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01/02/2012

L'étoile polaire perd de sa masse !

Après la découverte d'Une anomalie gravitationnelle intense enregistrée dans le noyau terrestre ! , qui s'est produite sans que l'on nous le dise, le 15 novembre 2011, voici que maintenant, c'est l'étoile polaire qui se fait la malle, en perdant de sa masse.


Grâce au Ciel nous avons des journalistes scientifiques très compétents qui ne parlent pas non plus de ce nouveau phénomène.

Une preuve de plus qu'ils sont payés pour se taire, pratiquer la censure et lancer des fausses propagandes tous azimuts pour tromper les peuples.
 
Vous ne trouvez pas que cela fait beaucoup pour continuer à croire qu'il ne se passe RIEN dans le cosmos ni sur Terre, avec tout ce que nous enregistrons depuis ces dernières années, comme cataclysmes, morts de millions d'animaux dans le monde, la disparation d'espèces animales et la découverte de plus 18 000 espèces d'animaux, etc.. ?

Ce sont aussi les hommes et le CO2 qui est un gaz naturel présent dans tout l'Univers qui provoquent aussi la perte de la masse de l'étoile polaire ?
 
Et si la Terre était vraiment en train d'inverser ses pôles magnétiques avec tout ce remue ménage cosmique et terrestre ?

Soyez assurés aussi, qu'ils ne viendront pas vous le dire parce que les moutons doivent travailler comme des esclaves pour les élites Illuminati, jusqu'à la dernière seconde.

La preuve des travaux effectués sur ces recherches par les scientifiques et le dossier à télécharger : ICI

Une traduction partielle de l'article en français en bas de l'article.


ScienceNOW - Up to the minute news from Science

North Star peuvent être Wasting Away

Le fichier : THE PERIOD CHANGE OF THE CEPHEID POLARIS SUGGESTS ENHANCED MASS LOSS
 
 

THE PERIOD CHANGE OF THE CEPHEID POLARIS SUGGESTS ENHANCED MASS LOSS

Hilding R. Neilson et al. 2012 ApJ 745 L32 doi:10.1088/2041-820


 
L'étoile polaire est-elle en train de s'effilocher ?

Lundi 30 janvier 2012 | Mise en ligne à 14h36 |

La plus célèbre de toutes les étoiles, Polaris, ou simplement «l'étoile polaire», qui donne le nord depuis des siècles, pourrait être en train de s'effilocher petit à petit, perdant en gaz l'équivalent de la masse de la Terre à chaque année, d'après une étude parue dans Astrophysical Journal Letters.

Menés par l'astrophysicien Hilding Neilson, de l'Université de Bonn, les travaux portent sur environ 160 ans de données, plus précisément sur sa brillance. Celle-ci suit un cycle de 4 jours au cours desquels les gaz de la surface, sous l'effet de la gravité, s'enfoncent vers le centre de Polaris et laissent derrière eux une couche plus opaque qui réduit la quantité de lumière émise. Cette couche finit cependant par être chauffée par l'étoile, qui du coup prend de l'expansion et devient alors moins opaque.

Mais les données examinées par M. Neilson et son équipe montrent que ce «pouls» n'est pas constant : comme l'écrit ce compte-rendu de Science, il s'est au contraire étiré de 4,5 seconde par année en moyenne depuis le milieu du XIXe siècle. Ce qui suggère que la structure de l'étoile est en train de changer.

Or, écrivent les chercheurs, si Polaris est comme on le croit une vieille étoile qui «brûle» de l'hélium, alors ce ralentissement ne peut pas s'accorder avec nos modèles du vieillissement des astres, et la seule façon de raccommoder les observations avec lesdits modèles serait que Polaris perde des gaz.

Notons qu'un autre chercheur, David Turner, de l'Université St Mary's, a affirmé à Science qu'il demeure possible que l'étoile polaire ne soit pas aussi vieille qu'on le pense, et qu'au lieu d'osciller avec des couches internes qui vont vers l'extérieur et vice-versa, toutes ses couches pourraient «gonfler» et rétrécir à l'unisson. La perte de masse ne serait alors pas nécessaire pour expliquer les observations.

http://blogues.cyberpresse.ca/sciences/2012/01/30/letoile...


La Estrella Polar disminuye, según los astrónomos
http://actualidad.rt.com/ciencia_y_tecnica/cosmos/issue_3...



Polaris - 1201.0761v2.pdf

Une anomalie gravitationnelle intense enregistrée le 15 novembre 2011, dans le noyau terrestre !

Et qui vient nous le dire ou nous prévenir quand nous savons ce que ces anomalies peuvent produire sur Terre pour que nous puissions nous y préparer ?

Ensuite nous nous étonnerons de tremblements de terre, des éruptions volcaniques, de toutes les failles et trous qui s'ouvrent partout dans le monde et des sons étranges entendus partout dans le monde.

Une chose est sûre les changements cosmiques et terrestres attendus pour la date du 21 décembre 2012, sont bien en cours.
Et ce n'est pas fini. L'étoile polaire aussi fait des siennes en étant en train de perdre de sa masse. (Article à venir)

Ce sont sûrement les hommes avec le CO2 qui sont suffisamment forts pour changer y compris la masse de l'étoile polaire, produire des anomalies gravitationnelles dans le noyau terrestre et provoquer des explosions solaires et des orages magnétiques.

Il s'agirait d'ailleurs de vérifier si à la date du 15 novembre 2011 nous n'avons pas eu une explosion solaire et un orage magnétique qui aurait pu provoquer cette anomalie gravitationnelle au centre de la Terre.

Une précédente anomalie gravitationnelle avait été constatée au Canada, en 2007

L'anomalie du champ gravitationnel canadien expliqué grâce à GRACE
http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/geologie-1/d/lanomalie-du-champ-gravitationnel-canadien-explique-grace-a-grace_11821/



Mardi 31 janvier 2012

Une anomalie gravitationnelle
intense enregistrée dans le noyau terrestre !

 

gravanomaly01.jpg


http://www.lepouvoirmondial.com/media/01/00/2870322309.jpg

Le « Système international de surveillance géodynamique » a rapporté le 15 Novembre 2011 une émission d'énergie puissante du noyau de la Terre.

Une anomalie de gravité intense a été enregistrée simultanément à partir du réseau de surveillance Atropatène et dans les diverses stations de géophysique à travers le monde : A Istanbul (Turquie), à Kiev (Ukraine),à Bakou (Azerbaïdjan),à Islamabad (Pakistan) et à Yogyakarta (Indonésie).

Selon le professeur Elchin Khalilov, les données enregistrées à partir du réseau  Atropatène  indiquent une puissante énergie émanant du noyau de la Terre, cette énergie pourrait, selon les scientifiques, intensifier les processus géodynamiques sur notre planète avec pour conséquences une augmentation des séismes,  des éruptions volcaniques et des tsunamis.

Ces anomalies gravitationnelles se produisent en moyenne 3-7 jours avant de forts séismes. Ces anomalies sont générées par des vagues de stress, elles préviennent de l'imminence de grands tremblements de terre, au moment où les contraintes entre elles atteignent des valeurs critiques.

 Ces ondes se propagent très lentement, leur vitesse allant d'une moyenne de 30 km / h sur les continents jusqu'à 120 km / h dans couche océanique.

 Les vagues de stress sont de basse fréquence et leur durée varie de quelques heures à deux jours en moyenne, ce qui rend impossible pour les stations sismiques de les détecter.

Bien sûr, les stations Atropathena enregistrent le passage de ces vagues, mais hélas trop tard pour prévenir, ces enregistrements ont une précision assez élevée, et calculent l'emplacement de la zone de l'épicentre du tremblement de terre attendu.

L'énorme libération d'énergie du coeur de la terre à la fin de l'année dernière était une sorte de signal de départ indiquant la transition de l'énergie interne de la terre vers une nouvelle phase active.

Alexander Doyle pour WikiStrike

 http://www.wikistrike.com/article-une-anomalie-gravitatio...
 
 

L'article original en Anglais :

Powerful Energy Release Emanating From The Earth's Core Recorded

 

 

 

 

 

 

 

 

The International Geodynamic Monitoring System, a part of GNFE (London, UK), has registered on November 15, 2011 a powerful energy release emanating from the Earth's core. The intense three-dimensional gravitational anomaly was almost simultaneously recorded by all ATROPATENA geophysical stations separated by vast distances from each other in the following cities: Istanbul (Turkey), Kiev (Ukraine), Baku (Azerbaijan), Islamabad (Pakistan) and Yogyakarta (Indonesia). According to GNFE President Professor ElchinKhalilov, the detailed analysis of ATROPATENA station records indicates a powerful energy release emanating from the Earth’s core. According to the scientist, this fact may herald intensification of geodynamic processes in our planet and as a result, a higher number of strong earthquakes, volcanic eruptions and tsunamis. 15/12/2011

As GNFE President Professor ElchinKhalilov told WOSCOnews agency, ATROPATENA earthquake forecasting stations record particular three-dimensional gravitational anomalies that occur, on average, 3-7 days before strong earthquakes. These anomalies are generated by the passingof tectonic waves (stress waves) under the stations; they are emitted by the focuses of imminent large earthquakes at the moment when the stresses in them reach critical values. These waves travel very slowly, their velocity ranging from an average of 30 km/h on the continents up to 120 km/h in the oceaniccrust. The stress waves are of low frequency and their period ranges from several hours to two days on average, making it impossible for seismic stations to detect them. Of course, the ATROPATENA stations record the passing of these waves with a large time difference, which helps monitor their movement and,with quite high accuracy, calculate the location of the epicenter area of the expected earthquake.

Meanwhile, 15 November 2011 all ATROPATENA stations registered, almost simultaneously,a very powerful gravitational impulse. A detailed analysis of all records of the stations led to the conclusion that this might be possible only if the source of the stress waves was in the Earth's core. According to the scientist,such an impulse could be caused by a powerful energy burst in the Earth's interior, at its core. This process may result in the accelerated movement of lithospheric plates and, consequently, strong earthquakes, volcanic eruptions, tsunamis and other geological cataclysms.

ATROPATENA CRYSTAL Kh11 earthquake forecasting station


WOSCO International Scientific Information Agency
www.wosco.org

http://wosco.org/index.shtml?script=news.pl&action=info&id_file=363

31/01/2012

La NASA prise en flagrant délit de mensonge. Oubliez le réchauffement !

Article 3 : Et hop 4 jours après il faut oublier le réchauffement climatique car ils nous annoncent que nous rentrerions dans une nouvelle ère glacière !

Où est passé le CO2 qui provoquait le réchauffement dit planétaire ?

Ils se moquent de qui ?

Acte 1 : Mensonge 1
2011, année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans, selon un expert

Article 2 : Mensonge 2 et fabrication d'une fausse vidéo  par la NASA pour nous impressionner
La NASA retrace l'histoire du réchauffement climatique
entre les années 1880-2011


Et maintenant on fait quoi du CO2 et de la culpabilisation de l'homme qui serait soi-disant responsable du réchauffement planétaire ?


Vous remarquerez dans l'article ci-dessous qu'ils parlent du fait que les aurores boréales dues aux dernières explosions solaires et aux derniers orages magnétiques, ne se seraient pas produites aux endroits habituels.

Et alors ? Cela n'attire pas leur attention sur une possible inversion des pôles magnétiques terrestres en cours ?

Cela n'attire pas non plus leur attention sur le fait que le soleil et l'anneau d'Alcyone ou bande photonique que nous sommes en train de traverser en ce moment, sont les uniques causes du réchauffement planétaire qui est cosmique de toute façon, et que tous ces processus attestent que l'ensemble de notre système solaire est bien en train d'ascensionner vers le centre de la Galaxie pour se préparer à notre prochain saut quantique prévu pour le 21 décembre 2012 ?

Cela n'attire pas non plus leur attention sur le fait que les vibrations de l'anneau d'Alcyone ou bande photonique ou encore ceinture de photon, dégagent des vibrations tellement puissantes qu'elles transforment la matière en profondeur et qu'elles sont aussi la cause de la fonte des banquises. Ce dernière phénomène pouvant produire une inversion des pôles magnétiques terrestres dès que le niveau des mers et des océans s'élèvera ?

Ils le savent, sauf qu'il ne faut pas nous le dire pour nous permettre de nous préparer, mais il faut aussi selon eux que la population mondiale soit réduite des 2/3 avant le 21 décembre 2012. Plus qu'ils ont la peur que nous puissions nous retourner contre eux après nous avoir menti non seulement depuis des millénaires mais aussi sur les réelles causes du réchauffement cosmiques.



 Oubliez le réchauffement !

Voici l'article évoqué par Ultraman ce matin. Il semblerait que dans les médias de masse, on parle de plus en plus de l'imminence d'un retour à un mini-âge glaciaire, et surtout en prenant en compte le rôle joué par le soleil.
 
Oubliez le réchauffement climatique – c'est le cycle 25 dont il faut s'inquiéter (et si les scientifiques de la NASA ont raison, la Tamise sera à nouveau prise par les glaces)

L'office météorologique publie de nouveaux chiffres qui ne montrent aucun réchauffement depuis 15 ans


Par David Rose, Mail Online


29 janvier 2012


Le supposé 'consensus' sur un réchauffement climatique causé par l'homme se retrouve face à un défi gênant après la publication de nouvelles données de températures montrant que la planète ne s'est pas réchauffée pendant les 15 dernières années.


Les chiffres suggèrent qu'on pourrait même aller vers un mini-âge glaciaire qui rivaliserait avec la chute de température qui a duré 70 ans et avait permis au 17ème siècle des kermesses sur la Tamise gelée.


Basées sur des lectures de plus de 30.000 stations de mesure, les données ont été publiées sans fanfare par l'office météorologique et l'unité de recherche climatique de l'université d'East Anglia. Elles confirment que la tendance à une élévation des températures mondiales s'est terminée en 1997.

Une peinture de 1684 dépeint une des  kermesses les plus glacées sur la Tamise pendant le petit âge glaciaire




Pendant ce temps des scientifiques climatiques de premier plan ont déclaré dimanche au Mail qu'après avoir émis inhabituellement des niveaux élevés d'énergie au cours du 20ème siècle, le soleil se dirige aujourd'hui vers un 'grand minimum' de production, menaçant d'étés froids, d'hivers plus rudes et d'un raccourcissement de saison disponible pour les cultures.

La production solaire traverse des cycles de 11 ans, avec un nombre élevé de taches solaires au moment des pics.


Nous sommes maintenant à ce qui devrait être le pic du dénommé 'cycle 24' – qui a donné la semaine dernière une tempête solaire avec des aurores boréales plus au sud que d'habitude. Mais le nombre des taches solaires diminue de moitié par rapport à celles observées pendant le pics des cycles du 20ème siècle.


Les analyses des experts de la NASA et de l'université d'Arizona – dérivées de mesures du champ magnétique à plus de 220.000 km sous la surface du soleil – suggèrent que le cycle 25, dont le pic est attendu en 2022, sera encore beaucoup plus faible.


Selon l'article publié la semaine dernière par l'office météorologique, il y a 92% de chance qu'aussi bien le cycle 25 et ceux qui suivront les décennies suivantes seront aussi faibles, ou plus faibles que ceux de la période du ''Minimum de Dalton'' entre 1790 et 1830. A cette époque, nommée d'après le météorologue John Dalton, les températures moyennes d'Europe ont chuté de 2°C.


Il est cependant possible également que la nouvelle chute de l'énergie solaire puisse être aussi importante que le ''minimum de Maunder'' (d'après l'astronome Edward Maunder), entre 1645 et 1715 au moment le plus froid du 'petit âge glaciaire' quand on donnait des fêtes sur la Tamise gelée et que les canaux en Hollande avaient gelé.


Moyenne des températures mondiales entre 1997 et 2012

Cependant, dans son article, l'office météorologique a déclaré que les conséquences aujourd'hui seraient  négligeables – parce que l'impact du soleil sur le climat est largement inférieur à celui du dioxyde de carbone d'origine humaine. Bien que la production solaire est supposée décroître jusqu'en 2100, ''Cela ne causerait une réduction des températures mondiales que de 0,08°C.'' Peter Scott, l'un des auteurs, a dit :''nos découvertes suggèrent qu'une réduction de l'activité solaire à des niveaux inconnus depuis des centaines d'années serait insuffisante pour compenser l'influence dominante des gaz à effet de serre.''

Ces découvertes sont farouchement discutées par d'autres experts solaires.

''Les températures mondiales peuvent se retrouver plus froides qu'aujourd'hui pendant 50 ans ou plus'', a dit Henrik Svensmark, directeur du centre de recherche climatique à l'institut spatial du Danemark. '' Ce sera une longue bataille pour convaincre certains scientifiques en climat que le soleil est important. Il est possible que le soleil en fasse lui-même la démonstration sans l'aide de quiconque.''

Il a souligné que, en déclarant l'effet d'un minimum solaire faible, l'office météorologique se reposait sur les mêmes modèles informatiques infirmés par l'actuel pause du réchauffement climatique.




Les niveaux de CO2 ont continué à augmenté sans interruption et, en 2007, l'office météorologique a déclaré que le réchauffement climatique allait revenir en force. Il disait qu'entre 2004 et 2014 il y aurait un accroissement général de 0,3°C. En 2009 il a prédit qu'au moins trois années entre 2009 et 2014 battraient les précédents records de température de 1998.
 

Cycles d'activité solaire entre 1749 et 2040

Pour l'instant il n'y a aucun signe de l'imminence de tout cela. Mais hier un porte-paroles de l'office météorologique a insisté que ses modèles étaient toujours valables.

''Une projection à 10 ans reste une science d'avant-garde. La période annoncée pour la projection n'est pas encore terminée'', a-t-il dit.


Le Dr Nicola Scafetta, de l'université Duke en Californie du nord, est l'auteur de plusieurs articles qui discutent des modèles climatiques de l'office météorologique concernant un 'réchauffement constant depuis 2000 jusqu'à aujourd'hui'.


''Si les températures continuent de rester stationnaires ou repartent vers un nouveau refroidissement, la différence entre les modèles et les données enregistrées deviendra finalement si importante que la communauté scientifique tout entière remettra en question les théories actuelles'', a-t-il dit.


Il pense que comme le modèle de l'office météo attache une plus grande signification au CO2 qu'au soleil, il est tenu de conclure qu'il n'y aurait pas de refroidissement. ''la vraie question est de savoir si le modèle lui-même est précis'', a dit le Dr Scafetta. Par ailleurs, l'un des plus éminents experts en  climatologie, le Pr Judith Curry de l'institut de technologie de Géorgie, a déclaré penser que la prédiction confiante de l'office météo d'un impact négligeable était difficile à comprendre.

''Ce qu'il serait responsable de faire serait d'accepter le fait que les modèles peuvent avoir de sérieux défauts en parlant de l'influence du soleil'', a dit le Pr Curry. Quant à l'interruption du réchauffement, elle a dit que de nombreux scientifiques ''ne sont pas surpris.''
 
 

400 ans d'observation des taches solaires

Elle a fait remarquer qu'il devenait manifeste que des facteurs autres que le CO2 jouent un rôle important dans l'élévation ou la diminution de la chaleur, comme les cycles de 60 ans de température de l'eau du Pacifique et de l'Atlantique.

''Ils ont été insuffisamment appréciés en terme de climat mondial'', a-t-elle dit. Quand ces deux océans étaient froids dans le passé, comme entre 1940 et 1970, le climat s'est refroidi. Le cycle du Pacifique est repassé du chaud au froid en 2008 et l'Atlantique est supposé s'inverser aussi dans les prochaines années.


Pal Brekke, conseiller du centre spatial norvégien, a dit que des scientifiques ont trouvé difficile à accepter l'importance des cycles de l'eau, parce que le faire c'est admettre que ce sont les océans – et non le CO2 – qui ont été la cause du réchauffement climatique entre 1970 et 1997.


Même chose pour l'impact solaire – qui était très actif pour la plus grande partie du 20ème siècle.
''La nature est sur le point de réaliser une très intéressante expérience, d'ici 10 ou 15 ans nous pourrons beaucoup mieux déterminer si le réchauffement du siècle dernier était vraiment causé par le CO2 humain ou par des variations naturelles.''


Pendant ce temps, depuis la fin de l'année dernière, les températures mondiales ont chuté de plus d'un demi-degré par la ré-émergence de l'effet de refroidissement de 'La Nina' dans le Pacifique sud.


''Nous sommes bien dans la deuxième décennie de pause,'' a dit Benny Peiser, directeur de la fondation politique de réchauffement climatique. ''Si nous ne voyons pas de preuve évidente d'un réchauffement climatique d'ici 2015, il deviendra clair que les modèles sont ratés. Et s'ils le sont,  certains scientifiques pensent que ces implications pourraient être très sérieuses.''


SOURCE
Traduit par Hélios

Une vidéo de la NASA retrace l'histoire du réchauffement climatique

Acte 2 : Mensonge 2

La NASA n'hésite pas à nous monter une vidéo pour nous persuader que les températures seraient montées progressivement à partir des années 1980, avant que le planisphère ne devienne rouge dans les années 2000.

Regardez comment les journalistes nous présentent cela en utilisant des termes susceptibles de vous impressionner.

Deux articles pris le net pour vous rendre compte de la manipulation mentale dont nous sommes les victimes.

Attendons l'acte 3 pour voir que nous allons prendre la NASA en flagrant délit de mensonges et de fabrication de faux documents pour nous impressionner et nous culpabiliser en accusant l'homme d'être à l'origine du réchauffement planétaire à cause du CO2 que nous libérerions dans l'atmosphère.

 

Une vidéo de la NASA retrace l'histoire du réchauffement climatique

Le 30/01/2012 -

 La NASA a publié une vidéo l'histoire de l'évolution des températures depuis 1880 en 25 secondes.

Voici cette impressionnante vidéo. 

 

NASA | Temperature Data: 1880-2011
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=EoOrtvYTKeE


La source est bien celle de la NASA : http://www.nasa.gov/topics/earth/features/2011-temps.html

Pour se rendre compte de l'évolution du réchauffement climatique depuis 1880 jusqu'à aujourd'hui, la NASA diffuse cette vidéo où l'on voit des tâches jaunes et rouges représentant la chaleur.

Les tâches jaunes apparaissent vers les années 80 et deviennent rouges dans les années 2000, signifiant que les températures ont bel et bien évolué.

http://www.planet.fr/dossiers-de-la-redaction-une-video-n...

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REGARDEZ. La Nasa résume le réchauffement en 25 secondes

Le Point.fr - Publié le 27/01/2012 à 12:45 - Modifié le 27/01/2012 à 15:11

L'agence spatiale américaine veut alerter sur le changement climatique avec une vidéo spectaculaire.

REGARDEZ. La Nasa résume le réchauffement en 25 secondes

© Nasa Par

 

Le réchauffement climatique s'accélère et son évocation dans les médias devient presque habituelle. Pour frapper les esprits, la Nasa a réalisé une vidéo de 25 secondes illustrant l'évolution des températures depuis 1884. Sans surprise, la température grimpe à partir des années 1980, avant que le planisphère ne devienne rouge dans les années 2000.

Selon la Nasa, neuf des dix années les plus chaudes dans les annales météorologiques se sont produites depuis 2000, l'autre année étant 1998. La différence entre 2011 et l'année la plus chaude des annales (2010 à égalité avec 2005) est de seulement 0,12 degré.

Aujourd'hui, les températures sont maintenues à leur niveau élevé essentiellement à cause de l'accroissement des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, notamment le dioxyde de carbone (CO2), souligne la Nasa. Le taux de CO2 dans l'atmosphère était de 285 parties par million en volume (ppm) en 1880, passant à 315 ppm en 1960. Il dépasse aujourd'hui 390 ppm et continue à augmenter à un rythme accéléré.

James Hansen, directeur de l'Institut Goddard de la Nasa pour les études de l'espace (Giss), dit s'attendre à de nouveaux records de température dans les deux à trois prochaines années, citant le retour du courant chaud du Pacifique El Niño et un accroissement de l'activité solaire.

REGARDEZ la vidéo de la Nasa sur le réchauffement climatique :

NASA | Temperature Data: 1880-2011
http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&...

 

http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/regardez-la-nasa...

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2011, année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans, selon un expert

Suivez bien tous les mensonges que l'on nous raconte sur les causes du réchauffement.

Ici, l'on donne l'affirmation que l'année 2011 était la plus chaude dans l'arctique depuis 50 ans.

Acte 1 :  mensonge 1.
Attendons le second mensonge de la NASA.

Dépêches Hier à 13h48

2011, année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans, selon un expert

 

L'année 2011 est la plus chaude enregistrée dans l'Arctique depuis 50 ans, a indiqué mardi le directeur adjoint de l'Institut russe de recherche scientifique pour l'Arctique et l'Antarctique, Alexandre Danilov, cité par l'agence Interfax. ( © AFP Martin Bureau)
  •  
    MOSCOU (AFP) - L'année 2011 est la plus chaude enregistrée dans l'Arctique depuis 50 ans, a indiqué mardi le directeur adjoint de l'Institut russe de recherche scientifique pour l'Arctique et l'Antarctique, Alexandre Danilov, cité par l'agence Interfax.

"2011 a été l'année la plus chaude dans l'Arctique depuis 50 ans. L'anomalie en terme de température est de 3 à 4°C", a indiqué le scientifique, sans cependant apporter de précisions.

"Il y a déjà des conséquences visibles de ces changements" en Arctique, a-t-il ajouté, précisant qu'en Antarctique, le réchauffement était en revanche nettement moins marqué.

En août 2011, les services météorologiques russes avaient déjà indiqué que la banquise dans l'Arctique était proche de son niveau minimum de 2007.

En 2011, la température moyenne annuelle de l'air près de la surface de l'océan Arctique était d'environ 1,5 degré Celsius plus élevée que durant la période de 1981 à 2010, selon un rapport publié en décembre par l'Agence nationale océanique et atmosphérique américaine (NOAA).

La Russie a fait du développement de l'Arctique une priorité stratégique, convoitant les larges ressources naturelles de la région et ambitionnant d'ouvrir une nouvelle voie commerciale dans l'Arctique, dont elle aurait le contrôle.

Grâce à la fonte des glaces et au réchauffement climatique, ce passage maritime du Nord permettrait de rejoindre plus rapidement et plus facilement l'Europe et l'Asie.

© 2012 AFP

http://www.liberation.fr/depeches/01012385455-2011-annee-...

 

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