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21/11/2020

Stratégies de manipulation : Les stratégies et les techniques des Maîtres du Monde pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...

Stratégies de manipulation : Les stratégies et les techniques des Maîtres du Monde pour la manipulation de l'opinion publique et de la société...

 

L’image contient peut-être : texte qui dit ’10 Stratégies de manipulation 1 La stratégie de la diversion 2 Créer des problèmes, puis offrir des solutions 3 La stratégie du dégradé 4 La stratégie du différé 5 'adresser au public comme à des enfants en bas-age 6 Faire appel à l'émotionnel plutôt qu à la réflexion 7 Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise 8 Encourager le public à se complaire dans la médiocrité 9 Remplacer la révolte par la culpabilité 10 Connaître les individus mieux qu 'ils ne se connaissent eux-mêmes OSylvain Timsit’

 

1 - La stratégie de la diversion

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes.

 

La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique.

« Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

2 - Créer des problèmes, puis offrir des solutions

Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore: créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

 

3 - La stratégie du dégradé

Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

 

4 - La stratégie du différé

Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu.

 

Exemple récent: le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple: les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

 

5 - S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge

La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-age ou un handicapé mental. Exemple typique: la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi?

"Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

6 - Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion

Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

 

7 - Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise

Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage.

"La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

8 - Encourager le public à se complaire dans la médiocrité

Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...

 

9 - Remplacer la révolte par la culpabilité

Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution!...

 

10 - Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes

Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

 

-©Sylvain Timsit

http://www.syti.net/Manipulations.html

 

 

 



 

06:53 Publié dans Actions collectives, Plaintes, Manifestations, Actualité, politique ou géopolitique, Economie, AIPAC, British Israel World Federation Movement, Armées Françaises, Armes secrètes, Armes silencieuses, Espionnage, Arnaques, Mensonges, Propagande, Banques, Banksters, Paradis fiscaux, Dollar, Bours, Bioterrorisme, Eugénisme, Boycott, Vaccination, Censure, Facebook, Google, LICRA, CRIF, Conseils de Sécurité, Conspiration mondiale, Conspiration, Complot, Corruption, Constitution des Droits de l'Homme, CORONA, 5G, Nanoparticules, Bill Gates, Crimes contre l'humanité, Eugénisme, Crise Financière & Mondiale, Davos, Bildenberg, Word Economic Forum, Déclarations des politiques, et artistes, Dépopulation, Des atteintes à la santé, Empoisonnement, Epidémie, Pandémie, Escroquerie, Europe, Euro, CEDH, Génocide préparé, La fin programmée de la démocratie, La Loi Martiale, La marque de la bête, La Puce - RFID, Laboratoires pharmaceutiques, Le Bildengerg Group, Le Gouvernement Mondial, Les Banques Mondiales, Les Cartels, Les Illuminati-Reptiliens, Les Lobbies et la Politique, Les Maîtres du Monde, Les Projets des Maîtres du Monde, Les protocoles des Sages de Sion, Les Reptiliens, Les Skull and Bones, Les Sociétés Secrètes, Les Techniques de manipulation, Lobbying et Politique, Laboratoires Pharmaceutique, Médias et pouvoir, Medias, Manipulations des Masses, Mondialisation, Monsanto, Rockefeller, Rothschild et Bill Gates, Nouvel Ordre Mondial, Pr Didier RAOULT - COVID/19, hydroxychloroquine, Rockfeller, Rothschild, Mafia Kazhar, Sectes & Sociétés Secrètes, Sionisme, Oligarchie, LDJ, Traçage des populations, Urgence. Survie, USA, Israël, Vaccins, Virus Coronavirus, Virus, épidémies | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

20/11/2020

Accusé de proférer des «fadaises», le Pr Raoult riposte contre son homologue du CHU de Grenoble

Le Pr Didier RAOULT a tellement raconté de fadaises que  : 

Accusé de proférer des «fadaises», le Pr Raoult riposte contre son homologue du CHU de Grenoble

AFP 20:34 20.11.2020

Didier Raoult

 

Le professeur Raoult a déposé plainte pour diffamation contre son homologue du CHU de Grenoble qui l'avait accusé d’avoir «bidonné» son étude sur l’hydroxychloroquine. 

Le professeur Raoult a déposé plainte pour diffamation contre son homologue du CHU de Grenoble qui l'avait accusé d’avoir «bidonné» son étude sur l’hydroxychloroquine.

Le professeur Didier Raoult a porté plainte pour diffamation contre Jean-Paul Stahl, professeur de maladies infectieuses au CHU de Grenoble, après que celui-ci l’a notamment accusé de proférer des «fadaises» et d’avoir «bidonné» son étude sur l’hydroxychloroquine, a-t-on appris auprès de son avocat vendredi.

«Nous avons déposé plainte avec constitution de partie civile devant le tribunal judiciaire de Marseille suite aux propos injurieux et diffamatoires de M. Stahl lors d’un entretien à CNews en août», a précisé à l’AFP Me Brice Grazzini, l’un des avocats du professeur Raoult, le directeur de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection.

M. Stahl est l’ancien président de la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF), une société savante à l’origine d’une plainte contre le professeur Raoult devant le conseil de l’ordre des médecins, a souligné Me Grazzini. La Spilf reproche plusieurs entorses déontologiques au directeur de l’IHU Méditerranée Infection liées à sa promotion de l’hydroxychloroquine dans le cadre du traitement des malades du Covid-19.

Dans le cadre de ce dossier M. Raoult va comparaître devant la chambre disciplinaire du Conseil de l’ordre en Provence-Alpes-Côte d’Azur, à une date pour l’instant non précisée.

Plusieurs plaintes déposées depuis fin juillet

Cette plainte en diffamation déposée vendredi suit une première plainte de Didier Raoult, fin octobre, sur le même fondement, contre la professeure Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l’hôpital Saint-Antoine à Paris, également devant le tribunal judiciaire de la cité phocéenne.

Le professeur Raoult a également porté plainte, jeudi, contre le vice-président de l’Ordre des médecins des Bouches-du-Rhône, pour «non confraternité», suite à une cinquantaine de tweets de celui-ci le dénigrant.

Fin juillet, le professeur Raoult avait déposé une première plainte, «pour dénonciation calomnieuse», contre Martin Hirsch, le directeur des hôpitaux de Paris (AP-HP). Celui-ci l’avait accusé d’avoir fait un «faux témoignage» lors de son audition devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale le 24 juin.

Source : ICI

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid / Corona virus

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid

Corona virus : Un médecin allemand arrêté en direct par la police pendant qu’il parlait du covid.

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Durant la seconde guerre mondiale en 39 – 45, le régime Nazi ne faisait pas mieux !

Le Dr. Andreas Noack a été arrêté en vue d’une nouvelle loi sur la protection contre l’infection qui donne des pouvoirs illimité a l’exécutif sans passer par le parlement.

 

 

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana

Un vaccin pour sortir de la crise du Covid-19? Une fausse bonne idée selon Laurent Toubiana 

Adrien Peltier

17:46 18.11.2020

 

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Le gouvernement fait état d’une mise à disposition du vaccin contre le Covid-19 pour janvier sur tout le territoire. Une perspective de sortie de crise imminente… Ou pas, selon le docteur Laurent Toubiana. Au micro de Sputnik, cet épidémiologiste tire la sonnette d’alarme: une campagne de vaccination de masse ne serait pas sans risques.

 

Prudence face à la perspective d’une prochaine campagne de vaccination contre le Covid-19!

Une réaction aux dernières annonces du gouvernement qui n’émane pas d’une quelconque officine complotiste «antivax», mais d’un scientifique réputé.

Laurent Toubiana, chercheur à l’INESRM et fondateur de l’Institut de recherche pour la valorisation des données de santé (IRSAN), partage ses réserves avec Sputnik. Pour cet épidémiologiste, spécialiste des systèmes d’information en santé, le vaccin est la pire des solutions et l’immunité collective la seule méthode valable.

Sputnik: Mardi 17 novembre, Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement, a annoncé qu’un premier vaccin pourrait être «distribué à partir du mois de janvier». Ces délais vous paraissent-ils crédibles?

 

Laurent Toubiana: «Je ne m’étonne plus de rien avec le gouvernement actuel. Des choses qui nous paraissaient totalement ahurissantes il y a moins d’un an nous paraissent presque normales aujourd’hui. On assiste à une sorte de “teasing”: le vaccin est placé sur le même plan qu’un produit de consommation! Il y a une forme de marketing à la “Apple” en nous faisant croire que, comme il n’y aura pas de vaccin pour tout le monde, il faudra se dépêcher. C’est une démarche marketing qui rappelle les mises en vente d’iPhone. Il y a véritablement une campagne publicitaire autour de ce vaccin.

«Il y a une forme de marketing à la Apple»

Mais, plus largement, il faut rappeler qu’un vaccin n’est jamais “neutre”, comme tout médicament d’ailleurs. Théoriquement, il est dans un premier temps appliqué à une très petite partie de la population. Ce qui me fait très peur ici, c’est que les gouvernants aimeraient vacciner d’un coup jusqu’à 70% de la population. C’est du jamais-vu.»

 

Sputnik: Un vaccin nous permettrait-il de sortir immédiatement de la crise sanitaire?

 

Laurent Toubiana: «Pas du tout. Ce serait même la pire des solutions. Il faut combattre cette idée selon laquelle le vaccin pourrait nous sortir de la crise sanitaire que nous traversons. Il faut d’abord comprendre ce qu’est un vaccin, et encore un vaccin comme “Moderna”, soi-disant “fiable à 95,4%”. C’est tout de même étonnant que tous les laboratoires arrivent en même temps dans cette course folle au vaccin. Cette synchronisation me laisse perplexe, même si cela peut arriver dans la recherche scientifique. Mais tout de même: en un peu moins d’un an, les scientifiques ont réussi à obtenir les souches suffisantes pour réaliser un vaccin? Enfin, dernier point, les panels choisis par les laboratoires me semblent bien faibles: on parle de cent à deux cents personnes, tout au plus.»

 

Sputnik: Vous évoquez les «souches suffisantes». De quoi un vaccin est-il composé?

 

Laurent Toubiana: «Il y a plusieurs technologies, mais dans tous les cas, un vaccin sert toujours à stimuler le système immunitaire. C’est le principe élémentaire. Or, pour ce faire, on va injecter l’équivalent d’un virus dans le corps humain, un virus “affaibli” censé le “mimer”. Il y a donc dans le vaccin une substance active appelée à faire réagir le corps humain. Je précise que je n’ai rien personnellement contre les vaccins, mais j’ai globalement un problème à m’injecter des substances actives dans le corps.

«La moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures»

Les effets secondaires de certaines substances prises isolément peuvent déjà être graves, mais lorsqu’elles sont en interaction avec d’autres substances, cela peut devenir catastrophique. Je me méfie beaucoup des substances concentrées ou des substances qui peuvent agir sur des mécanismes complexes comme le système immunitaire du corps humain, encore très mal compris par les immunologistes eux-mêmes! La démarche scientifique exige tout de même une certaine forme de rigueur: quand on touche à la santé de millions de personnes, la moindre petite erreur peut aboutir à des catastrophes majeures. Les nombreux revirements du ministre de la Santé actuel ne m’inspirent guère confiance à ce sujet.»

Sputnik: Si le vaccin n’est pas la solution à la sortie de la crise sanitaire, y aurait-il une alternative?

 

Laurent Toubiana: «Il faut d’abord essayer de comprendre ce qu’est cette maladie. On ne peut pas faire croire aux gens que cette maladie est “grave” alors qu’elle ne touche en réalité qu’une infime minorité de personnes. Le vaccin est censé permettre d’éviter une “hécatombe”. Or, jusqu’à présent, il n’y a eu aucune hécatombe liée à cette maladie.

« Les formes un peu plus sévères ne représentent que 0,3% de la population.»

En termes d’épidémiologie, c’est ce qu’il faut essayer de comprendre. Je rappelle que 80% des gens ne sont pas ou très peu sensibles à cette maladie. Parmi les gens de moins de 65 ans, une très faible part d’entre eux est touchée par le virus. Il faudrait donc laisser la population s’auto-immuniser, ce qui est déjà presque le cas: une grande partie de la population a déjà été exposée au Covid-19 sans être malade ou en contractant des formes tellement faibles qu’elles n’ont même pas eu besoin de voir un médecin. Chez beaucoup de patients, cela a même été moins fort qu’une grippe. La minorité de personnes qui ont contracté des formes un peu plus sévères ne représente que 0,3% de la population.»

Sputnik: Comment expliquer dans ce cas l’engorgement des hôpitaux et des services de réanimation?

 

Laurent Toubiana: «Ce phénomène est une conséquence directe de la gestion des hôpitaux en France. Cela est dû au faible nombre de places pour les malades du Covid-19. Je rappelle qu’en France, il y a 20 millions de cas d’hospitalisations par an. Sur la période de l’épidémie actuelle, il y a eu environ 200.000 hospitalisations pour le virus en tout et pour tout. Il faut donc faire la part des choses: c’est normal que les hôpitaux soient à flux tendus et saturés. Un afflux anormal rend l’explosion logique.»

 

Sputnik: Que préconisez-vous pour stopper l’épidémie?

 

Laurent Toubiana: «Il n’y a que l’immunité collective qui peut fonctionner. Pour arrêter une épidémie virale, c’est simple: on attend que ça passe. Une fois que l’épidémie a démarré, rien ne l’arrête. D’une certaine manière, nous avons eu de la chance, car le virus nous a montré qu’il n’était dangereux que pour une toute petite partie de la population. La partie ultra majoritaire des gens qui ne sont pas “à risque” doit donc continuer à vivre normalement.»

 

Source : ICI

 

Alexandra Henrion-Caude : "L'épidémie à ce jour ne justifie pas une urgence sanitaire nationale"

Alexandra Henrion-Caude : "L’épidémie à ce jour ne justifie pas une urgence sanitaire nationale"

 

Avec Alexandra Henrion-Caude, généticienne, directrice de Simplissima. Actualité, politique, invités... Du lundi au vendredi, de 12h à 14h, retrouvez André Bercoff dans tous ses états.