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29/04/2011

Nous avons un gros problème = Il faut trouver une solution!!!

Et si on mettait tous ces déchets toxiques dans la bouffe, les médicaments et les vaccins, les cigarettes ? Ni vu, ni connu, je t'embrouille !


Nous avons un gros problème = Il faut trouver une solution!!!

http://www.youtube.com/watch?v=jZ0vgdOX-e8

19/04/2011

Virus = maladie ?

Ecoutez bien cette vidéo.

Vous comprendrez que le virus a toujours été à l'origine de la vie et de l'évolution de l'homme et qu'il n'est pas forcément pathogène.

Voir la définition du virus sur Wikipédia.

Le virus qui fait débat parmi les virologues

Il y a débat sur la nature des virus.

Les virus possèdent des constituants en commun avec les cellules vivantes, comme un acide nucléique (ADN ou ARN) et des protéines. Cependant, selon la définition du biochimiste Wendell Stanley, les virus sont de « simples » associations de molécules biologiques. Ils sont le fruit d’une auto-organisation de molécules organiques et ne sont donc pas vivants. François Jacob insiste aussi sur cette caractéristique des virus : « placés en suspension dans un milieu de culture, ils ne peuvent ni métaboliser, ni produire ou utiliser de l’énergie, ni croître, ni se multiplier, toutes fonctions communes aux êtres vivants »[6]. Les virus ne peuvent se multiplier qu’en utilisant l’équipement enzymatique d’une cellule vivante. De plus, les virus contiennent bien un acide nucléique, de l’ADN ou de l’ARN, mais pas les deux (sauf le mimivirus, évoqué plus haut), à la différence des cellules vivantes.

Au cours des dernières années, des entités intermédiaires sont découvertes : le mimivirus, infectant une amibe, possède dans son génome 1 200 gènes (davantage que certaines bactéries). Certains de ces gènes participeraient à la synthèse protéique et à des mécanismes de réparation de l’ADN [7]. Il existe chez le mimivirus une trentaine de gènes présents habituellement chez les organismes cellulaires mais absents chez les virus. Le virus ATV d’archées présente lui aussi des caractéristiques étonnantes : ce virus en forme de citron présente la particularité de se modifier en dehors du contexte cellulaire par un mécanisme actif. Il est capable de s’allonger à chaque extrémité à une température de 80 °C, température à laquelle vit son hôte Acidianus à proximité des sources hydrothermales[8]. Néanmoins organes et échanges cycliques, donc métabolisme, restent absents.

Les virus ont aussi un rôle dans l’évolution. Patrick Forterre avance même l’hypothèse que les virus seraient les « inventeurs » de l’ADN [9]. À l’origine de la vie, l’ARN dominait (hypothèse du monde à ARN) et assurait à la fois les fonctions de stockage et transmission de l’information génétique et de catalyse des réactions chimiques. L’ADN serait apparu ensuite et sélectionné en raison de sa plus grande stabilité. D’après Patrick Forterre, le premier organisme à ADN serait un virus. L'ADN conférerait au virus le pouvoir de résister à des enzymes dégradant les génomes à ARN, arme de défense probable des protocellules. On retrouve le même principe chez des virus actuels, qui altèrent leur ADN pour résister à des enzymes produites par des bactéries infectées.

Le débat entre le caractère vivant ou inerte des virus reste encore aujourd’hui ouvert. Répondre à cette question exige de répondre au préalable à une autre : qu’est-ce que la vie ? D’après Ali Saïb, « la notion du vivant est une notion dynamique, évoluant en fonction de nos connaissances. En conséquence, la frontière entre la matière inerte et le vivant est tout aussi instable » [10]. L'existence ou non d'un métabolisme, c'est-à-dire de cycles chimiques participant au seul maintien de la structure (et non à sa reproduction) constitue un discriminant possible, et en tout cas commode.

Rôle dans l'évolution

Article principal : Transfert horizontal de gènes.

Les virus ont un rôle naturel important de véhicule pour le transfert de gênes entre des espèces différentes, ce qui accroit la diversité génétique, et permet de disséminer des innovations génétiques au-delà de la descendance de l'individu porteur de cette mutation génétique.[11]On pense que les virus ont joués un rôle central dans les premiers temps de l'évolution, avant la diversification entre bactéries, archaea et eucaryotes et à l'époque du Dernier ancêtre commun universel de la vie sur terre. Les virus sont encore l'un des plus grands réservoirs sur la Terre de diversité génétique inexplorée.[12]

http://fr.wikipedia.org/wiki/Virus


Tous les virus sont-ils pathogènes ? Sommes-nous tous égaux face à une infection virale ? Certains virus ne sont-ils pas utiles ? Armé de ses feutres et de son tableau blanc, le virologue Ali Saïb revient sur certaines idées reçues autour de ces microbes finalement méconnus.

Précédent numéro de la série Ali Saïb au tableau ! dans MENU / Vidéos de la série.
Réalisation : Roland Cros
Production : Universcience 2010

Virus = maladie ?

http://www.youtube.com/watch?v=OkQWdLTbr0M&feature=up...




 

 

OMS : Accord historique améliorant la préparation mondiale aux pandémies de grippe

Voilà encore ce qu'ils nous préparent en douce !

Ils vont s'organiser pour que nous soyons tous vaccinés par la force s'il le faut !

Lisez cet article et vous verrez comment il est codé !

Ils utilisent les médias aux ordres pour se passer les messages entre-eux.

Ils se préparent à nous balancer des armes biologiques pour nous éliminer du milieu!

Et le plus beau, c'est que nous allons payer pour laisser assassiner les nôtres !

Accord historique améliorant la préparation mondiale aux pandémies de grippe

Communiqué de presse

Après une semaine de négociations continues, qui se sont poursuivies dans la nuit de vendredi jusqu’au samedi matin, un groupe de travail d’États Membres à composition non limitée est parvenu à un accord sur un Cadre garantissant, en cas de pandémie, les échanges de virus grippaux avec les partenaires qui ont besoin d’informations pour prendre des mesures de protection de la santé publique. (Vous avez compris qu'ils sont d'accord pour s'échanger les virus grippaux entre états membres, n'est-ce pas ? Et non pas les vaccins. Il ne s'agit pas non plus de parler de partenaires ou de couples, sachant qu'ils ne peuvent avoir aucune action sur la santé publique !)

La réunion du groupe de travail a été organisée sous l’égide de l’Assemblée mondiale de la Santé et coordonnée par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Une réponse efficace aux futures pandémies de grippe

Le nouveau Cadre comporte certaines dispositions juridiquement contraignantes pour l’OMS, les laboratoires nationaux chargés de la grippe partout dans le monde et les partenaires de l’industrie dans les pays développés comme en développement, qui renforceront la riposte mondiale et la rendront plus efficace contre la prochaine pandémie. En s’assurant que les rôles et obligations des principaux intervenants soient mieux fixés que dans le passé, y compris par le recours à des contrats, le Cadre va renforcer et accélérer l’accès aux vaccins essentiels, aux médicaments antiviraux et aux kits de diagnostics, en particulier dans les pays à faible revenu.

De plus, avec ce Cadre, le monde sera en meilleure position pour lutter contre la grippe saisonnière et les menaces pandémiques potentielles, comme le virus H5N1, car certaines des activités essentielles commenceront avant la prochaine pandémie : appui plus important au renforcement des laboratoires et de la surveillance, contributions de l’industrie sous la forme de partenariats.

Il est crucial de connaître la composition exacte du virus------Surtout quand ils fabriquent les virus dans les laboratoires !

Au cours d’une flambée de grippe, il est crucial de connaître la composition exacte du virus pour surveiller la propagation de la maladie, pour établir son potentiel pandémique et pour produire les vaccins indispensables, ainsi que d’autres avantages technologiques. Pourtant, les pays en développement n’ont souvent qu’un accès limité à ses vaccins pour plusieurs raisons : ils disposent rarement de leurs propres capacités de fabrication, l’approvisionnement mondial peut être limité en cas d’augmentation brutale de la demande, comme au cours d’une pandémie, et les vaccins peuvent fréquemment atteindre des prix inabordables pour certains pays.

Un accès plus équitable aux vaccins

Le nouveau Cadre aidera à assurer un accès plus équitable à des vaccins abordables et, dans le même temps, garantira la circulation des échantillons de virus dans le système de l’OMS, de façon à ce que les informations et les analyses cruciales pour l’évaluation des risques pour la santé publique et la mise au point des vaccins soient disponibles.

Une victoire très importante pour la santé publique

« Nous avons parcouru un long chemin pour parvenir à cet accord, mais le résultat est une victoire très importante pour la santé publique, a déclaré le Dr Margaret Chan, Directeur général de l’Organisation mondiale de la Santé. Il a renforcé mon idée que la santé mondiale au 21ème siècle dépend de l’association entre les gouvernements et des parties prenantes essentielles, comme la société civile et l’industrie, pour trouver des solutions. »

Les dispositions juridiques détermineront clairement les rôles et les responsabilités de l’OMS, des laboratoires nationaux et des fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques.

Une approche mondiale beaucoup plus cohérente et unifiée

« Le Cadre prévoit une approche mondiale beaucoup plus cohérente et unifiée pour garantir que les virus grippaux soient disponibles dans le système de l’OMS, (??????? Pourquoi faire ? C'est l'OMS qui va fabriquer les vaccins ou les virus ?) afin de contrôler et de mettre au point des avantages essentiels, comme des vaccins, des médicaments antiviraux et des connaissances scientifiques, tout en veillant à un accès plus équitable à ces avantages dans les pays en développement, a expliqué le Dr Keiji Fukuda, Sous-Directeur général du Groupe Sécurité sanitaire et environnement à l’OMS.

Un accord pour la sécurité sanitaire mondiale-------Bien sûr nous allons les croire !

Le groupe de travail était co-présidé par l’Ambassadeur Juan José Gomez-Camacho (Mexique) et l’Ambassadrice Bente Angell-Hansen (Norvège) et il a réuni des États Membres de l’OMS, des représentants de l’industrie, la société civile et d’autres organisations participant à la préparation en cas de grippe pandémique.

« Ces négociations historiques ont démontré que quand les gouvernements font preuve d’habileté et d’envergure politiques, de responsabilité et de haute diplomatie, ils peuvent relever avec succès les défis mondiaux les plus pressants, déclare M. Gomez-Camacho. Elles nous ont aussi aidés à réaliser que les partenariats entre les secteurs public et privé, qui réunissent les gouvernements, les entreprises et la société civile, sont des outils extrêmement puissants et qu’à l’avenir, ils seront à mon avis le seul moyen possible pour que le monde puisse faire face à ces problèmes incroyablement complexes. »

« Cet accord développe la sécurité sanitaire mondiale et la solidarité en temps de pandémie. On y retrouve aussi un partenariat unique avec l’industrie et il comporte des mesures concrètes de coopération à la fois avec l’industrie et avec la société civile, continue Mme Angell-Hansen. Je suis reconnaissante à tous ceux qui ont apporté leur contribution pour parvenir à ce résultat positif. Cela démontre ce qu’il est possible d’atteindre à l’OMS par la diplomatie pour la santé. » ----------(-Les trafics d'influences et d'intérêts, ils veulent dire !)

Le Cadre ayant fait l’objet de l’accord sera présenté à l’Assemblée mondiale de la Santé en mai de cette année pour examen et approbation.

Les négociations par les 193 États Membres de l’OMS ont commencé en novembre 2007 à l’époque où on s’inquiétait du potentiel du virus H5N1 de la grippe aviaire en Asie du Sud-Est pour déclencher une pandémie chez l’homme.

Pour plus d'information, veuillez prendre contact avec:

Christy Feig
Directeur de communications
OMS
Téléphone: + 41 22 791 3075
Portable: + 41 79 251 70 55
Courriel:
feigc@who.int

Gregory Härtl
Chef d’équipe, Communications pour Alerte et action au niveau mondial (GAR)
OMS
Téléphone: +41 22 791 4458
Portable: +41 79 203 6715
Courriel:
hartlg@who.int

Fadéla Chaib
Chargée de communication
OMS
Téléphone: +41 22 791 3228
Portable: + 41 79 475 55 56
Courriel:
chaibf@who.int

http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2011/pandemic_influenza_prep_20110417/fr/

 

 

Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour la planète

Voilà ce que magouillent les élites pendant que vous vous disputez pour savoir qui a raison ou tort ou qui a la meilleure religion !

Nous sommes tous dans le même bateau et nous sommes tous attaqués !

Nous allons encore nous diviser ou nous décider à nous rassembler ?


Le mariage Gates et Monsanto : attention, danger pour le planète

La puissante Fondation Bill et Melinda Gates, dédiée officiellement à des projets philanthropiques, vient d’acquérir 500 000 actions de la société Monsanto. Grâce à un large réseau de connivences, c’est l’ouverture de nouveaux marchés pour le géant des semences agricoles génétiquement modifiées, et des menaces sur la sécurité alimentaire balayées par le grand vent des profits et de la spéculation.

 

Enquête.

Créée en 1994 par le fondateur de Microsoft, la Fondation Bill et Melinda Gates gère un capital de 33,5 milliards de dollars pour financer ses projets “philanthropiques”. Un joli pactole investi à hauteur de 23 millions de dollars dans l’achat de 500 000 actions de Monsanto, comme le révélait la Fondation en août 2010. Acquisition aussitôt dénoncée par le mouvement international Via Campesina1. Gates-Monsanto, union entre deux monopoles des plus cyniques et agressifs : 90 % de la part de marché de l’informatique pour la premier, 90 % du marché mondial des semences transgéniques et la majorité des semences commerciales du monde pour le second. Négation même du fameux principe du capitalisme de “concurrence de marché”.

Désormais, la Fondation Bill et Melinda Gates utilise son influence sur les politiques mondiales de développement agricole, et incite paysans et agriculteurs à utiliser les semences et produits agrochimiques génétiquement modifiés de Monsanto.

Si doute il y avait, il n’est plus de mise. La Fondation Gates vient de jeter clairement le masque de la “philanthropie”.

Pour mieux conforter son emprise, la Fondation Gates a engagé en 2006 une collaboration avec la Fondation Rockfeller, “fondation caritative” privée dotée elle aussi d’un statut fiscal privilégié et fervent promoteur des OGM à destination des populations pauvres.

Ces deux grands humanistes se sont donc alliés pour mettre en oeuvre l’Alliance for a green revolution in Africa (Agra)2, “Alliance pour la révolution verte en Afrique”, qui est en train d’ouvrir le continent aux semences OGM et aux produits chimiques vendus par Monsanto, DuPont et Dygenta.

Selon La Via Campesina, environ 70 % des bénéficiaires de l’Agra au Kenya travailleraient directement avec Monsanto et près de 80 % des financements de Gates dans le pays seraient dédiés aux biotechnologies, terme délicat auréolé d’esprit scientifique pour signifier les OGM chahutés par de mauvais esprits. Sans état d’âme, Monsanto réserve une part importante de son budget au financement des procès motivés par la toxicité de ses produits.

Son fameux agent orange, faut-il le rappeler, utilisé durant la guerre du Vietnam par les armées US, continue aujourd’hui encore ses effets sur les populations. Et son herbicide, le Roundup, représente un véritable danger maintes fois démontré, pour les humains et les générations futures, les animaux domestiques, la faune et l’environnement.

La Coalition du Kenya pour la biodiversité commentait sans détour : “Agra est un poison pour nos systèmes de production et moyens de subsistance. Sous la bannière philanthropique du développement agricole, l’Agra finira par ronger le peu qui reste de l’agriculture durable en Afrique.”

En Afrique du Sud, pour citer un exemple, le maïs génétiquement modifié a produit peu ou pas de graines en 2009, et des centaines d’agriculteurs ont été touchés, jusqu’à 80 % de leurs récoltes pour certains. Et si Monsanto a compensé les agriculteurs d’une certaine importance qui avaient acheté des produits défectueux, il n’a rien donné aux plus modestes qui avaient reçu gratuitement des sachets de mauvaises graines.

Encore un bel exemple de cynisme et de mépris pour les plus faibles. En 2008, 30 % du fonds de développement agricole de la Fondation Gates a servi à la promotion et au développement des variétés de semences OGM. Ce qui donne une idée des milliards générés et de l’intérêt des nouveaux marchés.

Sous couvert de dévouement humanitaire et grâce notamment à ses liens avec la Fondation Rockfeller, la Fondation Bill et Melinda Gates ouvre donc de nouveaux marchés à Monsanto.

Et comme ce n’était pas encore assez, la Fondation Bill et Melinda Gates s’est adjoint les ministres des Finances des USA, du Canada, d’Espagne et de Corée du Sud. Cette belle brochette a promis 880 millions de dollars pour créer un programme mondial sur l’agriculture et la sécurité alimentaire, Global agriculture and food security program.

Lequel “programme” serait géré par la Banque mondiale pour prendre en compte le problème de la faim et de la pauvreté dans le monde. Premier “cadeau” annoncé en juin 2010 : 35 millions de dollars à Haïti pour favoriser l’accès des petits paysans aux “intrants agricoles, à la technologie et aux chaînes de productions”.

Le mois précédent, Monsanto faisait part de son intention de donner 475 tonnes de semences à Haïti... distribuées par l’Usaid, Agence américaine pour le développement international qui a soutenu les pires dictatures (Haïti : le cadeau mortifère de la société Monsanto, Golias Hebdo n°136, juin 2010). Petit détail qui en dit long : l’administrateur d’USAID, Rajiv Shah, travaillait auparavant pour la Fondation Gates, avant d’être recruté par le gouvernement américain en 2009. Et si on ajoute que Rob Horsch, ancien vice-président de Monsanto pour le développement international, est actuellement directeur du programme de développement agricole de Gates, on aura une idée des liens qui relient tout ce petit monde.

Ce “cadeau” de Monsanto à Haïti ressemble à s’y méprendre à une action de marketing bien rodée soutenue au plus haut niveau. Généreuse en diable, la Fondation Bill et Melinda Gates octroie également des fonds à Feed the Future, gérée par le gouvernement étasunien, qui pourrait se résumer par la recherche de nouvelles ouvertures pour les entreprises US.

Et s’il était utile de préciser davantage, le vice-président de Monsanto, Gerald Steiner, devait affirmer que “Feed the Future était une entreprise très intéressante, qui tient compte des impératifs du marché dans lequel Monsanto et d’autres compagnies doivent opérer”.

Pour Haïti, déjà victime du séisme du 12 janvier 2010 (Haïti : les arrière-plans d’un séisme annoncé, Golias Hebdo n°122, mars 2010), du déferlement des mercenaires de la foi (Comment la scientologie prospère sur les ruines d’Haïti, Golias Hebdo n° 139, juillet 2010) et d’une épidémie de choléra, l’aide humanitaire a de curieux accents.

Les semences Monsanto ? Seule la première génération est fertile et il est impossible de réensemencer les champs à partir de ces graines. Pour continuer, reste à acheter régulièrement de nouvelles graines à Monsanto.

Déjà, la destruction programmée de l’agriculture et de l’élevage, en faveur des produits étasuniens, avait cumulé d’immenses bénéfices et favorisé la dépendance alimentaire de Haïti. Désormais, Gates, Monsanto et consorts achèvent le travail.

D’après l’Onu, 75 % de la diversité génétique des plantes du monde a disparu à mesure que les paysans abandonnaient leurs semences natives pour utiliser les variétés génétiquement modifiées. La Via Campesina, pour sa part, maintient que la meilleure façon d’assurer une alimentation saine, de revitaliser les économies rurales et de mettre en oeuvre des politiques de souveraineté alimentaire est l’utilisation des semences natives.

L’homogénéité génétique rend les paysans plus vulnérables aux changements climatiques brusques, au contraire des semences natives adaptées aux différents microclimats. Une prise de conscience s’affirme, ponctuée notamment par le documentaire sur les méfaits des produits Monsanto diffusé le 3 juin 2010 dans la salle paroissiale de l’église catholique de Hinche (Haïti), à l’inititative du Mouvement paysan Papaye.

Le blé, base traditionnelle de l’alimentation des deux tiers des habitants de la planète, n’est pas à l’abri. Des chercheurs britanniques viennent de publier cette année une ébauche de son génome, “étape pour améliorer la production de cette céréale clé de l’alimentaiton mondiale”. Les génomes du riz, du soja, du maïs avaient été séquencés, mais pas le blé qui éveille dès à présent de nouveaux appétits. Monsanto se frotte déjà les mains... L’idée était dans l’air, puisqu’en 2008, la Fondation Bill et Melinda Gatesavait attribué la somme de 26,8 millions de dollars à l’université de Cornell (état de New York) pour des recherches sur le blé et 1,6 million de dollars aux chercheurs de l’état de Washington pour développer des variétés de blé OGM résistant à la sécheresse.

La Fondation Rockfeller a investi pour sa part plus de 100 millions de dollars ces trente dernières années dans la recherche génétique. Et comme on n’est jamais assez prévoyant pour amasser encore plus, Monsanto, les fondations Gates, Rockfeller et Syngenta (multinationale basée en Suisse, spécialisée dans les OGM et les semences agroindustrielles) participent à coups de millions de dollars dans la construction d’une banque des semences, dans l’archipel norvégien de Svalbard.

Il est prévu d’y stocker jusqu’à trois millions de variétés de semences provenant du monde entier afin de “garantir la préservation de la diversité des produits agricoles pour le futur”. Ces semences sont pourtant déjà protégées, en plusieurs exemplaires, dans différentes banques de semences qui existent dans le monde. Mais en cas de catastrophe climatique, il suffira de les vendre très cher aux agriculteurs. “Nous voulons faire le bien dans le monde, mais nous voulons aussi satisfaire nos actionnaires”, déclarait dernièrement Gerard Steiner, de Monsanto. On le croit volontiers dans sa volonté de satisfaire les actionnaires. Quoi qu’il en coûte à l’équilibre de la planète et peut-être à sa survie.

Eva Lacoste
29.11. 2010

1. Via Campesina : 150 organisations, 70 pays, cinq continents. Mouvement international, il représente les paysans, les travailleurs agricoles sans terre, les pêcheurs, les paysannes, les jeunes et les peuples autochtones.
2. Le conseil de l’Agra est présidé par Kofi A. Annan, ancien secrétaire général des Nations-Unies. Le président est le A. Namanga Ngongi, ancien directeur génénral adjoint du Programme mondial pour l’alimentation des Nations-Unies. L’Agra travaille notamment avec le soutien de la Fondation Rockfeller et de la Fondation Bill et Melinda Gates, du Département pour le Développement International du Royaume-Uni. Se reporter au site www. agra-alliance.org ou tout ce qui n’est pas dit explicitement sur les nouvelles voies pour améliorer les cultures africaines.


Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010


Le crime organisé

Le rapprochement Gates Monsanto annonce le mariage entre deux monopoles parmi les plus cyniques de la période contemporaine et démontre une fois de plus l’alliance du pouvoir et de l’argent.

Derrière l’image d’une société propre et verte décrite par la propagande publicitaire et les grands discours, un projet hégémonique qui menace la sécurité alimentaire de la planète et son équilibre écologique. Véritable machine de guerre qui dispose de nombreux moyens de pression, sait jouer de la corruption et n’hésite pas à se débarrasser de ses opposants d’une manière ou d’une autre.

Défavorisés par des échanges internationaux inéquitables, l’accaparement des terres et la production d’agrocarburants, les pays du Sud sont l’objet de nouvelles pressions qui illustrent la logique implacable des grandes multinationales.

Dévastée par un tremblement de terre, abattue par le choléra, Haïti fait l’objet d’“attentions” qui ne pourront que conforter malnutrition, maladies et violences.

Le détournement de l’aide humanitaire à des fins commerciales et la privatisation des politiques alimentaires est certainement un des plus grands scandales actuels. Au risque de nouvelles déstabilisations, sous le regard complice des grands Etats et des organismes internationaux.

Habitués à dicter leur loi aux gouvernements, Monsanto, Gates, Blackwater et alliés avancent comme un rouleau compresseur à l’assaut du monde et de ses habitants. Jusqu’à quand ?

Golias


Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010


Véritables machines de guerre : Blackwater, Monsanto, Gates

Dans une entreprise comme Monsanto, quelques gros bras ne sont pas inutiles.

La plus grande armée de mercenaires du monde, la compagnie Blackwater (ajourd’hui appelée Xe Services) agit pour son compte, et par conséquent pour celui de ses alliés. C’est ce que révélait l’article de Jeremy Scahill, Blackwater’s Black Ops, “Les opérations secrètes des Blackwater”, paru dans l’hebdomadaire américain The Nation du 15 septembre 2010.

De nombreux militaires et anciens officiers de la CIA travaillent pour Blackwater, bien connue pour ses massacres de civils en Irak, spécialiste de l’information, du renseignement et de l’infiltration, jusqu’au lobbying politique et la formation paramilitaire. Selon Scahill, les affaires avec les multinationales comme Monsanto, Chevron, deuxième compagnie pétrolière US, les géants de la finance comme Barclays et Deutsche Bank, sont conduites par deux sociétés appartenant à Erik Prince, fondateur de Blackwater en 1997 et actionnaire majoritaire : Total Intelligence Solutions et Terrorism Research Center, dont les fonctionnaires et administrateurs ont en commun Blackwater. Directeur de Total Intelligence et homme de la CIA connu pour sa brutalité, Cofer Black était entré en contact avec Monsanto en 2008 pour espionner et infiltrer les organisations de militants des droits des animaux et des anti-OGM.

L’actualité américaine liée aux élections sénatoriales incite à un petit arrêrt sur la personnalité d’Erik Prince. Né en 1969 à Holland dans le Michigan, au sein d’une famille très fortunée, Erik Prince passe notamment par le très conservateur Hillsdale College, fait campagne pour la candidature présidentielle de Pat Buchanan, concurrent de droite de George Bush père, et intègre le Family Research Council de Gary Bauer, mouvement ultra conservateur dédié “aux valeurs de la famille”.

Erik Prince fait partie du Conseil secret de la politique nationale, club très fermé d’une centaine de conservateurs industriels, hauts fonctionnaires ou personnalités des médias. Fondamentaliste affirmé, il est tout naturellement un ferme soutien du Parti républicain. L’une de ses soeurs a été secrétaire générale de sa section locale du Michigan à deux reprises, et son époux n’est autre que le PDG d’Amway Dick DeVos, personnalité républicaine et fils du très riche Richard Devos dont Forbes chiffrait en 2007 la fortune à 2,4 milliards USD. Dans un tel contexte, on a comme une petite idée des contre-pouvoirs en action aux Etats-Unis.
E. L.

Article publié dans le numéro 160 Golias Hebdo semaine du 25 novembre au 1er décembre 2010


Révolution verte la couleur du dollar

“Révolution verte”, verte comme la couleur du dollar, remonte à février 1945 au Mexique, lorsque la conférence panaméricaine de Chapultepec définit les nouvelles bases de l’ordre mondial et met en place l’hégémonie économique des USA. Poste avancé de l’empire US, la Fondation Rockfeller installe au Mexique un centre de recherche agronomique et développe des variétés “améliorées” de céréales avec l’aide de Henry A. Wallace, fondateur de Pioneer Hi-Bred Seed Company, première entreprise mondiale de semences de maïs F1 (rachetée ensuite par DuPont, géant de la chimie). Wallace a été également ministre de l’Agriculture de 1933 à 1940 et vice-président des USA en 1940.

La révolution verte a été vendue à l’opinion publique comme la solution pour résoudre les problèmes de la faim dans le monde, à commencer pour les pays test, Mexique, Inde, Philippines... Comme l’ont démontré par la suite les analyses économiques et politiques, la “Révolution verte” n’a été rien d’autre qu’une opération marketing permettant de développer une activité mondiale d’agrobusiness qui permettrait à Rockfeller de détenir une position de monopole comme l’avait fait dans l’industrie pétrolière US le grand-père Rockfeller.

Si l’année 1961 voit le triomphe de l’élite globaliste dans son rêve de contrôler l’alimentation des peuples, une voix discordante se fait entendre. Deux ans avant son assassinat (1963), John Kennedy commence à remettre en question la dictature des cartels de l’agrochimie. Sans doute influencé par l’ouvrage de Rachel Carson, Printemps silencieux, qui a sensibilisé l’opinion américaine aux problèmes environnementaux.

E. L.
 

15/04/2011

Chernobyl, de Fukushima, catastrophes nucléaires et les liens d'intérêts entre l'OMS et l'AIEA !

On vous empoisonne et on vous handicape avec le nucléaire, les guerres éternelles, les vaccins, les médicaments, l'alimentation chimifiée, les chemtrails, les polluants chimiques, etc... mais c'est pour votre bien et c'est sans doute votre karma !

Il faut sans doute continuer à payer pour le péché originel que l'humanité n'a jamais commis.

Au fait, entendez-vous parler l'OMS en ce moment pour vous prévenir des dangers des radiations nucléaires ? Non ! Elles sont sans doute bonnes pour votre santé, et cet organisme criminel préfère vous laver le cerveau avec les dangers des virus imaginaires pour vendre leurs vaccins tueurs et éliminer les populations ignorantes des dangers qu'elles encourent avec les vaccins.

L'OMS ne peut pas intervenir pour vous prévenir des dangers des radiations car elle a des liens d'intérêts avec l'AIEA, l'Agence Internationale de l'Energie Atomique !

Ecoutez bien cette vidéo et lisez l'article ci-dessous, vous serez fixés.

Chernobyl Catastrophe to Fukushima-2/2


http://www.youtube.com/user/ThePlot911

Voir l'original de Paul Fusco:
http://inmotion.magnumphotos.com/essay/chernobyl

Selon Viatcheslav Grichine, membre de l'Union Tchernobyl, principale organisation des liquidateurs, sur 600 000 liquidateurs, « 25 000 sont morts et 70 000 restés handicapés en Russie, en Ukraine les chiffres sont proches et en Biélorussie 10 000 sont morts et 25 000 handicapés » (Wikipédia)

Le 26 avril 1986, la population locale n'est pas prévenue de l'accident et poursuit ses activités habituelles sans prendre de précautions particulières. Ainsi à Pripyat, 900 élèves âgés de 10 à 17 ans participent à un « marathon de la paix » qui fait le tour de la centrale. Un film argentique amateur d'époque montre de manière très flagrante que Pripyat est déjà contaminée gravement : la radioactivité y a formé de nombreux flashs blancs au rythme de plusieurs par seconde17.

L'évacuation débute le 27 avril et les 45 000 habitants de Pripyat sont les premiers concernés. Ils n'ont été informés que quelques heures auparavant par la radio locale, qui leur demandait de n'emporter que le strict minimum et leur promettait qu'ils seraient de retour sous 2 ou 3 jours. Emmenés par l'armée, ils sont hébergés dans des conditions précaires dans la région de Polesskoie, elle-même gravement touchée par les radiations. Les premiers symptômes d'une forte exposition aux radiations (nausées, diarrhées, etc.) commencent à apparaître déjà chez beaucoup d'entre eux.

Au début du mois de mai, les 115 000 personnes habitant dans un rayon de 30 km autour du site sont évacuées, opération qui se poursuit jusqu'à la fin du mois d'août. Chaque évacué reçoit une indemnité de 4 000 roubles par adulte18 et 1 500 roubles par enfant. Les évacuations touchent au total environ 250 000 personnes de Biélorussie, de Russie et d'Ukraine. Slavoutich, une ville comptant plus de 30 000 habitants à la fin de l'année 1987, est créée ex nihilo.

Quatre « zones de contamination » décroissantes sont définies. Deux d'entre-elles ne sont pas évacuées, mais les habitants disposent d'un suivi médical et de primes de risque. Il y a eu 50 000 personnes évacuées de Pripyat.

Pour Gorbatchev, la catastrophe constitue la première mise en œuvre de la politique de glasnost (« transparence ») présentée au cours du XXVIIe congrès du PCUS (25 février -- 6 mars 1986) et qui a rencontré de fortes oppositions. Dans son esprit, l'accident constitue « un nouvel argument fort en faveur de réformes profondes. »

Le 14 mai, Gorbatchev prononce une allocution télévisée dans laquelle il reconnaît l'ampleur de la catastrophe et admet que des dysfonctionnements profonds ont eu pour conséquence que « ni les politiques, ni même les scientifiques n'étaient préparés à saisir la portée de cet événement. »

Cette volonté de transparence ne va pas sans une très importante propagande autour des travaux réalisés, destinée à mettre en valeur la « bataille contre l'atome ». Une banderole apposée sur le réacteur éventré proclame que « le peuple soviétique est plus fort que l'atome » tandis qu'un drapeau rouge est fixé au sommet de la tour d'aération de la centrale à l'issue des travaux de déblaiement.

Pendant 15 ans, seuls les 56 premiers décès seront reconnus par les autorités.

Sur 30 ans, plusieurs rapports cités par l'IAEA estiment le coût de la catastrophe de Tchernobyl à plusieurs centaines de milliards de dollars33. Pour sa part, le directeur de Greenpeace France, Pascal Husting, chiffre le coût total de Tchernobyl à 1 000 milliards34. En 2011, plus de 1,5 milliards de dollars sont encore nécessaires pour la construction du nouveau sarcophage à la centrale nucléaire accidentée de Tchernobyl35.

Après la campagne du Kosovo en 1999, l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe a réclamé l'interdiction de la fabrication, des essais, de l'utilisation et de la vente d'armes à l'uranium appauvri afin de préserver les générations présentes et futures (Conseil de l'Europe 24/01/2001).

En outre, la directive 96/29/Euratom6 dispose que tout produit dépassant une concentration de 10 000 becquerels par kilogramme doit être confiné. Or, bien que l'uranium appauvri ait une concentration 4 000 fois supérieure à cette limite, il est toujours disséminé dans l'environnement par le biais de ces munitions.


Sources:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Catastrophe_de_Tchernobyl

http://en.wikipedia.org/wiki/Chernobyl_disaster

http://www-pub.iaea.org/MTCD/publications/PDF/Pub1239_web...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_r%C3%A9acteurs_nuc...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Uranium_appauvri