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03/09/2009

Belgique : Des citoyens interpellent le gouvernement sur la grippe A

03.09.09 - 15:24

Un groupe de citoyens, préoccupé par la problématique actuelle de "pandémie" mondiale de la grippe AH1N1, a adressé dix questions au gouvernement belge sur les différents aspects de la vaccination prévue pour contrer le virus.

Le "double discours" adopté, selon eux, par les autorités et médias pose en effet de nombreuses questions. "Les messages envoyés à la population sont plus qu'alarmants. Un jour on nous dit de ne pas s'inquiéter, qu'il n'y a rien de grave et, le lendemain, on nous dit de faire de la place dans les cimetières pour prévenir les ravages du virus! Les messages sont tellement contradictoires que les citoyens sont perdus et paniquent", explique le Docteur Gaublomme, membre de l'initiative citoyenne.

Les interrogations du groupe de citoyens portent notamment sur l'efficacité du vaccin en cas de mutation du virus, sur la nocivité de ses composants, ainsi que sur sa nécessité et son coût. "Quelle sera la composition exacte des vaccins choisis? Il apparaît en effet que certains vaccins risquent de contenir des adjuvants et conservateurs reconnus comme toxiques. Et pourquoi vouloir mettre en place une loi d'exception sur la vaccination, alors que la pratique médicale est généralement bien acceptée par la population? Pourquoi cette idée de vouloir contraindre la population à se faire vacciner? ", interroge Marie-Rose Cavalier, ex-députée wallonne.

Fiable, un vaccin si rapidemment créé?

"La rapidité avec laquelle le vaccin a été mis au point pose également question. Comment être sûr que des effets secondaires graves ne se manifesteront pas à long terme? Le vaccin est-il fiable? Pourquoi inclure dans la vaccination les groupes à risques, comme les femmes enceintes, alors qu'ils ont été exclus lors de la recherche? Serviront-ils de cobayes? ", demande le Dr. Gaublomme.

Le coût que représente la vaccination suscite par ailleurs d'autres incertitudes. "Plus de 12 millions de doses du vaccin ont été commandées par le gouvernement. Si le vaccin se révélait finalement être inutilisable, qu'adviendra-t-il de l'argent public dépensé? Le gouvernement sera-t-il remboursé? Le gouvernement prévoit-il une indemnisation pour les victimes du vaccin? Parce que, dans tous les cas, il y en aura", indique Sophie Meulemans, victime de vaccins. Et le Dr. Gaublomme de rappeler l'épisode de la vaccination massive de 46 millions d'Américains contre la grippe porcine en 1976, pour une pandémie qui n'a jamais eu lieu; une vaccination qui a généré 500 cas de paralysie de type Guillain-Barré et des milliers de plaintes introduites pour dommages à la santé.

"Nous estimons qu'il est du devoir des autorités d'apporter la preuve à l'ensemble de la population qu'elles ont réellement évalué de façon rigoureuse et contradictoire le rapport bénéfice risque de ces futurs vaccins", estime Marie-Rose Cavalier.

Voie judiciaire

Les membres de l'initiative citoyenne attendent des réponses claires du gouvernement dans les dix jours, faute de quoi, il sera probablement fait appel à la voie judiciaire. "Si d'ici le 15 septembre, nous n'avons pas eu de réponses à nos questions, certains citoyens décideront peut-être de se tourner vers les tribunaux. Le gouvernement n'ayant pas répondu à notre mise en demeure et n'ayant donc pas rempli sa mission d'information, nous le contraindrons alors à y répondre par la voie d'autres organes", a expliqué Me Georges-Henri Beauthier.

Les personnes souhaitant prendre connaissance des textes et questions envoyés au gouvernement peuvent demander des informations via l'adresse mail initiative.citoyenne@live.be.

(Belga)

Source :  RTBF.be

18/08/2009

Belgique : Grippe A : « Vaccin non obligatoire »

Grippe A : « Vaccin non obligatoire »

Rédaction en ligne

mardi 18 août 2009, 10:06

Des rumeurs, même les plus folles circulent sur le net, faisant état d’une ambition de ‘génocide mondial, sous couvert de pandémie », en évoquant le caractère obligatoire du vaccin contre la grippe A/H1N1. Dans Le Soir, ce mardi, Daniel Reynders coupe court aux rumeurs : il n’y aura pas de vaccination obligatoire.
L'édito : Les marchands de peur ne sont pas où l'on croit

Grippe A : « Vaccin non obligatoire »

© AP.

A la mi-octobre au plus tôt, des milliers de vaccins contre le nouveau virus de la grippe A/H1N1 arriveront en Belgique. Notre pays en a commandé plus de 12 millions, de quoi vacciner tous les habitants. Mais il faudra déterminer des priorités, sur lesquelles les experts planchent. « Nous ne devrions pas nous écarter des recommandations de l’OMS », explique le professeur Yves Van Laethem, qui préside ce comité scientifique. En tête, le personnel de santé et les femmes enceintes, exposées à un risque quadruplé.

Mais, simultanément, des pétitions fleurissent sur internet et des plaintes sont déposées en Autriche et en France, qui affirment que ces plans généraux de vaccination n’auraient comme ambition qu’un génocide mondial, sous couvert de pandémie. Ces manipulations grossières et malfaisantes dissimulent un fait essentiel : les autorités belges n’ont jamais envisagé d’obliger quiconque à se vacciner. « Cela restera une décision individuelle. Seule la polio est une vaccination légalement obligatoire », garantit le docteur Daniel Reynders, de la cellule de crise Influenza. « Chacun devra peser avantage et inconvénient en fonction de sa propre situation et des personnes éventuellement affaiblies qui vous sont proches. Par ailleurs, la vaccination est aujourd’hui un geste sûr et sans contre-indications majeures. »

Source : http://www.lesoir.be/actualite/sciences_sante/2009-08-18/...

 

Les menteurs, nous avons bien lu que la Belgique se préparait à intaurer la vaccination obligatoire et qu'un projet avait été proposé au Conseil d'Etat, en vue de le faire statuer sur une Loi d'exception qui correspond à l'établissement d'une Loi Martiale pour imposer la vaccination de masse obligatoire avec les renforts de l'armée, forces de l'ordre et autres personnels réquisionnées.

Heureusement que des personnes veillent et qu'elles ont le courage d'engager des actions pénales pour faire reculer les Gouvernements.

 

 

 

14/06/2009

Pédocriminalité : Détention abusive et scandaleuse de Marcel Vervloesem

Cabale de Zandvoort
Un innocent qui dénonce le réseau pédocriminel
de Zandvoort
est en train de mourir en prison

Signez la pétition :


Zandvoort : 88.539 enfants victimes de viols, tortures, meurtres exposés par Marcel Vervloesem.
Objet de plaintes payées à des fausses victimes il est en train de mourir en prison en Belgique.

Le scandale de la détention de Marcel Versloesem

http://www.droitfondamental.eu/001-BFM-TV__fr.htm


Serge Garde chez Karl ZERO

Détention de Marcel Vervloesem: coup de gueule

http://www.youtube.com/watch?v=nSqOCko0kGw


Marcel Vervloesem, hymne de la Résistance

Meurtre de Marcel Vervloesem en direct :
frissons assurés

Marcel Vervloesem a découvert 21 cédéroms sur lesquels figuraient les photos de meurtres, viols et tortures d'enfants en 1998. La Belgique a retenu 20 de ces disques, de manière à ce que la justice française prononce un non lieu, en l’absence 88.539 pièces du dossier. Elle a également épargné un magistrat français, qui figure au fichier, déculotté avec un garçon de 11 ans. Une cassation vient d’être enregistrée pour ce fait. Plus de 500 dossiers vont pouvoir être rouverts en France.

Le réseau s'alloue les services d'un mouvement sectaire d'orientation "scientologie", qui offre l'anéantissement des victimes et des témoins, par le montage de cabales et de pièges, à moins qu'ils ne fassent des "concessions".

Marcel Vervloesem n'est pas homme à "collaborer" avec une quelconque sorte de gestapo. Il a donc été condamné à quatre ans de prison pour des crimes que le corps médical l’a reconnu physiquement incapable d'exécuter.

Le magistrat qui s’est chargé de retenir 20 des cédéroms de l’instruction française, avait ordonné son incarcération préventive en mai 2005. Il lui avait choisi une prison sans infirmerie, alors qu’il le savait cardiaque et diabétique insulinodépendant. Marcel Vervloesem avait entamé une grève de la faim. Il avait été mis en cellule d'isolation, où un gardien le réveillait tout les quart d’heure, pour "contrôler qu'il ne soit pas mort", selon le ministère de la justice.

A présent, la justice belge a décidé qu’il retournerait à la prison sans infirmerie, avant de que le tribunal européen des droits de l'homme n’ait le temps de juger de la légalité de sa condamnation. Il a eut un cancer et deux métastases, mais toujours pas de chimiothérapie en trois ans et demi. Neuf certificats médicaux contre-indiquent la prison, ce qui justifie au maximum une incarcération domiciliaire pour raison médicale et humanitaire.

Marcel Vervloesem n’a aucune chance de sortir de prison vivant. Il risque d'être assassiné par quelqu'un qui en sera remercié par le réseau, avec une libération conditionnelle pour bonne conduite, avant que l'Europe ne puisse le libérer pour le déni de ses droits fondamentaux.

Il prévoit tomber dans le coma en trois jours de sa grève de la faim et de la soif. Trois jours de frissons en direct, qui vous feront comprendre ce qu'est un film snuff. Une grève de la faim ordinaire peut mettre de trois à sept mois pour mourir, ce qui est moins pénible physiquement, mais trop long à son goût.

Ce n'est pas facile, dit-il, mais c'est faisable quand on sait qu'on a beaucoup de gens qui vous soutiennent tellement, et qui continueront la lutte.

Marcel Vervloesem a 55 ans. Il a deux enfants, dont un fils adoptif et 5 petits-enfants. Il laissera des collaborateurs inconsolables, qui feront vivre sa mémoire, en poursuivant son travail phénoménal. Ils exposeront inlassablement ses assassins, ceux qui ont failli en leur devoir pour lui refuser assistance alors qu'il était en danger et ceux qui lui auront manqué de respect. Il sera plus dangereux mort que vivant.

Source : Morkhoven Oberblog

Le dossier : Marcel Vervloesem et les normes Belges qui scandalisent la France

15/02/2009

Belgique : Réseaux pédophilies et tortures en prison

La Belgique et l'Europe : la communauté virtuelle des Droits de l'Homme !

LE SENAT HOLLANDAIS SE LEVE POUR MARCEL VERVLOESEM

Le dossier complet de Marcel VERVLOESEM : http://droitfondamental.eu/000-dossiers.htm

Le Sénat Hollandais annonce qu'une réunion publique a été acceptée 10 février 2009 pour débattre des tortures infligées à Marcel Vervloesem à la prison Bruges. L’intérêt de la Hollande se situe au niveau d’un directeur d’une ONG belge, sciemment condamné sur base d'un dossier incomplet, incarcéré en l'attente d'être libéré par la Cour Européenne des Droit de l'Homme, entre autre pour avoir exposé à la presse internationale "pour son propre plaisir", 100 000 photos de pornographie et torture d’enfants découvertes à Zandvoort, en Hollande.

Le dossier compte des enfants belges importés en Hollande pour la prostitution. La Belgique refuse de reconnaître les témoignages d'une ancienne victime et des passeurs d'enfants, aux télévisions belges et hollandaises qui le confirme. Elle assure que Marcel Vervloesem serait "l'unique criminel d'un dossier vide". Il a été incarcéré à la prison de Bruges le 5 septembre 2008, avec trois métastases d’un cancer laissé sans soin, dans des conditions qui ont obligé à l’amputer de chair et d'os gangrenés, provoqué la nécessité de deux opérations à cœur ouvert, et il est continuellement poussé au suicide.

La décision du Sénat hollandais a été prise suite aux menaces de sanctions de Marcel, s'il n'intervenait pas pour faire enlever de nos organes de presse Internet, la mention "tentative de meurtre" et l'enquête publique sur le Dr Van Mol, en sa qualité de médecin responsable des libérations conditionnelles pour raison de santé. Marcel avait alors été interdit de visites, de la confidentialité de ses courriers sortants et de pouvoir aller à la messe durant un mois.

Un détenu nous a téléphoné pour nous alerter, sur son propre crédit, d'une situation de danger. Il avait essayé par courrier, mais sa lettre n’est parvenue que quand il l’a envoyé à l’adresse d’un collaborateur. Il nous dit du 26 janvier 2009 :- Ce matin là, Marcel n’allait pas bien car il n’était plus au service médical, et me dit sans plus de traitement médical, plus à la hauteur des difficultés de la prison, à être maître de soi. Que faut-il faire ? Pousser un cri, un hurlement ? Cela réclame des mesures rigoureuses, car il ne faut plus le laisser dans cet état-là. Merci pour lui. Il faut le sortir d’ici.

Ironiquement, l'email du Pape était piraté, "temporairement désactivé", le temps d'aller au Conseil d'Etat pour que Marcel puisse retourner à la messe et revoir ses amis.

Il attend depuis SIX MOIS une procédure d’urgence à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, contre une incarcération assimilée à de la torture eut égard à son état de santé. Son avocat a avisé le Ministre de la Justice qu’il se voit contraint de porter plainte contre la Belgique. La loi belge, qui donne pouvoir au tribunal de l’application des peines de libérer les prisonniers gravement malades, n’est pas applicable, du fait qu’il lui manque le paraphe royal. Le Dr Van Mol trouve Marcel en forme pour la prison !

Silence radio : les prisonniers gravement malades peuvent crever comme des chiens, entre service des soins de santé et service psycho social qui dépendent du ministère de la justice et non de la santé. La presse soutient les blocages gouvernementaux en diffusant des reportages diffamatoires sur Marcel. C’est du jamais vu en prison, où généralement, la diffamation n'est pas nécessaire pour parler des prisonniers. Même les gardiens sont choqués et tentent de le soutenir comme ils peuvent. L’un d’eux lui a dit que les diffamations étaient positives parce que cela signifie que le gouvernement est embarrassé. Un autre gardien l’avait prévenu de se méfier du service psycho social, qui sert surtout à garder le contrôle sur les prisonniers en prévenant qu’ils ne trouvent de l’assistance extérieure.

Ce 12 février, la comédie macabre se déroulait en effet au service psycho social, qui poussait à nouveau Marcel au suicide avec le sourire, exactement de la même manière qui a déjà failli réussir une demi douzaine de fois. Au bout de 1 ½ mois de vacances qui n’avaient pas permis à ce service de lui organiser un congé pénitentiaire, ils lui ont expliqué avoir travaillé depuis un mois (en vacances) pour venir à la conclusion qu'il n'y avait pas moyen de lui en donner, parce que la Cour d'Appel d'Anvers n'avait pas transmis le dossier jugé depuis un an. La prochaine étape est de lui refuser un congé pénitentiaire parce qu’il n’en a pas eu avant.

La vraie raison est que les autorités, n'avaient pas prévu que Marcel puisse survive et reparaître les cheveux blanchis, les vertèbres tassées et la voix brisée par quelques semaines de tortures. Ils essayent de le remettre sur pied, mais cette voix formidable reste brisée et témoigne de la monstruosité d'avoir incarcéré un homme dans un tel état de santé.

Par chance, nous sommes venus le jour même. Marcel restait de marbre, avec une larme au coin de l'œil. Chaque minute de la visite lui donne des forces pour survivre et il ne veut pas en perdre en s'effondrant dans l'émotion. La larme avait disparue à la moitié du misérable temps qu'il nous est permis de lui remonter le moral, vraiment trop peu pour quelqu'un de si malade. Comme l'Etat belge n'a pas beaucoup d'imagination, ils n'ont trouvé d'autre solution que de lui enlever ses droits de prisonnier avec les excuses les plus absurdes. De fait, ils cachent ce directeur d'ONG dans la prison pour les détenus les plus dangereux de Belgique, et lui ont même interdit le droit de visite, demandé selon le réglement par au moins trois journalistes.

L’Europe est malade de lois qui l’a fait paraître civilisée, mais qu’elle ne se donne pas les moyens de faire appliquer. Elle a des traités brillants qui interdisent la torture et protègent les enfants, mais le premier à avoir dénoncé le marché de photos de tortures sur les enfants en est à sa 21ième année de harcèlement de l'Etat et son 162ième jour de torture en prison.

Parlons de Guantanamo, quand le Sénat hollandais a décidé d’un débat public sur les tortures d'un citoyen belge qui a exposé l’exploitation sexuelle d’enfants en Europe, avant que le Sénat belge n'y ait songé !

Source : : http://droitfondamental.eu/001-SENAT_HOLLANDAIS_SE_LEVE_P...

 Le dossier complet de Marcel VERVLOESEM : http://droitfondamental.eu/000-dossiers.htm