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10/06/2009

Sarkozy : du renouvelable et du nucléaire

En visite en Savoie, le Président réaffirme ses objectifs énergétiques, et parle de la polémique HOME.

On se moque de qui ? Lorsque l'on sait que les énergies libres et propres existent depuis plus de 60 ans et qu'elles sont tenues secrètes par les élites US et qui finance Yann Arthus-Bertrand.

Sarkozy : du renouvelable et du nucléaire
http://www.dailymotion.com/video/x9jems_sarkozy-du-renouv...

Sarkozy : du renouvelable et du nucléaire
envoyé par Savoie-actu. - L'actualité du moment en vidéo.

Qui finance Yann Arthus-Bertrand et le film Home ?

Greenwashing


Le terme Greenwashing (traduit généralement par "blanchiment écologique") est utilisé pour désigner un procédé de marketing utilisé par une organisation (entreprise, gouvernement, etc) dans le but de donner à l'opinion publique une image écologique responsable.
Qui finance Home ?

A hauteur de 10 millions d’€uros (sur un total de 12M), C’est le groupe PPR qui est le principal mécène du film Home réalisé par Yann Arthus-Bertrand.

PPR = Pinault-Printemps-Redoute
C’est :


la FNAC
4 587 millions d’euros de chiffre d’affaires



RedCat Group
3 699 millions d’euros de chiffre d’affaires



Conforama
3 168 millions d’euros de chiffre d’affaires


CFAO
2 864 millions d’euros de chiffre d’affaires

PUMA
2 524 millions d’euros de chiffre d’affaires



Gucci Group
3 380 millions d’euros de chiffre d’affaires


C’est un temple de la grande distribution, partenaire du capitalisme , cautionnaire de l’actionnariat .

Le groupe PPR a annoncé un chiffre d’affaires en hausse de 5,8 % sur un an, à 20,2 milliards d’euros. Avec un bénéfice net stable, à 875 millions d’euros.

Dans le même temps, le milliardaire Pinault annonçait un plan de licenciements de 1200 emplois dans deux de ses enseignes phares, Conforama et la Fnac malgré les profits record réalisés l’an dernier.

La Redoute, également propriété du groupe, avait annoncé en octobre 2008 la suppression de plus de 600 postes.

Le titre PPR affichait, à cette annonce, la plus forte hausse du CAC 40, gagnant plus de 7,3 %.

Le marketing des produits dérivés du film, en série limitée, est signé Sergio Rossi, Yves Saint Laurent, Gucci.

Les bénéfices seront reversé à l’association fondation
Good Planet crée par Yann Arthus Bertrand, avec le projet Action Carbone et son idée de « compensation ».

Achetez votre bonne conscience avec YAB !
(Yann arthus-Bertrand)

Pour estimer cette sorte d'impôt écologique volontaire, rendez-vous sur le site dédié à ce projet où un calculateur détermine, en poids équivalent de gaz carbonique, votre influence sur l'effet de serre . Le Français moyen apprendra ainsi qu'il émet quatre fois ce que la Terre pourrait supporter si chacun des êtres humains polluait autant.

Vous vous sentez coupable ?
La machine indique la somme à verser à l'association Good Planet pour compenser vos dégâts !!!



cliquez sur l'image pour l'agrandir


Pour Home, cela représente 1532,55 tonnes d’émissions de Co2. Que Yann Arthus -Bertrand «compense» via un chèque de 22.988.euros fait à sa propre fondation Action Carbone.

Au sujet du réalisateur :

De toute évidence pour protéger les intérêts de l'industrie nucléaire, le photographe a tout simplement occulté le nucléaire dans son film Home, et tente de se justifier ainsi :
"Dans le film, je n'ai pas réussi à parler du nucléaire, je voulais le faire, mais c’était très très compliqué."
"je ne vois pas comment on va remplacer toutes les centrales qui fonctionnent en France." Yann Arthus-Bertrand voit donc comment réduire la part du trio pétrole-gaz-charbon, qui couvre 85% de la consommation mondiale d'énergie, mais il ne voit pas comment se passer du nucléaire qui n'en couvre pourtant que 2%.

Un greenwashing à l’échelle mondiale

150 pays projettent le documentaire. • 284 salles de cinéma françaises diffusent le film, le plus souvent gratuitement, parfois à 2 euros. • Diffusion simultanée sur 80 chaînes de télé du monde entier. • Traduction dans 39 langues.

Vous remarquerez que les permières images du films sont composés des noms des marques du groupes pour composer le titre HOME.

Imaginez l’impact sur l’inconscient collectif de la planète avec cet opération marketing !

Après l'expérience d'Al Gore avec une vérité qui dérange, vous avez maintenant home et bientôt le syndrome du titanic de Nicolas Hulot, ce sont les industriels qui nous vendent l'écologie en culpabilisant les masses sans prendre eux-même les moyens de changer leurs méthodes.

Ne soyez pas dupes, restez vigilants ...

Ceci dit ... profitez bien des jolies images et du ton professoral de Yab ainsi que de sa musique sacerdotale .

05/06/2009

Le plan secret de vaccination contre la grippe porcine de Sarkozy

par F. William Engdahl

Selon un article sur des fuites dans un journal français, le gouvernement français est en train de mettre au point des plans secrets, pour imposer à l'ensemble de la population française une campagne de vaccination obligatoire, prétendument contre l’éventuelle maladie de grippe porcine. Ce plan, sans précédent, va même à l’encontre des recommandations des avis de la santé publique. Les géants pharmaceutiques bénéficient de cette mesure, tandis que la grippe porcine pousse la tendance à la militarisation de la santé publique et au recours inutile à la panique dans la population pour faire avancer l'ordre du jour. 
 
Selon un article de l'édition du 30 mai du quotidien français Le Journal du Dimanche, le régime Sarkozy a autorisé une dépense d'environ 1 milliard d’euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter ou à protéger contre le virus H1N1 de la grippe porcine. Le seul problème, c’est que, à ce jour, ni l'OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis n’ont réussi à isoler, photographier au microscope électronique, ni à classer chimiquement le virus Influenza A H1N1. Rien de scientifique n’indique non plus que des virologistes français l'aient fait. Rendre obligatoire des médicaments contre une maladie supposée, qui n'est même pas caractérisée, est pour le moins douteux. 
 
Encore plus étrange, il y a l'aveu de la Food & Drug Administration du régime étasunien, l’organisme chargé de la santé et la sécurité de ses citoyens, selon lequel, le « test » autorisé à sortie prématurée pour contrôler le H1N1 n'est même pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès présentés à ce jour comme preuve scientifique de mort attribuable au virus H1N1 de la grippe porcine, il n'existe aucune preuve médico-légale qu’ils soient dus effectivement à ce genre de virus. Les épidémiologistes européens pensent que les décès rapportés à ce jour sont « le fruit du hasard » ou de ce qu’on dénomme infections opportunistes. 
 
Ce que nous savons avec certitude, c'est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Des gens meurent chaque jour de maladies respiratoires. Aux États-Unis seuls, quelques 36.000 décès liés à la grippe sont enregistrés chaque année, sans panique ni frayeur excessive. La plupart sont des personnes âgées ou des patients atteints de maladies pulmonaires. À ce jour, dans toute la France, 24 personnes ont été identifiées par les autorités de santé comme ayant les « symptômes » du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l'OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal. Hmmmmm. Connaissez-vous quelqu'un avec les symptômes de la grippe porcine ? On notera aussi que, dans le dépouillement de plus de 15.000 cas de grippe porcine du H1N1 « confirmés » dans le monde, la grande majorité a guéri miraculeusement en trois à sept jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.
 
 
Objectif : Militariser la santé publique
 
Il devient de plus en plus évident qu’une arrière-pensée est derrière les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par la CDC, l'OMS et des organismes gouvernementaux. Nous avons été affolés de manger du bœuf quand le bétail, au Royaume-Uni et ailleurs, a développé une maladie mortelle appelée ESB ou « maladie de la vache folle. » Plus tard émergea la preuve du fait que l'ESB était la conséquence de la vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qu’elles ont sous la peau. Plus récemment, après des rapports de cas de ce qu'on appelle la « fièvre catarrhale» chez la vache, le mouton et la chèvre en Belgique et en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement avec des médicaments pour soi-disant protéger les animaux des morsures d'insectes prétendument porteurs de maladie habituellement inoffensives.
 
La vaccination des animaux des cheptels a été rendue obligatoire contre une maladie qui est en général si anodine qu’elle passe inaperçue, et qui dans de rares cas extrêmes pourrait être liée à la mort. Tous les animaux de plus de trois mois devaient être vaccinés. Les vaccins, selon un rapport de la publication suisse Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué la mort en masse, une baisse de la natalité, une diminution de la production laitière, des crises cardiaques et d'autres graves effets. Les vaccins ont été utilisés en dépit du fait que personne apparemment n’avait certifié leur sûreté avant. Ils contenaient typiquement de l'hydroxyde d'aluminium et du Thiomersol ou mercure, en tant qu’adjuvants et/ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et tous deux également utilisés dans la plupart des vaccins humains.
 
En dépit de la masse de protestations et de rapports auprès des autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse et en Autriche, il n’a pas été tenu compte des alertes et la vaccination de masse obligatoire a continué. Il n'est guère étonnant que les agriculteurs prennent leurs tracteurs pour protester dans la rue.
 
Le rapport d'un plan secret du gouvernement français, visant à vacciner tous les citoyens français de plus de trois mois, plus de 100 millions de doses, est plus que préoccupant. Selon Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus en automne, le gouvernement français va dépenser près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins. Les autorités annonceront en automne si elles décident de rendre le vaccin obligatoire. « Nous serons prêts à attaquer dans un délai très court, » explique la ministre de la Santé. Selon les sources, l'État veut commander 100 millions de doses vaccinales contre la grippe auprès de trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi. Les deux derniers sont des compagnies françaises.
 
Le rapport français vient juste après l’adoption par le Sénat de l'État du Massachusetts d’un projet de loi de vaccination obligatoire contre la prétendue grippe porcine du H1N1. Dans l'hôpital d'État de l'État de New York, le planning des autorités est de débattre de rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe pour tout employé de la santé publique, bien qu’il n’existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1. De plus en plus, il commence à apparaître que la peur des pandémies d’oiseaux ou de porcs est un prétexte pour justifier les vaccins obligatoires avec des substances dont les effets secondaires néfastes sont manifestement plus grave que la grippe dont ils devraient nous prémunir.
 
Novavax, une compagnie pharmaceutique étasunienne de Rockville dans le Maryland, vient juste d’annoncer assez opportunément qu’elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus, » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication. Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes ou des OGM. L'annonce a été faite dans les jours où la compagnie a annoncé une perte d'exercice financier de 36 millions de dollars.
 
Le médicament Tamiflu, qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour « atténuer » les symptômes d’une éventuelle grippe porcine ou Influenza A H1N1, telle qu'elle a été rebaptisée, est lui-même hautement toxique. Santé Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux sur des hallucinations et des comportements anormaux, dont l’automutilation, chez des patients prenant le médicament antiviral Tamiflu. Dans certains cas, la mort a été le résultat, et de graves complications pulmonaires sont largement associées au Tamiflu, le médicament dont le principal bienfaiteur financier est considéré comme son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
 
En 1976, aux États-Unis, le Président Gerald Ford, soucieux de remporter une élection serrée, face à une éventuelle pandémie, ordonna une vaccination de masse de la population, pour montrer aux électeurs qu'il était un Président « pratique. » La pandémie de 1976 n’arriva jamais, mais un grand nombre de gens souffrirent des graves effets neurologiques secondaires du vaccin, dont la production avait été précipitée, parmi lesquels furent signalés 25 décès du syndrome de Guillain-Barré.
 
La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus, parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, commença à frapper le genre humain aux États-Unis ou en Allemagne durant les années 30, lors d’expériences humaines de masse, effectuées avec des prisonniers handicapés mentaux et d’autres personnes défavorisées. 
 
Article original en anglais, Sarkozy’s Secret Plan for Mandatory Swine Flu Vaccination, publié le 3 juin 2009.
 
Traduction : Pétrus Lombard.

F. William Engdahl est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de F. William Engdahl publiés par Mondialisation.ca

Source : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid...

H1N1 : «Il va falloir vacciner tout le monde»

L'intoxication médiatique continue !

Propos recueillis par Martine Perez
04/06/2009 | Mise à jour : 16:57
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Le Pr Sylvie Van der Werf


Le Pr Sylvie Van der Werf Crédits photo : AFP

INTERVIEW - Le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord, estime, dans un entretien au « Figaro », que toute la population devra être vaccinée contre le virus H1N1 dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible.

 Est-on dans une situation inédite avec ce virus A/H1N1 qui a émergé au Mexique ?

Oui, clairement, nous sommes face à un virus nouveau, qui circule dans la «communauté» (c'est-à-dire à partir de foyers autonomes et non plus importés de l'étranger, NDLR), sur plusieurs continents. Nous sommes au bord de la phase 6 d'alerte pandémique de l'Organisation mondiale de la santé. En réalité, la phase 6 se caractérise par la transmission «communautaire» du virus sur au moins deux continents. Nous y sommes. Sauf que ces niveaux d'alerte ont été définis dans l'optique d'une pandémie liée au virus H5N1 de la grippe aviaire, bien plus virulent. Alors que la pathogénicité de ce nouveau virus est pour l'instant modérée. Cela explique la temporisation de l'OMS sur ce sujet.

Est-ce que l'arrivée de l'été va arrêter la circulation du virus en Europe ?

C'est vrai, il y a des facteurs climatiques plus ou moins favorables à la transmission de la grippe. La forme saisonnière se transmet plutôt l'hiver, mais ce n'est pas un critère absolu. En zone tropicale, les virus grippaux circulent toute l'année, avec deux pics, notamment pendant la saison humide. En Europe, l'épidémie démarre plutôt en décembre. Mais nous sommes actuellement dans une situation particulière puisque ce nouveau H1N1 diffuse actuellement aux États-Unis et au Canada, alors que c'est l'été, et donc hors des périodes classiques de circulation. Sans doute, le fait que la population est vierge de toute immunité, la rend plus susceptible. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales de transmission actuellement.

Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Je n'imagine pas une seconde que la diffusion s'arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement. Il circule activement notamment dans l'hémisphère sud, avec une situation complexe puisqu'il y a une co-diffusion avec celui de la grippe saisonnière. Jusqu'à présent, chaque fois qu'un nouveau virus apparaissait, il se substituait au saisonnier. Ce n'est pas le cas actuellement. Nous sommes dans une situation nouvelle. Nous ne savons pas s'il y aura une circulation des deux virus ou d'un seul, à l'automne dans l'hémisphère nord. Cela va dépendre de ce qui se passera dans le Sud. En Australie, comme en Amérique du Sud, la transmission communautaire est active. L'Afrique est surveillée de près. Tout laisse à penser que ce virus touchera l'ensemble de l'hémisphère Nord, avec une transmission communautaire. Fin juin? Fin août? Fin septembre? On ne peut pas exclure que le virus se mette à circuler à une période inhabituelle.

La virulence est-elle inquiétante ?

Pour l'instant, le taux de décès est de l'ordre de un pour 1000 malades. Cela reste proche du taux de décès de la grippe saisonnière. Sauf, que habituellement, ce sont des personnes âgées qui sont concernées et que la population est largement immunisée, soit naturellement, soit par le vaccin. Le nombre de malades potentiel pourra donc être très élevé. Pour l'instant nous n'avons pas mis en évidence de marqueurs de virulence. On sait que les virus grippaux mutent en permanence. Et nous ne sommes pas à l'abri d'un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Nous sommes en train de répertorier toutes les mutations «dangereuses» possibles. Par ailleurs, notre laboratoire examine la structure génétique chaque virus de cette grippe pour chaque cas français, afin d'en surveiller au plus près l'évolution, comme d'autres labos dans le monde. Nous redoutons aussi des réassortiments génétiques entre ce virus et ceux de la grippe saisonnière, et notamment avec un autre H1N1 majoritairement résistant au Tamiflu.

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l'évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L'OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c'est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l'efficacité et l'absence d'effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d'obtention. Les travaux de préparation d'un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable.

Faudra-t-il se faire vacciner contre ce nouveau virus et contre la grippe saisonnière ?

Les stocks contre la grippe saisonnière sont pratiquement déjà constitués. Les laboratoires s'attellent donc au nouveau vaccin. Aucun élément ne permet de dire que la grippe saisonnière, comme ce nouveau H1N1, va arrêter de circuler. Et il y a donc toutes les raisons de prévoir une double vaccination. Mais les décisions prises sont à réévaluer en permanence au regard de l'évolution de la situation.

Source : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php

 

04/06/2009

H1N1 : pourra-t-on refuser une vaccination obligatoire ? Vos droits !

H1N1 : pourra-t-on refuser une vaccination obligatoire ?

H1N1 : Il va falloir vacciner tout le monde ! Voilà ce que vient de déclarer la professeure Van der Werf, DR à l’Institut Pasteur. Cette annonce confirme la déclaration il y a une semaine d’Antoine Flahaut alors que la ministre Bachelot affirmait qu’en la matière, aucune décision n’a pour l’instant été arrêtée. Mais que faire en cas de vaccination obligatoire, peut-on refuser ?

Deux questions se posent en cas de pandémie. Celles relevant de la sphère médicale et celles concernées par le volet juridique et social. Ce dernier volet est évident car une vaccination étant un acte médical, et donc un acte, éventuellement contraint et susceptible de voir une opposition d’un individu, alors la sphère juridique est concernée. Et si ce n’était pas le cas, alors nous ne serions pas dans un Etat de droit mais une dictature.

(pour info, lien vers propos de Van der Werf:
http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php )

Pour ce qui est du volet médical, deux volets sont à prendre en compte. D’une part les faits et d’autre part les conclusions des experts de l’OMS. Sur le plan des faits, on ne sait pas encore quelle est l’incidence du virus H1N1 excepté le taux de mortalité dû à cette infection. Si les chiffres sont fiables, le virus aurait fait une dizaine de mort pour 15 000 cas recensés ce qui représente un taux proche de celui de la grippe saisonnière. Avec une différence mise en avant par les autorités ; la grippe touche essentiellement des personnes âgées voire très âgées, en fin de vie, alors que la grippe A emporte des sujets (qu’on doit définir comme étant) d’âge moyen (et non pas valides, car on sait très bien qu’à 40 ou 50 ans, un sujet peut être plus fragile qu’un octogénaire). L’OMS maintient pour l’instant le niveau 5 sur une échelle de 6. Mais il y a un biais, c’est que cette échelle a été étalonnée pour un autre virus, connu pour être plus dangereux, le H5N1, alias grippe aviaire. Notons également l’imprécision sur l’incidence. Flahaut déclara il y a trois semaines que le risque était de 30 000 décès avec un taux de contamination de 35 % ; ce qui erroné, faites le calcul, on est plus proche de 15 000. En plus, comment accorder une fiabilité des chiffres alors que par le monde, seulement dix décès ont été constatés et que de plus on ne sait rien sur les antécédents pathologiques de ces sujets.

Quoi qu’il arrive, la décision d’une vaccination pour tous ne sera prise que par les Etats, seules autorités à pouvoir en décider. L’OMS avec sa cohorte d’experts ne fera qu’annoncer officiellement le niveau 6, assorti de recommandations que peuvent suivre ou refuser les Etats. La question que tout citoyen se pose concerne le caractère obligatoire de la vaccination. Peut-on imposer à un sujet une vaccination en l’état actuel des textes ? Il « semble » que non. L’article 36 du code de déontologie médicale précise que tout acte médical suppose le consentement éclairé du patient. Cette disposition étant du reste transcrite dans le code médical : « Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment »

Certes, ce même code prévoit des vaccinations obligatoires mais cela concerne le DTP, le BCG et une population ciblée, essentiellement les enfants et des personnels relevants de certains services publics (à noter que dans la plupart des pays européens, il n’existe pas de vaccin obligatoire dans les textes, sauf pour des personnels ciblées). Si le gouvernement voulait imposer la vaccination obligatoire pour la grippe H1N1, il devrait peut-être en passer par un ajout dans le Code de santé publique. Ce qui n’est pas sorcier. Admettons que cela soit le cas. Que reste-t-il comme défense à ceux qui ne voudront pas de cette vaccination. Plusieurs moyens sont possibles, le plus trivial étant la désobéissance civile. Mais comme nous sommes dans une République de droit, la solution la plus légitime serait de trouver des artifices et autres failles juridiques pour « casser » cette obligation. Un arrêt de cassation portant sur un cas de cette espèce a fait valoir que le praticien doit fournir au patient une information loyale sur les bénéfices mais aussi les risques encourus après une vaccination. Sur ce point, on peut, au moins en légitimité, ne pas accorder confiance aux autorités et mettre en doute l’honnêteté des autorités sanitaires (La Cour des comptes de la sécu a dénoncé des liens financiers entretenus entre les experts de l’Agence du médicament et certaines firmes pharmaceutiques). On ne connaît que trop l’affaire de l’hépatite B, les risques inhérents aux vaccinations et surtout, les collusions entre quelques membres d’autorités compétentes et les laboratoires pharmaceutiques.

(dossier complet ici:
http://www.sante-solidarite.com/vaccin.htm )

Si les Etats se préparent à une situation de pandémie, nous autres, citoyens français, devons nous préparer à une résistance contre une obligation qui serait contraire aux droits les plus fondamentaux de l’homme. La déclaration de 1948 précise en effet que tout être humain a droit à son intégrité. On ne peut contraindre un individu à subir un acte médical. S’agissant de la grippe H1N1, il n’y a pas à faire campagne contre la vaccination et ce serait même illégal et surtout illégitime. Par contre, toutes les informations sur les risques doivent être précisées et pour le reste, chacun est libre d’évaluer de son propre chef s’il prend ou non le risque de refuser le vaccin. Quant aux bonnes consciences arguant que cet individu risque de contaminer son prochain, notons que si c’est le cas, alors cette personne contaminée a elle aussi pris le risque.

Pour finir, nombreux sont ceux qui voient dans la vaccination obligatoire un pas vers un contrôle des populations et une dictature du bio pouvoir et des technocrates. L’enjeu est de taille. Entre le risque de la grippe et le risque pour la République, je choisis la République et je défends le droit au non consentement face à une éventuelle vaccination obligatoire !

Source :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/hin1-pourra-t-on-refuser-une-56985
 
A savoir

L'obligation vaccinale est contraire au droit constitutionnel.
Pour ceux qui souhaitent ne pas être vaccinés, et qui bien sûr savent pourquoi, voici les articles de loi à présenter à l'acteur souhaitant vous injecter le vaccin :

- Toute obligation est anticonstitutionnelle ; Art.3 de la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, du 10 décembre 1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de la personne ».

- Toute obligation est contredite par le nouveau Code Civil qui reconnaît le « principe de respect de l'intégrité du corps humain ».

- Toute obligation est en contradiction avec l'art.36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « Tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

- Toute obligation est contraire aux Arrêts de la Cour du 25 février et 14 Octobre 1997, expliquant : information des patients, « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu'ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

- Toute obligation est annulée d'office par la Loi du 4 mars 2002 n° 2002-2003, Art. 11, chapitre 1er, modifiant l'Art. L 1111-4 du Chapitre 1er de la première partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peuvent être pratiqués sans le consentement libre et éclairé de la personne, et ce consentement peut être retiré à tout moment ».


De plus, sachez que la majorité des vaccins sont illégaux, car composés :

- de l'hydroxyde d'aluminium : 650 micro grammes par vaccin alors qu'il est admis que 60 micro grammes par litre de sang est dangereusement toxique pour la cellule nerveuse (Concours Médical, février 1997). Ce sel attaque le cerveau et peut entraîner autisme, chorée, Alzheimer, Creutzfeldt-Jakob).

- des sels de mercure (thiomersal) dont l'extrême dangerosité neurologique a été officialisée par la FDA américaine depuis 1997. Chaque nouveau vaccin cumule les doses d'une façon irréversible.


Ce message ne s'adresse bien sûr qu'à ceux qui désirent ne pas se faire vacciner, et qui en connaissent les avantages ou désavantages futurs.

03/06/2009

Virus, Vaccins, les mensonges

Grippe du cochon arme biologique US ?? (Alex Jones)