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Qui Gouverne réellement la France ?

Une conférence de François Asselineau
Union Populaire Républicaine

Qui gouverne REELLEMENT la France ?”

C’est un descriptif des pouvoirs transférés à l’UE et des pedigrees des responsables européens (BCE, CJCE, Commissaires européens, lobbys américains à la Commission, etc.).

En préambule à la conférence
Une citation de François Mitterand extraite du livre :


Le dernier Mitterrand
de Georges-Marc Benamou (Auteur)

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"La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l'Amérique.
Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort apparemment....


Oui, ils sont très durs les "Américains", ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde....

C'est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort.....
François Mitterand".

Qui gouverne la France ?

Qui gouverne la France: extrait 1

http://www.dailymotion.com/video/x9sidf_qui-gouverne-la-france-extrait-1_news

Qui gouverne la France: extrait 2


Qui gouverne la France: extrait 3

Qui gouverne la France: extrait 4

Qui gouverne la France: extrait 5

Qui gouverne la France: extrait 6


Qui gouverne la France: extrait 6

Qui gouverne la France: extrait 7


Qui gouverne la France: extrait 7

Qui gouverne la France: extrait 8


Qui gouverne la France: extrait 8

Qui gouverne la France: extrait 9


Qui gouverne la France: extrait 9

Qui gouverne la France: extrait 10


Qui gouverne la France: extrait 10

Qui gouverne la France: extrait 11


Qui gouverne la France: extrait 11

Qui gouverne la France: extrait 12


Qui gouverne la France: extrait 12 et fin

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14/07/2009 | Lien permanent

Grippe Porcine et Gouvernance Mondiale

LETTRE D’INFORMATIONS ECONOMIQUES STRATEGIQUES INTERNATIONALES

Groupe Bilderberg ! Pandémie de grippe, crise économique et Nouvel Ordre Mondial

«Quelque chose doit remplacer les gouvernements et le pouvoir privé me semble l’entité adéquate pour le faire » David Rockefeller, fondateur du Groupe Bilderberg

Dans son précédent numéro, LIESI évoquait la rencontre du Groupe Bilderberg à Athènes et s’interrogeait sur les intentions du cartel bancaire à propos de « la grippe porcine ».

Finalement, des éléments de réponse furent donnés par le journaliste d’investigation Jim Tucker. Selon ses sources, le comité exécutif du Groupe Bilderberg a annoncé aux « invités » que le monde devait s’attendre à la création d’un « ministère mondial de la santé » et d’un « ministère mondialdes finances ». C’est Cari Bildt, ancien Premier ministre suédois et membre régulier du Groupe Bilderberg qui « a prononcé un discours prônant la transformation de l’Organisation Mondiale de la Santé en un ministère mondial de la santé, et la conversion du Fonds Monétaire International en un ministère mondial des finances, les deux ministères seront placés sous les auspices des Nations Unies ». Voilà donc les deux premiers ministères émergents du Gouvernement Mondial embryonnaire, annoncé par le président Sarkozy... pour 2009.

Dans le même temps, en Russie, la rédaction de Gazeta.ru écrit: « La grippe qualifiée de “porcine” pour le grand public n’est pas plus dangereuse pour la santé de l’homme que les autres types de ce virus. La panique causée par cette maladie constitue au contraire un habile moyen de distraire les gens de la crise, une bonne source de profit pour les compagnies pharmaceutiques et les services vétérinaires, ainsi qu’un excellent prétexte pour permettre aux autorités d’introduire des mesures protectionnistes. […] Dans un monde globalisé, la panique est depuis longtemps devenue un puissant levier politique et financier. […] Les Etats et les médias exploitent à la perfection un trait de la psychologie humaine qui consiste à refouler les problèmes locaux au profit de problèmes globaux »

 

Au moment où, selon les médias, le Japon devient la nouvelle inquiétude de l’Organisation Mondiale de la Santé, la directrice générale de cette dernière, la Chinoise Margaret

Chan, réunissait à Genève une trentaine de fabricants de réunissait à Genève une trentaine de fabricants de vaccins, dont Novartis Sanofi, Solvay et GSK. Objectif assigné à ces entités contrôlées par les familles du cartel bancaire : produire 4,9 milliards de doses de vaccin contre la grippe A en un an, soit 94,3 millions de doses par semaine.

Or, dans l’interview qu’il accorda avant de décéder, Aaron Russo rappelait cette confidence que lui fit N. Rockefeller :

« - Le journaliste : On l’a bien compris, ils ont cherché à vous recruter en vous donnant quelques détails sur leur plan. Pour eux, la guerre contre le terrorisme est le moyen d’imposer tacitement une dictature. Après, ils passeront à l’étape suivante : le marquage de l’humanité au moyen d’une « puce ».

À ce sujet, vous dites qu’ils vous ont fait cette proposition si l’on vous recrute, la puce que l’on vous imposera vous identifiera comme l’un des nôtres, ce qui vous évitera bien des tracasseries. Vous seriez intouchable. Est-ce cela ?

- Oui, c’est effectivement arrivé. Vous avez parfaitement compris le message qu’ils m’ont fait passer si j’acceptais d’être recruté. [ …] »

Il est aujourd’hui incontestable que nous sommes passé à l’« étape suivante » : le projet de marquage de l’humanité au moyen d’une puce et réalisé dans les conditions d’une crise économique, financière, sociale et sanitaire

 Comment ? Par l’injection, selon un PROTOCOLE spécial d’un vaccin contenant la fameuse « puce ».

----------------------------------------------- 

Novartis, qui a reçu la souche du virus, est prête à démarrer la production mais la société bâloise attend le feu vert de l’OMS qui ne sera donné que lorsque le degré d’alerte passera en phase 6... le temps laissé aux gouvernements pour préparer des mesures liberticides. (Cf. note 2.)

Le journaliste Jim Tucker vient de confier à Charlie Skelton, du journal britannique The Guardian, que selon des informations obtenues à l’issue de la réunion du Groupe Bilderberg de 2008, « des plans sont en cours pour substituer à la carte d’identité une puce sous cutanée, laquelle sera présentée comme étant d’une plus grande efficacité et garantissant un suivi total de la population ». « Charlie Skelton a quitté la Grèce, pétrifié jusqu’à l’os en raison de la manière dont il a été harcelé, détenu, par les autorités grecques pendant plusieurs jours, et ce pour avoir pris de simples photos de l’Hôtel ou se trouvaient les membres du Groupe Bilderberg ». « Mon expérience durant ces derniers jours en Grèce m’a dégoûté. [...] Nous devons nous battre, maintenant, tout de suite, de tout notre coeur, pour stopper le projet de carte d’identité ». (Source : TruthNews)

La suite ici : http://trinite.1.free.fr/vos_infos/liesi_15_juin_09.pdf 

 

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15/09/2009 | Lien permanent

Le gouvernement mondial : Dossiers

Les dossiers sur le Gouvernement Mondial
 
 
La mafia médicale
 
Dossier "La grande valse des vaccinations ou le règne des savants fous" du Dr Alain Scohy
Les puces vont bientôt gouverner !
 
L'Opus Dei ou Octopus Dei : La mafia du Vatican, l'extrême droite de Dieu
 
La Mafia
 
L'ultime supercherie
 
Génocide planifié au Rwanda

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11/01/2009 | Lien permanent

USA : Gouvernement Obama : la continuité !!!!!

On prend les mêmes et on recommence !!!!
 
 

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31/01/2009 | Lien permanent

Syrie : Le gouvernement renverse ses alliances

Voici l'interprétation du rapprochement de la France de la Russie par le criminel Fabius, responsable mais jamais coupable !

Thierry Meyssan nous donne les raisons de ce véritablement renversement du gouvernement français dans son article :

À retenir
- Le gouvernement français s’est progressivement éloigné de la légalité internationale. Il perpètre des assassinats politiques et encadre des actions terroristes depuis au moins 2011.
- Le gouvernement français a noué des alliances contre nature avec les dictatures pétrolières du Golfe persique. Il travaille avec un groupe de personnalités états-uniennes et de compagnies multinationales pour saboter la politique d’apaisement des présidents Obama et Poutine.
- Le gouvernement français est entré en conflit avec ces alliés peu recommandables. L’un d’entre eux a sponsorisé les attaques de Paris.

Syrie : Le gouvernement renverse ses alliances

Dans quelles tractations le gouvernement français est-il allé se fourvoyer en Syrie, pour justifier la fureur des dirigeants de Daech, au point d’organiser les attentats de Paris ? Car ces faits dramatiques conduisent mécaniquement la France à un renversement d’alliances, pour rejoindre la politique russe, et à abandonner l’exigence du départ de Bachar El-Assad,… ce qui est pourtant l’un des buts de Daech.

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Nous n’avons ni les cartes, ni le dessous des cartes, et je me garderai bien de toute recherche des causes. Nous verrons,… et il est d’ailleurs possible que nous n’ayons pas attendre trop longtemps, et que fuitent des révélations genre wikileaks.

Alors pourquoi la France ? Bien évidemment il est impossible d’adhérer benoîtement au discours du genre « parce que la France fait la guerre au terrorisme ». La France a un rôle militaire contre Daech, comme de nombreux pays, et elle peut donc être frappée à ce titre. Oui, mais ça ne colle pas, à cause de la politique française sur la Syrie.

Amorcée sous Sarko, et blindée sous Hollande, la France avait une position diplomatique qui lui donnait une place d’exception, car si elle combattait Daech, elle soutenait qu’il fallait dans le même temps obtenir le départ de Bachar El-Assad. Hollande s’est toujours montré intransigeant, et Fabius avait même été jusqu’à prôner son élimination physique du président syrien. Un atout pour Daech, qui veut renverser Bachar El-Assad.

Or, en frappant coup sur coup la Russie, le 31 octobre dans l’explosion de l’Airbus, le Hezbollah le 12 novembre et Paris le 13 novembre, les dirigeants de Daech ont bouleversé le jeu diplomatique. La Russie et l’Iran sont rappelés comme ennemis principaux de Daech, et en frappant Paris – de quelle manière ! – Daech amène la France à rejoindre la position de la Russie, pour renforcer sa sécurité. Ce renversement d’alliances s’est fait en quelques jours, apparaissant dès la nuit du 13 au 14 novembre. Maintenant, la diplomatie va mettre les formes pour habiller ce retournement, mais le résultat est clair : Poutine qui était infréquentable il y a une semaine est en train de devenir le grand allié de la France dans la guerre de Syrie.

Il y a quelques jours encore, le préalable à toute solution en Syrie était le départ de Bachar El-Assad, et pour Paris, c’était indiscutable. Cette intransigeance a fondu avec les attentats du 13 novembre. Les experts linguistes du Quai d’Orsay vont chercher les formules qui éviteront le ridicule complet au gouvernement, mais la page est tournée. Dans son interview de la semaine dernière, le président Rohani rappelait qu’il ne peut pas y avoir de lutte contre le terrorisme sans un pouvoir fort,… ce que fait Hollande avec l’état d’urgence. Depuis le 13 novembre, la France va devoir se focaliser sur la lutte contre l’ensemble des groupes terroristes en Syrie, car l’opinion ne comprendrait pas de tergiversations sur cette priorité. La Russie et l’Iran vont demander des choix clairs, avec des positions françaises qui devront être aussi. Dès lors, l’hypothèse la plus crédible est que Bachar El-Assad sera encore au pouvoir en 2017 pour saluer la défaite de François Hollande.

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À ce stade, deux remarques s’imposent.

La première concerne les relations entre la France et Daech. Que s’est-il donc passé pour que Daech décide de braquer la France contre lui, et de perdre le seul grand Etat – membre permanent du Conseil de sécurité – qui faisait comme lui, du départ de Bachar El-Assad un préalable à toute solution ? Le régime de Bachar El-Assad ressort renforcé des attentats de Paris : c’est une évidence.

La seconde conduit à nous interroger sur les désagréments et les humiliations qui attendent la France après ce spectaculaire retournement.

La Russie et l’Iran ont une politique claire et marquent des points sur le terrain, en combinant l’action aérienne et le combat des troupes au sol. C’est leur priorité, et aussi ils sauront donner le change pour agir en lien avec la France, mais la France ne pourra garder deux fers au feu. Et quand ce sera l’heure des grands arbitrages, la France payera cher son attitude antérieure et son intransigeance illusoire, qui s’est écroulée en quelques heures.

La France va devoir aussi ajuster sa position vis-à-vis de ses alliés de ces dernières années – l’Arabie Saoudite, le Qatar et Israël – qui ne sont pas près d’accepter la place de l’Iran comme place forte de référence au Moyen-Orient. Alors, jusqu’où la France est-elle engagée, et quel sera le prix à payer pour ce renversement d’alliances, conclu sous la pression des faits ?

 

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19/11/2015 | Lien permanent

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage améric

Un seul qui bouge en France !

L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur sa surveillance des Français et sa passivité face à l’espionnage américain

Qu'est-ce que le projet Indect ?

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L’UNION POPULAIRE RÉPUBLICAINE

= Dimanche 28 décembre 2014 =

OBJET : L’UPR demande au gouvernement de s’expliquer sur la surveillance étroite qu’il exerce à l’encontre de la population française et sur sa passivité face aux actes d’espionnage des États-Unis d’Amérique et de plusieurs de leurs alliés.

TEXTE  :

Incapable de regarder les Français en face, le gouvernement a pris en catimini, le jour de Noël, de nouvelles mesures liberticides destinées à étendre la surveillance de la population. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...]

Le décret publié ce 24 décembre 2014, qui précise les modalités d’application de l’article 20 de la loi de programmation militaire du 18 décembre 2013, autorise un vaste accès des services de l’État aux télécommunications des Français – téléphone, SMS, Internet principalement – et à toutes les informations qui transitent par les réseaux nationaux. [http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JOR...]

Ces dispositions, justifiées comme d’habitude de manière très vague, au nom de la « lutte contre le terrorisme », s’ajoutent à celles votées, par la procédure accélérée, le 4 novembre 2014 au sein d’une énième loi antiterroriste, qui permet au gouvernement d’interdire la sortie du territoire national aux Français qu’il juge suspects. [http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/04/97001-201411...]

L’attitude du gouvernement est d’autant plus troublante qu’il a, de façon certaine, armé et entrainé des combattants qui ont fait allégeance à des groupes islamistes radicaux en Syrie. [http://www.wnd.com/2014/06/officials-u-s-trained-isis-at-...]

La multiplication de mesures liberticides témoigne de la tendance de plus en plus fascisante des gouvernements européistes, gouvernement français en tête. L’UPR note d’ailleurs que ces mesures s’accompagnent d’un silence médiatique et politique quasiment absolu alors qu’elles contreviennent aux libertés les plus fondamentales proclamées par la Constitution de la République. Ces derniers jours, les médias de grande diffusion ont préféré, par exemple, focaliser l’attention des Français sur la nouvelle chienne Labrador de François Hollande ou sur l’insignifiante affaire du film « The interview », pure opération de propagande, plutôt que de les alerter sur la mise en danger du secret de leur vie privée.

Dans le même temps, le gouvernement laisse complaisamment des puissances étrangères – au premier rang desquelles les États-Unis d’Amérique – espionner les institutions européennes ainsi que les intérêts français, quand ce n’est pas directement la population.

  • - Comme l’a révélé une enquête conduite par trois journaux et publiée le 13 décembre 2014, les services secrets britanniques, américains et canadiens ont conjointement piraté dès 2008, et d’une façon spécialement agressive, les télécommunications des institutions européennes. [http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/guerric-ponce...].

Cette cyberattaque, conduite à l’aide du virus ultra perfectionné « Regin », n’a été découverte qu’en 2013 et a ainsi permis à Washington de mettre la main sur des documents sensibles relatifs à la négociation du Grand marché transatlantique (GMT).

Ce véritable acte de guerre, commis par Washington avec la complicité de Londres, rappelle combien la « solidarité européenne » est une fiction et le « lien transatlantique » une relation de vassal à suzerain. Il n’a bien entendu donné lieu à aucune réaction, ni des institutions européennes ni du gouvernement français et n’a pas entravé le moins du monde l’avancée des négociations du GMT. Le scandale des écoutes de la NSA et du dispositif PRISM ainsi que le piratage de l’Élysée en 2012 n’avaient pas suscité davantage de réaction des autorités françaises [http://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/2012/11/20/01007...] ;

  • - Selon l’ex rapporteur du Conseil de l’Europe et ancien parlementaire suisse, Dick Marty [http://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Marty], dans une interview qu’il a accordée à la RTS le 10 décembre 2014, les pays européens se sont engagés, en application de l’article 5 du Traité de l’Atlantique nord, à accorder l’immunité totale à la CIA, en particulier dans les cas de torture reprochés à l’agence américaine [http://www.rts.ch/info/monde/6374144-les-pays-europeens-s...].


Dick Marty s’était fait connaître pour avoir porté à la connaissance du public le scandale des prisons secrètes de cette même CIA en Europe. Le gouvernement français a observé un silence absolu sur les dernières révélations – ahurissantes – de Dick Marty, lesquelles illustrent, d’ailleurs, l’urgence de faire sortir la France de l’OTAN ;

  • - Un rapport parlementaire de décembre 2014 a révélé la vulnérabilité des entreprises françaises face au dispositif d’espionnage et de pillage d’informations sensibles mis en place par les États-Unis d’Amérique, ainsi que le manque criant de dispositif de défense en la matière du côté du gouvernement français, qui n’a programmé aucune action vigoureuse et urgente depuis. [http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/12/18/20002-20141...]

La mise sous surveillance de la population française et l’absence de réaction face aux actes de guerre perpétrés par les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés contre la France est un nouvel acte de haute trahison du gouvernement français. Ces faits confirment la justesse de l’analyse que François Mitterrand livra, au soir de sa vie, au journaliste Georges-Marc Benamou :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort… apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

L’UPR demande au gouvernement français de s’expliquer sur le contrôle étroit auquel il soumet la population française et sur sa passivité et son indifférence face à l’espionnage intense – véritable acte de guerre – qu’exercent les États-Unis d’Amérique et plusieurs de leurs alliés à l’encontre des intérêts français.

Si MM. Hollande et Valls ne répondent pas à cette demande parfaitement légitime, les Français auront une nouvelle preuve que la France n’est plus une République et que leurs dirigeants se rendent coupables de haute trahison.

 

============= FIN DU COMMUNIQUÉ ============

NE LAISSEZ PAS DÉTRUIRE VOTRE LIBERTÉ ET LA LIBERTÉ DE CEUX QUE VOUS AIMEZ !

N’oubliez jamais cette formule de l’essayiste suisse du XXe siècle, Max Frisch : dans une dictature, « IL Y A PIRE QUE LE BRUIT DES BOTTES, C’EST LE SILENCE DES PANTOUFLES. »

C’est aujourd’hui qu’il faut la mettre en pratique collectivement : car pour triompher, ceux qui veulent détruire la France n’ont besoin que de votre inaction.

C’est aujourd’hui qu’il faut se rassembler pour faire échec à la destruction programmée de la patrie de Saint-Louis, Henri IV, Louis XIV, Montesquieu, Gambetta, Jaurès, Clemenceau, Charles de Gaulle.

C’est aujourd’hui qu’il faut s’opposer résolument à la soumission à l’empire euro-atlantiste qui est en train de ruiner notre niveau de vie, de transformer la France en dictature et de nous entraîner dans des guerres terrifiantes avec le reste du monde.

https://www.upr.fr/communiques-de-presse/espionnage-ameri...http://www.crashdebug.fr/

 

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31/12/2014 | Lien permanent

François Fillon confie à Philippe de Villiers concernant les Bilderbergs : « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent

Ils complotent derrière notre dos et quand nous les dénonçons nous sommes des complotistes !

François Fillon confie à Philippe de Villiers concernant les Bilderbergs : « Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent »

25 octobre 2015 - 16:34

http://www.syti.net/Organisations/Bilderberg.html

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Vidéo assez extraordinaire et rare puisque M. de Villiers y explique des propos de F. Fillon qui avoue clairement que le groupe Bilderberg gouverne l’Europe ! Quand je pense à Marc-Édouard Nabe qui se moque de ces structures supra-nationales en niant la réalité du complot (ainsi que bon nombre de journaleux), pauvre imbéciles. L’apocalypse continue son travail de dévoilement des réalités pour notre plus grand plaisir et pour le malheur de l’humanité. Il n’y a pire aveugle que celui qui ne veut voir, les faits sont là pour ceux qui sont prêts, les autres n’ont qu’à continuer à dormir, ça ne changera pas grand chose au cours des événements…
 

Ces puissants et mystérieux messieurs du cercle Bilderberg

Publié le 06-06-2013 à 19h00

François Fillon, invité jeudi soir sur France 2, se rend vendredi à la conférence de ce club très fermé, qui se réunit jusqu'à dimanche près de Londres.

L'hôtel Suvretta, à Saint-Moritz, en Suisse, où s'est réuni le cercle Bilderberg en juin 2011. (AFP)

L'hôtel Suvretta, à Saint-Moritz, en Suisse, où s'est réuni le cercle Bilderberg en juin 2011. (AFP)

 

Le dîner ne figure pas à l'agenda officiel. L'hôte et ses invités tiennent à cette discrétion. Début novembre 2011, alors que la crise de l'euro est à son comble, François Fillon prend le temps de recevoir à Matignon un groupe obscur d'une trentaine de personnes dont les noms sont presque tous inconnus du grand public, mais pas des initiés.

Ce soir-là, le Premier ministre de Nicolas Sarkozy planche sur l'état de la France devant les membres d'un petit club qui ne fait jamais la une des journaux, mais fascine les obsédés du complot : le Bilderberg. A croire les "conspirationnistes", ce cercle, fondé en 1954 par un prince hollandais et un milliardaire américain pour endiguer le communisme, serait le "vrai gouvernement du monde". On lui devrait la victoire de Bill Clinton, la guerre en Irak ou la nomination de Herman Van Rompuy, président du Conseil européen. Rien de moins !

Gotha politico-financier occidental

Comparés au Bilderberg, d'autres forums internationaux bien plus célèbres, tels la Trilatérale ou Davos, auraient autant d'influence qu'une fête de patronage. Les convives de François Fillon sont tous d'éminents représentants du gotha politico-financier occidental. Sous les lambris de l'hôtel Matignon, il y a là, entre autres, le patron de la banque Goldman Sachs, Peter Sutherland, le big boss de la banque d'affaires Lazard, Ken Jacobs, l'inspirateur des néoconservateurs américains, Richard Perle, le grand manitou de Shell, Jorma Ollila, le futur chef du gouvernement italien, Mario Monti, ou la présidente du Musée d'Art moderne de New York, Marie- Josée Kravis, par ailleurs épouse du propriétaire d'un fonds d'investissement américain.

Le grand ordonnateur du dîner n'est autre qu'Henri de La Croix, comte de Castries, PDG du groupe d'assurances Axa et premier Français à présider le Bilderberg. Petit-fils d'un ministre de la IVe République et inspecteur des Finances, ce pilier de l'establishment français est aussi proche de Nicolas Sarkozy que de François Hollande, son camarade de la promotion Voltaire à l'Ena. On l'a compris : à un tel aréopage, même le chef du gouvernement de la cinquième puissance mondiale ne peut refuser l'hospitalité. Ce repas est-il pour autant le signe d'une vaste conspiration ? "Je ne comprends pas l'hystérie autour du Bilderberg, s'amuse aujourd'hui François Fillon. Je ne trouve pas qu'il s'y dise des choses si confidentielles..."

Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ?

Groupe ultramondain ou confrérie d'influence planétaire ? De 6 au 9 juin, le club réunira, à l'abri des regards, sa soixantième et unième conférence annuelle, dans un palace près de Londres. Comment fonctionne ce groupe, dont la liste des membres n'est publiée officiellement que depuis trois ans ? A-t-il le pouvoir qu'on lui prête ? "Le Nouvel Observateur" a interrogé une trentaine de personnalités françaises et étrangères qui ont participé aux travaux du Bilderberg. Elles racontent, souvent pour la première fois, les coulisses de cette institution qui suscite tant de fantasmes.

"C'est un Davos en plus fermé", dit Jean-Pierre Jouyet, président de la Caisse des Dépôts et autre camarade de promotion de François Hollande à l'Ena. Le célèbre forum suisse accueille plus de mille VIP issus des cinq continents. Le Bilderberg, lui, s'adresse à un cercle bien plus restreint - cent trente personnes, jamais plus, venues d'Europe et des Etats-Unis. Les fondateurs du club l'ont voulu ainsi, discret et transatlantique. Le prince Bernhard des Pays-Bas et David Rockefeller l'ont créé en 1954, au plus chaud de la guerre froide, avec un objectif précis : la lutte contre le communisme. La première réunion se déroule du 29 au 31 mai, en catimini, à Oosterbeek, aux Pays-Bas, dans un hôtel appelé Bilderberg.

Les participants : de grands leaders politiques et économiques du Nouveau et du Vieux Continent - tels les Français Guy Mollet, Jean Monnet et Antoine Pinay. "A l'époque, le but était de convaincre les dirigeants européens et américains de resserrer leurs liens et de ne pas baisser la garde face à la puissante Union soviétique", explique l'ancien ministre des Affaires étrangères Hubert Védrine.

Dans les premières années du Bilderberg, on s'exprime en français et en anglais, les deux langues officielles de l'Otan. On parle défense de l'Europe de l'Ouest et contre-propagande. On réfléchit à des actions communes contre le péril rouge.

Rien ne doit filtrer

Rien ne doit filtrer. David Rockefeller veille. Le richissime héritier de la Standard Oil est un expert en opérations spéciales. Comme il le raconte dans ses Mémoires (1), le futur patron de la Chase Manhattan Bank a fait la guerre dans le renseignement militaire, à Alger. Francophone, il a poursuivi ses activités d'espion en 1945 à Paris. Son goût du secret a imprégné l'esprit du club, dont on n'a découvert l'existence qu'au milieu des années 1960.

L'institution est véritablement sortie de l'ombre en 1976, à l'occasion d'une grande affaire de corruption qui a durablement terni son image. On a appris que le prince Bernhard monnayait son prestige pour favoriser le groupe d'armement Lockheed auprès de l'armée néerlandaise et que ses conciliabules avec les dirigeants de la firme américaine avaient notamment lieu en marge de la conférence du Bilderberg, qu'il présidait depuis vingt ans. "Ce scandale a failli tuer le club, reconnaît Thierry de Montbrial, patron de l'Institut français des Relations internationales (Ifri) et membre du Bilderberg jusqu'à aujourd'hui. On l'a sauvé en remplaçant le prince par l'ancien Premier ministre britannique, lord Home." L'odeur de soufre est restée.

En dépit de ce passé controversé, le Bilderberg est toujours le cercle le plus sélect de l'élite transatlantique. Sa grande affaire n'est plus le communisme, mais la mondialisation et les défis qu'elle pose à l'Occident. Au sommet, on trouve un petit cénacle, le comité directeur, composé de trente personnalités du monde du grand business et de la géopolitique, celles-là mêmes qui ont dîné à Matignon.

"De l'entregent et une vision planétaire"

"Pour y être coopté, il ne suffit pas d'être patron de Coca-Cola : il faut avoir de l'entregent et une vision planétaire", explique l'avant- dernier président du Bilderberg, le flamboyant vicomte Etienne Davignon, dans son immense bureau qui surplombe la place Royale à Bruxelles. Lui-même tutoie la terre entière. Ancien commissaire européen, cet octogénaire belge toujours bronzé et courtois est administrateur d'une dizaine de multinationales. "Steevie", comme le surnomment ses amis du gotha, a siégé pendant des décennies au comité directeur du club, aux côtés de figures historiques, tels le magnat italien Giovanni Agnelli ou l'ex-secrétaire d'Etat américain Henry Kissinger, et de personnalités montantes, comme l'avocat Tom Donilon, qui deviendra conseiller de Barack Obama pour la sécurité.

Les trente se réunissent deux fois par an - généralement dans une capitale européenne pour parler de la situation du club et du monde. Ils en profitent pour dîner discrètement avec les dirigeants locaux ou les leaders prometteurs. En février, c'était à Rome, autour du nouveau président du Conseil italien, Mario Monti, un fidèle du Bilderberg depuis trois décennies. Il n'a fait que présenter ses réformes au club. Mais ces repas peuvent avoir une influence sur le cours des choses. En novembre 2009, le comité directeur se retrouve à Bruxelles. On invite le chef du gouvernement belge d'alors, Herman Van Rompuy. "Personne ne connaissait ce petit homme discret et quadrilingue, raconte "Steevie". Il nous a fait un explosé très clair. Il a défendu l'euro avec force et brio, face aux Américains incrédules."

Quelques jours plus tard, à la surprise générale, le "petit homme" est désigné à la présidence de l'Union européenne. "Sa brillante présentation l'a peut-être ajouté, au dernier moment, à la liste des candidats possibles",reconnaît son compatriote Davignon, sans livrer d'autres détails. En revanche, les trente n'ont pas réussi à rencontrer le futur président français, François Hollande. En novembre 2011, Henri de Castries avaient convié son camarade de l'ENA, qui venait tout juste de remporter la primaire socialiste, à plancher devant le steering committee à Paris. L'adversaire de Nicolas Sarkozy avait accepté, avant de se décommander. C'est son ami Jean-Pierre Jouyet, autre "voltairien", qui l'a remplacé au pied levé.

100 invités

Le comité directeur a une autre prérogative : établir la liste des cent invités à la prestigieuse conférence annuelle du Bilderberg, qui se déroule début juin, en Europe ou aux Etats-Unis. Comme tous les ans depuis 1954, David Rockefeller, 97 ans, assistera à la prochaine, "si sa santé le lui permet", précise le vicomte belge. Rares sont ceux qui déclinent l'invitation. Certains redoutent encore d'être épinglés par les "conspirationnistes". François Fillon, par exemple, a refusé d'y assister tant qu'il dirigeait le gouvernement. Vladimir Poutine aussi. C'était en 2002 quand le président russe a commencé à vociférer contre l'Occident. Mais, le plus souvent, les invités acceptent, flattés.

"Etre convié à ce forum annuel est un signe de reconnaissance, une marque de prestige, assure Thierry de Montbrial, membre du steering committee jusqu'en 2011. J'y ai été coopté en 1976, en remplacement de Wilfrid Baumgartner, ministre des Finances sous de Gaulle", glisse-t-il pas peu fier. C'est donc lui qui, pendant trente-cinq ans, a désigné les heureux élus français à la conférence du Bilderberg - "quatre par promotion", précise-t-il. Délicieux privilège pour cet X-Mines, éternel patron de l'lfri.

De l'ère Giscard au quinquennat Sarkozy, Thierry de Montbrial a fait défiler à la conférence du Bilderberg une grande partie de l'élite parisienne. Quand le français a été abandonné comme langue officielle du club, à la fin des années 1980, il n'a plus convié que des anglophones. "Ca limite le choix", ironise-t-il. Sont venus des dirigeants politiques, de droite et de gauche, des grands patrons, des journalistes réputés. Aujourd'hui encore, craignant d'être stigmatisés par les obsédés du complot, certains n'avouent leur participation que du bout des lèvres. "Moi, je regrette de ne pas avoir été invité plus souvent", reconnaît franchement le député UMP Pierre Lellouche, grand spécialiste de l'Otan.

Jets privés et limousines

La conférence annuelle est organisée comme un sommet de chefs d'Etat. Arrivés en jets privés et en limousines aux vitres teintées, les 130 happy few sont enfermés pendant deux jours et demi dans un hôtel de luxe entièrement privatisé. L'obsession de la sécurité et de la confidentialité est telle que le lieu exact de la rencontre est tenu secret jusqu'au dernier moment. "A ce point, c'est ridicule, confie Hubert Védrine. Il y a même un système de triple badge pour franchir chacune des trois barrières de sécurité." "Il est interdit de venir avec son conjoint ou sa secrétaire", ajoute Nicolas Bazire, l'ancien directeur de cabinet de Balladur et témoin de mariage de Nicolas Sarkozy. Et "pas le droit non plus de partir avant la fin du week-end", précise le patron de Publicis, Maurice Lévy.

A l'extérieur, des militants altermondialistes tentent de prendre des photos des participants. Leurs pancartes dénoncent une conspiration. "Cette idée de complot est une farce, assure Hubert

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27/10/2015 | Lien permanent

Une loi adoptée en catimini : Les “affaires” au secret

La censure et dictature vont de plus en plus loin.
Seront pénalisés par cette loi : les ONG, les journalistes et les lanceurs d'alerte qui dévoileront les "secrets des entreprises", mais pas n'importe lesquelles :

Le texte prévoit en effet de punir de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende le fait de révéler à une personne non autorisée à en avoir connaissance une information protégée relevant du secret des affaires de l’entreprise (…) dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise en portant atteinte à son potentiel scientifique ou technique, à ses positions stratégiques, à ses intérêts commerciaux ou financiers ou à sa capacité concurrentielle.

Donc, nous ne pourrons plus révéler, si nous comprenons bien, les liens d'intérêts, les trafics d'influence, les contenus criminels des vaccins, les OGM, les nano-particules, les guerres génocidaires, etc..

Dormez tranquilles braves gens vous êtes dans le Pays de la dictature, de la censure et de la démocraseuse.


Les affaires au secret

Le 24 janvier 2012

La nuit dernière, sur l'initiative d'un député réputé proche des services de sécurité, l'UMP a fait adopter une proposition de loi qui augmente considérablement les secrets touchant la sphère commerciale et industrielle. Une manière élégante de dissuader ONG, journalistes et lanceurs d'alerte de révéler aux citoyens les dessous des grands groupes.

Un hémicycle clairsemé a adopté, ce lundi 23 janvier à 23h, la proposition de loi de Bernard Carayon visant à sanctionner la violation du “secret des affaires“. Créée pour lutter contre l’espionnage économique, elle pourrait se retourner contre les “lanceurs d’alerte“, et donc les sources des journalistes (voir notre article sur une loi anti-WikiLeaks).

Ceci n’est pas une loi anti WikiLeaks

Ceci n’est pas une loi anti WikiLeaks

Une proposition de loi, censée lutter contre l'espionnage industriel, pourrait bien se retourner contre ces "lanceurs ...

Le texte prévoit en effet de punir de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 euros d’amende le fait de révéler à une personne non autorisée à en avoir connaissance une information protégée relevant du secret des affaires de l’entreprise (…) dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise en portant atteinte à son potentiel scientifique ou technique, à ses positions stratégiques, à ses intérêts commerciaux ou financiers ou à sa capacité concurrentielle“.

Dans son rapport d’information sur sa proposition de loi visant à sanctionner la violation du “secret des affaires“, Bernard Carayon écrit que “selon le délégué interministériel à l’intelligence économique, le nombre d’attaques économiques, au sens large (débauchage d’un cadre, harcèlement juridique, atteinte à l’image, vol de secret industriel, etc.), visant des entreprises françaises, est en forte croissance” :

Selon son service, 1 000 atteintes économiques ont été recensées en 2010, un quart d’entre elles constituant des violations du secret des affaires.

Oh, wait : nous parlons donc là de 250 affaires… à comparer aux milliers d’articles de presse écrits à partir de documents internes à des entreprises émanant d’autant de sources au sein de ces entreprises. Si la proposition de loi est adoptée en l’état, ce nombre pourraient chuter à mesure que les salariés se verront menacer de 3 ans de prison assortis de 375 000 € d’amende.

Un amendement a certes été adopté, à la demande du syndicat de la presse quotidienne nationale (SPQN), afin de permettre aux journalistes de produire des documents couverts par le “secret des affaires“, sans courir pour autant le risque d’être condamné pour recel de violation. Mais, comme l’a souligné Jean-Jacques Urvoas, cela ne peut qu’entraîner une “complexité accrue pour des journalistes économiques voulant simplement faire leur métier“, et pas seulement :

Je sais bien que vous répondez que le droit commun continuera de s’appliquer et que la loi prévoit de sanctionner celui qui divulgue l’information, et non celui qui la publie. Mais l’argument peut laisser sceptique, puisque, si l’on peut certes évacuer le principe de complicité, le journaliste pourra néanmoins être poursuivi pour divulgation.

Dans le même ordre d’idée, une ONG qui, comme Sortir du Nucléaire, publie des documents internes révélant la dangerosité des EPR, pourrait elle aussi être poursuivie pour avoir rendu public un “secret des affaires“.

La loi prévoit certes que ne pourront être accusés de “violation du secret des affaires” ceux qui auront informé ou signalé “aux autorités compétentes des faits susceptibles de constituer des infractions“, mais pas les documents internes révélant, non pas des “infractions“, mais des dysfonctionnements, anomalies, travers ou fiasco “dont la divulgation non autorisée serait de nature à compromettre gravement les intérêts de cette entreprise“…

Vers un droit à la vie privée des entreprises

S’agit-il de protéger M. Carlos Ghosn ?“, s’est interrogé pour sa part le député Jean-Pierre Brard, “qui en toute impunité jette aux chiens l’honneur de trois de ses salariés dans une rocambolesque affaire d’espionnage digne d’un mauvais feuilleton américain ?“. Par ailleurs secrétaire de la commission des finances, il s’est d’abord interrogé sur la pertinence d’une telle loi :

Faut-il créer une infraction spécifique aux contours aussi larges, au risque de porter atteinte au droit à l’information ? C’est là que réside notre principal point de désaccord avec vous.
De plus, de nombreuses dispositions pénales protègent un large spectre d’informations, qu’il s’agisse d’un secret de fabrication breveté, du secret professionnel, de l’intrusion dans un système informatique ou même de l’atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation.

Très en verve, le député estime que l’objectif réel de la proposition de loi serait de sanctuariser un “droit à la vie privée des entreprises“, et se déclare “légitimement inquiet” :

Là où vous voyez le verre à moitié vide et soulignez à l’excès les insuffisances de notre législation, nous le voyons pour notre part aux trois quarts plein.
Nous ne sommes pas certains qu’il soit nécessaire de faire usage d’une massue pour occire un moustique et nous ne pouvons nous défendre du sentiment que vous tirez aujourd’hui argument des quelques lacunes de notre droit pour tenter, en réalité, de sanctuariser le secret des affaires et lui donner la valeur d’un principe fondamental.

Après avoir martelé que “le droit de savoir et la manifestation de la vérité ne sont pas moins des principes fondamentaux que le respect du secret des affaires“, Jean-Pierre Brard s’étonne : “curieusement, c’est la logique inverse qui doit selon vous primer dans le droit des affaires“. Dès lors, les membres du comité d’entreprise ou représentants syndicaux pourraient eux aussi se retrouver museler sur l’autel du “secret des affaires“, souvent les plus à même de dénoncer les scandales du monde des affaires :

Priorité est accordée au droit des entreprises personnes morales sur le droit à l’information. Les quelques garanties auxquelles vous consentez ne sont guère que les exceptions à un principe de portée générale qui affirme le droit à la vie privée des entreprises.
Vos mesures ne risquent-elles pas de modifier le périmètre des informations que les membres du comité d’entreprise ou les représentants syndicaux seront autorisés à diffuser dans l’intérêt des salariés qu’ils représentent et auxquels ils doivent pouvoir rendre compte ?
Vous n’apportez sur ce point aucune réponse convaincante, monsieur le rapporteur. Le droit à l’information des salariés ne fait l’objet dans votre texte d’aucune mesure de protection spécifique alors qu’ils sont en première ligne pour révéler les scandales du monde des affaires.

Une usine à gaz pour les PMI-PME

Lanceurs d’alerte, journalistes, ONG, représentants des salariés ne seront pas les seuls à pâtir de la loi. Jean-Jacques Urvoas a ainsi rappelé que la CGPME a souligné “la lourdeur d’un dispositif qui apparaît plus accessible pour les grandes entreprises que pour les PME et les PMI” :

Il est rare qu’une petite entreprise innovante, en pointe sur un marché, totalement engagée dans la compétition internationale, dispose de moyens juridiques, économiques ou tout simplement humains pour mobiliser et mettre en œuvre le dispositif de classification et donc de protection que vous suggérez.

Craignant que ce genre d’entreprise ne puisse y recourir, Jean-Jacques Urvoas estime que le dispositif pourrait paradoxalement devenir “une circonstance aggravante” :

En effet, dans une procédure judiciaire, la partie défenderesse aurait beau jeu de signaler au juge l’absence de classification et de mettre en doute la nature sensible de l’intérêt économique source de litige.
Ainsi, l’impossibilité de recourir à un système de classification, en raison non pas de son défaut de pertinence mais de sa lourdeur et son coût, se transformerait en handicap aggravant la fragilité de l’entreprise.

http://owni.fr/2012/01/24/les-affaires-au-secret/

 

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26/01/2012 | Lien permanent

Livres : LE PLUS GRAND SECRET ” de David Icke

Les livres qui transformeront le monde !

A lire absolument si vous voulez comprendre comment fonctionne le monde depuis la nuit des temps et ce que l'on vous cache !

 

Les deux livres sont à télécharger en PDF sous les couvertures des livres.
Merci de les diffuser autour de vous !

 

 

David Icke
"Le Plus Grand Secret" (tomes 1 et 2)
Editrice Louise Courteau

 

david icke 1.jpg

 

Les deux livres à télécharger ci-dessous :

LE PLUS GRAND SECRET Tome 1

LE PLUS GRAND SECRET : Tome 2

A télécharger à partir de ce site : http://david.icke.free.fr/

 

 

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24/08/2010 | Lien permanent

Wikileaks - La guerre contre le secret ( Arte vidéo )

Arte | 11.10

mardi 7 décembre 2010

Arte a diffusé un reportage complet ( 27 mn ) sur Julian Assange, patron de Wikileaks, concernant les révélations faites en Octobre.

Un reportage plutôt intéressant que je vous invite à voir ou à revoir.

Avec les évènements actuels concernant Wikileaks, il est intéressant de voir les réactions des US, ainsi que la vision de Julian Assange et bien sûr les coulisses de toutes ces révélations.

Wikileaks - La guerre contre le secret ( de ARTE )

Après les révélations sur l'Afghanistan qui ont secoué la planète en juillet 2010, les journalistes de WikiLeaks viennent de tirer une seconde salve. Sur l'Irak, cette fois. Des dizaines de milliers de documents confidentiels établissant une cartographie précise d'une guerre sur laquelle on sait peu de choses. Des révélations qui mettent le feu à Washington.

de Luc Hermann et Paul Moreira - ARTE GEIE

 

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12/12/2010 | Lien permanent

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