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OGM : La nature résiste à Monsanto ...!!!

AGRO-BIOTECH

OGM : résistance croisée inattendue chez une chenille de papillon

NOUVELOBS.COM | 07.07.2009 | 16:45

Des plantes transgéniques produisant deux toxines pour lutter contre des insectes ravageurs sont-elles protégées à long terme contre leurs attaques ?

Pectinophora gossypiella est un ravageur très répandu des champs de coton.

Pectinophora gossypiella est un ravageur très répandu des champs de coton. (Alex Yelich, University of Arizona)

Comme les bactéries face aux antibiotiques, les lépidoptères peuvent développer des résistances aux toxines de Bacillus thurigensis (Bt) introduites dans le maïs ou le coton pour éviter que leurs larves les mangent. Une nouvelle étude montre que même avec deux toxines des résistances croisées pourraient apparaître.

Dans le monde, 46 millions d’hectares sont aujourd’hui plantés avec des variétés transgéniques Bt. Après dix ans de culture environ, quelques cas de résistance aux toxines ont été observés dans les champs, notamment dans le sud des États-Unis avec le ver de l’Helicoverpa zea face à un coton Bt produisant la toxine Cry1Ac. D’autres cas ont été rapportés avec du maïs Bt en Afrique du Sud et à Puerto Rico.

Pour prévenir l’émergence de ces résistances, qui remettent en cause l’efficacité des OGM, les agriculteurs doivent laisser des zones ‘refuges’ autour d’un champ afin de maintenir un contingent d’insectes sensibles aux toxines. Les fabricants d’OGM ont de leur côté mis au point une nouvelle génération de plants transgéniques contenant deux toxines agissant sur des cibles différentes.

L’un de ces ‘OGM à deux coups’ les plus répandus est le coton Bt qui produit les toxines Cry1Ac et Cry2Ab. Aucun insecte résistant à ce coton transgénique n’a encore été repéré dans les champs. Cependant, l’équipe de l’entomologiste Bruce Tabashnik, de l’Université de l’Arizona (États-Unis), a montré en laboratoire qu’une résistance croisée aux deux toxines était possible.

Tabashnik et ses collègues ont sélectionné en laboratoire des vers roses du cotonnier (Pectinophora gossypiella) résistants à la toxine Cry2Ab, grâce à un régime alimentaire spécial. Ils ont constaté que des chenilles pouvant supporter des concentrations de Cry2Ab 240 fois plus élevées que la normale pouvaient aussi résister à des concentrations de Cry1Ac 420 fois plus élevées.

Les deux toxines ne ciblant pas le même récepteur dans le système digestif du ver, cette résistance croisée était en théorie peu probable. Les chercheurs soulignent que la manipulation inverse ne donne pas les mêmes résultats –sélectionner des vers résistants à la toxine Cry1Ac ne fournit pas de chenilles résistantes à Cry2Ab. La résistance croisée est donc asymétrique, expliquent les chercheurs, qui publient leurs travaux cette semaine dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

Selon Bruce Tabashnik, ces résultats ne signifient pas que le coton Bt produisant les deux toxines n’est plus efficace dans les champs pour lutter contre le ver rose mais ils montrent que la résistance croisée est possible et que les études doivent en tenir compte. Jusqu’à présent la plupart des travaux sur ce mécanisme avait testé un scénario (des chenilles sélectionnées pour leur résistance à Cry1Ac) mais pas sa réciproque, soulignent les signataires de l’article.

Cécile Dumas
Sciences-et-Avenir.com

07/07/09

Source : Nouvel Obs Sciences

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07/07/2009 | Lien permanent

Les super-tempêtes de l'apocalypse



Ce ne sont ni le réchauffement climatique ni la disparition des abeilles qui pourraient causer la fin de notre monde, mais les super-tempêtes engendrées par l'inversion des pôles magnétiques. D'après Salem News, ces changements magnétiques qui ont déjà eu lieu de nombreuses fois dans l'histoire de notre planète font un retour en force.

Ils auraient provoqué les nombreuses catastrophes climatiques, dont le cyclone Yasi en Australie est le dernier épisode en date. Avec des rafales de vent de 300 km/h, il a été considéré comme un cyclone de catégorie 5. Mais selon Salem News, il ne s'agirait que d'un «avant-goût» des super-tempêtes à venir, qui pourraient souffler jusqu'à plus de 600 km/h. Ces phénomènes détruiraient automatiquement «tout ce qu'ils trouvent sur leur passage sur la terre» et avoir des conséquences terribles:
«Les tempêtes ne détruiront pas seulement l'agriculture de la planète, provoquant des famines et une malnutrition de masse, elles changeront aussi le dessin des littoraux, détruiront des villes et feront des dizaines de millions de sans-abris. [Elles] peuvent aussi causer la chute de certaines sociétés, cultures et de pays entiers, tandis que d'autres entreront en guerre.»
Ces conjectures un tantinet catastrophistes reposent pourtant sur des études tout ce qu'il y a de plus sérieux. Un géophysicien danois, Mads Faurschou Knudsen, a reconstitué le champ magnétique terrestre d'il y a plus de 5.000 ans à partir de stalagmites et de stalactites trouvées en Chine. Il a confirmé une hypothèse selon laquelle les rayons galactiques cosmiques influencent le climat. Le champ magnétique terrestre sert en effet à réguler l'entrée des rayonnements cosmiques.

Or, des géophysiciens français et canadiens ont prouvé que le champ magnétique terrestre s'affaiblit rapidement - en cinquante ans, il a déjà perdu 10% de son intensité, rapporte Radio Canada. A terme, il mènera à une inversion des pôles magnétiques, d'après le géophysicien Gauthier Hulot, de l'Institut du Globe de Paris:
«Ce n'est pas le champ magnétique nord qui glisse vers le sud, pendant que celui du sud glisse vers le nord, en réalité, c'est le champ magnétique qui perd en intensité. [...] Ce sont plusieurs pôles magnétiques nord et plusieurs pôles magnétiques sud [qui apparaissent] et ces pôles vont avoir un mouvement de ballet qui va aboutir au repositionnement du pôle nord au sud, et du sud au nord.»
Selon une étude de 2009, le pôle Nord a déjà commencé à se déplacer du nord du Canada à la Russie à la vitesse de 65 km par an. Rassurez-vous, cette migration des pôles doit prendre des milliers d'années. Mais pendant cette période, le champ magnétique laissera passer les fameux rayonnements cosmiques - une perméabilité qui engendre une peur des effets des radiations et des vents solaires sur la Terre. Mais les mutations du champ magnétique terrestre pourraient avoir d'autres conséquences, comme la désorientation des oiseaux migrateurs, qui s'appuient sur eux pour parcourir de longues distances.

Pour mieux comprendre ces phénomènes, voici le reportage de Radio Canada sur le sujet.

http://fr.sott.net/articles/show/2506-Les-super-tempetes-...

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09/02/2011 | Lien permanent

Energie tachyon ou énergie libre que nous possédons en nous

On se demande parfois à quoi servent les scientifiques qui doutent que l'homme soit une centrale électrique ou magnétique liée à son environnement naturel, terrestre et cosmique. Il suffit de voir comment fonctionne les cellules où tout n'est que réaction schimiques et énergétiques  pour le comprendre. Si ce n'était pas le cas, comment pourraient-ils pratiquer les IRMN (Imagerie par Résonance Magnétique Nucléaire) ? Dans quels intérêts doivent-ils fabriquer des ignorants ?


"Nous pensons que l’Univers est extravagant,
mais il l’est encore plus que nous ne pouvons le concevoir. "


Richard Burdon Haldane dans un article de Wirtschafts Blatt

L’espace est certainement rempli par un champ d’énergie dont la concentration est extrêmement élevée.

Dans son discours d’ouverture du congrès de Hanovre, en 1980, le Pr. Eberhard Hamer dit que des scientifiques Japonais, Américains et Européens estiment sa tension à plus de 800 millions de volts par cm3. Ce champ n’appartient pas au spectre des ondes électromagnétiques, on le nomme champ de tachyon ou mer de neutrinos. Les tachyons sont de très petits éléments qui se déplacent plus vite que la lumière, mais pas obligatoirement.

Il est assez évident que la plupart des tachyons sont emmagasinés dans la structure atomique de la matière. Selon Koppitz, la vitesse du centre géométrique (V 50) de tout tachyon est identique à la vitesse de la lumière, c. La vitesse de la lumière est donc déterminée par la vitesse du champ de tachyon respectif. Des expériences expliquent aussi la perte de constance de la vitesse de la lumière. Si la vitesse de la lumière correspond à la moyenne géométrique de la somme des vitesses de tachyon, cela veut dire qu’elle change aussi en fonction des caractéristiques des modifications de ce champ.

W. Smith, physicien canadien disparu, écrivait que l’on supposait que la vitesse de la lumière était assez constante dans notre univers. On la définit comme étant le niveau auquel l’espace se déplace à l’intérieur du temps. Elle dépend des caractéristiques de temps du champ de tachyons. C’est seulement lorsque celles-ci demeurent constantes que la vitesse de la lumière reste elle aussi, constante. Mesurée à la surface de la terre, cette vitesse est loin d’être uniforme.

Il n’y a probablement qu’une petite partie des tachyons qui voyagent à une vitesse supérieure à celle de la lumière. La majorité d’entre eux reste relativement stationnaire, on les appelle bradyons. En raison de leur comportement oscillatoire (tremblotement comme dit Seike), ils ont une énergie énorme. Toute matière baigne dans un champ d’énergie extrêmement dense que nous ne pouvons percevoir. Voilà qui peut expliquer les apparitions de " fantôme " étayé par de nombreux résultats qui se produisent si souvent dans les expériences de photos Kirlian.

La photo Kirlian permet d’obtenir une image sur plaque sensible de toute matière biologique vivante, selon l'exemple suivant. On expose en général pendant huit heures une feuille fraîchement cueillie. Si l’on coupe un petit morceau de feuille avant de prendre la photo, l’image de la feuille demeure complète, partie manquante comprise. L’espace doit donc posséder des caractéristiques qui lui permettent de retenir l’impression de la matière qui y était précédemment contenue (au moins pendant plusieurs heures). C’est le concept de champ de bradyons au repos, mais doté d’une importante énergie qui peut expliquer ce phénomène Kirlian.

Mais, l’accélération gravitationnelle peut être expliquée seulement par des tachyons s’entrecroisant dans l’espace. L’effet de bouclier produit par la proximité d’une masse a pour résultat l’accélération d’une seconde masse vers une précédente, et vice versa. L’accélération gravitationnelle est un phénomène de pression, la compréhension de sa force d’impulsion résidant dans son caractère d’absorption (Magyari, Nieper, Kooy etc.)

Selon les connaissances actuelles, il est évident que l'on on peut transformer l’énergie tachyon en d’autres formes d’énergie. Voici diverses voies.

1.-Le champ de tachyon qui détermine la vitesse de la lumière et l’accélération gravitationnelle est capable de traverser n’importe quelle masse, mais cède à celle-ci par l’effet de freinage, une partie de son énergie. En traversant la Terre, les champs de tachyons perdraient à peu près 4 % de leur énergie, ce qui entraînerait un échauffement de la masse terrestre (géothermie). Il s’agit d’une estimation basée sur des comparaisons avec Jupiter (comme l'explique le Dr Nieper) et sur les exemples fournis par les recherches sur la Lune et Vénus qui donnent maintenant des bases expérimentales assez bonnes pour comprendre la production d’énergie, d’origine externe, dans le cœur des masses. Si l’on considère les besoins en énergie des humains, il ne fait cependant aucun doute que ce champ de tachyons est extrêmement riche.

2.-Towsend Brown a eu une place très importante dans le domaine des champs magnétiques et électromagnétiques qui sont en mesure d’intercepter l’énergie tachyonique. Ce pouvoir semble croître exponentiellement à la tension du condensateur utilisé à cet effet. Des masses dont le degré d’induction magnétique est très élevé doivent être à même d’intercepter une importante quantité d’énergie tachyon (cas de la lune de Jupiter Io ?)

3.- Des variations de tension (voltage) extrêmement rapides arracheraient également de l’énergie au champ de tachyons. Un moteur se base sur ce principe : celui de Gray. (voir aussi Kromrey)

4.- La marge qui sépare les ondes électromagnétiques des champs de tachyons semble réduite par les ondes stationnaires et certains types de modulations. Cet effet permettrait de convertir l’énergie de l’espace en énergie utilisable. C’est sur ce principe que Nikola Tesla a fait ses recherches, il y a plus de 100 ans. C’est ce que les spécialistes appellent aujourd’hui, l’Interféromètre de Tesla. Dès cette époque Tesla avait pu extraire une énergie électrique utile et il avait dit qu’il croyait que l’humanité capterait partout, la puissance illimitée, et ce, bien avant que de nombreuses générations ne soient passées. Récemment, son principe a été développé sous forme de canon Tesla, où les ondes électromagnétiques prennent la forme de faisceau laser, captant ainsi une énergie supplémentaire provenant du champ de tachyons. Ce rayon peut être ainsi une arme puissante à longue portée. En 1889, Tesla avait dirigé son canon sur une plaque éloignée, allumant plus de lampes que ne l’aurait fait l’énergie entrant dans son canon. Le physicien américain Moray, en 1929, n’a pas tiré avec ces ondes modifiées dans l’espace. Au lieu de cela, il les a dirigées dans un câble isolé de 15 mètres de long, produisant un courant continu de 70 kW !

5.- En culbutant brutalement le plan d’un système giratoire, il est possible aussi d’extraire de l’énergie du champ de tachyons. L’accélération qui en résulterait conduirait soit à des effets antigravitationnels soit à l’obtention de courant électrique, ou bien aux deux à la fois. Ces systèmes sont connus sous le nom de disque de Faraday (un aimant en rotation) et un " pivot  " de Laithwaite (gyroscope mécanique tournant à la périphérie d’un gyroscope central). (Voir N-Machine de De Palma et le disque flottant de l’anglais Searl).

6.- Les bobines conçues selon le principe de la bande de Moebius (ruban continu avec une seule face obtenu en collant bout à bout les deux extrémités d'une bande de papier après une demi rotation autour de son axe longitudinal) ou de la bouteille de Klein (corps fermé sur lui-même qui ne possède qu'une seule face et ne présente aucune délimitation tranchée) auraient pour effet d’enfermer les énergies de champ électrique que l’on y envoie. Du fait de la forme particulière, fermée sur elle-même, il serait possible, en faisant passer de l’énergie dans les noyaux de fer des bobines de produire une induction électromagnétique supérieure à celle que l’on obtient avec des électro-aimants ordinaires. Les solénoïdes émettraient alors, dans la direction axiale un faisceau de tachyons assez puissant pour fondre des pierres ou des métaux.

7.- Il est évident que, selon l’axiome de Nieper, toutes les accélérations naturelles sont basées sur un principe simple, à savoir, l’interception de tachyons non isotropiques. C’est vrai dans le cas de l’accélération gravitationnelle, magnétique, électromagnétique, électrostatique et radiesthésique. Cela signifie au fond que toutes ces accélérations pourraient être échangeables par des manipulations expérimentales. (voir Howard Johnson)

8.- Il existe une sorte de conversion d’énergie tachyon en chaleur qui affecte particulièrement les organismes biologiques, y compris ceux des humains. C’est le cas d’ espaces entourés de membranes conductrices. (Voir W. Reich et F. A. Popp, biophysicien allemand et le " Condensateur humain " du Dr Nieper). Pour ce dernier, il n’y a aucun doute : on peut réaliser la conversion de l’énergie tachyon, sans recourir à de lourdes infrastructures centralisées coûteuses nécessitant des câbles ni au pétrole : de petites entreprises peuvent construire des générateurs bon marché, aux principes simples.

Le Dr Nieper écrit :

" Imaginez-vous dans le dôme de Saint-Pierre, ou mieux, à l’Astrodôme à Houston. Au centre est suspendue une balle de golf, et sur le pourtour extérieur de ce grand espace, une hirondelle tourne en rond. C’est là une image approximative de l’atome d’hydrogène qui montre à la fois la petite masse et l’espace existant dans un atome. Imaginez maintenant que cet espace est rempli d’une nuée de moustiques, dont la plupart restent sur place. Certains, moins nombreux, traversent l’espace ; ils viennent de toutes parts et vont dans toutes les directions, leur vrombissement montrant leur énergie. Si on peut appeler tachyon chaque moustique de la nuée errante, ceux des nuées stationnaires s’appellent bradyons. Sans aucun doute, les tachyons ne sont pas reliés à la vitesse de la lumière. Mais celle-ci est plutôt définie par la vitesse moyenne du champ de tachyons. C’est pour cette raison que contrairement aux suppositions antérieures, la vitesse de la lumière n’est pas une constante. Quelques moustiques "  tachyons " frapperont le noyau, c’est à dire la balle de golf. Si l’impact est plus fort d’un côté que de l’autre, la balle sera poussée dans la direction du plus faible impact. C’est ce qu’on appelle l’accélération gravitationnelle en physique."

L’expérience de Michelson Morley





En 1881 et 1887, Michelson et Morley ont construit un interféromètre consistant en deux bras perpendiculaires pivotant sur un bain de mercure. Une modification des franges d’interférences entre les rayons parcourant les deux bras, réfléchis par des miroirs, devait révéler une différence de vitesse selon que le chemin parcouru était parallèle ou perpendiculaire au mouvement de la terre. Mais on ne put déceler la présence d’aucun vent d’éther. Fitzgerald et Lorentz émirent alors une hypothèse radicale : les bras de l’interféromètre se contracteraient au cours du mouvement de manière à compenser le vent d’éther. Plus tard, Poincaré reprit cette hypothèse.

Une explication de cette preuve expérimentale qui est devenue un dogme a été la négation de l’existence de l’éther. D’autres explications consistent à dire que l’éther est entraîné avec la Terre, et que les instruments de mesure sont faussés dans le sens du déplacement de la Terre, lorsqu’ils montrent que la vitesse de la lumière est apparemment la même dans les deux directions.

En Mai 1978, R. A. Muller a publié un article expliquant le nouveau mouvement de l’éther. Ses mesures montrent que le rayonnement de fond venant de l’espace aurait une légère déviation, par rapport à celle qui est partout hors du système solaire. L’interprétation de cette non uniformité dans les radiations est que le système solaire se déplace dans une direction à environ 600 km / seconde. Le mouvement peut comprendre plus que le seul système solaire. Muller suggère qu’un immense volume d’espace dont le diamètre se compte en années lumière, se déplace en rapport avec l’univers lointain. Muller estime donc que la mesure directe d’une partie des émanations électromagnétiques de notre univers montre qu’il y a là une sorte d’éther, et que la Terre se déplace en relation avec lui. Cette découverte vient en contradiction des mesures optiques faites par Michelson et Morley et qui sont devenues improprement la base de la négation de l’énergie de l’espace.

Texte intégral de la conférence donnée à Leyde en 1920 par Albert Einstein intitulée
" L'éther et la théorie de la relativité "

L'éther

La force qui vient de nulle part.

" L’énergie du vide exerce une pression sur toute chose. Normalement cette pression n’a qu’un effet faible puisqu’elle provient de toutes les directions à la fois et s’annule presque. Mais si 2 atomes sont proches, chacun fera office d’écran à cette pression vis à vis de l’autre. Il y aura un tout petit peu moins de pression du côté de l’atome voisin que dans une autre direction, ce qui fait que les atomes vont avoir tendance à se déplacer ensemble : c’est la force de Van der Waals. Bien que faible, elle a suffisamment de force pour que les atomes et les molécules se tiennent ensemble dans les gaz et les liquides. " (The Economist Juillet 1989)


Nous reviendrons sur la relation entre tachyon et gravitation dans notre prochain dossier.

QUELQUES MOTS SUR LES AIMANTS

Le concept des domaines pour les aimants avait été défini par le chercheur français Pierre Weiss, en 1907. Les domaines (normalement présents dans les dispositions aléatoires) désignent de petites unités, constituées peut-être seulement de quelques atomes de fer, qui sont en eux-mêmes des champs magnétiques. C’est seulement lorsque les axes magnétiques de la plupart de ces domaines sont parallèles qu’un morceau de fer montre ses propriétés magnétiques. Cela peut être sous l’influence d’un champ électrique (magnétisation électromagnétique), ou bien les domaines peuvent être en parallèle en raison de quelque entrecroisement interne. Ce sont alors des aimants statiques.

Dans quelques alliages au samarium (sm) (la Chine qui possède les plus importants gisements de samarium du monde est devenue un leader dans cette recherche) et au cobalt (co), on peut améliorer énormément cette disposition des domaines en parallèle. On soumet ces alliages fondus à un champ magnétique puissant, leur orientation magnétique persiste après refroidissement. Des influences électromagnétiques ultérieures et même des essais d’inversion des pôles modifient très peu le comportement statique de tels super-aimants. On a ainsi découvert, en 1959, qu’un alliage sm1co5convenait bien pour fabriquer des super-aimants, plusieurs centaines de fois plus puissants que des aimants en fer. En 1977, des expériences ont été menées en Suisse et au Japon avec des super-aimants en alliage sm2co17, que l’on appelle aujourd’hui super-superaimants. Selon B.E. Wallace, ces super super-aimants sont 30 millions de fois plus puissants que des aimants de fer statiques.

B. E. Wallace, Professeur à l’Institut de chimie de l’Université de Pittsburgh, un des scientifiques de pointe dans le domaine des superaimants dont il a découvert en 1959, la manière de les fabriquer. Il a fait paraître dans Sciences, publication de l'Académie des Sciences de New York (dont faisait partie le Dr Nieper), en mai - juin 1981, un article intitulé " Domaines éminents." Son article avait pour sous titre " Comment les super-aimants captent une force élémentaire " ce qui renvoie implicitement à l'énergie de gravitation.

Takahashi (dont il sera très bientôt question) utilise, lui de l’yttrium dans ses aimants encore plus puissants que ceux au samarium.

Ces recherches sont très importantes pour la conversion de l’énergie du champ de gravité, les technologies des N-Machines, ainsi que pour les convertisseurs basés sur le principe Tesla-Moray-Seike. Ceux-ci pourraient atteindre des dimensions totalement nouvelles avec l’invention de super-aimants, on pourrait avoir des moteurs électriques très petits, avec une sortie de courant élevée.

Autre exemple : le convertisseur de Johnson. En 1981, un scientifique américain écrivait : "Un petit groupe de l’état de Washington (probablement proche de Boeing, mais pas vraiment dans la Compagnie, cherche en ce moment des partenaires Européens car il possède un moteur de Johnson de construction simplifiée. Comptant sur la baisse du prix des aimants, il projette de sortir, à titre d’essai, des convertisseurs utilisant des aimants Sm Co au prix de $30.000 pour un modèle de 50 kW. " Le programme serait limité aux modèles convenant au marché domestique de 10 à 50 kW (13,5 à 67 CV).

Sommes-nous magnétiques ?

Les biologistes sont restés longtemps perplexes au sujet du lien entre l’électromagnétisme et les maladies telles que les leucémies, les cancers, et aussi le stress. Joseph Kirchvink, directeur de recherche à Caltech (California Institute of Technology) apporte une réponse. Il a découvert au printemps 1993 des cristaux de magnétite dans le cerveau humain.

Il dit :" La magnétite est le premier aimant permanent découvert dans les tissus humains, et elle possède de nouvelles et originales propriétés physiques. La découverte s’est faite d’une façon tout à fait simple. Dans une chambre stérile, sans poussière, et protégée du magnétisme, on a placé un aimant et, dans une ampoule scellée, du tissu cérébral humain. Au bout d’une semaine, les cristaux de magnétite de l’échantillon ont migré vers l’aimant. Un dé à coudre de tissu contient environ 5 millions de cristaux. Le cerveau peut les utiliser pour s’orienter vers le haut ou le bas ou pour une fonction biologique. On peut supposer qu’ils sont associés aux canaux utilisés par les ions pour régulariser le débit des substances à l’intérieur et à l’extérieur des cellules. Lorsqu’ils sont exposés à des champs électriques, les minuscules aimants peuvent se réorienter et aussi bien ouvrir les canaux que les fermer. Voilà qui peut affecter la santé et le fonctionnement cellulaire. Si des lignes électriques éloignées sont sans effets, des champs plus forts, comme ceux des fils dans les murs, des couvertures chauffantes, des cuisinières ou des sèche-cheveux peuvent augmenter les risques."

Rappelons que le Pr Rocard, en France, scientifique de renom, avait déjà publié d’importants résultats de recherche relatifs à la radiesthésie et à la présence de cristaux magnétiques dans le corps humain.

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Chercheurs, théoriciens, personnes qui oeuvrent pour faire connaître l'énergie libre

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12/09/2010 | Lien permanent

Sommes-nous séparés du Cosmos ?

A l'évidence NON !

Nous sommes faits de pure énergie !

 

L'Homme superlumineux

Présentation de l'éditeur

L’hypothèse ? Il existe un univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Une hypothèse qui rejoint les intuitions de certains philosophes de l’Antiquité et bouleverse les notions de naissance et de mort. Pour la première fois sont réunies les approches philosophiques les plus anciennes et les dernières découvertes de la physique moderne. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.


Quatrième de couverture

Grâce aux nouveaux accélérateurs de particules, les physiciens arrivent à propulser des particules à une vitesse proche de celle de la lumière. A ces vitesses extrêmes, les lois qui régissent notre univers n'ont plus cours. Ces travaux en physique fondamentale ont conduit le Pr Régis Dutheil à construire un modèle rendant compte de la complexité de notre monde. L'hypothèse ? Il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisqu'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, qu'il a baptisé " espace-temps superlumineux ", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité. Une hypothèse qui rejoint les intuitions de certains philosophes de l'Antiquité et bouleverse les notions même de naissance et de mort. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.



La médecine superlumineuse

Présentation de l'éditeur

Selon le Pr Dutheil, il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisque l'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, qu'il a baptisé " espace-temps superlumineux ", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité. Pourquoi la Médecine superlumineuse ? Parce que la médecine actuelle, chimique et moléculaire, va connaître une révolution capitale en utilisant les découvertes de la physique fondamentale. Chaque individu possède un champ électromagnétique, comme une " signature " caractéristique. Ce champ serait l'organisateur de notre hérédité (il agencerait les molécules d'ADN), le vecteur des informations de l'espace-temps superlumineux vers notre cortex et le reflet de notre santé, tant physique que psychique. La médecine superlumineuse traquerait donc la maladie avant l'apparition de symptômes pathogènes en agissant sur ce champ électromagnétique. Mal clans sa peau ou malade, on serait traité dans sa globalité, sans être morcelé selon les maux dont on souffre. Philosophiquement, la médecine du futur nous fera songer aux pratiques des guérisseurs asiatiques Ou africains. Sorcellerie ? Non, car nous en comprendrons scientifiquement les plus intimes mécanismes.



Quatrième de couverture

Selon le Pr. Dutheil, il existe un second univers complémentaire et symétrique au nôtre, où les vitesses sont toujours supérieures à celle de la lumière. Dans cet univers, notre notion de temps n'existe plus puisqu'on peut se déplacer de manière instantanée dans le passé, le présent ou le futur. Cet univers, qu'il a baptisé " espace-temps superlumineux ", n'est constitué que d'informations et de conscience : toutes les informations (passé, présent, futur) et la conscience de toute l'humanité. Pourquoi la Médecine superlumineuse : Parce que la médecine actuelle, chimique et moléculaire, va connaître une révolution capitale en utilisant les découvertes de la physique fondamentale. Chaque individu possède un champ électromagnétique, comme une " signature " caractéristique. Ce champ serait l'organisateur de notre hérédité (il agencerait les molécules d'ADN), le vecteur des informations de l'espace-temps superlumineux vers notre cortex et le reflet de notre santé, tant physique que psychique. La médecine superlumineuse traquerait donc la maladie avant l'apparition de symptômes pathogènes en agissant sur ce champ électromagnétique. Mal dans sa peau ou malade ? On serait traité dans sa globalité, sans être morcelé selon les maux dont on souffre. Philosophiquement, la médecine du futur nous fera songer aux pratiques des guérisseurs asiatiques ou africains. Sorcellerie ? Non, car nous en comprendrons scientifiquement les plus intimes mécanismes. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.


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17/01/2010 | Lien permanent

D'un pôle à l'autre, VA-T-ON PERDRE LE NORD ? Par Science Gouv. Le portail de la Science !!!

Vous le croirez ou pas ?

Qui nous donne cette information ?

Ils ne se moqueraient pas de nous par hasard ?

Il était temps qu'ils se réveillent alors qu'ils peuvent prédire une inversion des pôles magnétiques de la Terre, 5 ans auparavant !
 
Ils se sont fendus d'un article qui comporte plusieurs erreurs dont celles que le pôle nord magnétique migrerait vers le Nord Ouest, le Canada, alors qu'il migre vers le Nord Est, la Sibérie, ce que rapporte l'institut polaire français qui n'est pas non plus à quelques erreurs près et que son rythme de migration aurait accéléré de 40 km par an depuis quelques temps, alors qu'il aurait accéléré, de 60 à 120 km par an, si l'on nous dit toute la vérité, bien évidemment.
 
Nous voyons comment nous pouvons faire confiance "aux scientifiques aux ordres" du Portail Scientifique de Science Gouv.

Nous pouvons compter sur eux pour faire la culture des ignorants.

Nous nous demandons où ils vont prendre leurs données et s'ils ne les comparent pas avec celles de l'Institut Polaire Français qui ne se gène pas, lui non plus, pour nous raconter des âneries ? Ensuite ils viendront nous dire  aussi que l'Univers n'est pas électrique sûrement ! 
 
La vérité nous est rapportée par le Peuple Inuite qui n'a pas besoin d'une formation scientifique pour observer les changements de position du Soleil, des étoiles et de la Lune.

Inversion des pôles magnétiques terrestres en cours : Les Inuites nous alertent sur le changement de position du soleil et des étoiles.
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/09/21/invers...


Inversion des pôles - La Terre, cet Aimant Géant
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/01/09/inversion-des-poles-la-terre-cet-aimant-geant.html


D'un pôle à l'autre : VA-T-ON PERDRE LE NORD ?

L'explorateur s'oriente en se fiant à l'aiguille de sa boussole qui lui indique le Nord. Or le pôle Nord magnétique n'a pas une position stable. Il se déplace constamment et pourrait même un jour échanger sa place avec le pôle magnétique Sud ! L'explorateur risque-t-il de perdre son chemin ?

Le mot "nord" viendrait de "ner", d'origine proto-indo-européenne et signifiant "à la gauche du soleil levant". Son synonyme est "septentrion", du latin "Septemtriones", signifiant "les sept boeufs", constellation appelée maintenant "Petite Ourse" et où se trouve l'étoile polaire.

La "pierre qui attire le fer", nommée "magnétite" par les grecs d'après la cité de Magnésie où elle était abondante, était connue des Chinois depuis la plus haute antiquité. Ils s'en servaient dans des séances de divination. Ce n'est que bien plus tard, vers l'an mille de notre ère, qu'ils constatent qu'une aiguille, taillée dans cette pierre et libre de bouger, persiste à s'orienter toujours dans la même direction. Vers le Nord. La boussole est née !

Ce phénomène semblait magique et conduisit à d'étonnantes superstitions : l'aïl était interdit à bord des navires de peur que sa forte odeur empêche le bon fonctionnement de la boussole ! Au XIIIe siècle, on pensait que l'aiguille était attirée par l'étoile polaire, ou bien par une montagne de fer, tout là-haut, au Nord...

Puis on découvrit le rôle du champ magnétique terrestre et son origine au centre de la terre. Le noyau terrestre, constitué principalement de fer et de nickel, a une partie centrale ("noyau interne" ou "graine"), qui est solide à cause de la pression énorme, et qui est immergée dans le magma en fusion du noyau externe. Le tracé et la vitesse des ondes sismiques déclenchées par un tremblement de terre permettent de déterminer l'état de la matière et sa dynamique en profondeur.


Sur cette coupe de l'intérieur de la terre :

1 & 2. Noyau

3. manteau inférieur

4. manteau supérieur,

5 & 6. Croûte terrestre

Le noyau interne, brûlant et en rotation sur lui-même, provoque de forts mouvements de convection de la masse métallique en fusion du noyau externe : elle qui monte, se refroidit, retombe, engendrant des courants électriques. Ceux-ci, avec la rotation de la terre, s'organisent en courants circulaires et créent le champ magnétique terrestre tout autour du globe, approximativement selon son axe de rotation. D'une façon schématique, on peut dire que les courants électriques et le champ magnétique terrestre se renforcent et s'auto-entretiennent mutuellement, transformant la planète en une dynamo géante. On peut la représenter par un gigantesque aimant droit, avec les deux pôles magnétiques Nord et Sud : sur l'image, chaque grain de la limaille (poussière) de fer est comme un minuscule aimant qui s'oriente le long des lignes du champ magnétique et les matérialise.

Les pôles opposés s'attirent. Puisque le pôle Nord de l'aiguille aimantée est attiré par le Nord de la Terre, cela signifie que le pôle "Nord" magnétique terrestre est en fait un pôle magnétique "Sud". Il est trop tard maintenant pour rectifier cette erreur historique d'appellation et on continuera à parler du pôle Nord magnétique.

Les pôles géographiques, définis par l'axe de rotation de la Terre, et les pôles magnétiques, reliés par l'axe géomagnétique, ne coïncident pas exactement. Ces deux axes font actuellement un angle de 11°5 et le pôle Nord magnétique (Nm) est à environ 1000 km du pôle Nord géographique (Ng), en direction du Canada. (Ah bon ? Il migrait en direction de la Sibérie aux dernières nouvelles.)  Pour chaque point de la Terre, la déclinaison magnétique (ou "variation" chez les navigateurs), est l'angle formé en ce point entre les directions du pôle Nord géographique et du pôle Nord magnétique.


La déclinaison en un point donné de la Terre est l'angle formé par les axes reliant ce point au pôle Nord magnétique d'une part et au pôle Nord géographique d'autre part.

Le pôle Nord géographique a une position immuable au milieu de l'océan Arctique. Mais le pôle Nord magnétique, lui, se déplace : la variation quotidienne, due aux fluctuations solaires qui perturbent le champ magnétique terrestre, peut atteindre 80 km ; la variation séculaire, due aux mouvements internes du noyau terrestre, a été estimée à 1 100 km au cours du dernier siècle. Depuis 1831, le pôle Nord magnétique migre en direction du Nord-Ouest, avec une vitesse qui s'accélère depuis 1970 pour atteindre actuellement environ 40 km/an. (Faux : il migre vers le Nord Est, vers la Sibérie et sa migration s'accélère au rythme de 60 à 120 km par an).

Chemin parcouru par le pôle Nord magnétique depuis sa découverte, en 1831, jusqu'à 2001 :


Mais il y a pire... les pôles magnétiques Nord et Sud peuvent tout simplement s'inverser ! Les laves refroidies, qui contiennent de la magnétite figeant les traces de l'orientation du champ magnétique, ont révélé le phénomène. Elles fournissent l'historique des inversions de polarité, qui ont eu lieu en moyenne tous les 500 000 ans depuis environ 7 millions d'années. D'où peuvent provenir de tels renversements ? Impacts météoritiques ? Changement du phénomène de dynamo qui s'éteint et se remet en marche dans le sens opposé ? Changements dans l'écoulement fluide du manteau extérieur qui perturbent l'effet "dynamo" ? On ne sait pas trop. Avant une inversion, le champ magnétique s'affaiblit pour atteindre entre 10 et 25 % de son intensité initiale, et le pôle Nord migre plus ou moins vite. Il peut prendre la place du pôle Sud en "seulement" 5000 ans. En cas de disparition du champ magnétique terrestre, la Terre ne serait plus protégée des bombardements cosmiques qui pourraient provoquer entre autres des mutations et des destructions génétiques d'ampleurs variables.

La dernière inversion remonte à 780 000 ans. Le champ magnétique a disparu à ce moment-là, comme l'atteste l'existence de Béryllium dans les glaces profondes de l'Antarctique. Le Béryllium est un élément métallique qui se forme dans l'atmosphère terrestre sous l'action des rayonnements cosmiques.

A l'heure actuelle, l'intensité du champ magnétique terrestre faiblit. Sommes-nous à l'aube d'une nouvelle inversion ?

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Crédits photographiques :

  • Coupe de la Terre, par Mats Halldin et Chabacano, Wikimedia Commons, Licence CC BY-SA 3.0
  • Limaille de fer, Wikimedia Commons (image extraite de Practical Physics 1914), domaine public
  • Les lignes de champ matérialisant le champ magnétique relient les deux pôles magnétiques terrestres et sont perpendiculaires à la surface du globe au niveau des pôles, par USGS, domaine public.
  • Déclinaison du ôle magnétique et géographique, Wiki Paris Descartes, CC BY-SA 2.5
  • Déplacement du pôle nord magnétique, Ressources Naturelles Canada, reproduction autorisée à des fins non commerciales.
 

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22/09/2011 | Lien permanent

Double éruption solaire du 28 janvier 2011

Préparez-vous à avoir encore des surprises sur Terre, surtout que la Terre est de moins en moins protégée des radiations solaires depuis que des brèches importantes ont été découvertes dans le bouclier magnétique terrestre.

Magnétisme terrestre : Une importante brèche dans le champ magnétique observée par la NASA
 http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/01/04/magnetisme-terrestre-une-importante-breche-dans-le-champ-mag.html
Giant Breach in Earth's Magnetic Field Discovered
http://science.nasa.gov/science-news/science-at-nasa/2008/16dec_giantbreach/
Inversion des pôles terrestres ? Failles persistantes dans le champ magnétique terrestre
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/01/04/invers...
Filament et tempêtes magnétiques solaires, du nouveau !

 http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/11/12/filame...

DOUBLE ÉRUPTION SOLAIRE
« Le 28ème jour de Janvier a commencé avec non pas une mais deux éruptions majeures sur le soleil. Séparées de plus d'un million de kilomètres, les deux explosions se sont produites presque simultanément sur les coins opposés du disque solaire. »


Space Weather
http://spaceweather.com/
   
Explosion de classe M1.4

doubleblast2_anim.gif

L'animation par ce lien :
Trouvée sur Spaceweather, cette image nous montre l'éruption, en haut, à droite. Il y a un dégagement de matière coronale, en bas, à gauche, et c'est toujours le « filament » qui cause cette éjection.

Ce filament est visible depuis plusieurs rotations du Soleil. Il serait important de savoir si un tel phénomène a été observé par le passé ( je n'en ai pas connaissance ). Les premières traces de ce même filament datent du mois d'octobre dernier, ce qui en fait une longévité exceptionnelle de 4 mois.

Extrait de http://suivi-soleil.over-blog.com/

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29/01/2011 | Lien permanent

La Nasa écoute le «chant» de la Terre

 

La Nasa écoute le «chant» de la Terre

Sciences & Environnement

VIDÉO - Deux satellites envoyés en août pour étudier les orages géomagnétiques ont enregistré avec une clarté inégalée un phénomène bien connu appelé «effet chorus » et lié au champ magnétique terrestre. Aucun son ne peut se propager dans le vide de l'espace.

En revanche, les ondes électromagnétiques, elles, se déplacent sans problème. Autrement dit, si nous avions des antennes à la place des tympans, l'espace ne serait pas aussi silencieux qu'on l'imagine. Nous pourrions notamment entendre dans l'environnement immédiat de la Terre un bruit bien particulier ressemblant au cri d'un cochon d'inde: le chant de notre planète. La Nasa vient justement d'en révéler un enregistrement saisissant:

 


 

Cette transcription sonore a été obtenue à l'aide de l'instrument EMFISIS embarqué sur deux satellites, RBSP-A et B, envoyés en août pour étudier les orages géomagnétiques. Cet appareil enregistre les ondes électromagnétiques émises lorsque des particules chargées en provenance du Soleil viennent frapper le champ magnétique de la Terre. C'est ce qu'on appelle «l'effet chorus».
 
Les fréquences de ces ondes, inférieures à 10 kHz, sont situées dans la gamme des fréquences audibles par l'oreille humaine. L'«effet chorus» n'est pas anodin. Le champ magnétique de la Terre provoque en effet la formation des deux ceintures de Van Allen, des zones dans lesquelles on trouve une grande densité de particules chargées. Dans la ceinture extérieure, on trouve notamment des électrons de haute énergie, très nocifs pour l'homme et les satellites, dont les scientifiques pensent justement qu'ils ont acquis leur énergie en captant les «ondes de chorus». La mission RBSP a deux ans pour tenter de confirmer cette hypothèse qui fait encore débat dans la communauté scientifique.
 

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12/08/2015 | Lien permanent

Changements cosmiques : Mais que se passe-t'il dans le COSMOS et sur Terre ?

ISS: début de sortie dans l'espace d'un cosmonaute russe et un astronaute américain
AFP | 23.12.2008 | 08:48

Un cosmonaute russe et un astronaute américain de l'équipage de la Station spatiale internationale (ISS) ont entamé mardi la sortie dans l'espace afin d'installer sur l'ISS un équipement destiné à mesurer les champs électromagnétiques autour de la station, a rapporté l'agence de presse russe Ria-Novosti.

C'est la première sortie de Iouri Lontchakov et de Michael Fincke, arrivés à l'ISS en octobre à bord d'une fusée russe Soyouz.

Au cours de cette sortie, prévue pour durer six heures et dix minutes, les cosmonautes doivent installer sur le port d'arrimage de l'ISS un appareil spécial afin de mesurer les champs électromagnétiques autour d'elle.

Selon les experts, l'influence de ces champs pourrait être une cause des deux rudes atterrissages des équipages précédents revenus sur Terre à bord des vaisseaux Soyouz en avril 2008 et en octobre 2007, a indiqué l'agence.

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/sciences/20081223.SCI5409/iss_debut_de_sortie_dans_lespace_dun_cosmonaute_russe_e.html
 

Champ magnétique terrestre: à quand l'inversion des pôles?
22:00 | 04/ 09/ 2008

Par Andreï Kisliakov, RIA Novosti

Les récents problèmes qui ont surgi à bord de la Station spatiale internationale à la suite de l'apparition d'un virus informatique de faible puissance capable uniquement de voler les logins et mots de passe de jeux vidéo peuvent certainement être rangés dans la catégorie des frasques bénignes. Mais un autre phénomène pourrait rendre potentiellement impossible les vols habités dans l'espace. Et plus que ça. Il rendrait impossible toutes les liaisons aériennes, et nous empêcherait même de regarder la télévision. Il pourrait remettre en cause jusqu'à l'existence même de la vie sur notre planète.

Ce phénomène concerne le champ magnétique de la Terre, il est question, plus précisément, de ses changements rapides et constants. Selon les chercheurs de l'Institut du magnétisme terrestre de l'Académie russe des sciences, "les pôles magnétiques de la Terre se déplacent petit à petit vers l'équateur. L'intensité du champ baisse, lentement, certes, mais de façon constante. On estimait à un moment donné que, dans à peu près 2000 ans, elle tomberait à zéro, ouvrant une époque indéterminée de champ magnétique nul, ce qui serait une véritable catastrophe pour les êtres vivants. Cependant, la vitesse des changements à l'intérieur du noyau de notre planète (les mouvements dans le noyau externe, liquide, autour du noyau interne, solide, de la Terre créent un potentiel électrique, ce qui signifie que la Terre est une sorte de dynamo - NdA.) peut signifier que ce changement de polarité se produira bien plus tôt".

Si, il y a cent ans, quelqu'un avait dit que le Nord pourrait devenir le Sud, et vice versa, il serait certainement passé pour un imbécile. Mais, dès 1906, on avait établi que le magnétisme naturel de certaines roches était différent du magnétisme contemporain. On en déduisit que l'orientation du champ magnétique terrestre avait été autrefois différente: le Nord et le Sud avaient effectivement changé de places.

En 2001, on a découvert, au cours d'une expédition polaire internationale, qu'en sept ans le pôle magnétique Nord de la Terre s'était déplacé d'environ 300 km. Sa vitesse de déplacement du plateau continental arctique canadien en direction de la Russie, plus précisément vers l'archipel Severnaïa Zemlia, est aujourd'hui de 40 km par an. D'après les prévisions des scientifiques, le Nord pourrait se retrouver, à un moment donné, dans l'Atlantique Sud. En témoigne l'anomalie considérable observée dans cette région, où l'intensité du champ magnétique ne constitue que 60% de sa norme.

A propos, au cours des 20 dernières années, l'intensité du champ magnétique de la planète a baissé d'environ 1,7% et, dans les régions de l'Atlantique Sud, même de 10%. Au cours des deux derniers siècles, le champ magnétique terrestre a chuté, au total, de plus de 10%.

En quoi cela nous menace-t-il? En fait, en tout. Les scientifiques russes estiment qu'en cas de changement du champ magnétique, la protection de la Terre contre les radiations commencera à faiblir: "d'abord, des à-coups se produiront dans le fonctionnement des systèmes sensibles, à commencer par les téléphones mobiles. Les satellites tomberont en panne. Mais, avant cela, il faudra mettre fin aux vols spatiaux habités. Ensuite, les rayonnements spatiaux et solaires agiront sur le génome des organismes qui vivent sur la Terre: certains mourront, d'autres subiront de nombreuses mutations. Compte tenu des éruptions solaires qui s'accompagnent de puissants flots de particules chargées, il est probable que, bien avant la disparition totale du champ magnétique, toute vie sur Terre soit devenue impossible".

Bien sûr, cela semble épouvantable. Mais peut-être pas tant que les insectes géants avides de sang que nous promet régulièrement Hollywood. Mais ce genre de fin futuriste reste possible. En effet, les dernières données attestent qu'en 90 millions d'années, l'orientation des pôles magnétiques a changé, en moyenne, tous les 500.000 ans. On sait également, bien évidemment, que la vie n'a pas disparu, et qu'aucune vague de mutations génétiques massives ne s'est produite. L'atmosphère terrestre est un bouclier efficace pour tout ce qu'il y a de vivant sur la planète.

En ce qui concerne la technique, créée par le génie humain, et qui est devenue aujourd'hui son geôlier incorruptible, les choses sont plus compliquées.

Le développement des processus susmentionnés est dangereux surtout pour les systèmes informatiques, sans lesquels l'économie contemporaine est inconcevable. L'humanité subit déjà d'immenses pertes à cause de l'influence des tempêtes magnétiques suscitées par l'activité solaire. Avec l'affaiblissement du champ magnétique terrestre, l'intensité des tempêtes magnétiques s'accroîtra, ce qui paralysera, par exemple, les liaisons aériennes: puisque les ordinateurs de bord ne fonctionneront plus.

En outre, les vols en avion seront dangereux pour les voyageurs. L'influence des radiations est aujourd'hui de plus en plus sensible dans les couches supérieures de l'atmosphère, moins denses. Ce n'est pas par hasard qu'en 2000, une directive de l'Union européenne a rangé les pilotes et personnels de bord dans les catégories à risque du point de vue de l'exposition aux radiations. Pour l'instant, la force du champ magnétique de la Terre nous protège pendant les vols, mais qu'en sera-t-il à l'avenir?

D'autre part, les scientifiques ne savent pas encore à quel point les processus en cours concernant le champ magnétique de la Terre sont réversibles. En effet, personne n'est parvenu à expliquer pourquoi il y a eu des périodes, dans l'histoire de la Terre, où les pôles magnétiques n'ont pas changé pendant 50 millions d'années d'affilée. Peut-être, donc, que nous y échapperons cette fois aussi?

Les opinions exprimées dans cet article sont laissées à la stricte responsabilité de l'auteur.

Source : http://fr.rian.ru/analysis/20080904/116560289.html

Que se passe-t'il avec l'étoile polaire ? le 23/07/2008

 Mystère scientifique. Une équipe internationale d'astronomes a découvert un changement significatif et récent dans la fréquence des pulsations de l'étoile polaire. Sans en comprendre la cause. 

La nouvelle se répand discrètement, tant elle suscite troubles et interrogations. L'Université de St Andrews va annoncer cette semaine aux 350 astronomes réunis pour une colloque dans son enceinte les conclusions de l'étude menée par le docteur Alan Penny, du School of Physics and Astronomy.  De quoi s'agit-il Des astronomes ont observé scrupuleusement les variations de l'étoile polaire au cours de ces dernières années. Alors qu'il avait été constaté que ces fréquences avaient décliné tout au long du siècle dernier, ils ont découvert avec stupeur que l'étoile émet désormais davantage de pulsations, comme si elle avait retrouvé une nouvelle vigueur. Ces conclusions ont été corroborées par d'autres observations parallèles, effectuées par le Dr Hans Bruntt de l'Université de Sydney et le professeur Joel Eaton de l'Université d'Etat du Tennessee, qui a lui-même constaté un changement dans la vélocité à la surface de l'étoile, se répercutant sur le taux des vibrations. Le retournement, ou le "sursaut" dans la fréquence des pulsations se serait opéré depuis 10 ans environ.

A ce jour, les astronomes n'ont guère d'hypothèses satisfaisantes sur la cause de la modification de la structure interne de l'étoile.
L'étude complète sera publiée dans l'édition du 10 août du "Astrophysical Journal". 
Une étude préliminaire est déjà consultable sur le site :
http://arxiv.org/abs/0804.3593

Source : http://www.lepost.fr/article/2008/07/23/1229393_que-se-passe-t-il-avec-l-etoile-polaire.html
 

Que se passe-t'il dans le COSMOS ?
 
Alignement Galactique sursauts gamma et dédoublement quantique du système solaire en vue d'un « décollage » à fin 2012
 
La théorie du dédoublement des temps et notre planète par le Professeur Jean-Pierre GARNIER-MALET
 
La théorie du dédoublement par le Professeur Jean-Pierre GARNIER-MALET
 
Le point zéro de la résonance magnétique terrestre par Gregg Braden : Astrophysicien
http://www.onnouscachetout.com/themes/avenir/pointzero.php
 
Que se passe-t'il au niveau de la résonance magnétique terrestre ?
http://cristalain.over-blog.fr/article-25064093.html
 
Le site de l'astrophysicen : Gregg Braden
http://greggbraden.com/
 
Inversion des pôles : pas de place au hasard sur Terre
 
Taches solaires : le Soleil est en retard sur son cycle
On note dans cet article et est-ce un hasard, que le Soleil connaîtra d'un pic au niveau de son activité en 2012 ?
Les causes possibles des changements cosmiques : Entrée dans l'ère du Verseau
 
 
Ici, l'anneau d'Alcyone et l'ère du Verseau :
http://pagesperso-orange.fr/gnosis-samael/text/CONFALC.html
 
Ici : Alcyone et Hercolubus (Nibiru)
 
 

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26/12/2008 | Lien permanent

EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

Ben voyons !

Pour revenir sur l'article précédent, pour vous présenter ve copain du réseau Haarp, l'EISCAT qui a été cofinancé par le CNRS. Et où l'ont-ils construit ? Sur l'ile Svalbard, en Norvège !

Et que trouvons-nous déjà à Svalbard ?

Le coffre-fort de l'humanité - Pourquoi Bill Gates, Monsanto et Rockefeller ont-ils peur ?

Intéressant non ?

Il s'en passe des choses en Norvège, surtout lorsque l'on sait qu'un homme politique Norvégien a révélé l'existence de bases sous-terraines en Norvège pour mettre à l'abri les élites en prévision de l'arrivée de Nibiru  !

Planète X : La Norvège craint l'apocalypse

Les révélations d'un homme politique Norvégien
planete X.PDF

 

EISCAT SVALBARD RADAR : Un radar pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère terrestre en zone polaire

5/7/96
Pour des informations complémentaires,
contacter les chercheurs, en cliquant ici


Le 22 août 1996, l'un des Très Grands Equipements cofinancé par le CNRS, le radar à diffusion incohérente " Eiscat Svalbard Radar" (ESR), sera inauguré sur l'île Svalbard, à 80¡ de latitude Nord. ESR est consacré à l'étude de la haute atmosphère et de l'ionosphère, et au couplage entre le Soleil et la Terre (interaction vent solaire/ magnétosphère terrestre). Les premiers tests d'observation de l'Eiscat Svalbard Radar ont eu lieu le 16 et le 17 mars 1996 et ont été concluants. Ce radar a été construit grâce à une collaboration entre l'Allemagne, la France, la Grande Bretagne, la Finlande, la Norvège et la Suède dans le cadre de l'association scientifique EISCAT (European Incoherent Scatter Scientific Association). Outre le radar de Svalbard, EISCAT est composé de deux antennes radar réceptrices situées à Kiruna en Suède et à SodankylŠ en Finlande et de deux antennes émettrices, réceptrices situées à Troms¿ en Norvège. En novembre 1995, le Japon avec le National Institute of Polar Research of Japan est devenu le septième membre de la Société EISCAT, ouvrant la perspective d'une seconde antenne sur l'île de Svalbard.

Le Soleil émet de la lumière dans une large gamme spectrale. Dans l'extrême ultraviolet, son rayonnement électromagnétique est assez énergétique pour arracher des électrons à l'oxygène et à l'azote de l'atmosphère, au-dessus de 80 km, créant ainsi l'ionosphère. Celle-ci sert à la fois de bouclier à la planète, et de réflecteur pour les communications radio entre les pays. Dans l'ionosphère naviguent en outre les satellites. Enfin, l'ionosphère constitue un laboratoire naturel de plasma (c'est-à-dire un mélange de gaz neutre et de gaz ionisé) difficile à étudier en laboratoire et qui constitue plus de 99 % de l'Univers.

En outre, le Soleil perd en permanence des électrons et des ions dans un flux appelé le " vent solaire ". En l'absence du vent solaire, le champ magnétique terrestre serait en première approximation celui du dipôle magnétique. L'impact du vent solaire avec le champ magnétique de la Terre produit un phénomène comparable au vent d'une soufflerie sur un obstacle : une onde de choc à l'avant, qui conduit les particules solaires à contourner la Terre à environ quinze rayons terrestres (96 000 km) de son centre. Notre planète se trouve donc confinée dans une cavité : la magnétosphère. Ecrasée sur la Terre par le vent solaire côté jour, cette magnétosphère s'étend en une longue queue magnétique de plusieurs dizaines de rayons terrestres côté nuit, où à environ trente rayons terrestres, les particules d'origine solaire se retrouvent en une zone encore mal connue. Une partie de ces particules est expulsée vers l'espace, le reste retournant vers la Terre. C'est par cette brèche que des électrons et des ions du vent solaire peuvent pénétrer dans la cavité magnétosphérique. Ils se rapprochent de la Terre jusqu'à ce que le champ géomagnétique devienne assez intense pour les piéger. Ils " spiralent " alors autour des lignes de force du champ et vont se précipiter dans l'atmosphère au niveau des pôles, sur un ovale situé typiquement entre 65 et 75 degrés de latitude. Au cours de ce retour vers la Terre, sous l'action conjointe (encore mal comprise) du champ magnétique et du champ électrique présents dans ces régions, ces électrons sont accélérés jusqu'à une dizaine de milliers de km/s. En s'engouffrant dans l'atmosphère, les particules entrent en collision avec celle-ci. Certaines collisions ionisent les atomes et les molécules, d'autres collisions réfléchissent les électrons et les ions vers l'autre hémisphère. Le troisième type de collisions, qui est le plus important quantitativement, concerne celles qui excitent le gaz neutre. Enfin, les électrons précipités et cascadés vont chauffer les électrons ambiants par friction dans des proportions considérables. Les ions, atomes et molécules excités reviennent à leur état d'équilibre en émettant du rayonnement, entre autres dans le visible. C'est le phénomène d'aurore polaire : boréale au nord, australe au sud.

Cependant, entre le côté jour et le côté nuit, les lignes de force du champ magnétique terrestre sont ouvertes sur l'espace interplanétaire. Les particules du vent solaire peuvent s'engouffrer dans ces " cornets polaires " et se précipiter vers l'atmosphère. C'est la seconde brèche dans la carapace magnétique terrestre. En outre, dans ces régions, des ions de la haute atmosphère peuvent s'échapper de la magnétosphère. Cette région reste jusqu'à ce jour relativement mal connue.

Un effort sans précédent a été engagé pour comprendre ces phénomènes physiques et les mécanismes qui en sont à l'origine, EISCAT et l'Eiscat Svalbard Radar (ESR) étant une composante indispensable de cet effort international.

Eiscat Svalbard Radar consiste en une antenne de 32 m de diamètre et en un émetteur/récepteur à environ 500 MHz, qui permettra d'étudier l'ionosphère entre 70 et 2000 km d'altitude sur une bande de dix degrés de latitude. Il délivrera une puissance de 500 kW en des impulsions de quelques dizaines de micro secondes. Cette onde électromagnétique, en traversant le plasma ionosphérique, met en mouvement les électrons, qui réémettent une onde (onde diffusée). La connaissance de la distribution en fréquence de la puissance (le spectre en fréquence) de l'onde diffusée, permet de déduire les paramètres du plasma ionosphérique tels que :

- les températures (énergie) des ions et des électrons ;
- la densité des électrons ;
- la vitesse d'ensemble des ions ;
- la fréquence de collisions entre les ions et les particules neutres et la composition ionique.

Pour obtenir de telles informations il est indispensable d'avoir une très forte puissance d'émission, un bon rapport signal sur bruit nécessitant des récepteurs refroidis et un traitement du signal très sophistiqué. Le radar ESR prend en compte toute ces spécificités.

Les recherches autour de EISCAT et ESR sont essentiellement fondamentales. Le radar a été conçu et construit pour étudier l'atmosphère et l'ionosphère polaires. L'étude du couplage magnétosphère - ionosphère - thermosphère avec son système de courants, son champ de convection et la dynamique des neutres est un des objectifs prioritaires. L'échappement des ions de l'ionosphère vers la magnétosphère, le bilan de l'énergie déposée par le champ électrique, par les précipitations dans l'atmosphère terrestre et l'apport au niveau de la Terre que ceci représente est toujours un sujet ouvert. En outre grâce à ESR, on espère découvrir à quoi ressemble la reconnection transitoire entre le champ magnétique interplanétaire et le champ magnétique terrestre, comment est composée l'ionosphère polaire, aussi bien en terme de composition ionique que de températures, ou encore cartographier la circulation ionosphérique globale au dessus de la calotte polaire

La compréhension de tous ces phénomènes a aussi son importance pratique dans les possi-bilités de prédiction de l'activité aurorale. Celle-ci - aurores discrètes ou diffuses - perturbe la propagation des ondes électromagnétiques. La prédiction de cette activité est très importante pour les transmissions d'images de télévision dans les régions polaires, pour les communications radio utilisant les fréquences HF et enfin pour des raisons purement militaires telles que la surveillance de la zone polaire.

(D'après CNRS-Info numéro 326 (1/07/96)

 

http://www.cnrs.fr/Cnrspresse/n26a2.html

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14/04/2011 | Lien permanent

Résonance de Schumann et signaux rythmiques de la Terre. Les effets de la résonance magnétique de la Terre sur notre AD

Nous vous rappelons que le scientifique Gregg Braden a fixé à 13 Hertz le point zéro de la résonance magnétique de la Terre qui serait le point de l'éveil de l'humanité, et qui marquerait le point de départ de notre ascension vers le nouveau monde de lumière.

Le 21 décembre 2012 n'est donc pas la fin du monde, mais la fin de ce monde de mensonges et cette date marquera le début de notre entrée dans une nouvelle ère de lumière.

L'ère du Verseau, de la spiritualité et de la communication télépathique.

Nous ne sommes pas loin d'y arriver puisqu'il semblerait que nous en soyons actuellement à  12, 9 Hertz.


Résonance de Schumann et signaux rythmiques de la Terre

 

En 1957, le Pr. O.W.Schumann (Université Munich) découvre les Ondes Transversales Magnétiques Terrestres aujourd’hui connues sous le nom d’Ondes de Schumann ou Résonance de Schumann. Il s’agit d’un phénomène atmosphérique naturel et permanent qui se propage autour de la Terre sous la forme d’une Onde Radioélectrique. Il faut tout d’abord savoir que la Terre est entourée d’une épaisse couche de particules chargées électriquement et ionisées appelée IONOSPHERE. Cette couche d’air ionisé s’étend sur une épaisseur qui va de 60/80 Km à 640 Km ; c’est le bouclier qui protège la Terre contre les vents solaires et les rayons cosmiques et réfléchit en outre les ondes radio. L’ionosphère est une couche épaisse fortement chargée qui forme avec la Terre un véritable condensateur ; ainsi la Terre est chargée négativement et l’ionosphère positivement, ce qui crée entre les deux une différence de potentiel variable de 200 volts par mètre en moyenne. Ce qui fait un véritable générateur électrique et les vents solaires, en interaction avec l’atmosphère en rotation, agissent comme des balais sur le collecteur d’un générateur. Terre et Ionosphère contiennent assez d’énergie potentielle (au moins 3 milliards de KW) chacune pour que l’excitation résonnante de la cavité Terre/Ionosphère augmente l’amplitude de fréquences Schumann naturelle, facilitant le captage de puissance électrique utile.

 

La Terre est en effet un grand conducteur sphérique et l’Ionosphère un plus grand conducteur encore. Les deux réunis constituent les plaques parallèles d’un condensateur d’un « condensateur sphérique » d’une capacité de 1500 microfarads pour la cavité totale Terre/Ionosphère. Dans les années 50, Russes et Américains s’intéressent aux travaux de M.TESLA, donc de l’Ionosphère, et se rendent vite compte que de puissantes émissions d’ondes ionisantes ont le pouvoir de modifier le climat. Ils leurs suffit d’activer les Electrons qui composent les différentes couches de l’atmosphère jusqu’à en modifier la densité. Le système HAARP de modification du climat est déjà là et nous lui consacrerons un chapitre.

Selon R.Miller « le champ magnétique » entourant la Terre peut être comparé à un gel assez ferme. Lorsque nos corps se déplacent et vibrent, ces mouvements sont transmis à l’environnement et vice-versa. Lorsque nous sommes normalement debout sur le sol, nous sommes « à la Terre » au sens électrique du terme.. Alors nos corps agissent comme de vidanges pour le champ électrostatique et déforment les lignes de force. Rappelons que le champ humain possède ainsi son propre champ électrostatique autour de lui, des lignes de champ résultant de diverses réactions biochimiques dans le corps ; le Bio champ qui en résulte, nous accouple au champ isoélectrique de la planète. En 1957, Schumann calcula les fréquences de la résonance Terre/Ionosphère et repéra la principale onde permanente à environ 7,83 Hz (cycles par seconde), chiffre confirmé plus tard par Koenig. Cette onde coincée dans la cavité d’air comprise entre la surface du sol et l’Ionosphère se répercute sans fin à la même fréquence de 7,83 car constamment réactivée. En fait, cette pulsation se nourrit de l’activité électrique des orages (à l’échelle du globe, il y a près de 300 éclairs à la seconde) mais aussi du vent solaire et de ses rafales de photons à hautes énergies qui viennent en permanence caresser les couches les plus hautes de notre atmosphère, l’électrisant progressivement et saturant la haute atmosphère de charges électriques qui constituent l’Ionosphère. Toutefois, en fonction du jour, de la nuit, des saisons, la pression du « souffle » solaire sur la haute atmosphère augmente ou diminue et l’épaisseur de l’ionosphère s’en ressent tout comme l’atmosphère terrestre. Rappelons que ces ondes Schumann vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains et des mammifères en général.

Selon HAIMSWORTH, le fait que les signaux naturels de la RS ont une influence sur l’évolution du modèle des ondes cérébrales montrent que tout les champs électriques de faible puissance  sont susceptibles d’exercer une telle influence, autrement dit, que les champs électriques produits inconsidérément par les technologies humaines modernes peuvent constituer « des sources de changements » comme par exemple, à plus ou moins long terme, l’extinction progressive des espèces existantes. Cela se comprend aisément puisqu’il s’agit d’un système accordé constitué d’au moins 20 oscillateurs dont les fréquences naturelles de résonance sont identiques. Si les oscillateurs commencent à émettre, il active aussitôt l’autre par une sorte de processus de résonance dans les neutrons. HAIMSWORTH cite le cas où, lorsqu’un homme est en méditation profonde (marquée par des ondes aux rythmes Alpha et Thêta qui traversent son cerveau) une entrée en résonance peut se faire entre l’être humain et la planète Terre. La planète Terre, en effet communique avec nous selon ce langage primitif des fréquences. Même la santé des hommes semble liée aux paramètres géophysiques par le biais des résonances de Schumann. Comme la fréquence des signaux RS est déterminée par les dimensions de la cavité entre la Terre et l’Ionosphère, tout ce qui modifie ces dimensions, modifiera aussi les fréquences de Résonance, comme par exemple, les tempêtes de l’Ionosphère qui provoquent des modifications magmatiques sous forme de tempêtes géomagnétiques qui peuvent intervenir dans la modification des signaux RS. En effet, les fréquences des signaux RS varient en fonction des conditions Ionosphériques qui changent quotidiennement de façon saisonnière et selon les variations de l’activité solaire qui, à son tour, varie selon le cycle de 11 ans de tâches solaires et du cycle lunaire de 27/29 jours, surtout durant les périodes de tâches solaires minimales. Les marées lunaires, en affectant la hauteur et l’épaisseur des couches peuvent modifier les dimensions de la cavité et par conséquent les fréquences RS ; c’est aussi les signaux ELF de HAARP envoyés par des hommes inconscients des dangers qu’ils font peser sur l’humanité, car il faut le rappeler, ces ondes RS vibrent à la même fréquence que les ondes cérébrales des êtres humains soit 7,8 Hertz ou cycles par secondes. C’est la fréquence de Résonance de l’Hypothalamus et l’unique fréquence commune à tout les mammifères, alors que le rythme Alpha peut varier d’une personne à une autre (entre 9 et 11 Hertz) la fréquence de 7,8 Hertz est commune à absolument tous. C’est une constante biologique sous laquelle la vie humaine est impossible, c’est dire son importance.

Ainsi, lorsque les astronautes rentraient de leurs missions spatiales, ils avaient tous de sérieux problèmes de santé. En effet, lorsqu’ils volaient au dehors de l’Ionosphère, il leur manquait cette fréquence vitale de 7,8 Hertz. Pour résoudre ce problème majeur, on installa à bord des vaisseaux de l’espace des générateurs d’ondes de Schumann artificielles. La NASA a, sur ce sujet, multiplié les études et prouvé que si l’on enferme quelqu’un dans un bunker totalement isolé magnétiquement, de graves problèmes de santé surviennent rapidement accompagnés de rythmes cardiaques complètement anarchiques. Dés que l’on émet des pulsations de 7,8 Hertz à l’intérieur, immédiatement les conditions se stabilisent. Notons encore que beaucoup de problèmes cardiaques surviennent durant les tempêtes électromagnétiques sur Terre ; ils sont dus aux perturbations de ces ondes RS ou onde Schumann. Actuellement, toutes les recherches faites sur la RS indiquent que la fréquence de base de la RS a augmenté dangereusement créant une menace pour toute la Biosphère et pour la santé et l’avenir de l’espèce humaine. Rappelons que tous les processus biologiques sont fonction des interactions du champ électromagnétique. Ces champs EM constituent le lien entre le monde des formes et les schémas de résonance ; ils stockent les configurations et les modèles d’information. Enfin, le pont qui relie les résonances du système solaire et les fréquences cérébrales se situe dans l’hélice de l’ADN humain. HAIMSWORTH, comme Schumann se rendit vite compte que la santé des hommes, leur existence même était liée à des paramètres géophysiques par le biais de ELF naturelles. HAIMSWORTH précisait les particularités naturelles de la gamme des fréquences des ondes du cerveau : les fréquences des signaux électromagnétiques naturels qui circulent dans l’enceinte électriquement réverbérante délimitée par la Terre et l’Ionosphère ont dirigé ou déterminé l’évolution ou le développement des fréquences de fonctionnement des principaux signaux du cerveau humain. En particulier, le rythme Alpha est situé de telle sorte qu’il ne peut, en aucune circonstance supporter une interférence importante de la part des signaux naturels ambiants.

Pour HAIMSWORTH, ces fréquences cérébrales évoluent en réponse à ces signaux ; donc les conditions des changements évolutifs des modèles des ondes cérébrales sont bien établies et leurs variations peuvent affecter gravement la santé et le comportement humain ; certains effets commencent à être connus mais dans la plupart des cas, la nature des stimulis ne permet pas toujours l’identification exacte des effets provoqués, surtout si au milieu s’insèrent des effets eux aussi provoqués, de stress, on obtient donc, avec ces changements de signaux, des comportements asociaux, des troubles mentaux profonds, des états psychosomatiques et des perturbations neurologiques. Certains phénomènes des champs électromagnétiques ont pu être associés à une diminution de la résistance immunitaire et à la prolifération de cellules anormales (tumorales.). Ainsi le champ Isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émanent de nos corps sont étroitement imbriqués ; nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes affectant notre équilibre. Nos schémas REM (Rapid Eye Mouvement), notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales. Les rythmes et les pulsations du cerveau humain reflètent bien les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’onde. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes d’ondes cérébrales. Comme les EEG, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes (R.A.MILLER). En 1977, le chercheur ITZA BENTON traita de cette relation entre les signaux ELF de la Terre et les rythmes des ondes cérébrales confirmant les propos tenus ici. Un autre grand physicien Finlandais, MATTI PITKANEN, a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes Psy et le Temps Sidéral qui donne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 1h30. Rappelons que le Temps Sidéral en un lieu est l’angle horaire du Point Vernal en ce lieu ; ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure ni le temps solaire vrai. Il y implique le Flux Magnétique provenant du centre galactique, combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. Ses recherches l’amènent à penser que « les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio contrôle dans l’homéostasie et dans les interactions à distance ». Pour Pitkanen, le système corps-esprit fonctionne comme un bi ordinateur quantique dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les PLASMONS comme base des circuits neuraux et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés comme générateurs de changements dans la polarité magnétique. L’expression  « allumer les neurones du cerveau » peut paraître erronée puisque, en fait, ces neurones sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Ainsi, en état de méditation profonde, lorsque les ondes ALPHA et THETA parcourent le cerveau entier, il est probable que l’être humain et la planète entrent en résonance. Selon R.A.MILLER, c’est « un transfert d’énergie et d’information qui est incrusté dans un champs magnétique. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérissons (par magnétismes) semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes ALPHA ».

D’ailleurs l’histoire nous apporte des preuves anthropologiques et culturelles que les hommes depuis la nuit des temps, se sont intuitivement synchronisés avec la RS ou Résonance Planétaire. Ces traces se retrouvent par exemple dans certaines pratiques rituelles, dans les états de transe du rythme des tambours chamaniques, ou de la plupart des danses extatiques, dans le balancement et l’inclinaison rythmiques des pratiquants des religions juive et musulmane lorsqu’ils psalmodient leurs prières ; on le retrouve aussi dans les danses sacrées hindou et les célèbres MUDRA. Nous pourrions multiplier encore les exemples, comme celui, très significatif, des danses de guérison qui induit la fréquence d’énergie de guérison, c’est-à-dire un esprit de guérison, un esprit plus étendu qui relie les hommes à la nature et à la planète dans une interconnexion dynamique corps/esprit/terre/galaxie. En 1998, C.H.ANDERSON découvrit le phénomène très courant du POS (Son Oscillatoire Persistant) un « son » généré à l’intérieur surtout lors de déshydratation ou de maladie, où il devient plus fort ; ce son ressemble à un bourdonnement d’insecte et Anderson l’attribue au REM (Rapid Eye Mouvement), à l’état de stress post-traumatique, mais surtout au rythme normal ALPHA de 10 Hz. La RS est 20 000 fois moins puissante que le champ magnétique terrestre. Il y a des milliers d’années, le champ magnétique  terrestre était beaucoup plus fort et la RS, cette voix de la planète était aussi plus forte, moins diluée par la pollution EM et nos ancêtres pouvaient l’entendre. Il est même probable que notre système nerveux s’est développé au fil de l’évolution, par l’action de la RS. C’est ce que semblent indiquer nos 4 ondes cérébrales car, sauf l’onde Delta (du sommeil profond) elles tombent dans les même gammes de fréquences. L’onde Delta occupe la bande de 1 à 3 Hz. Or, les signaux de fréquences inférieures à 3 Hz passent plus facilement à travers la Terre qu’à travers l’Atmosphère. Un autre chercheur, JEROSLAV NOVAK a démontré que la RS et le champ EM ELF ont une influence sur les organismes vivants et que la RS varie en fonction des rythmes circadiens et d’autres cycles temporels. Pour lui, le paramètre biologique constitue un faible signal qui nécessite d’être amplifié 100 000 fois ; malgré tout, les changements biologiques sont bien en relation avec les variations de la RS. Autre observation intéressante de Novak, les sujets souffrant de troubles du sommeil et de fibromyalgie ont un taux de magnétite dans le fluide de l’oreille interne, supérieure à la normale. Chez 80% des sujets observés, ce sont les femmes qui ont les taux les plus élevés, car elles sont plus sensibles aux influences d’énergies subtiles que d’autres ne perçoivent pas. Comme l’audition humaine normale se situe entre les fréquences de 60 à 20.000 Hz, les signaux inférieurs à 60 Hz doivent être perçus soit par la magnétite contenue dans l’oreille interne, soit directement par le cerveau. Autre chose importante à rappeler : chacune des 7 RS occupe une bande de 1 Hz, c’est-à-dire que chaque RS a une largeur de 1 Hz. La 1ère bande de RS se produit à une fréquence de 7,83 Hz, c’est-à-dire dans l’intervalle entre les 2 fréquences Alpha et Thêta. Il en existe en tout 4 : ALPHA, BETA, DELTA et THETA.

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28/08/2012 | Lien permanent

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