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20/05/2009

Une première mondiale : le 1er Flash Mob mondial contre le N.O.M.

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ORGANISE

Une première mondiale !

Le 1er Flash Mob Mondial contre le
Nouvel Ordre Mondial !

Etes-vous contre l'instauration du Nouvel Ordre Mondial ?

Etes-vous pour l'instauration de la Paix dans le Monde ?
et
Pour une Humanité Libérée des guerres
et
du Nouvel Ordre Mondial ?

DITES-LE ... !
MONTREZ-LE ...  !
FAITES-LE SAVOIR AUTOUR DE VOUS ... !

DITES-LE ... !
en participant au Grand Rassemblement Pacifique
qui se tiendra le :

Mercredi 09/09/09 à 13 H

dans toutes les villes et les communes de France, d'Europe et du Monde !

Montrez-le !
en portant sur vous les signes de votre désaccord contre l'instauration du
Nouvel Ordre Mondial

DITES NON ! AU NOUVEL ORDRE MONDIAL !

Faites-le savoir autour de vous !
en propageant la nouvelle de ce
Grand Rassemblement Pacifique
auprès de vos parents, amis et relations,
en France, en Europe et partout dans le Monde

 L'UNION FAIT LA FORCE !

Pouvez-vous prendre 5 minutes de votre temps pour dire ?

le : Mercredi 09/09/09 à 13 H

NON AU NOUVEL ORDRE MONDIAL !

OUI A LA PAIX DANS LE MONDE !

Rejoignez-nous nombreux !

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Bien cordialement

L'équipe de Humanae Libertas 

Source : http://www.humanae-libertas.fr/

19/05/2009

Usa/Israël : Les Etats-Unis repensent leur relation avec Israël

Les Etats-Unis repensent leur relation avec Israël

Le premier geste de sa présidence avait été d'appeler le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. Et 119 jours plus tard, Barack Obama s'entretient pour la première fois, ce lundi 18 mai, avec le premier ministre israélien, Benjamin Nétanyahou, à la Maison Blanche. Iran, processus de paix, dénucléarisation du Proche-Orient : les enjeux sont élevés alors que Washington tente de passer d'une position de soutien sans faille à Israël à celle de faiseur de paix dans la région.

Après cet entretien, le président américain doit recevoir, le 26 mai, son homologue égyptien Hosni Moubarak, et le 28 mai, M. Abbas. Il a prévu ensuite de s'adresser directement au monde arabe le 4 juin, au Caire. Une conférence internationale - vieille idée de la Russie - pourrait suivre.

Quand M. Obama a pris ses fonctions le 20 janvier, l'opération israélienne sur Gaza s'achevait. Depuis, l'administration américaine s'est mise en position d'écoute. Les quelques décisions qu'elle a eu à prendre, sur le financement de la reconstruction ou l'attitude à l'égard du Hamas, n'ont pas permis de distinguer d'orientation très arrêtée. Gaza reste absent des débats. "Cela va être le nom qu'on n'entend pas", anticipe Daniel Lévy, ancien collaborateur d'Ehoud Barak, et membre de la New America Foundation, un cercle de réflexion de gauche à Washington.

M. Obama a nommé un envoyé spécial, George Mitchell, l'architecte de la réconciliation irlandaise, qui a déjà effectué trois tournées dans la région. Mi-avril, à Jérusalem, il a fait savoir que le président américain est partisan d'une approche globale, comprenant la Syrie et le Liban, et qu'il entend intégrer l'Initiative arabe de 2002. Elargie en 2007, celle-ci prévoit une normalisation des relations entre l'ensemble des pays arabes et Israël, en échange d'un retrait israélien sur les lignes de 1967, de la création d'un Etat palestinien avec Jérusalem-Est comme capitale, et un règlement "équitable" de la question du retour des réfugiés.

M. Obama a martelé ce qu'il juge essentiel : la solution "des deux Etats". Son conseiller à la sécurité nationale, le général James Jones, n'a pas démenti avoir assuré à un ministre européen que M. Obama souhaitait avancer vers la création d'un Etat palestinien avant la fin de son mandat et qu'il allait être "plus ferme" à l'égard d'Israël que l'administration Bush.

A quelques jours de la rencontre, les Américains se sont employés à dissiper l'idée d'une collision "inévitable" entre M. Obama et M. Nétanyahou. "A moins qu'ils sortent de la Maison Blanche avec des bleus, la rencontre sera présentée comme un succès", prévoit Daniel Lévy. La plupart des experts jugent probable que le premier ministre israélien fera un geste pour accepter les deux Etats, une solution préconisée par George Bush depuis 2002. Comme le dit Elliott Abrams, ancien chargé du dossier auprès du président Bush et farouche défenseur d'Israël, "Ariel Sharon avait accepté la "feuille de route" (un plan de paix international prévoyant la création d'un Etat palestinien). Nétanyahou peut facilement dire la même chose, ce qui suppose qu'il accepte les deux Etats en général."

L'administration Obama a précisé ses souhaits : arrêt de la colonisation, démantèlement des implantations "sauvages" et libre circulation des Palestiniens. Dans sa tournée des capitales, George Mitchell a aussi avancé certaines idées, affirme le Washington Post. Les pays arabes pourraient, par exemple, autoriser le survol de leur territoire par les avions commerciaux israéliens, échanger des diplomates, faire cesser la propagande anti-israélienne dans les médias et dans l'éducation. En contrepartie, Israël gèlerait la construction des colonies. Ce schéma repose sur l'idée que "ce que fait Israël pour les Palestiniens, les Arabes le feront pour Israël", explique M. Levy, sceptique. Selon lui, un tel "découpage en petits morceaux" aboutirait facilement à un enlisement sans fin.

Le premier ministre israélien vient, lui, avec une autre priorité : l'Iran. Alors que l'administration Bush rejetait le "linkage" - le lien entre l'Iran et le conflit israélo-palestinien -, il est maintenant sur toutes les lèvres. Mais le gouvernement israélien estime qu'il serait suicidaire de s'engager dans le règlement du problème palestinien alors que l'Iran fait peser une menace "existentielle" sur l'Etat juif. L'administration américaine, de son côté, considère que s'engager vigoureusement dans un règlement israélo-palestinien ôterait des arguments à ceux qui se méfient des intentions des Etats-Unis et d'Israël. "Vision simpliste, rétorque le républicain Elliott Abrams. Cela revient à dire que la solution au nucléaire iranien se trouve en Cisjordanie."

De mauvaise grâce, les Israéliens ont dû se résoudre à ce que leur protecteur américain choisisse la voie de la négociation avec Téhéran. Selon la presse, le directeur de la CIA, Leon Panetta, qui s'est rendu en Israël il y a deux semaines, s'est entendu réclamer une date butoir pour cette négociation. Le département d'Etat a démenti.

Dans la communauté juive, les appréhensions sont parfois fortes, nourries par une petite phrase de Rose Gottemoeller, chargée du désarmement au département d'Etat, affirmant que les Etats-Unis étaient favorables à la signature par Israël du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Or, aucun gouvernement américain (ou européen) ne mentionne jamais les capacités nucléaires de l'Etat juif.

"Parler de l'arme nucléaire israélienne serait un changement dans la politique américaine, dit M. Abrams. Ce serait inacceptable pour un gouvernement israélien, quel qu'il soit."

Corine Lesnes

Source : http://www.lemonde.fr/international/article/2009/05/16/le...

La réponse sur la capacité d'Israël en armes de destruction massives nous est apportée par un journaliste Israélien :

"Israël est un baril de poudre bourré d’armes de destruction massive"

Journaliste israélien et militant des droits de l’homme, Gideon Spiro écrit au Président Obama
"Israël est un baril de poudre bourré d’armes de destruction massive"

La suite ici : http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2009/05/14/israel-est-un-baril-de-poudre-bourre-d-armes-de-destruction.html

Isarël-Iran : "Une immense boule de feu"

"Une immense boule de feu"


Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed El Baradei, a accordé une interview à l'hebdomadaire allemand Der Spiegel, dans laquelle il affirme notamment qu'une attaque israélienne sur les installations nucléaires de l'Iran serait une "folie totalement irraisonnée".

Une telle opération "transformera toute la région en une immense boule de feu, et les Iraniens commenceront immédiatement à fabriquer la bombe atomique, en pouvant alors compter sur le soutien du monde arabe" a encore assuré Baradei.

Il a par ailleurs appelé la diplomatie du régime des ayatollahs à "saisir la main tendue par Obama", et suggéré que soit appliqué dans un premier temps un gel de toutes les mesures de rétorsion contre l'Iran en contrepartie d'un gel des installations de nouvelles centrifugeuses par Téhéran, en parallèle à l'ouverture de négociations intensives.

Source :
http://www.israel-infos.net/article.php?id=3853

Israël-Iran : Obama interdit à Israël d'attaquer l'Iran par surprise

Obama interdit à Israël d'attaquer l'Iran par surprise

15.05.2009 | Ha'Aretz


"Le président américain a envoyé un message au Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou. Il demande à l'Etat hébreu de ne pas lancer contre l'Iran d'opération militaire qui prendrait les Etats-Unis par surprise", relate le quotidien. Barack Obama a dépêché un envoyé spécial – Leon Panetta, chef de la CIA, selon certaines sources – pour rencontrer les dirigeants israéliens. "Cela montre que les Etats-Unis craignent qu'Israël perde patience et n'agisse contre l'Iran" et son programme nucléaire, décrypte le journal.


Source :
http://www.courrierinternational.com/breve/2009/05/15/obama-interdit-a-israel-d-attaquer-l-iran-par-surprise

18/05/2009

Découverte de Nibiru, Planète X ?

Scientists discover solar system's 'Planet X'
http://www.youtube.com/watch?v=RNz-jcxseBg



Scientists discover solar system's 'Planet X'

Scientists discover solar system's 'Planet X'

28 February 2008 | 08:33:04 PM | Source: SBS/AFP

Scientists at a Japanese university believe another planet - up to two-thirds the size of the Earth - is orbiting in the far reaches of our solar system.

Planet earth

Computer simulations led scientists to believe that planet 'X' could be up-up to two-thirds the size of the Earth.


Researchers at Kobe University in western Japan say theoretical calculations using computer simulations led them to conclude it was only a matter of time before the mysterious 'Planet X' was found.

"The possibility is high that a yet unknown, planet-class celestial body, measuring 30 percent to 70 percent of the Earth's mass, exists in the outer edges of the solar system," Kobe University said in a statement.

"If research is conducted on a wide scale, the planet is likely to be discovered in less than 10 years."

Pluto disqualified

The research, led by Kobe University professor Tadashi Mukai along with researcher Patryk Lykawka, will be published in the April issue of the US-based Astronomical Journal.

Their study comes two years after school textbooks had to be rewritten when Pluto was booted out of the list of planets.

Pluto was discovered by the American astronomer Clyde Tombaugh in 1930 in the so-called Kuiper belt, a chain of icy debris in the outer reaches of the solar system.

In 2006, nearly a decade after Tombaugh's death, the International Astronomical Union ruled that the celestial body was merely a dwarf planet.

Astronomers concluded that Pluto's oblong orbit overlapped with that of Neptune, excluding it from being a planet.

Elliptical solar orbit

Instead it defined the solar system as consisting solely of the classical set of Mercury, Venus, Earth, Mars, Jupiter,
Saturn, Uranus and Neptune.

Planet X -- so called by scientists because it has yet to be found -- would have an elliptical solar orbit like Earth, the Kobe University team said, estimating its radius was 15 to 26 billion kilometres.

The team noted that more than 1,100 celestial bodies have been found in the outer reaches of the solar system since the mid-1990s.

Researchers have set up a theoretical model looking at how the remote area of solar system would have evolved over the past four billion years.

"In coming up with an explanation for the celestial bodies, we thought it would be most natural to assume the existence of a yet unknown planet," the university said in its statement.