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11/09/2009

Vaccination ciblée recommandée en France contre la grippe A

jeudi 10 septembre 2009 13h38

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RÉTICENCES PARMI LES MÉDECINS

Parallèlement, des réticences s'expriment au sein des personnels de santé sur le bien-fondé de la vaccination.

Sur 4.752 médecins, infirmières ou aides-soignants interrogés par l'Espace éthique de l'Assistance publique-hôpitaux de Paris, plus d'un tiers hésite ou refuse de se faire vacciner contre la grippe, rapporte L'Express.

Ils doutent en effet de l'innocuité de ce vaccin conçu dans l'urgence et craignent des effets secondaires. Certains évoquent un risque de maladie immunitaire ou neurologique.

Dans un avis rendu en juin, le HCSP estimait que le "degré d'efficacité clinique de la vaccination pandémique est incertain, la protection contre le virus pouvant être incomplète".

Il soulignait que la mise en place d'une vaccination au-delà de 30 jours suivant le début de la circulation active du virus "aurait un impact très limité sur l'évolution de la vague pandémique".

Créé en 2004, le HCSP est une instance d'expertise qui contribue à la définition des objectifs pluriannuels de santé publique à la gestion des risques sanitaires.

Gérard Bon, édité par Gilles Trequesser

Source : http://fr.reuters.com/article/topNews/idFRPAE58905T200909...

 

10/09/2009

GrippeA/H1N1 : Un virus maçonnique artificiel

VIRUS MAçONNIQUE ARTIFICIEL H1N1
CREE DE TOUTES PIECES EN LABORATOIRE
VACCIN BREVETE LE 31/08/08

Le 10/09/2009

Et oui, les faits parlent d'eux-mêmes : en date du 28 août 2007, le groupe pharmaceutique Baxter émet auprès du bureau américain des brevets et des marques, une demande de brevet pour le vaccin lié au virus h1n1, c'est alors qu'en date du 31 août 2008, l'autorisation de brevet est effective portant alors l'appellation alphanumérique VAC - 6416 PROV. CHERCHEZ L'ERREUR !!!

LE MESSAGE AUDIO CORRESPONDANT :

http://www.blog-video.tv/video-10631dfc40-Archive-tele-du-10-09-2009-16-21-02.html

Archive télé du 10/09/2009 16:21:02

09/09/2009

GrippeA/H1N1 : Une première action pénale en France

Grippe A/H1N1 une première action pénale en France
Voir le dossier sur le site de l'association
La pétition en ligne : Signez ici



Magazine NEXUS

H1N1: Première Action pénale en France



La suite de l'article dans le Magazine NEXUS
Commande en ligne :
 
www.nexus.fr



NEXUS N° 64 Septembre-octobre 2009
 NEXUS N° 64
En bref
  • Que présagent ces nuages?
  • Où sont passés les "9000 milliards de dollars" ?
  • 11/9  : pas de procès contre les Saoudiens
  • Marchands d’anthrax, un film explosif
  • Exopolitique  : premier sommet à Barcelone
  • Le Nouvel Obs ouvre un œil sur le 11/9
  • La NASA veut déplacer la Terre…
  • et bombarder la Lune
  • Sida  : pétition pour un traitement naturel
  • Los Angeles veut gérer son electrosmog
  • Diabète et ondes électromagnétiques font mauvais ménage
  • 2012 : le film de la peur
  • CEM  : première zone refuge en France
  • Les très riches promesses de l’électroculture
Dossier
DARWIN : le dogme prend l'eau

Avec le cent cinquantième anniversaire de la publication de L’Origine des espèces, s’est rouverte la grand-messe célébrant la lumière faite sur l’origine de la vie, des espèces et de l’Homme. La théorie du brave Charles, après avoir défrayé la chronique, est aujourd’hui adoptée de façon définitive par l’ensemble de la communauté scientifique comme vérité établie et connaît une gloire dont il n’aurait probablement jamais rêvé. Même le Vatican semble s’en accommoder avec une déclaration récente sur laquelle nous reviendrons.

 copyright Nexus
JEAN-FRANÇOIS MOREEL : « Le Darwinisme n'est pas une théorie scientifique »

Pour le biochimiste Jean-François Moreel, auteur de deux ouvrages sur la question, démystifier le darwinisme présente un enjeu de taille : libérer les scientifiques de cette idéologie pour reconquérir leur liberté de penser.

Cachez ces squelettes que je ne saurais voir

800 000 ans, 1,6 million d’années…, c’est l’âge de certains squelettes humains désormais parfaitement authentifiés. Un coup dur pour les darwinistes.

Cachez ces scientifiques…

Sans doute pour quelques honneurs et prébendes, certains scientifiques (?) n’ont pas hésité à laisser la part la moins noble d’eux-mêmes s’exprimer. Voici des exemples parmi les plus connus.

Cachez ces fossiles…

Face au darwinisme tout-puissant, les créationnistes ont parfois des arguments « massue »… Au Texas, un musée expose des fossiles attestant une présence humaine il y a plusieurs centaines de millions d’années… Visite guidée.

Cachez cet ADN…

Au regard des connaissances actuelles en matière génétique,difficile d’avaler le concept de « soupe primitive de la vie ». Ainsi se tourne une nouvelle page du roman darwinien.

Cachez ce Darwinisme social…

Toute cette mascarade scientifique prêterait à rire si elle n’avait fait le lit des pires délires eugénistes, tout en privant l’humanité de recherches alternatives sur les vraies origines de la vie. N’est-il pas temps de brûler Darwin ?

Géopolitique
LE NOUVEL ORDRE MONDIAL DE LA FINANCE

En réponse à la crise économique, l’élite politico-financière met en place un nouvel ordre mondial à son image… Un processus inéluctable ?

Conscience
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matière et esprit : analyse d’une illusion

Quelle relation entretiennent l’esprit et le corps ? Impossible, en dépit des passerelles régulièrement jetées entre scientifiques et chercheurs spirituels, d’aboutir à un consensus. Pour les uns, nous avons une âme, pour d’autres, la conscience est une fonction du cerveau. Et si la vérité était tout autre ?

Exologie
Coévolution, une aventure interplanétaire

Hors de portée de toute explication scientifique, les témoignages d’abduction – enlèvement par des E.T. – n’en finissent pas d’interroger le monde de l’ufologie. Celui d’Alec Newald, par sa précision et sa richesse, est emblématique du phénomène. En 1989, ce Néo-Zélandais affirmait avoir été enlevé pendant dix jours par un groupe d’extraterrestres venus d’Haven. Six ans plus tard, il publiait Coévolution dans lequel il décrit son expérience. Extrait.

Tout ce qui est dans coévolution est réel

Vingt ans après son abduction, quel regard Alec porte-t-il sur son expérience ? Interview.

Contre-enquête
Pandémie de grippe A : cinq raisons d’en douter

Derrière le consensus médiatique, de nombreuses interrogations remettent en cause le bien-fondé des mesures officielles contre la pandémie annoncée cet automne. NEXUS livre son analyse en cinq points. Pour garder la tête froide à la rentrée.

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Grippe saisonnière : le grand bal vaccinal

Faut-il céder à la pression médiatique et médicale et se faire vacciner à la rentrée ? NEXUS revient sur les dangers du vaccin contre la grippe commune. Une enquête de Sylvie Simon, journaliste spécialiste des questions de vaccination.

Santé
Épigénétique : nous pouvons changer nos gènes

Enterrant le dogme de la fixité génomique, l’épigénétique démontre que notre mode de vie transforme nos gènes et que nous transmettons ces mutations. Une découverte qui ouvre de nouvelles perspectives de guérison pour de nombreuses maladies.

L’intestin, bouclier de notre santé

L’hiver approche avec son cortège de «crèves», angines et autres rhino-pharyngites… Pour renforcer notre organisme, nous disposons d’un allié capital et pourtant bien malmené : le système digestif.

Lampes fluocompactes : un condensé d’inconvénients

En plus de contenir du mercure, ces ampoules à économie d’énergie émettent aussi des ultrasons et des UV. Mieux vaut passer directement aux «LEDs».

Archéologie
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Göbekli Tepe : le plus vieux temple du monde

Les annales de l’histoire sont en voie de révision grâce aux fouilles, en Turquie, des vestiges d’un temple vieux de 12 000 ans qui semble appartenir à une civilisation inconnue.

Phénomènes inexpliqués
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Crop circles 2009: astronomiques, prophétiques, magnifiques

Les lecteurs de NEXUS sont familiers des crop circles, ces motifs spectaculaires apparaissant chaque été depuis une vingtaine d’années dans les champs de blé du monde entier, et particulièrement en Angleterre. Voici les spécimens les plus remarquables de la saison 2009, accompagnés des nouvelles pistes d’explication qu’ils ont suscitées chez les spécialistes du phénomène.

Source : http://www.nexus.fr/nexus_en_kiosque.php

07/09/2009

USA : La loi Martiale pour la vaccination forcée des enfants dans les écoles !

La loi martiale aux USA pour la vaccination forcée des enfants dans les écoles

WILL YOU ABLE TO PROTECT YOUR CHILDREN IF THEY ARE IN SCHOOL?

ATTENTION EVERYONE - PLEASE WATCH THIS H1N1 INFORMATION





05/09/2009

Virus ? En finir avec Pasteur !......

Un siècle de mystification scientifique !
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Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l'acquisition. "Pour en finir avec Pasteur" démonte, en 250 pages, plus d'un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l'ignorance et la peur. La maladie est dans la majorité des cas le symptôme d'un conflit, un signal d'alarme que quelque chose ne va pas dans notre vie. Faire la guerre aux virus, aux microbes, aux cancers est aussi absurde que la guerre chimique qui se déroule dans notre agriculture, où les sinistres camps de concentration de l'élevage intensif des animaux. À l'heure où la propagande bat son plein au sujet d'une supposée grippe porcine, peste noire de 2009, que l'OMS et ses amis industriels vont tenter d'éradiquer à coup de vaccin, ce livre est d'une actualité brûlante.

Extraits :

"Les rares médecins restés fidèles à la tradition, qui s'évertuent à redonner à leurs malades les moyens de retrouver la santé, butent chaque jour sur un obstacle colossal, quasi insurmontable, lourd, rigide et épais, comme tous les dogmes : le mythe pastorien de l'origine bactérienne des maladies."

[...]

"Cette bévue fondamentale, grandiose par l'universalité de sa totale acceptation, a verrouillé pour un siècle l'éducation patiente des foules à la Santé. Désormais figée dans la certitude matérialiste, la Médecine a suivi le chemin facile des petits esprits, de ceux qui voient l'ennemi partout, le tuent à l'arme antibiotique ou le trompe par ruse vaccinale."

[...]

"L'éducation parentale, scolaire, universitaire, comme l'information civique et médico-sociale, nous ont tôt appris à considérer tout microbe comme potentiellement pathogène et toute maladie comme potentiellement microbienne."

[...]

"Celui, celle ou ce qui est pur, propre, prospère, sain, hygiénique, qui par ailleurs sent bon et que l'on peut toucher ou ingérer sans risques, est par définition indemne de germes, autrement dit non contaminé, parfaitement aseptique."

[...]

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"Celui, celle ou ce qui, par contre, est douteux, négligé, sale, "caca", souillé, insalubre, puant, répugnant, infect est forcément septique, grouillant de microbes responsables de toutes les pestes et prêt à sauter au nez de qui s'en approche."

[...]

"Il faut donc réagir, tenir propre, laver, récurer, ébouillanter, empoisonner, désinfecter, pasteuriser, stériliser, antibiothérapiser et bien sûr vacciner pour prévenir, éviter, rejeter, neutraliser, détruire l'Autre, et corrélativement immuniser, défendre, isoler, garantir, assurer et sécuriser, préserver, perpétuer, conserver, immortaliser, momifier le Moi."

[...]

"Selon Rudolf Steiner, « le matérialisme moderne est né de la peur. » Et « les êtres qui ont peur sont d'involontaires tyrans, des fanatiques de l'ordre, obnubilés par l'idée de devoir éduquer, discipliner les hommes et les choses qui les entourent, de devoir à chaque instant en garder le contrôle et la vue d'ensemble. »"

[...]

"C'est la peur qui, bien plus que le microbe, est redoutablement contagieuse et pathogène. Si la médecine universitaire crée et entretien l'anxiété en agitant en permanence l'épouvantail terrifiant de la maladie, il est certainement aberrant et stérile de se contenter d'agiter en face celui des vaccins, dans un sordide rapport de force à qui terrorisera le plus."

[...]

"Sauf si l'information sur les effets délétères des vaccinations s'accompagne d'une éducation susceptible de générer un véritable changement de conscience, une évolution intérieure positive qui transcende la peur, toutes les peurs."

[...]

"Le lien actuellement restauré de la Médecine avec la Métaphysique, ou ce qu'il convient de nommer avec prudence "spiritualité", amène de plus en plus de médecins et chercheurs en biologie à renouer avec l'antique tripartition humaine (corps, âme, esprit), par l'intermédiaire d'une démarche thérapeutique globale, holistique, centrée sur l'écoute du patient et le recours à des méthodes non iatrogènes (diététique, homéopathie, acupuncture, ostéopathie)."

[...]

"Les nations modernes ont fait de la Science une religion universelle, qui permet à ses promoteurs de faire triompher certains concepts ou idées par tous les moyens de tirer profit des circonstances sociales, d'imposer pragmatiquement, et même politiquement, certaines croyances et certaines pratiques. Ainsi la Science peut s'emparer des inconscients collectifs, intimider, semer la confusion, et les scientifiques façonner le monde au détriment de ses habitants. Mais est-il sûr que les méthodes employées mènent à la vérité ?"

[...]

"Pasteur disait que l'intuition ne vient qu'aux gens préparés à la recevoir. Mais contrairement à Pasteur, Jenner est un homme de terrain confronté à un fléau qui tue un demi-million de personnes chaque année en Europe, surtout les enfants des grandes villes. Il remarque que les vachers atteints de cow-pox (ndlr : maladie de la vache) n'attrapent jamais la variole, ou seulement des formes bénignes. Il tente l'inoculation, qui s'avérera d'emblée un succès : la maladie vaccinale est toujours bénigne, la protection contre la variole excellente, le risque de propagation nul. Après des siècles d'épidémie, c'est véritablement un choc historique que connaît l'humanité, tandis que Jenner prophétise la disparition prochaine de la variole, effectivement réalisée en 1980. Le succès lui monte très rapidement à la tête. Il croit avoir saisi une loi de la nature et pose pour principe que « les opérations de la nature sont généralement uniformes. » Voici l'erreur grossière. L'exception n'est pas généralisable !"

[...]

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"En ces temps héroïques, sa "vaccination" va se répandre comme une traînée de poudre, remplaçant partout la dangereuse variolisation. Cette vaccination est pratiquée dans le monde entier dans la première moitié du dix-neuvième siècle, par passage de bras en bras, en l'absence de vaches malades. Dès 1800, soit 22 ans avant la naissance de Pasteur, elle devient un modèle historique pour le raisonnement médical, un archétype qui fera que toute vaccination ultérieure sera plus facilement imposée aux populations. Et c'est bien là que le bât blesse, lorsqu'une technique empirique, dans une situation épidémiologique unique, devient le fondement d'une théorie universelle. La concrétisation de cette très grave erreur conceptuelle, nous la devons à Pasteur."

[...]

"Prêtre et médecin, Collet affronte en 1870 les massacres de la Commune et les fléaux de santé au cours de la guerre civile. Face à une épidémie de variole et ne disposant que d'une dose infime de vaccin, il recourut à la méthode économique de la dilution infinitésimale. Les malades guérirent et aucun cas de contagion ne fut constaté, à partir du cinquième jour de la prise par chacun du vaccin dilué. Cette histoire authentique nous montre qu'il existait, dès cette époque, une alternative pour la prévention et le traitement des maladies infectieuses, une autre médecine et une autre façon de concevoir la relation de l'homme à son environnement. Nous aurions pu alors faire d'autres choix. Et nous pouvons toujours faire ces choix, car la méthode est toujours disponible."

[...]

"Les idées de Pasteur ou Darwin vont servir la cause d'un rationalisme résolument athée, devenu aujourd'hui un véritable obscurantisme scientifique. Ce n'est pas le lieu ici de formuler des hypothèses sur ce refus brutal d'un principe immatériel, cette volonté des savants de couper tout lien avec la philosophie et la métaphysique. Nous dirons que c'est dans l'air du temps. Aurions-nous pu faire autrement ? Le fil de la tradition n'est pas coupé depuis Hippocrate et Paracelse, puisque dans le même temps de grands penseurs vont eux aussi poser les fondements d'une médecine originale, proposer la vision rénovée d'un homme créatif à sa juste place dans un univers sensible, libre et responsable de son évolution individuelle au sein de sociétés lucides. Il s'agit notamment de Samuel Hahnemann (1755-1843), père de l'homéopathie, qui expérimente sur l'homme, à commencer par lui-même, des remèdes analogiques dont l'action est de nature purement énergétique, ou vibratoire. Il s'agit aussi de Rudolf Steiner (1861-1925), à l'origine de l'anthroposophie qui fait de l'éducation l'agent thérapeutique par excellence. L'un et l'autre proposent une philosophie médicale tolérante et profondément humaine, qui à l'époque ne put s'imposer."

[...]

"Destiné à l'enseignement, Louis Pasteur entre à l'École Normale en 1843. Il en sortira Docteur ès sciences, agrégé de physique et de chimie. Autour de 25 ans, des travaux de cristallographie lui permettent d'établir les principes de la dissymétrie moléculaire du vivant."

[...]

"La négation par Pasteur d'une "génération spontanée" à partir de manière inerte était justifiée en son temps, mais elle l'a amené à nier en bloc toute possibilité de transformation de la matière organique, et à conceptualiser la théorie erronée du monomorphisme bactérien. Les espèces au sens darwinien, et tout particulièrement les "espèces microbiennes", sont pour lui et ses successeurs des entités immuables, susceptibles de muter, mais en aucun cas de se transformer en autre chose. Or Béchamp, puis Tissot, ont justement proposé la thèse inverse, les possibles transformations réversibles de virus en bactéries et de bactéries en mycobactéries (champignons), en fonction du contexte psychobiologique. La science redécouvre actuellement le bien-fondé d'une telle approche élargie, en constatant la fragilité voire l'inexistence d'une barrière d'espèces. D'incessants flux de gènes parcourent toute la biosphère, tout particulièrement dans le monde microbien qui ne peut dès lors être strictement caractérisé. Des multitudes de virus dormants sont inclus dans nos chromosomes sous forme d'ADN, et peuvent être réactivés par un stress émotionnel ou physique."

[...]

"Depuis plus d'un siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur, et qu'on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux. Ces quatre dogmes sont : la panspermie atmosphérique, l'asepsie des organismes vivants, la contagion et le monomorphisme.
Panspermie : En premier lieu, tous les germes sont transmis par l'air ambiant, car ils existent uniquement dans l'environnement et ne peuvent en aucun cas naître et se développer à partir du milieu intérieur des êtres complexes. Aseptie des organismes vivants : s'ils pénètrent et se développent à l'intérieur d'un être vivant considéré a priori comme sain, ils génèrent obligatoirement un état pathologique. Ainsi sont posés les dogmes de la panspermie atmosphérique et de l'aseptie des organismes vivants, dont découle celui de la contagion. Or ces axiomes sont faux, dans le sens où ils affirment contenir la totalité de la réalité et non seulement certains de ses aspects. Ils sont faux, tant qu'ils considèrent le germe pathogène comme une entité monomorphe et seule responsable de telle ou telle maladie. Ils sont faux, lorsqu'ils cherchent à démontrer que toutes les maladies sont dues à un micro-organisme. Ce qui était pardonnable hier ne l'est plus aujourd'hui. Les microbes de l'ulcère de l'estomac, du diabète, du cancer ou de la dépression sont des chimères obsessionnelles, dignes des médecins de Molière. Les germes existent bien dans le milieu environnant (panspermie), mais aussi dans un organisme sain sous forme de virus gènes, inclus dans les chromosomes. Les uns et les autres sont susceptibles de changer de forme et d'être activés, si la situation psycho-psysiologique du porteur nécessite un réajustement. Autrement dit, le conflit à l'origine de la "maladie" est antérieure à toute "infection" et le système immunitaire va moduler le travail des microbes en phase de guérison, afin de restaurer ce que nous nommons terrain."

[...]

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"Pour Pasteur, chaque famille de micro-organismes est clairement individualisée, comme le sont les espèces de mammifères. Un staphylocoque ne peut pas se transformer en autre chose : virus, bactérie ou champignon, comme un éléphant ne peut devenir une girafe. Il s'agit ici du dogme du monomorphisme microbien. Voir les choses ainsi, c'est méconnaître l'extraordinaire plasticité des procaryotes. D'incessantes mutations, comme celle des virus de la grippe, de l'hépatite ou du sida, qui désespèrent les fabricants de vaccin, en font des êtres protéiformes impossibles à caractériser définitivement."

[...]

"C'est une vision rétrécie et erronée du microcosme qui est enseignée, génération après génération, aux responsables de la santé. Il en découle un certain nombre de préjugés et de peurs qui se sont profondément incrustés dans l'inconscient collectif humain : le microbe est forcément un ennemi."

[...]

"La guerre a démarré au 19e siècle, avec pour toile de fond la rivalité qui opposa le champion français Pasteur à son homologue allemand Koch. Elle est toujours largement pratiquée de nos jours, avec ses applications techniques auxquelles nous payons un lourd tribut sanitaire et financier. « À chaque maladie son vaccin. »"

[...]

"L'endogenèse microbienne décrit l'apparition spontanée de micro-organismes, à partir des structures internes de cellules saines ou en souffrance. C'est la négation de la panspermie (ndlr : venant de l'extérieur) et de l'asepsie (ndlr : stérilisation) des êtres vivants. [...] La biologie moderne a pulvérisé les cloisonnements entre virus et gène, par la découverte de gènes vagabonds (les transposons) et la troublante analogie entre rétrovirus et rétrotransposons. L'activation du microbe n'est alors plus la cause, mais la conséquence d'un déséquilibre, dont il faut chercher l'origine ailleurs."

[...]

"Dans la première moitié du vingtième siècle, le professeur Jules Tissot refait et prolonge les expériences de Béchamp. Il démontre qu'il suffit de modifier certains paramètres, pour obtenir des transformations réversibles virus-bactérie-champignon. Il démontre ainsi que les manipulations in vitro, notamment l'ensemble des préparations permettant l'observation microscopique, dénaturent les fragiles structures internes des bactéries ou des cellules. On ne peut, dès lors, observer que des décombres, qui n'ont plus rien à voir avec la vie. Cette remarque fut faite à Pasteur, qui n'en tint aucun compte. De nos jours Gaston Naessens, biologiste lillois émigré au Québec, depuis que la communauté médicale française a censuré ses travaux, visualise grâce à un microscope de son invention (somatoscope) ce qu'il appelle les somatides, formes de vie ultra-archaïques et indestructibles, polymorphiques (ndlr : plusieurs formes) notamment lors d'agression et impliquées dans la régulation des divisions cellulaires. Les somatides apparaissent comme des particules brillantes très mobiles. Si cela s'avère exact, ce que nous observons classiquement entre lame et lamelle n'a que peu à voir avec le milieu vivant en situation, et, dès lors, toute la biologie cellulaire est dans l'erreur."

[...]

"Nous redécouvrons aujourd'hui ce que Béchamp et d'autres ont tenté de montrer, à savoir que la vie microscopique est essentiellement polymorphe et réagit instantanément à toute perturbation environnementale, y compris de nature psycho émotionnelle."

[...]

"Contrarié par ses échecs pour son vaccin contre la rage, Pasteur mit au point un traitement intensif qui consiste à inoculer très rapidement les moelles les plus virulentes, parfois en 24 heures, sans attendre la mise en place progressive d'une certaine tolérance. Mordu le 8 octobre 1886, inoculé selon cette technique intensive, un enfant de 12 ans meurt le 26 novembre. Le père porte plainte, alors que Pasteur est absent de Paris. L'autopsie est confiée à un médecin légiste, doyen de la faculté de médecine de Paris et ami de Pasteur, le professeur Brouardel. Le bulbe et la moelle de l'enfant, prélevés par Brouardel, sont inoculés par le Docteur Roux (ndlr : adjoint de Pasteur) à des lapins, qui ne tardent pas à mourir enragés. Si l'enfant est bel et bien mort de la rage, le délai entre la morsure et la mort est trop court, pour qu'il s'agisse de la rage due à la morsure, dont l'incubation est toujours longue. Ce virus vaccinal a acquis, artificiellement, une durée d'incubation très courte. De plus, les morts suite à une inoculation sont tous atteints d'une forme de paralysie, caractéristique de la rage du lapin. Il n'y a donc aucun doute : l'enfant est décédé suite à la vaccination. Que vont faire nos pastoriens ? C'est très simple : un faux témoignage, afin de sauver la confiance du public dans la médecine scientifique et la prévention vaccinale. Brouardel, pourtant chargé d'une expertise officielle suite à une plainte, va déclarer que l'enfant est mort d'une crise d'urémie (ndlr : taux élevé d'urée dans le sang). « Si je ne prends pas position en votre faveur, c'est un recul immédiat de cinquante ans dans l'évolution de la science. Il faut éviter cela. »

[...]

"Reconnu d'utilité publique en 1887, le nouvel Institut Pasteur est mis sous tutelle du ministère du commerce et de l'industrie. Ceci révèle clairement les espoirs très ambitieux que la France place dans l'Institut Pasteur. Louis Pasteur est ainsi le premier savant au monde qui soit devenu une entreprise."

[...]

"Le cas Jenner a servi de référent à Pasteur pour établir le vaccin contre la rage, ses risques et ses mensonges. De même aujourd'hui, le cas Pasteur sert de référent à ceux qui se permettent les risques et les pieux mensonges du premier vaccin recombiné contre une maladie CHRONIQUE : l'hépatite B."

[...]

"De 1980 à 1995, environ 65 000 enfants en Inde ont contracté une poliomyélite paralytique à la suite d'une vaccination DTC (Diphtérie Tétanos Coqueluche). Comment l'injection DTC peut-elle provoquer une forme grave, iatrogène de poliomyélite ? La plupart des enfants du tiers-monde sont mal nourris, porteurs latents ou chroniques de nombreux virus, notamment en incubation d'une forme non paralytique de polio. L’OMS recommande que tous les enfants fiévreux amenés dans les hôpitaux et dispensaires soient vaccinés, tant qu'on les a sous la main, alors que la fièvre, la malnutrition et l'existence de maladies infectieuses chroniques constituent une contre indication majeure à toute vaccination. Dans le but de la "soigner", ces enfants reçoivent dans une seule séance : antibiotique, adrénaline, cortisone, et chloroquine avec des aiguilles non stériles."

[...]

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"Dans ses formes graves spontanées, la polio touche principalement de très jeunes enfants dénutris, en particulier non allaités, car l'incidence de toute maladie infectieuse sévère de l'enfant est toujours étroitement corrélée à un défaut d'allaitement maternel et plus globalement à la destruction mondiale des structures tribales et familiales traditionnelles, avec la malnutrition généralisée des mères du tiers-monde et le recours à des laits maternisés industriels, hautement pathogènes pour les enfants."

[...]

"La santé n'est pas l'absence de maladie, mais une façon de venir, puis d'être au monde, qui intègre la maladie dans la biographie humaine et la dynamique générale de l'évolution. La maladie a donc un sens, une signification évolutive sur le plan individuel et collectif, qu'il nous faut réapprendre à connaître, apprendre à reconnaître."

[...]

"LE MICROBE N'EST PAS UN ENNEMI !" C'est sans doute le dogme le plus difficile à ébranler et le dernier à tomber. Pourtant, seule la remise en cause de ce dogme, pourra nous permettre de comprendre l'état déplorable de la santé mondiale."

[...]

"Le système immunitaire n'est pas un système de défense, mais un système de communication et d'information, essentiel pour l'évolution humaine."

[...]

"Les êtres vivants que nous nommons microbes sont invisibles à l'œil nu, constitués d'une seule cellule sans noyau, des procaryotes par opposition aux eucaryotes unicellulaires ou pluricellulaires, constitué de cellules à noyaux, dont nous faisons partie. Leur importance est telle que la division fondamentale ne se situe plus entre règne végétal et règne animal, mais bien entre eucaryotes et procaryotes. C'est ce que nous expose la microbiologiste américaine Lynn Margulis, en nous ouvrant les yeux sur un monde fabuleux, omniprésent autour de nous et en nous, sans lequel aucune vie ne serait apparue et ne se maintiendrait sur Terre. Nous sommes infiniment loin du microbe ennemi de Pasteur, vision réductrice et simpliste qui a totalement faussé notre appréhension de l'écologie planétaire, donc de l'équilibre des êtres qui peuplent la biosphère. Nous sommes aujourd'hui conviés à redécouvrir un univers vivant, dont tous les éléments sont étroitement interconnectés, indispensables les uns aux autres."

[...]

"L'avènement des mammifères, puis de l'homme, n'a naturellement éliminé aucun embranchement, aucune classe, aucun ordre, aucune famille et surtout aucun microbe. Tous sont nécessaires à l'équilibre de la biosphère. Seul l'homme moderne se permet l'inconséquence de détruire des centaines d'espèce chaque année, ou de poursuivre à outrance une guerre perdue d'avance contre les procaryotes. Or nous disparaîtrons forcément avant eux, puisque nous n'existons que grâce à eux. Darwin et Pasteur dans tout cela ? Que signifie la survie du plus apte ? Apte à quoi et pour combien de temps ? Un écosystème est d'autant plus stable que le nombre d'individus différents est important. Le darwinisme classique aboutit ainsi fatalement à une tautologie : seul celui qui est apte survit, donc tous les survivants sont aptes, donc seuls les survivants survivent ! Contrairement à ce que l'on croit, l'évolution ne consiste pas à remplacer des faibles par des forts, ou des simples par des complexes. Il y a, et il y aura toujours, des proies et des prédateurs, des petits et des grands, des très simples et des très compliqués, tous interconnectés et constitutifs de l'organisme géant qu'est cette planète, elle-même constitutive de cet infini qu'est notre Univers."

[...]

"Impuissantes et terrorisées, les foules écoutent les devins promettre des jours meilleurs grâce à la thérapie génique et aux futurs vaccins à ADN nu, si toutefois les offrandes sont suffisantes. À date fixe, le troupeau va donc en masse verser son obole lors de la grand-messe du "Téléthon", sans songer que cet argent alimente grassement les recherches sur le transgénisme et le clonage. Faisons à nouveau un peu d'histoire. En 1865, le moine jardinier Gregor Mendel met en évidence la transmission verticale des caractères en hybridant des petits pois. Mais, il ignore le support de ces caractères et parle alors de "réalités idéelles". Le rôle des chromosomes dans cette transmission sera suggéré en 1910. Dès lors les biologistes jugent inutile de chercher plus loin, et en 1944 il est décidé que l'ADN est effectivement l'unique support moléculaire de la transmission de l'hérédité. Il n'est tenu aucun compte de l'eau, des protéines et encore moins de supports purement vibratoires comme les biophotons. La cause est entendue, c'est la consécration de l'homme machine de Descartes, la porte ouverte à l'eugénisme génétique né des fantasmes de Darwin et de son cousin Galton. Le rationalisme triomphe. Le destin biologique de l'homme est inscrit dans la matière, réductible à des processus physico-chimiques, accessible à la technologie et susceptible d'être modifié selon notre bon plaisir."

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"Jean-Claude Perez, chercheur pluridisciplinaire, a découvert un ordre numérique dans l'ADN, fondé sur des suites mathématiques, comme celle de Fibonacci, et révélant l'omniprésence du nombre d'or (phi = 1,618) dans l'agencement des nucléotides. Si cet ordre traduit la stabilité et la cohésion de l'ADN acquises au cours de millions d'années d'évolution, quel peut être l'effet d'un transgène introduit au hasard, grâce aux techniques du génie génétique ? Dans le meilleur des cas, l'organisme receveur peut détruire ou rejeter cette greffe, qui n'a aucun sens homéostatique ou évolutif. Toutefois, il existe d'autres scénarios possibles. Du fait des échanges de gènes entre tous les êtres vivants interconnectés, le risque de contamination de l'environnement par les organismes génétiquement modifiés est énorme. Une rupture brutale des myriades de résonances numériques de l'ADN d'une plante ou d'un animal peut engendrer instantanément des mutations multiples et désordonnées, totalement incontrôlables. Un véritable chaos biologique. Il ne s'agit pas ici d'un danger à long terme, mais d'une catastrophe possible à très court terme, qui peut signifier la destruction de toute la biosphère."

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"L'ADN propose, l'ARN dispose. Dès lors, les fonctions de l'ARN sont infiniment plus importantes que celle de l'ADN. Une découverte qui anéantit, en un instant, toute prétention à modifier à coup sûr le génome dans un but eugénique ou thérapeutique. Inclure ou modifier un gène est non seulement dangereux, mais de plus inutile, si les ARN et le cytoplasme décident en fonction des informations antérieurement mémorisées, ou reçues de l'environnement actuel, de ne pas exprimer la protéine attendue. Car détenir la clé de la synthèse protéique, c'est détenir la clé de la vie. Autrement dit, nous ne guérirons aucune maladie génique en bricolant le génome, mais seulement en reprogrammant nous-mêmes nos acides nucléiques, par la prise de conscience des agressions qui les ont altérés. C'est la seule voie possible vers la santé. Tout le reste n'est qu'un leurre."

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"Au-delà des acides nucléiques, à un niveau d'intégration supérieur, les cellules confédérées, à leur tour, en organisme complexes ont une réelle autonomie métabolique grâce à une mémoire, localisée dans le cytoplasme et transmise de proche en proche, depuis les toutes premières cellules germinales éveillées dès la vie fœtale. Ce n'est donc pas l'ADN qui impose un programme aux cellules, mais les cellules qui utilisent l'ADN et peuvent modifier l'expression des gènes, en fonction des paramètres de leur environnement. Le mystère de la morphogenèse embryonnaire s'en trouve quelque peu éclairci. C'est un nouveau «on croyait que» qui s'effondre. Le noyau cellulaire n'est pas isolé, et il y a une communication permanente entre les milieux extérieur et intérieur, entre l'univers et l'ADN, et, nous allons le voir, entre les virus et l'ADN. On croyait que le code génétique ne fonctionnait que dans un seul sens : ADN->ARN->protéines. Mais, on se trompait, ce qui bouleverse totalement nos conceptions déjà fragiles de l'inné et de l'acquis. Les mandarins s'énervent et la répression commence aussitôt. Le prix Nobel Jacques Monod nous donne un bon exemple «d'objectivité» scientifique lorsqu'il congédie son élève Beljanski, qui démontre, avec une grande rigueur scientifique, que le maître s'est lourdement trompé. Il est possible de passer de l'ARN à l'ADN ! Et même d'obtenir des acides nucléiques à partir de protéines !"

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"Si les "microbes" échangent librement leur matériel génétique sans dépendre de la sexualité, très complexe qui caractérise les êtres supérieurs, il ne peut donc exister d'espèces au sens strict dans le monde bactérien. Ceci rend caduque le premier dogme de Pasteur, le monomorphisme et éclaire parfaitement le polymorphisme de Béchamp. Si un éléphant ne peut effectivement se transformer en girafe, dans le monde microbien tout est possible."

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"C'est pour cette raison que les antibiotiques, après avoir surpris le microcosme, ont favorisé l'émergence de formes résistantes, contre lesquelles nous sommes totalement désarmés."

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"Sans doute demain pourrons-nous enfin dire, écrire, diffuser le plus largement possible à tous les humains : on croyait que les virus n'étaient là que pour nous rendre malades et nous détruire, or il semblerait qu'il s'agisse d'une messagerie très perfectionnée, dont le rôle est capital dans le processus de guérison, par la reprogrammation des acides nucléiques au cours de la biographie humaine."

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"Ce jeu de rôles, où l'Autre est toujours mauvais, est un exutoire aux tensions sociales, nées des vrais problèmes d'ordre politique, économique et social. C'est la fonction même du bouc émissaire. Or, là se situe aujourd'hui le problème central de la science, le fait que ces métaphores soient incapables de décrire ce que les microbes font en réalité. Si rien ne semble bouger dans les mentalités et dans la pratique médicale, c'est que la métaphore guerrière est très puissante. Elle détermine depuis plus d'un siècle notre façon de regarder le microcosme et le macrocosme, le monde naturel et le monde culturel. Sa permanence est soigneusement entretenue, car elle est un moteur puissant de l'économie libérale. De même que les marchands d'armes ne peuvent s'enrichir que s'il y a des guerres, les marchands de médicaments et de vaccins ne peuvent survivre que s'il y a des maladies."

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"Voyons à présent la fonction des virus. Ces étranges structures cristallines porteuses d'une information, deviennent actives après avoir pénétré dans une cellule. Tous les êtres vivants, des plus simples aux plus complexes, accueillent des virus : mammifères, oiseaux, reptiles, poissons, mollusques, insectes, plantes, champignons, bactéries, etc. Tous les êtres vivants accueillent des virus pour communiquer les uns avec les autres, échanger des nouvelles et coordonner leur effort évolutif. Pour effectuer sa mission le virus doit pénétrer à l'intérieur d'un organisme infiniment plus complexe, a priori, défendu par un système immunitaire très élaboré, franchir de multiples barrières comme la peau et les muqueuses où s'activent des millions de bactéries associées à des millions de cellules, emprunter les trajets nerveux, sanguins ou lymphatiques, parfois à l'intérieur de cellules mobiles, qui lui servent de taxi. Tout cela dans un but unique : trouver sa cible, l'organe, le tissu, la cellule auquel son information est destinée, où il pourra la reproduire, pour ensuite la transmettre à d'autres cellules, tissus, organes appartenant à d'autres êtres vivants. Il faut un certain courage et une volonté à toute épreuve. À moins que le virus ne soit guidé. Comment expliquer qu'au cours de l'évolution, confrontées à des parasites qui pillent leur cytoplasme, les cellules aient développé des récepteurs membranaires très sophistiqués qui permettent l'adhésion puis la pénétration d'un certain type de virus ? Si celui-ci n'est qu'un tueur aveugle, violeur de membranes et pilleur de cytoplasme, comment se fait-il que le système immunitaire le véhicule jusqu'aux cellules ?"

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"Nous sommes à chaque seconde en contact avec des milliards de virus, sans même nous en apercevoir, et beaucoup ont pourtant une attirance pour notre espèce, nos organes, nos cellules. Nous croisons quotidiennement des "malades", des porteurs sains de virus, prétendument mortels. Si nous sommes en bon équilibre, sans stress ni conflit majeur et si nous n'avons pas peur, il y a aucune raison d'activer un programme de survie se traduisant par une "maladie". Il n'y aura pas de contagion, ni par la salive, ni par le sperme, ni par le sang, car ces informations virales ne nous concernent pas. Peut-être les avons-nous déjà intégrées, à la suite, par exemple, d'une maladie infantile, et dans ce cas notre système immunitaire les refuse."

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"Si la vie est perçue comme un combat perpétuel, alors le système immunitaire sera perçu comme une armée destinée à nous protéger d'une multitude d'ennemis, qui sans cesse assaillent notre territoire. À quoi est confronté Pasteur au cours du dix-neuvième siècle ? À la peur de l'Autre, à la guerre perdue, à l'épidémie qui tue, à la nécessité impérative de réaffirmer la légitimité nationale et l'intégrité du soi, fortement ébranlées par la menace étrangère. Menace permanente, séculaire, obsédante, juste au-delà de ces frontières, qui sont comme la peau d'un pays.""

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"Le contact puis l'incorporation de quelque chose d'étranger sont beaucoup plus compréhensibles en terme de digestion et d'assimilation d'une information, qu'en terme d'élimination d'un agresseur. Le système immunitaire ne se bat pas : il s'instruit."

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"Naître est un événement considérable, dont l'un des aspects majeurs est l'irruption dans le monde des microbes. L'intestin du nouveau-né est alors parfaitement perméable, vierge de toute flore symbiote et de structures immunitaires. Non contrôlés, les microbes ambiants pourraient envahir envahir le corps immature, y induire des phénomènes de tolérance préjudiciables pour l'avenir, ou occasionner des dégâts irréversibles. La protection va venir du lait maternel, qui prend le relais du filtre placentaire. Le premier lait n'est pas vraiment un aliment, mais plutôt un concentré de cellules et de molécules immunitaires fabriquées par la mère, en particulier des anticorps spéciaux, dont la fonction est de tapisser les muqueuses."

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"Aux alentours de 38-38,5° C la fièvre favorise le développement microbien. Dans quel but ? Si le microbe est un ennemi, il est évident que la fièvre facilitante doit être combattue par tous les moyens. Si, par contre, le microbe est une information, cette facilitation prend le sens d'une amplification, destinée à mieux voir de quoi il s'agit, avant une éventuelle intégration. Vers 39,5°C la fièvre est bactériostatique, elle stoppe la multiplication microbienne. Le message est reçu, l'information intégrée, ou jugée sans importance. Il est dès lors inutile de poursuivre l'amplification du message. À 40-40,5°C la fièvre est bactéricide, elle détruit les microbes excédentaires devenus sans intérêt. Mais la fièvre a d'autres fonctions. Elle augmente le métabolisme de base et favorise à la fois les synthèses (croissance, anabolisme) et les éliminations toxiques."

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"La responsabilité individuelle, face à un choix éthique, implique la non-ingérence du pouvoir et l'accès de tous à l'ensemble des informations nécessaires à ce choix. Le piège du libéralisme est la manipulation sournoise de l'information, qui peut être dissimulée, déformée ou amplifiée, soutenue par des experts inféodés à l'industrie, afin de canaliser l'individu vers une seule possibilité, un conseil alors analogue à une obligation. Intentionnellement désinformé, le citoyen est toujours amené à se considérer comme incompétent et inapte à toute décision. Le recours à un paternalisme sévère mais juste consiste à imposer une stratégie, en faisant croire que l'intérêt de chacun est confondu à celui de tous, en fait celui des dominants. Il s'agit bien de faire de la société une prison modèle, où les gardes sont inutiles. Chacun est à la fois juge et suspect pour son voisin, dénoncé et exclus à la moindre manifestation de non-conformisme.[...] Afin d'asseoir son autorité, l'État crée des habitudes, qui maintiennent ses sujets dans l'impuissance et une dépendance totale."

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"En 1974, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Unicef lancent le PEV (Programme Élargi de Vaccination) pour promouvoir la santé pour tous en l'an 2000. [...] Un quart de siècle après le démarrage du PEV, observez la situation sanitaire du tiers-monde et demandez-vous sincèrement si l'aspect strictement médical est atteint ? Sur le plan financier se fut en revanche une réussite exemplaire. [...] Ces enfants sont, avant tout mal, nourris, immunodéficients et atteints d'infections ou parasitoses chroniques, ce qui constitue des contre-indications absolues à toute vaccination. La survaccination accélère le processus de dénutrition et les tue, notamment en provoquant un déficit massif en vitamine C et en zinc. Le scorbut aigu pourrait être la cause de la mort subite du nourrisson, ici comme là-bas. La destruction des structures sociales traditionnelles provoque le recul de l'allaitement maternel, peu à peu remplacé par des laits maternisés dévitalisés, généreusement distribués par l'aide humanitaire. Nos dons financent l'achat de ces laits indigestes, aux multinationales qui les produisent. Or l'allaitement maternel est le meilleur garant de la santé de l'enfant confronté à des maladies infectieuses."

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"Les nouvelles vaccinations ne seront vraisemblablement pas obligatoires, il faut donc créer puis entretenir la demande en terrorisant (hépatite B) ou en affublant n'importe quelle maladie d'un microbe (diabète, ulcère de l'estomac, dépression, cancer). Si, du jour au lendemain, les gens n'avaient plus peur et comprenaient le sens profond de la maladie, ce sont des milliards d'euros qui resteraient dans nos poches."

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"Le problème central est en effet celui de l'acceptabilité, car vacciner est un viol. La violence des bons sentiments, donnant une protection en échange de la soumission. Comment domestiquer les masses et rendre les victimes consentantes, surtout celles qui manquent avant tout d'eau potable et de nourriture ? Avec Pasteur, le scientifique a remplacé le prêtre et le guerrier dans l'adoration des foules. Irrecevable sur le plan scientifique, la vaccination doit devenir un acte de foi. Irrecevable sur le plan éthique ou politique, la vaccination doit être imposée par la force, ce que révèle la forme militarisée et policée des campagnes vaccinales."

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"Les pays en voie de développement ont été successivement investis par la force, pillés puis laissés à eux-mêmes, dans une situation politique économique et sociale épouvantable. Les savoirs traditionnels ont été dépréciés, marginalisés et détruits par ceux qui détiennent la vraie religion et la "vraie science". L'allaitement maternel a été remplacé par du lait en poudre industriel. Les cultures vivrières ont été remplacées par la monoculture industrielle de denrée destinée aux pays riches. Les miettes laissées aux producteurs leur ont permis d'acquérir des biens de consommation comme l'alcool, les armes ou les médicaments. Conséquence ? Une lente déchéance morale et physique, un désespoir chronique ponctué de maladies infectieuses invalidantes ou mortelles car plus aucun système immunitaire n'est capable de les apprivoiser. Peut-on survivre à une dévalorisation permanente, au génocide, à la guerre civile ? Aucune plante ne survit sans racines. Alors le colon revient avec son aide humanitaire, non pas pour redonner à ces peuples une dignité et une autonomie, mais pour créer des marchés et "dealer" le surplus de sa production. Dans un premier temps, les ONG reconnues d'utilité publique, soutenues par la finance internationale, sont chargées d'éduquer les pays du sud, leur donner accès à la formation technique et à la formation technique."

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"L'hydroxyde d'aluminium a été introduit dans des milliards de doses de vaccins contre le tétanos, la poliomyélite, la diphtérie et la coqueluche. Or, d'une part, les adjuvants à l'aluminium augmentent le taux d'anticorps de la classe des immunoglobulines E, pouvant entraîner des réactions allergiques indésirables. Ainsi la progression rapide de l'asthme allergique chez l'enfant est la résultante d'une profonde détresse émotionnelle et de la survaccination précoce. D'autre part la toxicité de l'aluminium est aujourd'hui fortement suspectée, puisque ce métal serait coresponsable de troubles neurologiques et de démences type maladie d'Alzheimer, la maladie du siècle avec 100 000 nouveaux cas par an."

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"Que dire de l'hépatite B ? La vaccination des enfants contre cette affection virale bénigne est un crime contre l'humanité, une erreur colossale, qui va précipiter le déclin d'une idéologie, parvenue au faîte de l'absurdité et du paradoxe. C'est probablement l'acte le plus stupide, le plus inutile, le plus dangereux et le plus lucratif de toute l'histoire de la médecine. Pour la première fois au monde, on a utilisé un pur produit du génie génétique pour une vaccination de masse, contre une infection virale essentiellement chronique."

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"L'immense majorité des infections virales sont asymptomatiques, c'est-à-dire inapparentes et bénignes. Le virus n'intervient qu'en phase de guérison, pour extraire de nos mémoires les conflits affectifs, qui auraient tendance à perdurer. La chronicité implique donc la pérennité d'une information virale en relation avec un conflit latent, persistant, sans cesse réactivé. Ainsi les virus herpès interviennent, vraisemblablement, au moment des séparations, des sevrages difficiles, parfois impossibles à accepter."

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"Depuis la seconde moitié du dix-neuvième siècle et la révolution industrielle, au nom du progrès et de la science, la civilisation des Lumières a parachevé son œuvre, la destruction systématique des cultures traditionnelles, des peuples minoritaires, des milieux naturels. La disparition de la tribu ou de la famille élargie a dispersé l'aréopage féminin, qui entourait et protégeait toute grossesse. Les anciennes sages-femmes, parentes ou amies, femmes mûres riches de leur maternité, ont dû céder la place au médecin accoucheur détenteur du savoir objectif. Quelles peuvent être les conséquences de la conquête et de la mise à sac de cette terre inconnue de la féminité ?
Pourquoi l'immense majorité des femelles mammifères s'isolent-elles pour mettre bas, amener en douceur un être nouveau sur Terre ? La gestation, la naissance et l'allaitement appartiennent à la vie sexuelle, donc à l'intimité la plus profonde de l'être, soumis aux pulsions archaïques. Pulsions qui proviennent d'un cerveau très ancien, celui-là même qui se trouve étouffé et réduit au silence, par cette maladie mentale qu'est le rationalisme.[...] Dans notre espèce et notre culture, la future mère est la proie d'un système médical ultra-sophistiqué, où règne la froide asepsie néocorticale des mâles. À peine fécondée, elle est placée de gré ou de force sur la case départ d'un parcours parfaitement balisé, dans un contexte de surassistance, qui génère dépendance et soumission. Un état de stress chronique très néfaste à l'épanouissement du bébé. Cette médecine virile fait de sa grossesse une maladie sexuellement transmissible, de son ventre un champ d'investigation et une corne d'abondance, pour les multiples spécialistes de la procréation assistée."

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"Il semblerait que le risque de toxicomanie aux opiacés soit en relation avec l'administration de narcotiques à la mère durant le travail, comme la morphine, les barbituriques ou le protoxyde d'azote."

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"Le suicide par asphyxie est corrélé avec une anoxie (ndlr : manque d'oxygène) néonatale. Un suicide par moyens mécaniques violents et en relation avec une extraction très traumatique. Les enfants qui ont connu des complications à la naissance et/ou qui ont été rejetés très tôt par leur mère, ont trois fois plus de risque de devenir des criminels violents."

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"Le cancer serait-il une maladie de l'âme ? Nous touchons ici à un sujet tabou, un territoire réservé de la médecine orthodoxe, au même titre que le sida. Toute tentative d'interpréter, de prévenir ou de traiter ce type de pathologie autrement est punie, avec une extrême sévérité. Il nous faut accepter de force, et contre toute logique, que le sida est dû à un virus, que le cancer est une maladie qui a pour mécanisme une prolifération cellulaire anarchique, incontrôlée et incessante."

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"L'un de ceux qui sont sortis des sentiers battus, fut le docteur Michel Moirot, décédé en mars 1997, dans la déréliction (ndlr : l'abandon) la plus totale, après un enfermement pour cause psychiatrique. Cet homme a été détruit, pour avoir effectué des recherches remarquables pendant plus de quarante ans, qui lui ont permis d'écrire que le cancer est toujours corrélé à une détresse émotionnelle, chez les sujets ayant vécu dans leur enfance des événements existentiels à caractère hautement aliénant. Le Dr Moirot avait lu Groddeck, il avait entrepris des études minutieuses et il avait compris comment un individu angoissé et dépressif peut se rendre malade pour survivre, dissoudre une obsédante culpabilité et même s'autodétruire, afin d'échapper à ses fantasmes. Il avait aussi compris que le système immunitaire, les microbes et toutes les cellules du corps sont contrôlés par cet inconscient, qui peut générer la maladie si celle-ci est utile, mais aussi et surtout induire un processus d'auto-guérison, lorsque le langage des symptômes a été correctement interprété. Le cancer, comme d'ailleurs toute maladie, exprime le refus d'une vie devenue intolérable. Moirot affirmait : « le seul remède est de renaître. »
En 1978, sept ans avant la parution du livre de Moirot, saisi par la justice jusqu'en 1993, le docteur Ryke Geerd Hamer perd son fils Dirk, âgé de 19 ans, dans des conditions dramatiques. Un accident imprévisible qui génère une souffrance d'une intensité telle, qu'il est impossible de l'atténuer de la dépasser, de la gérer psychologiquement. À qui confier une telle douleur, ressassée jour après jour, nuit après nuit ? Peu de temps après, lui est sa femme sont atteints d'un cancer. Une soudaine illumination lui permet d'établir le lien. La maladie est la solution parfaite du cerveau biologique, commun à tous les mammifères, qui agit en dehors de notre conscience pour notre survie immédiate."

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"Que nous dit Hamer ? Nous avons complètement perdu le sens et la notion du déroulement naturel des maladies. Si un individu est impliqué trop durement ou trop longtemps dans un conflit, alors il y a danger de mort et le cerveau va soulager l'ensemble de l'organisme, en localisant le conflit dans un organe. Le symptôme devient symbole, le cancer du testicule ou de l'ovaire, la manifestation organique d'un conflit de perte. Tant que le conflit est actif le sujet est en résistance et ne peut pas guérir. Si par contre la résistance est vaincue par la prise de conscience, la parole dite et reçue au cours d'un accompagnement thérapeutique compatissant, alors le cancer organique guérit spontanément et instantanément. La prolifération des cellules n'est donc ni anarchique, ni incontrôlée, ni incessante.
Le Dr Hamer va mettre en pratique ce qu'il a élucidé, étudier des milliers de cas, obtenir des guérisons absolument incompréhensibles, pour la médecine orthodoxe. Peu à peu, il découvre et expose certaines lois biologiques qui sous-tendent l'expression de toutes les maladies organiques. Le choc émotionnel initiateur a d'abord un impact au niveau du cerveau, de localisation variable, selon la nature du conflit et décelable par un scanner. Cette altération du tissu cérébral va induire la cancérisation de l'organe correspondant."

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"Après de multiples examens et des semaines d'attente, le médecin annonce : « Vous avez un cancer et statistiquement votre espérance de vie est de quelques mois, au mieux quelques années. » Quel peut être alors le ressenti du patient, au moment où le médecin lui dit : « Tu-meurs. » Sans doute une immense détresse, car dans notre société le cancer est une maladie grave, en plein essor et le plus souvent incurable. Une maladie irréversible qui signifie hôpital, chimiothérapie lourde, radiothérapie, chirurgie, brûlures, perte des cheveux, mutilations, infirmité, invalidité permanente et la mort.
Le conflit de diagnostic provoque le désespoir, la peur, une profonde affliction, une intense dévalorisation, un souci aigu pour les proches et bien sûr de nouveaux cancers qui seront attribués aux fameuses métastases. Ainsi, si la maladie primaire est la manifestation d'un vécu douloureux, l'immense majorité des aggravations est des récidives sont souvent iatrogènes, générés par un système médical qui persiste à ignorer la subjectivité des malades. Le thérapeute devrait toujours avoir conscience de son pouvoir et le désir de ne pas en abuser."

[...]

"Nous devons prendre conscience que la santé est subversive, car elle rend les hommes difficiles à manipuler."

Rédigé par Julien

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