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12/01/2009

GAZA : La Réalité cachée d'un massacre

GAZA La Réalité cachée d'un massacre
 
 
 

Gaz : Gaza n'a pas besoin d'aide : elle a un gisement de gaz de près de 3 milliards d'euros !

L'Europe s'occupe du Gaz et Israël de Gaza !
On comprend mieux le silence de la communauté internationale et le soi-disant refus d'Israël de rejetter les résolutions de l'ONU !  
Tous complices de ces massacres !
Silence on tue des enfants et des innocents pour le gaz et le fric !

Gaza na pas besoin d'aide : elle a un gisement de gaz de près de 3 milliards d'euros

A 8 kilomètres des plages de Gaza, trop loin pour le voir à l'oeil nu mais en plein dans les eaux palestiniennes, gît une fortune inexploitée en gaz off-shore.

Par Tim Butcher

source : Oil & Gas Journal
source : Oil & Gas Journal
Les donateurs internationaux vont – encore – se réunir le mois prochain pour promettre de l'argent aux Palestiniens.

Cette fois,
c'est la France qui accueille le cirque de la mendicité et nous entendrons une fois de plus le même choeur qui, depuis des années, nous raconte que l'aide aidera à résoudre les griefs palestiniens.

Tony Blair, dans son boulot d'envoyé spécial auprès des Palestiniens, apparaîtra le plus pressant et parlera publiquement de l'importance du soutien financier accordé par le monde.

Mais au lieu de pointer dans leurs élégants hôtels parisiens, les donateurs feraient mieux d'aller à Gaza pour aider à la libération d'un atout économique palestinien tellement important qu'il permettrait d'en finir avec le besoin de saigner la communauté internationale de millions d'aide chaque année.

A 8 kilomètres des plages de Gaza, trop loin pour le voir à l'oeil nu mais en plein dans les eaux palestiniennes, gît une fortune inexploitée en gaz off-shore. Des navires de prospection ont fait descendre deux sondes il y a sept ans et ce qu'elles ont trouvé a fait fondre les cadres des multinationales pétrolières.

Les experts ont estimé à 2 milliards de livres de gaz naturel la réserve d'un seul champ. Et le potentiel dans d'autres champs est énorme.

Une découverte similaire dans le Golfe Persique aurait été exploitée promptement et, en quelques années, des millions de livres de taxes auraient commencé à se déverser dans les coffres du gouvernement local.
Mais Gaza n'est pas dans le Golfe et l'exploitation de son champ maritime reste piégée dans les filets de l'hostilité mutuelle entre Palestiniens et Israéliens.

Le contrôle d'Israël sur l'Etat palestinien résiduel est si complet que, depuis des années, l'Etat juif a bloqué l'exploitation du champ. A ce moment là, le projet était de vendre le gaz de Gaza à l'Egypte, mais c'était pendant le deuxième Intifada, lorsque le Premier Ministre Ariel Sharon a dit qu'il ne permettrait en aucune façon qu'un projet qui rapporte de l'argent à Yasser Arafat ne se développe.

Les choses ont un peu bougé : Arafat est mort, Sharon est dans le coma à la suite d'une attaque, et un cessez-le-feu, si l'on peut dire, a mis fin à l'Intifada. Ironiquement, les intellos du gouvernement israélien, ceux qui sont responsables de tracer l'avenir, ont aussi changé de ton.

Au lieu qu'à l'avenir ce soit l'Egypte qui achète le gaz de Gaza,
Israël a commencé soudain à songer à devenir l'acheteur : le gisement de gaz indigène d'Israël "au nord du champ maritime de Gaza" pourrait se tarir en quelques années et la seule autre source à long terme serait le gazoduc de l'Egypte voisine.

A première vue, cela apparaît comme une situation gagnant-gagnant. Les Palestiniens auraient un acheteur garanti pour leur gaz qui génèrerait 70 millions d'euros par an pendant 15 ans en revenus de taxes, et fournirait les bases d'une croissance économique durable.

Et les Israéliens auraient une source de gaz sûre et abordable pour garantir leur croissance économique. Cela monterait aussi nettement comment deux ennemis historiques pourraient en arriver à compter l'un sur l'autre pour leur prospérité économique.

Une équipe de négociateurs, menée par Nigel Shaw pour British Gas, la compagnie qui a acheté les droits d'exploitation de Gaza Marine, s'est transportée dans un immeuble de bureaux d'une élégante station balnéaire israélienne et a entrepris d'établir les divers actes et garanties qui sont la norme dans l'industrie gazière et pétrolière internationale.

Mais en dépit des déclarations publiques d'Ehud Olmert, le Premier Ministre israélien, disant qu'il soutenait le projet, et même l'intervention de Gordon Brown, alors Chancelier de l'Echiquier, qui a considéré le marché comme la clef du développement de l'économie palestinienne, les négociations n'ont pas bougé.

Les démarches faites par The Daily Telegraph auprès de parties prenantes clef au sein du gouvernement israélien "le Ministère de l'Infrastructure Nationale et le bureau du Premier Ministre" ont abouti à des déclarations similaires sur "des négociations en progrès" et "des déclarations finales imminentes", mais des initiés de l'industrie ont révélé qu'en réalité, aucun accord n'est en vue.

Il y a eu quelques inquiétudes israéliennes que l'argent du gaz ne finisse dans les mains du Hamas mais elles ont été résolues l'année dernière, lorsqu'un fonds en fidéicommis a été ouvert, qui assure que l'argent international ira seulement au gouvernement palestinien nommé par Mahmoud Abbas, président de l'Autorité Nationale Palestinienne et chef du Fatah.

Si M. Blair était sérieusement investi de sa mission d'aider à développer une économie palestinienne durable, il pèserait de tout son poids pour que le projet de gaz de Gaza sorte de terre.

Jusqu'à présent, il a visé un peu plus bas, ne parlant publiquement que de réaménagement d'une usine de retraitement des eaux usées à Gaza et esquivant soigneusement les tentatives de l'impliquer avec Gaza Marine.

A moins qu'il ne montre un petit peu plus de courage, on peut craindre que la conférence des donateurs du mois prochain ne soit pas la dernière.

Sur le même sujet, lire :
- "
Transformer la plus précieuse ressource naturelle de Palestine en instrument politique"
- "
Pétrole, paix et la Palestine : Energies Clef pour le passé et le futur de la Terre Sainte"
- "
Le gaz naturel découvert à côté de la mer de Gaza est considéré comme un des meilleurs genres de gaz naturel dans le monde entier"

Source : The Daily Telegraph
Traduction : MR pour ISM

Mardi 13 Novembre 2007
 

Gaza : Les raisons de l'offensive d'israélienne : L'Europe s'occupe du gaz et Israël de Gaza !

Les raisons de l'offensive israélienne
Guerre pour le gaz offshore dans la façade maritime de Gaza

Selon diverses sources, d'importantes poches de gaz auraient été découvertes sur les côtes de Gaza en 2000. L'invasion militaire de l'enclave palestinienne par les forces israéliennes serait également en relation avec ces découvertes. ça serait donc aussi une guerre à la propriété des réserves stratégiques offshore du gaz sinon à leur contrôle. British Gas (BG Group), et son associé, basé à Athènes, Consolidated Contractors International Company (CCC), une boîte liée à deux grandes familles d'affaires libanaises (Sabbagh et Koury), ont signé au début de novembre 1999 un accord pour 25 ans sur les droits d'exploration pétroliers gaziers avec le Fonds d'investissements de l'Autorité palestinienne.

C'est le quotidien israélien qui a rapporté l'information le 21 octobre 2001. Info ou intox ? Le journal a publié une carte dans laquelle 60% des réserves de gaz sont établies sur le littoral maritime de Gaza, les autres champs sur celui d'Israël.

Outre la valorisation des champs gaziers, l'accord prévoit la construction d'un gazoduc. BG Groupe a foré deux puits, tout de suite après la signature de l'accord (Gaza Marine 1 et Gaza Marine 2) et leurs réserves sont beaucoup plus grandes que ne le laissaient entendre les premières estimations. Après la mort de Yasser Arafat, la victoire de Hamas aux législatives et aux municipales, et l'affaiblissement de l'Autorité palestinienne, le contrat a été mis aux oubliettes et British Gas se serait tourné alors vers Israël. L'entreprise a choisi de faire l'impasse sur le gouvernement du Hamas, violant délibérément les droits de développement et d'exploration et les droits sur les domaines gaziers. En fait, ce retournement de situation s'est déroulé lorsque Ariel Sharon était revenu aux affaires en 2001.

Le bourreau de Sabra et Chatila a porté l'affaire devant la Cour suprême israélienne où il devait déclarer qu'Israël n'achèterait jamais de gaz à la Palestine pour affirmer que les réserves des domaines gaziers offshore de Gaza appartenaient à Israël. La situation a traîné pour rebondir en 2006 lorsque Hamas a coiffé au poteau électoral le Fatah historique. Le successeur de Sharon mieux en phase avec Mahmoud Abbas autorise en mai 2007 l'achat de gaz à l'Autorité palestinienne. Le contrat proposé était de 4 milliards de dollars, générant des profits de l'ordre de 2 milliards, lesquels devaient revenir aux Palestiniens. Selon l'accord de 2007, le gaz palestinien des puits offshore de Gaza devait être amené par un pipeline sous-marin au port de mer israélien d'Ashkelon, transférant ainsi le contrôle de la vente du gaz naturel à Israël. Tel-Aviv, cependant, n'avait aucunement l'intention de verser quoi que ce soit aux Palestiniens. Le chef du Mossad, Meir Dagan, a évoqué des raisons de sécurité, alléguant que les revenus en question financeraient le terrorisme ! En décembre 2007, British Gas s'est retiré des négociations  et en janvier 2008 l'entreprise a fermé ses bureaux.
 
Le plan d'invasion de Gaza fut alors mis en place en juin 2008. Des sources ont révélé après le 27 décembre que le ministre de la Défense israélienne, Ehud Barak, avait chargé l'armée israélienne de se préparer pour l'opération il y a plus de six mois. Au même moment, British Gas a été approché pour reprendre ses activités. 

 
 
 

11/01/2009

Les protocoles des Sages de Sion et les protocoles de Toronto

Certains attestent que Les Protocoles des Sages de Sion sont des faux, d'autres disent qu'ils auraient fini d'être appliqués depuis longtemps, et que Les Protocoles du Toronto auraient pris le relais !

Vrais ou faux protocoles ? A vous d'en décider !

 

"Ce document, rédigé en Hébreux est un faux qui a été diffusé par la propagande antisémite et antimaçonnique au début du 20e siècle.

Les "Protocoles" sont constitués de 24 (dans certaines versions, 27) exposés qui auraient été présentés au premier Congrès Sioniste de Basel, en Suisse (1897). Au cours de ce Congrès, les Juifs et les Franc Maçons ( la fameuse Judéo Maçonnerie) auraient élaboré un plan pour détruire la civilisation chrétienne et créer un gouvernement mondial soumis à leur pouvoir.

Les "Protocoles" furent publiés pour la première fois en Russie en 1903, dans le journal "Znamia" (le Drapeau). En 1905, ils furent également repris dans un tract diffusé par Serge Nilus, responsable tsariste. Ils furent traduits en Allemand, Français, Anglais ...

Aux USA, Henry Ford les publia à son tour dans son journal "the Dearborn Independent" comme preuve des intentions de pouvoir juives. 

Le faux fut révélé pour la première fois en 1921 par Philip Graves dans le Times, qui démontra la ressemblance avec une satire écrite sur Napoléon III par l'avocat français Maurice Joly, publiée 1864 et intitulée " Dialogue aux Enfers entre Machiavel et Montesquieu".


Par la suite, les recherches de l'historien russe Vladimir Burtsev révélèrent que les "Protocoles" avaient été écrit par la Police Secrète du Tsar pour discréditer les Juifs et les Francs-Maçons.

Les protocoles des Sages de Sion
http://www.leotaxil.com/Protocole.htm


Source :Tout sur le Protocole des Sages de Sion

Connaître sérieusement pour comprendre et réagir.
http://www.modia.org/infos/infos/protocole.html

 

Pour comprendre le monde et les objectifs du Nouvel Ordre Mondial.

Les Protocoles de Toronto et le Nouvel Ordre Mondial

FICTION OU REALITE ? Qui peut dire ? Quoi qu'il en soit, selon certaines informations obtenues en provenance de France, mais surtout, à la révision des événements survenus depuis les vingt-cinq dernières années, il apparaît que le scénario décrit dans ce "Document" nous permet de mieux comprendre ce qui, jusqu'à aujourd'hui, paraissait des plus incompréhensibles à plus d'un.
 
Nous livrons en entier ce "Document" avec, en plus, une analyse des nouvelles conditions économiques actuelles qui, en elles-mêmes, semblent plus que confirmer l'authenticité de ce dernier.
 
Les protocoles de Toronto : Le meilleur des mondes  

http://nenki.com/conspir/protocoles_toronto.html

 

Autre source :

 

1 - Le Protocole de Toronto

http://nom666.over-blog.com/article-7351999.html

 

2 - Le Protocole de Toronto

http://nom666.over-blog.com/article-7352010.html

LES PROTOCOLES DE TORONTO et le cinéaste AARON RUSSO
http://echosdesmontagnes.blogspot.com/2008/01/les-protoco...

Aaron Russo sur le 911, le CFR et Rockefeller

 

 

14/12/2008

Crise politico-économique, Arme pour le Nouvel Ordre Mondial ? Le traité liberticide de Lisbonne

Exposé de Pierre Hillard sur les mutations politiques qui s’annoncent suite à la crise économique et financière : nouvelle monnaie et mise en place de mesures politiques dictatoriales aux Etats-Unis, avènement d’un bloc euro-atlantique unifié en 2015, intégration du Maghreb et du Proche-Orient à l’UE, le tout sous l’égide d’Israël.

 
 

En complément :

 

Le traité liberticide de Lisbonne : Rétablissement de la peine de mort

L'ECHO des MONTAGNES, dans le légitime but de vous informer, vous fait le point exact de la ratification du traité liberticide de LISBONNE.

                        

En effet ce traité :

 
--rétablit la peine de mort en cas d'émeute, d'insurrection ou de menace de guerre (je vous rappelle que la FRANCE est en guerre en AFGHANISTAN)!
 
--réquisitions des citoyens pour des travaux forcés!
--emprisonnement arbitraire (comme veut le faire le Procureur du T.G.I. d'ALBERTVILLE par des jugements par défaut contre votre rédacteur en chef préféré)!
 
--surveillance électronique de la vie privée!

--liberté d'expression et d'information anéantie!

--clonage humain (rappel historique de la sélection de la race aryenne)!

Voilà le traité que vos élus ont ratifié, alors que le Peuple Français dans sa grande sagesse,l' a rejeté.

Passons aux bonnes nouvelles:

Nous avons suivi la procédure de près... et découvert avec étonnement que la ratification en Belgique n'était pas terminée, ni conformes aux procédures.
Contrairement aux déclarations du gouvernement fédéral, la ratification par la Belgique du Traité de Lisbonne n'a pas encore été achevée.
Via la désinformation des médias et des Parlements on nous cache un conflit communautaire, toujours en cours au sein du gouvernement au sujet d'un accord intra-parlementaire. Le débat fait rage sur les droits des États fédérés envers l'EU.

Le 8 décembre 2008, juste avant le sommet européen et
après la garde à vue arbitraire de votre rédacteur en chef préféré,Mr Frédéric BERGER par la gendarmerie de MOUTIERS en SAVOIE-FRANCE une requête est déposé de 20 pages avec 10 suppléments en 9 exemplaires auprès de la Cour constitutionnelle pour demander l'annulation des accords de ratifications des différents Parlements du traité de Lisbonne. Le jour des Droits de l'Homme, le 10 décembre 2008 ils seront dispersés dans les 9 parlements.

Indépendamment de la décision de la cour - qui durera entre 2 à 4 mois - cela signifie que la Belgique doit faire marche arrière vers l'E.U.
En effet:
Dans un processus d'acceptation de lois voté dans un parlement il y a un stade final ; la publication dans le moniteur. Sur cette publication chaque citoyen qui a un intérêt, peut faire appel à la cour constitutionnelle en Belgique dans les 60 jours. Nous avons donc fait appel à ce droit citoyen.Le 4 nov le décrèt du parlement flamand a été publié dans le moniteur.

Egalement on ne trouve pas de trace de ce décret signé par le roi qui aurait dû paraître dans le moniteur et après être libellé d'un numéro de parution sur le site du ministère belge des affaires étrangères

Ce que vous avez trouvé comme information officielle cache une vérité. Elle sert indiscutablement a mettre la pression sur l'Irlande. Une des raisons pourquoi nous avons agis par solidarité.

En Allemagne, une même procédure a été entamée il y a quelques mois. Le traité ne peut entrer en vigueur qu'après ratification de tous les pays et après avoir éclairci les problèmes posés dans la requête. Les conséquence peuvent être grandes sur l'avenir du projet de l'EU et offrir une deuxième chance à d'autres citoyens d'avoir leur mot à dire sur ces accords. Ensemble avec le NO means No de l'Irlande nous nous faisons entendre clairement...
 

Source : http://lavapeur.over-blog.fr/article-25768958.html