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17/12/2014

L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

Excellent article !

Pendant que nous pleurnichons tous sur la SHOAH on détourne nos yeux des escroqueries organisées contre tous les peuples du monde !

 

L’Éducation "nationale", un égout à ciel ouvert

« Sommes-nous si mauvais pour ne pas être capables d’enseigner le respect de l’autre !? Il faut sans cesse travailler pour faire de la France un lieu d’intelligence, de partage, de respect, et combattre contre ceux qui ne veulent pas de cela. »

Le grand rabbin de France, Haïm Korsia

 

Nous nous sommes arrêtés, la semaine dernière, sur la stratégie pédagogique de Najat Vallaud-Belkacem quant à l’enseignement tous azimuts de la théorie du genre au sein même des établissements scolaires, primaires et secondaires. L’école maternelle (qui est une composante de l’école primaire) visée également par cette idéologie mortifère, les experts en lobotomies cognitives, les experts en trépanations virtuelles, étant bien écoutés de la Maghrébine élevée ministre et aux grandes oreilles de fennec bien ouvertes, béantes d’obéissance. Dans son éditorial du même numéro (27 novembre), Jérôme Bourbon mettait en exergue la caractéristique essentielle de la « Shoah » (terme extravagant s’il en est), et du phénomène abortif.

Ces deux phénomènes sont, en France en particulier, sacralisés, et possèdent leurs thuriféraires fanatiques, leurs intellectuels, leurs gardes et leurs tribunaux. Deux religions d’État, deux religions obligatoires. Aussi est-il évident qu’une institution comme l’Éducation nationale constitue une sorte de temple ou une espèce d’immense synagogue où ces deux religions créées ex nihilo pour conforter ici une soumission ou un indigénat, là le vrai génocide du peuple blanc, sont enseignées aux élèves de tout l’Hexagone.

Mais il ne s’agit pas d’un banal enseignement calibré, standard. Il est question ici d’un véritable bourrage de crâne dont les bourreaux en fonction se fichent de la réelle capacité d’absorption du cortex infantile. Ou plutôt ne s’inquiètent que de l’optimisation du message imposé (produit-il l’effet escompté ?) et non des conséquences morbides qu’elles produisent systématiquement sur l’esprit de nos chères têtes blondes.

Flashback : lorsque j’étais à la fin du CM1, mon instituteur au visage triste et flottant exhorta la classe à lire durant les grandes vacances un livre qu’il présenta alors comme un texte magnifique, Le Sac de billes de Joseph Joffo… L’année suivante, l’institutrice de CM2 évoqua en cours le fameux Journal d’Anne Frank ; et en 6e, notre professeur de français au nez saillant nous demanda de le lire. J’ai vu les ravages de cet « enseignement » sur les petites cervelles rabougries des fillettes de ma génération qui devenaient toujours plus bêtes, toujours plus « dindes » au fur et à mesure de l’instillation du poison dans leur tête.

Un devoir de mémoire éprouvant

À une époque où SOS Racisme (organisme piloté par des Juifs) était à son firmament médiatique, ces historiettes de Juifs apeurés provoquèrent un effet nerveux des plus détestables chez ces jeunes personnes. Quant à moi, loin de connaître alors la vérité sur ces thèses, je jouissais déjà, cependant, d’un caractère particulier me faisant abhorrer la pleurniche de salon. Je me demandais également à quoi pouvait bien servir cette entreprise consistant à vouloir nous faire pleurer à travers l’histoire de gamins un peu trop innocents à mes yeux. En outre, personne ne nous demandait d’accorder une pensée pour nos Poilus, de verser une larmiche pour nos soldats torturés par les immondes Rouges d’Indochine. Plus fort, les comédiens qui venaient parler de « l’Indicible » insistaient férocement sur l’idée qu’il fallait avoir de la compassion, plus de compassion pour les petits enfants à l’étoile jaune. Davantage de compassion qu’envers n’importe qui d’autre, à cause, évidemment, de l’insondable et de l’inexprimable vendu à leur sauce « pleurniche ».

Aujourd’hui, j’analyse en entomologiste méticuleux les effets de cette propagande sur les adultes de ma génération, et j’observe ce joug lourd et énorme qui écrase leurs épaules et qui les maintient, et les maintiendra, dans le sillon du prêt-à-penser jusqu’à leur dernier soupir de conformisme. Je vois encore dans une désagréable réminiscence Céline Machin-Chose pleurer après son exposé sur Anne Frank devant le professeur attendri ; petite bourgeoise inconsolable qui découvrait le malheur par le truchement d’un livre de propagande… Une remembrance désagréable et finalement triste. Cette adolescente a été manipulée comme des millions d’entre elles pour le profit d’une religion, d’une communauté, et d’une idéologie particulière.

 

Le Petit Garçon étoile ou la Shoah pour la maternelle

Et puis, grâce à la pleurniche « holocaustique », que représentera plus tard le bébé qu’elle avortera à côté d’Anne Frank, cet abcès d’angoisse ? Elle se lamentera toujours pour Anne Frank, même après avoir fait mixer son enfant avant qu’il soit jeté dans un sac-poubelle. Anne Frank, elle ne l’oubliera pas, car c’est aussi son histoire, l’histoire de son enfance, de son adolescence. « Anne Franck, elle m’a construit… Un moment fort de ma vie, snif… » Nous comprenons bien, après, malheureusement, les manipulateurs d’esprits qui nous servent d’élites, que la jeunesse, la verdeur de la cible des mémorialistes shoahtiques, est un atout pour eux. Plus l’enfant est jeune, donc sensible, plus le venin de « l’Indicible » produit son effet en le traumatisant durablement. Et quel troupeau réuni grâce à l’industrie concentrationnaire gérée par l’Éducation nationale !

Plus puissante que la petite lucarne, l’école à ciel ouvert, là où les transmetteurs de l’inénarrable « Mémoire » postillonnent du haut de leur estrade sur nos enfants candides. Ces conteurs de l’Indicible ont carte blanche et entrent dans les établissements publics comme dans un moulin. L’administration ne peut rien leur refuser. La force de la Mémoire (avec une prononciation tremblotante obligatoire) est incoercible. Aussi nos « exterminationnistes » dégoulinants n’ont-ils qu’un seul souci : comment profiter de cette liberté totale, comment malaxer le plus efficacement possible les cervelles roses ? L’ivresse de toutes les possibilités est l’unique danger de leur entreprise diabolique ! Ils doivent savoir se réfréner, se calmer, contrôler leur gigantesque pouvoir propagandiste. Et en effet, force est de constater que leur travail traumatique va crescendo, sans à-coup, s’intensifiant progressivement en quantité comme en qualité. Les voyages à Auschwitz se multiplient, les photos du portrait d’Anne Frank s’agrandissent dans les manuels scolaires chaque année un peu plus. Ou l’extension du domaine de la Shoah par son étirement incessant.

Les témoignages se diversifient, les plus petits gamins sont « sensibilisés » à « leur » « holocauste » et les tout petits, les plus jeunes enfants, désormais, sont « invités » à réfléchir sur « la plus grande méchanceté de tous les temps et pour l’éternité » ! Nous devons ainsi à Rachel Hausfater et à Olivier Latyk un petit ouvrage qui vient de bouleverser les journaleux, Le Petit Garçon étoile. Étoilé, vous l’aurez compris, avec l’étoile jaune, celle de l’enfant juif stigmatisé durant les heures les plus sombres de notre histoire. Le magazine bien nommé Actualité juive a recensé le petit livre à sa manière.

« Comment expliquer la Shoah aux enfants ? Rachel Hausfater et Olivier Latyk nous proposent un album magnifique, usant d’un langage métaphorique et de superbes illustrations, pour faire comprendre ce que fut la Shoah aux plus petits. Les parents – mais aussi les enseignants – doivent l’acquérir au plus vite et mener des lectures commentées avec les enfants. »

Au plus vite ! Immédiatement ! C’est compris !

« Il est évidemment très difficile de réaliser un album sur la Shoah qui puisse s’adresser aux enfants. Il faut à la fois donner à voir l’indicible par le texte et l’image sans que cela traumatise les petits lecteurs ; pourtant, il est également impératif de ne pas être approximatif et de ne pas contourner la vérité. Le Petit Garçon étoile réunit toutes ces qualités d’une façon magistrale. […] Le récit est court, alimenté par des images qui entrent en parfaite résonance avec les mots. À l’aide de phrases ciselées, la Shoah est abordée par la métaphore : les Juifs sont des étoiles ; les nazis sont des “chasseurs d’étoiles”. »

Et nos Juifs de conclure :

« L’objectif des auteurs est en effet moins de raconter que de faire “sentir ou ressentir” les faits. Le pari est tenu d’une façon incroyable. Un album émouvant et pédagogique qui doit néanmoins être lu par tous. »

Un livre bénéficiant d’une si bonne critique a, évidemment, un juste prix, soit 14 euros pour 32 petites pages. Pas grave, c’est l’État (ses bibliothèques et ses écoles maternelles) qui paie.

Les plus petits littéralement hypnotisés

L’avenir proche est parfaitement lisible. Ce livre sera bientôt présent dans toutes les écoles maternelles et peut-être sous forme d’extraits divers dans les classes de CP pour l’apprentissage de la lecture, comme ceux à caractère « antiraciste » (en fait violemment antiblanc) qui abrutissent nos enfants pour la plus grande gloriole des allogènes. Bref, dans un premier temps, nos enfants baigneront dans une nouvelle fange culpabilisatrice à des fins d’imprégnation idéologique subconsciente. Dans un second temps, l’initiation officielle à la Mémoire de l’Indicible sera instituée d’une manière relativement discrète au sein des plus petites classes : l’enseignement sera bien sûr métaphorique et donc sans prise pour les parents frustes, frustes mais qui seraient susceptibles de critiquer une telle entreprise si elle était pratiquée d’une manière non métaphorique.

Rappelons, comme le précise d’une manière magistrale le Mémorial de la Shoah, que « les programmes officiels prévoient que la Shoah soit abordée en classe dès l’école élémentaire, puis approfondie à différents stades du parcours secondaire général, technologique et professionnel ». Dès le CE2, l’enfant doit recevoir sa petite dose de poison. L’intérêt du petit livre qui compare les Juifs à des étoiles est de préparer un apprentissage shoahtique plus précoce et donc plus efficace encore. Et pour les exterminationnistes, tout devient prétexte à l’alourdissement continu de cette propagande, de ce modelage ou remodelage psychologique. L’actualité est lue à travers ce prisme monomaniaque et, par exemple, toute agression commise à l’encontre d’un Israélite (le couple braqué il y a une semaine à Créteil est ainsi devenu martyr de la haine antisémite ambiante selon les médias unanimes) devient obligatoirement l’expression d’un préjugé antisémite. Au nom du fameux « vivre ensemble » et de la lutte contre la violence, les historiettes shoahtiques sont donc légitimées par nos pédagogues verruqueux.

Les « mémorialistes » font leur cinéma

Le film Les Héritiers, sorti le 3 décembre dernier, résume en définitive toute la niaiserie de cette idéologie de la pleurniche qui paralyse, par la sidération ou par la crainte de paraître irrespectueux envers la chose sacralisée, l’ensemble des commentateurs et des acteurs de la Kulture. Ce film est un symbole d’une idéologie qui rend bête, et renvoie aux réminiscences de ma Céline d’antan qui pleurait irrationnellement durant son exposé sur la « déportation-extermination » vécue par Anne Frank.

Cette idéologie de la Mémoire, loin de rendre gentillets les grands noirs et petites beurettes qui hantent les lycées républicains, abrutit nos enfants blancs, les affaiblit, altère leur caractère. Nous voyons dans cet exercice « mémoriel » un acte de barbarie commis à l’encontre d’enfants innocents qui n’ont pas les moyens de relativiser les métaphores sanglantes, funestes et gores balancées par des éducateurs conformistes payés par une république de vauriens.

Cette idéologie sent la mort, en effet, mais pas celle de millions de Juifs, elle pue le trépas de notre nation et de notre peuple d’ores et déjà moribond. L’accroche emblématique que l’on peut lire sur l’affiche du film Les Héritiers qui révulsera tout Français sain est une ultime provocation :

« En comprenant l’Histoire (avec un H majuscule), ils vont forger la leur. »

Immanquablement, notre Céline aux yeux mouillés réapparaît dans un épouvantable flashback et ses mots d’adolescente souillée résonnent une nouvelle fois dans ce cauchemar : « Cette histoire m’a construite ; elle m’a fait grandir… » « Pauvre laideron ! » crie-t-on pour répondre à ce spectre : cette histoire t’a rendue encore plus stupide que tu ne l’étais auparavant ! Mais elle n’a pas seulement pour effet de rendre les fillettes et les jeunes pubères idiotes, elle influe sur le comportement des jeunes garçons en formation en leur brisant les ailes ; elle bride le cerveau du patriote en gestation, elle introduit en lui d’une manière insidieuse le virus tenace de la culpabilité et de l’ethnomasochisme. Les Héritiers montrent à ce propos, d’une manière caricaturale, le processus cognitif de soumission envers la « grosse pleurniche ». Il constitue en cela, pour les pédagogues à plat ventre, une sortie scolaire idéale, c’est-à-dire répugnante à souhait.

 

Par François-Xavier Rochette

La ruine du Mexique par le traité nord-américain préfigure les effets du futur traité transatlantique

En d'autres termes, là ou les US/Nazisionistes passent, soit par des traités par des guerres incessantes pour s'accaparer leurs richesses, les peuples trépassent !

La ruine du Mexique par le traité nord-américain préfigure les effets du futur traité transatlantique

16 décembre, 2014

Selon les affirmations de ses élites, relayant celles des États-Unis, le Mexique devrait jouir des bienfaits de l’Accord de libre-échange nord-américain (Nafta ou Alena) [1], qu’il a signé il y a 20 ans avec les États-Unis et le Canada. Mais la réalité, c’est que le Mexique est devenu un État failli, dont les autres pays d’Amérique centrale et d’Amérique du sud fuient l’exemple. Les administrations centrales et locales sont inefficaces et souvent corrompues, les inégalités ont explosé et les gangs omniprésents font près de 2 000 victimes chaque mois [2]. Au point que la population mexicaine cherche depuis longtemps à émigrer, principalement vers les États-Unis, rencontrant la mort à la frontière, dans le désert, sous les coups de la garde nationale américaine et des narco-trafiquants mexicains et américains bien établis aux États-Unis même [3]. Mais le gouvernement mexicain essaie de maintenir le cap, soumis en permanence aux pressions de Washington.

nafta

Les Républicains veulent fermer la frontière, et le Mexicain pense « Il veut me voler mon job aux USA ». Les Démocrates veulent mettre fin au traité Nafta, et le Mexicain pense « Ils veulent me voler mon job au Mexique ».

A l’occasion de ce vingtième anniversaire du Nafta, des bilans peuvent être tirés. Loin d’évoluer vers la prospérité, la société mexicaine compte encore 45 % de pauvres, soit 53 millions de personnes [4]. En une vingtaine d’années, le pourcentage de pauvres  a baissé de 2 %. Ce n’est pas le signe d’une amélioration foudroyante du niveau de vie de la population, comme le laissent entendre les protagonistes du traité, pour en vanter les bienfaits.

Le mic mac de l’import-export avec les États-Unis…

Un deuxième argument en faveur du Nafta est l’explosion des exportations mexicaines, qui ont doublé, alors que celles du Canada et des États-Unis n’ont augmenté que de 30 % durant cette même période. Le traité aurait donc été beaucoup plus favorable au Mexique qu’à ses deux partenaires. Mais, comme l’explique un article publié par Marianne hier 15 décembre [5], de telles statistiques doivent être examinées en détail. Elles montrent bien leur caractère trompeur.

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27/10/2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

On s'en serait douté avec les nazis occidentaux et de l'UE qui soutiennent le pouvoir nazi à Kiev !

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

Dossier: Ukraine: législatives 2014

Les législatives ukrainiennes étaient une farce (journaliste britannique)

13:54 27/10/2014

LONDRES, 27 octobre – RIA Novosti

Les législatives ukrainiennes de dimanche étaient une farce, affirme le rédacteur en chef de la revue britannique Politics First Marcus Papadopoulos.

"Les législatives en Ukraine étaient une farce, un outrage à la démocratie et une humiliation pour des millions d'Ukrainiens", a déclaré le journaliste.

Selon le sondage national à la sortie des urnes, sept partis politiques entreraient au parlement ukrainien. "Premièrement, le gouvernement ukrainien prooccidental chapeauté par Piotr Porochenko a employé la tactique de la violence et de l'intimidation pour réprimer les voix de la communauté russophone d'Ukraine, par exemple avec les parades néonazies récemment organisées à Kiev, à Odessa et à Kharkov, la destruction de monuments russes/soviétiques y compris consacrés à la Seconde Guerre mondiale, et les attaques physiques contre les politiciens russophones comme Piotr Simonenko", a-t-il expliqué.

Marcus Papadopoulos a également rappelé que les partis prorusses avaient, de fait, cessé d'exister en Ukraine. "Depuis le coup d'Etat de février soutenu par l'Occident, qui a permis de renverser un président démocratiquement élu, le gouvernement de Porochenko a utilisé les médias ukrainiens pour diaboliser le Parti des régions et le Parti communiste, les accusant d'être des traîtres et des agents du gouvernement russe".

D'après l'expert, de nombreux Ukrainiens n'avaient simplement aucun choix de vote aux dernières législatives. "Les gouvernements et les médias occidentaux reconnaissent les résultats des élections ukrainiennes mais la réalité est telle que des millions d'Ukrainiens n'ont pas voté - par peur ou parce qu'ils n'avaient personne à choisir. L'Ukraine est aujourd'hui un pays où des millions de citoyens sont persécutés par le gouvernement, soutenu par l'Occident en raison de son fond culturel. Ces gens sont devenus des sous-citoyens dans leur propre pays. L'Ukraine a rejoint la longue liste des pays illustrant amèrement la politique perfide de l'Occident", conclut Marcus Papadopoulos.

 

Sur le même sujet

Multimédia

 

© RIA Novosti. Ramil Sitdikov

 

 

26/10/2014

La Réserve Fédérale américaine - Le Contrôle de l'argent (Rothschild/Rockefeller)

Voilà au profit de quels criminels le monde entier est soumis !

Le scandale de la réserve fédérale américaine, créée par le cartel de 6 méga banques. Le même processus a conduit à la création de banques centrales dépossédant les Etats de la création monétaire, au seul profit d'une oligarchie financière mondialiste, et au détriment de tous les peuples.


 



Zionist attack on western civilization :
http://www.mediafire.com/view/?dbb25a4504zrvjn

Reed Douglas, La controverse de Sion :
http://www.mediafire.com/view/?ifq7m22f90wnc2e

 

 

 

25/10/2014

C’est officiel : les USA sont l'État terroriste n°1

On ne rappellera jamais assez que l’Etat américain a construit sa stratégie sur le meurtre des Amérindiens, ce goût du sang qu’il n’a jamais quitté. De partout où ils passent avec leurs BANKSTERS et leurs Lobbies Sionistes, ils sèment la mort pour s'accaparer les richesses, diaboliser les résistants à leur oppression et placer leur pions sataniques  ! 

Gilbert Bécaud – L’indien

USA ET CANADA / C’est officiel : les USA sont l'État terroriste n°1

Date de publication sur Tlaxcala : 24/10/2014

Original: Official: The US is a Leading Terrorist State
Traductions disponibles :
Italiano  Português 

 C’est officiel : les USA sont l'État terroriste n°1

                                               

 

 

 

 


Noam Chomsky Νόαμ Τσόμσκι

Traduit par  Wayan

Edité par  Fausto Giudice Фаусто Джудиче جيوديشي

Pour bien comprendre cet article de Noam Chomsky, publié non pas aux USA mais au Venezuela, qui considère les USA comme un État terroriste, il convient de rappeler que dans le « droit de la guerre » la protection des populations civiles est un devoir pour les deux parties en lice. Ne pas le faire est une infraction directe au droit humanitaire (v. ici).

Une attaque terroriste est une attaque visant directement des civils dans le but d’obtenir un avantage territorial ou politique. Ce qui est le cas de Daesh/ État Islamique, qualifié de groupe terroriste. Mais l’attaque, racontée dans ce texte, d’une usine cubaine par des forces terroristes formées par les USA et qui laissa 400 ouvriers morts en est un autre cas. Au niveau légal elles n’ont pas de différence. La différence entre les deux, subjective à la conscience collective occidentale, reposera sur sa représentation médiatique, celle qui fabrique votre consentement, qui vilipendera la première et encensera, ou au moins excusera, la deuxième, simplement parce que c’est votre bord qui en est l’auteur.

Si vous trouvez que faire cette différence est normal de votre part alors vous pouvez vous classer parmi les hégémonistes (même si vous préférez le mot pragmatique), ceux qui pensent que c’est la puissance qui est la règle du jeu international. Si vous trouvez cette différence anormale, vous vous classez parmi les légalistes et blâmerez les deux. Mais il faut aussi se rappeler que le puissant à une responsabilité supplémentaire, celle de maitriser sa puissance et ne pas commencer l’attaque. D’autant plus s’il se considère « gendarme du monde » car on ne peut prétendre à la fois faire appliquer la loi et se placer au-dessus d'elle.

Il devient de plus en plus évident que l'hégémonismeest une idéologie qui reprend toute sa force aux USA et dans le monde occidental, tant parmi nos gouvernements que dans la conscience collective, dirigée dans ce sens par les médias dominants. C’est pourtant cette idéologie qui a conduit aux catastrophes qu’ont été les deux premières guerres mondiales. Guerres à chaque fois perdues par les tenants de l'hégémonisme. Ce qui nous ramène à la constatation du gouvernement US lui-même, que vous lirez dans ce texte : « les succès sont si rares qu’il serait bon d’envisager un changement de stratégie », constatations que les pragmatiques/hégémonistes se doivent de méditer.-W

***

Un sondage international à montré que les USA sont en tête du classement de « la plus grande menace à la paix de nos jours », loin devant la deuxième place tenue par le Pakistan.

Imaginez un article de première page dans la Pravda, rapportant une étude faite par le KGB, portant sur les principales opérations terroristes menées par le Kremlin dans le monde, dans le but de déterminer ce qui a favorisé leurs succès ou leurs échecs, et qui conclurait que, malheureusement, les succès sont si rares qu’il serait bon d’envisager un changement de stratégie. Imaginez que l’article en vienne à reprendre des propos de Poutine disant qu’il a demandé au KGB d’enquêter pour recenser les cas « de financement et de livraison d’armes aux insurgés dans un pays ayant entrainé la victoire de ces derniers. Mais ils n’ont pas trouvé grand-chose ». Il aurait donc quelques hésitations à poursuivre de telles actions.

La longue suite : ICI