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31/08/2014

Israël veut s'approprier 400 hectares de terres en Cisjordanie

Encore une provocation de l'état sioniste reptilien à l'égard de la Cisjordanie ! Avec ça, ils veulent assurer la paix et la sécurité aux Juifs d'Israël !

C'est certainement en allant provoquer ses voisins arabes et tous les pays limitrophes pour fabriquer le Grand Israël que les sionistes reptiliens veulent la paix !

Les Juifs qu'ils exhortent à faire leur Alayha  en Israël ne leur servent que de boucliers humains pour atteindre leurs objectifs macabres !

Quand les Juifs comprendront-ils  qu'il faut qu'ils se protègent du Sionisme ?

Après cet autre crime de violation des terres et de colonisation forcée, c'est bien sûr la Russie que l'UE et les US/Sionistes iront sanctionner !

Par: rédaction
31/08/14 - 11h57  Source: Belga

© belga. Le reptilien criminel de l'état sioniste

Israël a l'intention de s'approprier 400 hectares de terres situées en Cisjordanie occupée, dans le secteur de Bethléem, a indiqué dimanche l'armée.

Il s'agit d'une décision "sans précédent" par son ampleur depuis les années 1980, s'est alarmée l'organisation anticolonisation "La Paix maintenant". Les autorités ont annoncé le lancement de la procédure déclarant propriété de l'Etat israélien ces 400 hectares proches de la colonie de Gva'ot, a dit l'armée.

Elle n'a pas fourni de justification à la décision prise par "les instances politiques" et précisé que les parties concernées avaient 45 jours pour faire appel. "La Paix maintenant" considère cette déclaration comme "la preuve que le Premier ministre (Benjamin) Netanyahu (...) continue à dresser les obstacles devant la vision de deux Etats (israélien et palestinien) et de promouvoir une solution avec un seul Etat".

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2022...

 

 

La Ménorah ou Chandelier à 7 branches. Les Sept Branches de la Menorah et leurs véritables significations

Voici comment les cabalistes sionistes reptiliens se sont accaparé les symboles sacrés cosmiques pour manipuler les hommes par la KABALE ou la connaissance occultée aux humains !

Le chandelier à 7 branches, représente l'homme Universel, illuminé, connecté à ses sources cosmiques et Divines, créature Divine, avec ses 7 centres énergétiques ou Chakras qui les relient à "l'arche d'alliance" (les 7 couleurs de l'arc-en-ciel) dont chaque couleur est reliée à un Maître ascensionné des rayons de la Lumière ou aux Hiérarchies Angéliques). 

 L'Homme UNI-VERSEL

 
Les Illuminati ont repris à leur compte tous ces symboles qui relèvent de la géométrie sacrée UNIVERSELLE à leur propre compte notamment sur leurs logos et dans leurs rituels occultes.
 
Le chandelier à 7 banches renversé symbolise, l'homme mis dans les ténèbres placé dans la totale ignorance de ses véritables origines et coupé de ses sources énergétiques, cosmiques et Divines, devenant ainsi l'esclave des religions et des Illuminati.
 
Ainsi l'étoile de David, l'emblème de l'état sioniste et du Judaïsme, représente le MERBAKA ou l'homme associé à son Vaisseau de Lumière qui lui permet d'être connecté naturellement à son corps Christique et à ses énergies cosmiques et Divines pour faire son ascension vers d'autres dimensions lumineuses.
 
Tout comme les chrétiens se sont accaparé le Symbole Universel de la Croix Universelle qui représente les 4 points cardinaux cosmiques avec le point central qui représente l'homme dans son incarnation.

A rapprocher de :

 
09 avr 07
 
Menorah

Par Spartakus FreeMann

Une méditation basée sur le Psaume 67. Le Judaïsme se refuse à toute idolâtrie et à tout ce qui pourrait mener à l’idolâtrie. Dans le respect de l’unité divine, l’adoration d’idoles ou de supports pouvant mener à l’idolâtrie est ainsi interdite. Cependant, la tradition kabbalistique offre la possibilité de travailler la méditation au travers de certains supports, de constructions ésotériques offrant un matériel pour la méditation.

Une de ces constructions est celle que l’on retrouve dans certains livres de prières et qui présente le Psaume 67 sous la forme d’une Ménorah avec ses Sept branches. Les Kabbalistes soutiennent que la vision et la contemplation de ce dessin permet de mettre l’esprit et l’âme dans les bonnes conditions à une méditation et à une prière efficace. Rabbi Nosson nous dit au sujet de la Ménorah : « La Ménorah est Une car la diversité de l’existence est Une. Ceci est l’essence de la vérité qui est Une. Tout comme la Ménorah se tient dans le Sanctuaire du Temple (le corps humain ou le Temple de Dieu) ainsi est-elle au début de la Shasharith (prière du service du matin) sous la forme des Sept versets du Psaume 67 ».

Le premier verset correspond à la Sephirah Hessed et le dernier verset à Malkhuth. Ce rapport entre les Sephiroth et les branches de la Ménorah indique le mystère dont nous parle le Tikouneï Zohar (Patach Eliyahu) : « Maître de l’Univers… Nul ne peut Te connaître en totalité ! Sans Toi, il n’y a pas d’unité dans les royaumes supérieurs et inférieurs, et Tu es connu comme la Cause de Tout et Maître de Tout. Chaque Sephirah a un Nom distinct, et par celui-ci les anges sont appelés de même. Toi, cependant, ne possède aucun Nom connaissable, car Tu est la source de Tous les Noms et Tu es la perfection de Tous les Noms. Lorsque Tu te retires d’eux, tous les Noms sont tels des corps sans âmes. Tu es sage, mais dépourvu de tout attribut de sagesse (Hokhmah); Tu es compréhension mais sans attribut connaissable de la compréhension (Binah) ». Le Tikouneï Zohar continue en énumérant toutes les Sephiroth et concluant que leur multiplicité est seulement apparente du point de vue de la Création – mais, en vérité, Dieu est la Source et es enclos dans les Sephiroth et en même temps il transcende totalement les Sephiroth.

En méditant sur la Ménorah et le Psaume 67, nous devons conserver cette vérité vivante en notre coeur. Ce paradoxe apparent d’unité sublimant la multiplicité est une expérience unique qui nous permet d’appréhender l’unité divine. La Kavanah (intention). La pratique de base consiste en une lecture simple des sept versets du Psaume 67 sous la forme de la Ménorah, tout en contemplant la signification des différentes branches selon le point de vue exprimé ci-dessus. L’on doit regarder les mots et les lire lentement. On peut lire les versets à forte voix ou en silence.

On commence la lecture par les mots « Elohim yechanenu… » et l’on continue la lecture des sept versets qui sont arrangés sous la forme des sept branches de la Ménorah qui correspondent aux sept Sephiroth inférieures et aux sept jours de la création (ci-dessous nous montrons le parallèle entre chaque verset et la Sephirah correspondante). Il faut garder à l’esprit cette correspondance lors de la lecture du Psaume ou alors contempler le diagramme lors de la lecture/récitation du Psaume. Ensemble les sept versets représentent la perception de l’unité dans la multiplicité qu’irradie la Ménorah du Temple vers le monde extérieur. Ainsi, le Psaume 67 parle de l’illumination divine s’étendant à tout Israël et d’Israël à toute l’humanité. Lorsque nous récitons ce Psaume, il est bon de prier en silence que cette lumière soit à nouveau révélée, repoussant les Ténèbres extérieures.

Le Psaume 67.

Au chef de choeur : psaume à chanter avec accompagnement d’instruments à cordes.

HESSED

1 Que Dieu nous fasse grâce ! Qu’il nous bénisse ! Qu’il nous regarde avec bonté

GEBOURAH

2 Afin que sur la terre on reconnaisse comment tu interviens,et que dans toutes les nations on voie comment tu sauves !

TIPHERETH

3 Que les peuples te louent, ô Dieu,que tous les peuples t’adressent leurs louanges !

NETZACH

4 Que les nations jubilent et qu’elles chantent dans l’allégresse, car c’est avec justice que tu juges le monde,et c’est avec droiture que tu juges les peuples.

HOD

5 Que les peuples te louent, ô Dieu,que tous les peuples t’adressent leurs louanges !

YESSOD

6 La terre a produit sa récolte, Dieu, notre Dieu, nous a bénis.

MALKHUTH

7 Oui, que Dieu nous bénisse et qu’il soit révéré jusqu’aux confins du monde !

תהילים פרק סז

א לַמְנַצֵּחַ בִּנְגִינֹת, מִזְמוֹר שִׁיר.

ב אֱלֹהִים, יְחָנֵּנוּ וִיבָרְכֵנוּ; יָאֵר פָּנָיו אִתָּנוּ סֶלָה.

ג לָדַעַת בָּאָרֶץ דַּרְכֶּךָ; בְּכָל-גּוֹיִם, יְשׁוּעָתֶךָ.

ד יוֹדוּךָ עַמִּים אֱלֹהִים: יוֹדוּךָ, עַמִּים כֻּלָּם.

ה יִשְׂמְחוּ וִירַנְּנוּ, לְאֻמִּים:

כִּי-תִשְׁפֹּט עַמִּים מִישֹׁר; וּלְאֻמִּים, בָּאָרֶץ תַּנְחֵם סֶלָה.

ו יוֹדוּךָ עַמִּים אֱלֹהִים: יוֹדוּךָ, עַמִּים כֻּלָּם.

ז אֶרֶץ, נָתְנָה יְבוּלָהּ; יְבָרְכֵנוּ, אֱלֹהִים אֱלֹהֵינוּ.

ח יְבָרְכֵנוּ אֱלֹהִים; וְיִירְאוּ אוֹתוֹ, כָּל-אַפְסֵי-אָרֶץ.

La croix cosmique par Omraam

Quand les religions se sont accaparé les symboles universels et cosmiques pour leur propre compte !

Ici, il est question de la croix pour les Chrétiens.

La croix cosmique par Omraam

Porté à votre conscience par Arcturius,
le 28 mai 2014

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Les chrétiens ont fait de la croix le symbole de leur religion. Quand on voit quelqu’un porter au cou une petite chaîne d’or ou d’argent avec une croix, on sait tout de suite qu’il est chrétien. En portant cette croix, il pense affirmer sa foi et s’assurer la protection du Ciel, puisque Jésus est mort sur la croix pour le salut des hommes. Malheureusement, non, il ne suffit pas d’une croix pour préserver les humains de la faiblesse et du péché. La croix de Jésus ne peut rien pour celui qui n’a déjà pris la décision de suivre le chemin qu’il a tracé, et qui n’a pas appris à porter la croix en pratiquant les vertus chrétiennes. On raconte toutes sortes d’histoires au sujet de croix qui auraient mis des diables en fuite. Figurez-vous !

C’est seulement dans les légendes que la croix chasse les démons. Le diable ne se gêne même pas pour entrer dans les églises, oui, et même celles où les plus belles croix d’or et de pierres précieuses sont présentées à la vue de tous ; ce ne sont pas des croix qui vont l’arrêter. Et, au cours de l’histoire, combien de curés, d’évêques, de cardinaux et même de papes qui promenaient des croix devant les fidèles, trinquaient en réalité avec tous les diables.

Dans l’esprit des chrétiens, la croix est tellement liée à leur religion, et surtout à la mort de Jésus, qu’ils ont fini par oublier l’étendue et l’universalité de ce symbole. Par exemple, quand j’étais au Québec, on m’a raconté que la croix était, bien avant l’implantation du christianisme, un symbole très répandu parmi le sindiens. Quand les missionnaires sont arrivés, ils n’ont pas accepté que des peuples qu’ils considéraient comme des païens, ou même des sauvages, vénèrent une croix qui, évidemment, n’avait pas la même signification que dans le christianisme, et ils ont persécuté ces malheureux Indiens jusqu’à ce qu’ils renoncent à leur croix. Quelle ignorance, quelle étroitesse de vues.

Schématiquement, la croix représente donc deux forces, deux directions opposées qui se rencontrent pour produire l’union des deux principes masculin (la ligne verticale) et féminin (la ligne horizontale). Avant toute chose, la croix est un symbole de l’union de deux principes, et c’est pourquoi elle est un symbole universel que l’on trouve dans les plus anciennes civilisations et religions ; en Mésopotamie, en Egypte, en Chine, en Inde, etc. où ce symbole est-il né ? Qui l’a inventé ? Personne ne l’a inventé, il existe déjà dans la nature. Regardez seulement les mouvements de l’eau et du feu : l’eau qui coule glisse et se répand en suivant le plan horizontal ; tandis que le feu s’élève et prend la direction verticale. Le feu, la ligne verticale, et l’eau, la ligne horizontale, sont une expression des deux principes masculin et féminin, positif et négatif. Et comprendre la croix, c’est donc savoir mettre en action le masculin et le féminin, le positif et le négatif. Vous direz : « Mais comment les mettre en action ? Et est-ce si important » ? Aussi important que de savoir comment utiliser l’eau et le feu. Réfléchissez à tout ce que l’on peut faire en sachant se servir de l’eau et du feu. Imaginez que vous ne sachiez pas ; de combien de possibilités vous seriez privé. Vous ne pourriez même pas faire votre café le matin.

La croix représente donc les deux principes masculin et féminin qui se rencontrent pour travailler ensemble dans l’univers, mais aussi dans l’être humain lui-même. Le travail se fait à partir d’un centre ; le point d’intersection des deux branches de la croix. Ce centre réunit les forces, il les tient liées ; sans lui tout s’éparpillerait dès que la croix commencerait à tourner. Car la croix tourne ; en tournant ses branches tracent un cercle, et le cercle, symboliquement, représente le soleil. Plus le mouvement est intense, plus le soleil devient lumineux. Le soleil réunit les deux principes, il est la croix en mouvement.

C’est l’union des deux principes qui crée le mouvement. Et justement, qu’est-ce qu’une roue ? Une croix en mouvement. La croix formée d’une verticale et d’une horizontale est statique, et celle formée de deux obliques est une croix en mouvement. La première lettre de l’alphabet hébraïque Aleph est donc une représentation de la croix en activité ; les branches inclinées indiquent que l’équilibre est rompu pour permettre l’action. Aleph, « le premier né de Dieu », c’est le Christ qui est sans cesse en activité dans l’univers. Et la croix, qui est aussi Aleph, est donc elle-même liée à l’idée de cette activité. C’est pourquoi quand Jésus disait : « Mon Père travaille, et moi aussi je travaille avec lui », il voulait souligner que son activité, comme l’activité du Créateur, ne cesse jamais.

Nous avons l’habitude de définir l’espace par les quatre points cardinaux. Or, que sont les quatre points cardinaux sinon une croix ? Lorsqu’un Initié doit commencer un travail, il se tourne successivement chacune des quatre directions de l’espace ; il trace ainsi une croix pour indiquer que son esprit va entrer en activité. A chacun des points cardinaux préside un archange ; à l’est Mikhaël, à l’ouest Gabriel, au nord Ouriel, et au sud Raphaël. C’est parce que l’Initié comprend la croix vivante que toutes les entités lumineuses répondent à son appel et viennent participer à son travail. Ce rite de se tourner vers les quatre points cardinaux s’est perpétué dans la religion chrétienne sous la forme du « signe de la croix ». Lorsque le chrétien, portant sa main droite successivement au front, au plexus solaire, à l’épaule gauche et à l’épaule droite (ou l’inverse : à l’épaule droite puis à l’épaule gauche), prononce : « Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Amen », il entre en contact avec les quatre directions de l’espace. L’espace est la matière sur laquelle il doit travailler par sa pensée, par son amour.

Car qu’est-ce que la matière sinon les quatre éléments (la terre, l’eau, l’air et le feu) sur lesquels notre esprit doit exercer son activité ? Si on étudie le Zodiaque, qui est une représentation de l’espace, on constate que les 12 constellations se répartissent sur trois croix. Ce sont les axes Bélier-Balance et Cancer-Capricorne ; Lion-Verseau et Scorpion-Taureau ; Sagittaire- Gémeaux et Poissons-Vierge. Et sur chacune de ces croix on retrouve les autres éléments.

 

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Prenons la première de ces croix : Bélier-Balance et Cancer-Capricorne. L’axe Bélier (signe de feu) – Balance (signe d’air) représente le principe masculin, alors que l’axe Cancer (signe d’eau) – Capricorne (signe de terre) représente le principe féminin. Il en est de même pour les deux autres croix formées des axes Lion (feu) – Verseau (air) et Scorpion (eau) – Taureau (terre) ; Sagittaire (feu – Gémeaux (air) et Poissons (eau) – Vierge (terre).

Quant à l’Arbre séphirotique, l’Arbre de la Vie, qui est une autre représentation de l’univers, sa structure peut elle aussi être assimilée à celle d’une croix.

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L’univers entier, le macrocosme, est une croix. Et l’homme, quand il étend ses bras, est aussi une croix, car il représente le microcosme dans le macrocosme. La croix cosmique est formée de deux branches égales, mais on trouve de nombreuses variantes. La branche verticale peut être plus longue, ce qui signifie que l’élément masculin est plus développé que l’élément féminin.

Quant à la barre horizontale, elle peut être aussi double ou trique. Mais il est intéressant de noter qu’on ne trouve jamais une double ligne verticale parce que seule la matière, le principe féminin, est multiple ; l’esprit, le principe masculin, symbolisé par la verticalité, est toujours Un.

 

Omraam

 

http://herosdelaterre.blogspot.fr/

© 2014, Recherche et transmission par Michel / Arcturius.
Partager en toute liberté en citant la source et Les Chroniques d’Arcturius

http://www.arcturius.org/chroniques/la-croix-cosmique-par-omraam/

 

Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles Illuminati/Sionistes (partie 1)

Voici les "ENNEMIS DE L'HUMANITE", les 8 familles de banksters Illuminati/Sionistes/Reptiliens/Satanistes qui gouvernent dans l'ombre, le monde et qui depuis plus de 100 ans escroquent les populations mondiales, fabriquent et financent leurs armées privées et les groupements terroristes pour orchestrer savamment les guerres génocidaires pour s'accaparer la totalité des ressources énergétiques terrestres et pas seulement, ils ont la main sur les banques privées, du complexe industrialo-militaire, des médias aux ordres, du système de santé, de l'énergie, pétrole, gaz, des OGMS, des laboratoires pharmaceutiques, des politiques Pions/VRP, de l'ONU, de l'OTAN, de l'OMS, des Banques Mondiales, ainsi que tous les organismes satellitaires qui gravirent autour de l'ONU, leur premier gouvernement mondial qui gère 193 pays ayant adhéré à leurs statuts, etc....

Leur survie ne peut se poursuivre qu'à la condition de maintenir le Dollar comme monnaie d'échange dans le monde entier. Ainsi Poutine et les pays qui ont créé les BRICS représentent un danger et sont des ennemis potentiels pour les adeptes de la secte du Dollar !

Remarquez sur le logo de la FED, le chandelier à 7 branches à l'envers qui est un symbole dit juif, et qui est censé représenter les 13 familles sionistes/reptiliens dans l'idéologie des Illuminati qui gouvernent le monde. Il peut représenter la Ménorah ou Chandelier à 7 branches mis à l'envers.

Le chandelier à 7 branches, représente l'homme Universel, illuminé, connecté à ses sources cosmiques et Divines, créature Divine, avec ses 7 centres énergétiques ou Chakras qui les relient à "l'arche d'alliance" (les 7 couleurs de l'arc-en-ciel) dont chaque couleur est reliée à un Maître ascensionné des rayons de la Lumière et/ ou reliés aux Hiérarchies Angéliques).

Le chandelier à 7 banches renversé symbolise, l'homme mis dans les ténèbres placé dans la totale ignorance de ses véritables origines et coupé de ses sources énergétiques, cosmiques et Divines, devenant ainsi l'esclave des religions et des Illuminati.

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Par Dean Henderson

Les quatre cavaliers [1] du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes [2] européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la commission des cotations boursières, le « shérif » de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500 [3].

Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des « top 25 » compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur la liberté de l’information, qui aux États-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de « sécurité nationale ». Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley [4].

J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80 % de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la Réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux États-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn-Loeb de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que dix banques contrôlent les douze branches de la Réserve fédérale. Il nomme N. M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehman Brothers de New York, Lazard Frères de Paris, la banque Kuhn-Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf cite également William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la Réserve fédérale [5]. Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn-Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.

Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre Les Secrets de la réserve fédérale, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres [6]. Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une « théorie du complot ». Pourtant, les faits demeurent.

La maison Morgan

La banque de la Réserve fédérale est née en 1913, l’année où mourut J. Pierpont Morgan et où la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi Banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschild. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la supposition que les Morgan n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds « préféraient opérer de manière anonyme aux États-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co [7] ». L’écrivain Gabriel Kolko écrivit : « Les activités des Morgan en 1895-96 de vente des bons du trésor-or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild [8]. »

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan & Cie depuis Paris. Les cousins Lambert des Rothschild montèrent Drexel & Cie à Philadelphie.

La maison des Morgan étaient impliquée avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernement provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschild [9].

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame : « Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque. » J. Pierpont Morgan, qui déclara un jour « la compétition est un pêché », se réjouissait maintenant : « Pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition à l’ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes [10]. » Morgan et le banquier de Kuhn, Loeb Edward Harriman obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefeller pour contrôler la base industrielle états-unienne [11].

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la Banque de réserve fédérale de New York. La création de la Réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT : traduction la plus proche pour « US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gages.

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuhn-Loeb, Warburg, Lehman, Lazards, Israël Moses Seif et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1 200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, dit qu’il était alors impossible de séparer les intérêts des Rockefeller et des Morgan [12].

La méfiance du public envers l’alliance se propagea. Beaucoup les considéraient comme des traitres à travailler avec le vieux système financier européen. La Standard Oil de Rockefeller, les aciers américains de Andrew Carnegie et les chemins de fer de Edward Harriman étaient tous financés par le banquier Jacob Schiff de Kuhn-Loeb, qui lui travaillait en relations étroites avec les Rothschild d’Europe.

Plusieurs États de l’ouest des États-Unis bannirent les banquiers. Le populiste William Jennings Bryan fut trois fois le candidat présidentiel démocrate de 1896 à 1908. Le thème central de sa campagne anti-impérialiste fut de dire aux citoyens que les États-Unis étaient en train de tomber dans le piège de « l’esclavage financier au capital britannique ». Teddy Roosevelt battit Bryan en 1908, mais fut forcé à la suite de ce feu de brousse anti-impérialiste de faire passer le décret antitrust. Il s’attaqua ensuite au trust de la la Standard Oil.

En 1912 eurent lieu les auditions Pujo, qui s’occupèrent des concentrations de pouvoir à Wall Street. La même année, Mme Harriman vendit ses parts substantielles de la banque du New York Guaranty Trust à JP Morgan, créant ainsi Morgan Guaranty Trust. Le juge Louis Brandeis convainquit le président Woodrow Wilson de terminer les situations d’inter-relations de comités directeurs. La loi anti-trust Clayton fut passée en 1914.

Jack Morgan, le fils et successeur de J. Piermont, répliqua en demandant aux clients de Morgan Remington et Winchester d’augmenter la production d’armement. Il décida que les États-Unis devaient entrer dans la Première Guerre mondiale. Pressé par la fondation Carnegie et d’autres instances de l’oligarchie, Wilson céda. Comme Charles Tansill écrivit dans L’Amérique s’en va en guerre : « Même bien avant que la poudre ne parle, la firme française des frères Rothschild câbla à Morgan and co à New York, suggérant le flottement d’un prêt de 100 millions de dollars, dont une partie substantielle serait laissée aux États-Unis pour payer les dépenses françaises pour des achats de produits américains. »

La maison Morgan finança la moitié de l’effort de guerre américain, tout en recevant des commissions pour avoir introduit des sous-traitants comme General Electric, DuPont, les aciers Américain, Kennecott et ASARCO. Tous étaient des clients de Morgan. Morgan finança également la guerre des Boers britannique en Afrique du Sud et la guerre franco-prussienne. La conférence de la Paix de Paris en 1919 fut présidée par Morgan, qui mena les efforts de reconstruction à la fois de l’Allemagne et des alliés [13].

Dans les années 1930, le populisme refit surface après que Goldman Sachs, Lehman et autres banques eurent profité du crash de 1929 [14]. Le président du comité bancaire du parlement américain Luois McFadden (démocrate-New York) dit de la grande dépression : « Ce ne fut pas un accident. Ce fut planifié… Les banquiers internationaux pensèrent à créer une situation de désespoir afin de pouvoir en émerger comme nos dirigeants absolus. »

Le sénateur Gerald Nye (démocrate-Dakota du Nord) présida une enquête sur les munitions en 1936. Nye conclua que la maison Morgan précipita les États-Unis dans la Première Guerre mondiale pour protéger des emprunts et pour créer un essor de l’industrie de l’armement. Nye produisit plus tard un document dont le titre était « La Prochaine Guerre », qui se référait cyniquement au « truc de le vielle déesse démocratie », par lequel le Japon pourrait-être dupé dans une seconde guerre mondiale. En 1937, le secrétaire à l’Intérieur Harold Ickes, mit en garde contre « l’influence des soixante familles américaines ». L’historien Ferdinand Lundberg, plus tard, écrivit un livre ayant le même titre. Le juge de la cour suprême de justice William O. Douglas décria « l’influence de Morgan… la plus pernicieuse dans la finance et l’industrie aujourd’hui ».

Jack Morgan répondit en rapprochant les États-Unis de la Seconde Guerre mondiale. Morgan avait des relations très étroites avec les familles Iwasaki et Dan, les clans les plus riches du Japon, qui possédaient Mitsubishi et Mitsui respectivement, depuis que ces deux compagnies émergèrent des shogunats du XVIIème siècle. Quand le Japon envahit la Manchourie et massacra les paysans de Nankin, Morgan minimisa l’incident. Morgan avait aussi d’étroites relations avec le fasciste italien Benito Mussolini, tandis que le nazi allemand Dr. Hjalmer Schacht était la liaison entre la banque Morgan et l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale. Après la guerre, les représentants de Morgan rentrèrent Schacht à la Bank for International Settlements (BIS) à Bâle en Suisse [15].

La maison Rockefeller

La BIS est la banque la plus puissante du monde, une banque centrale globale pour les huit familles qui contrôlent les banques centrales de presque toutes les nations occidentales et des pays en voie de développement. Le premier président de la BIS fut le banquier de Rockefeller, Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la Réserve fédérale. McGarrah était le grand-père de l’ex-directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefeller, tout comme les Morgan, avaient des relations très étroites avec Londres. David Icke écrit dans Les Enfants de la matrice que les Rockefeller et les Morgan n’étaient que des « prête-noms » pour les Rothschild [16].

La BIS est une propriété de la Réserve fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, de la Banque du Canada, de la Banque de Suisse, de la Banque de Hollande, de la Banque fédérale allemande et de la Banque de France..

L’historien Carroll Quigley écrivit dans son épique livre Tragédie et espoir que la BIS faisait partie d’un plan, celui de « créer un système mondial de contrôle financier dans des mains privées et capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie du monde dans son entièreté… un contrôle s’exerçant de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert à travers des accords secrets ». Le gouvernement américain avait une méfiance historique à l’égard de la BIS, et fit pression sans succès pour qu’elle soit abandonnée en 1945 à la conférence de Bretton-Woods. Au contraire, la puissance des huit familles fut exacerbée avec la création par la conférence de Bretton-Woods du FMI et de la Banque mondiale. Le Banque fédérale américaine ne prit des parts à la BIS qu’en septembre 1994 [17].

La BIS détient au moins 10 % des fonds de réserve d’au moins 80 banques centrales au monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte les informations sur l’économie globale et sert de prêteur ou de dernier rempart pour éviter un effondrement financier global général. La BIS fait la promotion d’un agenda de fascisme monopolistique capitaliste. Elle donna un prêt de soudure à la Hongrie dans les années 1990 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle servit de canal de financement d’Adolf Hitler par les huit familles, emmenées par Henry Schroeder des Warburgs et la banque Mendelsohn d’Amsterdam. Un certain nombre de chercheurs supposent que la BIS est en fait le centre du blanchiment d’argent du trafic de drogue global [18].

Ce n’est pas une coïncidence si la BIS a son QG en Suisse, la cache financière préférée pour la richesse de l’aristocratie globale et quartier général de la loge franc-maçonne P2 italienne Alpina et Nazi International. D’autres institutions contrôlées par les huit familles : le Forum économique mondial (Davos, NdT), la Conférence monétaire internationale et l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Bretton Woods fut une aubaine pour les huit familles. Le FMI et la banque mondiale étaient centrales à ce « nouvel ordre mondial ». En 1944, les premiers bons de la Banque mondiale furent amenés par Morgan Stanley et la First Boston. La famille française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la maison Morgan. Lazard Frères, la banque d’investissement la plus importante de France, est la propriété de Lazard et des familles David-Weill, vieille tradition bancaire de Gênes représentée par Michelle Davive. Un directeur récent et PDG de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles spécialisée dans le système de négoce des sécurités Eurodollar. Ce fut la première aventure automatique. Certains appelèrent Euro-Clear « la bête ». Bruxelles sert de QG pour la nouvelle Banque centrale européenne (BCE) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour opérer la résurrection illégale de la vieille maison Morgan, 20 ans avant que la loi Glass-Steagal fut abandonnée. Morgan et les Rockefeller donnèrent l’apport financier de départ pour Merrill Lynch, la propulsant dans le top 5 des banques d’investissement américaines. Merrill Lynch est maintenant une partie de Bank of America.

John D. Rockefeller utilisa sa richesse du pétrole pour acquérir Equitable Trust, qui avait absorbé plusieurs grandes banques et entreprises dans les années 1920. La grande dépression de 1929 aida Rockefeller à consolider sa puissance. Sa banque Chase, fusionna avec la banque de Manhattan de Kuhn-Loeb pour former la banque Chase Manhattan, cimentant ainsi une relation familiale de longue durée. Les Kuhn-Loeb avaient financé, avec les Rothschild, la quête de Rockefeller pour devenir le roi du pétrole. La banque National City Bank de Cleveland donna des fonds à John D. Rockefeller, dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie pétrolière américaine. La banque fut identifiée dans une enquête du Congrès comme étant une des trois banques des Rothschild aux États-Unis dans les années 1870, quand John D. créa pour la première fois la Standard Oil dans l’État de l’Ohio [19].

Un des associés de Rockefeller dans la Standard Oil était Edward Harkness, dont la famille fut amenée à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlait Manufacturers Hanover Trust. Les deux banques ont fusionné sous l’ombrelle de JP Morgan Chase. Deux des filles Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Les deux familles contrôlent également une grosse part de Citigroup [20].

Dans les affaires des assurances, les Rockefellers contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New York Life. Les banques de Rockefeller contrôlent 25 % de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des États-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance aux États-Unis [21]. Les compagnies d’assurance, la première aux États-Unis fut créée par les franc-maçons, jouent un rôle important dans la donne de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Les entreprises sous contrôle des Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoran, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Mororola, Monsanto, Union Carbide et General Foods.

La fondation Rockefeller a des liens très étroits avec les fondations Carnegie et Ford. D’autres aventures philanthropiques de la famille incluent le fond des frères Rockefeller, Rockefeller Institute for Medical Research, General Foundation Board, Rockefeller University et l’université de Chicago, qui vomit régulièrement un flot continue d’économistes d’extrême droite, apologistes du capital international, incluant Milton Friedman.

La famille possède le 30 Rockefeller Plaza, où l’arbre de Noël national est allumé chaque année, et le Centre Rockefeller. David Rockefeller a contribué à la construction des tours du WTC. La maison de famille des Rockefeller est un complexe dans la partie bourgeoise de New York appelée Pocantico Hills. Ils possèdent également un duplex de 32 pièces sur la 5ème avenue à Manhattan, un manoir à Washington DC, le ranch Monte Sacro au Venezuela, des plantations de café en Équateur, plusieurs fermes au Brésil, une grande propriété à Seal Harbor, dans le Maine, et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaïï et à Porto Rico [22].

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvrit l’assassinat de Kennedy de la commission Warren et fit une alliance avec la confrérie des Frères musulmans pour créer des assassins conditionnés [23].

Son frère John Foster Dulles, fut président des trusts bidon de la Goldman Sachs avant l’effondrement de la bourse en 1929 et aida son frère à renverser des gouvernements au Guatemala et en Iran. Tous deux étaient membres de la société secrète Skull & Bones, du Conseil en relations étrangères (CFR) et franc-maçons au 33ème degré [24].

Les Rockefeller contribuèrent à former le club de Rome et son agenda de dépopulation, dans leur propriété familale de Bellagio en Italie. Leur propriété de Pocantico Hills donna naissance à la commission Trilatérale. La famille est une pourvoyeuse de fonds importante pour le mouvement eugéniste, qui accoucha d’Hitler, du clonage humain et de la forme courante d’obsession génétique sur l’ADN qui court dans les cercles scientifiques américains.

John Rockefeller Junior fut à la tête du conseil de la population jusqu’à sa mort [25]. Son fils du même nom est un sénateur élu pour la Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut lieutenant gouverneur d’Arkansas et demeure l’homme le plus puissant de cet état. Dans une interview avec le magazine Playboy en Octobre 1975, le Vice-président Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’État de New York, articula les vues globalistes et arrogantes de sa famille de cette façon : « Je crois absolument dans une planification mondiale totale de l’économie, des affaires sociales, de la politique, de l’armée… »

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la commission Trilatérale et président de la banque Chase Manhattan, David, qui propulsa l’agenda fasciste de la famille sur la scène globale. Il défendit le shah d’Iran, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud, et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il fut le plus grand financier du CFR, de la commission Trilatérale et (pendant la guerre du Vietnam) du Comité pour une paix effective et durable en Asie, une aventure affairiste pour ceux qui faisaient leur argent et vivaient du conflit.

Nixon lui proposa d’être son secrétaire au Trésor (ministre des Finances, NdT), mais Rockefeller déclina l’offre, sachant que sa puissance était bien supérieure en étant à la tête de la banque Chase Manhattan. L’écrivain Gary Allen écrivit dans son livre Le Dossier Rockefeller en 1973 : « David Rockefeller a rencontré 27 chefs d’état, incluant les dirigerants de la Chine et de l’URSS. »

En 1975, après Le coup de la Nugan Hand Bank et de la CIA contre le premier ministre australien Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha d’aller aux Etats-Unis où il rencontra Gerald Ford après avoir rencontré David Rockefeller [26].

Lire la deuxième partie de l’article ici

Source originale (en anglais) : globalresearch.ca.

Pour approfondir, avec Kontre Kulture :

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Notes

[1] L’expression « quatre cavaliers » fait référence aux « Quatre Cavaliers de l’Apocalypse » (voir Wikipédia).

(Ndlr E&R)

[2] En anglais : « behemoth ».

 

Béhémoth

Pluriel du mot qui désigne, en hébreu biblique, les animaux domestiques (« bétail » dans le récit de la Création, Gen., i, 24). Dans le livre de Job (xl, 15), Béhémoth prend l’allure d’un pluriel intensif et mythique : il désigne la Bête par excellence, la force animale que Dieu le créateur peut seul maîtriser, mais dont la domestication échappe à l’homme. Béhémoth semble évoquer l’hippopotame, animal qui, selon les bas-reliefs égyptiens, s’avançait jadis jusqu’en Basse-Égypte.

Comme monstre mythique, Béhémoth, joint à Léviathan, est d’origine babylonienne : tous deux représentent les deux monstres primordiaux du chaos, Tiamat et Kingu de la mythologie babylonienne.

On retrouve Béhémoth dans la littérature apocalyptique juive, au seuil de l’ère chrétienne. À partir de l’Énoch éthiopien (lx, 7-9), il a des qualités distinctes de celles de Léviathan ; celui-ci conserve les caractéristiques de monstre aquatique qu’il avait déjà, Béhémoth prend celles, qu’il n’avait pas à l’origine, d’un monstre terrestre. Dans Baruch syriaque (xxix, 4), il est dit que les deux êtres, apparus au cinquième jour de la Création, seront servis en nourriture aux justes au grand banquet messianique. La même idée se retrouve dans le IVe Livre d’Esdras (vi, 47).

(Source)

 

(Ndlr E&R)

[3] 10K Filings of Fortune 500 Corporations to SEC. 3-91.

[4] 10K Filing of US Trust Corporation to SEC. 6-28-95.

[5] « The Federal Reserve “Fed Up” ». Thomas Schauf, 1-02

[6] The Secrets of the Federal Reserve, Eustace Mullins, Bankers Research Institute, Staunton, VA, 1983, p.179.

[7] Ibid., p. 53.

[8] The Triumph of Conservatism, Gabriel Kolko, MacMillan and Company New York, 1963, p. 142.

[9] Rule by Secrecy : The Hidden History that Connects the Trilateral Commission, the Freemasons and the Great Pyramids, Jim Marrs, HarperCollins Publishers, New York, 2000, p. 57.

[10] The House of Morgan, Ron Chernow, Atlantic Monthly Press, New York, 1990.

[11] Marrs, p. 57.

[12] Democracy for the Few, Michael Parenti, St. Martin’s Press, New York, 1977, p. 178.

[13] Ron Chernow.

[14] The Great Crash of 1929, John Kenneth Galbraith Houghton, Mifflin Company, Boston, 1979. p. 148.

[15] Ron Chernow.

[16] Children of the Matrix, David Icke, Bridge of Love, Scottsdale, AZ, 2000.

[17] The Confidence Game : How Un-Elected Central Bankers are Governing the Changed World Economy, Steven Solomon, Simon & Schuster, New York, 1995, p. 112.

[18] Marrs, p. 180.

[19] Ibid. p. 45.

[20] The Money Lenders : The People and Politics of the World Banking Crisis, Anthony Sampson, Penguin Books, New York, 1981.

[21] The Rockefeller File, Gary Allen, ’76 Press, Seal Beach, CA, 1977.

[22] Ibid.

[23] Dope Inc. : The Book That Drove Kissinger Crazy, Editors of Executive Intelligence Review, Washington, DC, 1992.

[24] Marrs.

[25] The Rockefeller Syndrome, Ferdinand Lundberg, Lyle Stuart Inc. Secaucus, NJ, 1975, p. 296.

[26] Marrs, p. 53.

http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-cartel-de-la-Res...

 

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Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles Illuminati/Sionistes qui gouvernent le monde (partie 2)

La Réserve Fédérale la Banque Privée US appartenant aux Illuminati/Sionistes/Reptiliens/Satanistes, grands promoteurs du Nouvel Ordre Mondial et de toutes les guerres génocidaires dans le monde !

Ils sont aux commandes de tout dans le monde, des banques privées, du complexe industrialo-militaire, des médias aux ordres, du système de santé, de l'énergie, pétrole, gaz, des OGMS, des laboratoires pharmaceutiques, des politiques Pions/VRP, de l'ONU, de l'OTAN, de l'OMS, des Banques Mondiales, ainsi que tous les organismes satellitaires qui gravirent autour de l'ONU, leur premier gouvernement mondial qui gère 193 pays ayant adhéré à leurs statuts, etc....

Leur survie ne peut se poursuivre qu'à la condition de maintenir le Dollar comme monnaie d'échange dans le monde entier. Ainsi Poutine et les pays qui ont créé les BRICS représentent un danger et sont des ennemis potentiels pour les adeptes de la secte du Dollar !

 

Les francs-maçons et la maison Rothschild - Par Dean Henderson

Earton15469-a3402.jpgn 1789, Alexandre Hamilton devint le premier secrétaire au trésor (NdT : ministre des Finances) des États-Unis d’Amérique. Hamilton était un des nombreux pères fondateurs franc-maçons. Il avait des relations étroites avec la famille Rothschild, qui était propriétaire de la Banque d’Angleterre et était le leader du mouvement franc-maçon européen.

Georges Washington, Benjamin Franklin, John Jay, Ethan Allen, Samuel Adams, Patrick Henry, John Brown, et Roger Sherman étaient tous franc-maçons. Roger Livingston aida Sherman et Franklin a écrire la déclaration d’indépendance des États-Unis. Il donna à George Washington ses vœux de prises de fonction alors qu’il était le grand maître de la grande loge maçonnique de New York. Washington lui-même était le grand maître de la loge de Virginie. Des généraux de la Révolution américaine, 33 étaient des franc-maçons.

Ceci était très symbolique puisque les maçons du 33ème degré deviennent Illuminés [1]. Les pères fondateurs populistes emmenés par John Adams, Thomas Jefferson, James Madison et Thomas Paine, dont aucun n’était franc-maçon, voulaient couper complètement les ponts avec la couronne britannique, mais furent subjugués par la faction maçonnique emmenée par Washington, Hamilton et le grand maître de la loge St Andrews de Boston, le général Joseph Warren, qui voulurent « défier le parlement, mais rester loyal à la couronne ». La loge St Andrews était au cœur de la franc-maçonnerie du Nouveau Monde et commença à distribuer des degrés de chevaliers du temple en 1769 [2].

Toutes les loges maçonniques américaines sont jusqu’à aujourd’hui garanties par la couronne britannique, qu’elles servent en tant que centre de renseignement global et de réseau de contre-révolution et de subversion. Leur initiative la plus récente est le programme maçonnique d’identification infantile (NdT : CHIP, pour Child Identification Program). D’après Wikipédia, les programmes CHIP donnent l’opportunité aux parents de créer gratuitement un kit de matériaux d’identification de leur enfant. Ce kit contient une carte avec les empreintes digitales, une description physique, une vidéo, un DVD de l’enfant, une impression dentaire et un échantillon d’ADN.

Le premier congrès continental se rassembla à Philadelphie en 1774 sous la présidence de Peyton Randolph, qui succéda à Washington comme grand maître de la loge de Virginie. Le second congrès eut lieu en 1775 sous la présidence du franc-maçon John Hancock. Le frère de Peyton, William, lui succéda comme grand maître de la loge et devint le chef de file des supporteurs de la centralisation et du fédéralisme à la première convention de 1787. Le fédéralisme qui est au cœur de la constitution américaine est identique au fédéralisme exprimé dans la constitution franc-maçonne Anderson de 1723. William Randolph devint le premier ministre de la Justice de la nation et secrétaire d’État de Georges Washington.

Sa famille retourna en Angleterre, loyale à la couronne. John Marshall, le premier juge de la Cour suprême de la nation, était aussi un franc-maçon [3].

Quand Benjamin Franklin voyagea en France pour trouver un financement pour les révolutionnaires américains, tous ses meetings eurent lieu dans les banques Rothschild. Il passa des contrats d’armement avec un franc-maçon allemand, le baron Von Steuben. Ses comités de correspondance opéraient au travers des couloirs de communication maçonniques et étaient en parallèle d’un réseau d’espionnage britannique.

En 1776, Franklin devint le de facto ambassadeur en France. En 1779, il devint le grand maître de la loge française des Neuf Sœurs, à laquelle appartenaient John Paul Jones et Voltaire. Franklin était aussi un membre de la plus secrète loge royale des commandeurs du temple ouest de Carcassonne, dont un des membres était Frederick Prince de Galles. Tandis qu’il prêchait la tempérance aux États-Unis, il s’encanaillait allègrement avec ses frères de loge en Europe. Franklin servit de 1750 à 1775 comme receveur général, un rôle souvent relégué aux espions britanniques [4].

Avec le financement de Rothschild, Alexandre Hamilton fonda deux banques à New York, dont la banque de New York [5]. Il mourut dans un duel au pistolet avec Aaron Burr, qui fonda la banque de Manhattan avec l’aide financière de Kuhn Loeb. Hamilton incarnait le dédain que les huit familles vouaient au commun des gens en disant : « Toutes les communautés se divisent entre le peu et le nombreux. Les premiers sont les riches et les bien-nés, les autres la masse du peuple… Les gens sont turbulents et changent sans cesse ; ils ne peuvent bien juger que très rarement. Il faut donc donner à la première classe une part distinctive et permanente du pouvoir. Ils équilibreront le manque de stabilité de la seconde classe [6]. »

Hamilton ne fut que le premier d’une série de huit familles inféodées à devenir secrétaire au Trésor. Plus récemment, le secrétaire au Trésor de Kennedy était Douglas Dillon, venant de la famille Dillon Read (maintenant partie de UBS Warburg). Les secrétaires de Nixon David Kennedy et William Simon provenaient respectivement de la banque continentale de l’Illinois (maintenant sous contrôle de la Bank of America) et Salomon Frères (aujourd’hui partie de Citigroup). Le secrétaire au trésor de Carter Michaël Blumenthal venait de Goldman Sachs ; celui de Ronald Reagan, Donald Regan, venait de Merill Lynch (maintenant Bank of America) ; celui de Bush père Nicholas Brady venait de Dillon Read (UBS Warburg) ; les deux secrétaires au trésor de Clinton et de Bush fils, respectivement Robert Rubin et Henry Paulson, venaient de Goldman Sachs ; Tim Geithner sous Obama venait de Kissinger Associates et fut président de la Banque fédérale de New York.

Thomas Jefferson a toujours défendu l’idée que les États-Unis devaient avoir une banque centrale publique de telle sorte que les monarques européens et les aristocrates ne puissent pas utiliser l’impression de la monnaie pour contrôler les affaires de la nation. Jefferson, de manière visionnaire, déclara : « Un pays qui attend de rester ignorant et libre, attend ce qui n’a jamais existé et n’existera jamais. Il n’y a pas un roi sur cent qui, s’il le pouvait, ne suivrait pas l’exemple des pharaons en prenant d’abord tout l’argent du peuple, puis toutes les terres pour faire du peuple et de ses enfants ses serviteurs à tout jamais… Les établissements banquiers sont plus dangereux que les armées ennemies. Ils ont déjà levé une aristocratie de l’argent. »

Jefferson observa la prise de contrôle des États-Unis par la conspiration euro-bancaire. Il déclara : « Des actes de tyrannie simple peuvent être attribués à la conjoncture du moment, mais une série d’oppressions a débuté à un moment précis et de manière inaltérable au cours des changement de ministères et qui prouve de manière trop évidente le plan systémique de nous réduire tous en esclavage [7]. »

Mais les arguments de Hamilton sponsorisés par Rothschild en faveur d’une banque centrale états-unienne privée l’emportèrent. En 1791, la Banque des États-Unis (que nous nommerons dorénavant ici BEU, NdT) fut fondée, avec les Rothschild pour actionnaires principaux. La charte de la banque devait expirer en 1811. L’opinion publique souhaitait révoquer la carte et la remplacer par une banque centrale publique de type jeffersonien. Le débat fut repoussé alors que la nation fut plongée par les banquiers européens dans la guerre de 1812. Dans un climat de peur et de détresse économique, la charte de la BEU fut renouvelée jusqu’en 1816.

Old Hickory, Honest Abe & Camelot

En 1828, Andrew Jackson se présenta à la présidence des États-Unis. Tout au long de sa campagne électorale, il fustigea les banquiers internationaux qui contrôlaient la BEU. Jackson râlait : « Vous êtes un nid de vipères. J’ai l’intention de vous exposer et par dieu éternel, je vais vous extirper de là. Si le peuple comprenait le niveau d’injustice amené par notre système bancaire, il y aurait une révolution avant demain matin. »

Jackson gagna les élections et révoqua la charte de la BEU.

« L’acte de la charte semble être basé sur l’idée erronée que les actionnaires actuels de la banque ont un droit prescriptif sur non seulement les faveurs du gouvernement, mais aussi sur ses récompenses.. Pour leur profit, l’acte exclut le peuple américain de la compétition à l’achat de ce monopole. Les actionnaires actuels et ceux qui héritent de leurs droits en tant que successeurs, établissent un ordre privilégié, habillé de grande puissance politique et jouissent d’immense avantages pécuniaires de par leur connexion avec le gouvernement.

N’y aurait-il pas péril en la demeure si par les vertus d’un tel acte légal qui concentre l’influence dans les mains d’un directoire auto-élu, dont les intérêts s’identifient à ceux d’actionnaires étrangers. N’y aurait-il pas sujet à trembler pour l’indépendance de notre pays en guerre… pour contrôler notre monnaie, recevoir nos budgets publics et retenir l’indépendance de milliers de nos citoyens ; ceci serait plus dangereux et plus formidable que la puissance militaire et navale de l’ennemi. Il est regrettable que les riches et puissants plient trop souvent pour leur seul profit les actes du gouvernement… Pour rendre les riches plus riches et plus puissants. Beaucoup de nos riches citoyens ne sont pas satisfaits de la protection égalitaire et des bénéfices égaux, ils nous ont en revanche induit à les rendre plus riches par actes du congrès. J’ai rempli mon devoir envers mon pays [8]. »

Le populisme prévalut et Jackson fut ré-élu. En 1835, il fut la cible d’une tentative d’assassinat. Le tireur était un certain Richard Lawrence qui confessa qu’il « était en contact avec des puissances en Europe [9] ».

En 1836, Jackson refusa toujours de renouveler la charte de la BEU. Sous son mandat, la dette nationale états-unienne revint à zéro pour la première et dernière fois de l’histoire de notre nation. Ceci rendit furieux les banquiers internationaux, qui dérivent une grosse partie de leurs revenus du repaiement des intérêts de la dette des nations. Le président de la BEU Nicholas Biddle coupa le robinet des fonds au gouvernement états-uniens en 1842, plongeant le pays dans une dépression économique. Biddle était un agent de la banque de Paris Jacob Rothschild [10]. De plus, la guerre avec le Mexique fut également déclenchée contre Jackson. Quelques années plus tard, la guerre civile fut déclenchée, avec les banquiers de Londres finançant le Nord et les banquiers de France finançant le Sud.

La famille Lehman fit une fortune en passant des armes au sud et du coton au nord. En 1861, les États-Unis étaient de nouveau endettés de 100 millions de dollars. Le nouveau président Abraham Lincoln se joua lui aussi des banquiers européens en faisant imprimer les fameux Lincoln Greenbacks pour payer les factures de l’armée du Nord.

Le journal des Rothschild Times of London écrivit :

« Si cette politique malicieuse qui a son origine dans la république d’Amérique du nord, devait devenir à la longue une réalité fixe, alors ce gouvernement pourra fournir sa propre monnaie sans coût. Il paiera ses dettes et sera sans dette. Il aura tout l’argent nécessaire pour subvenir à son commerce. Il deviendra prospère au-delà de tout ce qui a été vu jusqu’ici dans l’histoire des gouvernements civilisés du monde. Le savoir-faire et la richesse de tous les pays ira en Amérique du Nord. Ce gouvernement doit être détruit ou il va détruire toutes les monarchies de la planète [11]. »

Le pamphlet périodique des euro-banquiers Hazard Circular fut dénoncé par les populistes en colère. Le périodique déclarait :

« La grande dette que les capitalistes vont créer est faite de la dette générée par la guerre et doit être utilisée pour contrôler la valeur de la monnaie. Pour ce faire, des bons du trésor doivent être imprimés et utilisés comme base bancaire. Nous attendons maintenant le secrétaire au trésor Salmon chase qui doit faire cette recommandation. Cela ne permettra pas de faire circuler les greenbacks comme monnaie, car nous ne pouvons pas contrôler cela. Nous contrôlons les bons du trésor et à travers eux le système bancaire. »

La loi sur la banque nationale de 1863 réinstaura la banque privée centrale américaine et des bons de guerre de Chase furent émis. Lincoln fut ré-élu l’année suivante, jurant de répudier cette loi après avoir pris ses fonctions en 1865. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, Lincoln fut assassiné au théâtre Ford par John Wilkes Booth. Booth avait des connexions importantes avec les banquiers internationaux. Sa petite fille écrivit un livre, Cet acte fou, qui décrit dans le détail les relations de Booth et ses contacts avec « de mystérieux européens » juste avant l’assassinat de Lincoln.

Après avoir tiré sur Lincoln, Booth fut aidé par des membres d’une société secrète connue sous le nom de Chevaliers du Cercle doré (CCD). Cette société avait d’étroites relations avec la société française des saisons, qui produisit Karl Marx. Les CCD ont fomenté beaucoup de la tension qui causa la guerre civile, et le président Lincoln avait ciblé particulièrement ce groupe. Booth était membre des CCD et était connecté par le truchement du secrétaire d’État de la confédération Judah Benjamin à la maison des Rothschild. Benjamin s’enfuit en Angleterre après la guerre civile [12].

Près d’un siècle après l’assassinat de Lincoln pour avoir fait imprimer les greenbacks, le président John F. Kennedy se trouva lui aussi sous les feux des huit familles.

Kennedy avait annoncé une « descente » sur les paradis fiscaux et proposa une augmentation des impôts pour les grandes compagnies minières et pétrolières. Il supportait l’élimination des vides juridiques qui permettaient l’évasion fiscale des super-riches. Ses politiques économiques furent publiquement attaquées par le magazine Fortune, le Wall Street Journal et à la fois David et Nelson Rockefeller. Même le propre secrétaire au Trésor de Kennedy Douglas Dillon, qui venait de la banque d’affaires Dillon Read (UBS Warburg) s’opposa aux propositions de Kennedy [13].

Le destin de Kennedy fut scellé en juin 1963, quand il autorisa l’impression par son département du Trésor de la somme de 4 milliards de dollars dans une tentative de contre-balancer le taux d’intérêt usurier pratiqué par la clique des banquiers internationaux en contrôle de la banque privée de la Réserve fédérale. La femme de Lee Harvey Oswald, qui fut abattu par Jack Ruby, lui-même abattu, dit à l’écrivain A. J. Weberman en 1994 : « La réponse à l’assassinat de Kennedy est à chercher avec la banque fédérale. Ne sous-estimez pas ceci. Il est faux de blâmer l’assassinat sur Angleton et la CIA seulement. Ils ne sont qu’un doigt de la même main. Les gens qui fournissent l’argent sont au dessus de la CIA [14]. » Par le zèle du nouveau président Lyndon Johnson, qui de suite hypertrophia la guerre du Vietnam, les États-Unis s’enfoncèrent bien plus dans la dette. Ses citoyens furent terrorisés à garder le silence. S’ils peuvent tuer le président, ils peuvent tuer n’importe qui.

La maison Rothschild

La maison hollandaise des Orange fonda la Banque d’Amsterdam, première banque centrale de l’histoire mondiale, en 1609. Le prince William d’Orange se maria dans la maison anglaise des Windsor, prenant pour épouse Marie, la fille du roi James II. La confrérie de l’ordre d’Orange, qui a fomenté récemment la violence protestante en Irlande du Nord, mit William III sur le trône d’Angleterre d’où il régna sur à la fois l’Angleterre et la Hollande. En 1694, William III fit alliance avec l’aristocratie britannique pour lancer officiellement la Banque d’Angleterre. La vieille dame de la rue du Chas d’aiguille, comme est connue la Banque d’Angleterre, est entourée de murs de 9 mètre de haut. Trois étages en dessous est stocké la réserve d’or la plus importante au monde [15].

Les Rothschild et leurs partenaires consanguinement dégénérés des huit familles prirent le contrôle graduel de la banque d’Angleterre. L’établissement quotidien de la valeur de l’or à Londres s’effectua à la banque N. M. Rothschild jusqu’en 2004. Comme l’assistant gouverneur de la banque d’Angleterre Georges Blunden le fit remarquer : « La peur est ce qui rend la puissance de la banque si acceptable. La banque est capable d’exercer son influence quand les gens sont dépendants de nous et ont peur de perdre leurs privilèges, ou quand ils ont peur [16]. »

Mayer Amschel Rothschild vendit les mercenaires allemands hessiens du gouvernement britannique pour combattre contre les révolutionnaires américains, envoyant les dividendes à son frère Nathan à Londres, où la banque Nathan and Meyer Rothschild & fils (NdT : connue sous le vocable N. M. Rothschild) était établie. Mayer était un élève sérieux de Cabala et commença sa fortune avec de l’argent soutiré d’un administrateur royal de William IX opérant dans la région du Hesse-Kassel, et franc-maçon notoire.

Barings, contrôlée par Rothschild, domina le commerce de l’opium chinois et des esclaves africains. Il finança l’achat de la Louisiane (NdT : à Napoléon). Quand plusieurs états refusèrent de payer leurs dettes, Barings soudoya Daniel Webster pour faire des discours prônant le repaiement des dettes. Les États tinrent leur ligne de refus, et en 1842, la maison Rothschild coupa le robinet d’argent plongeant les États-unis dans une dépression. Il a souvent été dit que la fortune des Rothschild dépendait de la banqueroute des nations. Mayer Amschel Rothschild déclara : « Je ne m’intéresse pas de savoir qui contrôle les affaires d’une nation, aussi loin que je puisse contrôler sa monnaie. »

La guerre ne fut pas néfaste à la fortune familiale non plus. La maison des Rothschild finança la guerre de Prusse, la guerre de Crimée et la tentative britannique de saisir le canal de Suez aux Français. Nathan Rothschild fit un gros pari financier sur Napoléon à la bataille de Waterloo, tout en finançant également la campagne péninsulaire du duc de Wellington contre ce même Napoléon. Les deux guerres aux États-Unis contre le Mexique et la guerre civile, furent de véritables mines d’or pour la famille.

Une biographie de la famille Rothschild mentionne une réunion à Londres où un « syndicat banquier international » décida de monter le Nord contre le Sud des États-Unis comme partie intégrante de la stratégie du « diviser pour mieux régner ». Le chancelier allemand Otto Von Bismark dit : « La division des Etats-Unis en des fédérations de force égale fut décidée bien avant la guerre civile. Les banquiers craignaient que les États-Unis dérangent leur domination financière du monde. La voix des Rothschild prévalut. » Le biographe de la famille Derek Wilson dit que la famille était le banquier officiel européen pour le gouvernement états-unien et un grand supporteur de la BEU [17].

Un autre biographe Neill Fergusson nota un « vide substantiel et non expliqué » dans la correspondance des Rothschild entre 1854 et 1860. Il a dit que toutes les copies des lettres émanant des Rothschild de Londres pendant la période de la guerre civile américaine « furent détruites sur ordre de partenaires successifs [18] ».

Des troupes françaises et britanniques avaient encerclé les États-Unis au faîte de la guerre civile. Les britanniques envoyèrent 11 000 soldats au Canada, contrôlé par la couronne britannique et qui protégeait les agents confédérés. Napoléon III de France installa un membre de la famille autrichienne des Habsbourg, l’archiduc Maximilien, comme empereur marionnette du Mexique, où les troupes françaises se massèrent à la frontière avec le Texas. Seule l’envoi et le déploiement à la 25ème heure de deux navires de guerre russes par le Tsar Alexandre II allié des États-Unis en 1863, empêcha une re-colonisation des États-Unis [19].

La même année le Chicago Tribune écrivit : « Belmont (Auguste Belmont était un agent des Rothschild et avait une course de chevaux de la triple couronne nommée après lui) et les Rothschild… qui ont acheté les bons de guerre confédérés… »

Salomon Rothschild dit de Lincoln mort : « Il rejette toute forme de compromis. Il a l’apparence d’un paysan et ne peut raconter que des histoires de bars. » Le baron Jacob Rothschild était tout aussi flatteur à l’égard des citoyens américains, il commenta un jour au ministre états-unien envoyé en Belgique Henry Sanford à propos du plus d’un demi million de citoyens américains qui moururent lors de la guerre civile : « Quand votre patient est désespérément malade, vous essayez des mesures désespérées, y compris les saignées. » Salomon et Jacob ne faisaient que continuer une tradition familiale. Quelques générations auparavant Mayer Amschel Rothschild avait dit à propos de sa stratégie d’investissement : « Lorsque les rues de Paris sont inondées de sang… J’achète [20]. »

Les fils de Mayer Rothschild étaient connus sous le nom des cinq de Francfort.

Le plus vieux, Amschel, s’occupa de la banque de Francfort avec son père, tandis que Nathan géra les affaires de Londres. Le plus jeune, Jacob, fut envoyé à Paris, tandis que Salomon dirigea la branche de Vienne et Karl celle de Naples. L’écrivain Frederick Morton estime que dès 1850, les Rothschild pesaient 10 milliards de dollars [21]. Quelques chercheurs pensent que leur fortune aujourd’hui s’élèverait à plus de cent mille milliards de dollars.

Les Warburg, Kuhn Loeb, Goldman Sachs, Schiff, Rothschild, se sont mariés entre eux et forment une heureuse famille bancaire. La famille Warburg qui contrôle la Deutsche Bank et la BNP se lia avec les Rothschild en 1814 à Hambourg, tandis que la puissante Jacob Schiff des Kuhn Loeb partagea ses quartiers avec les Rothschild dès 1785.

Schiff immigra aux États-Unis en 1865. Il joignit ses forces à Abraham Kuhn et maria la fille de Salomon Loeb. Loeb et Kuhn épousèrent les sœurs de l’un et de l’autre ; ainsi fut scellée la dynastie Kuhn-Loeb. Felix Warburg se maria avec la fille de Jacob Schiff. Deux filles Goldman marièrent deux fils de la famille Sachs, créant ainsi Goldman Sachs. En 1806, Nathan Rothschild maria la plus âgée des filles de Levi Barent Cohen, un financier de renom à Londres [22]. Ainsi Abby Joseph Cohen de Merill Lynch et le secrétaire à la Défense de Clinton William Cohen, sont des descendants probables des Rothschild.

Aujourd’hui, les Rothschild sont à la tête d’une empire financier extensif, qui implique des parts importantes dans la plupart des banques centrales mondiales. Le clan d’Edmond de Rothschild possède la Banque Privée SA à Lugano en Suisse et la banque Rothschild AG de Zürich.

La famille de Jacob Lord Rothschild possède la puissante Rothschild Italia De Milan. Ils sont les membres fondateurs du club très exclusif des Îles à dix mille milliards de dollars, qui contrôle les géants industriels tels la Royal Dutch Shell, les industries chimiques impériales, la banque Lloyds de Londres, Unilever, Barclays, Lonrho, Rio Tinto Zinc, BHP Billiton et la branche DeBeers anglo-américain. Le club domine la distribution mondiale de pétrole, d’or, de diamants et de bien d’autres matières premières vitales [23].

Le Club des Îles pourvoie au capital du Quantum Fund NV de George Soros, qui fit des gains substantiels en 1988-99 après l’effondrement des monnaies en Thaïlande, Indonésie et Russie. Soros fut un actionnaire principal de la compagnie pétrolière de Georges W. Bush Harken Engergy. Le Club des Îles est dirigé par les Rothschild et inclut la reine Elisabeth II d’Angleterre et d’autres aristocrates européens et membres de familles royales [24].

L’entité dépositaire du plus de richesses pour les Rotshschild aujourd’hui est peut-être la Rothschild Continuation Holdings AG, une holding bancaire secrète, basée en Suisse. Vers la fin des années 1990, les tenants de l’empire global Rothschild étaient les barons Guy et Elie de Rothschild en France et Lord Jacob et Sir Evelyn Rothschild en Grande-Bretagne [25].

Evelyn était le président de la revue The Economist et un directeur de DeBeers et IBM GB.

Jacob fut derrière la campagne d’Arnold Schwarzenegger pour les élections de gouverneur de Californie. Il prit contrôle des parts de Khodorkovsky avec Yukos Oil juste avant que le gouvernement russe ne l’arrête. En 2010, Jacob rejoignit Ruppert Murdoch dans un partenariat d’extraction pétrolier en Israël par Genie Energy, une compagnie subsidiaire de IDT Corporation [26].

Quelques mois plus tard, Sarah Palin s’aloua les services de l’ex-PDG de IDT comme chef de personnel [27].

Sarah Palin est-elle le choix de Rothschild pour 2012 [28] ?

(Fin de la deuxième partie)

Source originale (en anglais) : globalresearch.ca.

 http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-cartel-de-...