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09/11/2020

LE CERVEAU DE CRISTAL: APPORT DU MAGNÉTISME À L'IMAGERIE CÉRÉBRALE - DENIS LE BIHAN

LE CERVEAU DE CRISTAL: APPORT DU MAGNÉTISME À L'IMAGERIE CÉRÉBRALE - DENIS LE BIHAN 

 

Une conférence du cycle "le magnétisme aujourd’hui : du pigeon voyageur à la spintronique"

Le cerveau de cristal: apport du magnétisme à l'imagerie cérébrale Denis Le Bihan  - Directeur de Neurospin, Membre de l’Académie des sciences, CEA Saclay

 

 

 

Source : ICI 

30/05/2020

L’agroalimentaire vu de l’intérieur, intoxication ? Christophe Brusset [EN DIRECT]

Quand l'agroalimentaire fait travailler BIG PHARMA en nous rendant malades ! 

 

L’agroalimentaire vu de l’intérieur, intoxication ?
Christophe Brusset [EN DIRECT] 

17/10/2016

ATOME : La clé du cosmos (3)

La meilleure manière de faire cesser les guerres de religions dans le monde, c'est que l'humanité se décide enfin à étudier la biologie, la physique quantique et la chimie des particules atomiques et des molécules dont les premiers atomes nous arrivent de l'Univers créateur de toutes vies dans l'Univers = DIEU.

Lorsque l'humanité comprendra ce qu'est l'UNIVERS FRACTAL qui est une banque d'ADN reproductibles à l'infini, et qu'elle comprendra comment fonctionne ses cellules en harmonie avec l'Univers Electrique, alors elle se décidera à se tourner vers sa VRAIE SOURCE LUMINEUSE.

 

La Structure Fractale : la clef de la compréhension de l'Univers. L'Univers TOTAL a une structure FRACTALE, il est la FRACTALE, la Générescence, le Générateur de toutes choses!

Fractale Spirale de Julia

Spiral fractal of Juila

ATOME : La clé du cosmos

Publié le par Galaxien

 

ATOME : La clé du Cosmos, est le troisième et dernier documentaire (0h50) de cette série qui s'intéresse à l'histoire de l'atome, de sa découverte jusqu'à aujourd'hui, son origine dans l'Univers, et ses applications, misent en lumière par le physicien Jim Al-Khalili.

En étudiant les atomes de la matière, on a pu découvrir les mystères de la vie et du Cosmos. Tout ce que nous voyons est donc constitué d'atomes, que ce soit sur Terre ou dans l'Univers.

L'origine de la création tient donc dans le coeur de l'atome. Ce dernier volet de la trilogie L'atome, intitulé La clé du Cosmos, poursuit l'historique autour des recherches sur l'atome. En 1898, Marie Curie découvre le radium qui défie toutes les lois de la science de l'époque. En effet, le radium émet des rayons puissants et contient une réserve inépuisable d'énergie. Grâce au radium, les hommes vont enfin pouvoir devenir des alchimistes. En 1919, Rutherford est le premier alchimiste. En présence du radium, l'azote se transforme en oxygène et en hydrogène. Le radium devient donc une sorte de pierre philosophale.

La même année, Rutherford découvre que la taille de l'atome correspond à un dixième de millionième de millimètre. Il découvre également que le noyau de l'atome est constitué de protons. Toutefois, il manque encore un élément essentiel que Rutherford ne découvrira que plus tard. Cet élément, c'est le neutron. L'atome est donc composé de trois éléments principaux : les neutrons, les protons et les électrons. C'est la base de la physique nucléaire.

Malheureusement, la physique nucléaire servira une cause moins honorable, celle de la construction de la première bombe atomique.Dans les années 1940, les recherches sur l'atome se poursuivent. On découvre ainsi que le fer est l'élément le plus stable dans l'univers. C'est aussi l'un des éléments les plus abondants. A partir de là, certains chercheurs étudient le lien entre la science de l'atome et celle du Cosmos. Dans le Soleil, l'hydrogène se transforme en hélium par la fusion nucléaire.

A la fin des années 40, on sait qu'un quart du Soleil est composé d'hélium. Or, le Soleil n'est pas assez chaud pour créer autant d'hélium. Alors, d'où vient tout cet hélium ? George Gamow étudie la question et pense que ces atomes lourds ont été créés par une explosion cataclysmique, le Big Bang. Par la suite, d'autres scientifiques sonderont l'espace et confirmeront la théorie de Gamow.En résumé, tout d'abord il y a eu le Big Bang il y a environ 14.7 milliards d'années. De cette explosion immense, l'hydrogène et l'hélium se sont formés et ont fusionné pour donner naissance aux étoiles, aux galaxies et aux planètes. Par conséquent, à l'origine, nous ne sommes que de la poussière d'étoiles...

Jim Al-Khalili, professeur de physique nucléaire à l'Université de Surrey en Grande-Bretagne, nous montre comment, dans notre quête pour la compréhension de cette minuscule particule, nous avons démêlé le mystère de la création de l'Univers.

- Les trois épisodes : 

N°1  Le Clash des Titans

N°2  L'Illusion de la Réalité

N°3  La Clef du Cosmos

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- Voir aussi :
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09/12/2015

Genesis "L'Odyssée de la Vie"

Ils auront beau faire ce qu'ils veulent pour détruire l'humanité, ils ne réussiront jamais, malgré toutes leurs manipulations génétiques, à reproduire de manière naturelle, la magie de la vie !

De la conception à la naissance, la plus belle des histoires.

 

Extrait de Genesis "L'Odyssée de la Vie"


Documentaire complet : L'Odyssée De La Vie


 

11:41 Publié dans Santé, Médecine, Sciences Humaines | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

15/01/2015

L’eau, passeuse de conscience

 

L’eau, passeuse de conscience

 

L’apparition de la conscience au cœur du vivant reste un mystère à élucider. Pour le Pr Marc Henry, l’eau, composante majeure de nos physiologies, pourrait détenir des clés surprenantes.

© DR

« L’eau participe forcément à l’apparition de notre conscience », révèle Marc Henry, professeur de chimie à l’université de Strasbourg et chercheur associé au CNRS. La vie est née dans l’eau et celle-ci est bien plus qu’un simple liquide corporel. Composante majoritaire et intime de notre être, elle fait non seulement 70 % de notre poids – soit les 3/4 de notre corps - mais « elle compte pour 99 % du nombre de molécules qui composent nos cellules », souligne ce spécialiste de l’eau. Plus petites en taille, écrasantes en nombre, les molécules d’eau sont notre matière première fondamentale.

Pourtant, nos modèles de compréhension du vivant sont souvent envisagés de manière anhydre. Nous représentons par exemple l’ ADN sans les millions de molécules d’eau qui la structurent - et sans lesquelles son fonctionnement est altéré. « Il faut non seulement remettre l’eau au cœur du vivant mais au centre du débat sur la conscience. Si nous sommes faits essentiellement d’eau, celle-ci joue forcément un rôle dans l’émergence de nos capacités psychiques », appuie Marc Henry.

H2O fait des vagues


Fuyant la solitude, H2O cherche constamment à tisser des liens. Zoomer sur une goutte d’eau est comme regarder une ruche au moment de son activité la plus intense. Ca grouille de connections qui se font, se défont, se refont toutes les 10-12 secondes. C’est d’une rapidité extrême. Et c’est là que l’énigme affleure. Au cœur de cette plasticité relationnelle incroyable, apparaissent des phénomènes de synchronisation déconcertants. Tels les poissons d’un banc agissant à l’unisson, les oiseaux d’une volée homogène, ou les supporters de foot performant une Olà sur les gradins, nos molécules d’eau vont parfois opérer de manière coordonnée. En un instant, elles se mettent toutes à s’orienter dans la même direction et à avoir le même comportement. « En physique quantique des champs, cela s’appelle une cohérence de phase : un nombre de molécules d’eau, impossible a compter car fluctuant, se comporte comme un groupe cohérent pendant un certain temps », détaille le Pr Henry. Nos molécules d’eau semblent surfer sur des vagues invisibles.

Bascule. Invitation à ne plus focaliser sur les corpuscules en eux-mêmes, mais sur le vide dont ils semblent recevoir des informations. Comment du « vide » peut-il être à l’origine de quelque chose ? « Nous constatons que le vide est capable de propager une onde électromagnétique. Ce qui veut dire que le vide a une impédance : une résistance électrique. La raison pour laquelle le vide peut avoir une impédance reste un grand mystère. Mais cela implique qu’il n’est pas vide. En mécanique quantique, nous apprenons que le vide est plein de particules et d'antiparticules. Nous sommes donc loin de ce qu’on appelle le néant », explique le chercheur. Avec sa capacité à extraire des photons du vide et à les faire circuler dans son réseau flexible de liaisons hydrogènes, l’eau serait un réceptacle de choix d’informations provenant de cet invisible. 99% de nos molécules sont-elles constamment branchées sur le vide quantique ? Allô le point zéro ?

Une information vivante


Pour le Pr Henry, la capacité de fluctuation des molécules d’eau serait fondamentale. Elle permettrait l’apparition d’un type d’information bien spécifique. « Stocker des données sur des solides, comme nous le faisons dans un livre, ou avec la technologie informatique actuelle, aboutit pour moi sur de l’information morte. Ca donne une quantité fixe et maîtrisée d’indications, transmises via des objets matériels déterminés. Alors que là où il y a fluctuation, c’est à dire cohérence quantique, émerge une information vivante. La vie, la nature, et probablement la conscience, procèdent de la sorte. Elles utilisent des composants dynamiques innombrables parce que toujours en train de varier, et codent l’information sur la phase. Ce ne sont donc pas les composants, les solides, qui sont importants, mais l’onde qui les traverse. C’est une nouvelle façon de concevoir l’information, qui reste vivante et connectée au vide », renseigne Marc Henry.

Ainsi, notre eau serait capable de recueillir de l’information électromagnétique provenant d’une vacuité énigmatique. Une fois reçue, celle-ci se transmettrait à notre ADN, nos protéines, et par répercussion à toute notre physiologie. L’être humain serait ainsi un système ouvert constamment traversé d’informations quantiques. « Etant plein d’excitations virtuelles et contenant tous les possibles, le vide quantique est un bel endroit pour mettre la conscience. De plus, à partir du moment où nous sommes en communication avec le vide, nous sommes en lien avec tout l’univers, puisqu’il relie tout », énonce Marc Henry. Tel le vent dans les feuilles d’un arbre, une onde dans la mer, une forme de conscience vivante pourrait nous être insufflée via nos molécules d’eau. S’appuyant sur les travaux du Pr Roger Penrose, grand physicien d’une science de la conscience, le Pr Henry avance que les microtubules de nos neurones - pleines d’eau – pourraient être un lieu de réception privilégié de ces informations quantiques. « C’est pour cela que pour moi, le rêve de transférer nos consciences sur un support matériel solide est une impasse. Pour reproduire la conscience, il faudrait bâtir des machines d’une flexibilité extrême. Elles devraient être constituées de composants capables de réceptionner une information vivante et de fluctuer aux rythmes du vide quantique. Nos cellules, grâce à l’eau, savent lire ce type d’information. Elles sont toujours en train de varier et nous ne sommes jamais les mêmes. La vie et la conscience possèdent cet art de mémoriser des informations sur de la fluctuation », conclut le Pr Henry.