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02/12/2014

Vote de la France pour la Palestine ! Les remerciements de GAZA et de la Palestine aux Français !

Nous avons communiqué à Ziad Medoukh, à GAZA,  le résultat du vote de l'assemblée qui s'est prononcée symboliquement, aujourd'hui, pour la reconnaissance d'un Etat Palestinien. Voici les remerciements qu'il nous a adressés pour la France et les Français qui se sont mobilisés cet été, pour cette cause juste et louable, dans le but de libérer la Palestine et ses habitants qui se trouvent encore malheureusement, depuis plus de 3 mois, toujours dans la même situation critique que celle qu'ils connaissaient à la fin des combats.

gaza1.jpg

Merci la France

 

Tous les Palestiniens ont salué le vote historique de l’Assemblée nationale en France pour la reconnaissance de l'Etat de Palestine. C'est une victoire pour la Palestine certes, mais c'est une victoire de la paix et de la justice. Merci à tous les députés français de bonne volonté qui ont voté pour cette reconnaissance, mais surtout un grand merci à tous les solidaires de notre cause noble en France, à toutes les associations de solidarité, aux partis politique, à la société civile pour leur mobilisation, leurs manifestations et leurs actions pour rendre ce vote possible ce mardi 2 décembre 2014. Une joie énorme à Gaza et en Cisjordanie ce soir.

C'est vrai ce vote est symbolique, car sur le terrain en Palestine, rien ne semble différent avec la poursuite de l'occupation et de la colonisation, mais c'est un message de solidarité du peuple français au peuple palestinien.

Vive les relations franco-palestiniennes
Merci au peuple français et ses députés 
Merci les solidaires
Vive la solidarité francophone avec la Palestine 
Vive la paix
Vive la justice

Amitiés de Gaza la vie, Gaza l'espoir, et Gaza la partie intégrante du futur Etat palestinien libre et indépendant.

Ziad

France : L'Assemblée adopte la résolution sur la reconnaissance de l'Etat palestinien

L'Assemblée nationale a adopté la résolution invitant le gouvernement à reconnaître l'Etat de Palestine, mardi 2 décembre.  

L'Assemblée nationale a adopté la résolution invitant le gouvernement à reconnaître l'Etat de Palestine, mardi 2 décembre. - © Eric Feferberg - AFP

Les députés français ont adopté, ce mardi, la résolution socialiste invitant le gouvernement français à reconnaître officiellement l'Etat palestinien.

L'Assemblée nationale a adopté ce mardi, par 339 voix contre 151, une résolution du groupe socialiste invitant le gouvernement à reconnaître l'Etat palestinien.

68 députés n'ont pas pris part au vote et 16 se sont abstenus. La quasi-totalité des socialistes, les écologistes, le Front de gauche, une partie des radicaux de gauche, neuf députés UMP et quatre députés UDI ont voté pour le texte, tandis que la grande majorité de l'UMP et de l'UDI a voté contre.

Pas de valeur contraignante pour le gouvernement

Le texte "invite le gouvernement à reconnaître l'État de Palestine en vue d'obtenir un règlement définitif du conflit" et juge que "la solution des deux États, promue avec constance par la France et l'Union européenne, suppose la reconnaissance de l'État de Palestine aux côtés de celui d'Israël". 

La résolution constate "l'échec des tentatives de relance du processus de paix" depuis 1991 entre Israéliens et Palestiniens, et pointe "la poursuite illégale de la colonisation dans les territoires palestiniens". Elle affirme "l'urgente nécessité d'aboutir à un règlement définitif du conflit" pour l'établissement d'un Etat palestinien au côté d'Israël, "sur la base des lignes de 1967, avec Jérusalem pour capitale de ces deux Etats".

Le texte n'a aucune valeur contraignante pour le gouvernement, mais revêt une lourde portée symbolique. D'autant plus qu'il s'inscrit dans un cadre européen, puisque plusieurs pays se sont d'ores et déjà exprimés sur ce dossier sensible ces dernières semaines, et que le Parlement européen votera à son tour, le 17 décembre prochain. Le 11 décembre prochain, le Sénat se prononcera à son tour sur cette question.

Un "message erroné", pour Israël

Le vote des députés français en faveur de la reconnaissance de l'Etat palestinien "va éloigner les possibilités d'arriver à un accord" de paix, a aussitôt réagi, dans un communiqué, l'ambassade d'Israël en France.


Ce vote "envoie un message erroné aux leaders et aux peuples de la région", a ajouté l'ambassade dans ce communiqué.

Sur le même sujet :

http://www.bfmtv.com/politique/l-assemblee-nationale-adop...

26/10/2014

Egypte : l’État d'urgence isole Gaza. Les négociations Israël-Palestine repoussées

Tout pour plaire décidément pour ce pauvre Peuple enfermé dans sa prison à ciel ouvert et qui ne peut pas reconstruire tout ce qui a été détruit, avec 108 000 personnes sans abri encore à ce jour, alors que l'hiver arrive !

Des dizaines de milliers de logements ont été détruits ou endommagés durant les 50 jours de combats, laissant 108.000 personnes sans abri dans ce territoire isolé et appauvri, selon des rapports de l'Onu.

Les négociations Israël-Palestine repoussées

Par Lefigaro.fr avec AFPMis à jour le 26/10/2014 à 14:14
Publié le 26/10/2014 à 14:11

Le chef de la délégation palestinienne a annoncé dimanche que les négociations indirectes avec les Israéliens sur la trêve dans la bande de Gaza reprendraient après la mi-novembre au Caire et non lundi comme prévu initialement. Le report de ces pourparlers visant à consolider le cessez-le-feu entré en vigueur il y a exactement deux mois dans l'enclave palestinienne après 50 jours d'un conflit qui a fait près de 2200 morts côté palestinien, en majorité des civils, et plus de 70 côté israélien, quasiment tous des soldats, a été décidé après une attaque meurtrière dans le Sinaï égyptien.

Khalil al-Haya, dirigeant du Hamas à Gaza, avait indiqué plus tôt à la télévision du mouvement islamiste que ce report avait été décidé car les membres de la délégation vivant dans l'enclave palestinienne "ne peuvent quitter Gaza en raison de la fermeture du poste-frontière de Rafah", décrétée jusqu'à nouvel ordre par l'Egypte après qu'un attentat suicide a tué vendredi 30 soldats dans cette région, où l'état d'urgence a été décrété et où l'armée a mené des frappes aériennes contre des jihadistes.

Côté israélien, aucune confirmation n'avait été donnée dans l'immédiat.

Le 26 août, Israël avait conclu un accord de cessez-le-feu avec une délégation palestinienne comprenant des représentants du Hamas, du Jihad islamique et de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP). Seul l'arrêt des combats avait été annoncé et désormais les deux délégations doivent s'atteler aux questions épineuses, notamment le port et l'aéroport que les Palestiniens réclament à Gaza, une exigence fermement rejetée par Israël.

 

 

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
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Egypte : l’État d'urgence isole Gaza

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Egypte : l’État d'urgence isole Gaza

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Egypte : l’État d'urgence isole Gaza

Eugénie Barbezat
Samedi, 25 Octobre, 2014
Des militaires égyptiens lors d'une patrouille dans le Sinaï
afp
Suite à un attentat suicide qui a coûté la vie à 30 soldats vendredi dans le nord du Sinaï, le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a décrété un état d'urgence de trois mois dans la région. Le point de passage de Rafah avec Gaza est bouclé.
L’Égypte a décrété vendredi un état d’urgence de trois mois sur une partie du nord et du centre de la péninsule du Sinaï, dans un périmètre allant de la ville de Rafah, sur la frontière avec la bande de Gaza palestinienne, jusqu’à l’ouest d’Al-Arich, selon un communiqué de la présidence. «  L’armée et la police prendront toutes les mesures nécessaires pour faire face aux dangers du terrorisme et à son financement, préserver la sécurité dans la région (…) et protéger les vies des citoyens  », selon le décret présidentiel qui prévoit également un couvre-feu.
L’Égypte a décidé de fermer dès samedi et jusqu’à nouvel ordre le terminal frontalier de Rafah, l’unique point de passage vers Gaza qui n’est pas contrôlé par Israël.
Cette décision intervient quelques heures après qu’un kamikaze a tué 30 soldats en précipitant sa voiture bourrée d’explosifs sur le barrage militaire situé au nord-ouest d’Al-Arich, le chef-lieu de la province du Nord-Sinaï.
L’attaque a tué au moins 30 soldats et fait 29 blessés, d’après des responsables médicaux, qui ont précisé que parmi les blessés se trouvaient un haut responsable de l’armée et cinq officiers.
Il s’agit de l’attaque la plus meurtrière visant les forces de l’ordre depuis que l’armée a destitué en juillet 2013 le président islamiste Mohamed Morsi. Depuis plus d’un an, L’Égypte est le théâtre d’attentats visant policiers et soldats, revendiqués principalement par des groupes djihadistes qui disent agir en représailles à la sanglante répression que le nouveau pouvoir mène contre les partisans de M. Morsi depuis sa destitution.
 
M. Sissi, qui a annoncé un deuil national de trois jours, a décidé de tenir samedi une réunion avec le haut commandement de l’armée pour « prendre des mesures d’urgences sur le terrain ».
 
L’Union européenne et les États-Unis ont condamné l’attentat de vendredi. Les autorités américaines «  soutiennent les efforts du gouvernement égyptien pour contrer la menace terroriste dans le pays  », a déclaré Washington.
 
En juillet, 22 soldats avaient été tués dans une attaque contre un poste de contrôle militaire dans l’ouest de L’Égypte, près de la frontière avec la Libye. Et en août 2013, peu après l’éviction de M. Morsi, 25 policiers avaient péri dans le Sinaï lorsque des hommes armés avaient tiré à la roquette et à l’arme automatique sur deux minibus de la police se dirigeant vers la ville de Rafah.
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Palestine : Création de l’Etat de Palestine : la Russie soutient la résolution !

Que ce peuple soit aidé pour retrouver la Paix et la Liberté après près de 67 ans de colonisation par l'état terroriste/sioniste !

24 octobre, 16:38

Délais concrets pour la création de l’Etat de Palestine : la Russie soutient la résolution

Par La Voix de la Russie | C’est officiel, la Russie va soutenir le projet de résolution au Conseil de sécurité de l’ONU concernant les délais de la création d’un Etat palestinien.

Une résolution pour rappel préparée et proposée par les représentants de la Palestine. Quant à la position russe, elle a été annoncée il y a un peu plus d’une semaine par le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhail Bogdanov.

Néanmoins, ce qui risque comme d’habitude de poser problème, c’est l’attitude des pays occidentaux, USA en tête. Ces derniers étant les principaux alliés d’Israël (tout comme l’Etat sioniste est le principal allié des USA au Moyen-Orient), ils vont vraisemblablement s’opposer à cette résolution palestinienne, poursuivant ainsi la très longue tradition de discrimination à l’égard du peuple martyr de Palestine.

Les autres Etats occidentaux : ceux d’Europe occidentale, le Canada, l’Australie et quelques autres satellites, ont de grandes « chances » de suivre également et comme à l’accoutumée le maitre étasunien. Seule la Suède en tant que membre de l’Union européenne, s’est récemment démarquée en annonçant qu’elle allait reconnaitre à son niveau l’Etat palestinien. Washington n’a d’ailleurs pas tardé à réagir, par le biais de sa porte-parole clownesque du département d’Etat, Jennifer Psaki, en jugeant cette décision de « prématurée ».

Pour revenir à la Russie, le vice-ministre russe a été plus que clair en s’exprimant devant les journalistes en marge de la conférence internationale sur la reconstruction de la bande de Gaza : « Je ne vois même pas de raisons pour critiquer ce texte et cette volonté des Palestiniens d’appeler une fois de plus à examiner cette situation, d’autant plus dans le cadre de l’ONU. Aussi, disons-nous aux Palestiniens que si telle ou telle option vous convient, nous vous soutiendrons en amis. Vous savez mieux que quiconque ce dont vous avez besoin et la façon d’atteindre l’objectif escompté. Nous estimons que la cause palestinienne est une cause juste, en ayant en vue que chaque peuple a le droit à l’autodétermination allant jusqu’à la création de son propre Etat ».

Difficile d’y ajouter quelque chose si ce n’est qu’effectivement la Palestine, après des décennies de souffrances liées à l’occupation et la colonisation israélienne, se doit d’obtenir des délais concrets pour la création de son Etat, complètement indépendant et souverain, et non plus se baser sur des promesses occidentales qui ne font que répéter l’éventualité d’un hypothétique Etat de Palestine, sans aucune date ni garantie, le tout en faveur des intérêts de l’Etat israélien et de sa politique d’occupation.

Il serait également juste de dire que vraisemblablement nous sommes arrivés à une époque où il est grand temps de passer à l’acte. La Palestine est déjà reconnue en tant qu’Etat par une très grande majorité de pays de la planète. Pratiquement tous les pays d’Eurasie, d’Afrique et d’Amérique latine lui reconnaissent un statut diplomatique et accueillent des représentations diplomatiques palestiniennes sur leurs territoires. L’exception étant une fois encore les USA, le Canada, l’Europe occidentale, l’Australie et quelques autres. Alors comment se fait-il que dans le nouveau monde multipolaire dans lequel nous vivons désormais, la Palestine ne pourrait pas arracher sa place au concert des nations libres qui lui revient de droit ? De quel « droit » une extrême minorité continuera au XXIème siècle à faire croire qu’elle représente« l’exceptionnalisme, le droit universel et toute la communauté internationale », tout en sachant parfaitement qu’ils sont bien minoritaires au sein de l’humanité toute entière. Surtout lorsqu’on sait aussi qu’un très grand nombre de citoyens des pays occidentaux, y compris des USA, soutiennent activement la cause palestinienne.

Après les plus ou moins récentes victoires diplomatiques et géostratégiques des nations BRICS, il est grand temps d’associer la Palestine à une nouvelle victoire de ce monde multipolaire, et surtout de permettre ainsi à son peuple qui souffre depuis bien trop longtemps, l’obtention de la vie qu’il mérite, comme toute autre nation libre. /N


Source : http://french.ruvr.ru/2014_10_24/Delais-concrets-pour-la-...

15/10/2014

Les Israéliens fuient la Palestine occupée!!

Quand les nazis ficheront la paix au monde entier, ce sera un grand jour !

Finalement même les officiers de  l'armée quittent Israël !

Les israéliens commenceraient-ils à comprendre qu'ils servent de boucliers humains et de chaire à canon aux sionistes/nazis, qui se servent d'eux pour finir de conquérir la Palestine, la Cisjordanie, le Liban, la Syrie, une partie de l'Egypte, de l'Arabie Saoudite et de l'Irak pour créer le Grand Israël dont ont se demande ce que cela rapportera aux Juifs ?

Depuis que Bibi ponctionne tous les budgets de son pays pour moderniser son complexe-militaro industriel, les israéliens fuient leur pays pour aller habiter ailleurs !

Et ils se demandent maintenant ce qu'ils font depuis des années dans un territoire occupé !

Les Israéliens fuient la Palestine occupée!!

http://french.irib.ir/media/k2/items/cache/432698e58ecabd6e719eec11bcaa07b7_XL.jpg

IRIB- Les organisations d’immigration disent que les noms de nombreux jeunes israéliens, d’étudiants, d’ingénieurs, de baby-sitters, d’officiers de l’armée, figurent sur la liste des candidats à l’immigration, pour quitter la Palestine occupée. 

Aujourd’hui, de nombreux Israéliens s’interrogent sur leur avenir et celui des terres qu’ils ont occupées, depuis des décennies. L’Exode historique semble se renouveler, mais, cette fois-ci, ce sont les problèmes économiques et sociaux qui font les Israéliens quitter la Palestine occupée. Les Israéliens font la queue, devant les consulats des pays étrangers. Ils veulent émigrer, pour vivre mieux, ailleurs. La hausse des prix, l’inflation, l’insécurité et la mauvaise situation économiques sont les raisons de cette fuite générale. Cette situation va changer le visage de la société israélienne. Une nouvelle vague de protestations populaires frappe Israël, en raison des problèmes socio-économiques, qui ont commencé, en 2011. Jusqu’à présent, le gouvernement israélien n’a trouvé aucune solution, pour résoudre ces problèmes. Trois ans après le début de la crise, le nombre des Israéliens, qui veulent émigrer aux Etats-Unis et en Europe, augmente.

Selon le quotidien libanais, "Al-Akhbar", les Israéliens critiquent de plus en plus leur gouvernement, et beaucoup d’entre eux font la queue, devant les consulats de pays étrangers, pour obtenir un visa d’immigration. Dans les réseaux sociaux, dont Facebook, les Israéliens écrivent de plus en plus des phrases pareilles : «Beaucoup d’Israéliens sont partis pour Berlin», ou «Le nombre de clients israéliens des supermarchés allemands augmente». Le taux moins élevé des coûts de la vie, un marché d’emploi florissant et les bonnes conditions de vie ont fait de Berlin la destination préférée des Israéliens, qui quittent la Palestine occupée.

En effet, le taux d’émigration des Israéliens vers l’Allemagne a, considérablement, augmenté, de manière, sans précédent. Beaucoup de ceux qui arrivent, en Allemagne, sont candidats à émigrer, dans d’autres pays de l’Europe. Les organisateurs d’immigration vers l’Allemagne sont appelés, souvent, «protestataires de Berlin». Ils disent que, jusqu’à présent, le gouvernement allemand a accepté la demande d’immigration de 93.000 Israéliens. La Chancelière allemande, Angela Merkel, a donné l’ordre de l’examen des milliers de dossiers d’Israéliens, qui souhaitent travailler, en Allemagne. Un responsable de ces organisations a dit à la chaîne 2 de la télévision israélienne que 25.000 Israéliens ont demandé au gouvernement allemand un permis de travail de trois ans, et que le gouvernement de Berlin est en train d’étudier ces dossiers. Ce responsable a ajouté qu’il existe, aussi, de nombreuses demandes similaires, déposées auprès du gouvernement espagnol. Madrid a donné l’ordre que les dossiers des Séfarades espagnols, dont le nombre s’élève à plus de trois millions, soient considérés comme prioritaires.

Les experts de l’immigration disent que ces demandes ne se limitent pas, seulement, aux villes, comme Berlin, et que, dans un proche avenir, plus d’Israéliens seront candidats à immigrer vers d’autres pays du monde. Déjà, plusieurs réseaux ont pris forme, pour organiser l’immigration des Israéliens vers des villes, comme New York, Londres, Washington, Miami, Los Angeles, Prague, Rome, etc. Les organisations d’immigration disent que les noms de nombreux jeunes israéliens, d’étudiants, d’ingénieurs, de baby-sitters, d’officiers de l’armée figurent sur la liste des candidats à l'immigration, pour quitter la Palestine occupée. Ils sont prêts à aller vivre, dans n’importe quel pays, à condition qu’ils puissent y acheter une maison ou payer le loyer, sans beaucoup de difficultés financières.

Le ministre israélien des Finances, Yaïr Lapid, dit : «J’admets que la mauvaise situation économique a créé de gros problèmes aux Israéliens. Je sais que c’est insupportable, mais tout le monde doit travailler, pour mettre fin à ce problème majeur». Il a promis que les marchandises de première nécessité feront l’objet d’exemption d’impôt, pour aider les foyers israéliens.

L’hebdomadaire allemand, "Der Spiegel", cite, à ce propos, un citoyen israélien : «Notre Premier ministre, Benyamin Netanyahu, parle, sans cesse, des menaces balistiques de l’Iran, mais il ne dit rien de la hausse des prix et des conditions de vie de plus en plus difficiles des Israéliens».