilisation pour le dernier cataclysme social. " Quelle personne informée pourrait nier que Roosevelt et ChurchilL ont réalisé cette politique ?
  3. " La Troisième Guerre mondiale doit être fomentée en utilisant les divergences que les agents des Illuminati attiseront entre les Sionistes Politiques et les dirigeants du monde musulman. La guerre doit être menée de telle manière que l'Islam (le monde Arabe y compris la religion de Mahomet) et le Sionisme Politique (y compris l'État d'Israël) se détruisent mutuellement. Dans le même temps, les autres nations une fois de plus divisées entre elles à ce propos, seront forcées de se combattre jusqu'à un état d'épuisement complet, physique, moral, spirituel et économique.


Quelle personne impartiale et raisonnable pourrait nier que les intrigues en cours au Proche, au Moyen Orient et à l'Extrême Orient ne préparent pas la réalisation de ce dessein infernal ? "


Le 15 août 1871, Pike disait à Mazzini qu'après la Troisième Guerre Mondiale, ceux qui aspirent à dominer le monde sans conteste provoqueront le plus grand cataclysme social que le monde ait jamais connu.


Nous citons ses propres termes empruntés à la lettre cataloguée au British Museum Library à Londres : " « Nous lâcherons les Nihilistes et les Athées et nous provoqueront un formidable cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement aux nations les effets d'un athéisme absolu, origine de la sauvagerie et du plus sanglant chambardement.


Puis tous les citoyens, obligés de se défendre eux-mêmes contre la minorité révolutionnaire mondiale, extermineront les démolisseurs de la civilisation, et les masses déçues par la chrétienté dont les esprit déistes seront à partir de ce moment sans boussole, à la recherche d'un idéal, sans savoir vers quoi tourner son adoration, recevront la vraie lumière grâce à la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer, enfin révélée aux yeux de tous, manifestation qui suivra la destruction de la chrétienté et de l'athéisme, simultanément soumis et exterminés en même temps.


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29/03/2013 | Lien permanent

Missile de croisière russe Kalibr, objet d'une profonde préoccupation US

L’empire du crime international organisé se croyait le plus fort et le mieux armé du monde !

Grandeur et décadence devant l’armement Russe !

Missile de croisière russe Kalibr, objet d'une profonde préoccupation US

14:40 08.10.2015 (mis à jour 16:11 08.10.2015)

La Marine russe frappe l'Etat islamique depuis la mer Caspienne

En plus des frappes ciblées contre les sites des djihadistes de l'Etat islamique en Syrie, la Russie tire des missiles de croisière depuis la mer Caspienne, toute l'opération se réalisant en coopération avec les troupes syriennes.

La milice kurde Peshmerga a publié sur le net une vidéo montrant des missiles de croisière volant vers les positions de l'Etat islamique (EI) en Syrie, supposant qu'il s'agissait d'engins russes tirés mercredi 7 octobre depuis la mer Caspienne, ce qui ne manque pas de préoccuper les militaires américains. 

 

"Les missiles de croisière sont très efficaces et difficiles à intercepter, ce qui constitue un immense défi", a déclaré devant le Conseil atlantique à Washington l'amiral William Gortney, chef du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD). 

Et d'expliquer que de tels missiles permettraient à la Russie de détruire des sites aux Etats-Unis sans quitter le territoire russe. 

"L'aviation stratégique russe et les missiles de croisière russes tirés depuis les sous-marins et les bâtiments de surface constituent un sérieux défi pour nous (…) S'il s'agissait auparavant de faire face à l'aviation stratégique russe dans notre espace aérien (…), la Russie a désormais une autre doctrine (…) et possède des missiles de longue portée extrêmement précis, ainsi qu'une aviation stratégique capable d'utiliser des obus conventionnels et des ogives nucléaires contre des sites au Canada et aux Etats-Unis (…) Cela nous oblige à attraper des flèches au lieu d'essayer de toucher l'archer", a indiqué l'amiral Gortney. 

Selon l'amiral américain, les Forces armées russes dépassent de loin qualitativement celles de l'Union soviétique basées sur la quantité. 

Le ministère russe de la Défense a publié mercredi la première utilisation en combat de ses missiles de croisière Kalibr, concurrents des Tomahawk américains. Il s'agit notamment de 26 missiles de croisière embarqués Kalibr tirés à une distance de 1.500 kilomètres depuis quatre navires de la Flottille russe de la mer Caspienne et ayant détruit 11 cibles. 

Ces missiles ont notamment frappé des usines de production d'obus et d'explosifs, des postes de commandements, des dépôts de munitions, de combustible et d'armes, ainsi que des camps d'entraînement des terroristes.

Le missile de croisière à haute précision Kalibr-NK est destiné aux navires de surface. Il a une portée d'au moins 2.600 km pour les cibles terrestres et de 350 km pour les cibles navales. La famille des missiles Kalibr (code Otan: SS-N-27 Sizzler) comprend en outre une version pour sous-marins, Kalibr-PL. Ces missiles équipent notamment le sous-marin nucléaire K-560 Severodvinsk (projet 885 Iassen).

 Les forces aériennes russes effectuent, depuis le 30 septembre, des frappes ciblées contre les sites de l'EI en Syrie à la demande du président Bachar el-Assad. Le groupe aérien comprend une cinquantaine d'avions dont des Su-24M, des Su-25 et des nouveaux Su-34 polyvalents. Les avions et les navires de guerre russes attaquent les terroristes en coopération avec les troupes syriennes. 

Au total, depuis le début de l'opération aérienne, les Forces aérospatiales russes ont effectué 112 frappes contre les positions de l'EI en Syrie. 

 

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09/10/2015 | Lien permanent

Etats-Unis: mandat d'arrêt contre Thomas Fabius pour de gros chèques en bois

Etats-Unis: mandat d'arrêt contre Thomas Fabius pour de gros chèques en bois

AFP le 29/10/2015 à 22:41, mis à jour à 00:00

Thoma Fabius.jpg

Thomas Fabius le 1er juin 2011 au Tribunal de Grande Instance de Paris ( AFP/Archives / Bertrand Guay )

Thomas Fabius, fils du ministre français des Affaires étrangères, fait l'objet d'un mandat d'arrêt aux Etats-Unis pour des chèques en bois à des casinos de Las Vegas, d'un montant total dépassant 3,5 millions de dollars, a annoncé jeudi à l'AFP le bureau du procureur local.

Ces énormes dettes de jeu ont été contractées dans la nuit du 15 au 16 mai 2012, selon l'hebdomadaire Le Point qui a révélé l'affaire. Ce même 16 mai 2012 Laurent Fabius était officiellement nommé chef de la diplomatie française.

Le mandat d'arrêt visant l'homme de 33 ans n'est pas international mais s'applique à tout le territoire américain, a indiqué à l'AFP un porte-parole du bureau du procureur du comté de Clark, dans l'Etat occidental du Nevada où se trouve Las Vegas.

En d'autres mots, Thomas Fabius risque de se faire arrêter s'il pose le pied aux Etats-Unis, a précisé ce porte-parole.

Joueur invétéré et personnalité sulfureuse, Thomas Fabius a déjà par le passé été accusé de jongler avec des millions dans des casinos où il a parfois laissé de lourdes "ardoises".

Le mandat d'arrêt, signé par le juge William Kephart en mai 2013, mentionne que les poursuites sont engagées par "l'Etat du Nevada contre Thomas Emmanuel Fabius".

Selon la plainte officielle remontant elle à avril 2013, obtenue jeudi par l'AFP, Thomas Fabius semble avoir été pris d'une frénésie d'achat de jetons et de plaques de casino, rédigeant des chèques à répétition.

Utilisant un chéquier de la banque italienne Banca Monte dei Paschi di Siena, il a libellé trois chèques à l'ordre de l'hôtel de luxe-casino The Palazzo: un de 200.000 dollars, un de 409.000 dollars et le troisième d'un million de dollars.

Au Aria Resort & Casino, un autre complexe offrant des jeux et des chambres luxueuses, le fils aîné de Laurent Fabius a remis cinq chèques, en sortant cette fois un carnet de la Société générale: deux chèques de 300.000 dollars, deux chèques de 100.000 dollars et un dernier de 200.000 dollars.

Enfin, au casino Cosmopolitan of Las Vegas, Thomas Fabius a écrit un chèque de 900.000 dollars, "sachant que le chèque ne serait pas encaissé quand il serait présenté", a relevé la plainte officielle.

La justice américaine n'est pas la première à s'intéresser à Thomas Fabius, dont le train de vie apparaît depuis plusieurs années ne pas correspondre aux revenus censés provenir de sa société de conseils.

Le trentenaire a ainsi été visé, avec d'autres personnes, par une information judiciaire contre X ouverte en France en juin 2013 pour "faux", "escroquerie" et "blanchiment".

Cette enquête avait été lancée pour éclaircir d'importants mouvements de fonds ayant pu transiter par le fils du ministre des Affaires étrangères.

Thomas Fabius avait notamment éveillé les soupçons en réalisant l'acquisition en 2012, pour 7 millions d'euros, d'un appartement à Paris. La transaction a fait l'objet d'un signalement à la cellule de renseignement financier Tracfin.

 

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30/10/2015 | Lien permanent

Cuba : Nouveau pacte entre le Vatican et Washington

Voilà un article qui nous donne encore raison ainsi qu'à Hugo Chavez, des intentions du Vatican et des USA/Nazisonistes non seulement de nuire à l'Amérique Latine mais aussi à la Russie et à l'Orthodoxie !

Rappelez-vous qu'il faut surveiller le Pape Noir Jésuite/Luciférien dans tous ses déplacements, ses déclarations et interventions géopolitiques, car il est là pour corrompre les autres religions qui ont été inventées de toutes pièces de toutes manières, pour faire avancer les plans du NOM et pour instaurer l'Unique Religion Mondiale qui est la base idéologique de l'instauration du Nouvel Ordre Mondial !


La place du Vatican et des Jésuites Lucifériens dans l'organigramme des élites

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Quelques liens qui nous démontrent avec qui, pour qui et contre qui travaille le Pape Noir/Jésuite Luciférien :

*- L'armée russe revient à Cuba.

*- Cuba/USA : L’espion US, relâché par Cuba, encadrait la communauté juive et la maçonnerie

*-  La délégation du Patriarcat de Moscou a participé à la rencontre du Pape François avec les représentants des Églises chrétiennes et des religions mondiales

*- Visite historique du Patriarche Cyrille en Chine

*- Le pape François souhaiterait rencontrer le patriarche Cyrille

*- La mémoire vive de la dictature argentine pèse sur le nouveau pape qui n'est décidemment pas un PDG pour les pauvres et les communistes !

*- Un mois avant le conclave, un insider du Vatican révélait l'identité du pape. Amérique Latine prochaine cible des USA

*- Pour Chavez, les États-Unis peuvent «inoculer le cancer». Amérique Latine la nouvelle cible des USA et du Vatican !

*- Les Jésuites lucifériens, espions et assassins du Vatican

*- Satanisme au Vatican: Intronisation de Satan au Vatican le 29 juin 1963, qu'ils disent !

*- De retour de Turquie, le pape François demande aux musulmans “une condamnation mondiale“ du terrorisme.


Cuba : Nouveau pacte entre le Vatican et Washington

Région : Amérique latine & Caraïbe, États-Unis, Europe
Obama Pape

 

Le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis d’Amérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde.

Quatre personnages représentatifs de deux Etats agissant à deux époques différentes, deux murs politiques qui s’effondrent à plusieurs années d’intervalle, le Mur de Berlin en 1989 et celui des Caraïbes en 2014, deux philosophies politiques distinctes qui dessinent des réalités sans aucun élément commun, le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis d’Amérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde. Trente ans séparent les deux pactes. Leurs objectifs, leur nature et leurs intentions vont de l’obscurité à la lumière, de la manipulation à la clarté, de l’entêtement au réalisme réfléchi.

Le premier a été scellé le 7 juin 1982 dans la bibliothèque du Vatican entre l’ex président étasunien Ronald Reagan et le pape de l’époque Jean Paul II. Le second a été négocié fin mars 2014, également au Vatican, entre le président des Etats-Unis Barack Obama et le pape François. Le premier, connu sous le nom de « Sainte Alliance Â» doit son existence à l’un des personnages les plus sombres de la diplomatie du Vatican : Pio Laghi, ex Nonce Apostolique en Argentine (1974-1980) et artisan, dans les années 80, de la reprise des relations diplomatiques entre le Saint Siège et Washington. Laghi était un homme de robe, ambigu et à la main de fer, ami et protecteur de la Junte Militaire argentine, réactionnaire et aveuglé par le spectre du communisme. Le pacte Reagan/ Jean Paul II avait un seul objectif : fomenter une cabale pour renverser le communisme, à n’importe quel prix. Richard Allen, premier conseiller de Reagan à la Sécurité Nationale, dira qu’il s’agissait de « l’une des alliances les plus secrètes de tous les temps Â».

Et ses développements comme ses résultats sont proprement hallucinants. Le pacte Obama/François a emporté le dernier bastion du Mur mais sans la participation des acteurs, c’est à dire Cuba, il n’est pas animé par la même morale ou les mêmes objectifs géopolitiques, pas plus qu’il ne s’accompagne d’assassinats ou de financements occultes.

La Sainte Alliance conduisit à un montage financier frauduleux organisé par le Vatican pour épauler clandestinement le syndicat polonais Solidarnosc, dont le leader de l’époque, Lech Walesa, deviendra président de la Pologne après la chute du Mur de Berlin. Ronald Reagan et Jean-Paul II étaient habités par la même obsession. Le juge William P. Clark, autre conseiller de Reagan à la sécurité nationale (et aussi le plus influent), dira également que tous deux « partageaient les mêmes choix spirituels et la même vision de l’empire soviétique : le bien et le droit triompheraient selon les plans divins Â» (The Judge : William P. Clark, Ronald Reagan’s Top Hand, de Paul Kengor et Patricia Clarck Doerne, Ignatius Press 2007). Quant à l’utilité du Vatican dans cette croisade anticommuniste, le secrétaire d’Etat de Reagan, Alexandre Haig, l’a très bien résumée : « Le réseau d’information du Vatican était meilleur et plus rapide que le nôtre Â». Pour l’Amérique Latine, cette Sainte Alliance fut synonyme d’un véritable bain de sang, de guerres et de répression. Le Saint Siège poursuivit de façon inhumaine tout ce que le continent comptait de progressistes en soutane. S’appuyant, pour ce faire, sur les secteurs les plus réactionnaires de l’Eglise et du pouvoir politique local et avec la participation de la Maison Blanche, c’est sans aucune hésitation, non plus, qu’il s’est accoquiné avec des congrégations et des personnages impliqués dans des agressions sur mineurs ou des vols en tout genre, comme ce fut le cas avec « Les légionnaires du Christ Â», de Marcial Maciel, que Jean-Paul II éleva à des hauteurs incroyables alors même que ses escroqueries et abus sexuels étaient de notoriété publique. De nombreux adeptes de la « Théologie de la Libération Â» payèrent de leur vie une telle persécution.

La complicité entre le Vatican et Washington est parfaitement documentée, et reflétée jusque dans les discours officiels de Ronald Reagan :

« L’Amérique latine est une zone pour laquelle nous éprouvons une préoccupation commune. Nous voulons y travailler en étroite collaboration pour promouvoir la paix, la justice sociale, les réformes et empêcher la propagation de la répression et des réimes tyranniques athées. Â»
(Ronald Reagan, Jack Nelson, « Reagan, Pope Join in Urgent Plea for Peace Â», Los Angeles Times, June 8, 1982).

Monter ce dispositif anti communiste éleva Jean-Paul II au rang d’interlocuteur privilégié des membres de la CIA et d’autres personnages de la sécurité nationale américaine qui allaient à Rome grâce à Pio Laghi. A partir du milieu 1981, une sorte de « navette de renseignements Â» ( intelligence shuttle) s’instaura entre Washington et le Saint Siège. L’un des visiteurs régulier de cette époque est aussi de triste mémoire pour l’Amérique latine, le général Vernon Walters, ambassadeur itinérant de l’administration Reagan, ex directeur adjoint de la CIA à l’époque du Coup d’Etat contre Salvador Allende. Dans son livre « The Mighty and the Meek Â» (St Ermin’s Press, 2001), le général Walters révèle les dessous de ses entretiens papaux. « L’administration avait conscience de la collusion d’intérêts entre l’Eglise Catholique et les Etats-Unis dans leurs efforts pour contenir l’expansion communiste. Je devais, en accord avec les ordres reçus, exposer les faits en m’appuyant sur les meilleures sources d’information disponibles. C’est ainsi qu’ont débuté les allers-retours réguliers au Vatican, deux ou trois fois par an. (…) Je faisais au Pape le compte-rendu des menaces engendrées par les missiles, les forces terrestres conventionnelles, l’aviation et la marine soviétiques Â». Mais les sujets de discussion allaient bien au-delà. Aux dires des journalistes Carl Bernstein et Marco Politi (« His Holiness : John Paul II and the Hidden History of Our Time Â», Doubleday, 1996), les entretiens avec le Souverain Pontife portaient aussi sur l’Amérique Centrale, région, à cette époque, durement touchée par la guerre au Salvador, au Guatemala et au Nicaragua sandiniste, où Washington apportait son aide militaire aux « contras Â». Pio Laghi, lors de sa mission en tant que délégué Apostolique aux Etats-Unis (1980), assistait régulièrement aux réunions de sécurité et rencontrait fréquemment le directeur de la CIA, William Casey, qui était catholique. Beaucoup de choses ont changé entre ces deux pactes, bien que les scénarii soient les mêmes, à commencer par le Vatican. En juin 1982, alors que Reagan et Jean-Paul II célébraient leur Sainte Alliance, dans les sphères pontificales proches du secrétaire d’Etat du Saint Siège, Agostino Casaroli,et l’archevêque Achille Silvestrini, négociaient avec le secrétaire d’Etat US Alexandre Haig et avec le juge William Clark.

En 2014, ce sont les secrétaires d’Etat, respectivement John Kerry et Pietro Parolin, avec le sénateur démocrate Patrick Leahy, qui ont jeté les bases de l’accord entre Obama et Bergoglio.

« Le monde doit écouter la voix du Pape Â», dit Obama au sortir de son entretien avec François. Le rapprochement était en marche depuis 2009, mais tout récemment en juin 2013, il est devenu plus effectif, en partie grâce aux positions adoptées par Bergoglio et Obama. Les personnages de cette saga diplomatique des temps modernes n’ont pas grand-chose à voir avec les membres du sinistre dispositif mis en place par Reagan et Jean-Paul II dans les années 80. Les diplomates expérimentés de Rome conjuguent dorénavant leurs efforts de négociations secrètes avec les envoyés spéciaux de Cuba et divers conseillers de la nouvelle génération venus tout droit de Washington. Le spectre du communisme ne poursuit plus personne. La jeunesse a été également un allié de poids. Voici l’exemple de l’un des hommes clés de ce cercle restreint, Ricardo Zúñiga, nommé par Obama en 2012 conseiller aux Affaires Latinoaméricaines à la place de Dan Restrepo. Né au Honduras, en 1970, Zúñiga émigre aux Etats-Unis à l’âge de quatre ans. L’autre pilier central est Ben Rhodes, viceconseiller à la Sécurité Nationale pour les Communications Stratégiques et lâ

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30/12/2014 | Lien permanent

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