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23/10/2014

Vidéo. RSI. Régime social des indépendants : bienvenue en enfer ! A qui profite le RSI ?

A des entreprises privées, soi-disant missionnées par l'Etat, y compris en ce qui concerne l'URSSAF  !

Sauf que comme ce sont des entreprises privées, il faut qu'elles rapportent la preuve de la signature d'un contrat entre les deux parties et non pas qu'elles procèdent par la voie du régime obligatoire imposé aux indépendants !

Conclusions : si vous êtes dans ce cas, demandez leur la copie des contrats que vous auriez signés avec eux.

Matraqués par les taxes et les cotisations, ils sont artisans, commerçants, professions libérales. Ils représentent « la première entreprise de France ».

Les TPE, les Très Petites Entreprises comme on les appelle également (de 1 et 20 salariés), se disent matraquées par les cotisations sociales qu’un système qui semble « obligatoire » leur impose. Chaque jour, des centaines de milliers de travailleurs non-salariés subissent les agissements et dysfonctionnements du RSI.

Un régime « inventé » en 2005 pour disait-on, simplifier la vie des professions libérales. La plupart de ceux que nous avons rencontrés « survivent » en raison des charges qu’ils doivent payer. Régulièrement, ils manifestent leur mécontentement dans les rues, autour des ronds-points, devant les caisses régionales du RSI et devant les bâtiments de l’URSSAF… dans l’indifférence générale. À qui profite réellement le RSI ?

Régime social des indépendants bienvenue en enfer !

 

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Regime-social-des-i...

 

 

Canada : Fusillade à Ottawa: trois morts dont deux tireurs (médias)

 

Il y en a qui commencent à disjoncter contre les pouvoirs en place apparemment ! Ou on alimente la peur des citoyens pour les paralyser !

 
20:39 22/10/2014
WASHINGTON, 22 octobre - RIA Novosti

Plusieurs dizaines de coups de feu ont été tirés mercredi au centre de la ville canadienne d'Ottawa, faisant trois morts dont deux tireurs, rapportent les médias internationaux.

Fusillade d'Ottawa: le parlement encerclé par la police

Selon la police locale, trois fusillades différentes ont eu lieu: au Monument aux morts (cénotaphe), à l'hôtel du parlement et près du Centre d'achat Rideau. 

Selon le New York Times, un homme armé a tué un soldat qui montait la garde au cénotaphe, avant de pénétrer dans l'enceinte du parlement. Le premier ministre canadien Stephen Harper a été évacué.

Un parlementaire canadien, Bernard Trottier, a plus tard annoncé sur Twitter qu'un tireur a été tué par la police à l'intérieur du parlement.
Selon le Globe&Mail, un second homme armé aurait été tué peu de temps après.

La police parle de plusieurs attaquants. Les habitants du centre d'Ottawa ont reçu l'ordre de se confiner dans les bâtiments.

 

02:30 Publié dans Actualité, politique ou géopolitique, Economie, International | Lien permanent | |  del.icio.us | |  Imprimer | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

France : Comment destituer le président de la République (en trois étapes)

Une occasion en or pour demander la destitution de Hollande ?

Comment destituer le président de la République (en trois étapes)

Le Sénat a adopté, le 21 octobre 2014, les nouvelles modalités de destitution du président de la République.

Par Francetv info avec AFP

Mis à jour le 22/10/2014 | 08:56 , publié le 22/10/2014 | 08:56

Sept ans après la réforme constitutionnelle de 2007, le Parlement a finalement adopté, mardi 21 octobre, un texte encadrant le processus de destitution du président de la République.

Voté au Sénat par 324 voix pour et 18 contre, le texte doit désormais être soumis au Conseil constitutionnel avant d'être promulgué. Que prévoit-il ? Comment le président peut-il être destitué ? Francetv info résume la procédure.

1 Le président de la République manque à ses devoirs

Le chef de l'Etat bénéficie toujours d'une forme d'immunité : il n'est pas responsable des actes accomplis en sa qualité de président de la République, explique l'article 67 de la Constitution. Il ne peut pas non plus être forcé à témoigner ou faire l'objet d'une action judiciaire durant son mandat.

Mais la réforme constitutionnelle prévoit désormais la destitution du chef de l'Etat, "en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat".

2 Députés et sénateurs se réunissent en Haute Cour

Ce sont les parlementaires, députés et sénateurs, réunis en Haute Cour, qui peuvent destituer le président de la République. Cette instance est présidée par le président de l'Assemblée nationale.

Pour lancer une procédure de destitution, un dixième des députés ou des sénateurs doivent d'abord signer une proposition de réunion de la Haute Cour, en expliquant en quoi le président a manqué à ses devoirs. Un parlementaire ne peut signer qu'une seule proposition de ce type au cours d'un même mandat présidentiel.

Puis l'Assemblée nationale ou le Sénat doit ensuite approuver à la majorité des deux tiers cette réunion de la Haute Cour. La proposition est ensuite immédiatement transmise à l'autre chambre du Parlement. Elle doit se prononcer dans les quinze jours : si elle rejette la proposition, la procédure s'arrête.

3 Les parlementaires débattent puis votent

Une fois la Haute Cour réunie, une commission est mise en place, composée de six vice-présidents de l'Assemblée et de six vice-présidents du Sénat, chargée d'élaborer un rapport sur la possible destitution du chef de l'Etat. A sa demande, l'intéressé peut être entendu et se faire assister par toute personne de son choix, ou se faire représenter.

Après 48 heures maximum de débats, auxquels seuls le président et le Premier ministre peuvent participer, les membres de la Haute Cour doivent statuer sur la destitution, à la majorité des deux tiers. Leur décision prend effet immédiatement.