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03/06/2009

Grippe A : bientôt la phase six ?

Il faut bien qu'ils fassent peur au peuple pour vendre leurs stocks et éliminer une partie de la population mondiale par la même occasion, en la contaminant avec de nouvelles maladies. Sans compter que la puce pourraît se trouver aussi dans les vaccins. Restez attentifs et sereins, et observez le manège et les manoeuvres des gouvernements.

Le monde "se rappproche" d'une alerte pandémique maximum de grippe porcine A(H1N1) de niveau six, a averti aujourd'hui le numéro deux de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en faisant état de "premiers signes" d'une propagation autonome du virus en dehors du continent américain.

Des "premières propagations" du virus A(H1N1) dans la population de pays situés en dehors du continent américain sont observées, a relevé le Dr Keiji Fukuda. Le directeur général adjoint de l'OMS a notamment cité le Royaume Uni, le Japon, le Chili et l'Australie

"Cependant, nous attendons toujours une activité réellement répandue (du virus) dans la population de ces pays", a-t-il ajouté. "Au niveau mondial, nous pensons que nous sommes en phase cinq (en vigueur depuis le 29 avril, signalant une pandémie "imminente", ndlr), mais nous nous rapprochons de la phase six" d'alerte pandémique maximum, a commenté le Dr Fukuda.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/06/02/01011-200906...

 

UNE PANDÉMIE DE GRIPPE PORCINE !

Pour l’amour de Dieu, ne vous faîtes pas vacciner
Par Dr Patricia A. Doyle
rense.com et global research
Le 25 avril 2009



Je lance un appel à tous, de grâce et s'il vous plaît, N’ACCEPTEZ JAMAIS AU GRAND JAMAIS UN VACCIN QUEL QU’IL SOIT « CONTRE » CETTE GRIPPE.


Souvenez-vous de la soi-disant épidémie de Grippe Porcine (1) de 1976 qui devait se propager en pandémie? Cette épidémie n’aura finalement infectée que les recrues de Fort Dix. Pourquoi? Je crois que si le soi-disant virus de la Grippe Porcine s’était propagé parmi les recrues c’est justement en raison des vaccins qui leur ont alors été administrés. Que le gouvernement ait développé le virus de la Grippe Porcine de 1976 et qu’il en ait infecté les recrues pour voir si le public répondrait à l’appel à la vaccination contre la Grippe Porcine ou encore, que les recrues aient été infectées par un vaccin contaminé qu’ils ont reçu lors de leur recrutement, il demeure que cette vague [de grippe porcine] fut une tromperie du début à la fin. Je fut l’une des personnes qui furent dupées et qui ont reçu le vaccin contre la Grippe Porcine, lequel m'a rendu atrocement malade. Après avoir reçu ce vaccin, je suis demeuré alité pendant trois mois.

N’acceptez aucun vaccin contre la grippe saisonnière même si l’on vous dit que cela peut vous aider à contrer cette nouvelle souche de Grippe Porcine. Un tel vaccin ne pourra rien pour contrer la Grippe Porcine. Il servira simplement à donner du nouveau matériel génétique à la Grippe Porcine que je surnomme dorénavant la « Grippe Espagnol II », ses lendemains. La souche de la Grippe Espagnole sera utilisée dans la séquence génétique des vaccins qui seront développés pour l'humain et ce, afin de la rendre plus facilement perméable à l’infection humaine. Personne ne souhaite donner de nouvelles informations génétiques humaines au virus afin de le rendre plus virulent entre les humains. C'est pourtant et exactement ce que font les individus vaccinés en situations de pandémies.

Il y a également un problème de sécurité dans tout vaccin expérimental, tel que ce fut le cas en 1976. À l’époque, certaines personnes ont cru que lorsque la grippe est de souche pandémique, il est alors nécessaire d’administrer plus d’un vaccin car, ce dernier réagirait en deux temps. La première injection du vaccin servirait à faire connaître les codes génétiques qui demeureraient latents dans le corps jusqu'à ce qu'un second vaccin soit inoculé pour provoquer l’infection. Mais pourtant, le vaccin peut provoquer le syndrome de Guillain-Barré, le typhus et d’autres maladies.

Un vaccin contre la grippe ne protège pas et n’empêche pas personne d’avoir la grippe. Il est censé prévenir certaines complications de la grippe et, peut-être, d’en raccourcir la durée. Je ne suis même pas certaine qu'il réussisse à le faire. Personnellement, je pense que le vaccin affaiblit notre système immunitaire et nous rend malades en raison de contaminants présents dans le vaccin. Je crois que les gens sont mieux protégés en se lavant souvent et soigneusement les mains. Les gens devraient également utiliser des gants de protection en période d’épidémie. N’ayez pas peur «d'’avoir l’air étrange.» Vous n’avez pas à être honteux à utiliser un masque et des gants. Les Mexicains ne les utilisent-ils pas?

Le principal problème, c’est qu’en période de pandémie, ces simples biens deviennent rapidement une denrée rare. Stockez-les dès maintenant. Les fournitures médicales, les produits d'hygiène personnelle, et ... n'oubliez pas votre animal de compagnie. Lorsque la pandémie vous frappera, il sera trop tard pour en acheter. N’oubliez pas l'approvisionnement en eau. Car nous pourrions ne plus avoir d'eau potable ni d'énergie électrique, alors soyez prêts.


Efin, s'il vous plaît, tout le monde, N’ACCEPTEZ AUCUN VACCIN QUI VOUS SERA PROPOSÉ. IL POURRAIT VOUS TUER BIEN AVANT QU’UN QUELCONQUE VIRUS NE LE FASSE.

Traduction libre de Dany Quirion pour Alter Info

(1) Grippe porcine aux États-Unis en 1976, Wikipédia anglais :
http://en.wikipedia.org/wiki/Swine_Flu

Article original anglais : « Do Not Take A
Swine Flu Vaccine! » :
http://www.rense.com/general85/vacc.htm


Source : http://www.alterinfo.net/UNE-PANDEMIE-DE-GRIPPE-PORCINE!-...

Grippe porcine: Les autorités Françaises

songent à une campagne de Vaccination Obligatoire

Source: Journal du Dimanche

Anticipant un probable retour du virus à l’automne, le gouvernement va débourser près d’un milliard d’euros pour acheter des vaccins. Objectif: immuniser tous les Français. Les autorités annonceront à l’automne si elles choisissent de rendre le vaccin obligatoire. “Nous serons prêts à opérer dans un laps de temps très court”, explique-t-on au ministère de la Santé.

Mexico a déjà oublié les heures noires de la grippe porcine et l’Europe, ses angoisses d’une épidémie ravageuse. Pourtant, la France prépare un plan de bataille sans précédent pour cet automne, avec, à la clé, une campagne de vaccination obligatoire pour tous les Français de plus de 3 mois. Selon nos informations, l’Etat veut passer commande de 100 millions de doses de vaccin contre la grippe A à trois laboratoires (GlaxoSmithKline, Sanofi et Novartis).

Ce stock devrait permettre de faire face au pire des scénarios: celui d’une pandémie hivernale. En 1918, la grippe espagnole avait, elle aussi, marqué le pas au printemps avant de revenir à l’automne, tuant 40 millions de personnes. Mais à l’époque, il n’y avait pas de vaccin… Les industriels viennent tout juste de récupérer les cellules souches nécessaires et lancent ces jours-ci en urgence la fabrication des doses. Au ministère de la Santé, les réunions sur le sujet s’enchaînent. Depuis une dizaine de jours le calendrier s’est même accéléré.

Vendredi soir, les différents experts du gouvernement se sont retrouvés à Matignon en réunion interministérielle pour affiner le plan français. C’est une campagne d’une ampleur inégalée qui se prépare… d’un coût estimé à près d’un milliard d’euros. A titre de comparaison, chaque année, les autorités sanitaires invitent quelque 9 millions de personnes, principalement des adultes de plus de 65 ans, à se faire vacciner contre la grippe saisonnière. Cette fois-ci, en commandant 100 millions de doses du futur vaccin, l’Etat veut pouvoir, en cas de retour massif du virus, protéger tous les Français. Nous serons prêts à opérer dans un laps de temps très court“, explique-t-on au ministère de la Santé. Du jamais vu.

Dans un tel schéma, médecins et infirmières seraient réquisitionnés. Les entreprises, les administrations, les écoles, les crèches seraient également sur le pied de guerre. Et selon le professeur Anne Laude, codirectrice de l’Institut droit et santé à l’université Paris-V-Descartes, “personne n’aurait le droit, sauf dans le cas d’une contre-indication médicale, de refuser de se soumettre à une telle vaccination. S’y soustraire à titre individuel, ce serait prendre le risque de contaminer autrui. Dans la pratique, pour enrayer une épidémie, les spécialistes considèrent qu’il suffit de vacciner 70 à 75% de la population. Ce qui laisserait une marge de liberté aux plus récalcitrants… Avant d’arriver à une telle situation, les autorités pourront également choisir de cibler des publics particuliers.

Vaccination obligatoire: décision à l’automne

Les traumatismes laissés par plusieurs crises sanitaires successives, du sang contaminé à la canicule en passant par la vache folle, ont rendu les politiques d’une très grande prudence. “Depuis 1993 nous avons mis en place un groupe d’experts qui n’a jamais cessé de travailler sur le sujet de la grippe, nous étions déjà les mieux préparés à une pandémie de grippe aviaire, explique Jean-Claude Manuguerra, virologue à l’Institut Pasteur, la France a, par ailleurs, une tradition jacobine et centralisatrice qui facilite la mise en pace d’un système de prévention efficace.”

La communication autour d’un tel programme de vaccination de masse ne sera pas simple. “Nous jouons la transparence, explique un porte-parole du ministère de la Santé, mais c’est à l’automne que l’on saura exactement comment évolue ce virus. Nous nous appuierons sur trois piliers: les masques, les antiviraux et les vaccins.” La vaccination, lorsqu’elle devient obligatoire, n’est pas un acte anodin, soulignent tous les experts. Il faut évaluer le bénéfice de la mesure au regard des risques éventuels. Les accidents, certes peu fréquents pour ce type de vaccin, existent toujours. “Dans ce genre de domaine, on n’est jamais assez prudent”, réplique un proche du président de la République. La décision politique balance toujours entre deux risques : celui de pêcher par excès de précaution, quitte à paniquer la population, et celui de ne pas être prêt à temps. Entre les laboratoires, les autorités sanitaires et le virus, une course contre la montre est lancée.

Source : http://www.spreadthetruth.fr/wordpress27/?p=927#comment-108

16/05/2009

Euthanasie : La controverse Attali.

Euthanasie : La controverse Attali.
Il est toujours dans la même idéologie de la mort !


On sait le bruit qui a été fait, récemment, autour de M. Jacques Attali, conseiller économique du président de la République, qui avait, il y a deux ans, tenu des propos sur l'euthanasie qui sont parfaitement inadmissibles.

M. Jacques Attali a prétendu qu'on avait mal compris sa pensée, qu'on n'avait présenté que des phrases extraites de leur contexte et il a attaqué en diffamation l'auteur d'un tract à ce propos.

La doctrine de M. Attali est pourtant parfaitement claire. On en jugera par les extraits étendus que nous reproduisons. Ces extraits soulignent bien le vice essentiel du système qui est : l'économisme. La santé et la vie de l'homme sont menacées si l'économisme devient la norme pour une politique de la santé.

Qu'on en juge.

Marchandisation (1)

« La production de consommateurs et leurs entretien coûtent cher, plus cher encore que la production de marchandises elles-mêmes. Les hommes sont produits par des services qu'ils se rendent les uns aux autres, en particulier dans le domaine de la santé, dont la productivité économique n'augmente pas très vite. »
« La productivité de la production de machines, augmente plus rapidement que la productivité relative de la production de consommateurs. Cette contradiction sera levée par une transformation du système de santé et d'éducation vers leur marchandisation et leur industrialisation. » (p. 265).

Cynisme mis à part

« Mais dès qu'on dépasse 60/65 ans, l'homme vit plus longtemps qu'il ne produit et il coûte cher à la société. »

« D'où ]e crois que dans la logique même de la société industrielle, l'objectif ne va plus être d'allonger l'espérance de vie, mais de faire en sorte qu'y l'Intérieur même d'une durée de vie déterminée, l'homme vive le mieux possible mais de telle sorte que les dépenses de santé seront les plus réduites possible en terme de coûts pour la collectivité. Alors appareil un nouveau critère d'espérance de vie : celui de la valeur d'un système de santé, fonction non pas de l'allongement de l'espérance de vie mais du nombre d'années sans maladie et particulièrement sans hospitalisation. En effet, du point de vue de la société, il est bien préférable que la machine humaine s'arrête brutalement plutôt qu'elle ne se détériore progressivement. C'est parfaitement clair si l'on se rappelle que les deux tiers des dépenses de santé sont concentrées sur les derniers mots de vie. De même, cynisme mis à part, les dépenses de santé n'atteindraient pas le tiers du niveau actuel (175 milliards de francs en 1979) si les individus mouraient tous brutalement dans des accidents de voiture. Ainsi force est de reconnaître que la logique ne réside plus dans l'augmentation de l'espérance de vie mis dans celle de la durée de vie sans maladie.»

Et plus loin: « l'euthanasie sera un des instruments esentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures. Dans une logique socialiste, pour commencer, le problème se pose comme suit : la logique socialiste c'est la liberté et la liberté fondamentale c'est le suicide ; en conséquence, le droit au suicide direct ou indirect est donc une valeur absolue dans ce type de société. Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d'éliminer la vie lorsqu'elle sera trop insupportables ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. Je pense donc que l'euthanasie, qu'elle soit une valeur de liberté ou une marchandise, sera une des règles de la société future. » (pp. 274-275).

(1) - Ce texte, comme les suivants, est extrait de l'interview de M. Jacques Attali publié par Michel Salomon dans son livre "l'Avenir de la Vie" (Segher éd.).

06/05/2009

Grippe porcine : à qui profite le virus ?

Nous avons encore une fois la preuve que les élites créent les problèmes de toutes pièces pour soi-disant nous apporter des solutions aux problèmes qu'ils génèrent eux-mêmes pour en tirer profit sur la masse et les crédules.

Créer des problèmes pour apporter des solutions, c'est leur mode de fonctionnement !

Par le communiqué de presse lancé par la Société Sanofi-aventis le 9 mars 2009 nous avons aussi la preuve que tout était préparé par avance.
On met en place les labos et on balance tout de suite après le virus de la grippe porcine par le biais de qui ? Leurs médias !!!

Il se pourrait même que ce virus n'ait été créé que virtuellement en parfait accord entre les labos et les médias pour affoler les populations. L'important c'est le résultat qui compte : la vente de leurs stocks de médicaments et de vaccins.

Et comme nous n'avons aucun moyen de contrôler tout cela sur place avec les bons éléments, nous devons nous contenter de rester clairs dans nos esprits afin d'activer notre esprit de discernement.

Sanofi-aventis investit 100 millions €
pour construire une usine de vaccin grippal saisonnier et pandémique au Mexique
Contrat signé à Mexico à l’occasion de la Visite d’Etat du Président Nicolas Sarkozy
Sanofi-aventis (EURONEXT : SAN et NYSE : SNY) annonce

Communiqué à télécharger : http://www.sanofi-aventis.com/binaries/20090309_mexico_flu_fr_tcm29-24323.pdf