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28/11/2015

Poutine refuse de rencontrer Erdogan

 

Nov 27, 2015 15:04 UTC - IRIB – Ayant déjà refusé de parler à son homologue turc au téléphone, le Président russe Vladimir Poutine a cette fois-ci refusé la demande de Recep Tayyip Erdogan pour un entrevue.

Selon la chaîne Al-Arabiya, le Président russe Vladimir Poutine a refusé la demande de son homologue turc Recep Tayyip Erdogan qui souhaitait un tête-à-tête avec lui à Paris. Erdogan avait déclaré jeudi que M. Poutine avait refusé de lui parler au téléphone.
 
« Aucun dialogue bilatéral ne se fait entre les deux pays », a affirmé le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov, en allusion aux tensions qui affectent les rapports turco-russes depuis que la Turquie a abattu un chasseur russe dans le ciel syrien. « Huit heures après le crash d’avion Sukhoï-24 frappé par la Turquie, en Syrie, M. Erdogan a essayé de contacter le Président russe », a ajouté Dmitri Peskov. De même, le Ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov a déclaré jeudi aux journalistes que les dirigeants russe et turc n’avaient au aucun contact téléphonique.

En ce qui concerne la demande d’Ankara pour une rencontre entre les chefs d’Etat russe et turc en marge du sommet mondial sur les changements climatiques prévu la semaine prochaine à Paris, Lavrov s’est référé aux récentes déclarations des responsables russes qui ont exclu la possibilité de cette rencontre. Moscou a également annulé deux réunions des dirigeants et des Ministre des Affaires étrangères des deux pays.
 
Voir aussi :

 

URGENT ! Vladimir Poutine signe le décret mettant en œuvre les mesures économiques contre la Turquie

 

Vladimir Poutine signe le décret mettant en œuvre les mesures économiques contre la Turquie

Ce samedi, le chef d'Etat russe a signé un décret visant à renforcer la sécurité nationale et introduisant des mesures économiques contre la Turquie, après l'attaque du bombardier russe Su-24, rapporte le service de presse du Kremlin.

Après la suspension du régime sans visas annoncée vendredi 27 novembre, et signée aujourd'hui, le président russe a annoncé la mesure la plus douloureuse pour la Turquie. Selon le décret, les opérateurs touristiques ne sont plus autorisés à vendre des séjours en Turquie. 

"Stipuler que les tour-opérateurs et les agents touristiques doivent se garder de vendre aux citoyens russes des produits touristiques prévoyant la visite du territoire de la République turque", lit-on dans le décret.

Les vols charters entre la Russie et la Turquie sont également interdits.

De même, ces mesures du Kremlin "visant à assurer la sécurité nationale et celle des citoyens russes", interdisent aux employeurs russes d'embaucher des citoyens turcs à partir du 1er janvier 2016 et ordonnent d'interdire ou de limiter l'activité des organisations turques en Russie.

De surcroît, Vladimir Poutine a ordonné d'"interdire ou limiter les opérations économiques extérieures, prévoyant l'importation sur le territoire russe de certains produits provenant de la République turque selon la liste définie par le Gouvernement de la Fédération de Russie (à l’exception des produits importés pour la jouissance personnelle dans la quantité autorisée par l'Union économique eurasiatique)", selon le texte du décret publié par le Kremlin.

En attendant une éventuelle rencontre avec le chef d'Etat russe Vladimir Poutine lundi à Paris, le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré samedi que la Turquie avait besoin de la Russie et que la Russie avait besoin de la Turquie: "Nous ne pouvons pas ne plus être en contact", a-t-il dit.

Le 24 novembre, un chasseur F-16 de l'armée de l'air turque a abattu un bombardier russe Su-24 impliqué dans la campagne de frappes aériennes contre les positions de l'Etat islamique en Syrie. Selon Ankara, l'avion russe a violé l'espace aérien turc. Moscou dément ces allégations tout en soulignant que son bombardier ne présentait aucune menace pour la Turquie.

Suite à l'incident, le président russe Vladimir Poutine a accusé les autorités turques de complicité avec les terroristes dans la région. La Russie a en outre déployé en Syrie des systèmes antiaériens S-400 en vue d'assurer la sécurité de ses forces aériennes combattant les djihadistes de l'EI.

 

 

URGENT ! Défense syrienne : l’armée gouvernementale a été visée par des tirs depuis la Turquie

Encore une provocation de la Syrie et de la Russie par la Turquie ?

URGENT ! Défense syrienne : l’armée gouvernementale a été visée par des tirs depuis la Turquie

28 nov. 2015, 18:16

Les combattants de l’armée syrienne ont essuyé des tirs de mortier depuis le mont Jebel al-Aqra, qui se trouve sur le territoire de la Turquie, a annoncé aux journalistes le représentant officiel de l’armée syrienne, le général Ali Mayhoub.

«La nuit dernière, des tirs intenses visant un détachement de troupes gouvernementales syriennes ont été observés depuis le mont Jebel al-Aqra», a déclaré Mayhoud lors d’un point de presse, en ajoutant que le commandant suprême de l’armée syrienne «a prévenu des conséquences d’un tel comportement».

Le général a également accusé la Turquie d’acquérir du pétrole et des objets du patrimoine culturel depuis les terroristes syriens à des prix extrêmement bas en échange de son soutien militaire.

 En savoir plus : Etat des lieux à la frontière turco-syrienne

La Syrie «réclame à la communauté internationale de mettre une pression maximale sur la République turque pour les forcer à renoncer de soutenir, directement et indirectement, le terrorisme international», a déclaré le militaire. Selon lui, les véhicules circulent librement entre la Turquie et les territoires sous contrôle des terroristes, alors que le gouvernement syrien n’est pas pour le moment capable de contrôler ces parties de la frontière.

En savoir plus : Avec Erdogan, en route vers la Troisieme Guerre mondiale ?

Due à un «manque de responsabilité de la part des autorités turques», cette «porosité des frontières permet aux terroristes de pénétrer sans aucun obstacle dans les pays d’Europe et d’y organiser ses crimes odieux», a conclu Ali Mayhoub.

 

COP21 ou bonnet blanc, blanc bonnet pour le réchauffement climatique?

Poutine, se chargera très sûrement de faire dériver le débat sur l'essentiel, c'est-à-dire, sur la manière d'exterminer le terrorisme, et notamment pour faire cesser son financement !

Nous serions curieux de connaître qui sont les 40 pays y compris adhérant au G20 qui financent et s'enrichissent à partir du terrorisme institutionnalisé !

Voir les véritables objectifs visés par la COP21 sous couvert d'agir contre l'escroquerie du réchauffement climatique.

 

COP21 ou bonnet blanc, blanc bonnet pour le réchauffement climatique?

COP 21 ou bonnet blanc, blanc bonnet pour le réchauffement climatique?

La somptueuse conférence sur le climat à Paris, la COP21, ouvre demain ses portes. Le sort de notre planète est censé se jouer du 29 novembre au 11 décembre 2015.

Cependant, vu les derniers évènements observés sur la scène internationale, le sommet auquel participent des dirigeants de tous les coins du monde court de grands risques de se transformer, entre autres, en séance de négociations sur les enjeux de la lutte antiterroriste, le règlement du conflit syrien et les conséquences entraînées par l'incident de l'avion russe abattu par la Turquie.

Mais revenons à nos moutons: où en est le climat? Il n'a pas bougé, ne paniquons pas. Ban Ki-moon, secrétaire général de l'Onu, l'a confirmé, tout en précisant que, pour le 25 novembre, 166 pays, collectivement responsables de plus de 90 % des rejets de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ont déposé leur plan national de lutte contre les changements climatiques. 

Le but principal de cette démarche est bien clair: réduire les émissions mondiales de manière à maintenir la hausse des températures en dessous de la barre des 2 degrés Celsius d’ici la fin du siècle.

Pourtant, la conférence sera une véritable épreuve non seulement pour les diplomates, mais également pour les entrepreneurs et pour les organisations non-gouvernementales. Les premiers devront apparemment faire adopter le document final à tous les pays participants, tandis que les seconds devront déployer des efforts non négligeables afin de réaliser ces projets hasardeux, lit-on dans le journal scientifique Nature.

Parallèlement, le journal Science propose quatre versions du déroulement des évènements suite à la COP 21, dont la plus positive prévoit la baisse annuelle des  rejets de gaz à effet de serre dans l'atmosphère de 5% d'ici l'année 2030. Le scénario le plus sombre dépeint le 21 siècle sans aucun nouvel effort visible pour réduire ces émissions.

Les chercheurs ont notamment souligné qu'afin que soit maintenue la hausse des températures en dessous de 2 degrés Celsius d’ici la fin du siècle, les émissions de gaz à effet de serre devraient atteindre la barre de zéro, ce qui serait quasiment impossible.
 
 

COP 21, projet de réduction massive de la population mondiale (Vidéos)

Voir aussi :

COP 21, projet de réduction massive de la population mondiale

Habitants du Népal

La COP 21 n'est pas un bien absolu. Le mouvement "Solidarité et progrès" est le seul à dénoncer la conférence sur le climat, sur laquelle les autorités françaises misent beaucoup.

Nous avons demandé à Christine Bierre de nous expliquer en quoi les négociations pourraient conduire à des conséquences néfastes et dangereuses.

La COP 21 n'a pas tellement pour objectif la protection de la planète, mais un "plongeon massif de la population actuelle de sept milliards à un milliard seulement", parce que " l'économie fondée sur les énergies renouvelables ne pourra accueillir qu'un milliard d'individus sur la Terre". Christine Bierre témoigne: "On dit, par exemple que s'il y a des changements climatiques, c'est à cause du travail de l'homme et non pas des cycles galactiques, des cycles solaires, des cycles terrestres qui ont toujours été à l'origine des changements climatiques. Si cette théorie est vraie, cela veut dire qu'il faut réduire la production de l'homme. On propose alors de sortir des énergies fossiles et du nucléaire pour aller, d'ici 2050, vers les énergies renouvelables. Mais ces énergies renouvelables produisent beaucoup moins que les énergies fossiles et le nucléaire. Si on va vers une économie qui est fondée sur les énergies renouvelables, cette économie-là ne pourrait soutenir et accueillir qu'environ un milliard d'individus sur la planète. Or, aujourd'hui, nous sommes sept milliards et nous allons vers beaucoup plus."


La terrible idée de réduire la population de la Terre a été ouvertement proclamée par le prince Philip d'Edimbourg et l'un de ses plus proches collaborateurs, Martin Palmer, secrétaire général de l'ARC (Alliance pour la religion et la conservation) qui est parmi les quatre organisateurs du sommet de la Conscience qui vient d'avoir lieu à Paris, les 20-21 juillet. En 1987, il a écrit un livre intitulé "Si j'étais un animal", dans lequel il dit que s'il était un animal, il aurait souhaité d'être réincarné en un virus mortel pour réduire la population "afin de contribuer de quelque manière à résoudre le problème de la surpopulation". Précédemment, en 1981, dans une interview à People Magazine, il s'est opposé au programme des Nations unies sur la lutte contre le paludisme au Sri Lanka parce que celui-ci avait abouti à doubler la population en 20 ans. Et il a dit: "Nous n'avons pas de choix, si la croissance démographique n'est pas limitée de façon volontaire, elle le sera involontairement par l'expansion des maladies, de la famine et de la guerre" se rappelle Christine Bierre.

Cette idéologie cible principalement les pays des BRICS et les pays émergents, continue-elle. "Lors du sommet de Copenhague, en 2009, l'Inde, la Chine et d'autres pays émergents avaient complètement refusé d'adopter les règles censées lutter contre le réchauffement climatique. Ils avaient dit que, pour eux, ce qui passait, d'abord, c'était le développement des populations". Or, les Etats-Unis, un des plus grands pollueurs au monde, ne sont pas du tout menacés: "Lorsqu'on est à la tête du monde, on n'est pas obligé de suivre ses propres lois."Or, les changements climatiques ont toujours eu lieu. En fait, la température a commencé à augmenter en 1695, précise Christine Bierre, parce que le soleil a eu une activité magnétique beaucoup plus importante. "Entre 1695 et aujourd'hui, il y a eu une augmentation de température d'à peu près un degré. Ce n'est pas énorme. Entre temps, l'activité humaine s'est développée massivement. Depuis 2000 il y a plutôt une tendance à la baisse, un petit refroidissement qui a eu lieu entre 1940 et 1970 ". Cela veut dire qu'il faut étudier beaucoup plus les causes des changements de température sur notre planète (mouvements galactiques, activité solaire et autre) qui ne sont pas du tout l'effet de l'activité humaine.

 L'avenir de la population mondiale n'est pas terne aux yeux de Christine Bierre qui reste optimiste: "Je pense que, pour toutes ces raisons, il est extrêmement important de dénoncer ce qui se passe. Si les ressources naturelles sont limitées, la capacité de l'homme ne l'est pas, ainsi que sa créativité, sa faculté de découvrir de nouvelles ressources, de nouvelles technologies qui ont toujours permis à l'homme de passer d'une population moindre à une intensité de population plus grande, à sept milliards et plus aujourd'hui".

Le plan des élites pour la dépopulation mondiale