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La Doctrine de Paul Wolfowitz, Théoricien de la violence, l’âme du Pentagone

Voilà à quelle machine à tuer, nous sommes exposés et confrontés dans le monde grâce aux psychopathes qui siègent au Pentagone, dont le fameux sioniste, Paul Wolfowitz, Théoricien de la violence, qui nous fabrique des ennemis imaginaires dans le monde et qui doivent participer activement avec la CIA/Mossad à former des groupes de mercenaires pour procéder aux changements de régimes dans les pays qu'ils convoitent et pour s'accaparer leurs richesses en provoquant de toutes pièces les révolutions dites colorées, pour  placer leurs pions/caniches des USA et  des Banksters Illuminati de la Mafia Khazare de Rothschild, dans l'objectif d'instaurer leur Nouvel Ordre Mondial.

C'est aussi contre cette mafia criminelle internationale que doivent lutter la Russie et la Chine !

 

Théoricien de la violence

Paul Wolfowitz, l’âme du Pentagone

par Paul Labarique

Depuis trente ans, Paul Wolfowitz participe à presque tous les cabinets civils du Pentagone. Intellectuel brillant, disciple de Léo Strauss, il justifie de la guerre par l’extension de la démocratie de marché. Il s’est fait une spécialité d’inventer des menaces imaginaires pour justifier de nouveaux crédits et de nouvelles aventures. Il a théorisé les interventions préventives et l’intimidation des « compétiteurs émergeants ». N’hésitant pas à s’ingérer dans la tactique militaire, il a imposé ses conceptions aux officiers de terrain.

Réseau Voltaire | Paris (France) | 4 octobre 2004

 

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La position particulière de Paul Wolfowitz dans l’espace public états-unien, entre le champ politique et le champ universitaire, lui permet d’être à la fois proche des théoriciens du régime Bush, tout en y occupant des fonctions exécutives, au sein du département de la Défense.

Le fils de son père

Paul Wolfowitz est le fils de Jacob Wolfowitz, un juif polonais né à Varsovie, dont les parents ont émigré à New York lorsqu’il avait dix ans. Diplômé du City College de New York, Wolfowitz père obtient un doctorat en mathématiques à l’université de New York et devient dans la foulée l’un des meilleurs experts états-uniens en théorie de la statistique. Il est alors très proche du mathématicien hongrois Abraham Wald. Politiquement, Jacob Wolfowitz est un sioniste convaincu, engagé par ailleurs dans des organisations opposées à la répression soviétique des minorités et des dissidents.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Jacob Wolfowitz effectue des études pour l’armée états-unienne, au sein du département de statistique de l’université de Columbia. C’est à cette époque que naît Paul, en 1943. En 1957, la famille déménage en Israël, après que Jacob Wolfowitz eut accepté un poste à l’Université Technion. Paul réussit lui aussi des études brillantes : étudiant en mathématiques à l’Université de Cornell, il s’intéresse rapidement à l’Histoire et à la science politique. Il devient alors membre de l’Association Telluride, créée en 1910 par L.L. Nunn pour sélectionner l’élite universitaire de Cornell, comme cela se pratique sur la plupart des campus états-uniens [1]. C’est au sein de ce groupe qu’il est amené à rencontrer le philosophe Allan Bloom, qui multiplie les contacts avec les étudiants de Telluride, dont entre autres l’économiste Francis Fukuyama, le candidat à la présidence Alan Keyes, le spécialiste du renseignement Abram Shulsky, l’expert en soviétologie Stephan Sestanovich, et Charles Fairbanks, le spécialiste de l’Asie centrale.


Une éducation « straussienne »

Sous l’influence d’Allan Bloom, Paul Wolfowitz développe ses connaissances en sciences politiques, et son intérêt pour la philosophie de Leo Strauss [2], le mentor de Bloom. S’il choisit l’Université de Chicago pour effectuer son doctorat, c’est d’ailleurs parce que le philosophe allemand y enseigne encore.

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Léo Strauss

Même si le maître quitte Chicago avant que Wolfowitz ne soit diplômé, et bien que le jeune homme ne se considère pas véritablement à l’époque comme un conservateur, il est aujourd’hui perçu comme un héritier intellectuel de Leo Strauss. En 2002, Jeane Kirkpatrick déclare ainsi dans une interview que, selon elle, « Wolfowitz reste une des grandes figures straussiennes » [3]. Il est vrai que le responsable états-unien axe son discours sur la fin de la tyrannie et la condamnation du Mal, sur la dichotomie dictature-démocratie, et sur les pouvoirs quasi-surnaturels qu’il accorde aux dictateurs, qui seraient capables, par malice, de tromper les démocraties libérales. Une argumentation élaborée pendant les dernières années de la Guerre Froide, qu’il reprendra ensuite à propos de l’Irak de Saddam Hussein.

Wolfowitz réfute aujourd’hui en partie le qualificatif de straussien. À Chicago, il s’est en effet trouvé un nouveau mentor, en la personne d’Albert Wohlstetter. Ce dernier, qui a étudié les mathématiques avec Jacob Wolfowtiz à Columbia, est alors le premier stratège nucléaire états-unien, membre de la Rand Corporation et théoricien de la vulnérabilité des États-Unis. Sous sa direction, Paul Wolfowitz rédige un mémoire sur les usines de désalinisation installées par Washington aux frontières d’Israël, de l’Égypte et de la Jordanie, officiellement pour impulser une collaboration entre Tel-Aviv et le monde arabe. Officieusement, l’un des produits dérivés du processus de désalinisation devait être du plutonium. Wolfowitz s’oppose, dans ce mémoire, à la nucléarisation du Proche-Orient, aussi bien du côté israélien que du côté arabe, même si ce n’est pas pour les mêmes raisons : pour lui, si l’État hébreu venait à se doter de l’arme nucléaire, il provoquerait une course aux armements avec les pays arabes aidés par l’URSS, fragilisant ainsi sa position au lieu de la consolider.

Empêcher le contrôle des armements

Fort de ses connaissances en relations internationales, Paul Wolfowitz est envoyé à Washington à l’été 1969, pour y travailler au Committee to Maintain a Prudent Defense Policy (Comité pour le maintien d’une politique prudente de Défense), à la demande de Wohlstetter. Cet organisme, créé par deux grandes figures de la Guerre froide, Dean Acheson et Paul Nitze, respectivement secrétaire d’État et directeur de la planification du département d’État du président Truman, a pour objectif de convaincre le Congrès de la nécessité d’installer un bouclier anti-missiles, projet fermement combattu par plusieurs représentants états-uniens, notamment Edward M. Kennedy, William Fulbright, Albert Gore Sr, Charles Percy et Jacob Javits. Pour aider Nitze et Acheson dans leur combat, Wolfowitz est accompagné de Peter Wilson, un autre élève de Wohlstetter, et de Richard Perle, qui est alors fiancé à la fille de Wohlstetter. Les trois jeunes hommes mènent le combat de haute lutte, rédigeant des études scientifiques et distribuant des fiches techniques aux membres du Congrès. Ils organisent également l’audition du sénateur « pro-bouclier » Henry M. Scoop Jackson devant la commission sénatoriale consacrée aux questions d’armement. Un travail payant : à la fin de l’été 1969, les « faucons » l’emportent au Sénat par 51 voix contre 50. L’adoption du projet permettra ensuite à Nixon d’engager la négociation avec l’URSS sur le Traité des missiles anti-balistiques en position de force. Les discussions aboutiront à la signature de SALT I.

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Henry « Scoop » Jackson

Cet épisode marque un tournant dans la politique de Défense états-unienne, puisqu’il s’agit de la première victoire des « faucons » depuis 1941 et le vote par le Congrès de l’extension de la conscription en temps de paix. De plus, le succès de Nitze et Acheson permet l’ouverture d’un débat concernant le bouclier anti-missiles, débat qui continue encore aujourd’hui. Surtout, il a renforcé les convictions de Paul Wolfowitz et Richard Perle en matière de désarmement : les deux jeunes gens ressortent de cette lutte politique avec une grande méfiance envers tout processus de contrôle de l’arsenal états-unien, convaincus qu’une telle politique est défavorable aux États-Unis, tant d’un point de vue stratégique que psychologique. Par ailleurs, la participation à une entreprise politique aussi délicate que celle qui leur a été confiée par d’éminents théoriciens de la Guerre froide leur promet un avenir radieux à Washington.

Alors que son camarade Perle s’engage immédiatement en politique, en devenant l’assistant au Sénat de Henry « Scoop » Jackson, Wolfowitz reprend un temps ses études à Chicago, où il achève son doctorat. Mais les sirènes de Washington le rappellent bien vite : en 1973, l’Agence pour le contrôle des armes et le désarmement subit une véritable purge, sous l’influence de Scoop Jackson qui soupçonnait l’ancienne équipe d’être trop disposée à négocier avec l’ennemi soviétique. Fred Iklé, un stratège « faucon » de la Rand, prend la direction du département. Sur la recommandation de Wohlstetter, il choisit de recruter Wolfowitz. Celui-ci devient rapidement son plus proche conseiller. Il rédige pour lui des notes sur le lancement des missiles et leur détection, travaille sur les négociations liées au contrôle des armements, et suit Iklé en tourné à Paris et dans les capitales européennes.

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Henry Kissinger

Son plus haut fait d’armes date de 1974 et 1975 : pendant deux ans, il s’implique dans la campagne de pression menée par les États-Unis auprès de la Corée du Sud afin qu’elle renonce à un programme de développement de plutonium. Wolfowitz cherche à cette époque à remettre en cause la politique étrangère d’Henry Kissinger vis-à-vis de l’Union soviétique, et même plus largement, la vision statique du monde développée par l’admirateur de Metternich. Il souhaite, en réalité, incarner l’alternative intellectuelle de Kissinger. Pour cela, il fait venir à ses côtés certains jeunes universitaires tels que son ami Francis Fukuyama.


L’expert en création de menaces

Efficace dans son travail, qui consiste à faire du contrôle des armements une coquille vide, Wolfowitz est rapidement assimilé à ce qu’il convient d’appeler les experts « alarmistes », toujours utiles lorsqu’il s’agit de gonfler - voire de créer - une menace pour faire voter une augmentation du budget militaire. C’est donc naturellement qu’il est invité à participer à la fameuse « équipe B », créée en 1976 par le directeur de la CIA de Gerald Ford, George H.W. Bush, afin de réévaluer la menace soviétique, prétendument sous-estimée par les experts trop pantouflards de l’Agence [4]. Cette équipe B est présidée par Richard Pipes, le père de Daniel Pipes. Pour rendre leur rapport, ses membres décident de se fonder sur les déclarations publiques des dirigeants soviétiques, plutôt que sur les traditionnelles photos satellites. Sans surprise, leur estimation finale, parue fin 1976, assure que l’Union soviétique pourrait prochainement reprendre l’avantage dans la course aux armements, en vue d’établir « une hégémonie soviétique globale ». Wolfowitz réalise alors que sous couvert d’indépendance, il est possible de passer outre le travail réalisé par les agences de renseignement. Il aura recours à ce procédé à plusieurs reprises dans sa longue carrière politique.

L’avantage du statut d’expert, c’est qu’il a la réputation d’être « indépendant ». Wolfowitz ne fait donc pas les frais de l’arrivée au pouvoir de Jimmy Carter. Il faut dire que deux de ses plus proches alliés politiques, le sénateur Henry Jackson et Richard Perle, sont des démocrates. Il obtient donc un poste au Pentagone, où il est responsable des « programmes régionaux ». En réalité, il se charge d’évaluer les problèmes que pourrait rencontrer le Pentagone à l’avenir. Le secrétaire à la Défense, Harold Brown, lui demande notamment d’examiner les menaces pesant sur l’armée états-unienne dans le Tiers-Monde. Wolfowitz se focalise alors sur la région du Golfe arabo-persique, en créant un programme de recherche, le Limited Contigency Study. À l’époque, le premier choc pétrolier a alerté les États-Unis sur l’importance stratégique du contrôle des régions riches en ressources énergétiques, notamment l’Arabie saoudite.

1976 : la première « menace » irakienne de Paul Wolfowitz

Dans le cadre de sa nouvelle affectation, Paul Wolfowitz assiste à un séminaire de Geoffrey Kemp, un jeune professeur à la Fletcher School of Law and Diplomacy. Ce dernier affirme que les États-Unis se focalisent trop sur l’Europe et ne prennent pas assez au sérieux les conséquences d’une éventuelle percée soviétique dans le Golfe. Wolfowitz le recrute immédiatement au sein du Limited Contigency Study, tout comme

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20/10/2015 | Lien permanent

Le cartel de la Réserve fédérale : les huit familles Illuminati/Sionistes (partie 1)

Voici les "ENNEMIS DE L'HUMANITE", les 8 familles de banksters Illuminati/Sionistes/Reptiliens/Satanistes qui gouvernent dans l'ombre, le monde et qui depuis plus de 100 ans escroquent les populations mondiales, fabriquent et financent leurs armées privées et les groupements terroristes pour orchestrer savamment les guerres génocidaires pour s'accaparer la totalité des ressources énergétiques terrestres et pas seulement, ils ont la main sur les banques privées, du complexe industrialo-militaire, des médias aux ordres, du système de santé, de l'énergie, pétrole, gaz, des OGMS, des laboratoires pharmaceutiques, des politiques Pions/VRP, de l'ONU, de l'OTAN, de l'OMS, des Banques Mondiales, ainsi que tous les organismes satellitaires qui gravirent autour de l'ONU, leur premier gouvernement mondial qui gère 193 pays ayant adhéré à leurs statuts, etc....

Leur survie ne peut se poursuivre qu'à la condition de maintenir le Dollar comme monnaie d'échange dans le monde entier. Ainsi Poutine et les pays qui ont créé les BRICS représentent un danger et sont des ennemis potentiels pour les adeptes de la secte du Dollar !

Remarquez sur le logo de la FED, le chandelier à 7 branches à l'envers qui est un symbole dit juif, et qui est censé représenter les 13 familles sionistes/reptiliens dans l'idéologie des Illuminati qui gouvernent le monde. Il peut représenter la Ménorah ou Chandelier à 7 branches mis à l'envers.

Le chandelier à 7 branches, représente l'homme Universel, illuminé, connecté à ses sources cosmiques et Divines, créature Divine, avec ses 7 centres énergétiques ou Chakras qui les relient à "l'arche d'alliance" (les 7 couleurs de l'arc-en-ciel) dont chaque couleur est reliée à un Maître ascensionné des rayons de la Lumière et/ ou reliés aux Hiérarchies Angéliques).

Le chandelier à 7 banches renversé symbolise, l'homme mis dans les ténèbres placé dans la totale ignorance de ses véritables origines et coupé de ses sources énergétiques, cosmiques et Divines, devenant ainsi l'esclave des religions et des Illuminati.

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Par Dean Henderson

Les quatre cavaliers [1] du système bancaire américain (Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup and Wells Fargo) possèdent les quatre cavaliers du pétrole (Exxon Mobil, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco) en tandem avec Deutsche Bank, la BNP, Barclays et d’autres anciens pontes [2] européens de l’argent. Mais leur monopole sur l’économie globale ne s’arrête pas aux limites des champs pétroliers.

D’après les déclarations d’entreprise 10K enregistrées avec la SEC (NdT : la commission des cotations boursières, le « shérif » de Wall Street, ou ce qui devrait l’être), les quatre cavaliers de la banque sont parmi les 10 actionnaires majeurs de pratiquement toutes les entreprises figurant dans le gotha du Fortune 500 [3].

Alors qui sont donc les actionnaires de ces banques centralisant l’argent ? Cette information est gardée de manière plus ferme. Mes demandes aux agences régulatrices bancaires concernant la question de savoir qui possède les actions des « top 25 » compagnies américaines tenant les actions des banques ont initialement reçu un status couvert par le Freedom of Information Act (NDT : loi sur la liberté de l’information, qui aux États-Unis prévoit d’empêcher le secret de l’information), avant d’être finalement refusées sous couvert de raisons de « sécurité nationale ». Ceci est très ironique, sachant que bon nombre d’actionnaires résident en Europe.

Un des monument de la richesse de l’oligarchie globale qui possède ces compagnies de holding bancaire est la US Trust Corporation, fondée en 1853 et maintenant propriété de Bank of America. Un des récents directeurs de l’US Trust Corporation et administrateur honoraire était Walter Rothschild. D’autres directeurs furent Daniel Davison de JP Morgan Chase, Richard Tucker d’Exxon Mobil, Daniel Roberts de Citigroup et Marshall Schwartz de Morgan Stanley [4].

J.W. McCalister, un membre éminent de l’industrie du pétrole avec des entrées dans la maison des Saouds, écrivit dans le Grim Reaper qu’il a obtenu des informations de banquiers saoudiens, qui citaient le fait que 80 % de la banque fédérale de New York, de loin la plus puissante branche de la Réserve fédérale, étaient détenus par juste huit familles, dont quatre résident aux États-Unis. Ce sont les familles Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn-Loeb de New York, les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et les Israël Moses Seifs de Rome.

CPA Thomas D. Schauf confirme les dires de McCallister, ajoutant que dix banques contrôlent les douze branches de la Réserve fédérale. Il nomme N. M Rothschild de Londres, Rotshschild Bank de Berlin, la banque Warburg de Hambourg, la banque Warburg d’Amsterdam, Lehman Brothers de New York, Lazard Frères de Paris, la banque Kuhn-Loeb de New York, la banque Israel Moses Seif de Rome, Goldman Sachs de New York et la banque JP Morgan Chase de New York. Schauf cite également William Rockefeller, Paul Warburg, Jacob Schiff et James Stillman comme étant les individus qui ont le plus d’actions à tire individuel dans la Réserve fédérale [5]. Les Schiffs sont étroitement liés à Kuhn-Loeb, les Stillmans de Citigroup, qui se marrièrent dans le clan Rockefeller au début du siècle.

Eustace Mullins arriva aux même conclusions dans son livre Les Secrets de la réserve fédérale, dans lequel il montre des diagrammes connectant la Fed et ses banques membres avec les familles Rothschild, Warburg, Rockefeller et autres [6]. Le contrôle exercé par ces familles sur l’économie globale ne peut pas être exagéré et est couvert volontairement du sceau du secret. Leur bras médiatique est prompt à discréditer toute information exposant ce cartel de banques privées comme étant une « théorie du complot ». Pourtant, les faits demeurent.

La maison Morgan

La banque de la Réserve fédérale est née en 1913, l’année où mourut J. Pierpont Morgan et où la fondation Rockefeller fut créée. La maison Morgan présidait la finance américaine depuis le coin de Wall Street et Broad, agissant déjà en quasi Banque centrale américaine depuis 1838, quand Georges Peabody la fonda à Londres.

Peabody était un partenaire d’affaires des Rothschild. En 1952, l’enquêteur sur le Fed Eustace Mulins émit la supposition que les Morgan n’étaient de fait que les agents de Rothschild. Mullins écrivit que les Rothschilds « préféraient opérer de manière anonyme aux États-Unis derrière la façade de la JP Morgan and co [7] ». L’écrivain Gabriel Kolko écrivit : « Les activités des Morgan en 1895-96 de vente des bons du trésor-or américains en Europe étaient basées sur une alliance avec la maison Rothschild [8]. »

La pieuvre financière Morgan enroula rapidement ses tentacules autour du monde. Morgan Grenfell opérait depuis Londres. Morgan & Cie depuis Paris. Les cousins Lambert des Rothschild montèrent Drexel & Cie à Philadelphie.

La maison des Morgan étaient impliquée avec les Astors, DuPonts, Guggenheims, Vanderbilts et les Rockefellers. Elle finança le lancement de AT&T, de General Motors, General Electric et DuPont. Tout comme les banques de Londres Rothschild et Barings, Morgan devint partie prenante dans la structure de bon nombre de pays.

Dès 1890, la maison Morgan prêtait à la banque centrale d’Égypte, finançait les chemins de fer russes, renflouait les obligations du gouvernement provincial du Brésil et finançait des travaux publics argentins. Une récession économique en 1893 renforça la puissance financière de Morgan. Cette année là, Morgan sauva les États-Unis d’une panique bancaire, formant un groupement pour remonter les réserves fédérales avec un envoi d’une valeur de 62 millions de dollars d’or des Rothschild [9].

Morgan fut la force motrice derrière l’expansion occidentale des États-Unis, finançant et contrôlant les chemins de fer qui avançaient vers l’Ouest. En 1879 les chemins de fer centraux de New York, financés par Cornelius Vanderbilt-Morgan donnèrent des prix préférentiels à John D. Rockefeller pour son monopole pétrolier de la Standard Oil, scellant ainsi la relation Rockefeller/Morgan.

La maison Morgan alors tombe sous le contrôle familial Rothschild et Rockefeller. Un titre du New York Herald clame : « Les géants du chemin de fer forment un trust gigantesque. » J. Pierpont Morgan, qui déclara un jour « la compétition est un pêché », se réjouissait maintenant : « Pensez un peu que tout le trafic ferroviaire en compétition à l’ouest de St Louis est placé sous le contrôle d’une trentaine d’hommes [10]. » Morgan et le banquier de Kuhn, Loeb Edward Harriman obtenaient un monopole sur les chemins de fer, tandis que les dynasties banquières Lehman, Goldman Sachs et Lazard rejoignaient les Rockefeller pour contrôler la base industrielle états-unienne [11].

En 1903, les huit familles établirent le Banker’s Trust. Benjamin Strong du même organisme fut le premier gouverneur de la Banque de réserve fédérale de New York. La création de la Réserve fédérale en 1913 fusionna la puissance des huit familles à la puissance militaire et diplomatique du gouvernement américain. Si leurs prêts internationaux n’étaient pas repayés, les oligarques pouvaient maintenant déployer les fusiliers marins américains (NdT : traduction la plus proche pour « US Marines ») pour collecter les dettes. Morgan, Chase et Citibank formèrent une alliance internationale syndiquée de prêteurs sur gages.

La maison Morgan était dans les petits papiers de la maison Windsor britannique et de la maison italienne de Savoie. Les Kuhn-Loeb, Warburg, Lehman, Lazards, Israël Moses Seif et Goldman Sachs étaient également très proches des maisons royales européennes. Dès 1895, Morgan contrôlait le flot d’or qui entrait et sortait des États-Unis. La première vague des fusions américaines étaient dans sa prime enfance et était promue par les banquiers. En 1897, il y eut 69 fusions d’entreprises industrielles. En 1899, il y en eut 1 200. En 1904, John Moody, le fondateur de Moody’s Investor Services, di

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31/08/2014 | Lien permanent

Serge Monsat, le dévoilement du projet de puçage de l'humanité

Serge Monast, Journaliste d'investigation avait révélé dès 1993, le projet secret des Illuminati-Reptiliens de pucer le monde.


Comme tous les gens qui disent la vérité, il a été assassiné !

Cela vous étonne-t-il que ce soit un Belge qui ait été nommé Président de l'Europe, à Huit Clos sous la houlette du Group de Bildengerg  ?

 

 
 

 

Révélations de M. Monast (Un des derniers documents présentés par l'auteur avant son assassinat) « Le 15 décembre 1993, à Montréal, Serge Monast, de l'Agence Internationalede la Presse Libre, dont les activités étaient uniquement axées sur le journalisme d'enquête internationale aux niveaux économique, politique, militaire et médical, dévoilait des informations si stupéfiantes qu'elles lui coûtèrent la vie. Neuf ans après, ses informations se confirment les unes après les autres. Il est vrai qu'il était informé par des politiciens repentis, des agents des services secrets écœurés ; il recevait également des documents classifiés, ultra confidentiels, souvent anonymement ou transmis par des confrères situés aux quatre coins du monde » (Jacques Delacroix, Naufrage d'un système,

Tome 1, Collection L.I.E.S.I.,

Éditions Delacroix, B.P. 18, 35430 Châteauneuf, 2003, page 70.)

 

Introduction : Depuis plusieurs années il existe des projets sérieux visant le marquage des individus par laser, sur le front ou sur le poignet.

Mais aujourd'hui les tireurs de ficelles du Nouvel Ordre Mondial sont allés plus loin : ils sont à même de réaliser leur rêve de CONTRÔLE COMPLET DU CHEPTEL HUMAIN. Comment ? Par l'injection d'une puce électronique à chaque être vivant. Tout est quasiment au point ! Ce sera l'objet de la première partie de ce document. Ensuite, nous verrons pourquoi nos écoles ont produit une jeunesse qui, dans sa grande majorité, est - MALGRÉ ELLE - : pourrie, viciée, sans Foi, sans valeurs morales, sans esprit de discernement, sans vie intérieure, ayant pour unique perspective celle de servir le Système selon une morale ANTICHRÉTIENNE et HUMANISTE.

 

Nous nous pencherons ainsi sur les formes policières et militaires constituées par les cadres du Gouvernement Mondial. Cadres choisis parmi les brillants promus des écoles sans Dieu. Des jeunes formés selon une idéologie particulière. Ce Gouvernement Mondial au service de l'Enfer doit asseoir le fils de perdition - l'Antéchrist. Il a besoin d'une force d'action MULTINATIONALE omniprésente. Elle ne peut se constituer qu'à partir d'ÉLÉMENTS NATIONAUX !

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Concept de monnaie électronique avant le marquage de l'humanité. Une condition préliminaire : l'instauration de la monnaie unique.

 

Depuis une trentaine d'années les dirigeants des banques américaines et mondiales commencent à envisager un autre échange monétaire que celui du chèque. Le premier vice-président de la FED déclarait en 1975 : "Il faut absolument développer un nouveau système électronique d'échange sous peine de voir le système bancaire des Etats-Unis s'étouffer sous une avalanche de chèques".

 

On mit alors en route un transfert électronique de fonds au niveau international, la SWIFT - Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunications, - établit à Bruxelles et comptant, en janvier 1975 déjà 246 banques pourvues d'un système privé de communications pour la transmission de paiements et d'autres messages associés aux transactions bancaires internationales.

 

Une femme d'affaires américaine a fait paraître en 1981 et en 1983 deux livres fort bien documentés sur le système monétaire 666 en cours d'élaboration. Elle écrivait : "Quand le système monétaire tombera... ce sera le 666 System... Bruxelles, le quartier général de l'économie européenne, est le lieu où se trouve le centre principal de branchement du réseau international SWIFT. Ce centre a l'ambition d'étendre ce transfert de fonds au niveau international, c'est-à-dire pour tous et dans tous les pays. Ce centre de contrôle monétaire occupe trois étages de l'immeuble de treize étages du quartier général de la CEE. C'est dans cet immeuble que Mr. Elderman est en train de diriger rapidement les efforts en vue d'attribuer à chaque personne sur la terre un numéro de 18 chiffres composé de trois série de six chiffres."

 

Cet article indique que les informaticiens travaillaient sur un plan qui visait à attribuer des numéros à chaque individu sur la terre. Ces derniers ont suggéré qu'un nombre chiffré pourrait être inscrit par tatouage au laser sur le front ou sur le dos de la main.

 

Selon eux, cette "marque internationale" pourrait en finir avec toutes les monnaies. Aucun individu ne pourrait acheter ou vendre sans avoir l'attribution d'une marque chiffrée...

 

Les capacités des ordinateurs du réseau SWIFT centralisés à Bruxelles sont telles que les initiés l'ont appelé "The Beast" (la Bête)... Ce gigantesque ordinateur à Bruxelles appelé la Bête existe depuis la fin des années 80.

 

Grâce aux cartes de crédit, il a été facile de mettre presque toutes les populations des nations industrielles et commerciales dans les mémoires des banques. Nous sommes liés à cette machine électronique par une ou plusieurs clés qui peuvent être notre numéro de sécurité sociale, notre permis de conduire, notre extrait de naissance, notre numéro de passeport. Chaque mouvement d'argent que nous avons fait et chaque penny que nous avons payé au service des impôts annuellement est enregistré.

 

La capacité de cette gigantesque machine de Bruxelles était préalablement établie pour 2 milliards de personnes en 1989. Chaque individu, membre d'une des nations industrielles est déjà dans cet ordinateur. Sont connus : chaque déplacement d'argent effectué, tous les changements d'adresses réalisés, les emplois suivis, les revenus et le taux d'imposition.

 

Dans ce programme, tout achat et toute vente doit se faire par ordinateur. Pas de devises, ni de monnaie ni de chèques. Les entreprises bancaires et commerciales se sont d'ailleurs toutes converties au niveau système de transfert électronique de fonds, entraînant dans leur sillage la grande masse des salariés et employés divers. L'idée initiale était d'établir cette gigantesque unification et planification monétaire par le moyen des cartes de crédit.

 

Dans les années 80 on pensait que chaque personne recevrait un numéro tatoué sur son poignet ou sur le front. Ce numéro fourni par Bruxelles serait imprimé par un rayon laser sans qu'on ne le sente. Le numéro sur le corps serait invisible à l'?il nu et serait aussi durable que les empreintes digitales. Tous les articles commerciaux sont pourvus d'une marque à l'ordinateur. L'apparition il y a quelques années du code-barres informatique s'est étendue rapidement sur la quasi totalité des biens de consommation. Ce fut la première conséquence concrète, perceptible, du plan d'asservissement monétaire en cours. Tout ceci s'est fait sans publicité, dans le grand silence. Nous y reviendrons.

 

La caisse ordinatrice du magasin qui enregistre le numéro des articles, enregistrerait également le nombre sur le corps de la personne, ferait automatiquement le total de ses achats et déduirait le montant de son compte spécial de droit de retrait. A l'époque, la marque sur la main ou sur le front devait s'effectuer selon la technique du laser. On devait imprimer par brûlure microscopique, indolore, inaltérable et très précise, le code informatique des données bancaires.

 

On trouve des explications aux Etats-Unis :

 

- Dans les grands centres de loisirs où l'on pratique perfidement cette parole de Jésus : "Laissez venir à moi les petits-enfants"...

 

A l'entrée du parc Disneyland, les parents règlent afin que leurs enfants puissent aller à telle ou telle aire de jeux. Rendu sur le lieu désiré, l'enfant met sa main dans une machine. Elle lit que l'enfant a payé. Elle le laisse entrer dans l'aire de jeux.

- Dans les grands centres de distribution...

 

Les clients n'ont plus à faire de longues queues devant les caisses. Plus besoin de passer leurs achats sur le tapis roulant. Pour emprunter un chariot, le client insère sa carte de crédit dans un logement spécial, qui s'y trouve incorporé. A l'intérieur se trouve un lecteur laser de code-barres robuste, à l'épreuve des chocs. Ainsi, chaque fois que le client introduit un article dans le chariot, sont pris est enregistré. Le paiement s'opère automatiquement par connexion du chariot à la caisse-sas de sortie, qui lit la carte bancaire et vérifie la validité de son code. Le client n'a plus qu'à signer la facture établie par le lecteur code-barres de son propre chariot.

Le premier supermarché sans caissières a été ouvert à Caen en 1994...

 

Voici ce qui est peaufiné : pour emprunter le chariot le consommateur devra apposer sa main dans un logement spécial incorporé - comme les enfants le font déjà à Disneyland. Le lecteur optique lira le code-barres de la main, gravé au laser.

 

Si le client potentiel est dûment marqué, si son compte en banque est suffisamment provisionné ou s'il n'est pas classé parmi les exclus économiques pour raison religieuse ou politique, le chariot se libère et le client peut rentrer dans le magasin. Même système et passage à la caisse-sas enregistreuse afin que celle-ci puisse établir l'identité de la facture, ainsi que le numéro du compte. Il signe cette facture et c'est fini.

Seuls les esclaves de la Bête pourront manger et boire...

 

Mais les mondialistes ont été peu à peu obligés de se rendre à l'évidence : la carte de crédit par exemple n'était pas à la hauteur du plan monétaire d'asservissement universel ! Il fallait chercher autre chose.

Dans ce contexte déjà bien avancé, il suffisait d'un pas de plus pour réaliser parfaitement la domination économique et monétaire du Gouvernement Mondial antichristique.

 

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Plusieurs individus travaillant en solitaire pour la divulgation de la vérité sur des sujets variés, inconnus du public, dangereux, ont décidé de se réunir et d'organiser à l'échelle nationale et internationale un réseau parallèle d'informations et d'échanges de tout ordre. Ce, afin de freiner l'anéantissement des valeurs occidentales et de témoigner du complot qui s'abat contre notre monde chrétien.

 

Dangereux, parce que les informations vérifiables à l'Agence Internationale de la Presse libre, démontrent la perspective pas très lointaine de notre condamnation et d'une volonté des ennemis de Jésus-Christ Fils de Dieu, de nous pourchasser pour notre foi, notre refus de la société antéchristique actuelle, et finalement du désir de marquer du signe de la Bête tous les individus de la planète comme vous le verrez par la suite.

 

Les activités de l'Agence Internationale de la Presse libre au Canada sont accès uniquement sur le journalisme d'enquête internationale au niveau économique, politique, militaire, médical, et vérifiables. Leurs dirigeants ne peuvent pour l'instant pas être contactés pour des raisons que chacun devine. D'où la décision prise de diffuser ce que vous allez connaître. Même les informations qui seront portées à votre connaissance ont été obtenues avec beaucoup de difficultés de la part de certains journalistes [néanmoins la cohérence de ces informations rendent celles-ci fort vraisemblables, pour ne pas dire certaines, compte tenu de ce qui s'est déjà réalisé]. Plusieurs ont risqué leur emploi, leur sécurité et pour quelques-uns, leur vie.

 

Partie I

 

MARQUAGE DE L'HUMANITÉ

 

LE MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE

 

Depuis l'apparition des CODABARS en 1977 - approuvé par l'ONU dès 1972 - il y a une accélération foudroyante du Plan de la "Synagogue de Satan" [Apocalypse, II, 9] prophétisé par l'Apocalypse aux chapitres XIII, versets 8 et 15 à 18 : "La Bête réussit à leur faire mettre à tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une empreinte sur la main ou sur le front ; et elle fit en sorte que nul ne pût acheter ou vendre, qu'il n'eût l'empreinte, le nom de la Bête ou le nombre de son Nom. Ici réside la Sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la Bête. C'est un nombre d'homme. Ce nombre est SIX CENT SOIXANTE SIX " [www = 666].

 

Ces CODABARS de type "Ean" intégraient le nombre "666" au moyen de trois groupes de deux barres plus longues que les autres (au début, au milieu et à la fin). Chacun des groupes est lu au laser comme un "6". Ainsi obtient-on le chiffre "666" qui se surimpose sur chaque code-Barres.

 

Ces trois chiffres identiques s'ajoutent aux treize chiffres fonctionnels (le choix de ce nombre fut volontaire afin de dévoiler la réalisation de l'Apocalypse, précisément son chapitre XIII !)

 

Le code de treize chiffres s'explique ainsi : 3 pour le pays et la région d'origine, 5 pour les producteurs (usine, atelier, etc.), et 5 pour le produit (prix, date, etc.). Chaque chiffre est lui-même réalisé par une juxtaposition de 7 modules blancs ou noirs. Comme le nombre d'arrangements de 7 modules est très supérieur à 10, ce procédé permet d'utiliser simultanément 3 codes dits A, B et C.

 

B est identique à A, mais à l'envers. C s'obtient en inversant les couleurs de A. Le code A n'est utilisé que pour les 6 premiers chiffres de chaque étiquetage, ce qui permet de déchiffrer le code quel que soit le sens dans lequel les caissières des supermarchés présentent les paquets devant l'appareil de lecture optique.

Afin d'éviter les "doubles", tous ces codes sont attribués, dans chaque pays par un diffuseur unique qui a fait du secret sa règle d'or : "Gen Code", filiale du diffuseur américain.

 

En 1988, la ville de Singapour - en Malaisie - a testé ce système de marquage sur une population de dix mille personnes. Pendant trois mois on a testé dans cette mégapole le remplacement des cartes de paiement par un CODE-BARRES individuel lisible au laser. Le code était gravé pour moitié sur le poignet et pour moitié sur le front !

 

Ron Steele démontrera que la technologie pour marquer, enregistrer et surveiller des gens existe par exemple aux Etats-Unis avec des prisonniers et même certaines prostituées séropositives.

 

Le sujet que je développe à ce jour est basé sur des informations fournies essentiellement par Ladite Agence ; il est très important.

Même les journalistes initiés ne pouvaient pas penser que l'information qui fait l'objet de cet article puisse exister. Il s'agit de quelque chose d'excessivement sérieux, qui, du jour au lendemain, non seulement permettrait l'instauration d'un Gouvernement mondial, d'un ORDRE MONDIAL, mais rend possible le contrôle individuels, direct, de chaque individu sur la planète.

 

Cette information concerne le MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE.

Dans la nouvelle technologie de pointe qui va être utilisée et l'est déjà pour arriver à un contrôle absolu de toutes les populations de la planète, les architectes du Nouvel Ordre Mondial ont admis dans des réunions privées que sans l'avènement de l'ordinateur et de la haute technologie, la réalisation d'un Gouvernement Mondial n'aurait jamais pu être si proche.

Parmi ces nouvelles technologies les plus effrayantes qui soient, il y a le MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE.

 

Qu'est-ce que c'est ? Des confrères américains [et non français] ont réussi à obtenir des informations vérifiables grâces à des documents audio, des photographies, un dossier de presse complet provenant de publications produites par des journaux officiels et religieux depuis 1990. Ces informations démontrent l'existence d'un contrôle électronique direct de tous les individus sur toute la planète.

 

On pourrait croire avoir affaire à de la science fiction, mais la présence de documents écrits, de références à ces documents et des documents vidéo provenant des compagnies qui ont mission de fabriquer ce produit-là, ne laissent aucune alternative quant aux conclusions.

 

Selon Terry L. Cook - journaliste chrétien d'investigation sur la côte ouest américaine, - celui-ci se référant à Tem Wellord, la technologie cachée derrière le nouveau MICRO CHIP n'est pas très compliquée. Avec un peu de raffinement il pourrait faire l'objet d'une grande variété d'applications humaines.

 

D'une manière plus que concevable, un numéro pourra être assigné à chacun dès la naissance et faire partie de la vie intégrante de celui-ci jusqu'à sa mort.

 

Vraisemblablement cette puce électronique pourra être implantée sur le revers de la main, et celle-ci pourrait servir de carte d'identification universelle, ce qui remplacerait les cartes de crédit, les passeports, les permis de conduire, etc.

 

A la fin de l'année 1993, une compagnie américaine : la Destron Idi Colorado, fabrique et annonce ces puces électroniques d'identification IDI CHIP globalement via "Infopet" et d'autres distributeurs américains et internationaux.

 

Pour l'instant, ces puces sont utilisées pour retracer, contrôler et identifier les animaux de ferme, les animaux domestiques, les oiseaux, les poissons et tous produits manufacturés. Actuellement ce nouveau système se répand à la vitesse de l'éclair sur toute la planète. Un exemple : celui de l'implantation du MICRO CHIP sur les grands oiseaux coureurs d'Australie.

 

Autruches, émeus et nandous sont l'objet d'un élevage commercial aux Etats-Unis. Zoan Parker, un spécialiste des ratistes ou oiseaux coureurs du Penn State Cooperative Extension à Lancaster, déclare que l'élevage de ces oiseaux reflète aujourd'hui les mêmes tendances que l'élevage du bétail dans les années 1800, qui commença également comme un marché limité à quelques éleveurs. Ces premiers fermiers savaient que les voleurs de bétail était un véritable problème. Plutôt que de marquer le bétail au fer chaud, ce stock d'oiseaux vivants est muni d'un MICRO CHIP individuel d'identification qui émet un signal. Zoan Parker dit que "c'est comme un numéro de sécurité sociale".

 

Ce MICRO CHIP est si petit qu'il peut être facilement introduit dans une aiguille hypodermique ! Il s'agit d'un minuscule tube de verre, microprocesseur passif, de 2 mm de diamètre, et dont la taille mesure entre 10 et 12 mm.

 

Peu après la naissance de l'oiseau, le MICRO CHIP est injecté dans les tissus adipeux ou musclés de l'animal, "ne causant aucun mal ou inconvénient à l'animal", selon Parker. L'oiseau peut alors être identifié par un lecteur de MICRO CHIP portable.

 

Parker ajoute : "Chaque oiseau doit être muni d'un MICRO CHIP pour être transporté à travers les frontières des Etats, ou être assurés. Il vous faudrait littéralement déchirer l'oiseau en morceaux pour arriver à ôter le MICRO CHIP".

 

En 1995, comme la plupart des gens le savent, le numéro d'assurance sociale se compose d'une série de neuf chiffres. Selon d'autres informations reçues tout récemment à l'Agence, ce système sera tout prochainement remplacé avec l'aide de nouveaux ordinateurs, par une série internationale de dix huit chiffres numériques, à cristaux liquides, connus sous le nom de MESH-BLOCK. Une configuration internationale qui permettra d'identifier n'importe qui sur la planète. Cette nouvelle série de dix huit chiffres sera divisée en trois parties, c'est-à-dire trois série de six chiffres chacun.

 

Tout début 1994, ces implants de puces électroniques aussi appelés TRANSPONDER ont été partout répandus sur la planète pour le contrôle de l'industrie animale. Afin d'identifier l'animal (numéro précis attribué à chacun, comportant le nom et l'adresse des propriétaires) un lecteur manuel envoie une impulsion radio de 125 Khz (signal). Le transponderimplanté renvoie le numéro attribué par retour (réponse en écho), au lecteur (scanner). Le scanner affiche aussitôt le nombre digital sur son écran à cristaux liquides.

 

Un TRANSPONDER, c'est un récepteur-émetteur radio ou radar, activé pour la transmission, par la réception d'un signal prédéterminé qui peut provenir d'un lecteur au laser ou d'un équipement sophistiqué : émetteur ordinateur ou même par satellite. Selon le journaliste L. Cook ("Implantable Biochip Tenchnology 666") le nom complet de ce "grain de riz" est : Destron Idi Transponder TX 1400 LX. Dans son livre il nous apprend que le coût d'un de ces "grains de riz" est d'environ $4,5 (US). Il cite dans cet ouvrage un article de "San Diego Union"du 9 novembre 1991 dans lequel un journaliste révèle que la ville de Los Angeles aurait voté un crédit de $123 000 par an, pour fabriquer des "implants" sur les animaux familiers et inciter les propriétaires à en faire autant. L'objectif consisterait à réduire par ce système le nombre des animaux perdus, qui coûtent cher aux villes...

Dans un autre article, tiré du "Arizona Republic" du 20 juillet 1989, on apprend qu'un certain Jack Dunlap proposerait d'implanter des puces électroniques aux... jeunes enfants afin que leurs parents puissent les retrouver en toute occasion, par l'intermédiaire des ordinateurs de la police !...[Et le pas est franchi, car l'escalade coulait logiquement et inéluctablement de source.]

 

Ce journaliste américain précise : "La technologie cachée derrière ce nouveau "micro chip" n'est pas très compliqué et, avec un peu de raffinement, pourrait être utilisé dans une grande variété d'applications pour les humains" [bien sûr, c'était cousu de fil blanc].

A cet effet, en 1995, UNE NOUVELLE VERSION EST EN PHASE D'EXPÉRIMENTATION SUR L'ÊTRE HUMAIN. Vraisemblablement cette puce d'identification a de grandes chances de devenir le marquage électronique attendu puisqu'elle pourrait être implantée sur le front ou le revers de la main et de venir la "carte d'identité universelle". Par exemple, dans les magasins, il suffirait de passer le poignet au-dessus ou dans un "scanner" pour effectuer ainsi un débit direct sur un compte bancaire... [et le tour est joué !].

 

Selon la C.E. Ouranos "des expériences ont été faites aux Etats-Unis pour graver sous forme de tatouage invisible à l'?il, le code-barres sur la main de certaines personnes. Une nouvelle carte identité infalsifiable, comportant une puce électronique permettra, une fois passée dans un lecteur, de connaître tous les renseignements sur la personne. Elle fera office de carte universelle d'ici l'an 2000. Déjà la nouvelle forme de pointage électronique remplaçant le ticket de métro et de bus dans certaines villes préfigure le nouveau système de contrôle magnétique infalsifiable qui sera utilisé d'une manière universelle".

 

On sait que de tels projets sont testés en ce moment même dans les "bureaux d'études" constitués et financés par la "Synagogue de Satan" [Apocalypse, 2 : 9] (Haute Finance internationale).

Cela paraît peut-être invraisemblable, mais il est aujourd'hui possible "techniquement" de contrôler directement et individuellement chaque individu sur la planète. Chacun d'entre nous, avec ce système, serait enregistré. Et d'après les documents reçus, il est évident que ceux qui comptent l'implanter d'une manière obligatoire au niveau des populations sont en train de structurer les nouveaux paramètres internationaux, la nouvelle télémétrie économique, de manière à ce que tout individu qui n'aurait pas cet implant électronique ne pourrait ni acheter, ni vendre quoi que ce soit sur toute l'étendue de la planète.

 

Pour mieux comprendre ce que peut être le MICRO CHIP BIOLOGIQUE D'IDENTIFICATION INTERNATIONALE on peut chercher une définition d'après les compagnies qui ont reçu mission de la créer [terme impropre : Dieu seul crée].

 

Après avoir évoqué la Destron Idi Colorado on pourrait aussi citer la multinationale Texas Instrument, la Tarovan, qui est la compagnie du système d'identification électronique aux Etats-Unis, mais aussi la compagnie Avidqui fabrique un "tag", c'est-à-dire une espèce de médaille d'identité qui est remplacée par la puce électronique et fait partie des sociétés construisant des appareils d'identification pour le monde vétérinaire aux Etats-Unis.

 

La définition transmise par ces sociétés est la suivante : l'implant MICRO CHIP D'IDENTIFICATION est un appareil d'indiscrétion, d'abus de la vie privée, inséré avec une unité - un module - dans une petite région de la peau au moyen d'air comprimé.

 

En d'autres termes, cette puce électronique - pas plus grosse qu'un grain de riz - doit être injectée à l'aide d'une seringue à air comprimé. L'inclinaison de cet appareil d'implantation est comme une aiguille hypodermique, n'ayant qu'une pénétration limitée, et elle ne pourrait aucunement opérer si l'angle ou la quantité de peau n'était pas approprié. Cette unité émet un signal qui est digital et qui consiste en des jaillissements de 85 datas Bits.

 

Cette puce produit donc un signal digital à des intervalles spécifiques. C'est un signal de localisation. La technologie de cet appareil est hautement sophistiquée, classifiée (donc c'est une information technologique non publiée), et elle n'est pas soumise aux transmissions digitales normales et analogues. Cet appareil fournit des informations vitales, de même qu'il sert de moyen de localisation ; c'est-à-dire que l'appareil peut être codé, programmé, pour fournir des informations complètes avec un numéro d'identification. De plus il permet aux individus qui le manipulent de vous repérer où que vous soyez par un service de détection. Il y a ainsi, par l'implantation du MICRO CHIP sous la peau, possibilité de localiser tout individu grâce à l'émission du signal émit par la puce, et capté par des satellites. Ces derniers retransmettraient l'information à un écran d'ordinateur aux quartiers généraux des corps de police au service de ce Gouvernement Mondial [peut-on imaginer la puissance d'un tel Gouvernement ?] (nous verrons plus loin que ces corps de police existent déjà).

 

Une carte géographique intégrée dans le programme de l'ordinateur permettrait alors de localiser immédiatement l'individu recherché et de programmer une opération pour le trouver.

 

C'est essentiellement dans cette perspective que sont lancés à foison les satellites aujourd'hui.

 

Penchons-nous précisément sur la question des satellites au regard d'autres informations reçues par la Commission d'Etudes Ouranos.

L'objectif s'intitule : "Une autoroute de données par satellites".

 

Il y a chez les mondialistes de l'ONU et les financiers de l'Ordre Mondial[car, dans cet ordre-là, rien ne peut être réalisé sans argent], une volonté délibérée de faire de la planète un grand "village". Il est pour eux un impératif que les endroits les plus reculés du monde soient reliés à une infrastructure mondiale, grâce à un gigantesque réseau de 840 satellites. Ce projet est proposé par Bill Gates [Monsieur Gates, attention au boomerang !], le fondateur de Microsoft, et par Craig Mc Caw, le roi du téléphone cellulaire (tous ces téléphones ont déjà une puce d'intégrée qui permet de suivre à la trace leur possesseur, d'où une publicité effrénée pour leur diffusion).

On sait que l'américain Loral Corp et neuf partenaires étrangers, dont le puissant groupe français Alcatel Alstom, viennent de donner le coup d'envoi d'un système mondial de téléphonie et de radiolocalisation par satellite Globalstar, qui s'associera avec Bill Gates. Pour découvrir 98 % de la population mondiale, la "constellation Globalstar" comprendra 48 satellites sur six plans orbitaux à l'altitude de 2390 km.

 

Bill Gates prévoit ainsi un réseau gigantesque de 840 satellites gravitant sur 21 orbites différentes, à une altitude de 700 km, de manière à couvrir 95 % de la planète.

 

On relèvera outre le projet "Globalstar", plusieurs "concourrents" dont le projet "Irridium", fondé sur 66 satellites, pour 1988. Projet qui présente la particularité d'être en avance sur les autres dans la réalisation technologique.

 

D'après les documents en possession de certains journalistes canadiens et américains [les journalistes français s'étant éclipsés] et fournis à l'Agence Internationale de la Presse libre, le MICRO CHIP a déjà été expérimenté et implanté dans des organismes de bébés, de militaires, de messagers du gouvernement et sur du personnel travaillant à la Maison Blanche dans des sections de haute sécurité. On rapporte aussi qu'il fut autorisé pendant la guerre du Golfe et fut montré publiquement à l'émission très connue de "Twani and Twani" aux Etats-Unis, en août 1991 [en France, on se couche, comme le disait déjà l'extraordinaire Mélanie de la Salette, Sœur Marie de la Croix, la sainte Bergère].

 

Relevons parmi les projets diaboliques celui d'implanter dans le corps de nouveau-nés une "puce électronique" devant faire de cet individu un robot soumis au pouvoir de l'ordinateur avec lequel il sera branché. "Bonum Certanem" de l'abbé Mouraux dévoile que "le malheureux contrôlé jour et nuit deviendra un esclave électronique. Commandé électroniquement cet esclave pourra sur l'ordre de ses maîtres, commettre tous les crimes qu'on lui imposera".

 

Il apparaît donc qu'à l'heure actuelle, avec une technologie de cette trempe, on arrive à une possibilité du contrôle complet des individus sur la planète, qui permet l'instauration d'un Gouvernement Mondial sous l'égide des Nations-Unis.

 

Mais il y a pire... On sait aujourd'hui que des personnes travaillent au remplacement, dans la prochaine décade, du MICRO CHIP par un BIO CHIP : une puce fabriquée à partir de protéines vivantes.

A l'heure actuelle, le projet est déjà en stade d'expérimentation. Cette puce sera infiniment plus petite que le MICRO CHIP : elle aura la capacité de renfermer une foule d'informations. Elle aurait le potentiel de pouvoir agir sur la mémoire ou la pensée d'un individu. D'où la spectre du contrôle mental.

 

Est-il possible aujourd'hui d'agir sur l'être humain à son insu par la manipulation des états de conscience ? On peut facilement à cette question en se référant aux états de haute suggestibilité sur le conscient qui permet l'action de l'hypnose sur l'inconscient. A titre d'exemple, la télévision devient un outil efficace pour ce genre de manipulation au moyen du sublimal. D'ailleurs la CIA qui travaille actuellement à l'installation de son propre "canal de télé" aura la capacité de transmettre - à partir de transmetteurs-aériens puissants - pour interrompre toute programmation dans n'importe quel pays. Nous avons là la réalisation matérielle de ce verset biblique : la Bête aura le pouvoir de "faire parler les images" (Apocalypse, 13 : 15).

 

Pour les initiés qui financent des chercheurs sur des projets aussi macabres, une telle puce présente d'autres avantages : tout pourrait y être inclus. Cette puce d'identification électronique humaine pourrait rendre réalisable une centralisation globale par un ordinateur central. D'où possibilité de ne jamais perdre la trace d'un individu et de remplacer le système monétaire actuel. L'argent ne serait alors plus nécessaire : plus besoin de chèque, de cartes de crédit, etc. Tout fonctionnerait à partir de cet implant électronique sur l'individu. Ce serait un moyen fantastique de réduire les dépenses de l'Etat, des banques et de neutraliser une fois pour toutes l'ensemble des marchés de la mafia, du marché noir, le marché de la drogue, et toutes formes de transferts illégaux d'argent.

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20/11/2009 | Lien permanent

Les Dieux ANNUNAKIS sont de retour sur leur planète Nibiru !

Leurs créatures hybrides, humano-reptiliennes : les Illuminati-reptiliens s'activent pour instaurer le Nouvel Ordre Mondial avant leur retour sur la planète Nibiru ! Ce que nous pouvons lire sur leur logo. Allons-nous les laisser prendre le pouvoir sur la Terre et sur l'humanité ? 

Ils ont besoin de nos richesses et surtout de notre ADN pour se reproduire, assurer leur survie et le prolongement de leur civilisation qui était en voie de disparition ! Nous sommes en même temps leurs esclaves et leur garde-manger !

Ce que l'on nous  présente comme étant un mythe, n'est autre que la pure réalité millénaire !

REVEILLEZ-VOUS !

L'article à télécharger au format PDF

Logo des Illimunati.jpg

ANNUIT COEPTIS

=

NOTRE ENTREPRISE (CONSPIRATION) SERA COURONNEE DE SUCCES

NOVUS ORDO SECLORUM
=

EN INSTAURANT LE NOUVEL ORDRE MONDIAL POUR LES SIECLES


Les Reptiliens ANNUNAKIS

Les Dieux Annunakis-Reptiliens ces êtres étranges venus d'ailleurs sont de retour !

Ils ont pris forme humaine et ont l'intention de conquérir la Terre  comme ils l'avaient déjà fait il y à plus de 200 000 ans. L'objectif cette fois est d' anéantir l'humanité turbulente et obsolète à leurs yeux. Cette Humanité qu'ils avaient  déjà parasitée par des implants génétiques lors de leurs passages successifs sur Terre créant ainsi les  "ADAM", des animaux aux services de leurs démiurges créateurs .

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L'humanité Primordiale est prisonnière depuis la nuit des temps d' implants génétiques reptiliens afin d'être rendue à l'état d'esclave docile et résigné,  coupé de la" Source Primordiale"  grande Déesse Sophia mère de la vie pour la Galaxie et l'Univers. Pour arriver à leurs fins les ANNUNAKIS,  utilisent des espèces hybrides restés sur la planète en attendant leur retour pour servir leurs dessins futurs : l'instauration du Nouvel Ordre Mondial pour les siècles.

Ces hybrides de nature reptilienne plus qu'humaine ont pour tâche de préparer le retour de leurs pères créateurs en tous cas de perpétuer leur mémoire sur Gaïa. Ils sont présents dans tous les rouages de la société humaine depuis les plus anciennes civilisations d'Egypte, de Sumer, de Mésopotamie et les mondes antédiluviennes. Ce sont les Illuminatis, les membres de sociétés secrètes" Sataniques", les guides des grandes Religions, les lignées Royales et politiques qui structurent la société humaine selon les règles Pyramidales et la loi du plus fort.

Le principe de base et d'empêcher tout réveil spirituel de la nature profonde de l'humain, l'objectif actuel est de générér l'auto destruction du genre humain en organisant le chaos planétaire par tous moyens afin de nous obliger à accepter l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, phase ultime d'un nouvel âge d'or de ceux qui sont venus du ciel les Dieux Reptiliens Annunakis.

Il vous faudra surmonter l'incrédulité de vos semblables et les convaincre que le cauchemar a déjà commencé.

Sinouhé 2010

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ANNUNAKIS
Ceux qui descendaient du ciel sur la Terre

Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrits comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner. Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom. Les tablettes  Sumériennes et ensuite Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent". Les Annunaki participaient à l'enrichissement culturel par l'apport de techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du sol,…), de connaissances astronomiques (position de la ceinture d'astéroïdes qui n'est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets, des lieux et parfois des concepts. Il existe un lien fort entre l'existence d'une mythologie et la mise en œuvre d'un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues. Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l'intervention des Annunaki dans la société sumérienne ne peut pas se justifier que par de la poésie.

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Le roi Šulgi d'Ur (2094-2047 av. JC), souverain de Sumer et d'Akkad.
Il fut déifié lors de son règne afin de marquer son origine divine.
On le voit sur ce sceau en argile faisant face à un Dragon qui lui transmet le
pouvoir divin. Un de ses hymnes précise "que Šulgi possède un regard féroce
et qu'il est né d'un Ušumgal (Grand Dragon)" (ANET 585).


HISTOIRE DES ANNUNAKIS
Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées). Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.

Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine. L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil. Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre et surtout de meilleure qualité).

La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe. En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant en deux. La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée. Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil. Les gisements d'or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l'or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar). , Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or. Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier. Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile. Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d’autres tâches domestiques.


dieuxsumer


EA PRINCE DE LA TERRE
William Bramley écrit dans " Die Götter von Eden " sur les Sumériens : " Sur les tablettes mésopotamiennes, la création de l'HOMO SAPIENS est attribuée surtout à un " Dieu ". Le nom de ce " Dieu " est EA. Il aurait été le fils d'un roi de ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince EA était connu sous le titre " ENKI " (le seigneur ou le prince) de la Terre. D'après les textes des Sumériens, le titre d'EA n'était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit de son demi-frère " ENLIL " d'immenses territoires de la Terre sur lesquels il régnait, suite à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient apparemment les régnants de cette civilisations extra-terrestres. " On attribue à EA (ENKI) le prince de la Terre) non seulement la "création de l'homme" mais aussi beaucoup d'autres réalisations. Il aurait asséché les marais du golfe Persique pour les remplacer par des terres fertiles, il aurait construit des digues et des bateaux et aurait été un bon scientifique. Par sa création de l'homo sapiens, il donna la preuve qu'il s'y entendait dans la technique génétique, mais, si on en croit les tablettes en argile, cela nécessita beaucoup d'expérimentations. EA (ENKI) aurait été bienveillant avec sa création, l'homo sapiens. D'après les textes de Mésopotamie, EA prit parti pour le nouveau genre humain au conseil des extra-terrestres. Il s'éleva contre beaucoup de cruautés que d'autres extra-terrestres, et parmi eux son frère Enlil, infligèrent aux hommes.

Il ressort des tablettes sumériennes qu'il ne voulait pas faire de l'homme un esclave mais qu'il fut mis en minorité par les autres. Les hommes qui n'étaient pour eux rien d'autre que des bêtes de somme furent traités cruellement par leur maîtres. On parle dans les tablettes de famines, maladies et guerre biologique. Mais comme ce génocide ne faisait pas assez régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge. Beaucoup d'archéologues confirment aujourd'hui qu'il y a eu au Proche-Orient un déluge qui remonte à des millénaires qu'on retrouve non seulement dans les tablettes sumériennes mais aussi dans l'épopée de Gilgamesh et dans l'Ancien Testament. D'après les textes sumériens, EA raconta à un Mésopotamien du nom d'Utnapischtim le plan des autres extra-terrestres et il lui apprit à construire un bateau pour qu'il prenne la mer avec sa famille, quelques artisans, un peu d'or, du bétail et des animaux sauvages. L'histoire de Noé vient, comme beaucoup d'autres histoires de l'Ancien Testament, des écrits plus anciens de la Mésopotamie. Les Hébreux ne changèrent que les noms et instituèrent un seul Dieu dans la religion juive alors qu'il y avait de nombreux dieux dans les écrits originels. Dans la Bible, écrite en hébreu, chaque mot a une signification tout à fait exacte et nos Bibles en différentes langues ne sont que des interprétations de l'original. En s'intéressant à l'archéologie, aux langues et à l'histoire de l'Orient ancien, aux anciennes mythologies, les légendes des Grecs, des Hittites, des anciens Cananéens et Babyloniens nous arrivons sur les textes sumériens, notés sur des tablettes d'argile. En les traduisant nous pouvons conclure à une "genèse" sur l’HOMO SAPIENS qui est en contradiction complète avec les conceptions des grandes religions du monde. Elle est, pourtant, scientifiquement la plus compréhensible et la plus logique, de plus, elle est en parallèle avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel.)

Mais comment la plupart des mythes et légendes décrivant nos origines racontent le même genre d’histoire, même si toutes les histoires ne sont pas identiques ? Comment expliquer que la plupart des traditions possèdent des récits sur l’implication d’êtres avancés dans la création des premiers êtres humains ou de leurs cultures ?

William Bramley écrit dans "Die Götter von Eden" sur les Sumériens :

Le clan des EA, dirigés par SIN (de la famille et donc du clan d’ENKI) voulaient donner aux humains (les esclaves) une aide technique et scientifique, mais ils ont été empêchés par d’autres EA, plus âgés, dirigés par NINURTA (que l’on connaît également sous le nom de YHVH). Les EA vainqueurs punirent ceux qui avaient donné aux hommes les connaissances scientifiques en les éloignant de certains postes importants. Ils les ont appelé les “pécheurs”. Le clan de NINURTA voulait limiter l’accès aux connaissances aux êtres humains et leur cacher la vérité sur les objectifs des Annunakis. Ils ont diabolisé le clan de SIN, comme ENKI dont le symbole était le caducée (deux serpents entrelacés référence à la double hélice de l’ADN). C’est la raison pour laquelle l’EA qui désirait donner la connaissance à Eve dans la Bible a été associé au serpent. Nous retrouvons ce récit dans le livre d’Enoch.

Anton Parks (Antonparks.com) indique dans son livre "Le secret des Etoiles Sombres" que le haut conseil des Annunaki décida de fabriquer génétiquement les humains pour qu'ils travaillent à la place des dieux. Cette nouvelle race n’est pas des "A-dam" (des animaux) mais plutôt des "Lùlù" (des hybrides). Enki (EA) dirige les opérations pour le compte de l'Annunaki sous les directives d'Enlil le chef terrestre et représentant de l'annunaki. Mais Enki va modifier le programme de création en rendant le spécimen autonome. Le premier spécimen esclave devait être androgyne, Enki va le couper en deux et ainsi créer l'homme et la femme. Le serpent de la bible est Enki le généticien cloneur, Enlil l'adversaire de Enki est Satan (Le Satam), il veut détruire la fertilité et réduire les jours de l'humanité (comme indiqué sur les tablettes de l'Atrahasis). Le Satam détient tous les pouvoirs, c'est un administrateur. Bien avant les sumériens, les Satams étaient exclusivement des femmes qui travaillaient dans la vaste région de l'Eden (Mésopotamie). Lorsque les mâles de l'Annunaki ont découvert la puissance sexuelle chez la femme, ils ont voulut emprisonner les femelles afin de prendre leur puissance. Après plusieurs conflits, les prêtresses femelles se sont alors protégées des mâles. Le sexe ayant été banni pendant assez longtemps, l'Annunaki mâle se concentra alors sur la procréation par clonage, participant à l'invention de nouvelles races comme les Gris (des esclaves au service des mâles pour les taches indignent) et autres Hybrides... (Source: Karmapolis.be)

Ea fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes. De " prince de la Terre " il passa " prince des ténèbres " et fut affublé aussi de surnoms horribles tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable. On le présentait comme le pire ennemi du plus grand être et comme le gardien de l'enfer. On enseigna aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.

Le symbole biblique de l'arbre remonterait à des œuvres mésopotamiennes antérieures à la Bible, comme, celle où on montre un serpent qui s'enroule autour d'un tronc d'arbre, notre symbole actuel du caducée. Le dieu NINKISHZIDDA, symbolisé par un dragon, un céraste (vipère à cornes) ou un caducée, provenait de l'ancien culte des serpents chez les asianiques. Cela correspondrait aux représentations ultérieures du serpent au jardin d'Eden.
Dans la représentation mésopotamienne, deux fruits sont accrochés à l'arbre. A droite de l'arbre se trouve le symbole d'EA, la demi-lune (le savoir) et à gauche, on voit une planète, symbole d'Anu (la vie). Les EA auraient envoyé un homme vers cet arbre pour qu'il accède à la connaissance. C'est la raison pour laquelle le clan EA d' Enki est présenté comme le soi-disant coupable qui a essayé de montrer au premier homme le chemin de la liberté spirituelle. Ces EA se serait révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais contre les actes cruels des soi-disant dieux. Le clan voulant aider les humains fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes.

Ea se serait révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais contre les actes cruels des soi-disant dieux. Malgré leurs intentions visiblement louables, EA, le légendaire, et la confrérie du serpent dans ses débuts ne réussirent pas à libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes mésopotamiens, égyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent) aurait été vaincu bientôt par d'autres groupes des extra-terrestres régnants.


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LA CONFRERIE DU SERPENT
Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA», Prince extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent".
Parmi tous les animaux vénérés par les hommes de la préhistoire, aucun ne l'était de façon aussi marquante et significative que le serpent et cela parce que le serpent était le symbole d'un groupe qui avait acquis une grande influence dans les premières civilisations sur les deux hémisphères de notre planète. Il s'agissait d'une confrérie savante qui s'était donné pour but de répandre des connaissances spirituelles et d'atteindre la liberté au niveau spirituel, c'était la "CONFRERIE DU SERPENT". Elle combattait l'esclavage d'êtres spirituels et essayait de libérer l'humanité, de la servitude des extra-terrestres (le mot originel de la Bible pour serpent, nahash, tire son origine de NHSH, ce qui signifie "déchiffrer, trouver"). Le prince rebelle EA fut le fondateur de cette "Confrérie du Serpent". Dans les anciennes tablettes mésopotamiennes, on lit qu’EA et son père ANU possédaient une grande compréhension éthique et spirituelle. Ce fut précisément ce savoir qui aurait été symbolisé, plus tard, dans l'histoire biblique d'Adam et Eve.

L'histoire montre que la "Confrérie du Serpent", malgré les efforts jusqu'à nos jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable réforme spirituelle à l'aide de la fraternité devint avec ses nouveaux maîtres, (les Illuminati aujourd'hui ?) une arme redoutable d'oppression spirituelle et de TRAHISON spirituelle pour TOUS.

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran (de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour satisfaire les intérêts égoïstes de quelques puissants personnages.

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ANUNNAKI ou NEFELIM OU NEPHILIM
Pour paraphraser Zecharia Sitchin, nombre de savants n'ont en fait aucune idée de l'identité des sumériens (la civilisation qui précéda les Babyloniens), de leur origine et surtout du comment et du pourquoi de la naissance et de l'éclosion de cette civilisation qui s'est installée à peu de choses près là où se trouve l'Irak actuelle. Celle-ci apparut soudainement comme surgie de nulle part vers 3800 ans avant JC. Plusieurs éminents archéologues tels H. Frankfort, Pierre Amiet, Leo Oppenhein etc. sont tous frappés de stupeur et d'admiration face à cette explosion soudaine, “ extraordinaire ”, “ époustouflante ”, “ cette période incroyablement courte pendant laquelle une civilisation a surgi ”, une civilisation qui donnera naissance à toutes les grandes civilisations du monde, selon Joseph Campbell auteur des “Masks of God”. Personne donc n'explique pourquoi une civilisation aussi sophistiquée, dotée d'une véritable organisation sociale s'adonnant au commerce, à la guerre et aux jeux du pouvoir ait surgit d'un seul coup au milieu d'une région habitée par des nomades primitifs vivant de chasse et de cueillette, une civilisation, qui, nous le répétons, constitue la racine sur laquelle la nôtre s'est déployée.

La réponse est devant nos yeux ou plutôt devant les yeux des archéologues et linguistes qui ont examiné les dizaines de milliers de textes sumériens gravés sur des plaquettes d'argile qui nous sont parvenues depuis la fin du 19 e siècle. Les sumériens le disent eux-mêmes dans leurs plaquettes : sans ceux qu'ils nomment les dieux, il n'y aurait pas eu de civilisation, pas d'architecture, pas de lois, pas de commerce, pas de science. Dans le panthéon des nombreux “dieux” sumériens (il y en a 12 principaux aidés par une kyrielle de «dieux» serviteurs, officiers, scientifiques, bâtisseurs, etc. : les fameux Anunnakis).

An ou Anou et son épouse Antou qui résidaient dans une demeure céleste. Anou est le patriarche d'une famille de dieux très remuante, le chef suprême des cieux et de la terre et qui arbitre tous les litiges, donne les sanctions ou récompense selon son bon vouloir. Ce qui est étrange, c'est que pour recevoir et accueillir Anou, les textes soulignent la nécessité de l'édification d'une demeure, d'un temple (suivant des instructions architecturales très précises) et de tout un protocole d'accueil. Étrange pour une créature divine qui devrait normalement avoir la capacité d'apparaître n'importe où et n'importe quand. Il n'en est rien pour les dieux sumériens qui constituent plutôt une famille, un clan aux lignées et à la hiérarchie complexe et nombreuse. Quant à l'édifice appelé explicitement par les sumériens “ la maison qui sert à descendre des cieux ”, il fait plutôt penser à un astroport, à un lieu abritant une technologie et une procédure minutieuse qui permet aux dieux de se manifester. Malheureusement, le texte décrivant par le détail comment Anou et son épouse se manifestent et quels rituels suivis de repas de fêtes doivent être observés ont été détruits, du moins dans la partie la plus intéressante, celle concernant l'arrivée proprement dite d'Anou sur dans son palais terrestre.

Aux côtés d'Anou, une autre figure fondamentale du panthéon sumérien : son fils Enlil dont le nom signifie selon Sitchin, “ le seigneur de l'espace aérien ” qui s'avère être le seigneur du ciel et de la terre. Selon la croyance, Enlil arriva sur terre bien avant qu'elle ne fut colonisée et que ne s'y développe une civilisation. Un texte appelé “L'hymne à Enlil, le bienfaiteur de tout” relate tous les aspects de la civilisation qui ont existé “ grâce aux instructions d'Enlil ”. Donc, ces dieux, plus particulièrement Enlil, ont laissé en un temps reculé des instructions précises pour toutes choses, des sortes de modes d'emploi afin “ qu'on exécute partout ses ordres ”. “ Nulle ville ne serait construite, nulle colonie ne serait fondée; nulle étable ne serait construite, nul parc à moutons dressé; nul Roi ne serait élevé, nul grand prêtre né ”. En d'autres termes, sans ces “dieux” interventionnistes, colonialistes et matérialistes, la civilisation humaine n'aurait pas connu une naissance à partir de rien ainsi que cette brutale accélération. Ce “berger” des hommes autre surnom d'Enlil ressemble en tout point à un éleveur propriétaire d'un cheptel…”humain” aux qualités surhumaines. Ne fut-ce qu'en ce qui concerne la longévité puisqu'il était là avant le temps des hommes et qu'il a présidé à l'édification de leurs villes en ayant pris soin de construire au préalable sa propre cité, Nippour. Enlil serait selon certains savants un personnage à la fois bon et colérique puisqu'il n'hésitait pas à abattre son ire sur les hommes et à les rayer de la carte si ceux-ci lui déplaisaient. Il serait le dieu créateur du fameux déluge biblique.

Enlil avait un frère aîné, Enki qui, à cause d'un tirage au sort qui lui fut défavorable, raconte les chroniques sumériennes, reçut en guise de territoire les mers et les eaux alors qu'en théorie, étant le premier de la lignée, il aurait dû recevoir en gestion le beau morceau du territoire, les terres. Il en conçut une grande jalousie à l'encontre de son frère Enlil ainsi qu'un caractère farouche et rebelle par rapport à Anou, aux autres dieux et à la hiérarchie et donc plus proche des hommes. Selon certains chercheurs, c'est Enki (ou encore Ea, qui signifie maison-eau) qui voulut sauver l'être humain qu'il avait créé et qu'il considérait comme son favori, le fameux Noé mésopotamien. Ingénieur, architecte, Enki est celui qui a initié les hommes à l'élevage et aux techniques de construction moderne (les briques). Enki avait une compagne qui n'était autre que sa demi-sœur, Nihoursag appelée également Ninti (dame de la vie ou dame de la côte) ou Mammu, un nom qui est on ne peut plus explicite. Elle est considérée comme une médecin, infirmière, “ sage femme chef responsable des installations médicales ” (voir la 12 ième planète de Z.Sitchin aux éditions Louise Courteau).

C’'est grâce aux instructions et à la “recette” que possédait Enki que Nihoursag créa le premier homme “Adapa” ou “homme modèle” dans lequel certains savants voient le fameux Adama ou Adam biblique. Sa compagne fut conçue par Nihoursag, comme dans la Bible à partir de la côte d'Adapa. Tous ces récits sumériens foisonnent de guerres colossales entre “dieux” qui s'affrontent à l'aide d'engins volants et d'armes crachant des éclairs et du feu, des flèches semblables à des missiles symbolisés par un pictogramme on ne peut plus clair. Les hommes, les Rois et les cités n'existent que par la bonne volonté de ces dieux et sont soumis aux aléas de leurs guerres fratricides et querelles de succession. Ces récits épiques et les 12 “dieux” du panthéon sumérien se retrouvent non seulement dans les Védas, ces textes religieux d'Inde mais aussi dans la Bible. Seuls, les noms et certains détails mineurs changent.

La critique principale qui est faite à Sitchin est d'avoir un parti pris dans la traduction de certains termes, surtout lorsqu'il s'agit d'un exemple parmi d'autres- de traduire des termes comme “Mou” par “machine volante” alors que d'autres chercheurs plus académiques traduisent ce terme par le mot “nom”. Le problème est qu'à bien des égards, la traduction académique réalisée par les chercheurs plus “classiques” que Sitchin ne veut pas dire grand chose (ex: le dieu Zou s'enfuyait dans son “Mou”, soit dans son “nom” ou, selon la traduction de Sitchin, dans “sa machine volante”). A certaines reprises donc, Sitchin opta pour des traductions qui installaient un contexte particulier aux récits sumériens, celui d'une civilisation de l'espace, de dieux pareils à des astronautes dotés d'une technologie incroyable, des as du génie génétique alors que les traducteurs plus classiques établissent avec les chroniques sumériennes, des interprétations symboliques, hermétiques et un peu obscures de ces récits, traduisant sans doute, à l'instar de la mythologie grecque, les liens des hommes avec les forces de la nature et du cosmos. L'existence de nombreux termes en langage sumérien pour désigner un même genre d'objet nous renseigne sur leur culture: ainsi, pour désigner des astronefs, on trouve en sumérien les termes “mou” (ou chambre céleste qui désigne la capsule d'habitation conique qui coiffe le Gir, la partie centrale de la fusée), le terme “Apin"; qui désigne la partie multi étages de la fusée, le terme Shem qui désigne également un engin volant, le terme Zik qui désigne le module de commande avec des combinaisons comme Din.Gir qui signifient littéralement “les justes objets célestes pointus et brillants” ou encore les “pures fusées embrasées”.

Mais nombre de traducteurs “classiques” et de théologiens ennuyés par certains passages se sont contentés de donner des traductions plus allégoriques et souvent bien plus confuses à ces termes qui, jusqu'il y a peu (avant la conquête spatiale) nous étaient vraiment étrangers. Comme nous l'avons mentionné, ils avaient traduit terme “Mou” par le vocable “nom” et lorsqu'un texte sumérien évoquait par exemple le besoin qu'un Dieu avait d'aller dans les cieux avec un “mou”, les traducteurs classiques puisait dans la phrase le genre de signification suivante: “emmener son nom dans les cieux” ou encore “vouloir que son nom retentisse dans les cieux ou devienne célèbre”. Alors qu'il suffisait d'aller au plus simple et d'accepter de voir dans le terme “Mou”, un véhicule. A vous de choisir la version qui vous séduit le plus. Le fait est que les traductions de Sitchin donnent à ces récits épiques une cohérence incroyable. Et l'on comprend mal alors -si ces chroniques étaient purement symboliques ou allégoriques- pourquoi les sumériens se sont échinés à donner une foule de détails matériels et techniques (des coordonnées célestes, des équations, des descriptions d'engins et surtout une carte tout à fait exacte de notre système solaire), ce qui ne cadre pas vraiment avec des textes poétiques, métaphoriques et mystiques. D'autant que les textes sont clairs à propos des pouvoirs des dieux: ceux-ci sont certes contenus dans des armes et des véhicules mais surtout dans “des formules” contenues dans un artefact très concret, “la table des destinées” qui fait à la fois penser dans sa formulation et son usage dans les textes à une banque de données, un ordinateur et un arsenal stratégique. C'est par cette “table des destinées” contenant de centaines de “formules” relatives à “la royauté”, à la «fonction des prêtres», aux armes, aux procédures légales, à «l'état du scribe», au travail du bois et même à la «prostitution sacrée» et aux instruments de musique que le Dieu détient ses pouvoirs. Il n'est donc pas né avec ceux-ci. Il les détient par le jeu de l'hérédité, au plus près le “dieu” est proche dans la généalogie du “patriarche” et chef de clan Annu, aux plus étendus sont ces pouvoirs et ses territoires. Chaque dieu a une valeur numérique, un peu comme des points de vie dans un jeu de rôle. Quant aux souverains sumériens, du moins pour certains d'entre eux, il s'agit d'hybrides nés de l'union d'un Dieu (ou d'une déesse) et d'un être humain. Ainsi en serait-il du célèbre Gilgamesh (2900 av JC), né d'un père humain et de la déesse Inanna ou Ishtar, arrière petite-fille d'Anou.

Ces “dieux” ou êtres des cieux qui dirigeaient la destinée des sumériens ne se déplaçaient pas uniquement dans des fusées mais également dans des vaisseaux ailés ressemblant à des aigles et qui ne pouvaient être accueillis que dans un bâtiment spécial doté d'un système d'armements très puissants. Les descriptions de ces lieux sont saisissantes. Plus saisissantes encore sont les gravures et les sculptures souvent très anciennes qui montrent des objets technologiques, des représentations de ces dieux volants et des scènes déconcertantes, comme par exemple une sculpture de “déesse“ équipée d'écouteurs, de lunettes de vol et d'une série d'équipements très mystérieux et de boites harnachés autour de son corps par des sangles. De même, sur certaines gravures, on voit clairement le plan de coupe d'un silo abritant une fusée à étages dont on peut voir l'intérieur par transparence. Certains thèmes de ces récits sumériens se retrouvent dans la Bible et Sitchin ne peut s'empêcher de faire le parallèle entre ces êtres “volants” de chair et de sang que sont les innombrables “dieux” sumériens avec les Néfilims de la Bible, un terme qui avait par le passé été abusivement traduit par le vocable “géant”. Des traducteurs plus contemporains ont conservé l'appellation Néfilims que l'on peut traduire par “ ceux qui furent jetés ici bas sur terre ”.

Pour les conspirationnistes comme David Icke, Stewart Swerdlow, Jim Marss ou Fritz Springmeier, ces rois sumériens hybrides, pères fondateurs des lignées de la fraternité babylonienne sont surtout les vrais descendants de ce qu'ils nomment la noblesse noire, la “black nobility”, cette noblesse indo-européenne qui s'est installée par la suite en Europe sous les traits de la noblesse mérovingienne. Cette noblesse sumérienne serait donc les ancêtres des castes aristocratiques qui gouvernent aujourd'hui l'Europe (famille royale britannique mais également les familles belges, hollandaises, etc. de souche allemande ou bavaroise). Ces dieux Anunnaki n'ont pas vraiment quitté la terre mais manipuleraient encore les destinées humaines par le biais des 13 lignées sanguines «Illuminati» (nom d'une société secrète née en Bavière au 18 e siècle) qui plongent toutes leurs racines dans les dieux et Rois sumériens.

De nombreux auteurs, généalogistes et chercheurs ont rédigé des ouvrages parfois bien documentés au contenu plus que troublant qui démontrent cette filiation et la constitution des sociétés secrètes, sectes religieuses, empires industriels et mouvements politiques autour de ces mouvances occultes. A noter aussi que Zacharia Sitchin, l'auteur de ces livres faisant des dieux sumériens, une race extraterrestre créatrice de civilisations, que Sitchin donc est considéré par certains de ces conspirationnistes, plus particulièrement David Icke et Arizona Wilder, comme un membre de cette fraternité occulte, un représentant des Illuminati et que par conséquent, son interprétation comporterait quelques éléments de désinformation.

Mais attention, la thèse très bien étayée développée par Sitchin n'est pas restée une vision marginale de l'histoire de l'humanité : un nombre croissant et non négligeable de chercheurs spécialisés dans l'époque sumérienne , d‘historiens et d'archéologues, convaincus que les travaux de Sitchin étaient valides et que les récits sumériens extrêmement précis racontent des faits réels se sont mis à poursuivre et à approfondir ces recherches : des gens comme Alan F. Alford, R.A Boulay, Neil Freer, Dr Arthur David Horn, le Dr Joe Lewels, C.L Turnage, Lloyd Pye, Sir Laurence Gardner, et William Bramley estiment eux aussi que les textes sumériens dans lesquels les récits bibliques et védiques ont puisé leur inspiration narrent les expéditions d'une race extraterrestre, d'anciens astronautes sur terre avant le déluge (des extraterrestres que l'on a pris pour des dieux, un peu comme les papous dans le culte du Cargo). Nous sommes issus des expériences génétiques de ces visiteurs qui avaient besoin d'une main d'œuvre corvéable et servile pour travailler dans les mines d'or et autres industries de matières premières. Les récits sumériens sont sans ambiguïté à cet égard. Les chercheurs cités plus haut qui ont eu parfois des postes universitaires de renom ont fini par divorcer de l'establishment scientifique. Le Dr Arthur David Horn a démissionné de son poste de professeur en biologie anthropologique de la Colorado State University en 1990 après qu'il eût conclu que les explications conventionnelles sur les origines de l'homme n'étaient qu'un ramassis de «non sens» et que des extraterrestres sont inextricablement mêlés dans l'origine et le développement des humains…

CONCLUSION
A l'endroit exact mentionné par les tablettes cunéiformes où nous aurions miné de l'or, des archéologues ont trouvé des mines d'or ! Plusieurs d'entre elles sont vieilles d'environ 100.000 ans. On y a retrouvé des ossements sur place correspondant à des primates pré-sapiens et même des restes humains d'il y a 20.000 ans. Aucun anthropologue, aucun paléontologiste ne peut justifier notre présence en ses lieux : l'or, en ce temps-là ne nous était d'aucune utilité car trop mou. Les fouilles n'ont d'ailleurs pas permis de retrouver beaucoup d'ustensiles en or. Pourquoi ces mines et où est l'or?

Des études comparatives de l'ADN ont permis d'affirmer que l'humanité avait pris naissance justement dans cette région du monde, cette vallée où pour les Sumériens nous aurions prospecté de l'or (la femme à l'origine de notre humanité vivait en ces lieux il y a 150000 à 250000 ans et les généticiens responsables de ces études l'appelèrent Eve).

Dans le langage courant sumérien, un être humain à une acception de servitude : un bon être humain est un homme qui sert bien son maître, son supérieur hiérarchique, et qui le craint. L'étymologie du mot "humain" est antérieure au latin humanus et provient de human (d'origine britannique). L'un des premiers dieux britanniques (d'origine sumérienne) s'appelait Hu. Il choisit parmi les hommes certains qui le servirent et qui devinrent les hommes de Hu, les humen, les humains. D'ailleurs, en français comme en latin, on pourrait tout aussi bien dire les "mains de Hu".

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran (de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour satisfaire les intérêts égoïstes de quelques puissants personnages.

NIBIRU - PLANETE X
A la recherche de la dixième planète
La NASA a cherché longtemps cette planète exclusive et cherche encore aujourd'hui.
Les Sumériens connaissaient déjà l'existence de la planète il y a 6000 ans !
Nibiru, (en sumérien) la planète mythique, a reçu différents noms à travers les âges. Les Babyloniens et les Akkadiens l’appelaient Mardouk (Marduk), ce qui signifie en Akkad "grand Astre du Ciel" ou "Roi des Cieux" (cependant dans la plupart des textes babyloniens, Marduk, le dieu de Babylone, souverain des dieux et des hommes est identifié avec la planète Jupiter). Les Égyptiens et les anciens Hébreux la représentaient sous la forme d’un disque ailé à cause de son immense orbite elliptique en forme d’ailes déployées, les Grecs l’appelaient " Nemesis". Les Prophètes l’ont rebaptisée "Étoile Rouge" ou " Croix de la Destinée", ainsi que " Messager Ardent" et "Comète de la Fatalité".L’Apocalypse de Saint-Jean mentionne cet astre, le baptisant du nom "d’Absinthe, amertume", [Apoc. VIII, 11]. Cette planète gigantesque, habituellement désignée sous le nom d’ Hercólubus (ou Hercolobus), est appelée par certains la "Planète Froide" et d’autres la nomment la "Planète Rouge" ; elle est incontestablement beaucoup plus grande que Jupiter, le géant colossal de notre système solaire. Selon les mythes, les Nibiriens (le peuple de Nibiru), sont souvent appelés les Anunnaki, en Hébreu ce sont les Nephilim (ceux qui sont descendus des cieux sur Terre), Elohim (pluriel de Dieu), ou encore Marduks ou Mardukiens.

Dans l'Antiquité, au moins cinq planètes de notre système solaire étaient connues des astronomes : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, qui avec le Soleil et la Lune étaient les seuls corps errants dans la sphère des étoiles fixes et ont ainsi donné leur nom aux jours de la semaine. Depuis le 16ème siècle jusqu'à nos jours une pléthore d'objets est venue peupler le système solaire connu et le nombre de planètes est désormais porté à neuf depuis la découverte de Pluton en 1930. Cependant, un texte majeur d'astronomie le "Mul. Apin" (1000 avant J.-C) liste 66 constellations (ou astérismes). Première carte céleste connue (découverte à Ninive). C'est un planisphère en argile, divisée en 8 sections, et montrant une ou deux constellations avec les étoiles importantes (Sirius, l'Épi, Pégase, la Balance, etc.). En 1978, 2 astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la PLANETE X pour traduire à la fois son caractère énigmatique et le rang de dixième planète qu'elle occuperait au sein du système solaire. L'existence d'une planète au-delà de l'orbite de Pluton a été avancée pour rendre compte des perturbations observées sur le mouvement d'Uranus et Neptune, perturbations que la présence de Pluton seule n'arrivait pas à expliquer. Toutefois, les recherches visant à la mettre en évidence sont restées vaines, mais on a découvert depuis 1992 des astéroïdes trans-neptuniens. On attribue l'existence de ces astéroïdes à la présence d'une vaste région au-delà de l'orbite de Neptune peuplée de planétésimaux (stéroïdes et noyaux cométaires) : la ceinture de Kuiper.

Cette étoile brune et un groupe de comètes arrivent dans notre système solaire en même temps. Comme le "feu" s'est éteint il y a longtemps, cette naine brune ne donne pas de lumière. Cette étoile brune, compagne du soleil, a une masse qui représente 56% de la masse du soleil. Quand elle commencera réellement à approcher le système solaire, et qu'ils tournent en tandem, cela signifie que le soleil commencera à sentir sa gravité. Un léger effet de "vacillement" sera perceptible sur Terre par des mesures. Le basculement des pôles est cyclique (100.000 ans), cette perturbation magnétique sert simplement de mécanisme de déclenchement.

Cette mystérieuse planète aurait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon des astronomes, la planète X était une intruse que le soleil aurait piégée dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre. Depuis fort longtemps les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.

A LA RECHERCHE DE LA PLANETE X
Même la NASA en 1982 va reconnaître l'existence possible d'une planète X. Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".

Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X. devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10e planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil..." Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mars pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore". Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans (3600 ans selon d'autres sources).

Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'œuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars. La mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes et des ufologues... De toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Certain prophétisent le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nommerait "Nibiru" (la Nibiru des Sumériens). La dixième planète peut être plus grande que prévue. Les astéroïdes, les comètes, et des objets de la ceinture de Kuiper changent considérablement dans leurs signatures infrarouges en fonction de leur chaleur interne. Une erreur d'observation a pu avoir minimisé la taille de la dixième planète. Le télescope qui avait estimé l'objet céleste temporairement appelé Xena (2003UB313) à partir de sa cible infrarouge était mal positionné lors de cette mesure qui avait été enregistrée dans les bases de données des astronomes.

ERIS - SEDNA - QUAOAR - ET LES AUTRES ...
Rappelons ce que sont les objets de Kuiper et d’Oort. Ces objets se trouvent dans des zones dans lesquelles des calculs théoriques placent plusieurs milliards de "petits" corps glacés en orbite autour du Soleil. Comme l’existence de Neptune a été prédite par l’observation de l’orbite d’Uranus avant sa découverte effective au télescope, Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort ont été "prédits" bien avant que leurs premiers objets soient réellement observés. Les comètes ne seraient que des objets de Kuiper ou d’Oort que des perturbations orbitales amènent près du soleil. Les premiers objets de Kuiper observés ont été découverts en 1992. Ceinture de Kuiper et Nuage de Oort sont les grands oubliés des représentations classiques du système solaire. Il est vrai qu’ils ne représentent que 99,9999 % de l’espace occupé.

Si une dixième planète existe, il est peu probable qu'elle soit originaire du système solaire : des études détaillées de l'écliptique ont été prises en compte, concluant qu'aucune planète de la taille de la terre ou d'une taille supérieure ne pouvait exister sur le plan de l'écliptique à une distance plus petite que 60 UA. Par conséquent, une dixième planète devrait être sur une orbite fortement inclinée, et par conséquent avoir été capturée par le système solaire et non formée en même temps que lui. Divers objets de grande taille (plus petits que Pluton mais plus grands que 1 Cérès) tels que Sedna, Quaoar, Xena ou Orcus ont été découverts, mais ils ne correspondent pas aux objectifs de la recherche, la plupart des astronomes s'accordant à dire qu'ils seraient trop petits pour être considérés comme des planètes. Cependant les mesures des bases de données des astronomes sont peut-être erronées.

SEDNA
Mike Brown, Chad Trujillo (Observatoire Gemini) et David Rabinowitz (Université de Yale) ont découvert Sedna (2003VB12), le premier objet du Nuage d'Oort le 14 novembre 2003 au moyen du télescope de 1,2 mètre Samuel Oschin de l’Observatoire du Mont Palomar, près de San Diego. En l’espace de quelques jours, la découverte fut confirmée par des observations réalisées en Espagne, au Chili, en Arizona et à Hawaii. Spitzer, le nouveau télescope spatial de la Nasa, a également été braqué en direction de Sedna. Cet objet, le plus distant tournant autour du soleil, est presque aussi grand que Pluton et il est situé à une distance équivalente à trois fois la distance entre Pluton et notre étoile. Situé dans un espace estimé vide par les astronomes, celui-ci est plus rouge et plus lumineux que n’importe quel objet du système solaire. Il est possible que Sedna appartienne à un groupe de corps célestes formés suite à une perturbation gravitationnelle engendrée par une étoile passant près du Soleil aux premiers jours du système solaire. Selon Mike Brown, cette étoile se serait rapprochée suffisamment près de la Terre pour briller plus que la pleine Lune et aurait été visible en plein jour durant 20000 ans. Elle aurait délogé les comètes situées dans le Nuage de Oort conduisant à un intense bombardement cométaire qui aurait pu être à l'origine de la vie sur Terre!

L’objet, nommé Sedna (en hommage à la déesse Inuit de l’Océan), est actuellement distant de 13 milliards de kilomètres, soit aux marches du système solaire. Les observations effectuées depuis la découverte de Sedna en novembre 2003, ont permis de déterminer que cette dernière suivait une trajectoire très elliptique. Les scientifiques pensent que, comme Pluton, Sedna pourrait provenir de la ceinture d'astéroïdes de Kuiper. En combinant les données disponibles sur ces différents corps célestes, Mike Brown estime que la taille de Sedna est environ à mi-chemin entre celle de Pluton et de Quaoar, un planétoïde plus petit découvert par la même équipe en 2002. Ces objets auraient été poussés par la gravitation des planètes géantes pendant 4,6 milliards d’années, âge actuel du système solaire. La composition de Sedna est encore inconnue mais on estime qu’elle est composée principalement de glace et de roche. Cependant, Sedna est presque aussi rouge que Mars. La raison de cette couleur n’a pas été déterminée actuellement. La découverte de Sedna est cependant à considérer avec un certain recul. L'institut de recherche binaire (BRI) a constaté que les caractéristiques orbitales du planétoïde récemment découvert "Sedna", démontre la possibilité que notre soleil puisse faire partie d'un système d'étoile double. Dans un système binaire, le premier soleil tient le rôle principal en tant que force gravitationnelle. Contrairement à ce que l’on pensait dans le passé, les systèmes doubles sont maintenant considérés comme courant dans la voie lactée. Sedna décrit une orbite elliptique fort peu commune, qui pourrait être expliqué par un deuxième soleil dans notre système. Sedna ne devrait pas être là. Si elle s’éloigne autant de notre soleil, elle ne devrait pas revenir vers lui au-delà d’une certaine limite. L’elliptique de son orbite rend sa présence impossible sans un autre facteur gravitationnel jusqu’ici inconnu ! Sedna s’approchera un peu de la Terre dans les années qui viennent. Mais même lorsqu’il sera au plus proche, dans 72 ans, il sera en fait encore très loin, bien au-delà de Pluton. Alors il entamera le voyage de retour vers les confins du Système solaire. La dernière fois que Sedna s’est trouvée aussi proche du Soleil, la Terre sortait tout juste du dernier âge glaciaire. La prochaine fois qu’elle repassera, que sera devenue la Terre? Si Sedna n'est qu'un morceau de roche glaciaire, il est fort peu probable que ce soit la Planète X, la Nibiru des sumériens... En effet, si la taille de Sedna, bien que relativement grande par rapport à la plupart d'autre KBO, est trop faible, elle ne peut perturber mesurablement Neptune ou toute autre chose.

ERIS / XENA
Des astronomes de l'Institut de Technologie de Californie ont découvert que Eris (2003UB313), possède une lune (elle a été repérée le 10 septembre 2005), 100 fois plus faible que "Eris" et orbitant autour de la planète en deux semaines. XENA est bien plus grande que Pluton. Son diamètre est estimé à quelque 3000 km. D'autres mesures sont prévues, et si elles se confirment, il s'agira du plus grand objet du Système Solaire trouvé depuis la découverte de Neptune en 1846. Lors de l'annonce de sa découverte en juillet 2005, 2003 UB313 était le plus lointain des objets connus dans le système solaire. La distance actuelle de l'objet ainsi que la forte inclinaison de son orbite sont les deux raisons qui l'ont conduit à ne pas avoir été détecté avant. XENA
aussi une lune. Mike Brown estime que cette lune, "Gabrielle" (Les astronomes l'ont nommée Gabrielle, en référence à la série télévisée "Xena : la Guerrière'") mesure au moins un dixième de la taille de Xéna, qui est supposée avoir un diamètre d'environ 2700 km (2274 km pour Pluton).La découverte de cette lune est d'importance, car elle devrait permettre d'évaluer la masse la masse de cette dixième planète. En effet, plus la masse d'une planète est grande, plus elle attire ses satellites qui subissent alors une rotation plus rapide. A l'inverse, si une planète a une masse faible, sa lune sera plus éloignée et sa rotation plus lente. Pour calculer la taille de XENA, l’équipe de Frank Bertoldi, du laboratoire de radioastronomie de l’Institut Max Planck, a mesuré la radiation thermique de l’objet

Une observation réalisée par le Télescope spatial Hubble les 9 et 10 décembre 2005 avère que sa taille serait seulement légèrement plus grande que Pluton : 2400 km de diamètre soit approximativement 100 km de plus que la neuvième planète. Cette nouvelle estimation oblige à réviser à la hausse l'albédo de 2003 UB313 (0,86), ce qui en ferait l'objet le plus brillant du système solaire avec Encelade, le satellite de Saturne.

Estimer la taille de la planète s'est révélé plus ardu : même connaissant sa magnitude, les astronomes doivent en effet savoir q

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13/02/2010 | Lien permanent

Crise financière (13): le mécanisme de la Réserve Fédérale

Où part l'argent des citoyens !

Tebyan vous propose ici un article décrivant le fonctionnement de la réserve fédérale américaine, qui est conforme à la pratique bancaire mondiale. La Banque d’Angleterre est peut-être la première, après les lombards, à avoir généralisé ce système d’argent-dette au niveau du "Commonwealth". La FED en est une fidèle imitation. Nous ne cautionnons pas tout le contenu du site duquel cet article est tiré.

Le 22 novembre de l’année 1910, le luxueux wagon privé du richissime sénateur Nelson Aldrich a été accroché au train qui reliait New-York au sud des Etats-Unis et quelques personnes s’embarquent en direction de la Georgie .

Le voyage durera deux jours et deux nuits. Le périple avait un but déclaré : la chasse au canard sur une petite île située à quelques encablures des côtes de Georgie, l’île de Jekyll. Une fois arrivés dans la luxueuse propriété de J.P. Morgan sur l’ilot Jekyll, nos banquiers millionnaires s’installèrent autour d’une table et neuf jours durant, dans le plus grand secret, ils mirent au point et rédigèrent minutieusement le règlement de ce qui allait devenir le Système de la Réserve Fédérale.

le bâtiment de la fed

A l’origine, le cartel de banques appelé

la Réserve fédérale américaine était composé de dix principaux groupes d’actionnaires privés:

- Rothschild Banks of London and Berlin

- Lazard Brothers Bank of Paris

- Israel Moses Sieff Banks of Italy

- Warburg Bank of Hamburg and Amsterdam

- Lehman Brothers Bank of New York

- Kuhn Loeb Bank of New York

- Chase Manhattan Bank of New York

- Goldman Sachs Bank of New York

A l’intérieur de ces groupes, environ trois cents personnes en chair et en os sont actionnaires - donc propriétaires - de ces banques. Elles se connaissent toutes car elles sont soit des membres directs de la famille des quelques uns des plus gros actionnaires, soit leur sont apparentées par alliance.

quelques noms, quelques familles, quelques signatures et beaucoup de profits!

Comme le révèle le graphique en note les mêmes noms avec des prénoms différents reviennent régulièrement. Il existe une connexion directe entre la Banque d’Angleterre et la FED par l’intermédiaire de leurs deux principaux représentants à New York, les familles Rothschild et JP Morgan Co. Il en résulte que ce sont finalement les établissements bancaires de Londres qui contrôlent les Banques de la Réserve Fédérale et constituent ce que le poète Ezra Pound appelait la London Connexion.

On comprend mieux, dans ces conditions, pourquoi l’Angleterre n’entrera jamais dans la zone euro. Qui peut croire que les financiers de la City accepteront d’abandonner leur monnaie et tous les avantages liés à la Bourse de Londres , d’autant plus que leurs intérêts privés se trouvent structurellement liés au mécanisme de la FED, leur créature? A moins qu’à l’occasion du séisme monétaire mondial qui se profile à l’horizon, ils ne réussissent à mettre la main sur la BCE, la Banque Centrale européenne, et à faire miroiter à la couvée apeurée des vassaux européens "l’immense avantage" qui résulterait pour eux de la création d’une monnaie "atlantique" - qu’on appellerait l’eurodollar ou l’atlante. Grâce au taux de change que Wall Street imposerait, il est plus que prévisible qu’une grande partie les dettes accumulées par les Etats-Unis serait automatiquement effacée. Mais pendant tout ce temps, les financiers auront acquis des richesses faramineuses sous la forme de biens réels. Et c’est ainsi que Jahvé est grand et qu’il est aisé de s’enrichir grâce au travail des citoyens du monde.

La dénomination Federal Reserve elle-même est déjà une escroquerie , car ce cartel de banques privées n’a rien de "fédéral" , au sens qu’il serait l’expression de l’Etat central américain et donc la propriété collective, publique et inaliénable du peuple étasunien .

En fait de "fédération" la Réserve Fédérale américaine fédère- c’est-à-dire réunit dans un même "système" - 12 banques commerciales privées ayant chacune un rayon d’action géographique défini:

Nous avons ainsi, dans l’ordre d’importance du chiffre d’affaires réalisé par chacune de ces banques:

  • La Federal Reserve Bank de New-York
  • La Federal Reserve Bank de San Francisco (qui couvre les 7 états de l’Ouest + Hawaï et l’Alaska)
  • La Federal Reserve Bank de Chicago
  • La Federal Reserve Bank de Richmond
  • La Federal Reserve Bank d’Atlanta
  • La Federal Reserve Bank de Boston
  • La Federal Reserve Bank de Dallas
  • La Federal Reserve Bank de Cleveland
  • La Federal Reserve Bank de Philadelphie
  • La Federal Reserve Bank de Kansas City
  • La Federal Reserve Bank de Saint-Louis
  • La Federal Reserve Bank de Minneapolis

 

représentation des états des banques fédérales

Le véritable pouvoir est exercé par le Conseil des Gouverneurs choisi par les directeurs des douze banques de la Réserve Fédérale et qui, dans le plan de Warburg ne devaient pas être connus du public. Cela signifie que le contrôle du Congrès sur la FED est, en réalité, cosmétique.

Comme la Federal Reserve Bank of New-York représente 40% de l’ensemble des actifs des 12 banques régionales, qu’elle a réussi à convaincre ou à contraindre une cinquantaine d’Etats, ainsi que quelques organismes internationaux et de richissimes particuliers de lui confier la garde de leur or, le dépôt est évalué à 10 000 tonnes environ à la fin de 2006.

Des mouvements étranges de semi remorques remplis de lingots dans les sous-sol du World Trade Center ont été signalés avant la destruction des tours. Un semi remorque plein de lingots et qui n’aurait pas eu le temps d’être évacué, aurait été retrouvé coincé dans un tunnel de sortie. De manière surprenante, des faits aussi singuliers ne semblent pas avoir éveillé la curiosité des enquêteurs officiels et des innombrables Sherlock Holmes privés qui se sont intéressés aux anomalies des effondrements des Twin Towers .

Alors que depuis la décision du 15 août 1971 prise du temps de la Présidence Nixon, les banquiers états-uniens, soutenus par leur gouvernement, ont réussi à faire perdre à l’or son statut de métal de réserve et à contraindre les banques centrales étrangères à échanger leur or contre du papier imprimé en couleur appelé " dollar" censé jouer le même rôle, on voit que les banquiers, eux, n’ont pas hésité à collecter et à accumuler des lingots dont 2% seulement appartiennent aux USA. Qui peut croire qu’ils les rendront à leurs légitimes propriétaires en cas d’effondrement de leur fausse monnaie? Il y a quelques semaines, la Banque Centrale Helvétique a subi l’assaut de vigoureuses "incitations" afin qu’elle vende une partie de ses réserves d’or. Elle a obtempéré.

Quant au mot "réserve", il signifie tout simplement que chaque fois que l’Etat ou une autre banque privée "achète" des dollars, ceux-ci sont comptabilisés sur un compte dit "de réserve" . Sous cette langue de bois se cachent tout simplement les colonnes des dettes sur lesquelles les banquiers calculent leur pourcentage. Plus les Etats s’endettent, plus les banquiers s’enrichissent.

Le principe de l’escroquerie mise en place est d’une simplicité biblique. Mais son mécanisme est assez machiavélique pour que le commun des mortels n’en ait pas conscience. On comprend qu’il ait fallu neuf journées à des professionnels de la finance pour mettre au point tous ses rouages.

Pour faire simple et utiliser une métaphore, je dirai que c’est une fusée à trois étages.

A - Premier étage: Alors que le rôle normal d’une banque centrale est d’être un service public qui imprime et met gratuitement à la disposition de l’administration de son pays la monnaie papier et la monnaie fiduciaire ou électronique nécessaires au bon fonctionnement de l’Etat et de l’économie , dans le système privé imaginé durant le séjour de l’île Jekyll , le cartel des banquiers qui composent la FED s’est substitué à un droit régalien et s’est arrogé le pouvoir de battre monnaie et de la vendre à l’Etat.

L’intérêt payé aux banquiers est le montant de la redevance que la nation verse aux banquiers qui impriment les billets. Ces banquiers, réunis dans le "Board of Governors of the Federal Reserve System" fixent le taux auquel ils vendent les billets. Plus le taux est élevé, plus ils s’enrichissent.

paul warburg, un protagoniste important de la rencontre sur l’île jekyll en 1910

Les noms donnés à ce type d’opération varient: tantôt on l’appelle une monnaie-dette, tantôt un emprunt. Mais comme cet emprunt est assorti d’un intérêt, et même d’un intérêt composé, il en résulte que ce sont les citoyens qui enrichissent les banquiers à leur verser annuellement un tribut sous la forme d’une proportion de leurs impôts, appelée intérêt de la dette, en réalité, prix d’achat par le peuple de l’argent qu’impriment gratuitement ses banquiers. Le profit annuel est phénoménal et se chiffre en milliards.

C’est ce système-là qui révoltait Ezra Pound et qu’il appelait la "financiarisation usuraire de l’économie américaine".

B- Mais le deuxième étage de l’escroquerie est encore plus extraordinaire. Le numéraire que les banquiers "prêtent" n’existe nulle part: il s’agit d’une simple ligne d’écriture quand la monnaie est dite fiduciaire et de quelques piles de papier imprimé quand il s’agit de dollars. La FED vend un bien qu’elle ne possède pas, puisqu’aucun argent réel n’a été prêté. Le dollar est donc un simple titre de paiement des banquiers privés de la Réserve Fédérale.

Le plus pervers et le plus paradoxal de cette situation, est que, depuis que ce titre de paiment n’est plus relié à la valeur des réserves d’or - depuis le 15 août 1971 -, son statut de monnaie n’est nullement fourni par des garanties qu’offrirait l’émetteur - la Fed - mais uniquement par le prestige de l’emprunteur - le gouvernement américain.

Les banquiers ont donc besoin du prestige de l’Etat pour asseoir la crédibilité de leur monnaie. C’est pourquoi, étant en compte à demi avec lui, ils ferment les yeux sur l’augmentation exponentielle de son endettement et soutiennent le gouvernement en lui apportant les liasses nécessaires au financement des guerres et à l’entretien du millier de garnisons éparpillées sur tout le globe terrestre.

Quant à l’Etat, ayant réussi à imposer le dollar comme monnaie de réserve et comme monnaie obligatoire pour l’achat et la vente de pétrole, il ne s’inquiète pas vraiment du montant du déficit financé par la planche à billets. On avance le chiffre de 44 000 milliards, mais c’est peut-être davantage. Grâce au privilège accordé au dollar "le reste du monde" s’appauvrit, puisqu’il voit régulièrement diminuer la valeur des dollars qu’il possède comme monnaie de réserve et dans le même temps, il subventionne l’économie américaine.

un château de cartes bien fragile: soufflons un peu!

C’est donc la puissance politique et militaire de l’Etat qui constitue le gage de la crédibilité de la monnaie des banquiers. Conclusion: le dollar, monnaie privée des banquiers, est une monnaie politique gagée sur le zéphyr de la confiance que le monde accorde à l’emprunteur.

C - L’apparent rééquilibrage des rapports de force entre les deux partenaires - l’Etat américain et les banquiers dans un marché qui semble gagnant-gagnant - ne doit pas cacher que le troisième étage de la fusée de l’escroquerie monétaire mondiale est celui qui permet aux financiers de rafler seuls la mise.

Si, à l’origine, le titre de paiement émis par les banquiers est une simple variante d’une fausse monnaie ou d’un argent sale, le paiement des intérêts qui alimente automatiquement, en retour , le flot ininterrompu des bénéfices que produit l’argent gratuitement fabriqué devient miraculeusement virginal après son détour dans l’économie réelle. Il est du bon et bon argent, de l’argent réel, l’argent des impôts, donc le fruit du travail des citoyens. En conséquence, ce sont les citoyens qui entretiennent les banquiers.

Les alchimistes du Moyen-Age avaient besoin de plomb pour produire de l’or, les alchimistes de la FED sont beaucoup plus forts. Pour produire de la richesse, il leur suffit de pianoter sur le clavier de leurs ordinateurs.
une bien curieuse alchimie!

Un enrichissement phénoménal des banquiers à partir de rien, à partir du néant, en résulte.

Il faut reconnaître qu’il s’agit d’un montage particulièrement astucieux et qui méritait bien l’acharnement des chasseurs de canards de l’île Jekyll afin d’en peaufiner le mécanisme. Il a d’ailleurs donné entière satisfaction aux heureux prestidigitateurs qui depuis près d’un siècle plument joyeusement les palmipèdes que sont les citoyens américains, ainsi que les citoyens du monde entier. Ils plument aussi les pays pauvres grâce à l’exportation de ce mécanisme et à son application au FMI (Fonds Monétaire International), à la Banque mondiale et à tous les mécanismes bancaires censés "aider" les pays émergents, alors qu’en réalité, ils les ruinent.

D’ailleurs ce mécanisme est si mirobolant qu’il a été imité non seulement par les autres banques centrales, mais par les banques privées du monde entier. C’est le système bancaire tout entier qui fonctionne comme une gigantesque pompe à finances aspirante, parasitaire de l’économie réelle, structurellement génératrice d’inflation et d’appauvrissement des sociétés civiles, mais pourvoyeuse de vertigineuses richesses au profit des banquiers. De plus, il contraint les sociétés à une éreintante course à la croissance afin de pouvoir au moins compenser le montant du tribut payé aux financiers.

le faux-monnayeur

Les cent, les mille, les dix mille mains des banquiers auront-elles la force de triompher, une fois de plus, du principe de réalité? La démesure du casino boursier mondial vient de montrer ses limites. Des optimistes invétérés pensent que "le gros de la crise est passé" pendant que les pessimistes attendent l’apocalypse. Mais tout joueur drogué finit par être rejoint un jour ou l’autre par la réalité et la montagne des dettes accumulées par l’Etat américain, par les banques et par les particuliers ne pourra, telle l’échelle de Jacob, monter jusqu’au ciel.

«Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents»

La crise mondiale aujourd’hui, Maurice Allais, « Prix Nobel » de Sciences Economiques 1988. Ed. Clément Juglar 1999.

maurice allais

1 - Les Hécatonchires étaient les fils d’ Ouranos et de Gaïa, c’étaient des géants à cent bras et cinquante têtes. V. Hugo a utilisé ce mot dans plusieurs œuvres : " Rome a beaucoup de bras. C’est l’antique hécatonchire. On a cru cette bête fabuleuse jusqu’au jour où la pieuvre est apparue dans l’océan et la papauté dans le moyen âge. " (in Actes et paroles) . Le mot se trouve également dans son William Shakespeare et dans divers poèmes.

2 - "In the autumn of 1910, six men went out to shoot ducks, Aldrich, his secretary Shelton, Andrews, Davison, Vanderlip and Warburg. Reporters were waiting at the Brunswick (Georgia) station. Mr. Davison went out and talked to them. The reporters dispersed and the secret of the strange journey was not divulged. Mr. Aldrich asked him how he had managed it and he did not volunteer the information." ( Nathaniel Wright Stephenson, Nelson W. Aldrich, A Leader in American Politics, Scribners, N.Y. 1930, Chap. XXIV "Jekyll Island", cité in Mullins , SECRETS OF THE FEDERAL RESERVE The London Connection )

3 - Paul Warburg, believed that every question raised by the group demanded, not merely an answer, but a lecture. He rarely lost an opportunity to give the members a long discourse designed to impress them with the extent of his knowledge of banking. (Cité in Mullins, SECRETS OF THE FEDERAL RESERVE The London Connection)

4 - Executive Order 11,110 AMENDMENT OF EXECUTIVE ORDER NO. 10289 AS AMENDED, RELATING TO THE PERFORMANCE OF CERTAIN FUNCTIONS AFFECTING THE DEPARTMENT OF THE TREASURY

By virtue of the authority vested in me by section 301 of title 3 of the United States Code, it is ordered as follows: Section 1. Executive Order No. 10289 of September 19, 1951, as amended, is hereby further amended- a. By adding at the end of paragraph 1 thereof the following subparagraph (j): (j) The authority vested in the President by paragraph (b) of section 43 of the Act of May 12,1933, as amended (31 U.S.C.821(b)), to issue silver certificates against any silver bullion, silver, or standard silver dollars in the Treasury not then held for redemption of any outstanding silver certificates, to prescribe the denomination of such silver certificates, and to coin standard silver dollars and subsidiary silver currency for their redemption and -- b. Byrevoking subparagraphs (b) and (c) of paragraph 2 thereof. Sec. 2. The amendments made by this Order shall not affect any act done, or any right accruing or accrued or any suit or proceeding had or commenced in any civil or criminal cause prior to the date of this Order but all such liabilities shall continue and may be enforced as if said amendments had not been made.

John F. Kennedy The White House, June 4, 1963.

5 - It is interesting to note how many assassinations of Presidents of the United States follow their concern with the issuing of public currency; Lincoln with his Greenback, non-interest-bearing notes, and Garfield, making a pronouncement on currency problems just before he was assassinated. (Cité par Mullins)

6 - "The results of the conference were entirely confidential. Even the fact there had been a meeting was not permitted to become public." He adds in a footnote, "Though eighteen [sic] years have since gone by, I do not feel free to give a description of this most interesting conference concerning which Senator Aldrich pledged all participants to secrecy." (Paul Warburg, The Federal Reserve System, Its Origin and Growth, Volume I, p. 58, Macmillan, New York, 1930 p.60)

7- Tableau des familles propriétaires de la FED, Voir :OWNERSHIP OF THE FEDERAL RESERVE http://land.netonecom.net/tlp/ref/federal_reserve.shtml

Source: pagesperso-orange.fr/aline.dedieguez/mariali/picrochole/conspirateurs/conspirateur.htm

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16/05/2010 | Lien permanent

L’histoire secrète de la seconde guerre mondiale

16 mai 2010 par Gilles Bonafi

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Rapport du 12 septembre 1947 du Counter Intelligence Corps

La Commission des Crimes de Guerre de Yougoslavie, en 1946, aboutit à l’accusation d’une demi-douzaine de prêtres oustachis, parmi lesquels l’ancien franciscain Miroslav Filipovic-Majstorovic, commandant du camp de concentration de Jasenovac.
Ante Pavelic le Führer Croate chef des Oustachis surnommé « le boucher de dieu » et responsable de la mort de 840 000 êtres humains (juifs, orthodoxes, tsiganes, communistes) se cacha au Vatican après la guerre, déguisé en prêtre catholique.
Un rapport déclassifié (12 septembre 1947) du Counter Intelligence Corps, le CIC, les services secrets de l’armée américaine à Rome, prouve aujourd’hui qu’Ante Pavelic était caché par l’Eglise.

Le Vatican le fit passer ensuite en secret de Rome à Buenos Aires, vers le régime fasciste de Peron. Lors du décès de Pavelic, en décembre 1959, le pape Jean XXIII prononça personnellement la bénédiction à son égard.

Des filières d’exfiltrations appelées « Ratline » furent en effet mises en place par le franciscain Krunoslav Draganovic qui était un membre du mouvement oustachi afin de protéger les criminels de guerres nazis ou fascistes en se servant de l’or amassé par Ante Pavelic.
L’agent Emerson Bigelow de l’OSS fit un rapport le 21 octobre 1946 concernant un chargement d’or d’une valeur de 200 millions de francs suisses venant de la Banque Nationale de Croatie qui devait servir à financer ces filières. Source : U.S. News and World Report, A Vow of silence p 36, 30 mars 1998.

En plus de Pavelic, Adolf Eichman, Klauss Barbie, Josef Mengele, Franz Stangl (commandant des camps d’extermination de Sobibor et de Treblinka) pour les plus connus bénéficièrent de la filière « Ratline ».
La plupart des criminels nazis et oustachis furent exfiltrés vers l’Argentine où ils mirent en place les escadrons de la mort qui, avec l’aide de la CIA, furent chargés d’assassiner les activistes communistes.
Par exemple, Stangl a avoué que c’est l’évêque Mgr. Alois Hudal lui-même qui lui a fourni un logement, de l’argent et les papiers qui lui permettront ensuite de partir en Syrie (source : Gitta Sereny, « Au fond des ténèbres », Paris, Denoël pp. 311-314.

La plupart des catholiques ne sont pas au courant de cela et dans leur grande majorité, ils étaient contre le racisme et les massacres. En effet, le 14 mars 1937, Pie XI publia l’encyclique «Mit brennender Sorge», condamnant le paganisme et le racisme qui révulsa Hitler et une partie de la haute hiérarchie catholique.
Le point culminant du conflit entre Pie XI, Hitler et Mussolini fut atteint en février 1939, lorsqu’à l’occasion du dixième anniversaire des accords du Latran, le pape convoqua tous les évêques d’Italie (le 11 février exactement) pour leur lire un discours dénonçant les guerres à venir et les persécutions raciales de l’Allemagne et de l’Italie. On l’assassina le 10 février, la veille de son discours.

D’après le cardinal Eugène Tisserant, ce sont Hitler et Mussolini qui firent assassiner Pie XI. Eugène Tisserant était un anti-nazi notoire dont les contacts fréquents avec le directeur de la Surveillance du territoire (DST), Roger Wybot, étaient connues et qui, de plus, était protégé par un agent du contre-espionnage français, Jacques de Pressac.
Roger Faligot, Jean Guisnel, Rémi Kauffer, Renaud Lecadre, dans « Histoire secrète de la V e République » (Paris, La Découverte, 2006), aux pages 603-607 écrivent:
« Le cardinal (Tisserant) avait été affecté en 1917 comme lieutenant au 4e bureau de l’état-major du détachement français de Palestine. Sa connaissance des langues orientales et de la région, où il avait étudié dix ans plus tôt, le fit passer au 2e bureau et à la tête d’un peloton de spahis. »
Ancien officier des services secrets français et cardinal, il savait donc de quoi il parlait.
Source : http://www.cf2r.org/fr/notes-historiques/penetrations-du-...

De plus, Tisserant avait été nommé en 1957 gardien des archives secrètes du Vatican et préfet de la bibliothèque Vaticane. Il était donc particulièrement informé et connaissait la plupart des secrets de l’église.

Il déclara à la presse française en janvier que Pie XI avait été empoisonné par le médecin du Vatican qui était aussi le père de Clara Petacci, la maîtresse de Mussolini. Etrangement, Eugène Tisserant est mort quelques semaines plus tard, le 21 février 1972 exactement.
Dans leur livre « Le roman du Vatican secret » Baudouin Bollaert, Bruno Bartoloni confirment cette affirmation. Ancien rédacteur en chef au Figaro, maître de conférences à Sciences Po et à Paris II, Baudouin Bollaert a vécu six années à Rome comme correspondant permanent du Figaro, d’Europe 1 et de La Libre Belgique. Bruno Bartoloni a été correspondant de l’Agence France-Presse au Vatican pendant de longues années. Aujourd’hui, ce journaliste italien de renom suit l’actualité du Saint-Siège pour le Corriere della Sera et Paris Match.
Paris Match publia les révélations posthumes de Tisserant dans son numéro 1201 Du 13/05/1972.
Source : http://gillesbonafi.skyrock.com/2862553650-Pie-XI-a-ete-assassine.html

Pie XI a été assassiné

Pie XI a été assassiné

Paris Match, numéro 1201 du 13/05/1972


Pie XII

Eugenio Pacelli, devenu Pie XII, le 2 mars 1939 succéda à Pie XI, or, son parcours n’est pas anodin.
Il a en effet été nommé nonce apostolique en Bavière en 1917 (évêque la même année). C’est lui qui était chargé de la négociation de tous les concordats avec l’église (Lettonie, Bavière, Pologne, Roumanie, Allemagne).
Il existe un point que personne ne soulève. Le concordat signé entre l’Eglise et l’Allemagne sous Hitler permet en effet d’obliger chaque citoyen allemand à payer un impôt versé à l’Eglise (protestante et catholique), le grand retour de la dîme. D’ailleurs, le 26 mars 1957 la cour constitutionnelle allemande a reconnu la validité du concordat et les allemands paient aujourd’hui encore une dîme évaluée à plus de 8 milliards d’euros par an.

On le voit ici, Pie XII a passé la majeure partie de son temps en Allemagne ce que confirme l’extrait du rapport sur la conversation entre von Ribbentrop, ministre des Affaires étrangères du Reich nazi, et Pie XII du 11 mars 1940:
« Après que le ministre des Affaires étrangères du Reich lui eut transmis les hommages du Führer, le pape ouvrit l’entretien en rappelant ses dix-sept années d’activité en Allemagne. Il dit que ces années passées dans l’orbite de la culture allemande correspondaient certainement à la période la plus agréable de sa vie, et que le gouvernement du Reich pouvait être assuré que son cœur battait, et battrait toujours pour l’Allemagne ».
( Source : Archives secrètes de la Wilhelmstrasse, RAM. 10 A).

Il fut donc directement impliqué avec von Papen dans la politique du Vatican qui a favorisé l’accession au pouvoir des nazis et surtout, c’est lui qui a donné l’ordre à Ludwig Kaas (un prélat catholique sous sa responsabilité directe), le dirigeant du Zentrum, de voter en faveur de Hitler en 1933.
Ludwig Kaas entretenait des relations de longues dates avec Pacelli lorsqu’il était nonce du pape en Bavière et en Allemagne. Kaas était devenu son conseiller car il était spécialiste des relations entre l’état et l’église catholique et professeur de droit canon. Il accompagnait souvent Pacelli dans ses voyages à Rome. Celui-ci lui fit d’ailleurs obtenir un poste à Rome de notaire papal le 20 mars 1934, et, le 20 août 1936, de secrétaire de la Congrégation de la Fabrique de S. Pierre (chargé de l’entretien et de l’administration de la Basilique), une récompense pour ses bons et loyaux services.

Le mystérieux Von Papen

Von Papen (1879 – 1969) fut vice-chancelier de Hitler du 30 janvier 1933 au 7 août 1934, puis ambassadeur, d’abord à Vienne (1934) ensuite à Ankara jusqu’en 1944.
Il fut le seul acquitté au tribunal de Nuremberg puis condamné par les tribunaux de dénazification. Face au tollé soulevé il purgera cinq ans dans une prison dorée avant de terminer chambellan du pape Jean XXIII en 1959, lui aussi récompensé pour bons et loyaux services. Il a d’ailleurs déclaré : « Le IIIème Reich est la première puissance du monde, non seulement à reconnaître, mais à traduire dans la pratique les hauts principes de la papauté. » (Robert d’Harcourt, résistant catholique, de l’Académie Française, Franz von Papen l’homme à tout faire…,journal L’Aube du 3 octobre 1946)

Joachim C. Fest, historien spécialiste du troisième Reich et mondialement reconnu, dans son livre « Les maîtres du IIIe Reich » publié en 1965, reconnaîtra le rôle prépondérant de von Papen dans l’avènement politique du nazisme.

Von Papen était en effet l’éminence grise du Zentrum avant d’en être exclu fin 1932. La Deutsche Zentrumspartei « Centre » était un parti politique catholique allemand, fondé en 1870 et dissout le 5 juillet 1933. En 1933, le dirigeant du Zentrum était un prélat catholique Ludwig Kaas qui, avec l’appui de von Papen fit voter son parti en faveur d’Hitler et lui accorda donc les pleins pouvoirs en lui permettant d’atteindre la majorité des 2/3 au Reichstag, majorité obtenue par l’arrestation avant le vote des députés communistes.
Bien sûr, le Zentrum n’émit aucune protestation.
La loi du 24 mars 1933 visant au « soulagement de la détresse du peuple et de l’État » (Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933), que certains ont nommé loi des pleins pouvoirs, était une loi allemande adoptée le 24 mars 1933 qui donna à Adolf Hitler le droit légal de gouverner par décret, c’est-à-dire de promulguer des lois sans en référer au Reichstag.

Le vote de cette loi eut lieu juste après l’attentat qu’Hitler avait provoqué en brûlant le Reichstag. Afin de modifier la constitution, il fallait en effet une majorité des 2/3 des voix soit 430 voix or, il manquait à Hitler 90 voix. Les deux partis catholiques, le Zentrum et le BVP (Le Bayerische Volkspartei (BVP – Parti populaire bavarois) fournirent 91 votes.
Tout le monde savait à l’époque que cette loi conduirait à la dictature et il est intéressant de constater que Hitler a pris le pouvoir de façon « démocratique ».

C’est encore Eugénio Pacelli, futur Pie XII qui ordonna au Zentrum de s’auto-dissoudre, laissant seul le NSDAP, le parti nazi. Sa responsabilité était totale.
William L. Shirer, dans livre « Le IIIe Reich — Des origines à la chute », écrivit que von Papen a été « plus responsable de l’avènement d’Hitler que tout autre Allemand » or, il ne faut pas perdre de vue qu’il était lui aussi sous les ordres directs du futur Pie XII.

Après le concordat, von Papen ira plus loin. Il comptait en effet tout faire pour se débarrasser des SA, la Sturmabteilung (Section d’assaut) l’organisation paramilitaire du NSDAP (le parti nazi) qui prônait une révolution sociale et effrayait la droite conservatrice fidèle à l’église.
Le soutien de l’église et des grandes multinationales avait pour condition l’abandon d’une politique économique et sociale que certains jugeaient communiste.
Le 17 juin 1934, il prononça donc le fameux discours à l’université de Marbourg qui signa l’arrêt de mort des SA.
Il les accusa donc d’utiliser des « méthodes terroristes dans le domaine de la justice » et surtout affirma que « l’Allemagne ne saurait vivre dans un état de troubles perpétuels, dont nul ne voit la fin ». Savamment orchestré et relayé par les médias (le Frankfurter Zeitung) ce qui était étrange dans un pays hyper contrôlé, le discours fit l’effet d’une bombe dans l’opinion.
Hitler ordonna donc le massacre, la nuit des longs couteaux, qui eut lieu du 29 juin au 2 juillet 1934.

Ernst Röhm avec une centaine d’officiers de la Sturmabteilung furent sauvagement assassinés et remplacés par les SS. Un millier d’arrestation brisa net la SA. Hitler en profita pour faire assassiner Jung, von Bose et Klausener qui avaient participé au discours de Marbourg.
On le voit ici, c’est l’intervention directe de von Papen qui a tout déterminé et d’ailleurs, Hitler lui en voudra énormément. Il n’avait pas supporté que l’on décide de ce qu’il fallait qu’il fasse, des orientations de son parti, mais il n’avait pas le choix, des forces supérieures étaient en jeu. Ainsi, le 7 août 1934, il obligea von Papen à démissionner. Pourtant, il restera un fidèle soutien de la politique allemande et Winston Churchill, dans son ouvrage « L’orage approche », raconta que le but d’Hitler en nommant von Papen ambassadeur en Autriche était de « miner la position des personnalités marquantes de la politique autrichienne, ou les gagner à la cause allemande ».

D’ailleurs, après l’Anschluss, l’annexion de l’Autriche par l’Allemagne nazie en 1938 il obtiendra du cardinal Innitzer qu’il ordonne que toutes les églises d’Autriche prient pour Adolf Hitler à chacun de ses anniversaires et arborent le drapeau à croix gammée.
Le Vatican désirait en effet briser l’Hégémonie de la Prusse protestante en faisant entrer l’Autriche catholique au sein du Reich.
Le Mercure de France du 15 janvier 1934 à la page 262 explique par ailleurs :
« Au Vatican, on avait, pendant longtemps, pensé, en effet, à changer le centre de gravité du Reich grâce à l’Anschluss : la compagnie de Jésus travailla ouvertement dans ce sens, surtout en Autriche. Or, l’on sait à quel point Pie XI compte sur elle pour faire triompher ce qu’il appelle « sa politique ».

Winston Churchill, dans son ouvrage « L’orage approche », raconta que le but de Hitler en nommant von Papen ambassadeur en Autriche était de « miner la position des personnalités marquantes de la politique autrichienne, ou les gagner à la cause allemande ».

Annie Lacroix-Riz, professeur d’histoire contemporaine à l’université Paris VII publia dans Golias, n° 63, novembre-décembre 1998, p. 52-59 une étude dont une partie est intitulée « La politique Vaticane jusqu’aux années trente » et dont voici un extrait essentiel pour comprendre:

« De cette politique à l’Est, la dimension anti-serbe – les Serbes apparaissant comme les
principaux ennemis de l’expansion autrichienne – s’imposa avec une continuité totale, sans
négliger un seul pontificat, à commencer par celui de Léon XIII, ouvert l’année même de la
naissance définitive de la Serbie au congrès de Berlin de 1878…

Vienne s’appuya ouvertement dans sa mission anti-serbe sur la Curie et sur ses prélats, en tête desquels figurait Stadler,évêque croate de Sarajevo depuis les années 1890, chef de fait des jésuites voués à la catholicisation des masses, et décrit en ces termes par le consul de France à Sarajevo: « il estdevenu en peu de temps un des gros capitalistes de Bosnie-Herzégovine comme il en est aussi un des politiciens les plus actifs. Ses seules préoccupations semblent être de thésauriser et d’autrichianiser ». « Très allemand d’origine et de sentiments », d’une extrême violence, cette brute était un spécialiste de la conversion forcée, dont les épisodes répétés étaient rapportés avec indignation par les diplomates français: les musulmans, population de même souche que tous les Slaves de cet ensemble balkanique, mais constituée des héritiers des propriétaires fonciers qui avaient emprunté à l’ère de la conquête ottomane la religion du vainqueur, et que Vienne s’efforçait de séduire contre les Serbes, se plaignaient à cet égard du prélat presque autant que les Serbes orthodoxes.

La ligne Stadler, fixée par Vienne et le Vatican, incarnait la ligne d’expansion du germanisme et du catholicisme contre le slavisme et l’orthodoxie adoptée dans la perspective du règlement de comptes imminent. Le régime impérial, après avoir transformé en arsenal, croatisé et catholicisé en masse, de gré ou de force, la Bosnie-Herzégovine qu’elle dirigeait de fait depuis le congrès de Berlin de 1878,
l’annexa enfin en octobre 1908.»

Surtout, c’est Eugénio Pacelli qui a oeuvré en faveur d’une politique de conversion dans les pays orthodoxes, l’axe central de la politique de l’église dans les pays de l’Est.
Outre les soutiens de l’église, Hitler pouvait aussi compter sur ceux de la grande finance et des grandes multinationales. Ford, IBM, IG Farben, finançaient ainsi à tour de bras le régime d’Hitler. Le grand père de Georges Bush fut lui-même impliqué et tous désiraient un pouvoir fort de type fasciste permettant la fusion de l’église, des entreprises et de l’état.
Hitler avait d’ailleurs été consacré « homme de l’année » par le magazine Time en janvier 1939.

Nous le voyons ici, l’histoire officielle doit être réécrite. La seconde guerre mondiale (l’œuvre au noir fasciste et nazie) devrait être analysée sous l’angle d’une guerre qui a surtout exterminé les athées communistes, les juifs et les orthodoxes, une guerre de religion, une croisade, ce que personne (ou presque) ne fait.

« Il y a deux histoires: l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où se trouvent les véritables causes des évènements. »

Honoré de Balzac (1799-1850), écrivain français

Gilles Bonafi

Comprendre le monde

 

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16/05/2010 | Lien permanent

Kenn THOMAS Les projets obscurs de la FEMA - USA (2)

Et surtout quand la FEMA vous proposera de vous sauver la vie ! FUYEZ !

Voir l'article précédent :

Les projets obscurs de la FEMA - USA
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2011/01/24/les-projets-obscurs-de-la-fema.html

Kenn THOMAS
L
es projets obscurs de la FEMA

 
 
 
 
 
 
 
 

Kenn ThomasSpécialiste en parapolitique, l’auteur conspirationniste américain Kenn Thomas analyse les faits importants de l’histoire à la lumière de l’actualité et des tendances à venir pour mieux les intégrer dans une approche globale de la Conspiration moderne. Questionné sur les camps de la FEMA, il explique la difficulté de passer outre la rumeur et la nécessité d’adopter une vision plus large des enjeux actuels. En soulignant le désintérêt et la déresponsabilisation des dirigeants en matière de protection civile, Kenn Thomas dénonce la passivité des citoyens et une orchestration des événements qui serait menée depuis longtemps  par les élites au pouvoir. Nul besoin de déclarer la loi martiale, les structures autoritaires et dirigistes sont déjà bien en place.
Kenn Thomas s’est intéressé à une grande variété de sujets controversés : enlèvements extraterrestres, sociétés secrètes ou encore l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy et les attaques du 11 septembre 2001. En 1992, il a  fondé le magazine Steamshovel Press dans lequel il développe ses théories parapolitiques.
Il travaille actuellement sur la second volume de "Secret and Suppressed" pour la maison d'édition Feral House qui incluera un chapitre sur les camps de concentration aux Etats-Unis.

Une entrevue avec Kenn THOMAS

Kali : Les camps d’internement de la FEMA ont fait l’objet de beaucoup d’écrits et de spéculation ces dernières années aux Etats-Unis. Des vidéos, des images et des descriptions détaillées de ces camps sont facilement disponibles sur Internet. Par contre, il est difficile de retrouver l’origine de ces descriptions. Ces camps existent-t-ils vraiment en fin de compte ? A quoi sont-ils destinés ? 

Kenn Thomas : En matière d’études parapolitiques, les activistes - appelons-les « conspirationnistes » - livrent  ces descriptions afin de souligner qu’il existe encore aux Etats-Unis des régions sinistrées qui souffrent d’une mauvaise gestion fédérale en matière d’urgences. Comme Randy Newman le chante : « libre de vivre en cage à l’Est de St. Louis et au Sud de Chicago », avec l’exemple le plus récent de la gestion post-Katrina à la Nouvelle-Orléans. Les descriptions détaillées auxquelles vous vous référez, telles les images vidéos et le reste, atteignent rarement un stade supérieur à la rumeur. Ceux qui nient les théories conspirationnistes considèrent ce genre d’affaire comme étant une négligence bénigne. Quant aux conspirationnistes, ils considèrent qu’il s’agit d’un effort délibéré voire planifié d’encercler les pauvres et les plus démunis pour ensuite les exécuter. Personnellement, je caractériserais cela de négligence malveillante. Lorsque George Bush a caressé l’ancien chef de la FEMA, Michael Brown, dans le sens du poil et lui a dit « Bon travail ! », il remuait en fait le couteau dans la plaie, et annonçait dans la foulée à quel point il n’en avait rien à faire d’assumer la responsabilité des suites de Katrina. Précédemment, Michael Brown avait travaillé dans la chirurgie cosmétique pour chevaux (NDLR : Avant de rejoindre la FEMA, M. Brown fut commissaire des Juges et Stewards pour l’Association Internationale des chevaux arabes, de 1989 à 2001). D’un autre côté, quelqu’un comme le Lieutenant General Russell Honore, qui mena les convois de secours à la Nouvelle-Orléans, n’est certainement pas quelqu’un que les gens s’attendent à voir effectuer une rafle de civils en vue de les exécuter. En fait, il était un vrai héros à la tête du déploiement  militaire le plus large dans le Sud des Etats-Unis depuis la Guerre Civile, et ce dans le but de secourir des gens. Mais que les camps dont vous parlez existent ou non, personne ne doute de l’existence de large lots de caravanes vides et inutilisées appartenant à la FEMA alors que, dans la pratique, des personnes déportées hors des sites sinistrés, théoriquement par la FEMA, restent sans abris. 

Kali : Ces camps sont-ils les mêmes que ceux qui servirent à détenir les civils japonais et allemands durant la Seconde guerre mondiale ?

Kenn  Thomas : Non, Il s’agit d’une chose totalement différente. L’équivalent des anciens camps d’internement conçus pour les japonais consisterait en des camps conçus pour les personnes originaires du Moyen-Orient. Les camps japonais, par exemple, étaient localisés précisément en Arkansas, Californie, Utah et Wyoming et furent fermés par ordre présidentiel en décembre 1945. Ces lieux ne correspondent pas aux sites localisés dans les rumeurs portant sur les camps de la FEMA. 

Kali : La plupart de ces camps seraient vides ? Savez-vous si c’est le cas ? En serait-il fait un usage temporaire, « en attendant » ? 

Kenn Thomas : Vide, là est justement la question, de même que pour tous les convois vides de la FEMA. Ce pourrait être l’abondance d’une planification et, donc, des ressources perdues. Cela rejoint l’idée que la guerre d’Irak était totalement planifiée bien avant les attaques du 11 septembre 2001. Bien sûr que c’est vrai. A n’importe quel moment, ces laboratoires d’idées néo conservateurs ont des plans pour parer aux éventualités, et ce en ce qui concerne le monde entier. Cela ne serait donc pas étonnant si de grands camps vides étaient prêts au cas où une rafle de citoyen venait à survenir en cas d’une éventuelle déclaration de la loi martiale.

Kali : Phil Schneider a révélé l’existence de wagons de transport équipés de menottes et qui auraient été conçus dans le but de déporter des populations à l’intérieur des Etats-Unis. En avez-vous entendu parler ? Auriez-vous des éléments concrets vérifiant l’existence de ces convois ?

Kenn Thomas : Je n’ai rien à ajouter aux propos de Phil Schneider. Il est mort dans des circonstances étranges, après avoir effectué des recherches intéressantes sur les décès prématurés de nombreux éminents ufologues. J’ai réalisé une conférence par la suite à ce sujet dans le cadre de la conférence internationale sur les OVNIS à Laughlin. Dans le cas des camps japonais, lorsque les prisonniers ont été libérés, c’est en train que beaucoup ont fui les zones où ils avaient été détenus.

Kali : Y-a-t-il un lien entre la FEMA et les bases militaires souterraines rapportées par de nombreux ufologues tel que Richard Sauder ?

Kenn Thomas : La recherche de Sauder était basée sur des documents accessibles au public portant sur des aménagements souterrains officiels du gouvernement, ainsi que sur la technologie des tunnels. Les gens ont été très critiques par rapport à cette recherche, mais qui d’autre a pris le temps de rassembler toutes ces informations ? Et il s’agit d’informations solides, pas de rumeurs. Pour avoir un compte rendu réaliste des rumeurs circulant sur les bases militaires souterraines, je conseille le livre de Greg Bishops, « Le projet Beta », au sujet de Paul Bennewitz, qui était à l’origine des rapports sur les humains qui auraient travaillé aux côtés d’extra-terrestres dans les bases souterraines de Dulce au Nouveau Mexique dans les années 80. A l’heure actuelle, le travail de Greg Bishops est le plus complet sur le sujet. 

J’ai rencontré Richard Sauder à Roswell il y a quelques années de cela. C’est un chouette gars, très ouvert, bien que nous n’ayons pas les mêmes idées concernant les nuances dans nos approches de la conspiration du 11 septembre 2001.

Kali : Pensez-vous que l’exploitation de ces camps soit imminente ? Dans le contexte politique actuel, qu’est-ce qui pourrait mener le gouvernement à déclarer la loi martiale ?

Kenn Thomas : Je ne me souviens plus qui a dit « Pourquoi déclarer la loi martiale si vous ne devez pas le faire ? » mais je crois que cela répond bien à votre question. Une partie des Etats-Unis correspond assez bien à la description d’un état fasciste amical : des citoyens heureux, conducteurs de 4x4, qui soutiennent George Bush, des citoyens fast-food qui n’ont pas besoin d’avoir un tank dirigé sur eux pour obéir. Les personnes qui sont conscientes des théories parapolitiques n’ont pas besoin que la loi martiale soit déclarée pour savoir qu’ils sont déjà en guerre contre ce genre de chose. Nous sommes au milieu d’une année de campagne électorale, et cependant, certains envisagent déjà de voir différentes formes de manipulations, comme qu’une fraude au vote ou des assassinats potentiels. Dans un certain sens, les machines de vote Diebold, et la forme de contrôle qu’elles représentent, font déjà du pays un immense camp de la FEMA !

Kali : Ces 60 dernières années, de nombreuses lois d’exceptions ont été émises permettant à l’Etat de renforcer son contrôle en cas de loi martiale. Certains plans militaires, tel que le plan REX 84 conçu sous l’administration Reagan, annoncent l’avènement d’un Etat militaire, toujours en cas de loi martiale. À la lumière de ces éléments historiques, les attaques du 11 septembre 2001 peuvent-elles être considérées comme faisant partie d’un plan à long terme destiné à contrôler et dominer les citoyens ? Les attaques constituent-elles un événement majeur qui a ouvert la voie à l’asservissement des Etats-Unis, voire le reste du Monde ?

Kenn Thomas : On peut effectivement parler de long terme puisque cela fait 24 ans qu’à été conçu le plan REX 84 et que le grand asservissement s’est fait jour. Je voudrais juste me référer à ma réponse précédente en soulignant que certaines structures existent depuis longtemps et celles-ci permettent à de nombreuses choses épouvantables de se produire sans même avoir besoin de déclarer la loi martiale, comme vous le suggérez. Prenez par exemple le National Security Action Memorandum signé par Lyndon Johnson qui a contrecarré la version de John Fitzgerald Kennedy préparant le retrait des troupes américaines du Vietnam. Ce fut une mesure draconienne qui annonçait de longue date le plan REX 84. De nombreux citoyens américains ne sont pas au courant qu’une telle chose s’est produite, sont en déni, n’en ont rien à faire ou considèrent cela comme parfaitement acceptable, et ce malgré l’énorme tragédie de la guerre. Ils vivent dans une culture de consommation insouciante où de telles choses ne se voient pas accorder l’importance qu’elles méritent. Un coup d'état militaire ferait exploser la sphère qui exerce déjà actuellement un certain contrôle. 

Kali : On parle souvent d’une sphère d’influence qui gravite autour de George W. Bush, une sphère qui serait composée des théocrates ou de groupes religieux. Est-ce que ceux-ci sont en mesure d’influencer voire de créer un fausse guerre avec l’Iran qui, dans la foulée, créerait par exemple une agitation civile à l’intérieur des Etats-Unis ? Les théocrates sont-ils en mesure de créer un événement majeur aussi grave que Pearl Harbor, qui mènerait à la mise en place d’un état police théocrate ?

Kenn Thomas : Malheureusement, les théocraties sont partout sur le globe. Un certain pourcentage de la population étasunienne considère des théocrates américains tels que Pat Robertson ou le non regretté Jerry Falwell comme des charlatans ou des bouffons et reconnaît certains mensonges, comme les faits reprochés à l’Iran. Les attaques du 11 septembre 2001 ont provoqué une réaction brutale contre la religiosité aux Etats-Unis, ce qui a contribué à apporter une grande popularité aux écrivains athéistes tels que Richard Dawkins, Sam Harris et Christopher Hitchens, bien que ce fut également la conséquence d’un jihadisme radical soutenu par les théocraties d’Etat au Moyen-Orient. Je cite souvent William S. Burroughs lorsque je parle de religion dans les affaires publiques américaines « Ne vous fiez jamais à un salopard de religieux à qui Dieu explique comment faire pour vous baiser ». Les attaques du 11 septembre étaient essentiellement une conspiration conduite par les islamistes, mais n'avaient rien à voir avec l'influence moralisante des chrétiens ou des juifs. Le gouvernement américain a empêché les élites aux pouvoirs d’utiliser le 11 septembre pour étendre ses pouvoirs de façon excessive. Le chaos est survenu le jour où Dick Cheney a pensé, « hé, on peut travailler avec ça » et a ordonné à la défense aérienne de rester au sol pour permettre l’achèvement des attaques (NDLR : Un fonctionnaire du cabinet de l'administration Bush déclara à la Commission du 11/9 que Dick Cheney réitéra par trois fois un ordre de "stand-down" permettant au Pentagone d'être attaqué sans interférence des défenses aériennes US). C’est mon interprétation : à moitié perçu, à moitié créé. Un autre exemple est celui de la guerre Iran/Irak de 1980 à 1988. Celle-ci fut conduite par un pays soi-disant laïque et une marionnette américaine par procuration, l’irakien Saddam Hussein, contre la théocratie iranienne. Ni George Bush, ni Saddam Hussein ne semblent vraiment religieux. Ce sont juste des parades qu’ils doivent jouer, comme le ferait n’importe quel président. Un économiste conservateur que le premier Bush a certainement dû lire (et certainement pas le second) est Herman Kahn qui a dit : « l’hypocrisie est l’hommage que la vertu rend au vice ».

Kali : A quoi serviraient les camps de la FEMA dans ce scénario ?

Kenn Thomas : Ce type de scénario ressemble au credo ennuyeux des évangélistes lorsqu’ils proclament l’imminence de la fin du monde. Cela ne s’est pas passé et cela ne se passera pas. Les Etats-Unis auront toujours ces enclaves opprimées de pauvreté et d’ignorance et beaucoup, beaucoup de personnes se contenteront d’une autorité rigide, conformiste et seront heureuses au sein d’une culture militariste fondée sur l’engagement volontaire. Si le scénario des camps de concentration de la FEMA donne aux étudiants de la Conspiration le pouvoir de penser par eux-mêmes, tant mieux. Mais, beaucoup d’autres domaines de recherche existent et doivent être compris afin d’avoir une meilleure prise sur la situation parapolitique globale. Il ne suffit pas de bêler qu’ils vont venir nous enfermer et nous tirer dessus. 

Kali : Est-ce que la crise économique aux Etats-Unis est une manipulation ainsi que le premier signe de la mise en place d’un état d’urgence permettant au gouvernement de tout contrôler ?

Kenn Thomas : La crise économique a seulement commencé aujourd’hui. Les attentats du 11 septembre sont arrivés après une longue période de relative prospérité économique durant les années Clinton, bien qu’à l’époque, je connaissais autant de personnes qu’aujourd’hui vivant la crise économique quotidiennement. Par ailleurs, il est vrai que l’on pourrait effectivement penser que tout est orchestré. Les situationnistes soulèvent cet argument depuis le début des années 50, en fait, depuis la société du divertissement ! Et cela s’est réellement passé durant toute la période d’après-guerre, mais il est important d’analyser ce à quoi nous faisons face aujourd’hui, et pas uniquement se contenter d’imaginer que tout ça finira mal.

Kali

Le site web de Kenn Thomas, steamshovelpress.com, offre une sélection de DVDs reprenant ses apparitions à la télévision et ses conférences ainsi que son magazine Steamshovel Press. Son dernier livre, Conspiracy Files, est disponible aux éditions Murdoch Books. Il peut être contacté à l’adresse suivante : POB 210553, St. Louis, MO 63121 USA. Des exemplaires de la dernière parution de Steamshovel coûtent $10 pour les commandes outre-atlantique. Des copies en format PDF sont disponibles sur Internet pour $7.

 

Kali © Karmapolis - Janvier 2008

http://www.karmapolis.be/pipeline/interview_kenn_thomas.h...


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29/01/2011 | Lien permanent

Nasa : Une flotte secrète en orbite ?

Dimanche 19 Avril 2009

Voir l'article avec les vidéos : ici

Michael Salla est de retour le 15 avril sur The Examiner avec un nouvel article : "Les notes de Reagan & la flotte de vaisseaux à antigravité du Commandement Spatial" :

"Le 13 avril, l'Administration des Archives Nationales a diffusé 250.000 pages de documents concernant le gouvernement de Ronald Reagan. Ca représente des mois de travail avant que les chercheurs aient fini de les recenser.

Nous espérons que celà permettra, entre autres, d'éclairer un commentaire relevé dans son Journal à la date du mardi 11 juin 1985 (page 334) :


"Déjeûner avec 5 savants spatiaux de haut niveau. Passionnant. L'espace est décidément notre ultime frontière, et certaines découvertes en astronomie, etc... font penser à de la science-fiction, mais nous sommes bien dans le réel.

J'ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite."

The Reagan Diaires (Harper Collins, 2007)


Reagan Diaries

Je trouve celà curieux parce que notre Navette spatiale peut embarquer un maximum de huit passagers, et cinq seulement ont été construites. Même en chargeant ces cinq navettes et les envoyant toutes ensemble dans l'espace, nous n'arriverions jamais au chiffre de 300 passagers. Reagan avait-il révélé l'existence de programmes hautement classifiés ? C'est apparemment le cas, selon des dizaines d'informateurs des milieux militaires et issus de compagnies privées : le Strategic Command est l'un des dix poles de commandement dans l'armée américaine; il contrôlerait une flotte de vaisseaux à antigravité qui ont la taille de porte-avions.

AF Space Command

Les Etats-Unis ont structuré leurs forces militaires en instituant dix commandements unifiés, chacun sous la responsabilité d'un général ou un amiral à quatre étoiles, qui dépend directement du Ministre de la Défense. Six d'entre eux servent à couvrir toutes les régions géographiques du globe.

A celà s'ajoutent quatre commandements opérationnels dont les activités militaires spécialisées sont orchestrées par un unique "Combatant Commander". De 1985 à 2002, le Space Command a été responsable des opérations militaires dans l'espace. En juin 2002, le Space Command a fusionné avec le Strategic Command, qui a la charge des activités spatiales comme la gestion des satellites, des missile, du nucléaire, et des missions de renseignement.

Les rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis possèdent une flotte ultra-secrète de vaisseaux à antigravité circulent depuis des années.

Le 23 mars 1993, lors d'une réunion destinées aux ingénieurs, organisée à Los Angeles, le Dr. Ben Rich - ancien directeur éxécutif des 'recherches avancées' chez Lockheed - a montré une image d'un disque noir se dirigeant vers l'espace et a déclaré :

"Nous possédons maintenant la technologie nécessaire pour ramener E.T. à la maison".

Des informateurs des milieux militaires et d'autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu'ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l'Aurora et le TR-3B.

Nick Cook

Dans son livre, "The Hunt for Zero Point", l'analyste Nick Cook, du Jane's Defense Weekly, écrit ceci à propos de l'Aurora : "Depuis la fin des années 80, on s'interroge sur l'existence du successeur secret du Blackbird; il s'agit d'un avion mythique nommé l'Aurora qui serait capable de voler deux fois plus vite et aux limites de notre atmosphère" (p. 14).

D'autres informateurs, comme Edgar Fouche, ancien contractant du Ministère de la Défense, ont soutenu que l'Aurora, à la suite du Blackbird [ou du SR-71] se compose de deux types d'avions hypersoniques pour aller dans l'espace :

"L'Aurora intègre le SR-75, qui est capable de voler à Mach 5, et sert de vaisseau-mère pour le SR-74, qui peut atteindre Mach 18 et aller placer des satellites dans l'espace."

Plus spectaculaire, il y a aussi le TR-3B, de forme triangulaire, qui selon Fouche génère un champ électromagnétique intense, lequel réduit son poids de 89%. D'après lui, le TR-3B utilise l'effet Biefeld-Brown (créé par d'importantes charges électrostatiques), puis des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets l'amènent à des vitesses prodigieuses. Ca se situerait bien au-dessus de Mach 18, qui est selon lui la vitesse du SR-74. Fouche affrime que le TR-3B a un diamètre de 200 mètres, ce qui approche la taille d'un porte-avions.

Des preuves bien établies confirment qu'il existe une flotte secrète d'engins spatiaux à antigravité. Par exemple, cette note étonnante du Président Ronald Reagan, dans son Journal, nous parle d'une navette qui aurait la capacité d'emporter 300 passagers en orbite terrestre. Autre exemple, le 6 août 2007, la NASA a honoré "l'Equipe de Soutien aux Vols Habités" parce qu'elle a permis d'éviter aux vaisseaux de la NASA d'entrer en collision avec des débris spatiaux. Cette équipe faisait partie du Space Command, dont il est notoire qu'il est le principal commandement militaire qui fournit une assistance spatiale à l'U.S. Strategic Command.

"Cette récompense… souligne le soutien exceptionnel que l'équipe nous a apporté pour permettre à la navette, à la Station Spatiale Internationale et à leurs équipages, d'éviter les dangers des débris en orbite, les collisions de vaisseaux, et autres accidents potentiels qui sont inhérents aux manoeuvres en orbite."

Toutefois, le public n'a pas connaissance que l'USAF Space Command ni le Strategic Command disposeraient d'engins spatiaux qui puissent assister la Navette ou l'ISS. Normalement, ces vaisseaux de la NASA devraient nécessiter des corrections graduelles, lesquelles prennent beaucoup de temps, et ne permettraient pas de faire face à des dangers imminents.

Selon Ted Twietmeyer, cette récompense est la preuve que des engins à antigravité existent, qui sont dotés d'armes à rayonnement de particules avec lesquelles ils peuvent détruire les débris qui se trouvent sur le chemin des vaisseaux de la NASA.


Ted Twietmeyer
Shuttle alien

Cette idée d'une flotte secrète, disposant de technologies avancées, capable d'intervenir pour assister la Navette et l'ISS, est également renforcée par le témoignage d'un ancien employé de la NASA.

Clark McClelland a travaillé comme opérateur pour plusieurs lancements de la Navette de 1989 à 1992. Il a déclaré avoir vu embarquer un passager immense, qui devait faire 2,5 à 2,80m et à côté de lui un engin à antigravité en forme d'aile delta.

McClelland connaissait tous les astronautes de ce programme de la NASA, et il pense que ce personnage en combinaison spatiale était un extraterrestre. On ne peut écarter la possibilité que cet être, ainsi que l'engin, aient fait partie d'une mission secrète en relation avec la Flotte de l'Espace, sous l'autorité de l'U.S. Strategic Command.

L'idée d'une flotte secrète a été aussi relancée par le hacker britannique Gary McKinnon, qui risque d'être extradé aux Etats-Unis pour avoir fouillé dans les ordinateurs de la NASA et de l'armée. McKinnon avait annoncé qu'il avait eu accès à des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA, dont une 'liste d'officiers non-terrestres', ainsi qu'une directive qui évoquait des 'transferts de flotte à flotte'.

Se pourrait-il que le géant, accompagnant deux autres astronautes, fasse partie d'un groupe d'officiers 'non-terrestres', qui peuvent apporter leur soutien aux programmes de la Navette, sous l'égide du Space Command de l'US Air Force ?


Si on considère ces preuves, émanant de diverses sources, la note du Président Reagan rédigée en 1985 dans son Journal apparait comme une reconnaissance évidente d'un programme spatial secret qui permet de transporter et de prendre en charge des centaines d'astronautes. Cette note montrerait qu'il a reçu un ou plusieurs briefings sur ce sujet. D'autres indices importants peuvent émerger des 250.000 pages de documents récemment déclassifiés. L'essentiel serait que le public soit informé des technologies d'antigravité qui ont été développées dans le plus grand secret, et qu'on utilise depuis des décennies pour envoyer des astronautes militaires dans l'espace." - Source

Compléments & Commentaires


Samedi 9 Mai 2009

Michael Salla a poursuivi dans The Examiner son article du 19 avril sur le journal de Ronald Reagan, la NASA, et les programmes secrets. Il titre aujourd'hui : "Le déclin de la NASA et la flotte qui maîtrise l'antigravité".

"Le Président Obama n'a toujours pas nommé le nouvel administrateur de la NASA. Un délai qui n'est pas sans précédent. Le Président Bush, dans la première année de son mandat, avait attendu jusqu'en Novembre avant de nommer Sean O’Keefe à l'époque.

Si l'on tarde à désigner le remplaçant de Michael Griffin, c'est peut-être que des décisions importantes doivent être prises sur des opérations programmées, alors que l'administrateur intérimaire, Christopher Scolese, est toujours en place.


Des décisions cruciales ont déjà été prises pour réduire les effectifs lorsque la Navette Spatiale cessera de fonctionner, en 2010, malgré une demande du Congrès visant à étendre sa durée de service. A noter également que les responsables de la NASA ont décidé le mois dernier de ramener de six à quatre le nombre d'occupants dans la capsule du programme Constellation - la solution de remplacement pour la Navette spatiale.

Constellation doit servir à emmener des astronautes vers la Lune et Mars, et assurer l'entretien de l'ISS. Le retard d'Obama reflète l'idée déjà très répandue que les affaires de la NASA ne font pas partie de ses priorités. On peut constater que le budget de la NASA n'a cessé de diminuer depuis la fin des missions Apollo au début des années 70. Le déclin de la NASA est inévitable. Si les rapports des informateurs sont corrects, alors la NASA ne serait en fait qu'une couverture servant à dissimuler les activités d'une flotte hautement classifiée, qui maitriserait l'antigravité, et serait utilisée pour placer des centaines d'astronautes militaires dans l'espace.

Ben Rich

Comme je l'ai précédemment évoqué, le Président Ronald Reagan avait fait une allusion à cette flotte dans son journal, à la date du 11 juin 1985, en écrivant : "J’ai appris que la capacité de notre navette permettrait de placer 300 personnes en orbite." De nombreux informateurs et des experts aéronautiques ont déjà révélé divers aspects des technologies avancées d'antigravité, grâce auxquelles, selon les termes de Ben Rich (ancien directeur éxécutif de la branche des Recherches avancées de Lockheed), "nous serions capables de ramener E.T. à la maison".

Si le commentaire de Reagan et les témoignages des informateurs sont fondés, nous avons vu dans la 1ère partie que cette flotte spatiale est gérée par l'U.S. Strategic Command. Le nom de code de ce programme secret est 'Solar Warden'. L'existence de Solar Warden, si elle est vérifiée, prouverait que la NASA n'est qu'un programme de couverture qui utilise les technologies obsolètes de propulsion avec des fusées.

Dès lors, le Programme "futuriste" de Constellation serait lui aussi une couverture parce que nous aurions déjà un programme spatial capable de missions interplanétaires utilisant des technologies de propulsion par antigravité.

La première référence à Solar Warden date de Mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs du forum Open Minds, a révélé son existence et ses moyens : tous les programmes spatiaux ne serviraient qu'à occulter la réalité de cette flotte. Nous disposions, dès 2005, de huit vaisseaux, utilisés comme des porte-avions, et 43 "protecteurs" - qui sont des avions spatiaux.

L'un aurait été récemment perdu, suite à un accident dans l'orbite de Mars, alors qu'il tentait de ravitailler la colonie multinationale. Cette base aurait été établie en 1964 par une équipe américano-russe.

Une autre source qui a évoqué Solar Warden est un informateur anonyme du Projet Camelot, nommé 'Henry Deacon', qui a travaillé comme physicien aux laboratoires Laurence Livermore. Les initiateurs du Projet Camelot connaissent sa véritable identité; ils ont vérifié ses qualifications et l'ont estimé crédible. Selon eux : "Henry Deacon a confirmé qu'il existe une vaste base sur Mars, dont la maintenance est assurée par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN)."

D'après l'ouvrage du journaliste William Arkin sur les noms de codes militaires, qui attribue deux lettres spécifiques aux programmes militaires secrets, Solar Warden relève d'un Commandement militaire unifié. Ca voudrait dire que Solar Warden est contrôlé par le Strategic Command, ainsi que nous l'avons déjà exposé.


William Arkin Code names


Si Solar Warden a permis d'établir une colonie sur Mars, en utilisant des systèmes de propulsion à base d'antigravité, ça pourrait expliquer pourquoi les recherches sur l'antigravité sont devenues hautement classifiées vers le milieu des années 50.

Ca expliquerait également pourquoi les chercheurs civils qui étaient parvenus à répliquer les technologies d'antigravité furent brutalement écartés ainsi que c'était arrivé pour Otis T. Carr en 1961.

Cette mise à l'écart a été révélée pour la première fois en 2007 grâce au témoignage de Ralph Ring, l'ancien fidèle de Carr.

Les témoignages d'informateurs et d'experts se multiplient, qui attestent de l'existence d'un tel programme spatial.

Il permettrait d'envoyer des centaines d'astronautes militaires dans l'espace. Si Solar Warden existe, ou s'il s'agit d'un programme militaire classifié de même type, alors on peut comprendre pourquoi le Président Obama tarde à nommer un nouvel administrateur à la tête de la NASA. Le déclin persistent de la NASA depuis la réussite d'Apollo ne met pas en cause la compétence et le savoir faire des personnels de l'organisation. La réalité politique serait que des programmes militaires hautement compartimentés empêchent que les technologies avancées d'antigravité soient versées au secteur public pour des applications commerciales.

Constellation, le nouveau Programme "futuriste" de la NASA, avec ses technologies obsolètes des années 40, n'est qu'un programme de couverture et ne mérite pas d'être financé. Il serait préférable que le public soit informé des réels programmes menés par l'armée américaine et des compagnies privées qui utilisent des technologies avancées d'antigravité, et nous devons savoir comment ils les ont obtenues." - Source

http://www.ovnis-usa.com/une-flotte-secrete-en-orbite/


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12/02/2010 | Lien permanent

Les liaisons incestueuses des ONG avec les Etats et les transnationales

 Pour conduire leur action, les ONG humanitaires courtisent les gros donateurs : les firmes transnationales et les Etats. Cette proximité favorise l’affairisme des dirigeants et la politisation des grands causes. Lentement, certaines associations dérivent vers des objectifs sans rapport avec leurs buts officiels. Julien Teil explore cette évolution à travers plusieurs exemples.

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 De nombreux programmes de solidarité internationale sont plébiscités par les organisations inter-gouvernementales, suivis de près par les ONG et les médias. Certains d’entre eux ne semblent pourtant pas représenter les valeurs et idéaux qu’ils revendiquent. Un court panorama permet de déchiffrer certaines relations qui y sont nouées. Nous nous attarderons ici sur un concept né dans les années 90 et sur un programme de solidarité en cours d’élaboration. Il ne s’agit pas d’accuser les différents acteurs et intermédiaires de ces programmes, mais d’analyser les rapports qui y sont entretenus, afin de dresser un tour d’horizon de la perspective dans laquelle ils s’engagent.

Le 1%, l’Afrique et ses réseaux

C’est lors de l’émission La marche du Siècle du 5 janvier 1994 que le président du Conseil général des Hauts-de-Seine et ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua, déclare : « Il faut que la France prenne la tête d’une véritable croisade en faveur du développement. On sait qu’à l’heure actuelle, tous les experts sont là pour le dire, si nous consacrons à l’aide au développement des pays sous industrialisés, sous-développés, l’équivalent de 1 % de notre PIB, le problème serait résolu ». Cette pratique est d’ailleurs déjà instituée au sein de la société d’économie mixte (SEM) Coopération 92, fondée à l’initiative de M. Pasqua et dirigée par ses proches.

Les actions réelles de Coopération 92 au Gabon ont été réalisées sans appels d’offre et se sont avérées fort coûteuses. Sans lien officiel avec ce qui précède, des sommes équivalentes à ce qui a été dépensé ont été offertes par le chef de l’Etat gabonais pour financer les activités politiques de M. Pasqua et de ses collaborateurs. [1]. Ce n’est que 14 ans plus tard, le 24 octobre 2008 que le Conseil général des Hauts-de-Seine vote la dissolution de la société, qui faisait pourtant l’objet de vives critiques depuis plus d’une décennie. L’opposition (PS, Verts, PC) dénonçait son opacité et regrettait l’absence d’ONG dans les projets [2].

Le fait de consacrer une partie du budget d’un organisme public ou mixte à des opérations de solidarité internationale alors que ce n’est pas la vocation de cet organisme constitue un détournement de fonds publics, quelque soit le caractère louable de ces opérations. Ou plutôt, « constituait un détournement de fonds », car la loi Oudin-Santini, entrée en vigueur le 27 janvier 2005, permet aux communes, à certains établissements publics de coopération, aux syndicats mixtes en charge des services publics d’eau potable, aux agences de l’eau, etc., d’affecter 1% de leur budget à des actions de solidarité internationale et de coopération. Cette loi, selon André Santini « est à la fois un moyen d’exporter le modèle de gestion français de l’eau, mais aussi un moyen de conquête de nouveaux marchés pour les groupes français » [3].

Cette disposition législative a légalisé une pratique jusque là délictuelle existante notamment dans certaine agences de l’eau (Seine Normandie et Rhin-Meuse), dénoncèes par la Cour des comptes en 2002 [4].

André Santini, principal auteur de cette loi, était le vice-président du groupe d’étude parlementaire sur les problèmes de l’eau. Ce proche de Charles Pasqua était par ailleurs son vice-président au Conseil général des Hauts-de-Seine, président du Syndicat des eaux d’île-de-France (SEDIF) et du Comité du Bassin Seine Normandie.

La gestion des eaux en Île-de-France a été confiée jusqu’en 2010 à la Générale des eaux, renommée Vivendi Environnement, puis Veolia.

Au Comité du Bassin Seine Normandie, responsable de l’eau dans sa région, M. Santini est secondé par un vice-président, Paul-Louis Girardot, par ailleurs président du conseil de surveillance de Veolia Eau et vice-président du conseil d’administration de Veolia Environnement.

Veolia Environnement a lancé en 2006 son comité d’évaluation indépendant afin « d’enrichir la vision stratégique de Veolia Environnement ». On y trouve entre autres Jean Michel Severino, directeur général de l’Agence Française de Développement (AFD) et Philippe Lévêque directeur général de l’ONG Care France. Care France bénéficie du partenariat en vigueur par l’intermédiaire de la loi Oudin-Santini et remercie les différentes agences de l’eau ainsi que le conseil général des Hauts de Seine dans son rapport d’activité 2009.

Premier bénéficiaire de la loi Santini et premier partenaire de Coopération 92, l’association SOS Sahel se consacre à reverdir le désert. C’est suite à la grande sécheresse des années 1973-1974 que Léopold Sédar Senghor, alors président du Sénégal, invita la société civile française et africaine à créer une association afin de lutter contre la famine. Ainsi est née à Dakar, en Novembre 1976, SOS Sahel.

L’ONG Action Contre la Faim milite pour « ratifier [la loi Santini] à l’échelle européenne (afin de pouvoir aider plus de personnes à avoir un accès à l’eau et à l’assainissement et ce en accord avec les Objectifs du Millénaire) » [5]. Cette proposition devrait susciter de vives critiques dans la mesure ou elle consiste à légaliser à l’échelle européenne une pratique qui reste délictuelle dans de nombreux Etats.

Action Contre la Faim est une association internationale créée en novembre 1979 sous le nom d’Action Internationale Contre la Faim (AICF) sous l’égide d’intellectuels atlantistes dont Françoise Giroud, Guy Sorman, Jacques Attali et Bernard-Henry Lévy. Il s’agissait à l’époque de nourrir au Pakistan les islamistes afghans fuyant l’Armée rouge.

Quatre mois après sa fondation, en février 1980, AICF participe à un évènement médiatique : « la marche pour la survie ». A l’appel de Médecins sans frontières, des célébrités escortent un convoi humanitaire qui est arrêté à la frontière cambodgienne. S’en suivent des images déchirantes où Bernard Henry-Lévy et Elie Wiesel supplient les troupes communistes vietnamiennes de laisser passer l’aide humanitaire destinée aux Khmers rouges, qu’ils viennent de renverser et laisseraient mourir de faim. La marche a été organisée en sous-main par la CIA avec l’aide de Claude Malhuret [6]. Il s’avérera ultérieurement qu’il n’y a pas eu de famine dans les camps de réfugiés Khmers rouges.

La création de l’association aurait été financée par Michel David-Weill, alors président de la banque franco-américaine Lazard et politiquement engagé dans la croisade anti-soviétique. Jean Guyot, qui lui est entré en 1955 chez Lazard, sera le fondateur et le premier président de l’ONG CARE France.

Guy Sorman explique : « David-Weill voulait nous faire ce chèque. Mais à l’époque, celle du contrôle des changes, c’était compliqué de transférer des fonds entre les Etats-Unis et la France. Nous avons donc décidé de créer une filiale américaine » [7].

Ainsi, les liens entre les collectivités locales, les ONG et de généreux mécènes paraissent entachés d’arrières-pensées politiques ou affairistes bien éloignées des idéaux affichés.

La Global Water Initiative et le programme Water Efficient Maize for Africa

En 2007, un généreux mécène offre 15 millions de dollars annuels sur 10 ans à un collectif d’ONG pour des actions de long terme favorisant l’accès à l’eau. C’est la Global Water Initiative (GWI).

Le projet est conduit au Burkina Faso, au Mali, au Niger, au Sénégal et dans neuf autres pays d’Afrique et d’Amérique centrale. Il ambitionne de fournir aux communautés un accès durable à l’eau potable et aux systèmes d’assainissement, et surtout un accès à l’eau pour les besoins de la production rurale.

Sept ONG participent à la GWI :

- Action Against Hunger / Action contre la Faim (AAH / ACF)

- CARE [8]

- Catholic Relief Services (CRS)

- The World Conservation Union – IUCN

- International Institute for Environment and Development (IIED)

- Oxfam America

- SOS Sahel. [9]

Le programme a été façonné par David Blanc (directeur du département des opérations d’Action Contre la Faim USA) en collaboration avec la Howard G. Buffett Foundation qui finance le projet dans sa totalité [10].

Howard Graham Buffett est le fils de Warren Buffett, classé deuxième fortune mondiale par le magazine Forbes en 2008. Il se présente comme un agriculteur, philanthrope, passionné de photographie. Son parcours passe malgré tout par la gestion de plusieurs entreprises dont l’Archer Daniels Midland de 1992 à 1995, l’une des plus importantes sociétés agro-alimentaires des Etats-Unis. Cette société, négociante en céréales, exerce une influence importante dans la diffusion des organismes génétiquement modifiés (OGM). La fondation Howard G. Buffett est née en 1999 et s’est donnée pour mission de procurer l’accès aux besoins essentiels pour les populations les plus démunies et marginalisées du monde. La fondation accorde une importance particulière à l’accès à l’eau en Amérique Centrale et en Afrique, ainsi qu’au développement des ressources agricoles pour les petits agriculteurs locaux.

Parmi les sept participants à la GWI, l’IIED (International Institute for Environment and Development), a joué un rôle idéologique de premier plan dans la renaissance du malthusianisme et la mobilisation contre le réchauffement climatique.

Grâce à un financement de l’Aspen Institute [11], l’IIED a été fondé en 1971 par l’économiste britannique Barbara Ward (aussi connue sous le nom de baronne Jackson of Lodsworth) et par l’homme d’affaire canadien Maurice Strong, qui fut le maître d’oeuvre des « sommets de la Terre ».

L’IIED est de nos jours financé par des ministères (ministère français de l’Ecologie, ministère britannique des Affaires étrangères, etc..) ; par des agences supra étatiques (Banque mondiale, FAO, Commission européenne, etc.) ; par des ONG (Care Danemark, etc.) et par un incroyable nombre de fondations (Rockefeller Foundation, Ford Foundation [12], etc.).

L’IIED est actuellement présidé par Camilla Toulmin, qui a auparavant géré son programme « terres arides » de 1987 à 2002. Son parcours lui a notamment permis d’étudier le renforcement des alliances dans le domaine du développement durable, les droits fonciers en Afrique et dans toutes les régions. Son travail s’est concentré sur le développement social, économique et environnemental dans les zones arides d’Afrique. Elle est d’ailleurs l’auteur d’un compte rendu, co-écrit avec Simon Pepper (président du WWF–Ecosse) dont le titre est Réforme foncière au Nord et au Sud. Une des conclusions de ce rapport est édifiante : « En Afrique, le programme de réformes foncières est en grande partie à l’ordre du jour du fait des donateurs internationaux, tels que la Banque mondiale, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les Etats-Unis. Cet engagement provient du sentiment qu’une réforme foncière est indispensable en vue d’assurer une sécurité foncière suffisante pour favoriser l’investissement dans l’agriculture, réduire les conflits et allouer des terres aux utilisateurs plus productifs. Cette vision table également sur l’ouverture de nombreux pays africains aux investissements extérieurs dans l’agriculture. On estime que les entreprises internationales ont besoin de titres de propriété sécurisés avant d’investir leurs capitaux dans les économies africaines à haut risque. Il y a aussi d’importants intérêts nationaux qui poussent à l’acquisition des terres coutumières lorsque celles-ci sont mises sur le marché. » [13]. Une conclusion sans doute en adéquation avec les intérêts réels des approbateurs du GWI, dont la fondation Howard Buffett est l’unique investisseur.

Parallèlement, la fondation Howard Buffett et la fondation Bill & Melinda Gates financent le programme Water Efficient Maize for Africa (WEMA) à hauteur de 47 millions de dollars. Il a pour objectif de résoudre les problèmes de sécheresse rencontrés par les cultures locales africaines en créant de nouvelles variétés de maïs en collaboration avec Monsanto, le géant US des organismes génétiquement modifiés (OGM) [14]. Le programme est encadré par l’USAID.

Dans le cas du GWI et du WEMA, les intérêts privés sont encore surreprésentés : D’une part à travers les fondations issues du privé qui financent ces projets. Mais aussi par l’incontestable rôle que jouent les multinationales dont les représentants participent parfois à l’administration des dites ONG. Là encore, les contradictions entre le concept de solidarité et les intérêts représentés sont flagrantes.

Solidarité et gouvernance mondiale

Les deux exemples succinctement exposés sont représentatifs d’une réalité équivoque. De nombreux autres programmes censés répondre aux problématiques humanitaires reposent sur des partenariats entre secteurs public, humanitaire et marchand. En outre, le microcrédit est une composante qui est couramment ajoutée à certains de ces programmes. Pourtant le social business (ou entreprenariat social) recouvre lui aussi une réalité bien moins efficace que ce que prétendent ses fameux disciples : Jacques Attali, fondateur de Planet Finance et Bill Drayton, fondateur d’Ashoka Fund [15].

Le microcrédit et les partenariats entre ONG et entreprises font actuellement l’objet de discussions fructueuses. Certains y perçoivent une solution à la crise économique mais aussi une réponse aux enjeux sociaux et environnementaux de ces dernières années. Leurs existences reposent sur de nombreux forums qui érigent ces nouveaux modèles de gouvernance associative en tant qu’expression de la société civile au sein de la « future gouvernance mondiale » [16].

Malgré les divergences évidentes entre la société civile et les entreprises privées transnationales, les ONG accompagnent bien plus le secteur privé et les Etats qu’elles n’agissent comme acteurs indépendants, voire comme contre-pouvoir.

Ce comportement manifeste la lente dérive des grandes ONG de solidarité internationale, celles-ci représentant progressivement la défense d’intérêts extérieurs à la démocratie. Pis, l’idée —qui fait son chemin— d’une gouvernance mondiale à laquelle des ONG seraient associées est contradictoire avec la définition de la démocratie.

Julien Teil, pour le Réseau Voltaire

Notes :

[1] Noir Silence, par François Xavier Verschave, Les Arènes (2000), p.436-437.
[2] « Hauts-de-Seine : Dissolution de la SEM coopération 92 », Les Echos, 24 Octobre 2008.
[3] Association S-Eau-S.
[4] « La colère de Santini face aux questions de Bakchich », par Hélène Constanty et Marion Gay, Bakchich, 25 février 2008 :
[5] Dossier de Presse d’Action Contre la Faim à l’occasion de la journée mondiale de l’eau 2008 . La loi Oudin-Santini est traitée dans l’ouvrage Lobby Planet Paris, guide des Lobbys sorti en novembre 2009.
[6] Rescuing the World, by Andrew F : Smith, préface d’Henry Kissinger, State University of New York Press, 2002, pp. 123-129.
[7] « Action contre la Faim à la conquête de l’Amérique », par Emmanuel Saint-Martin, French Morning, 12 Octobre 2009.
[8] « Les ONG, instruments des gouvernements et des transnationales ? », par Julien Teil, Réseau Voltaire, 30 juillet 2009
[9] Présentation du GWI sur le site de l’ONG partenaire Care-USA.
[10] Page de David Blanc sur le site de Action Against Hunger.
[11] « L’Institut Aspen élève les requins du business », Réseau Voltaire, 2 septembre 2004,
[12] « La Fondation Ford, paravent philanthropique de la CIA » et « Pourquoi la Fondation Ford subventionne la contestation », par Paul Labarique, 5 et 19 avril 2004.
[13] Réforme foncière au Nord et au Sud , Camilla Toumin & Simon Pepper.
[14] Site internet de la société [Monsato-°http://www.monsanto.com/monsanto_today/2009/pledge_wema.asp...].
[15] William « Bill » Drayton, tout comme Jacaues Attali, estime que l’entreprenariat social permet de résoudre les problèmes de pauvreté. C’est pourquoi il a fondé, en 1981, le fond Ashoka afin de développer cette activité. Il a été sous l’administration Carter, assistant administrateur de l’Agence de l’Environnement U.S. C’est à ce titre qu’il lança le principe de marché du carbone (trade and cap).
[16] La sortie en 2008 d’un compte rendu d’un de ces forums éclaire sur la nature des relations qui y sont nouées. En 2008, s’est notamment tenu le forum « contestataires contestées… quel avenir pour les ONG dans la nouvelle gouvernance mondiale ? » Le contenu est détaillé dans la publication éponyme publiée par l’IRIS et l’ONG Handicap International.

 

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17/02/2010 | Lien permanent

La grippe porcine, une escroquerie à grande échelle

« Le gouvernement français développe des plans secrets pour imposer une vaccination obligatoire de toute la population française, sous prétexte d'une éventuelle épidémie de grippe porcine selon des informations fournies dans un journal français. Le plan est sans précédent et défie même toute recommandation en matière de santé publique. Les géants pharmaceutiques profitent de cette action, alors que la grippe aviaire augmente la tendance à militariser la santé publique et à utiliser la panique inutile de la population pour faire avancer ce plan.

Selon un article paru dans l'édition du 30 Mai du journal français Le Journal du Dimanche, le gouvernement Sarkozy a donné l'autorisation de dépenser 1 milliard d'euros pour acheter des vaccins supposés combattre ou protéger contre le H1N1, le virus de la grippe porcine. Seul problème, jusqu'à présent, ni l'OMS ni le CDC (Center for Diseases Control) du gouvernement américain ont réussi à isoler, photographier au microscope à électron et à classer chimiquement le virus H1N1 de la Grippe A. Il n'y a aucune preuve scientifique publiée comme quoi les virologues français ont fait de même. Autoriser des médicaments pour une maladie putative qui n'a même pas été caractérisée est pour le moins douteux.

Encore plus bizarre, La Food And Drug Administration du gouvernement US, une agence responsable de la santé et de la sécurité des citoyens, a admis que "l'échantillon" approuvé pour une pré-autorisation pour être testé contre le H1N1, n'est même pas un échantillon ayant fait ses preuves. Pour en revenir au fait, il n'y a aucune preuve médico légale dans aucune des morts rapportées à ce jour et enregistrées, qui prouve scientifiquement qu'une seule mort attribuée au virus de la grippe porcine H1N1 a réellement été causée par ce virus. Des épidémiologistes européens croient que les morts dont il est fait état à ce jour sont une "coïncidence" ou ce que l'on appelle des infections opportunistes.

Ce que nous savons pour sûr c'est que les personnes décédées avaient souvent des complications respiratoires de nature non connues avant leur décès. Des personnes décèdent tous les jours à cause de maladies respiratoires. Aux seuls USA, quelques 36 000 décès liés à la grippe sont enregistrées chaque année sans qu'on s'alarme ou panique inutilement. La plupart sont des patients âgés ou atteints de maladies pulmonaires. A ce jour dans toute la France, les autorités sanitaires n'ont identifié que 24 personnes comme ayant les "symptômes du H1N1. Cela vaut la peine de noter la liste des symptômes du H1N1 selon l'OMS et le CDC : fièvre, toux, mal de tête, nez qui coule. Hummmmmm. Connaissez-vous quelqu'un avec de tels symptômes de la grippe porcine ? Encore plus intéressant à noter, c'est le décompte de plus de 15 000 cas de grippe porcine H1N1 dans le monde, dont la grande majorité ont été guéris en 3 à 7 jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.

Le but : militarisation de la santé publique

Cela devient de plus en plus clair que les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par le CDC et l'OMS et d'importantes agences gouvernementales, ont un but ultérieur. Nous avons été frappés par une panique de masse sur l'alimentation à base de bœuf quand le bétail en Grande Bretagne et ailleurs a développé une maladie mortelle appelée BSE ou Maladie de la Vache Folle. Des preuves sont apparues plus tard que la BSE résultait d'une vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qui se logeaient sous la peau des animaux. Plus récemment, après qu'on eu rapporté des cas de ce qui a été appelé la maladie de la "Langue Bleue" chez des vaches, moutons et chèvres en Belgique, en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse, et en Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement médicamenteux pour soit disant protéger les animaux de morsures d'insectes qui sont soit disant porteurs de cette maladie habituellement inoffensive.

Les vaccinations de troupeaux d'animaux ont été rendues obligatoires pour une maladie qui était typiquement si bénigne qu'elle était rarement diagnostiquée et était seulement dans des cas extrêmement rares liées à un décès. Tous les animaux de plus de trois mois doivent être obligatoirement vaccinés. Les vaccins, selon un rapport dans une publication suisse, Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué des décès en masse, une baisse des naissances, un déclin des rendements laitiers, des crises cardiaques et d'autres effets graves. Les vaccins ont été utilisés malgré le fait qu'aucun n'avait auparavant était certifié comme étant sans danger. Ils contenaient effectivement de l'hydroxide d'aluminium et du Thiomersol ou Mercure, comme additifs et ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et que l'on retrouve également dans la plupart des vaccins pour les humains.

Malgré des protestations massives et malgré que cela ait été rapporté aux autorités vétérinaires en Allemagne, Suisse et Autriche, les mises en garde ont été ignorées et les vaccinations obligatoires continuent. Pas étonnant que les agriculteurs occupent les rues avec leurs tracteurs pour protester.

Le fait qu'on ait rapporté le plan secret du gouvernement français de vacciner chaque citoyen français de plus de 3 mois, en achetant plus de 100 millions de doses, est plus qu'alarmant. Selon le journal français, Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus à l'automne, le gouvernement dépensera près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins. Les autorités annonceront à l'automne si la vaccination sera obligatoire. "Nous serons prêt à agir en peu de temps" a expliqué la ministre de la santé. Selon certaines sources, l'état veut passer commande de 100 millions de doses du vaccin contre la grippe à trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Sanofi et Novartis. Les deux derniers sont des laboratoires français.

L'article dans le journal français tombe juste après que le Sénat de l'Etat du Massachusetts ait voté une loi sur une vaccination obligatoire qui autorise à vacciner obligatoirement contre la soit disant grippe porcine H1N1. Dans l'état de New York, l'autorité de planification de l'hôpital d'état est entrain de discuter pour rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe de tous les employés du secteur public de la santé, malgré le fait qu'il n'existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1. Il apparaît de plus en plus que la peur de pandémie de grippe aviaire et de grippe porcine sont une excuse pour justifier une vaccination obligatoire avec des substances dont les effets secondaires dangereux se sont montrés plus nocifs que toute grippe contre le danger duquel ils sont supposés nous protéger.

Novavax, une entreprise pharmaceutique US basée à Rockville, Maryland, vient juste d'annoncer opportunément qu'elle développe un vaccin contre le H1N1 basé sur des "particules identiques à des virus" qui contient trois protéines clés du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à sa réplication. Le vaccin est produit par des techniques de modification génétique d'organisme ou OGM. Cette annonce a été faite quelques jours après que l'entreprise ait annoncé des pertes pour l'année fiscale de 36 millions de $.

Le médicament Tamiflu qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour "améliorer" les symptômes de la supposée grippe porcine ou H1N1, Grippe A comme elle a été renommée, est lui-même hautement toxique. Health Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux faisant état d'hallucinations et de comportements anormaux, dont l'automutilation, à la suite de prise du médicament Tamiflu. Dans certains cas, il y a eu décés et on rapporte qu'il y a de sérieuses complications pulmonaires avec le Tamiflu, le médicament dont il est dit que le principal bénéficiaire financier c'est son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la défense US, Donald Rumsfeld.

En 1976, aux US, le président Gerald Ford, soucieux de remporter des élections serrées, a donné l'ordre de faire immuniser en masse la population face à une possible pandémie pour prouver aux électeurs qu'il était un président qui "maîtrisait". La pandémie de 1976 ne s'est jamais produite, mais un grand nombre de personnes ont souffert d'effets secondaires neurologiques graves dont 25 décès rapportés du Syndrome de Guillam-Barré, du au vaccin dont on a précipité la production.

La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, cela commence à sentir le type d'expérimentations inhumaines massives sur des humains menées aux Etats Unis sur des retardés mentaux, des détenus, et d'autres personnes défavorisées, ou comme ce qui s'est passé en Allemagne dans les années 30. »

F.Wlliam Engdahl 03/06/09 Global Research

F.William Engdahl est l'auteur de "Seeds Of Destruction - The Hidden Agenda of Genetic Manipulation" (Voir information au bas de l'article de Global Research)

UN DOCUMENT EXCEPTIONNEL :

Le site de Guylaine Lanctôt nous offre l’intégral de la vidéo de la rencontre de Personocratia Reçoit du 7 juin 2009.http://www.dianequiose.com/francais.htm#commente
• La vidéo commence par une surprise : l’émission (bannie) de 60 minutes de CBS sur l’épidémie de grippe porcine de 1976 aux USA. La voir, c’est comprendre pourquoi elle a été interdite pendant des années.
Elle refait surface aujourd’hui. Dianequiose l’a traduite en français. On y voit notamment qu’en 1976 les autorités ont annoncé une pandémie de grippe porcine qui allait tuer des millions de gens. Du coup 46 millions d’Américains se sont fait vacciner. Trois ans plus tard, non seulement la pandémie n’a pas eu lieu mais 4000 Américains réclamaient pour 3,5 milliards de dollars au gouvernement en raison des effets secondaires du vaccin !!
• La vidéo se poursuit avec une conférence de Ghis, l’auteure de La Mafia médicale.
Elle nous livre les dessous des politiques de santé publique et les intérêts de ses décideurs, puis elle nous amène dans la conscience de la vie-sans-maladie.
Conclusion : ce ne sont pas les pandémies qui tuent mais les vaccins !! Comme le prouvent les recherches du Docteur Moulden :

UNE DECOUVERTE MAJEURE
«Il s’agit d’une catastrophe planétaire, et qui se passe tous les jours. »(*)

Dr Andrew MOULDEN, M.D.
Le Dr Moulden, médecin, spécialiste en neuropsychiatrie, neurologie comportementale, fait état des preuves neurologiques, hématologiques et immunologiques qui permettent aujourd’hui de conclure que TOUTES les vaccinations polluent le corps et peuvent provoquer des dégâts majeurs pour la santé, pouvant conduire à des maladies chroniques ou à des troubles comme l’autisme .
Il précise qu’aujourd’hui tout un chacun a la possibilité de prendre connaissance par lui-même des preuves apportées par les laboratoires médico-légaux à ce sujet.

Ce médecin explique que quand le corps est en quelque sorte pris pour un dépotoir, il se produit inévitablement un encrassement du sang qui peut provoquer toutes sortes de problèmes de santé. Ses découvertes sont actuellement référencées dans les procès en justice aux Etats-Unis.

LES VACCINS PROVOQUENT DES ATTAQUES MICROVASCULAIRES
Dr Andrew Moulden, M.D., PhD, BA, MA.
Outre ses qualifications de médecin et de chercheur, le Dr Moulden a reçu pas moins de 27 prix/récompenses pour ses recherches cliniques et biomédicales, son enseignement et son excellence académique. Il est aussi le leader du parti canadien "Action". Sa philosophie peut se résumer ainsi: "Il ne s'agit pas d'être meilleur que ses concitoyens, il s'agit d'aider ses concitoyens à devenir meilleurs"

Au moyen de technologies classiques et ultra modernes de diagnostic et d’imagerie médicale, le Dr Moulden , M.D., médecin, expert en psychiatrie, neuro-psychiatrie et neurologie comportementale, apporte les preuves en termes de physiologie et de clinique médicales que TOUTES les vaccinations provoquent directement ou de manière différée des troubles et des maladies aiguës ou chroniques, permanentes ou transitoires susceptibles de toucher tous les systèmes du corps. Le Dr Moulden a mis au point une nouvelle technologie en imagerie médicale pour mettre en évidence les troubles et dégâts neurologiques se produisant après les vaccinations. Grâce à cette technologie il est possible de mettre en valeur et de démontrer sur clichés et vidéos prises 30 secondes avant et 30 secondes après une vaccination ce qui se produit dans différents tissus du corps. « Nous avons en quelque sorte, explique le Dr Moulden, mis au point une sorte de télescope Hubble avec nosexamens neurologiques et microbiologiques. »

«Il s’agit probablement de la découverte la plus importante qui ait jamais été réalisée au cours de toute l’histoire de la médecine si l’on considère l’énorme épidémie silencieuse que nous avons créée avec ces vaccinations« passe-partout » qui constituent l’acte le plus odieux qui ait jamais été perpétré au cours de l’histoire, et que nous avons fait pour le profit.»
« Nous avons aujourd’hui la solution à un problème qui se pose à une échelle planétaire. Les dégâts occasionnés aux tissus sont en fait le résultat d’une circulation sanguine perturbée, de dépôts qui s’accumulent dans le système capillaire microscopique, autrement dit d’attaques micro-vasculaires. Ces attaques sont essentiellement provoquées par un manque d’oxygène dans les tissus. Aujourd’hui nous pouvons mesurer, scanner ce phénomène qui a toujours existé, mais qu’aujourd’hui tout un chacun peut facilement observer par lui-même. »

Le Dr Moulden explique que les vaccins provoquent une hyper-réactivité du système immunitaire au cours de laquelle les leucocytes se précipitent pour attaquer les produits étrangers injectés dans le flux sanguin. Etant donné le fait que ces derniers sont trop gros pour pénétrer les très fins capillaires où se logent les produits étrangers, les leucocytes finissent par obstruer, bloquer et délabrer ces capillaires. La route est donc coupée pour les globules rouges plus petits qui doivent apporter l’oxygène aux différents organes voisins des capillaires encombrés par des substances étrangères. Ces particules qui atteignent le cerveau, perturbant ou empêchant la circulation du sang, peuvent provoquer l’autisme, la mort subite du nourrisson ou de nombreuses autres maladies de l’enfant ou de l’adulte. Exactement commeil en va de l’attaque cardiaque, il est aussi possible de faire une attaque cérébrale, des problèmes de foie, des reins, chaque fois que les tissus sont carencés en oxygène. « Il s’agit ici d’une découverte majeure ».

Quant aux éléments étrangers présents dans le sang et les tissus, le système immunitaire continuera à les combattre et finira par entraîner des maladies chroniques. Différents organes peuvent être affectés en fonction des endroits où iront se loger les particules étrangères. On parlera de différents symptômes ou maladies, mais les causes fondamentales seront toujours les mêmes. Elles ont toujours été ignorées jusqu’à ces dernières découvertes.

La cause principale de tous ces problèmes est à rechercher dans les additifs des vaccins. Le but recherché par l’utilisation de ces additifs est d’engendrer une réponse plus rapide des leucocytes. Et cela marche à merveille- les leucocytes se précipitent vers les régions où des matières étrangères ont été introduites-c’est en fait là que se trouve l’origine des problèmes.
Les leucocytes bloquent et délabrent les capillaires en tentant de détruire ces matières étrangères.

« Le fait que mes propos vont à l’encontre des positions de l’establishment et de la pratique qui veut que les enfants des écoles subissent les vaccinations ne change en rien la réalité. Notre devoir est d’apporter la lumière dans toute cette obscurité… Je sais que je suis confronté à Goliath. »

« Avec une politique de profit à tous crins, nous avons ruiné la santé d’une génération d’enfants, ainsi que les espoirs et les rêves :

- d’1 enfant sur 87 ( autisme),
- 15% d’enfants atteintes de troubles de l’attention,
- 1 enfant sur 6 souffrant de troubles de l’apprentissage,
- 1 enfant sur 9 souffrant d’asthme,
- 1 enfant sur 50 souffrant de diabète insulino-dépendant,
- 1-2% d’enfants décédés (mort subite du nourrisson),
- 250.000 vétérans de la guerre du golfe atteints de maladies chroniques avec 40.000 décès (même parmi les soldats qui n’ont pas quitté le pays.)

Et aujourd’hui le monde se prépare à subir la loi martiale sur le plan médical, ainsi qu’un programme de vaccinations pour la grippe aviaire ou autre hybride de la grippe espagnole/aviaire…Nous nous sommes nous-mêmes mis dans le pétrin et nous nous sommes nous-mêmes coincés dans cette crise mondiale de maladies infectieuses. Certains vont mourir de maladies infectieuses, d’autres mourront des vaccinations ou souffriront de quantités d’autres troubles chroniques mal définis dus aussi aux vaccinations.
L’addition d’adjuvants aux vaccins (aluminium, squalène, liposomes…) pour stimuler et prolonger la réponse immunitaire représente la chose la plus terrible que l’homme ait jamais perpétré contre lui-même et ses semblables tout au cours de l’histoire, et ce pour le profit.
«Tous ceux pour lesquels j’évoque les diagnostics en leur montrant clichés et vidéos s’effondrent et ne peuvent souvent retenir leurs larmes ! »

"TOUS LES VACCINS SONT SUSCEPTIBLES DE CAUSER LES MÊMES DOMMAGES ISCHEMIQUES (= obstruction d'ordre vasculaire) ET L'AUTISME!"

Images publiées avec l'aimable autorisation du Dr Moulden.
Les découvertes du Dr Moulden ont été confirmées par des centaines de médecins et experts médicaux indépendants du monde entier, mais l’ordre des médecins et les politiciens refusent de les reconnaître et de faire des recherches.
«Je me réjouis, déclare le Dr Moulden, de partager mes découvertes avec le public, les autorités de santé publique, de pouvoir venir en aide aux parents, de soigner les enfants, de pouvoir prodiguer un enseignement aux professionnels de santé, d’apporter à la justice un nouvel éclairage basé sur des preuves médicales irréfutables… La terre n’est désormais plus plate ! »
Aujourd’hui, conclut le Dr Moulden, les juges, les juristes, Monsieur et Madame tout le monde, plus personne ne peut plus nier les preuves apportées par ces expertises médico-légales…

Le monde ne pourra bientôt plus se boucher les yeux et les oreilles face aux preuves médico-légales.

"Ceux qui ne voudront pas ouvrir les yeux pourront toujours affirmer qu’une seule personne peut recevoir 10.000 vaccins (*), mais je crains que ces gens ne se retrouvent en prison quand le peuple se réveillera et prendra conscience de ce qu’ils ont fait pour pervertir la science."

“J’ai été impressionné par vos idées novatrices en pathophysiologie de l’autisme. »Dr Bernard Rimland, PhD
« Le Dr Moulden est un homme parfaitement intègre, un scientifique de haut niveau et je me réjouis de pouvoir toujours travailler avec lui. » Barbara Loe Fisher, Présidente et fondatrice du NVIC

Notes et extraits (traduction) :
- Alan Gray, News Blaze : « Vaccines cause Micro-Vascular Strokes : Dr Andrew Moulden, Canadian Doctor.”
- Joyce Riley interviews Dr Andrew Moulden, 7 oct. 2008
- Dr. A.J.A. Moulden: “Provinding opportunities & solutions to Canada’s health care crises.”
- Cynthia A. Janak: The question “Do vaccines cause brain damage?” finally answered.
- Jon Walker “Meeting puts spotlight on vaccination fears.”
VOIR AUSSI L’AVIS DU Dr R.CARLEY: “ Vaccines Cause All autoimmune Diseases, Cancer, Non-Traumatic Seizures”
(*) Conférence 8 mai 2009:

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22/07/2009 | Lien permanent

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