Voilà un article qui nous donne encore raison ainsi qu'à Hugo Chavez, des intentions du Vatican et des USA/Nazisonistes non seulement de nuire à l'Amérique Latine mais aussi à la Russie et à l'Orthodoxie !
Rappelez-vous qu'il faut surveiller le Pape Noir Jésuite/Luciférien dans tous ses déplacements, ses déclarations et interventions géopolitiques, car il est là pour corrompre les autres religions qui ont été inventées de toutes pièces de toutes manières, pour faire avancer les plans du NOM et pour instaurer l'Unique Religion Mondiale qui est la base idéologique de l'instauration du Nouvel Ordre Mondial !
La place du Vatican et des Jésuites Lucifériens dans l'organigramme des élites
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Quelques liens qui nous démontrent avec qui, pour qui et contre qui travaille le Pape Noir/Jésuite Luciférien :
*- L'armée russe revient à Cuba.
*- La délégation du Patriarcat de Moscou a participé à la rencontre du Pape François avec les représentants des Ãglises chrétiennes et des religions mondiales
*- Visite historique du Patriarche Cyrille en Chine
*- Le pape François souhaiterait rencontrer le patriarche Cyrille
*- La mémoire vive de la dictature argentine pèse sur le nouveau pape qui n'est décidemment pas un PDG pour les pauvres et les communistes !
*- Un mois avant le conclave, un insider du Vatican révélait l'identité du pape. Amérique Latine prochaine cible des USA
*- Pour Chavez, les Ãtats-Unis peuvent «inoculer le cancer». Amérique Latine la nouvelle cible des USA et du Vatican !
*- Les Jésuites lucifériens, espions et assassins du Vatican
*- Satanisme au Vatican: Intronisation de Satan au Vatican le 29 juin 1963, qu'ils disent !
*- De retour de Turquie, le pape François demande aux musulmans âune condamnation mondialeâ du terrorisme.
Cuba : Nouveau pacte entre le Vatican et Washington
Le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis dâAmérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde.
Quatre personnages représentatifs de deux Etats agissant à deux époques différentes, deux murs politiques qui sâeffondrent à plusieurs années dâintervalle, le Mur de Berlin en 1989 et celui des Caraïbes en 2014, deux philosophies politiques distinctes qui dessinent des réalités sans aucun élément commun, le rétablissement des relations diplomatiques entre Cuba et les Etats-Unis dâAmérique via la médiation du Vatican recouvre une trajectoire historique sinueuse entre deux pactes secrets qui ont changé la face du monde. Trente ans séparent les deux pactes. Leurs objectifs, leur nature et leurs intentions vont de lâobscurité à la lumière, de la manipulation à la clarté, de lâentêtement au réalisme réfléchi.
Le premier a été scellé le 7 juin 1982 dans la bibliothèque du Vatican entre lâex président étasunien Ronald Reagan et le pape de lâépoque Jean Paul II. Le second a été négocié fin mars 2014, également au Vatican, entre le président des Etats-Unis Barack Obama et le pape François. Le premier, connu sous le nom de « Sainte Alliance » doit son existence à lâun des personnages les plus sombres de la diplomatie du Vatican : Pio Laghi, ex Nonce Apostolique en Argentine (1974-1980) et artisan, dans les années 80, de la reprise des relations diplomatiques entre le Saint Siège et Washington. Laghi était un homme de robe, ambigu et à la main de fer, ami et protecteur de la Junte Militaire argentine, réactionnaire et aveuglé par le spectre du communisme. Le pacte Reagan/ Jean Paul II avait un seul objectif : fomenter une cabale pour renverser le communisme, à nâimporte quel prix. Richard Allen, premier conseiller de Reagan à la Sécurité Nationale, dira quâil sâagissait de « lâune des alliances les plus secrètes de tous les temps ».
Et ses développements comme ses résultats sont proprement hallucinants. Le pacte Obama/François a emporté le dernier bastion du Mur mais sans la participation des acteurs, câest à dire Cuba, il nâest pas animé par la même morale ou les mêmes objectifs géopolitiques, pas plus quâil ne sâaccompagne dâassassinats ou de financements occultes.
La Sainte Alliance conduisit à un montage financier frauduleux organisé par le Vatican pour épauler clandestinement le syndicat polonais Solidarnosc, dont le leader de lâépoque, Lech Walesa, deviendra président de la Pologne après la chute du Mur de Berlin. Ronald Reagan et Jean-Paul II étaient habités par la même obsession. Le juge William P. Clark, autre conseiller de Reagan à la sécurité nationale (et aussi le plus influent), dira également que tous deux « partageaient les mêmes choix spirituels et la même vision de lâempire soviétique : le bien et le droit triompheraient selon les plans divins » (The Judge : William P. Clark, Ronald Reaganâs Top Hand, de Paul Kengor et Patricia Clarck Doerne, Ignatius Press 2007). Quant à lâutilité du Vatican dans cette croisade anticommuniste, le secrétaire dâEtat de Reagan, Alexandre Haig, lâa très bien résumée : « Le réseau dâinformation du Vatican était meilleur et plus rapide que le nôtre ». Pour lâAmérique Latine, cette Sainte Alliance fut synonyme dâun véritable bain de sang, de guerres et de répression. Le Saint Siège poursuivit de façon inhumaine tout ce que le continent comptait de progressistes en soutane. Sâappuyant, pour ce faire, sur les secteurs les plus réactionnaires de lâEglise et du pouvoir politique local et avec la participation de la Maison Blanche, câest sans aucune hésitation, non plus, quâil sâest accoquiné avec des congrégations et des personnages impliqués dans des agressions sur mineurs ou des vols en tout genre, comme ce fut le cas avec « Les légionnaires du Christ », de Marcial Maciel, que Jean-Paul II éleva à des hauteurs incroyables alors même que ses escroqueries et abus sexuels étaient de notoriété publique. De nombreux adeptes de la « Théologie de la Libération » payèrent de leur vie une telle persécution.
La complicité entre le Vatican et Washington est parfaitement documentée, et reflétée jusque dans les discours officiels de Ronald Reagan :
« LâAmérique latine est une zone pour laquelle nous éprouvons une préoccupation commune. Nous voulons y travailler en étroite collaboration pour promouvoir la paix, la justice sociale, les réformes et empêcher la propagation de la répression et des réimes tyranniques athées. »
(Ronald Reagan, Jack Nelson, « Reagan, Pope Join in Urgent Plea for Peace », Los Angeles Times, June 8, 1982).
Monter ce dispositif anti communiste éleva Jean-Paul II au rang dâinterlocuteur privilégié des membres de la CIA et dâautres personnages de la sécurité nationale américaine qui allaient à Rome grâce à Pio Laghi. A partir du milieu 1981, une sorte de « navette de renseignements » ( intelligence shuttle) sâinstaura entre Washington et le Saint Siège. Lâun des visiteurs régulier de cette époque est aussi de triste mémoire pour lâAmérique latine, le général Vernon Walters, ambassadeur itinérant de lâadministration Reagan, ex directeur adjoint de la CIA à lâépoque du Coup dâEtat contre Salvador Allende. Dans son livre « The Mighty and the Meek » (St Erminâs Press, 2001), le général Walters révèle les dessous de ses entretiens papaux. « Lâadministration avait conscience de la collusion dâintérêts entre lâEglise Catholique et les Etats-Unis dans leurs efforts pour contenir lâexpansion communiste. Je devais, en accord avec les ordres reçus, exposer les faits en mâappuyant sur les meilleures sources dâinformation disponibles. Câest ainsi quâont débuté les allers-retours réguliers au Vatican, deux ou trois fois par an. (â¦) Je faisais au Pape le compte-rendu des menaces engendrées par les missiles, les forces terrestres conventionnelles, lâaviation et la marine soviétiques ». Mais les sujets de discussion allaient bien au-delà . Aux dires des journalistes Carl Bernstein et Marco Politi (« His Holiness : John Paul II and the Hidden History of Our Time », Doubleday, 1996), les entretiens avec le Souverain Pontife portaient aussi sur lâAmérique Centrale, région, à cette époque, durement touchée par la guerre au Salvador, au Guatemala et au Nicaragua sandiniste, où Washington apportait son aide militaire aux « contras ». Pio Laghi, lors de sa mission en tant que délégué Apostolique aux Etats-Unis (1980), assistait régulièrement aux réunions de sécurité et rencontrait fréquemment le directeur de la CIA, William Casey, qui était catholique. Beaucoup de choses ont changé entre ces deux pactes, bien que les scénarii soient les mêmes, à commencer par le Vatican. En juin 1982, alors que Reagan et Jean-Paul II célébraient leur Sainte Alliance, dans les sphères pontificales proches du secrétaire dâEtat du Saint Siège, Agostino Casaroli,et lâarchevêque Achille Silvestrini, négociaient avec le secrétaire dâEtat US Alexandre Haig et avec le juge William Clark.
En 2014, ce sont les secrétaires dâEtat, respectivement John Kerry et Pietro Parolin, avec le sénateur démocrate Patrick Leahy, qui ont jeté les bases de lâaccord entre Obama et Bergoglio.
« Le monde doit écouter la voix du Pape », dit Obama au sortir de son entretien avec François. Le rapprochement était en marche depuis 2009, mais tout récemment en juin 2013, il est devenu plus effectif, en partie grâce aux positions adoptées par Bergoglio et Obama. Les personnages de cette saga diplomatique des temps modernes nâont pas grand-chose à voir avec les membres du sinistre dispositif mis en place par Reagan et Jean-Paul II dans les années 80. Les diplomates expérimentés de Rome conjuguent dorénavant leurs efforts de négociations secrètes avec les envoyés spéciaux de Cuba et divers conseillers de la nouvelle génération venus tout droit de Washington. Le spectre du communisme ne poursuit plus personne. La jeunesse a été également un allié de poids. Voici lâexemple de lâun des hommes clés de ce cercle restreint, Ricardo Zúñiga, nommé par Obama en 2012 conseiller aux Affaires Latinoaméricaines à la place de Dan Restrepo. Né au Honduras, en 1970, Zúñiga émigre aux Etats-Unis à lââge de quatre ans. Lâautre pilier central est Ben Rhodes, viceconseiller à la Sécurité Nationale pour les Communications Stratégiques et lâ