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15/09/2018

Jésus Christ : Mythe ou réalité ?

Le Christ = Le soleil. Les 12 Apôtres = Les 12 constellations, sauf qu'ils nous ont caché la 13ème constellation.

Origine des Illuminati-reptiliens. La 13ème constellation du Dragon. Ras Al Hague et Cebarai (Alpha et Béta d' Ophiucus), les deux systèmes du Serpentaire

Origine astrologique de tous les cultes, ou Religion universelle par DUPUIS, Charles François.

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Jésus Christ : Mythe ou réalité ?

"On sait de temps immémorial combien cette fable de Jésus-Christ nous a été profitable." Pape Léon X

Problème d'historicité

Il n'existe aucun témoignage écrit sur Jésus, hors les évangiles qui sont truffés de contradictions. Il y a du reste, mieux à dire. Non seulement le Christ n'a rien écrit lui-même, mais on n'a rien écrit sur son compte.

La Bible ? Elle ne peut nous fournir la preuve que le Christ ait été un personnage réel et même elle nous fournit force preuves contraires.
En dehors du Nouveau Testament, aucun auteur parmi tous ceux qui auraient été les contemporains de Jésus, ne nous a transmis à son sujet le moindre renseignement.

Ainsi des historiens, avec une précision croissante, constatent d'abord que sur une trentaine d'auteurs connus de l'époque qui auraient pu parler de Jésus, tous sont muets.


Dans l'œuvre de Flavius Josèphe (77 à 95), il y a bien quelques lignes à son sujet, mais elles furent ajoutées, après Origène (185 à 254) qui les ignorait et signalées seulement au IVe siècle par Eusèbe de Césarée (265 à 340), le faussaire. De toute façon, Flavius Josèphe, juif orthodoxe n'aurait jamais pu écrire que Jésus était le messie. Or les juifs orthodoxes attendent encore, la venue de leur messie.
Tacite (55 à 120) vers 116, aurait parlé de chrétiens brûlés à Rome sous Néron vers l'an 64; mais cette mention ne fut ajoutée qu'en 1429 par le secrétaire papal, le Pogge (premier éditeur des "Annales" de Tacite) et ne figure pas dans les traductions et copies antérieures. Cette interpolation (falsification) a été fabriquée disent les érudits, d'après un texte de Sulpice Sévère, un médiocre historien de la fin du quatrième siècle.


Pline le jeune (66 à 144) aurait mentionné dans une lettre à l'empereur Trajan, l'existence des chrétiens et d'un certain Jésus homme. Mais cette lettre a été composée vers 1500 par Girardo di Verona. Au quatrième siècle, un érudit Sidoine Apolinaire déclara que Pline le jeune avait fixé à neuf le nombre de ses livres. Or cette prétendue lettre se trouve au dixième livre attribué à Pline le jeune.
Suétone (75 à 160 environ) en 120 parle d'un "chrestos" (le bon, le meilleur), agitateur de Rome en 50; mais il ne peut s'agir du paisible Christ ("christus", christos ou oint) de la mythologie chrétienne mort croit-on, à Jérusalem depuis 20 ans.


Parmi les autres écrivains et historiens, du Ier et IIe siècle de notre ère, qui gardent un silence total sur Jésus, citons : Valerius Maximus (-14 à 37) , Senèque (-2 à 66), Pline l'ancien (23 à 79), Perce (34 à 62), Lucain (39 à 65), Dion Chrysostone (40 à 117), Stace (40 à 96), Plutarque (45 à 125), Silius Italicius (25 à 100), Martial (65 à 95), Flaccus (70 à 100), Pétrone (mort en 65), Quintillien (65 à 97), Juvénal (55 à 140), Apulée (mort vers 170), Don Cassuis, Pausanias, Juste de Tibériade etc.

Mais c'est surtout le silence de Philon d'Alexandrie sur Jésus qui a une importance décisive. Philon qui avait déjà 25 ou 30 ans lorsque Jésus aurait du naître et mourut plusieurs années après la date à laquelle ce dernier dû mourir, ne sait rien et ne dit jamais rien de Jésus Christ.


C'est un homme docte qui s'occupa spécialement de religion et de philosophie. Il n'aurait assurément pas négligé de citer Jésus, qui était de son pays et de sa "race", si Jésus avait paru sur la terre et s'il avait accompli une si grande "révolution" dans l'histoire de l'esprit humain.


Une circonstance singulière rend encore plus significatif le silence de Philon: C'est que tout l'enseignement de Philon peut se dire chrétien à ce point que certains écrivains ou philosophes n'ont pas hésité à l'appeler un "vrai Père de l'Église" (Dixit Friedrich Engels...)


Philon s'efforça d'unir le judaïsme et l'hellénisme. Ainsi il constitua une doctrine platonicienne du "Verbe" ou "Logos", qui a beaucoup d'affinité avec celle de l'évangile dit de Jean et dans l'évangile le "Logos", c'est précisément le Christ. N'est-ce pas là une circonstance révélatrice ?


Philon vit dans le temps où l'on a placé l'existence du Christ; il est déjà célèbre avant le Christ ; il accomplit à l'égard du judaïsme la même transformation, la même hellénisation, la même platonisation qui fut l'œuvre des Évangiles et spécialement du quatrième (celui de Jean). Il parle du "Logos" ou du "Verbe" exactement comme le quatrième évangile; et pourtant il ne nomme pas une seule fois le Christ ! Jamais dans aucun de ses nombreux ouvrages !
Quand il s'agit d'un tel "personnage" comme Jésus, le silence de l'histoire est absolument inexplicable, invraisemblable, déconcertant. C'est pourquoi on ne peut moins faire que de conclure qu'un tel silence constitue une grave présomption contre l'existence de Jésus-Christ.

D'autres éléments d'ailleurs permettent de dire que si l'inexistence du Christ peut seule expliquer le silence de l'histoire à l'égard de ce personnage, le silence de l'histoire à son tour démontre son inexistence.
Ainsi, le pape Pie XII, prenant la parole à un Congrès International d'historiens qui s'est tenu à Rome en 1955, répéta de nouveau que pour les catholiques, la question de l'existence de Jésus relève de la foi et non de la science !

Élaboration du mythe

Au premier temps du Christianisme (II ème siècle de notre ère), le dieu Christ est un dieu du ciel et non un homme au nom de Jésus. Il ne sera question de l'homme Jésus qu'avec l'apparition de nos Évangiles, au milieu du deuxième siècle de notre ère. C'est beaucoup d'avoir attendu 150 ans pour consigner par écrits des événements uniques, en admettant qu'ils aient eu lieu. Comme on l'a déjà vu, l'historien juif Flavius Josèphe, attentif à tout ce qui se passait en Palestine les ignore, ainsi qu'une prétendue première Église à Jérusalem. Le livre de l'Apocalypse écrit vers 69-70 et remanié par un chrétien au IIe siècle de notre ère, n'en dit rien.

L'"apôtre" Paul, dont les épîtres (lettres) ont été mainte fois remaniées après sa "mort" au bénéfice d'une christologie plus orthodoxe et toujours majorée ne sait rien d'un Jésus historique. Il ne cite ni Joseph, ni Marie, ni Judas. Nulle mention d'une crucifixion sous Ponce Pilate par les romains, mais plutôt d'un Christ immolé par les puissances planétaires dans un sacrifice cosmique. Ce qui faisait dire à Ernest Renan :"Pour Paul, le Christ n'est pas un homme qui a vécu et enseigné, c'est un être tout divin".

C'est seulement au milieu du IIe siècle de notre ère, exactement en l'an 144, quand le chrétien gnostique (docète) Marcion et ses partisans furent chassés de Rome que l'Église (et surtout celle de Rome) condamne "ceux qui niaient que Jésus fût venu dans la chair" (2ème Épître de Jean I,7 ). Jusque là, cette thèse avait pût être soutenue, prêchée sans contradicteur par Marcion, Basilide, Valentin etc... Sans oublier que les auteurs de l'Apocalypse, au début du IIe siècle de notre ère, qui attendent encore la venue du Christ sur la terre.

C'est seulement vers l'an 150 de notre ère que la communauté romaine se détache des chrétiens gnostiques (les docètes : Marcionites, Valentiniens, Basilidiens etc) et élabore le mythe d'un Jésus crucifié dans la chair, mythe inconnu jusque-là (même par les auteurs des épîtres attribuées à Paul). C'est à cette époque et selon les besoins de la controverse, qu'on rédige dans les évangiles, les récits de la vie terrestre d'un Jésus bien différent de "l'être purement céleste seul connu" avant l'an 150 de notre ère.

Le mythe Jésus s'est élaboré, au IIème siècle de notre ère, de la façon suivante :

1 - Le Christ céleste des épîtres dites Pauliennes (attribuées à Paul).
2 - Le Jésus fantôme ou "Angelos Christos" (corps éthéré) des chrétiens gnostiques ou docètes: Marcionites, Basilidiens, Valentiniens etc.
3 - Le Jésus " terrestre" ou " historique" des évangiles canoniques et apocryphes.

Notes:

1 - Beaucoup se comportent comme le théologien Albert Schweitzer (1878 à1965) qui reconnaissant dans la préface de la première édition, de sa "Vie de Jésus" qu'il n'existe sur son héros aucun document historique digne de foi, n'écrit pas moins sa biographie.

On publie chaque année à travers le monde, plus d'une centaine de biographies de Jésus, aussi farfelues les unes que les autres. Elles sont le fruit de l'imagination des auteurs.

2 - Jésus est la traduction grecque du nom hébreu Josué. Josué / Jésus signifie "Dieu a sauvé, sauve, sauvera" (Mathieu I,21).

Rappelons -fait trop longtemps ignoré- que parmi les apologistes chrétiens du 2ème siècle, Aristide, Saint Justin et Tertulien sont les seuls qui aient prononcé le nom de Jésus-Christ. Tous les autres Pères de Église du IIe siècle : Tatien, Athénagore, Théophile, Hermias, Quadratus, etc., ne connaissaient pas le nom de Jésus. Ils ne parlaient que du Christ.

3 - La plus ancienne date connue avec certitude dans l'histoire du christianisme, et admise par tout le monde (exégètes, biblistes, théologiens catholiques, protestants, orthodoxes, et même la critique scientifique) est l'an 144 de notre ère (IIe siècle).
En l'an 144, un riche armateur grec du nom de Marcion révéla et apporta à Rome les épîtres attribuées à Paul. Avant cette date, personne ne connaissait Paul et "ses" épîtres. Marcion apporta également le premier évangile connu "l'Evangelion" dans lequel Jésus était un "angelos christos", un fantôme, un corps éthéré.
Cette conception gnostique (docète) du Jésus fantôme était admise dans toute la chrétienté sans aucune distinction jusqu'aux années 144 - 150. C'est quand Marcion fut chassé de Rome en l'an 144 qu'on commença à écrire une biographie terrestre du Christ, à l'aide des coups de citations de l'Ancien Testament en rapport à la venue du messie et aussi en plagiant les cultes antiques (ex : Jésus transforma l'eau en vin, Bacchus le faisait avant lui).

Enfin, le christianisme qu'on connaît aujourd'hui, a été élaboré au IVe siècle de notre ère au profit de Église catholique naissante. C'est ce christianisme du IVe siècle qu'on enseigne officiellement pour celui des origines chrétiennes (IIe siècle de notre ère et non le Ier siècle). Dans l'élaboration de ce christianisme du IVe siècle, l'évêque faussaire de Césarée, Eusèbe a joué un rôle déterminant. C'est Eusèbe de Césarée (265 à 340) qui fonda Église catholique. C'est lui qui inventa, dans son Histoire ecclésiastique, la liste des prétendus premiers évêques de Rome qui seront plus tard considérés comme les premiers papes. C'est aussi Eusèbe qui donna une solide base économique et politique à Église de Rome. Il était le secrétaire de l'empereur Constantin. On modifia même les textes du Nouveau Testament. Soulignons que les plus anciens manuscrits du Nouveau Testament que nous possédions, le Vaticanus et le Sinaïticus, datent du IVe siècle.

A propos de la divinité de Jésus.

Récemment le monde Occidental Chrétien fut secoué par la parution d'un livre intitulé "Le mythe de l'incarnation de Dieu", qui a été publié en Grande Bretagne. Ce livre qui remet en cause le point de vue Chrétien traditionnel de la divinité de Jésus, n'a pas été écrit par un non-Chrétien ou un ecclésiastique marginal, mais par sept respectables théologiens Britanniques ; dont six Anglicans, le septième est un professeur de théologie de l'université de Birmingham. Ce groupe fut, en outre, aidé par un professeur de théologie au Christ Church Collège à Oxford qui est aussi un ancien directeur de la Commission Doctrinale Britannique.
Dans ce livre, ces auteurs nous révèlent que dans le nouveau Testament, les références données à Jésus comme étant le fils de Dieu sont essentiellement d'ordre poétique et ne doivent en aucun cas être prises à la lettre. Ils expliquent que Jésus n'a jamais prétendu être de nature Divine. Mais en fait, ce fut au cours des premiers temps de l'ère Chrétienne que cette nature Divine fut promulguée, sous l'influence d'idées païennes. Jésus lui-même n'a jamais enseigné la doctrine de la Trinité ou qu'il était un fils de Dieu envoyé sur la terre pour racheter par sa mort les péchés de l'humanité. Par conséquent, concluent les auteurs, Jésus n'était pas Chrétien.


Ces révélations ont fait l'effet de choc chez beaucoup de Chrétiens ordinaires qui adoraient Jésus comme une divinité depuis leur enfance.

 

Les sources bibliques

Elles indiquent à l'évidence que les documents chrétiens les plus anciens, les épîtres attribuées à «Paul», ne se rapportent pas à un Jésus historique, mais à une figure spirituelle connue de toutes les sectes gnostiques comme celle de l'archétype du «sauveur» : «Dorénavant, nous ne connaissons plus Jésus-Christ en tant qu'homme mais comme un signe, un principe.» II Corinthiens V, 17)

Les quelques références «historiques» à une existence réelle de Jésus mentionnées par les épîtres sont de façon tout à fait concluante des interpolations et des contrefaçons. Comme le fait justement remarquer Édouard Dujardin, la littérature paulinienne "ne fait nulle part mention de Pilate, ni des Romains, ni de Caïphe, ni du Sanhédrin, ni d'Hérode, ni de Judas, ni des «saintes» femmes, ni d'aucun des personnages du récit évangélique de la passion, et sur celui-là elle ne fait jamais la moindre allusion; en définitive, elle ne mentionne absolument aucun des «événements» de la passion, directement ou par allusion." - Histoire antique du dieu Jésus, par Édouard Dujardin, p. 33.-.

- AUGSTEIN Rudolf, Jésus Fils de l'Homme. Traduit de l'allemand par Michel-François Demet, Gallimard, 1975, 389 p.
Ce livre présente l'intérêt de soulever les véritables questions : "De quel droit les Églises chrétiennes invoquent-elles un Jésus qui n'a peut-être pas existé, des doctrines qu'il n'a pas enseignées, une toute-puissance qu'il n'a pas accordée, une filiation divine qu'il n'a pas lui-même tenue pour possible et qu'il n'a pas revendiquée ?" (p. 9); quoique l'auteur ait fait le choix de s'en tenir à la vue la plus communément répandue, celle de l'historicité de Jésus-Christ, l'argument étant qu'il a bien fallu un homme auquel les petites gens qui l'entouraient attribuaient des qualités particulières et qui connut une fin tragique, sans quoi "l' immense élan du christianisme primitif" eût été incompréhensible, il admet cependant l'existence de ce «noyau personnel» constitué, comme chacun sait, par le paulinisme (p. 26). En quoi ces questions peuvent-elles bien nous importer ? Elles nous importeront, répond R. Augstein, "aussi longtemps que les Églises prétendront intervenir dans les choses de la vie humaine au nom d'une autorité surhumaine. Divorce, contraception, avortement, peine de mort, euthanasie, guerre atomique : tous ces problèmes d'une réalité brûlante devraient se trancher du point de vue absolu d'un maître divin dont la réalité est aujourd'hui mise en doute par les théologiens eux-mêmes ! Mais ceux-ci n'accomplissent ce travail critique qu'en milieu fermé, avec une discrétion qui touche à la dissimulation." (4e de couverture). Et, on ne peut dès lors que mieux comprendre cette déclaration du pape Paul VI, citée p. 10 : "Dieu n'a pas livré les Saintes Écritures aux gens cultivés pour qu'ils en jugent eux-mêmes, mais à son Église". "L'institution qu'est Église ne peut se maintenir que si elle affirme son droit à imposer aux hommes sa discipline : Et comment le pourrait-elle sans que ce droit vienne d'en haut ?" (ibid.).

La Polémique

En dépit de toute cette littérature produite sans interruption et de l'importance du sujet, il y a chez le public un sérieux manque d'éducation formelle et étendue concernant la religion et la mythologie, et la plupart des individus sont terriblement mal informés à ce sujet. En ce qui concerne le christianisme, par exemple, on enseigne à la majorité des personnes, dans la plupart des écoles et églises que Jésus-Christ était une figure historique et réelle, et que la seule polémique le concernant est que certains le perçoivent en tant que fils de Dieu et Messie, alors que d'autres non. Cependant, bien que ce soit le débat le plus évident dans ce domaine aujourd'hui, il n'est pas le plus important. Aussi choquant que cela puisse paraître à l’homme de la rue, la polémique la plus profonde et durable à ce sujet est de savoir si un individu appelé Jésus-Christ a réellement existé.

Bien que cette controverse puisse ne pas être évidente au vu des publications habituellement disponibles dans les librairies populaires, quand on examine cette question de manière plus approfondie, on trouve un énorme volume de littérature qui démontre à maintes reprises, logiquement et intelligemment, que Jésus-Christ est un personnage mythologique au même titre que les hommes-dieux grecs, romains, égyptiens, sumériens, phéniciens ou indiens, qui sont tous actuellement perçus comme des mythes plutôt que comme des personnages historiques. En fouillant plus avant dans cette grande quantité de documents, on peut découvrir les preuves que le personnage de Jésus est basé sur des mythes et des héros beaucoup plus anciens du monde antique. On s’aperçoit alors que cette histoire n'est pas une représentation historique d'un charpentier rebelle juif qui s'incarna physiquement dans le Levant il y a 2 000 ans. Autrement dit, on a démontré continuellement pendant des siècles que le personnage de Jésus-Christ, a été inventé et ne dépeint pas une vraie personne qui soit aurait été le fils de Dieu ou qui aurait ensuite été transformée en un surhomme par ses disciples enthousiastes.

Dans "La contrefaçon dans le christianisme", Joseph Wheless dit : "Les évangiles sont tous des contrefaçons sacerdotales rédigées plus d’un siècle après leurs prétendues dates. " Ceux qui ont inventé certains des évangiles et des épîtres "alternatifs" qui furent écrits approximativement pendant les deux premiers siècles C.E. ont même admis qu'ils avaient forgé les documents. La contrefaçon pendant les premiers siècles de l'existence de l'église était manifestement effrénée, si commune en fait qu'une nouvelle expression a été inventée pour la décrire : "Fraude pieuse." Une telle tromperie est fréquemment admise dans L'Encyclopédie Catholique. Certains des "grands" pères de l’église, tel Eusebius, ont été reconnus par leurs propres pairs comme étant d’incroyables menteurs qui ont régulièrement écrit leurs propres fictions sur ce que "le seigneur" avait dit et fait pendant "son" séjour allégué sur la Terre.

Sources Bibliques

Il est frappant de constater que les documents chrétiens les plus anciens, les Épîtres attribuées à "Paul," ne discutent jamais de l’historique de Jésus mais traitent exclusivement d’un être spirituel qui était connu à toutes les sectes gnostiques depuis des centaines et des milliers d'années. On peut montrer que les quelques références "historiques" à une vie réelle de Jésus citées dans l'Épître sont des interpolations et des contrefaçons, comme le sont, les épîtres eux-mêmes, qui n’auraient donc pas été écrits par Paul. La littérature de Paul "ne se rapporte pas à Pilate ou aux Romains ou à Caïphe ou au Sanhédrin ou à Hérode ou à Judas ou aux femmes saintes ou à aucune personne dans le récit évangélique de la Passion et ne leur fait jamais aucune allusion; pour finir, elle ne mentionne absolument aucun des événements de la Passion, directement ou par allusion." D'autres écrits "chrétiens" les plus anciens tels la Révélation ne mentionnent aucun détail ou drame historiques. Paul ne cite jamais les prétendus sermons, prêches, paraboles et prières de Jésus, et qu’il ne fait pas plus mention de sa naissance surnaturelle et de ses prétendus merveilles et miracles, en fait tout ce qui aurait semblé très important pour ses fidèles si de tels exploits et paroles avaient été connu antérieurement à Paul.

Si l’on s’intéresse maintenant aux Évangiles, qui furent écrits vers le milieu du IIe siècle C.E., leurs prétendus auteurs, les apôtres, donnent des récits de Jésus et de sa généalogie qui se contredisent entre elles à plusieurs endroits. Sa naissance et son enfance sont mentionnées chez Marc, et bien que "Matthieu" et "Luc" affirment qu’il est "né d’une vierge", on fait remonter sa lignée de Joseph à la maison de David, de façon à ce qu’il "réponde à la prophétie". Dans les trois Évangiles synoptiques, on indique qu’il a enseigné un an avant de mourir, alors que chez "Jean" on parle de trois années. "Matthieu" indique que Jésus a donné le "Sermon de la Montagne" devant "les foules", alors que "Luc" mentionne une conversation privée avec quelques disciples. Les récits de la Passion et de la Résurrection différent totalement les uns des autres, et aucun n’indique à quel âge il est mort.

Sources non-bibliques

En fait, il n’y a pas de référence non-biblique au personnage historique de Jésus par aucun des historiens connus de l’époque contemporaine et suivant la prétendue venue du messie. Aucun écrivain de son temps ne l’a mentionné dans un écrit connu. L’éminent historien juif helléniste et philosophe Philon (20 B.C.E.- 50 C.E.), vivant à l’époque supposée de Jésus, ne le mentionne pas. Les quelques quarante historiens qui se sont succédés dans les deux premiers siècles ne l’ont pas mentionné davantage. " Il reste suffisamment d’écrit de [ces] auteurs … pour former une bibliothèque. Et pourtant dans cette masse de littérature juive et païenne, excepté deux passages contrefaits dans les écrits d’un auteur Juif, plus deux passages controversés dans les œuvres d’écrivains romains, on ne trouve aucune mention de Jésus-Christ ". Leur silence constitue un témoignage assourdissant envers les historiens.

Les Personnages

Il est évident qu’il n’y avait pas un personnage unique sur laquelle la religion chrétienne s’est fondée, et que ce "Jésus-Christ" est une compilation de légendes, héros, dieux et hommes-dieux. La place manque ici pour entrer dans le détail au sujet de chaque dieu qui a contribué à la formation du personnage de Jésus; qu'il suffise de dire qu'il y a d'abondance de documents pour prouver que ce sujet n'est pas une question de "foi" ou de "croyance ". La vérité est que, à l’époque où ce personnage a censément vécu, il y avait une vaste bibliothèque à Alexandrie et un réseau incroyablement souple de confréries qui s’étendait de l'Europe à la Chine; ce réseau d’information a eu accès à de nombreux manuscrits qui racontaient le même récit que celui du Nouveau Testament, avec des noms de lieu et d'appartenance ethnique différents. Dans la réalité, le récit de la vie de Jésus constitue un parallèle presque identique avec l'histoire de Krishna, par exemple, y compris dans ses détails, comme signalé entre autres par le mythologue et érudit distingué Gérald Massey il y a plus de cent ans, aussi bien que par le révérend Robert Taylor il y a cent soixante ans, entre autres. Le conte de Krishna que l’on trouve dans les Védas hindous a été daté à au moins 1400 B.C.E. On peut dire la même chose du mythe d’Horus, qui est presque identique, dans ses détails, à l’histoire de Jésus, mais qui précède la version chrétienne de milliers d’années.

L’histoire de Jésus a incorporé des éléments de récits d'autres dieux enregistrés dans ce vaste territoire, comme par exemple ceux des sauveurs du monde et "fils de Dieu", dont la plupart précèdent le mythe chrétien, et dont un bon nombre furent crucifiés ou exécutés:


· Adad d'Assyrie
· Adonis, Apollon, Héraclès ("Hercule"), et Zeus en Grèce
· Alcides de Thèbes
. Attis de Phrygia
· Baal de Phénicie
· Bali d'Afghanistan
· Beddru du Japon
· Buddha en Inde
· Crite de Chaldée
· Deva Tat du Siam
· Hésus des druides celtes
· Horus, Osiris, et Sérapis d'Egypte, dont l'aspect barbu avec de longs cheveux a été adopté pour le personnage du Christ
· Indra au Tibet
· Jao au Népal
· Krishna en Inde
· Mikado des Sintoos
· Mithra en Perse
· Odin des Scandinaves
· Prométhée au Caucase
· Quetzalcoatl au Mexique
· Salivahana aux Bermudes
· Tammuz de Syrie (qui fut, dans un mouvement typique de la fabrication des mythes, plus tard transformé en disciple Thomas)
· Thor en Gaule
· Monarque universel des Sibyles
· Wittoba des Bilingonèses
· Xamolxis de Thrace
· Zarathustra/Zoroastre en Perse
· Zoar des Bonzes

Horus d’Egypte:
Les légendes relatives à Horus datent de milliers d'années (-2500 ??) :
.Horus est né de la vierge Isis-Meri le 25 décembre dans une grotte/crèche, sa naissance étant annoncée par une étoile à l’est et attendue par trois hommes sages.
.Il enseignait à des enfants au Temple et fut baptisé à l’âge de trente ans.
.Il a eu 12 disciples.
.Il effectua des miracles et éleva un homme, El-Azar-us, d’entre les morts.
.Il marcha sur l’eau.
.Horus fut transfiguré sur la Montagne.
.Il a été enterré dans un tombeau et a été ressuscité.
.Il était aussi "la Voie, la Vérité, la Lumière, le Messie, le fils oint de Dieu, le Fils de l’Homme, le Bon Berger, l’Agneau de Dieu, le Mot", etc.
.Il était "le Pêcheur" et était associé à l’Agneau, au Lion, au Poisson ("Ichthys")
.L'épithète personnelle de Horus était "Iusa," "le fils éternel" de "Ptah," le "Père."
.Horus s'appelait "le KRST," ou "Oint,"

Mithra, le Dieu-Soleil de Perse:
L'histoire de Mithra (avant -600/JC). D’après Wheless, le culte de Mithra était, peu avant l’ère chrétienne, le plus populaire et répandu des religions ‘païennes’ de l’époque.
.Mithra est né d'une vierge le 25 décembre.
.Il était considéré comme un grand professeur et un maître itinérant.
.Il était appelé "le Bon Berger."
.Il était considéré comme "la Voie, la Vérité et la Lumière."
.Il était encore considéré comme "le Rédempteur," "le Sauveur," "le Messie."
.Il était identifié à la fois au Lion et à l'Agneau.
.Son jour sacré était le dimanche, le "jour du Seigneur"
.Il avait sa fête principale à la date qui allait ensuite devenir Pâques, correspondant à sa résurrection.
.Il avait 12 compagnons ou disciples.
.Il effectuait des miracles.
.Il a été enterré dans un tombeau.
.Après trois jours, il s'est relevé.
.Sa résurrection était célébrée chaque année.
.Sa religion comportait une eucharistie ou "dîner du Seigneur".

Nazareth

Les évangélistes ayant trouvé dans la bible juive ou dans l'ancien testament (Juges XIII, 5-7 ; 1 Samuel I, 11 etc ), la définition du "Nazaréen", ils imaginèrent une ville qui n'existait pas. Et ils l'appelèrent Nazareth. C'est donc à Nazareth, suivant nos évangiles, que le mythique Jésus né à Bethléem, a vécu jusqu'à son baptême dans le Jourdain avant sa vie publique. Or Nazaréen signifie "consacré au Seigneur".
Les croisés ne trouvèrent pas Nazareth en 1090 et ce sont les Chevaliers de la Croix qui, au XIIIe. siècle, fondèrent le village de Nazareth

Le 22 décembre 1993 le pape Jean Paul II reconnaît que le 25 décembre est une fête païenne. Il déclara : "Chez les païens de l'Antiquité, on célébrait l'anniversaire du soleil invincible, ce jour-là afin qu'il coïncide avec le solstice d'hiver. Il a semblé logique et naturel pour les chrétiens de remplacer cette fête par celle du seul Soleil véritable : Jésus-Christ ".

Précisons que pour l'évangile dit de Luc ( rédigé après l'an 150 comme les autres évangiles), Jésus est né sous Hérode, mais à l'époque du recensement de Quirinius ( Luc II, 2). Il s'avère que Quirinius n'était pas en Syrie du temps supposé de la "naissance" de Jésus. Il ne figure pas sur la liste des gouverneurs de la Syrie. C'était Quintilius Varus qui était proconsul d'Asie et gouverneur de la Syrie. A l'époque, il n'y a pas eu de recensement en Judée sur l'ordre du gouverneur de Syrie. Le premier recensement en Judée a eu lieu en l'an 7 de notre ère, et encore était-ce un recensement des biens et non des populations. Jamais lors des recensements les gens n'ont été obligés de se rendre dans leur pays d'origine. Les recensements se sont toujours déroulés sur le lieu d'habitation. La "vierge" Marie, Joseph et Jésus n'avaient pas besoin de se déplacer pour le recensement. Le récit de l'évangile dit de Luc ne tient pas. Cela prouve que les évangiles sont truffés d'erreurs historiques (autres exemples : L'affaire de Salomé et de saint Jean Baptiste... ).

http://www.bible.chez-alice.fr/jc03.htm

 

 

04/05/2017

Pourquoi les Illuminati révèlent-ils la conspiration ? (Selon Henri Makow)

Merci de partager cette vidéo et ce texte largement autour de vous ! 

Si nous votons pour MACRON, nous allons perdre notre âme pour la livrer aux satanistes reptiliens ! 

 

Pourquoi les Illuminati révèlent-ils la Conspiration ?

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Les Illuminati ne veulent pas seulement vos enfants, votre épouse, vos biens et votre liberté.

Le fait de s’emparer de vos droits les plus élémentaires n’est pas suffisant pour ces Satanistes. Ils veulent la récompense ultime. Ils veulent s’emparer de votre âme.

Ils nous révèlent la conspiration, parce qu’ils veulent que nous soyons leurs complices. Tout comme les francs-maçons des rangs inférieurs, les Juifs, les américains ou les européens ordinaires, sont complices par leur soutien envers la guerre. Ils veulent que nous devenions tous des démons.

Ils font délibérément preuve de maladresse parce qu’ils veulent nous compromettre. Ils ne veulent pas que nous puissions dire : « Mon Dieu, nous n’en savions rien. ».

Ils ont fait un pari avec Dieu. Ils veulent nous enrôler du côté de Lucifer. Mais ils doivent nous laisser le libre arbitre, la capacité de faire un choix.

C’est la raison pour laquelle ils nous révèlent la conspiration. Par exemple les Rockefeller parrainent la John Birch Society. Leur journal, The New American est toujours une des meilleures sources d’information à propos des projets de l’élite. Cette opposition contrôlée présente aussi d’autres utilités. Elle permet de circonscrire la révolte et de s’assurer qu’aucune autre forme de résistance ne vienne à se développer.

C’est pourquoi beaucoup de sites comme le mien fonctionnent sans beaucoup de difficulté. Ils veulent que tout le monde soit au courant. Certains autres sites internet peuvent même recevoir le soutien des Illuminati.

Ralph Epperson, l’auteur de The Unseen Hand (1985)/La main invisible, fait des révélations au sujet du Nouvel Ordre Mondial depuis les années 1980. Il m’a confié n’avoir jamais rencontré aucune forme de répression de la part de l’élite.

C’est pourquoi ils sont si négligents. Tout le monde peut voir qu’aucun avion n’a heurté le Pentagone, ni ne s’est écrasé à Shanksville. Ils veulent que nous nous compromettions en acceptant ces mensonges et en abandonnant les victimes à leur sort. Nous devenons ainsi moralement complices de leurs crimes.

L’AVOCAT DU DIABLE

Dans le film L’Avocat du Diable, basé sur le roman d’Andrew Niederman et produit par Arnon Milchan et Arnold Kopelson, le Diable (Pacino) déclare à Kevin Lomax, l’avocat ambitieux joué par Keanu Reeves : « Je ne fais que présenter les évènements, ton libre arbitre tire ses propres ficelles ! »

Il montre à Kevin qu’il ne peut blâmer personne d’autre que lui-même. Kevin est dirigé par son propre égoïsme et sa vénalité. Il a abandonné sa femme au moment où elle avait le plus besoin de lui, puis elle s’est suicidée. Il a fait acquitter beaucoup de coupables, parce qu’il « ne perd jamais ».

Puis le diable nous expose le manifeste Luciférien : c’est la croyance que l’homme est défini par ses appétits charnels et ses désirs (l’avidité, le pouvoir, la luxure), plutôt que par son âme et les idéaux spirituels (la vérité, la justice, la beauté). L’homme sert Lucifer en satisfaisant ces tentations, devenant complice de sa propre destruction. Les Illuminati ont toujours défendu le fait que l’homme se consacre à la satisfaction de ses plus bas instincts, appelant cela la « libération sexuelle » et le « mariage libre ». Cela détruit la famille. Leur psychologie a toujours été contre toute forme de « répression » (c’est-à-dire d’autodiscipline). Cette idéologie que l’homme est Dieu, et que ses désirs sont la mesure de toute chose, s’appelle « l’humanisme laïc », c’est-à-dire le « Luciférianisme ».

John Milton (Le Diable) : Pourquoi te charges-tu de ce poids ? Dieu ? C’est ça ? Dieu ? Eh bien laisse-moi te donner une information confidentielle à propos de Dieu. Dieu aime observer. C’est un farceur. Penses-y. Il a pourvu l’homme d’instincts. Il l’affuble de ces dons extraordinaires, et que fait-il, pour son propre amusement, son propre divertissement cosmique, Il fixe la loi des opposés. C’est la blague des blagues. Regarde, mais ne touche pas. Touche, mais ne goute pas. Goute, mais n’avale pas. Ahahah. Et pendant que tu sautes d’un pied sur l’autre, que fait-il ? Il rit aux éclats ! C’est un sadique, un cul serré ! C’est un propriétaire absent! Vénérer ça ? Jamais !

Kevin Lomax : « Mieux vaux régner en Enfer que de servir au Paradis », c’est ça ?

John Milton : Pourquoi pas ? Je suis là depuis le commencement des temps. J’ai expérimenté chaque sensation dont l’homme a été doté. Je me suis occupé de ce qu’il voulait sans jamais le juger. Pourquoi ? Parce que je ne l’ai jamais rejeté. Malgré toutes ses imperfections, je suis un fan de l’homme! Je suis un humaniste. Peut-être même le dernier des humanistes. Qui peut objectivement nier que le vingtième siècle ait été entièrement mon œuvre, Kévin ?

Le Diable révèle qu’il est le père de Kévin et lui demande d’avoir une liaison avec sa jolie demi-sœur de manière à engendrer un successeur. Plutôt que de succomber à cette tentation, Kévin se donne la mort.

Le simple fait de dire « non » aurait suffit. Nous ne serons pas complices de notre propre destruction. Nous ne vendrons pas notre âme au Diable.

 

 

 

14/09/2015

Le Nouvel Ordre Mondial : « Cette ingérence étrangère, est liée aux extraterrestres »

Quand l’humanité comprendra ce qui se passe sur Terre depuis des millénaires alors elle se décidera à se lever contre toutes les monstruosités qu'elle subit sans relâche et qu'elle sera en mesure de se libérer de ses envahisseurs prédateurs  ! 

 

Le Nouvel Ordre Mondial : « Cette ingérence étrangère, est liée aux extraterrestres »

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Le Nouvel Ordre Mondial, j’ai pas peur, tu vas mourir ! Qu’ils dégagent tous en enfer ! Rejoignez, le, peuple !

DJ Mondru featuring LLP & Jimmy G. - Nouvel Ordre Mondial


Jimmy Guieu n'était pas seulement l'écrivain de science-fiction bien connu, mais aussi un enquêteur de l'étrange pour le moins passionné.

La série "Les Portes du Futur" retrace ses recherches

Jimmy Guieu est décédé suite à un cancer de la prostate. On a retrouvé un peu plus tard, une barre d’uranium sous sa chaise de travail. Sur cet assassinat, vous trouverez plus d’informations ici.

Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 1
Nos visiteurs les extraterrestres (Les Portes du Futur)


 

Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 2
Nos maîtres les extraterrestres (Les Portes du Futur)



Jimmy Guieu : Les Gouvernants Secrets 3
Les embassadeurs (Les Portes du Futur)


 

La série des 7 vidéos portant sur les Gouvernants secrets : ICI

 

 

 

30/12/2014

L’arche avant Noé. Le mythe du déluge universel !

Vous remarquerez que dans cet article de Sciences et Avenir on nous dit que « Dans cette tablette, sumérienne, le dieu Enki apprend ainsi à Atrahasis que la base de l’embarcation doit couvrir une superficie de 3600 m2 et que son diamètre est de 70 m », explique Irving Finkel, qui a dû effectuer de longs calculs de conversion pour transcrire les unités de mesure antiques. Nous retrouvons encore le Dieu Enki qui fait partie de la Triade Divine de la religion sumérienne qui leur a été imposée par les Grands Dieux AN-NUNAKIS dont la planète est Nibiru, et dont le principal Dieu est AN
de AN-NUNAKIS.

Voir ici la religion Sumérienne
http://home.nordnet.fr/caparisot/html/sumerreligion.html

Extrait : Au sommet se détachent la Divine Triade : An, Enlil et Enki (voir ci-dessus les 4 dieux créateurs). Attention, le terme triade est ici trompeur, au sens où il pourrait nous faire croire que le pouvoir suprême était divisé à part égale entre ces trois divinité, ce qui n'était pas le cas, An étant le dieu le plus puissant des trois.


La Divine Triade : An, Enlil et Enki

 

Nous avons encore une fois la preuve que la Torah a été plagiée à partir des écrits sumériens de la Création qui ont été repris dans l'ancien testament de la Bible, et que depuis près de 4000 ans, les hébreux qui sont à l'origine de l'invention du Judaïsme et des 3 religions dites du livre, sous couvert de nous avoir instauré le Monothéisme par Abraham né à Ur à Sumer, nous font prier leurs Dieux Reptiliens AN-NUNAKIS. Pas étonnant qu'ils nous décrivent des Dieux méchants et vengeurs, qui ne demandent à leurs supposés enfants que de se sacrifier pour eux et de payer pour un péché originel que nous n'avons jamais commis ! Tant il est vrai qu'ils détestent l'Humanité et qu'il faut la punir par le simple fait qu'elle existe !

Est-e que c'est aussi le Dieu ENKI ou AN qui ont demandé à Rockfeller,  Bill Gates et Monsanto de créer l'arche végétale en Norvège  ?

*- Des arches de Noé pourquoi faire ?

Quand ils cesseront de nous prendre pour des imbéciles, ce sera un grand jour !

L’arche avant Noé

Sciences > Archéo & paléo > L’arche avant Noé

Bernadette Arnaud


Publié le 30-03-2014 à 17h00Mis à jour le 09-04-2014 à 18h02

Une tablette mésopotamienne (Sumérienne), datant de 1900 avant J.-C., détaille la construction d’une arche... ronde. Une nouvelle preuve de l’ancienneté millénaire du mythe du Déluge.

Une image du film Noe dont la sortie est prévue en France le 9 avril 2014 afp

 Une image du film Noé dont la sortie est prévue en France le 9 avril 2014 afp

TABLETTE. Un grand bateau chargé d’animaux de toutes sortes ballottés au-dessus des flots démontés, telle est depuis 2000 ans l’image de l’arche du Déluge qu’offre l’iconographie. Or il va peut-être falloir changer de décor pour imaginer cet épisode qui, selon le récit biblique, vit des pluies catastrophiques s’abattre sur la Terre pour punir l’humanité de ses péchés.

Depuis janvier, une tablette mésopotamienne d’argile, présentée au British Museum de Londres, vient en effet bousculer ce que l’on savait du mythe. En décryptant les 60 lignes en cunéiforme (la plus ancienne écriture du monde) présentes sur ses deux faces, Irving Finkel, éminent assyriologue britannique, a en effet découvert que celle-ci recélait un trésor : la description détaillée de la construction même de l’arche, destinée à sauver de la noyade un couple de chaque espèce présente sur Terre, plus de mille ans avant celle figurant dans le livre de la Genèse (lire aussi p. 18). Et, surprise : l’arche est... ronde.

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Dans un livre récemment publié en Grande-Bretagne (The Ark before Noah) — qui devrait connaître une traduction française début 2015 —, l’assyriologue britannique détaille le véritable « manuel de construction » d’une arche que constitue ce texte.

Pour la première fois, les dimensions précises de l’embarcation, sa taille et sa forme sont clairement décrites. Avec cette particularité remarquable qui veut que le héros nommé Atrahasis (« Sceptre d’ingéniosité »), sorte de proto-Noé babylonien, façonne une arche ronde.

Ronde comme les « coracles » de l’antique Mésopotamie, ces embarcations fluviales que l’on rencontre encore de nos jours en ExtrémeOrient, et qui étaient toujours en usage en Irak dans la première moitié du XXe siècle.

Des sortes de grands paniers de roseaux, calfatés avec du bitume pour assurer leur étanchéité.

« Dans cette tablette, le dieu Enki apprend ainsi à Atrahasis que la base de l’embarcation doit couvrir une superficie de 3600 m2 et que son diamètre est de 70 m », explique Irving Finkel, qui a dû effectuer de longs calculs de conversion pour transcrire les unités de mesure antiques.

Séparer les animaux mortellement incompatibles

Le dieu précise également que le coracle doit être fabriqué en cordes de fibres de palme. Après avoir enroulé ces cordages les uns sur les autres pour former un panier rond géant, Atrahasis doit consolider le tout avec des membrures de bois placées dans l’espace intérieur, tout en mettant en place des étais, destinés à supporter un pont supérieur.

LONGÉVITÉ. L’espace ainsi ménagé doit être ensuite agencé au moyen de cloisons pour accueillir séparément « des animaux encombrants ou ceux mortellement incompatibles ». Vingt des soixante lignes de la tablette sont ensuite consacrées à l’étanchéité du bateau, laquelle doit être obtenue par l’application d’une épaisse couche de bitume.

Puis, à la ligne 52, une précision inédite apparaît : les animaux doivent monter à bord « deux par deux ». « C’est une indication très proche de la narration de la Bible. C’est la première fois qu’elle apparaît sur une tablette mésopotamienne », s’enthousiasme Irving Finkel. Preuve, s’il en était, de la prodigieuse longévité de ce mythe.

Pour tout savoir sur les travaux d'Irving Finkel et les autres mentions du mythe du déluge, rendez-vous sur le dernier numéro de Sciences et Avenir qui vient d'arriver dans les kiosques et sur vos tablettes.

http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20140328.OBS1750/l-arche-avant-noe.html

 

 

Documentaire FranceTV5 à voir absolument : La vérité sur l'arche de Noé qui n'a jamais été construite !

Allez encore un mythe de la Torah et de la Bible qui s'effondre ! Une nouvelle fable qui s'écroule ! Ce qui rapporte encore une fois la preuve que tout a été copié à partir des récits de la création de la religion sumérienne qui leur a été imposée par les Grands Dieux AN-NUNAKIS reptiliens !

Nous avons ainsi la preuve que le Dieu vengeur et méchant dont ils nous parlent dans leurs écrits dits sacrés, n'a jamais existé et qu'il n'a rien détruit du tout ! En revanche les AN-NUNAKIS et les hybrides/reptiliens savent que leur planète/vaisseau Nibiru qui est le Soleil Noir, revient tous les 3600 ans et qu'elle participe par sa force magnétique à provoquer l'inversion des pôles magnétiques de la Terre, des perturbations climatiques et forcément le débordement des mers et des océans ! Ce qu'ils doivent attendre avec impatience qu'elle revienne bientôt pour se débarrasser de nous et instaurer leur Nouvel Ordre Mondial avant le retour de leurs Grands Dieux AN-NUNAKIS auxquels ils ont promis de livrer la Terre et toutes ses richesses.

Le déchiffrage d'une tablette d'argile cunéiforme par le professeur Irving Finkel du British Museum est le point de départ d'une enquête sur le mythe du Déluge et de Sumer. L'arche était décrite sur une tablette sumérienne qui date de 1000 ans avant JC qui est décrite pour être ronde (un ovni?) et qui n'a jamais été construite, selon ses travaux de recherches qui auront duré 20 ans.

Voir le documentaire sur FranceTV5 en replay durant encore 1 jour !

La vérité sur l'arche de Noé
Diffusé le mer. 24-12-14 à 15h06 | Plus qu'1 jour en replay
Documentaire | 55' | Tous publics |
Le déchiffrage d'une tablette d'argile cunéiforme par le professeur Irving Finkel est le point de départ d'une enquête sur le mythe du Déluge et de Sumer.
http://pluzz.francetv.fr/videos/la_verite_sur_l_arche_de_...

Quelques articles ci-dessous notamment en Anglais.

L’arche d’avant Noé

L’arche d’avant Noé

Une tablette mésopotamienne exposée au British Museum vient d’être déchiffrée par un éminent assyriologue britannique qui livre son étude au terme de 20 années de travail dans un livre intitulé « L’arche avant Noé ».

Irving Finkel affirme que la tablette raconte la construction de cette arche… qui était ronde !

La tablette date de 1800 avant JC, soit 1000 ans avant le récit de la Genèse… Une preuve pour cet homme de l’ancienneté millénaire du mythe du Déluge, que la Bible aurait repris fidèlement : un grand arche, dans lequel les animaux iraient deux par deux …

Articles en lien :

*- Babylonian tablet shows how Noah's ark could have been constructed

*- Noah's ark was round – so the ancient tablet tells us

Irving Finkel, curator of the British Museum's 130,000 Mesopotamian clay tablets, has spent 20 years investigating one that challenges the story of Noah and the flood

Irving Finkel

Irving Finkel at the British Museum. Photograph: Sarah Lee for the Guardian

Irving Finkel is the curator from central casting. Battered clothes, bushy white beard, little circular glasses, boundless enthusiasm. From a distance he looks about 100, but as he sprints across the British Museum's Great Court to offer the warmest of handshakes – he is 10 minutes late for our meeting – you realise he is much younger. In reality, he is 62 going on 12, since a lifetime spent examining the clay tablets of ancient Mesopotamia has left him seemingly unaffected by the cares of the workaday world.

"The man who is tired of tablets is tired of life," he announces in his delightful new book, The Ark Before Noah, which sets out to demonstrate that the biblical flood narrative was derived from stories that had been embedded in Sumerian and Babylonian society and literature for thousands of years. The book revolves around a clay tablet dating from about 1800BC with 60 lines of cuneiform (the tiny, wedge-shaped script on the tablets), which relate part of the flood story. Finkel first encountered this "Ark tablet" almost 30 years ago when a member of the public brought it to show him. He has spent the past 20 years translating the text and putting it in the context of other flood literature, and is now ready to unveil it to the world. This is in the form of his book and a Channel 4 documentary, due to be shown in August, which is building the ark to the specifications on Finkel's tablet to see if it floats.

Finkel's bombshell – and the point of the Channel 4 programme – is that he reckons the original ark was round. "The fact that the ark was round is the headline finding," he says. "It's something nobody in the world had anticipated because everybody knows what Noah's ark looked like." All those pictures of oblong, multi-decked boats that look like neat country cottages will have to be redrawn.

The mobile phone-sized ark tablet is housed in a posh-looking red box with "Instructions on the Building of the Ark" written on it. Finkel takes the tablet out of the box and lets me hold it – a chance to commune with the ghosts of ancient Mesopotamia. I manage not to drop it. As well as casting new light on the shape of the original ark, it also contains the first written allusion to the animals "going in two by two". In the book, he describes unearthing this reference on the broken, weathered tablet with its worn-out wedges as his "biggest shock in 44 years of grappling with difficult lines in cuneiform tablets ... I nearly fell off my chair." He is good at conveying the excitement of academic discoveries, a television natural.

Clay tablet The tablet in Irving Finkel's hand casts new light on the shape of the ark. Photograph: Sarah Lee for the Guardian

He could have written up his findings in an academic tome that would have pleased his peers, but he has instead produced a digressive, amusing, personal book for the general reader, a book that is willing to ask big questions – such as how did the Babylonian ark story find its way into the Bible? – and make the odd educated guess. "There's very little in existence that helps people with this subject. Mostly we're orientated to make it seem forbidding and difficult."

The first draft was written in what he calls a "very defensive" way. "In the world of scholarship," he says, "you don't make a statement without supporting it with footnotes and references to German periodicals."

"When I first wrote the book I did it feeling that all my colleagues were going to read it and they'd be saying [puts on whispery academic voice] 'I rather doubt ...' But when I wrote the second draft, I suddenly had this brilliant idea that I would forget my colleagues existed and write for everybody else, which was very liberating. It meant I could speak with my real voice." In the book, Finkel explains his own route into Assyriology and his continuing love affair with the subject. He had wanted to be a curator at the British Museum from the age of nine, and was overjoyed when he joined in 1979. But how will those colleagues react? "I don't know," he admits. "They'll probably all gang up against me at conferences and throw fruit."

Finkel wears several academic hats. As well as being in charge of the museum's 130,000 clay tablets, he looks after its collection of board games and has made it a personal crusade to preserve old diaries, launching the Great Diary Project to "provide a permanent home for unwanted diaries of any date or kind".

What links Mesopotamian inscriptions and the humdrum diaries of elderly ladies from Carshalton? "I had this sudden epiphany that diaries were like clay tablets," he says. In 4,000 years time, the shopping lists of elderly ladies in Surrey will be pored over with fascination. Finkel sees his mission as rescuing artefacts of the past – clay tablets, obscure Indian board games, the diaries of ordinary people – before they are swept away, a latterday Noah constructing a cultural ark. A round one of course.