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06/10/2015

La Russie précipite l’abandon de SWIFT par les BRICS

Ils nous font rire avec leurs sanctions unilatérales contre la Russie qui leur a répété à plusieurs reprises qu’elles n’étaient pas efficientes sur l’économie Russe, qui s’est étendue par ailleurs !

Ils vont se prendre les retours de manivelles sur leurs économies propres, comme nous l’avons déjà vu en Europe.

Et pendant ce temps….. la Russie avance !

La Russie précipite l’abandon de SWIFT par les BRICS

La Russie précipite l’abandon de SWIFT par les BRICS

 

Après la réintégration de la Crimée dans le territoire russe, les États-Unis ont fait pression sur les autorités réglementaires de l’Union Européenne pour limiter l’accès de la Russie à SWIFT, le système de paiement international fondé par deux cents banques anglo-saxonnes dans les années 1970. En réponse, le gouvernement de Vladimir Poutine a lancé un système de paiement alternatif qui a commencé ses opérations entre les banques d’origine russe, et qui, soit dit en passant, a également servi d’inspiration à la fois à la Chine et à d’autres pays des BRICS.

Le monopole US dans le système financier mondial s’évanouit à un rythme rapide. En raison de sa myopie politique, Washington a forcé d’autres pays à mettre en œuvre des instruments de coopération financière qui abandonnent l’utilisation du dollar, ainsi que des institutions multilatérales qui ne soient plus soumises aux règles imposées par le Département du Trésor US.

En fin de compte, la finance et la monnaie ont été utilisées comme instruments de politique étrangère, c’est-à-dire, comme des mécanismes de domination mondiale qui cherchent à saper les deux adversaires : l’un géopolitique (Russie), l’autre une puissance économique montante (Chine) qui refusent de se plier au joug américain.

Mis devant l’impossibilité d’atteindre leurs objectifs stratégiques par la diplomatie, les États-Unis lancent la guerre financière par des embargos économiques, des attaques spéculatives, le gel des comptes bancaires des politiciens et des hommes d’affaires, et ainsi de suite.

En violation flagrante des principes du droit international, Washington utilise son artillerie contre des pays qui, selon sa conception, appartiennent à l’axe du mal : la Corée du Nord, l’Iran, la Syrie, le Soudan et ainsi de suite. Son modus operandi est d’étrangler l’économie du pays concerné pour promouvoir un changement de régime.

Maintenant, la même stratégie est dirigée contre le gouvernement de Vladimir Poutine. Après la réintégration de la République de Crimée et de la ville de Sébastopol au  territoire russe, suite à un référendum tenu en mars 2014 [adhésion acquise à 96,8% des votants, NdT], les États-Unis, le Royaume-Uni et la Pologne ont fait pression sur l’Union Européenne pour expulser la Russie de la Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT, pour son sigle en anglais).

Fondé en 1973 à Bruxelles, en Belgique, le réseau SWIFT est un système de communication internationale qui permet aux banques de faire des transferts électroniques entre elles. Avant sa mise en œuvre, les institutions financières étaient contraintes de communiquer par le biais de systèmes de télex et d’échanges téléphoniques bilatéraux.

En ce sens, SWIFT est une avancée technologique de première grandeur, car il a permis à la fois d’augmenter la rapidité du commerce mondial et de l’investissement et de réduire les coûts de transaction à une échelle sans précédent.

Actuellement, SWIFT est utilisé par 10 500 banques, en particulier les Américains et les Européens dans plus de 200 pays. Le jour de son apogée en 2015, il a traité 27,5 millions d’ordres.

SWIFT est un mécanisme technique complètement neutre, selon les magnats de Wall Street et la City de Londres. Cependant, les attaques du 11 septembre contre les Twin Towers ont servi de prétexte aux États-Unis pour s’immiscer dans le système de paiement : le Département du Trésor a demandé depuis des informations spécifiques au motif que le réseau SWIFT aurait été utilisé par les canaux de financement des groupes terroristes.

En faisant ainsi valoir qu’elles ont été mêlées à des activités illégales, ils ont débranché les banques iraniennes de SWIFT depuis trois ans, une situation qui a entravé la fourniture de crédit aux opérations de commerce extérieur du pays.

En outre, Washington a ouvert la voie à l’intrusion de la National Security Agency (NSA, pour son sigle en anglais). Selon les révélations de Edward Snowden,  «Suivez l’argent» est le nom du programme spécial de la NSA en charge de l’espionnage du système financier mondial.

La surveillance étroite réalisée par le personnel de la NSA a conduit à la construction d’une base de données, TRACFIN, qui en 2011 contenait au moins 180 millions d’enregistrements de transactions entre les banques, de transactions par carte de crédit et, bien sûr, les milliers de messages transmis par le système SWIFT.

Par le fait, les États-Unis se sont emparés du contrôle quasi-monopolistique du système des paiements internationaux pour étouffer leurs adversaires. Jusqu’à présent, la déconnexion de SWIFT n’a pas encore été mise en œuvre en Russie à cause du manque d’autorité des instances de régulation [de SWIFT]. Oui, c’est une chose de punir une puissance régionale, et une autre d’entrer dans un face à face avec une puissance nucléaire mondiale .

Cependant, les menaces constantes des États-Unis et de leurs alliés européens ont poussé le gouvernement de Vladimir Poutine a mettre en place un système de paiement alternatif. Plus de 90% des opérations des banques russes sont transfrontalières; si l’expulsion de Moscou du système SWIFT s’était concrétisée, les conséquences sur l’économie mondiale auraient été catastrophiques.

Les principales banques russes (Sberbank, VTB, Gazprombank, Banque de Moscou, Rosselkhozbank, etc.) qui réalisent les accords bilatéraux ont fait pleinement usage du nouveau système de paiement, a annoncé il y a quelques jours Olga Skorobogatova, la vice-gouverneur de la Banque centrale.

Le nouveau système réduit le montant des coûts de transaction par rapport à SWIFT et, plus important encore, donne à Moscou une plus grande autonomie politique et une sécurité économique accrue dans le cas d’une nouvelle escalade des sanctions. En outre, l’initiative russe a déclenché le développement de systèmes de paiement alternatifs ailleurs dans le monde.

D’une part, la Chine est prête à lancer, dans les prochaines semaines, son propre système de transaction. D’autre part, les membres des BRICS (acronyme pour Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) discutent de la possibilité de lancer un système de paiements multilatéral, qui ne concernera pas seulement la Russie et la Chine, mais pourra effectuer des opérations de paiement entre tous les membres du bloc.

Le plan de confinement orchestré par Washington et Bruxelles contre la Russie a produit un effet boomerang, parce que non seulement la Russie n’a pas été expulsée de SWIFT, mais elle a construit un système de paiements alternatif qui neutralise complètement les tentatives de déstabilisation et qui, parallèlement, inspire les pays du BRICS, mais aussi bientôt la plupart des économies émergentes.

Ariel Noyola Rodríguez est économiste, il a fait ses études supérieures à l’Université nationale autonome du Mexique. Contact: noyolara@gmail.com. Twitter:@noyola_ariel.

Traduit par jj, relu par Diane pour le Saker Francophone

http://lesakerfrancophone.net/la-russie-a-precipite-labandon-de-swift-par-les-brics/

 

Les Etats-Unis et l'Occident paient le prix de leurs ingérences en Syrie

Encore un avertissement contre Israël, la Turquie, Ryad, et tous les pays qui se sont alliés à la coalition internationale, US et Cie, illégale.

La Russie déploie ses efforts pour maintenir Assad au pouvoir et instaurer la paix dans la région.

Les Etats-Unis et l’Occident paient le prix de leurs ingérences en Syrie

http://media.ws.irib.ir/image/4bhi69701a042f12pm_800C450.jpg

Oct 03, 2015 14:03 UTC - IRIB- « Les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux paieront le prix de leurs ingérences militaires en Syrie », a affirmé un expert en question politique.

« Moscou est en train d’aider son allié face aux attaques militaires des Etats-Unis », a ajouté, ce samedi, Daniel Patrick Welch, expert en question politique, lors d’un entretien avec Press TV, en allusion aux opérations russes.


« Les soutiens de Vladimir Poutine, le Président russe à son homologue syrien, Bachar al-Assad ont coûté cher à Barak Obama, Président américain et à ses alliés occidentaux », a poursuivi Daniel Patrick Welch, en affirmant que Etats-Unis et l’Occident paieront leur erreur en Syrie.


« L’administration américaine est d’avis que la Russie entend conquérir l’espace aérien de la région, mais les Russes sont pluis malins et avant de franchir chaque pas, ils réfléchissent », a-t-il précisé.


« Les objectifs des Etats-Unis et de la Russie dans la région sont différents. Alors que les Etats-Unis cherchent à renverser le gouvernement d’Assad et à conquérir toute la région, la Russie déploie ses efforts pour maintenir Assad au pouvoir et instaurer la paix dans la région.

 

Washington insiste sur le retrait des missiles Patriot de la Turquie

Allons savoir ce qu’ils magouillent encore avec la Turquie qui est l’ennemie jurée d’Assad et de la Syrie, et qui finance ISIS.

Faut-il soustraire de la vue des Russes ces missiles en Turquie ?

Voir ci-dessous :

More on Turkish Support for ISIS
Traduction Google :
Plus, sur le soutien de la Turquie envers ISIS

Russia’s Secret War on the CIA in Syria /Veterans Today
Traduction Google : La guerre secrète de la Russie contre la CIA en Syrie

 

Washington insiste sur le retrait des missiles Patriot de la Turquie

http://media.ws.irib.ir/image/4bhg0bf8f8c5e7rxt_800C450.jpg

 

Oct 03, 2015 04:15 UTC - IRIB- Le département américain à la Défense retire les missiles Patriot de la Turquie.

Selon Reuters, la porte-parole du Pentagone a annoncé vendredi, que les missiles Patriot, déployés depuis 2013 en Turquie en vue de la protéger, seront retirés dans le but d’améliorer leur niveau en vertu d’un plan préétabli. Faisant allusion à l’impératif de rénover les missiles Patriot, Laura Seal porte-parole du Pentagone a affirmé que si nécessaire, ils seront redéployés en Turquie, en l’espace d’une semaine.

 

03/10/2015

Lutte contre l'EI: Lavrov fait le point à l'Onu

Encore une preuve que les criminels, essaient par divers moyens de corrompre la Russie dans ses choix de former une coalition légale, sous mandat de l’ONU ou à la demande du Président Assad pour intervenir en Syrie.

Ils ont l’intention de phagocyter la Russie dans les combats et ensuite de venir nous dire que la réussite de la mission Russe en Syrie, serait américaine et qu'ils auraient gagné la lutte contre l’EI, le monstre qu’ils auront créé de toutes pièces.

Ils nous ont déjà fait le coup avec leur soi-disant victoire sur le nazisme au cours de la seconde guerre mondiale alors que c’est la Russie qui a vaincu le nazisme en Europe au prix de millions de morts dans leurs rangs.

Déjà, Lavrov les avaient renvoyés dans leurs buts à l’ONU en refusant d’entrer dans leur coalition illégale, mais non, il a fallu qu’Obama récidive en formulant la même demande à Poutine et en lui souhaitant bonne chance pour son combat contre l’EI, tout en sachant que la coalition mafieuse ferait tout, pour faire échouer la mission de la Russie en Syrie !

Lutte contre l'EI: Obama souhaite bonne chance à Poutine

Lutte contre l'EI: Lavrov fait le point à l'Onu

Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères

 

Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a fait jeudi plusieurs déclarations concernant la participation de Moscou à la lutte contre le groupe djihadistes Etat islamique (EI).

Moscou ne peut pas adhérer à la coalition anti-EI dirigée par Washington, qui n'a pas de mandat légal, a déclaré jeudi à New York le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"Nous souhaitons coopérer avec la coalition. Mais nous ne pouvons pas adhérer à une coalition qui agit sans mandat du Conseil de sécurité de l'Onu sur les territoires de pays qui ne lui ont adressé aucune demande", a indiqué M.Lavrov lors d'une conférence de presse au siège des Nations unies.

Le ministre a ajouté que l'aviation russe, qui mène des raids contre l'EI depuis mercredi dernier, à la demande du président Bachar el-Assad, ne viserait aucun objectif hors du territoire contrôlé par les djihadistes.

"Nos frappes aériennes ne dépasseront pas les limites du territoire contrôlé par l'EI, le Front al-Nosra et les autres groupes considérés comme terroristes par le Conseil de sécurité de l'Onu et les autorités russes", a noté M.Lavrov.

Commentant la lutte contre l'EI en Irak, le chef de la diplomatie russe a annoncé que Moscou livrait des armes aux Kurdes avec le concours du gouvernement du pays.

"Nous fournissons des armes aux Kurdes par le biais du gouvernement irakien. Les Kurdes participent également au fonctionnement du centre d'information à Bagdad, aux côtés des militaires irakiens, syriens, iraniens et russes", a-t-il déclaré.

Au total, le ministre a répondu à une vingtaine de questions sur l'opération aérienne russe en Syrie et la crise au Proche-Orient, avant d'appeler les journalistes à "écrire la vérité, toute la vérité et rien que la vérité".

 

Lutte contre l'EI: Obama souhaite bonne chance à Poutine

Ce n’est pas la première fois que les US/sionistes tentent de soudoyer la Russie : Poutine et Lavrov pour leur proposer de travailler ensemble, dans la plus totale illégalité dans leur coalition du crime international organisé en bandes et institutionnalisé par les criminels !

Les conditions seraient celles de lâcher Assad pour le remplacer par un pion sioniste de leur choix et que la Russie accepte de travailler sous la houlette et le contrôle des USA, et que la Russie supporte avec eux le poids de la responsabilité de ce qu'ils ont été les seuls à fabriquer dans le monde : le terrorisme international !

Il a raison de lui souhaiter bonne chance, car Poutine doit à présent aller nettoyer la merde qu’ils ont mise au Moyen Orient depuis quelques décennies ! A condition qu'ils ne lui mettent pas encore des peaux de bananes devant les pieds !

Comme ici par exemple : Les USA s'entêtent à soutenir les combattants anti-Daesh

Malgré le fiasco de la formation des insurgés syriens par Washington et plusieurs prières de sénateurs l'appelant à arrêter son aide à l'opposition syrienne modérée, l'administration Obama persiste dans ses efforts, en intensifiant son soutien.

Ils n’ont pas compris ce que leur à dit Poutine à l’ONU : Est-ce que vous comprenez ce que vous avez fait ?

Poutine n'a pas besoin d'eux pour faire le ménage, il a assez d'alliés dans le monde !

Lutte contre l'EI: Obama souhaite bonne chance à Poutine

13:05 03.10.2015(mis à jour 13:07 03.10.2015)

 Vladimir Poutine et Barack Obama

Barack Obama a souhaité plein succès à la Russie dans sa lutte contre le groupe terroriste EI et a exprimé son intention de travailler ensemble.

Néanmoins, Washington est prêt à coopérer avec Moscou, moyennant la participation russe, en tant que médiateur dans le processus de changement du pouvoir syrien, a déclaré le président américain lors d'une conférence de presse à la Maison Blanche.

"Je veux que l'opération russe soit couronnée de succès. Les événements en Syrie ne représentent pas une confrontation entre nos deux pays. Il est dans nos intérêts que la Russie soit un acteur efficace sur la scène internationale, qu'elle partage avec nous le fardeau de la responsabilité. Mais je crois que la seule façon de résoudre le problème syrien est d'installer un mécanisme de transition politique. Dans ce processus, il n'y a pas de place pour Bachar el-Assad, car il est impossible de le réhabiliter aux yeux du peuple", estime Barack Obama.

Néanmoins, Vladimir Poutine avait indiqué pour sa part à plusieurs reprises qu'il n'était possible de résoudre la crise en Syrie qu'en soutenant son gouvernement légitime et en l'incitant au dialogue avec la "partie saine" de l'opposition.

Mercredi dernier l'Armée de l'air russe a entamé une opération militaire contre l'EI en Syrie à la demande du président syrien Bachar el-Assad et sur décision du président russe Vladimir Poutine. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustibles appartenant à l'EI. Les cibles sont déterminées sur la base des données fournies par les services de renseignement russes et syriens, notamment par la reconnaissance aérienne.

L'ambassadeur de Syrie en Russie Riyad Haddad a également confirmé que les frappes ciblaient uniquement des groupes terroristes armés et non l'opposition et la population civile. Selon l'ambassadeur, l'armée syrienne dispose des coordonnées exactes des islamistes.