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La terre s'ouvre aussi au Pakistan !

GIANT FISSURE / CRACK opens in the ground!
Seagi Gulistan ,PAKISTAN - March 2011


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09/03/2011 | Lien permanent

La Terre peut-elle basculer ?

 

During its flight, the Galileo spacecraft returned images of the Earth

 

Certains scientifiques pensent que la Terre a déjà basculé, les pôles se seraient ainsi inversés. Mais quels sont les facteurs qui influent sur l'axe de rotation de la Terre ? Et quelles seraient les conséquences d'un tel chamboulement ?

Le basculement des pôles

Ce phénomène expliquerait bien des découvertes scientifiques. A commencer par les brusques changements climatiques observés partout dans le monde, ou comment des espèces ont si soudainement disparues de la surface de la Terre, notamment les dinosaures, et cela est arrivé plusieurs fois.

Les scientifiques ont constaté qu'auparavant, l'Australie était recouverte de glace, et que le Canada était recouvert par une forêt tropicale dense.

Dans l'espace, il n'y a aucune gravité. Il est donc tout à fait possible qu'une planète bascule brusquement après que son axe ait été dévié progressivement.

Les scientifiques pensent de plus en plus à cette théorie, car elle est la seule, à l'heure actuelle, à pouvoir expliquer bien de mystères. C'est pourquoi de plus en plus étudient le paléomagnétisme, intrigués par les écrits anciens ou les dessins qui montrent le soleil se lever à l'Ouest et non à L'est.

Les facteurs qui agissent sur l'axe de rotation de la Terre

La NASA a reconnu que les séismes modifiaient légèrement cet axe. Les mouvements tectoniques de la Terre et la fonte des glaces changent la répartition de la masse à la surface de la Terre. Très faiblement certes, mais ils contribuent à ce phénomène.

Le risque le plus grand vient bien sûr de l'espace. La lune, les astres qui nous entourent, et les comètes, agissent fortement sur laTerre qui est une petite planète facilement influencée par ce qui l'entoure.

Certains pensent que le calendrier Maya n'annonçait pas la fin du monde, mais plutôt un changement brutal lié à notre planète qui pourrait être son basculement.

Les conséquences qui en découleraient

Une inversion soudaine des pôle magnétiques de notre planète ne resterait pas sans conséquence pour tout l'écosystème. Cela génèrerait des ouragans, des raz-de-marée, des séismes, le réveil de volcans, qui seraient le résultat du bouleversement subocéanique.

La planète changerait d'apparence et des terres seraient englouties.

Aujourd'hui, nous ne sommes encore sûrs de rien : ceci n'est qu'une hypothèse sur laquelle de nombreux chercheurs travaillent activement.

Une baisse magnétique de 10% du pôle sud a été constatée. Ce phénomène fait-il partie du cycle de la Terre ? C'est ce à quoi veulent répondre les scientifiques.

http://www.les-experts.com/article-96037-la-terre-peut-el...

 

 

   

 

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20/03/2011 | Lien permanent

La Terre, un zoo grandeur Nature ?

La Terre, un zoo grandeur Nature ? – 1ère partie

mars 2nd, 2010 Posted in Mars 2010

Quelle question ! Cette idée d’une faune ou flore terrestre – Humanité comprise bien entendu - sujette à l’observation pourrait paraître saugrenue de prime abord. 'Si l'Humanité était observée, ça se saurait… Et observée par qui, ou quoi ?'

Voici un extrait tiré du livre Sight Unseen (Atria Books, New York, 2004) de Budd Hopkins, ufologue américain, spécialiste notamment des phénomènes d’abduction :

Budd Hopkins

"En 1973, John A. Ball proposa "l'hypothèse du zoo" dans la revue Icarus, une revue internationale sur les études du système solaire. En tant que radio-astronome affecté au Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, il avança très sérieusement l'idée que la Terre était un zoo et que des extraterrestres étaient chez nous, déjà occupés à nous observer.

Ball ajouta aussi : "Dans le zoo parfait - zone sauvage ou sanctuaire - la faune qui s'y trouve ne doit pas avoir de liens directs avec les gardiens du zoo, ni avoir conscience de leur existence".

Ball fut tourné en dérision par de nombreux scientifiques pour sa théorie, parce qu'elle impliquait l'existence d'extraterrestres vivant parmi nous. (Ball, J. A., The Zoo Hypothesis, Icarus, 1973)"

La suite : ICI

La Terre, un zoo grandeur Nature ? – 2ème partie

La suite : ICI

La Terre, un zoo grandeur Nature ? – 3ème partie

La suite : ICI

 



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09/03/2010 | Lien permanent

Réchauffement : La Nasa veut déplacer la terre !

Réchauffement : La Nasa veut déplacer la terre !

On arrête pas le progrès !!!!


Reproduction interdite voir l'article par le lien suivant :

http://www.lepost.fr/article/2009/08/07/1650250_la-nasa-v...

 

Article original : The Guardian

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10/08/2009 | Lien permanent

Le magnétisme, la Terre et l'espace

Fichiers Pdf à télécharger :

Des magnétomètres scalaires dans l’espace pour cartographier le champ magnétique terrestre
http://dl.free.fr/okL8P9GNK

 

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16/02/2009 | Lien permanent

La vie existerait bien ailleurs que sur Terre

Ils nous préparent à la révélation sur les ET et les Ovnis et notamment à l'invasion des Illuminati-reptiliens qui sont les promoteurs du Nouvel Ordre Mondial. Bien sûr cet article précise que d'autres vies extraterrestres ne ressemblent en rien à l'homme !

Une escroquerie de plus pour nous faire accepter les reptiliens et écarter de nous les vies extraterrestres alliées qui nous ressemblent dont les Pléiadiens.

Nous avons appris que des bases extraterrestres existaient déjà et que d'autres sont en cours de construction de part le monde pour les accueillir soi-disant, et maintenant on nous révèle que la vie extraterrestre existe ailleurs. Un pas de plus vers l'établissement du Nouvel Ordre Mondial et la révélation ?

Publié le 27/01/2010 08:04 | LaDepeche.fr

La vie existerait bien ailleurs que sur Terre

La vie existerait bien ailleurs que sur Terre

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« Il n'y a pas de preuve formelle que la vie existe ailleurs, mais il y a une très bonne probabilité pour que ce soit le cas », estime Baruch Blumberg, astrobiologiste au Fox Chance Cancer Center à Philadelphie. L'hypothèse fait consensus si l'on en croit les conclusions de la conférence scientifique organisée par La Royal Society britannique, l'un des berceaux de la science moderne, qui a y a consacré un colloque de deux jours au sujet à l'occasion de son 350e anniversaire.

La vie a peut-être démarré sur Terre grâce à des molécules de carbone et des poussières arrivées depuis l'espace interstellaire, rappelle Pascale Ehrenfreund, astrochimiste à la George Washington University, dans la capitale américaine. S'il en est ainsi, « les premières briques de la vie - telles que nous les avons mises en évidence pour la Terre - devraient être répandues dans d'autres systèmes planétaires de la Voie lactée et dans d'autres galaxies », suggère cette scientifique.

Grâce à des outils d'observation de plus en plus perfectionnés, notamment au télescope spatial Hubble, les astronomes ont détecté depuis 1995 plus de 400 exoplanètes, extérieures à notre système solaire.

À l'intérieur même de notre système solaire, des bactéries pourraient être décelées dans le sous-sol de Mars, sur le satellite de Jupiter Europa ou encore sur une lune de Saturne, Encelade. Ces deux derniers astres pourraient en effet héberger des océans sous d'épaisses calottes de glace.

Reste que si des formes de vie existent ailleurs que sur Terre, il est peu probable que celles-ci soient proches de ce que montrent les films de science-fiction, dont les créatures ressemblent invariablement au genre humain. Pour Albert Harrison, psychologue à l'université de Californie à Davis, il est plus probable que la première vie extraterrestre détectée soit de taille microscopique.




 

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28/01/2010 | Lien permanent

La Nasa écoute le «chant» de la Terre

 

La Nasa écoute le «chant» de la Terre

Sciences & Environnement

VIDÉO - Deux satellites envoyés en août pour étudier les orages géomagnétiques ont enregistré avec une clarté inégalée un phénomène bien connu appelé «effet chorus » et lié au champ magnétique terrestre. Aucun son ne peut se propager dans le vide de l'espace.

En revanche, les ondes électromagnétiques, elles, se déplacent sans problème. Autrement dit, si nous avions des antennes à la place des tympans, l'espace ne serait pas aussi silencieux qu'on l'imagine. Nous pourrions notamment entendre dans l'environnement immédiat de la Terre un bruit bien particulier ressemblant au cri d'un cochon d'inde: le chant de notre planète. La Nasa vient justement d'en révéler un enregistrement saisissant:

 


 

Cette transcription sonore a été obtenue à l'aide de l'instrument EMFISIS embarqué sur deux satellites, RBSP-A et B, envoyés en août pour étudier les orages géomagnétiques. Cet appareil enregistre les ondes électromagnétiques émises lorsque des particules chargées en provenance du Soleil viennent frapper le champ magnétique de la Terre. C'est ce qu'on appelle «l'effet chorus».
 
Les fréquences de ces ondes, inférieures à 10 kHz, sont situées dans la gamme des fréquences audibles par l'oreille humaine. L'«effet chorus» n'est pas anodin. Le champ magnétique de la Terre provoque en effet la formation des deux ceintures de Van Allen, des zones dans lesquelles on trouve une grande densité de particules chargées. Dans la ceinture extérieure, on trouve notamment des électrons de haute énergie, très nocifs pour l'homme et les satellites, dont les scientifiques pensent justement qu'ils ont acquis leur énergie en captant les «ondes de chorus». La mission RBSP a deux ans pour tenter de confirmer cette hypothèse qui fait encore débat dans la communauté scientifique.
 

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12/08/2015 | Lien permanent

Astéroïdes : comment les dévier pour mieux protéger la Terre ?

Instaurez les liens !

Ben voyons ! Comme par hasard, ils se posent la question de savoir comment détourner un astéroïde qui serait dangereux pour la Terre, dans un article paru hier dans Futura science.

L'article reprend les arguments développés dans cet article Breaking News : Une comète de 3 km de diamètre se dirige droit sur Terre avec des cris et des sons démoniaques mystérieux! (vidéos) qui dit qu'à l'heure actuelle personne n'a les moyens technologiques de détourner les astéroïdes, et que l'unique solution actuelle, serait celle de faire exploser une charge nucléaire près de l'astéroïde avec les conséquences que nous connaissons. Ils ne seraient prêts soi-disant à dévier les astéroïdes, qu'en 2022.

La question est donc celle de savoir, comment feront-ils pour dévier la comète qui se dirige vers la terre et qui devrait percuter NY, entre les 15 et 28 septembre 2015 ?

Soyez attentifs aux mouvements de toutes les armées dans le monde, aux tests et aux ventes des missiles nucléaires ! 

Dans ce contexte de préparation mondiale, est-ce un hasard, si l’accord de Vienne sur le nucléaire Iranien a été entériné  par l’Onu, le 21 juillet 2015 ?

 


Astéroïdes : comment les dévier pour mieux protéger la Terre ?


Le 25/07/2015 à 13:37 - Rémy Decourt, Futura-Sciences

Face au risque (faible mais pas nul) qu'un astéroïde de taille importante frappe la Terre, les agences spatiales étudient les moyens possibles pour protéger la planète. Selon l'idée actuelle, la déviation de l'objet serait la solution la plus pragmatique. Il ne reste plus qu'à acquérir les technologies nécessaires, ce qui n'est pas si simple…

La déviation est la solution retenue pour protéger la Terre d'une collision avec un astéroïde. Bien qu'il existe d'autres solutions, celle-ci semble faire l'unanimité. © Esa, P. Carril

 La déviation est la solution retenue pour protéger la Terre d'une collision avec un astéroïde. Bien qu'il existe d'autres solutions, celle-ci semble faire l'unanimité. © Esa, P. Carril

Parmi les 600.000 astéroïdes connus dans notre Système solaire, environ 10.000 sont classés comme géocroiseurs et proches de nous (NEA, pour Near Earth Asteroids en anglais), présentant donc une menace pour la Terre. En d’autres termes, soit leur orbite coupe celle de la Terre, soit elle s’en approche si près qu’une modification de cette orbite pourrait les amener sur une trajectoire de collision avec notre Planète.

Or, si tous les géocroiseurs de plus d'un kilomètre sont connus, seuls 80 % de ceux de 500 mètres, 20 % de ceux de 300 mètres et 10 % de ceux de 100 mètres sont recensés pour l'instant. En raison de l’amélioration des moyens d’observation et de surveillance du ciel, le nombre d’objets potentiellement dangereux pour la Terre ne peut qu’augmenter. D'autant que les progrès réalisés dans les optiques et les CCD (Charge-Coupled Device ou dispositif à transfert de charge) rendent la détection et la caractérisation des astéroïdes à la portée de tous les astronomes amateurs.

Avec un tel potentiel de découverte, on ne peut que jouer à se faire peur. Et, bien que les statistiques nous rassurent, le risque de collision étant tout de même voisin de zéro, les agences spatiales ne peuvent pas rester les bras croisés. Aujourd’hui, les scénarios de menaces des NEO sont connus et les exercices de simulation de collision avec la Terre permettent de se faire une idée précise des réponses à apporter pour s'en protéger. Et cette réponse, c’est la déviation, seule solution réaliste.

Connaître les éphémérides des astéroïdes

Toutefois, la première priorité est de mieux connaître les éphémérides des astéroïdes afin de permettre de lever les doutes sur des risques de collision. Aujourd'hui, les calculs de trajectoire sont si hasardeux que de nombreux astéroïdes sont annoncés comme impacteurs possibles avant que les scientifiques ne se rétractent. S'il subsiste une incertitude, la caractérisation de l'astéroïde menaçant devient la priorité. Taille, densité, structure interne et composition sont des paramètres essentiels qui détermineront de quelle façon l'astéroïde sera dévié de sa trajectoire.

Le Cnes veut profiter du prochain passage d’Apophis au-dessus de la Terre, en 2029, pour envoyer une sonde voler en formation avec lui. L’objectif de la mission est de mieux connaître sa structure interne et son comportement aux effets de marée provoqués par la Terre, voire d’être en capacité de le dévier. © DR
Le Cnes veut profiter du prochain passage d’Apophis au-dessus de la Terre, en 2029, pour envoyer une sonde voler en formation avec lui. L’objectif de la mission est de mieux connaître sa structure interne et son comportement aux effets de marée provoqués par la Terre, voire d’être en capacité de le dévier. © DR

Trois solutions pour dévier un astéroïde

La solution de facilité est de faire exploser à proximité de sa surface une charge nucléaire pour le dévier. L’astéroïde ne se fragmentera pas, même ceux constitués d’un empilement de débris. On s’attend à ce que le flux neutronique au contact de sa surface soit en mesure de le dévier de sa trajectoire. Autre méthode : un impacteur lancé à très grande vitesse contre l'astéroïde. Dans ce scénario, les scientifiques prévoient que la zone de l’impact va chauffer et provoquer un dégazage ce qui, additionné à la force de l’impact, devrait être suffisant pour le dévier de sa trajectoire.

Enfin, si l'astéroïde est découvert suffisamment loin de la Terre, la troisième idée est celle du tracteur gravitationnel. Un engin suffisamment massif évoluant tout près de l'astéroïde pourrait le faire dévier lentement de sa route. Une technique qui sera testée sur l'astéroïde Apohis dont les possibilités d’impact dans les années à venir sont en débat. A contrario, si l’astéroïde est découvert trop près de la Terre, aucune de ces solutions de déviation n'est envisageable, par manque de temps.

De toute façon, et c'est là que le bât blesse, aujourd'hui, on ne sait pas dévier un astéroïde. Aucune démonstration n'a été réalisée, à l’exception de la mission Deep Impact de la Nasa qui consistait surtout à creuser un cratère pour en étudier les éjectas. L’urgence est donc d’arriver à une coopération mondiale, de coordonner les efforts d’étude des technologies nécessaires et d’avancer sur les politiques de recherche et de développement afin d’être prêt le jour où une menace sera confirmée. C'est ce que préparent la Nasa et l'Esa avec la mission Aida qui doit dévier un astéroïde inoffensif en 2022.

 

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26/07/2015 | Lien permanent

Un filament géant apparait sur le soleil : La Terre en Danger ?

Un signe de plus que notre environnement cosmique et électromagnétique subissent des changements rapides et qu'il va falloir s'y préparer très sérieusement.

Que ferez-vous si demain vous deviez manquer d'électricité et notamment en plein hiver ?


Un filament géant apparait sur le soleil : La Terre en Danger ?

Nouvelle alerte ou juste une petite manifestation sans conséquence? Les alertes se multiplient au fil du temps, se confirment, se concrétisent, et même si nous n’avons rien vu de réellement probant pour l’instant, nous ne devons pas oublier que l’alerte initiale de la NASA émise il y a deux ans n’est pas terminée.

Nous y voilà ! N’en déplaise aux sceptiques, les prophéties sont en train de se réaliser. L’épisode de « l’avertissement » ou « du coup de semonce » est peut être pour très bientôt.

L’étrange comportement du soleil a été récemment mentionné à de maintes occasions. Dans l’attente du cycle solaire 24, les scientifiques surveillent de près le soleil.

Les astronomes ont découvert une immense raie sombre à la surface du soleil. On estime ce filament à environ 800.000 km de longueur !

Les astrophysiciens supposent que les taches sombres du soleil sont des zones où la température est plus basse. Ce que nous voyons ici n’est pas une tache solaire normale et elle grossit à une vitesse alarmante.

Selon les chercheurs la région s’est agrandie de presque un million de kilomètres en seulement trois jours.


Les filaments sont des nuages plus froids de matériel solaire ancrés au-dessus de la surface solaire par des forces magnétiques instables.

La photo et la vidéo, qui couvre la période du 6 au 8 août, montrent le filament comme une ligne plus sombre visible depuis plusieurs jours. Vers la fin de la vidéo une partie du filament semble se briser mais sa longueur et forme de base semble être restées presque intactes.

La NASA prévoit qu’en septembre 2012, il y aura des éruptions d’une puissance sans précédent. Nous pouvons nous attendre à d’énormes éruptions solaires qui pourraient avoir de sérieux effets mondiaux.

Commentant l’étude des dangers de la ‘météo solaire’, l’astrophysicien Daniel Baker a prétendu que les effets seront comparables à une guerre nucléaire ou à la chute d’un astéroïde géant.

Pourtant, en termes de réseaux électriques et de satellites, ce ne sont pas les éruptions qui inquiètent les experts, mais les CME (éjections de masse coronale).

Il y a le risque qu’un jour, elles puissent anéantir toute notre civilisation électronique.

Les tempêtes solaires peuvent perturber les communications et l’équipement de navigation, endommager les satellites et même causer des coupures de courant par des dégâts sur les centrales électriques et les composants des réseaux électriques.

Elles peuvent aussi augmenter les rayonnements autour des pôles nord et sud ; et ceci force à leur tour les lignes aériennes à dévier leurs vols.
Selon un rapport publié par le NERC (North American Electric Reliability Corporation), qui supervise le réseau électrique de l’Amérique du nord, nous pourrions en sentir les effets pendant plusieurs années.

 »L’hitoire montre que de grandes tempêtes ont le potentiel de neutraliser le réseau de courant et de causer des dommages de proportion sans précédent, des coupures de courant à long terme et de longue durée avant le retour du courant et des pénuries pendant de nombreuses années sont possibles, » dit le rapport.

Ce filament est apparu le 5 août 2012.
11 images ont été mises ensemble pour recréer cet immense filament sur le soleil.
Photo Credits: Leonard E. Mercer, astronome amateur de Malte, qui contribue à de nombreuses photos.

Richard Andres, un expert en sécurité énergie et environnement à l’université militaire de la défense nationale, aide à la coordination de groupe inter-agences pour gérer le problème. Une panne sur le réseau pourrait être catastrophique, a-t-il dit.

Dans un scénario catastrophe, le commerce cesserait presque instantanément, disait-il, notant qu’il parlait pour lui et non au nom du gouvernement US. L’eau et le carburant, qui dépendent de pompes électriques, arrêteraient de couler dans la plupart des villes en quelques heures, les communications modernes stopperaient et les transports mécanisés se bloqueraient.

Les groupes électrogènes de secours des hôpitaux, les installations militaires seraient vulnérables si elles dépendent du gasoil ou du gaz naturel, qui sont dépendantes également de pipelines pour le réapprovisionnement.

Le rapport disait que plus dee 130 millions de gens aux US pourraient être touchés. Andres a dit que le taux de décès pourrait se chiffrer par millions dans le pire des cas.

Combien de personnes en souffriront autour du monde ? Nous ne pouvons que faire des suppositions pour le nombre de morts. Les experts de la météo solaire préviennent déjà que la prochaine tempête solaire peut être bien pire qu’attendue auparavant.

Il y a des fuites dans le champ magnétique terrestre. Le champ magnétique terrestre qui agit comme un bouclier protecteur de l’espace recèle un trou. Cela pourrait être un problème parce qu’un champ affaibli rendrait la Terre vulnérable aux tempêtes solaires.

Il est malheureusement impossible de déterminer à l’avance si la Terre court un sérieux danger.


 »C’est un peu comme demander combien d’arbres tomberaient dans le prochain ouragan, » a dit un expert du gouvernement.  »Nous n’en savons rien, mais ce que nous savons, c’est qu’il y aura un ouragan. Quand nous aurons une autre supertempête solaire, il y aura un effet sur le réseau. Nous essayons de comprendre aujourd’hui quels en seront les effets. »

Gardons espoir, mais soyons préparés au pire.

Source originale
Traduit par Hélioshttp://bistrobarblog.blogspot.com/2012/08/un-filament-de-...Via: leschroniquesderorschach

http://lesmoutonsenrages.fr/2012/08/14/un-filament-geant-...

ages.fr/2012/08/14/un-filament-geant-apparait-sur-le-sole...


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16/08/2012 | Lien permanent

La Terre grossit à l'équateur depuis 1998

Cet article date du 3 août 2002, soit depuis plus de 10 ans, ce qui nous fait penser que ce phénomène aurait dû être suivi depuis le temps pour lui trouver des explications plausibles dont les origines peuvent se trouver au niveau cosmique.

Le fait que la Terre se soit mise à grossir au niveau de l'équateur depuis 1988 confirme la théorie de l'expansion des planètes, la création et la séparation des continents par la division et la séparation des plaques tectoniques.

Ce phénomène nous fait comprendre pour quelles raisons nous devons subir des cataclysmes, des intempéries extrêmes, des éruptions solaires et volcaniques, des tremblements de terre, la brisure des plaques tectoniques, l'ouverture de gouffres et de failles dans le monde,  la chute de météorites, la fonte des banquises, la montée du niveau des mers et des océans, et phénomènes auquel nous devons relier à l'approche de la planète X ou Nibiru qui arrive avec son cortège d'astéroïdes.

Le déplacement des masses d'eau vers l'équateur qui provoque un déséquilibre de la Terre est un facteur d'inversion de ses pôles magnétiques.

Ce qui est en train de se produire actuellement et ce dont nous sommes les témoins.

La Terre grossit à l'équateur depuis 1998

Mis en ligne le 03 août 2002 à 07h00 par Franck LEFEBVRE, mis à jour le 02 août 2002 à 17h30

planete terre

 

Crédits : INTERNE

Le diamètre de la Terre s'accroît au niveau de l'équateur. C'est ce qu'affirment deux scientifiques américains, en s'appuyant sur des données recueillies par satellite.

Le phénomène a pris de court les scientifiques. La Terre, notre bonne vieille planète, prend de l’embonpoint. Depuis les observations des premiers satellites, on sait que notre sphéroïde terrestre n’est pas une sphère parfaite, mais qu’il est aplati aux pôles. Cette forme est causée pour l’essentiel par la force centrifuge due à la rotation de la Terre, qui tend à repousser vers l’équateur le magma présent sous la croûte terrestre. La différence est réduite : entre le diamètre terrestre mesuré à l’équateur, et le diamètre mesuré d’un pôle à l’autre, la différence est environ de 0,3%. Mais des observations récentes tendent à démontrer qu’elle s’accroît.

Plus étonnant encore : ce mouvement de déformation est tout récent. Il semble avoir débuté vers 1998. Il a été observé par deux scientifiques américains, Christopher Cox, du groupe Raytheon, et Benjamin Chao, de la NASA. Tous deux ont été stupéfaits par l’ampleur du mouvement. Des petites variations dans le tour de taille de notre planète avaient été constatées auparavant, et mesurées dès les années 80 ; mais elles montraient au contraire une très légère tendance de la Terre à devenir plus ronde, du fait de la fonte progressive des banquises au niveau des pôles. Commencée dès la fin de la dernière ère glaciaire, cette fonte a en effet pour résultat d’alléger les pôles de milliards de tonnes de glace. Depuis 1998 cependant, le mouvement s’est inversé ; la Terre "grossit" à l’équateur.

Pourquoi cette brusque inversion de tendance ? Les variations du champ magnétique terrestre pourraient peut-être fournir un indice. Elles sont provoquées par des mouvements du noyau terrestre, essentiellement constitué de fer liquide, dont la température est de 4 000 à 5 100°C. Or, de telles variations ont été observées en 1999 ; elles pourraient tout à fait avoir été provoquées par un déplacement de grandes masses de fer liquide des pôles vers l’équateur. Autre explication possible : un déplacement des courants marins pourrait avoir augmenté la masse des océans au niveau de l’équateur, accroissant l’impact des mouvements du noyau terrestre. Seule certitude, selon Christopher Cox : les activités humaines n’ont rien à voir avec cette prise d’embonpoint, qui est probablement passagère.

 

http://lci.tf1.fr/science/2002-08/terre-grossit-4895083.html

 

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29/10/2012 | Lien permanent

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