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26/02/2009

Après la crise financière, la guerre civile ? Préparez-vous à "quitter votre région"...

Edifiant : Cela promet et était à prévoir : la guerre économique ne peut qu'engendrer des guerres sociales et civiles.
90 000 chômeurs de plus en France au mois de janvier 2009. A quand l'instauration de la loi martiale pour réprimer les révoltes et les guerres civiles ?

A diffuser, merci.
 
Après la crise financière, la guerre civile ? Préparez-vous à "quitter votre région"... Le monde
 
La crise économique et financière va-t-elle dégénérer en violentes explosions sociales ? En Europe, aux Etats-Unis ou au Japon, la guerre civile est-elle pour demain ? C'est le pronostic quelque peu affolant que dressent les experts du LEAP/Europe 2020, un groupe de réflexion européen, dans leur dernier bulletin daté de mi-février.

Dans cette édition où il est question que la crise entre, au quatrième trimestre 2009, dans une phase de "dislocation géopolitique mondiale", les experts prévoient un "sauve-qui-peut généralisé" dans les pays frappés par la crise. Cette débandade se conclurait ensuite par des logiques d'affrontements, autrement dit, par des semi-guerres civiles. "Si votre pays ou région est une zone où circulent massivement des armes à feu (parmi les grands pays, seuls les Etats-Unis sont dans ce cas), indique le LEAP, alors le meilleur moyen de faire face à la dislocation est de quitter votre région, si cela est possible."

Selon cette association, formée de contributeurs indépendants issus des milieux politiques et économiques et de professionnels européens de différents secteurs, les zones les plus dangereuses sont celles où le système de protection sociale est le plus faible.

La crise serait ainsi à même de susciter de violentes révoltes populaires dont l'intensité serait aggravée par une libre circulation des armes à feu. L'Amérique latine, mais aussi les Etats-Unis sont les zones les plus à risques. "Il y a 200 millions d'armes à feu en circulation aux Etats-Unis, et la violence sociale s'est déjà manifestée via les gangs", rappelle Franck Biancheri, à la tête de l'association. Les experts du LEAP décèlent d'ailleurs déjà des fuites de populations des Etats-Unis vers l'Europe, "où la dangerosité physique directe restera marginale", selon eux. (Ah bon ? Et pour quelles raisons ?)

FAIRE DES RÉSERVES

Au-delà de ces conflits armés, le LEAP alerte sur les risques de pénuries possibles d'énergie, de nourriture, d'eau, dans les régions dépendantes de l'extérieur pour leur approvisionnement et conseille de faire des réserves. Cette perspective apocalyptique pourrait faire sourire si ce groupe de réflexion n'avait, dès février 2006, prédit avec une exactitude troublante le déclenchement et l'enchaînement de la crise. Il y a trois ans, l'association décrivait ainsi la venue d'une "crise systémique mondiale", initiée par une infection financière globale liée au surendettement américain, suivie de l'effondrement boursier, en particulier en Asie et aux Etats-Unis (de - 50 % à - 20 % en un an), puis de l'éclatement de l'ensemble des bulles immobilières mondiales au Royaume-Uni, en Espagne, en France et dans les pays émergents. Tout cela provoquant une récession en Europe et une "très Grande Dépression" aux Etats-Unis.

Doit-on en conclure que la crise mondiale peut se transformer en guerre mondiale ? "Les pronostics de LEAP sont extrêmes, mais la violence sociale pointe", admet Laurence Boone, économiste chez Barclays.

Reste un espoir, une "dernière chance" selon le LEAP, qui résiderait dans la capacité du G20, qui se réunira le 2 avril à Londres, à arrêter un plan d'action "convaincant et audacieux". Dans ce cas, le monde ne serait toutefois pas tiré d'affaire, puisque les experts ne manquent de rappeler que se profile aussi une sévère crise climatique...

Claire Gatinois

14/02/2009

Etats-Unis, le lobby pro-israélien : voyage autour d'un tabou : Emission là-bas si j'y suis

De la démocratie américaine  et de la condition sine qua non pour devenir président des Etats-Unis (des lobbys en général, d'un certain lobby en particulier).

Pro-israéliens et plutôt néo-conservateurs, deux éminents professeurs de sciences politiques américains, décident d’étudier un sujet tabou, le lobby pro-israélien.
Malgré l’avalanche de critiques et d’insultes leur livre s’impose comme un évènement.
Chaque année, Israël continu de recevoir 4 milliards de dollars d’aide américaine, entre 1972 et 2006 Washington a opposé son véto à 42 résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU qui critiquaient le politique israélienne.
Pourquoi ?
Un reportage avec Giv Anquetil.

 
Etats-Unis, le lobby pro-israélien : voyage autour d’un tabou (1)
Le lundi 9 février 2009

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1613

 
Etats-Unis, le lobby pro-israélien : voyage autour d’un tabou (2)
Le mardi 10 février 2009

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1614

Etats-Unis, le lobby pro-israélien : voyage autour d’un tabou (3)
Le mercredi 11 février 2009


http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1615

Etats-Unis, le lobby pro-israélien : voyage autour d’un tabou (4)
Le jeudi 12 février 2009

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1616




Illuminati : Les confessions du Père Jean-Paul REGIMBALD

Illuminati et Nouvel Ordre Mondial.
Les confessions du Père Jean-Paul REGIMBALD décédé dans d'étranges circonstances.
Vidéos :
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 1/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 2/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 3/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 4/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 5/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 6/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 7/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 8/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 9/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 10/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 11/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 12/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 13/14
 
1983 - Père Jean-Paul REGIMBALD - 14/14

02/02/2009

Davos s'achève dans le désarroi face à la crise de la mondialisation

Ils veulent vraiment nous imposer le Nouvel Ordre Mondial à tout prix !
Cette phrase lancée par Angela Merkel est très significative et rentre encore une fois dans leur logique de domination mondiale.
Angela Merkel a évoqué une charte pour "un nouvel ordre économique mondial" et la possibilité de la confier aux Nations unies via un Conseil économique à l'image du Conseil de sécurité.

Ils ont beau jeu de craindre les révoltes des peuples après avoir créé de toutes pièces la crise financière et économique mondiale qui n'a que pour seul objectif en finalité d'instaurer le Nouvel Ordre Mondial.

Pour ceux qui connaissent les projets des Maîtres du Monde, leur objectif est celui de créer un unique Gouvernement Mondial de Dictature dont le président serait le Président de l'ONU et dont le siège serait déplacé en Israël.

Vous remarquerez que l'on ne parle plus des sanctions dirigées contre les banques mondiales ni de réformer le système financier mondial.

A quand le puçage électronique imposé à tous les citoyens du monde ?
 


Davos s'achève dans le désarroi face à la crise de la mondialisation

DAVOS, Suisse (AFP) — Présidents, ministres et patrons ont eu du mal à cacher leur désarroi au Forum économique mondial qui s'est achevé samedi à Davos, face à une crise qui menace la mondialisation tant célébrée année après année dans la station de sports d'hiver suisse.

Contexte oblige, l'ambiance du rendez-vous de l'élite mondiale de la politique et des affaires a été cette année plus sobre, avec des soirées moins fastueuses et des buffets revus à l'économie.

Sans rapport avec la crise financière, l'image qui risque de rester de ce Forum est celle du Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, quittant en colère, devant des centaines de personnes, un débat houleux avec le président israélien Shimon Peres sur le conflit de Gaza.

Tandis que les mauvaises nouvelles économiques tombaient du monde entier, le retour du protectionnisme a été le thème majeur, dénoncé à l'unisson par le Premier ministre russe Vladimir Poutine comme par ses homologues chinois Wen Jiabao, allemande Angela Merkel ou britannique Gordon Brown.

Le projet de Washington de protéger encore davantage ses sidérurgistes a confirmé cette crainte de voir le commerce mondial subir un coup d'arrêt sous le double effet de la récession et des barrières dressées par les Etats.

La nouvelle administration américaine a été la grande absente de ce Forum, le président Barack Obama se contentant d'envoyer une conseillère.

En période de crise, "l'instinct n'est pas en faveur du libre-échange mais du protectionnisme", a déclaré le ministre brésilien des Affaires étrangères Celso Amorim, fervent partisan d'une plus grande libéralisation du commerce.

Comme à l'habitude Davos a été l'occasion d'une réunion des ministres du Commerce dans l'espoir de relancer les négociations à l'Organisation mondiale du commerce (OMC). Une vingtaine d'entre eux ont fait une déclaration estimant possible une conclusion en 2009 après les échecs de 2008.

"La situation actuelle comporte deux risques majeurs: des troubles sociaux et le protectionnisme", a déclaré la ministre française de l'Economie Christine Lagarde après la journée de grève et de manifestations jeudi en France.

Prenant l'exemple de la France, l'ancien secrétaire général des Nations unies, Kofi Annan a mis en garde les gouvernements: "Il y a de la peur, il y a de la colère", a-t-il dit.

Concernant le volet financier de la crise, les responsables publics ont placé leurs espoirs dans la réunion du G20 du 2 avril à Londres sans avancer de solution concrète pour la réforme du système financier international.

Angela Merkel a évoqué une charte pour "un nouvel ordre économique mondial" et la possibilité de la confier aux Nations unies via un Conseil économique à l'image du Conseil de sécurité.

Les pays du Sud ont craint un repli sur eux-mêmes des pays riches non seulement sur le plan commercial, mais aussi sur le plan de l'aide.

"Ce n'est pas le moment de réduire le flux de capitaux vers l'Afrique", a souligné le Premier ministre du Kenya, Raila Odinga.

Le président colombien Alvaro Uribe a émis le même souhait pour l'Amérique latine où "200 millions de personnes" sont concernées par la lutte contre la pauvreté.

Le milliardaire et philanthrope américain Bill Gates, habitué de Davos, a lancé un appel aux gouvernements "à ne pas réduire l'aide aux pays en développement en cette période de difficultés économiques".

De brèves échauffourées ont eu lieu samedi à Genève entre policiers et manifestants altermondialistes qui souhaitaient protester contre le Forum malgré l'interdiction des autorités locales.

Source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iamIXX...

31/01/2009

DAVOS : Les Cassandre sont à la mode - Prévisions

Prévisions

Les Cassandre sont à la mode

 
Davos s'interroge sur les chances de succès d'Obama