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16/06/2009

Vaccins : LIBERTE ET DEVOIR DE S'INFORMER !

Les moyens de vous informer et de vous défendre !
Voir abolument les pièces jointes !
Cliquez sur la photo pour aller sur le site d'Artémisia Collège
(page Actualité - News)
Bonjour, à vous !

 

A) Revenons (encore) à cette fameuse "pandémie" niveau 6 (OMS) :

1) A défaut de connaître les dispositions qui seront prises, liées à la "pandémie" de grippe A H1N1, voici des suggestions relatives aux vaccins en général.

Mais avant, abordons un aspect top secret :

Un scénario qui n'a rien de la science-fiction, peut être imaginé à partir des révélations du russe Léonid Ivachov*, comme quoi cette "pandémie" organisée serait destinée à réduire drastiquement la population.

Dans Floraison (n° 62 et 63 http://artemisia-college.org/Anciens_numeros_Floraison__reserves_aux_adherents_-29-21009-22-2cad2.html), nous commençons à aborder une découverte fondamentale sur l'électro-magnétisme de nos cellules, selon les travaux de Jérémie (pseudo), du Dr Alain M., repris par Bruno Robert (en procès avec Luc Montagnier, pour s'approprier une découverte que ni l'un ni l'autre ne semble avoir faite).

 

Si ces travaux sont largement appliqués en dépistage (IRM = Imagerie par Résonance Magnétique), leur application en thérapie est du domaine du tabou, du secret, du militaire, car on pourrait soigner très (trop ?) facilement tellement de pathologies... En plus, une utilisation stratégique militaire, est du domaine réservé.

Et il se pourrait bien qu'on en voit bientôt une application. A savoir, un virus issus de l'ingénierie militaire US, inoculé lors d'une campagne de vaccinations massives, pourrait à volonté et à des moments déterminés, être activé par l'émission d'une fréquence appropriée à partir des antennes-relais de la téléphonie mobile.

Tout laisse à penser que ce plan existe, les questions sont : sera-t-il appliqué à cette occasion, et quand ?

Ce n'est peut-être qu'un plan "B", au cas où ce qui suit ne fonctionne pas... (voir "Les antiviraux accentuent les...").

*En concordance avec ceux de nombres de personnes, dont Aaron Russo : http://artemisia-college.org/EXTRAORDINAIRE-00-03-05-0185-01.html

 

Les antiviraux accentuent les processus de commutation* :

La commutation est le passage du patrimoine génétique d'un virus tué par antiviraux à des cellules saines qui peuvent évidemment reproduire alors une forme virale mutante plus virulente.

Ce phénomène est reconnu par de plus en plus de médecins et chercheurs.
En vaccinant ET en utilisant par exemple du Tamiflu, vous avez une formule explosive qui fait de votre corps un véritable incubateur.

Le virus atténué du vaccin transmet son patrimoine génétique à des cellules saines, cette commutation est accentuée par les antiviraux de type Tamiflu.

Ainsi les « remèdes » employés sont si mutagènes qu'ils vont produire des souches mutantes non contrôlées et non contrôlables.

On peut ainsi passer d'une grippe A à une grippe B et jusqu'à Z, si on employait ce type de "lutte" contre une grippe virulente.

La grippe A tue aujourd'hui 10 fois moins qu'une grippe classique, mais avec les méthodes actuelles, elle devrait muter en une grippe beaucoup plus dure.
Les méthodes de l'OMS seront donc meurtrières si on laisse faire, car par commutation nous allons être confrontés à des virus de plus en plus tueurs.

*Ce texte est une interprétation libre, d'informations données par Fred Morin (Morphéus).

 

 

2) Actions du Dr Marc VERCOUTERE (confirmations des éléments vus ci-avant) :

"Régulièrement ministre de la santé et de l’intérieur, commissaire européen, députés et sénateurs recevront un courrier documenté.
Nous avons en effet les preuves que le Tamiflu et le Relanza sont inefficaces,
source de nombreuses résistances et même de mutations.
Par ailleurs le vaccin contre la grippe saisonnière n’est guère plus efficace qu’un placebo, tandis que le vaccin contre “la pandémie” fera très vraisemblablement appel à un adjuvant tel l’aluminium.
A l’efficacité plus qu’incertaine,
ce vaccin, comme tout vaccin, entraînera un oedème cérébral plus ou moins transitoire ainsi qu’une chute plus ou moins importante des lymphocytes T4 et T8.
Vaccins et anti-viraux peuvent aussi favoriser la sélection de virus plus virulents par le constant phénomène de commutation, tandis que la présence d’aluminium favorisera ultérieurement la survenue de myofasciite à macrophages et une augmentation de la fréquence de la maladie d’Alzheimer, favorisées par l’exposition aux ondes de téléphonie mobile...
Ces faits scientifiques seront bien entendu repris dans les courriers ultérieurs.
Restant à votre disposition.".

3) ATTESTATION + CERTIFICAT (voir fichiers Word joints)
Le but est que le médecin ne signe pas, et du coup ne fasse pas le vaccin.
Et pour le moins, mettre tout le monde devant la réalité et ses responsabilités.
De toute façon, pour le patient, le médecin est l'acteur, au médecin de se retourner ensuite contre le laboratoire.
Mais encore une fois, l'idée n'est pas de chercher un responsable d'un futur accident, mais d'empêcher l'accident.
Or, des médecins sont tellement mal informés qu'ils sont capables de signer l'Attestation !
C'est aussi l'occasion de prendre connaissance des réalités du vaccin et de prendre conscience de ses dangers, toutes choses spécialement négligées dans l'abattage d'une vaccination de masse.
Nous proposons donc, pour aller au plus vite, de proposer en premier l'Attestation, et d'attendre la réaction du médecin.
S'il est suffisamment inconscient pour la signer, alors, lui montrer le Certificat.
En dernier ressort, c'est à vous d'aviser en fonction de sa réaction.
4) Les bonnes adresses et les bons livres
Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations
B.P. 816 - 74016 ANNECY CEDEX
Michel Georget, Vaccinations, les vérités indésirables (Editions Dangles)
Sylvie Simon et le Dr Marc Vercoutère, Vaccin hépatite B, les coulisses d'un scandale (Editions Marco Pietteur).
Disponibles à la Ligue (avec d'autres) : http://www.infovaccin.fr/liste_ouvrages.html
Sites informatifs (en plus de celui de la Ligue) :
Joindre le Dr Vercoutère : cri-vie@neuf.fr
Il était une fois le H1N1, à lire, troublant : http://www.decapactu.com/spip/article.php3?id_article=465
B) NS a placé la France en première ligne en cas de conflit nucléaire avec l'Iran

Émirats arabes unis (EAU) :

- La base française de soutien interarmées permanente, est agrémentée d'une mise à disposition des armes nucléaires de notre pays.

- Le Musée du "Louvre" d'Abu Dhabi

Ainsi, avec ces accords, la France se retrouverait en première ligne en cas de crise majeure avec l’Iran.

Elle serait la première à "riposter" à une "attaque" iranienne, et donc à être aux cotés d’Israël pour utiliser le feu nucléaire.

Il suffirait par exemple d’une attaque sous faux drapeau* du Musée d’Abu Dhabi, pour déclancher l’irréparable.

*Ce sont des attentats ou attaques organisées par exemple par la CIA ou le Mossad, et ayant l’apparence d’une organisation ennemie (ici l’Iran par exemple).

Toute l’histoire en est pleine, de la gare de Bologne, au 11 septembre 2001, et tant d’autres…

Ce qui ne veux pas dire que l'Iran n'en est pas capable, y compris à la suite d'une provocation...

C) L'information a atteint le niveau zéro
Il n'y a plus que des faits divers + ou - sordides, des catastrophes, du people, et plus aucune info géopolitique, ni d'analyses critiques.
PENDANT CE TEMPS :
- "Le plus gros du pire n'est pas encore derrière nous", vient de dire DSK (président du FMI), lors d'une visite au Kazakhstan.
- LA FRANCE EST CHAMPIONNE DU MONDE POUR :
- L'utilisation d'engrais et pesticides de synthèse
- La consommation de médicaments
- La consommations de vaccins
- Les centrales nucléaires
- La production d'armes
Avec tout ça, on peut dire que les français ont la peau dure !
A côté de ça :
- pionniers en agriculture bio, ils doivent faire venir les production bio d'Italie, d'Espagne, de Nouvelle-Zélande...
- pionniers en médecine naturelle, ils sont les derniers à être reconnus
- pionniers en énergies renouvelables, ils doivent payer des brevets d'éoliennes à l'étranger
- pionniers en internet/minitel, ils sont à la merci des USA...
Bravo aux dirigeants et firmes pour ce résultat en forme se fiasco organisé !
D) A voir et à faire voir pour ceux qui subissent des événements climatiques "exceptionnels" sans comprendre ce qui leur arrive...
Nous ne disons pas que c'est cela, mais que c'est techniquement possible... 8 mn, cliquez sur la photo ci-dessous :

 

Cordialement,
Artémisia Collège
site : artemisia-college.org (ne sera plus accessible à partir du 20 septembre)

 

RAPPEL

Le gouvernement français ne peut rien entreprendre faute de vaccins disponibles en masse.

Il a néanmoins réservé 130 millions de doses, soit 2 par français de plus de 3 mois (idem que pour la Belgique, 1 vaccination + 1 rappel par habitant).

Ce qui signifie que s'il n'envisage pas l'obligation, ça lui ressemble bien, et que ce sera pour le moins de l'abattage en masse, comme jamais vu !

Rien ne devrait techniquement être prêt avant octobre/novembre, on a donc 3 à 4 mois pour informer (et s'informer) sur cette opération qui semble bien avoir pour but ce que l'expert russe indique dans le PDF joint.

De toute façon, les vaccinations sont en soit un danger public.

Il faut ABSOLUMENT profiter de ce délai et de cette occasion pour étudier objectivement la question, s'organiser, et à l'arrivée, être déterminés à ne pas se laisser intoxiquer par inoculation de poisons et de virus délétères.

Dire que les vaccinés ont à craindre des non vaccinés est d'ailleurs reconnaître l'inefficacité de la méthode, qui, si elle était efficace, leur permettrait précisément de ne rien craindre.

Au contraire, ce sont les vaccinés qui sont dangereux pour les non vaccinés, car contaminés délibérément, et aux défenses immunitaires affaiblies, donc susceptibles de propager tous les virus de la Terre. Ils sont en plus contaminés aux métaux lourds, mercure, aluminium (se comporte comme un métal lourd), et autres poisons type formol...

 

 

APPEL A S'INFORMER POUR NE PAS SE LAISSER EMPOISONNER

 

- Dr Andrew MOULDEN (voir sur http://expovaccins.over-blog.com/ EDIFIANT !) :

« Tous ceux pour lesquels j’évoque les diagnostics en leur montrant clichés et vidéos, s’effondrent et ne peuvent souvent retenir leurs larmes ! ».

 

- Mettre fin au mythe des vaccins à l'origine de la suppression des maladies

:

 

- Vous prenez soin de vos enfants, vous veillez à leur donner de la nourriture bio, à proscrire tout poison…

C’est bien naturel, quelle mère irait délibérément donner des poisons, des produits cancérigènes avérés, ou d’autres, hautement toxiques ?

Pourtant, en leur injectant (ce qui est bien pire), ces mêmes poisons, cancérigènes et toxiques, là, votre comportement ne devient-t-il pas illogique et irrationnel ? Curieux, non ?

Après 10 ans de recherche pharmaceutique dans l'un des plus grand laboratoire du monde, voyant que nous trompions délibérément la population, nous nous sommes tournés vers la naturopathie.
Mais il nous a fallu du temps pour admettre cet enseignement pourtant évident, et ce sont les vaccins qui nous ont créé le plus de réticence.
Pourtant nous savions l'imposture...
Elevés avec des expressions du genre "majeur et vacciné", où la vaccination est une religion que l'on ne peut pas mettre en cause sans passer pour un blasphémateur, il en faut du mérite pour admettre l'évidence...
Alors, le sol semble se dérober sous les pieds, toutes les certitudes s'envolent, et ce n'est ni confortable ni valorisant, car on réalise à quel point on a été assez naïf pour être abusé à ce point.
PAR PITIE, OUVREZ LES YEUX QUAND IL EST ENCORE TEMPS, NOUS NE VOULONS PAS QU'IL VOUS ARRIVE DU MAL !!!
L'abonnement (électronique) est à 20 € à partir de juin.
VOUS POUVEZ REGLER EN LIGNE SUR LE SITE (lire les explications sur le site) :
OU PAR POSTE (A LOURDES).

 



Fédération Internationale pour la Santé Naturelle
Le microbes et le virus, ne sont rien ! Le terrain c'est tout !


Documents à télécharger pour vous informer et vous défendre !



Expert russe Leonid IVACHOV Témoignage.pdf

CERTIFICAT X.doc

Attestation.doc

CERTIFICAT.doc

Grippe A/H1N1 - Le coup de gueule d'un médecin : "On en fait trop !"

Enfin un médecin sensé !
Ce serait le virus médiatique qu'il faudrait enrayer par celui de la grippe H1N1 !!!!
 

  • Un épidémiologiste toulousain dénonce lundi l'hospitalisation systématique des malades de la grippe A/H1N1.
  • L'expert évoque des "mesures disproportionnées".

TF1 le 15/06/2009 - 16h24
Mis à jour le 15/06/2009 - 16h30

Le chef du service des maladies infectieuses de l'hôpital Purpan de Toulouse, Bruno Marchou, a dénoncé lundi l'hospitalisation systématique des patients infectés par le virus de la grippe A/H1N1, estimant qu'elle ne se justifiait pas. "On ne peut pas imaginer une hospitalisation dans tous les cas. Les cas observés ne justifient pas d'hospitalisation. Dans les autres pays, seuls les cas graves font l'objet d'une hospitalisation. On met en danger la vie des vrais malades", a déclaré à des journalistes le professeur Marchou.

Dans son service, "paralysé par l'afflux de malades grippés", dit-il, 13 des 36 lits sont occupés depuis le week-end par des élèves d'une classe de 6e du collège de Quint-Fonsegrives, près de Toulouse. Le médecin hospitalier estime que les personnes infectées "pourraient être prises en charge à leur domicile" par leur médecin généraliste. "Nous sommes face à une maladie, une épidémie, une pandémie bénigne (...), la mortalité de la grippe A/H1N1 est de l'ordre de 4 pour 1.000, comparable à celle d'une grippe saisonnière, qui est de l'ordre de 1/1.000. Les gens ont une vision de la situation plus grave que la réalité", regrette Bruno Marchou.

"Aujourd'hui, on en fait trop. Les mesures prises sont totalement disproportionnées", affirme le médecin avant de lancer: "Tous les jours, nous avons 2.500 enfants qui meurent du paludisme dans le monde". Les sept enfants infectés et hospitalisés vont très bien, a assuré Bruno Marchou, qui a participé lundi matin à une réunion d'information avec les parents d'élèves au collège de Quint-Fonsegrives. La France a décidé de maintenir son niveau de vigilance au niveau actuel (5A) en dépit du premier cas de contamination groupée dans ce collège toulousain.

Source : TF1

14/06/2009

Virus de la grippe H1N1 ou Loi martiale ?

La pandémie de Grippe A : Un bon prétexte pour instaurer la Loi martiale ?
Le soi-disant virus de la grippe se développe à l'automne et en hiver normalement, pas au printemps ni encore moins en été, non ?
Restons calmes ! Observons leurs manoeuvres et manipulations médiatiques.
Faut bien enrichir les laboratoires pharmaceutiques, alimenter le système médical, nous affaiblir par la maladie et nous mettre sous contrôle, non ?
Restons vigilants mais pas dupes de leurs manoeuvres !
Une population malade et faible, est une population qui ne se défend pas !

Grippe A : l'état de pandémie mondiale déclaré

Lefigaro.fr, avec agences
11/06/2009 | Mise à jour : 21:00
Des étudiants thaïlandais, à Bangkok. (photo AFP)
Des étudiants thaïlandais, à Bangkok. (photo AFP) Crédits photo : AFP

L'Organisation mondiale de la santé a relevé son niveau d'alerte au niveau maximal, le 6, mais sans prendre de nouvelles mesures. La France laisse entendre qu'elle restera en phase 5 pour le moment.

La grippe A reste plus menaçante que jamais. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a en effet relevé son niveau d'alerte sur la grippe porcine au niveau 6 (le plus grave), ce qui correspond à une pandémie mondiale. L'OMS réunissait jeudi son comité d'urgence compte tenu de la propagation du virus A (H1N1) qui a fait près de 28.000 malades et 141 morts dans 74 pays touchés après son apparition au Mexique et aux Etats-Unis fin mars. Elle prévient que les pays ayant connu une activité importante du virus A (H1N1) devaient s'attendre à une deuxième vague, d'autant que le virus circulera dans le monde pendant «un à deux ans».

Pour prendre sa décision, l'organisation attendait d'avoir des preuves que le virus se propageait bien localement dans une région autre que le continent américain, critère géographique retenu pour déclencher la phase 6. Il s'agit de la première pandémie déclarée depuis plus de 40 ans par l'organisation dont le siège est à Genève. Un gros bémol toutefois : l'OMS, qui qualifie cette pandémie de «modérée», ne recommande pas de restriction de mouvement des personnes, des biens et des services malgré ce niveau 6. Elle a simplement demandé jeudi aux laboratoires pharmaceutiques de «s'atteler rapidement» à la production de vaccin contre le virus, «dès qu'ils terminent la production de vaccin contre la grippe saisonnière».

La situation en France ? Pour l'instant, rien ne change. La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a laissé entendre que la France ne relèverait pas son niveau d'alerte et resterait en phase 5. «Avec 73 cas répertoriés de grippe A, la France peut rester au niveau 5A, mais nous prendrons la décision formellement» vendredi lors d'une réunion de la cellule interministérielle de crise, a-t-elle expliqué jeudi à la presse, en marge d'un forum citoyen sur la bioéthique.

Un plan anti-pandémie grippale

Depuis l'apparition de la grippe aviaire en 2004, la France s'est dotée d'un plan anti-pandémie grippale, dont la dernière version remonte à février 2009, «applicable à toute souche du virus, quelle qu'en soit l'origine». Rédigé par le Secrétariat général de la défense nationale, un service qui dépend de Matignon, ce document suggère pour chaque niveau d'alerte (sept en tout) une cinquantaine de mesures. L'adoption de ces dispositions est ensuite validée au cas par cas par une cellule interministérielle de crise.

Si elle devait finalement passer en phase 6, la France pourrait être amenées à prendre des mesures très contraignantes pour la population : contrôles des frontières, arrivées et départs internationaux de passagers interrompus, port de masques chirurgicaux par les malades, droit de visite limité dans les hôpitaux, transports en commun restent à quai, fermeture des établissements scolaires...

Les pays bien préparés à une pandémie de grippe

Au niveau international, le numéro deux de l'OMS, Keiji Fukuda, avait reconnu mardi «une transmission locale» dans l'Etat de Victoria en Australie. Cinquième pays le plus touché au monde avec 1.263 cas, l'Australie a indiqué jeudi que quatre malades avaient été admis en soins intensifs. Mais il n'est pas seul. Le Chili a vu le nombre de malades plus que tripler en deux jours, atteignant désormais 1.694 personnes. A Hong Kong, la fermeture des écoles primaires et les crèches a été ordonnée après la contamination de douze élèves par le virus. Et en Allemagne (78 cas répertoriés mercredi), 27 élèves d'une école japonaise de Düsseldorf (ouest) ont contracté la maladie.

«Passer en phase six signifie que la propagation [du virus] continue... mais ne signifie pas que la gravité de la maladie a augmenté», a expliqué le Dr Fukuda. De fait, la mortalité du virus s'est révélée jusqu'à présent à peu près équivalente à celle de la grippe saisonnière (0,1%), en dehors du Mexique (0,4%), alors que celle de la grippe aviaire est de 60%. Mais le virus devrait muter et pourrait se combiner avec une souche plus virulente, ouvrant la voie à des scénarios beaucoup plus pessimistes, craint l'OMS. Malgré tout, l'organisation se veut rassurante, répétant à l'envie que le monde n'a jamais été aussi bien préparé à une pandémie de grippe.

Les Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge «doivent être mobilisées à travers le monde entier et se préparer à répondre» à la pandémie de grippe porcine, a néanmoins annoncé la Fédération internationale de la Croix-Rouge dans un communiqué.

Source : Le Figaro


05/06/2009

Le plan secret de vaccination contre la grippe porcine de Sarkozy

par F. William Engdahl

Selon un article sur des fuites dans un journal français, le gouvernement français est en train de mettre au point des plans secrets, pour imposer à l'ensemble de la population française une campagne de vaccination obligatoire, prétendument contre l’éventuelle maladie de grippe porcine. Ce plan, sans précédent, va même à l’encontre des recommandations des avis de la santé publique. Les géants pharmaceutiques bénéficient de cette mesure, tandis que la grippe porcine pousse la tendance à la militarisation de la santé publique et au recours inutile à la panique dans la population pour faire avancer l'ordre du jour. 
 
Selon un article de l'édition du 30 mai du quotidien français Le Journal du Dimanche, le régime Sarkozy a autorisé une dépense d'environ 1 milliard d’euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter ou à protéger contre le virus H1N1 de la grippe porcine. Le seul problème, c’est que, à ce jour, ni l'OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis n’ont réussi à isoler, photographier au microscope électronique, ni à classer chimiquement le virus Influenza A H1N1. Rien de scientifique n’indique non plus que des virologistes français l'aient fait. Rendre obligatoire des médicaments contre une maladie supposée, qui n'est même pas caractérisée, est pour le moins douteux. 
 
Encore plus étrange, il y a l'aveu de la Food & Drug Administration du régime étasunien, l’organisme chargé de la santé et la sécurité de ses citoyens, selon lequel, le « test » autorisé à sortie prématurée pour contrôler le H1N1 n'est même pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès présentés à ce jour comme preuve scientifique de mort attribuable au virus H1N1 de la grippe porcine, il n'existe aucune preuve médico-légale qu’ils soient dus effectivement à ce genre de virus. Les épidémiologistes européens pensent que les décès rapportés à ce jour sont « le fruit du hasard » ou de ce qu’on dénomme infections opportunistes. 
 
Ce que nous savons avec certitude, c'est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Des gens meurent chaque jour de maladies respiratoires. Aux États-Unis seuls, quelques 36.000 décès liés à la grippe sont enregistrés chaque année, sans panique ni frayeur excessive. La plupart sont des personnes âgées ou des patients atteints de maladies pulmonaires. À ce jour, dans toute la France, 24 personnes ont été identifiées par les autorités de santé comme ayant les « symptômes » du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l'OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal. Hmmmmm. Connaissez-vous quelqu'un avec les symptômes de la grippe porcine ? On notera aussi que, dans le dépouillement de plus de 15.000 cas de grippe porcine du H1N1 « confirmés » dans le monde, la grande majorité a guéri miraculeusement en trois à sept jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.
 
 
Objectif : Militariser la santé publique
 
Il devient de plus en plus évident qu’une arrière-pensée est derrière les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par la CDC, l'OMS et des organismes gouvernementaux. Nous avons été affolés de manger du bœuf quand le bétail, au Royaume-Uni et ailleurs, a développé une maladie mortelle appelée ESB ou « maladie de la vache folle. » Plus tard émergea la preuve du fait que l'ESB était la conséquence de la vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qu’elles ont sous la peau. Plus récemment, après des rapports de cas de ce qu'on appelle la « fièvre catarrhale» chez la vache, le mouton et la chèvre en Belgique et en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement avec des médicaments pour soi-disant protéger les animaux des morsures d'insectes prétendument porteurs de maladie habituellement inoffensives.
 
La vaccination des animaux des cheptels a été rendue obligatoire contre une maladie qui est en général si anodine qu’elle passe inaperçue, et qui dans de rares cas extrêmes pourrait être liée à la mort. Tous les animaux de plus de trois mois devaient être vaccinés. Les vaccins, selon un rapport de la publication suisse Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué la mort en masse, une baisse de la natalité, une diminution de la production laitière, des crises cardiaques et d'autres graves effets. Les vaccins ont été utilisés en dépit du fait que personne apparemment n’avait certifié leur sûreté avant. Ils contenaient typiquement de l'hydroxyde d'aluminium et du Thiomersol ou mercure, en tant qu’adjuvants et/ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et tous deux également utilisés dans la plupart des vaccins humains.
 
En dépit de la masse de protestations et de rapports auprès des autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse et en Autriche, il n’a pas été tenu compte des alertes et la vaccination de masse obligatoire a continué. Il n'est guère étonnant que les agriculteurs prennent leurs tracteurs pour protester dans la rue.
 
Le rapport d'un plan secret du gouvernement français, visant à vacciner tous les citoyens français de plus de trois mois, plus de 100 millions de doses, est plus que préoccupant. Selon Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus en automne, le gouvernement français va dépenser près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins. Les autorités annonceront en automne si elles décident de rendre le vaccin obligatoire. « Nous serons prêts à attaquer dans un délai très court, » explique la ministre de la Santé. Selon les sources, l'État veut commander 100 millions de doses vaccinales contre la grippe auprès de trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi. Les deux derniers sont des compagnies françaises.
 
Le rapport français vient juste après l’adoption par le Sénat de l'État du Massachusetts d’un projet de loi de vaccination obligatoire contre la prétendue grippe porcine du H1N1. Dans l'hôpital d'État de l'État de New York, le planning des autorités est de débattre de rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe pour tout employé de la santé publique, bien qu’il n’existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1. De plus en plus, il commence à apparaître que la peur des pandémies d’oiseaux ou de porcs est un prétexte pour justifier les vaccins obligatoires avec des substances dont les effets secondaires néfastes sont manifestement plus grave que la grippe dont ils devraient nous prémunir.
 
Novavax, une compagnie pharmaceutique étasunienne de Rockville dans le Maryland, vient juste d’annoncer assez opportunément qu’elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus, » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication. Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes ou des OGM. L'annonce a été faite dans les jours où la compagnie a annoncé une perte d'exercice financier de 36 millions de dollars.
 
Le médicament Tamiflu, qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour « atténuer » les symptômes d’une éventuelle grippe porcine ou Influenza A H1N1, telle qu'elle a été rebaptisée, est lui-même hautement toxique. Santé Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux sur des hallucinations et des comportements anormaux, dont l’automutilation, chez des patients prenant le médicament antiviral Tamiflu. Dans certains cas, la mort a été le résultat, et de graves complications pulmonaires sont largement associées au Tamiflu, le médicament dont le principal bienfaiteur financier est considéré comme son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
 
En 1976, aux États-Unis, le Président Gerald Ford, soucieux de remporter une élection serrée, face à une éventuelle pandémie, ordonna une vaccination de masse de la population, pour montrer aux électeurs qu'il était un Président « pratique. » La pandémie de 1976 n’arriva jamais, mais un grand nombre de gens souffrirent des graves effets neurologiques secondaires du vaccin, dont la production avait été précipitée, parmi lesquels furent signalés 25 décès du syndrome de Guillain-Barré.
 
La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus, parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, commença à frapper le genre humain aux États-Unis ou en Allemagne durant les années 30, lors d’expériences humaines de masse, effectuées avec des prisonniers handicapés mentaux et d’autres personnes défavorisées. 
 
Article original en anglais, Sarkozy’s Secret Plan for Mandatory Swine Flu Vaccination, publié le 3 juin 2009.
 
Traduction : Pétrus Lombard.

F. William Engdahl est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de F. William Engdahl publiés par Mondialisation.ca

Source : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid...

H1N1 : «Il va falloir vacciner tout le monde»

L'intoxication médiatique continue !

Propos recueillis par Martine Perez
04/06/2009 | Mise à jour : 16:57
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Le Pr Sylvie Van der Werf


Le Pr Sylvie Van der Werf Crédits photo : AFP

INTERVIEW - Le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord, estime, dans un entretien au « Figaro », que toute la population devra être vaccinée contre le virus H1N1 dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible.

 Est-on dans une situation inédite avec ce virus A/H1N1 qui a émergé au Mexique ?

Oui, clairement, nous sommes face à un virus nouveau, qui circule dans la «communauté» (c'est-à-dire à partir de foyers autonomes et non plus importés de l'étranger, NDLR), sur plusieurs continents. Nous sommes au bord de la phase 6 d'alerte pandémique de l'Organisation mondiale de la santé. En réalité, la phase 6 se caractérise par la transmission «communautaire» du virus sur au moins deux continents. Nous y sommes. Sauf que ces niveaux d'alerte ont été définis dans l'optique d'une pandémie liée au virus H5N1 de la grippe aviaire, bien plus virulent. Alors que la pathogénicité de ce nouveau virus est pour l'instant modérée. Cela explique la temporisation de l'OMS sur ce sujet.

Est-ce que l'arrivée de l'été va arrêter la circulation du virus en Europe ?

C'est vrai, il y a des facteurs climatiques plus ou moins favorables à la transmission de la grippe. La forme saisonnière se transmet plutôt l'hiver, mais ce n'est pas un critère absolu. En zone tropicale, les virus grippaux circulent toute l'année, avec deux pics, notamment pendant la saison humide. En Europe, l'épidémie démarre plutôt en décembre. Mais nous sommes actuellement dans une situation particulière puisque ce nouveau H1N1 diffuse actuellement aux États-Unis et au Canada, alors que c'est l'été, et donc hors des périodes classiques de circulation. Sans doute, le fait que la population est vierge de toute immunité, la rend plus susceptible. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales de transmission actuellement.

Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Je n'imagine pas une seconde que la diffusion s'arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement. Il circule activement notamment dans l'hémisphère sud, avec une situation complexe puisqu'il y a une co-diffusion avec celui de la grippe saisonnière. Jusqu'à présent, chaque fois qu'un nouveau virus apparaissait, il se substituait au saisonnier. Ce n'est pas le cas actuellement. Nous sommes dans une situation nouvelle. Nous ne savons pas s'il y aura une circulation des deux virus ou d'un seul, à l'automne dans l'hémisphère nord. Cela va dépendre de ce qui se passera dans le Sud. En Australie, comme en Amérique du Sud, la transmission communautaire est active. L'Afrique est surveillée de près. Tout laisse à penser que ce virus touchera l'ensemble de l'hémisphère Nord, avec une transmission communautaire. Fin juin? Fin août? Fin septembre? On ne peut pas exclure que le virus se mette à circuler à une période inhabituelle.

La virulence est-elle inquiétante ?

Pour l'instant, le taux de décès est de l'ordre de un pour 1000 malades. Cela reste proche du taux de décès de la grippe saisonnière. Sauf, que habituellement, ce sont des personnes âgées qui sont concernées et que la population est largement immunisée, soit naturellement, soit par le vaccin. Le nombre de malades potentiel pourra donc être très élevé. Pour l'instant nous n'avons pas mis en évidence de marqueurs de virulence. On sait que les virus grippaux mutent en permanence. Et nous ne sommes pas à l'abri d'un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Nous sommes en train de répertorier toutes les mutations «dangereuses» possibles. Par ailleurs, notre laboratoire examine la structure génétique chaque virus de cette grippe pour chaque cas français, afin d'en surveiller au plus près l'évolution, comme d'autres labos dans le monde. Nous redoutons aussi des réassortiments génétiques entre ce virus et ceux de la grippe saisonnière, et notamment avec un autre H1N1 majoritairement résistant au Tamiflu.

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l'évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L'OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c'est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l'efficacité et l'absence d'effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d'obtention. Les travaux de préparation d'un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable.

Faudra-t-il se faire vacciner contre ce nouveau virus et contre la grippe saisonnière ?

Les stocks contre la grippe saisonnière sont pratiquement déjà constitués. Les laboratoires s'attellent donc au nouveau vaccin. Aucun élément ne permet de dire que la grippe saisonnière, comme ce nouveau H1N1, va arrêter de circuler. Et il y a donc toutes les raisons de prévoir une double vaccination. Mais les décisions prises sont à réévaluer en permanence au regard de l'évolution de la situation.

Source : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php