Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : champ morphique

Les chercheurs russes enregistrent le plus violent orage magnétique depuis 2008

Les chercheurs russes enregistrent le plus violent orage magnétique depuis 2008
Les chercheurs russes enregistrent le plus violent orage magnétique depuis 2008
14:51 06/04/2010
© RIA Novosti.
MOSCOU, 6 avril - RIA Novosti

Le plus violent orage magnétique depuis octobre 2008 s'est produit lundi soir dans la magnétosphère terrestre, a annoncé mardi l'Institut de physique Lebedev (FIAN) de Moscou sur le site internet de l'observatoire solaire russe TESIS.

"Nous n'avons pas enregistré de fluctuations de champ magnétique terrestre de niveau Kp=7 (sur 10) depuis 540 jours, le dernier orage magnétique aussi important s'étant produit le 11 octobre 2008", lit-on dans un communiqué de l'Institut.

La tempête de niveau Kp=7 (Kp est un indice géomagnétique utilisé pour mesurer les variations du champ magnétique de la Terre) peut porter préjudice aux systèmes énergétiques globaux, modifier l'orientation des satellites, perturber le fonctionnement des systèmes de navigation par satellite et provoquer des coupures radio. Toutefois, on ne sait pas encore clairement si l'orage de lundi a entraîné de telles conséquences.

"La tempête a commencé vers 09h00 GMT. L'indice Kp a grimpé de 3 points, de Kp=4 ("instable") à Kp=7 ("tempête forte") en trois heures (...). L'orage a duré neuf heures, de 09h00 à 18h00 GMT", selon le communiqué.

L'orage magnétique a été une surprise pour tous les centres météorologiques du monde. Il s'est produit en période d'activité solaire très calme, indiquent les chercheurs. La faible éruption solaire du 3 avril, qui aurait provoqué l'orage, "a été si légère qu'on ne l'a pas porté aux registres des éruptions. Toutefois, elle a été très longue (plus de sept heures) ce qui n'a pas été pris en compte par les météorologistes", concluent les spécialistes russes.




Lire la suite

08/04/2010 | Lien permanent

L'univers est-il ce que nous croyons ?

Tout est vibration, donc information.

Une conférence sur les champs magnétiques du Dr Jacqueline Bousquet ex chercheur au CNRS, écartée pour ses visions justes et dérangeantes pour les scientifiques traditionnels, qui passent leur temps à chercher sans ne rien trouver. Il faut bien écarter les humains de ce qu'ils sont vraiment, de leur essence primale, du Divin qui est en eux pour en faire des moutons de panurge prêts à se laisser manipuler par les sciences, les religions et les politiques qui sont à leur botte.


Cette conférence est très importante à écouter, en prévision de l'échéance du 21 décembre 2012 pour savoir  qui vous êtes et comment vous y préparer. Merci de diffuser ces vidéos autour de vous.

Jacqueline BOUSQUET
Docteur ès Sciences - Biologie, Biophysique,

Chercheur honoraire au C.N.R.S.
Chargée d'enseignement à la Faculté Privée des Sciences Humaines de Paris,
Collaboratrice du Professeur Émile PINEL pour l'étude et la mise en évidence des champs en biologie,
Conseiller scientifique du G.R.E.N.A.T.
(Groupe de Réflexion et d'Étude pour la Non Agression Thérapeutique)
Spécialiste de l'interface Science & Tradition,
Conférencière, écrivain.
Auteur de : " Science dans la Lumière " (épuisé) & " Au cœur du Vivant "

E-mail : fmn@arsitra.org


Si la vidéo ne fonctionne pas, cliquez sur le lien ci-dessous.

http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/1185/confer...


Conférence du Dr Jacqueline Bousquet à l'espace Mouneyra
Le 30 avril 2010

 

Site de Jacqueline Bousquet :   http://www.arsitra.org/

Silicium, éveil et guerre des fréquences

http://www.dailymotion.com/video/xcb4s1_silicium-eveil-et...

"Au coeur du vivant "-

http://www.dailymotion.com/video/x9qqim_au-coeur-du-vivan...





"Au coeur du vivant "- livre électronique - ARSITRA.org ... Bénéficier du nécessaire. Se consacrer à l'Essentiel
http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/1046/au-coe...

"Science dans la lumière" - livre électronique
http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/1045/scienc...

Conférences de Jacqueline Bousquet
http://www.arsitra.org/yacs/articles/view.php/1011/confer...

 

 

Lire la suite

11/06/2010 | Lien permanent

Changements cosmiques et réchauffement climatique

Le rapport du Dr Dimitriev de l'académie des sciences russe :

Commentaires sous la vidéo :

22. Cette transition dans de nouveaux espaces astronomiques et de conscience est connue sous le nom de chevauchement spatio-temporel

23. Il existe neuf mécanismes majeurs de chevauchement entre les différents mondes évolutionnaires.

24. A l'époque de cette ascension, un "Pilier de Lumière" place une "zone de Lumière" autour d'un espace-vie déterminé. Cette zone Lumière sert à préparer un espace-vie d'intelligence, prélevé pour voyager dans un autre monde "maison" d'expérience vie.

25. L'établissement de la zone Lumière précède généralement le début du bombardement de vagues cosmiques - immédiatement avant de pénétrer une zone nulle.

26. Si toutefois la zone nulle fait défaut, elle doit etre produite, car elle est un élément indispensable pour le schéma de l'harmonisation dans les cieux inférieurs.

27. C'est pourquoi les changements électromagnétiques et magnétohydrodynamiques peuvent avoir lieu, car ils engendrent le décalage d'une zone-vie de compression gravitationnelle dans un plus grand spectre graviton.
...
29. Cependant, le pilier de Lumière agit comme revêtement de lumière, prévenant ainsi la désintègration de l'unité de conscience (qui doit continuer son cours) pendant la transition. En effet, sans ce revêtement de Lumière, la fréquence associée à l'image derrière le code génétique serait détruite !

30. Ce voyage est amorcé par modulation des zones temporelles de conscience à travers les "champs lumineux de télémutation" dont l'action induit l'ascension. Cela signifie que lorsque nous entrons dans une zone électromagnétique nulle, à moins d'etre maintenu en équilibre par ces champs lumineux de télémutation, notre esprit en tant qu'ordinateur électromagnétique serait incapable de s'adapter à la nouvelle fréquence de Lumière et serait détruit.
...

Les Clés d'Enoch . JJ Hurtak .
Académie des Sciences du Futur.

Rapport du Dr Dimitriev
http://www.dailymotion.com/video/x89os6_rapport-dmitriev_...

 

 

Lire la suite

22/02/2009 | Lien permanent

Le programme américain HAARP



Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l’ionosphère.

Résonance de Schumann (Fréquences RS) et biocommunications

La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et ré-émises par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).

Décodées par le cerveau, elles reviennent presque instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane.

A Sedona, en Arizona, Ben Lonetree (http://sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et géophysiques en temps réel très fiables. Il a un grande expérience de la technologie IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) et des ondes cérébrales. Il est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras basses fréquences).

Rythme et chaos dans l’ionosphère Le rythme de la vie a évolué de façon continue au fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann (RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde stationnaire.Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à Gakona en Alaska.Le rythme vibratoire de notre environnement, le moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.

Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières. (Fitrakis, 2002).

L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne soit trop tard pour tout le monde.Perturbations touchant le climat terrestrePour comprendre le fragile équilibre de notre planète il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie Lactée sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.

Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des "marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil. Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent, au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique (apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement Climatique et Glaciation].

Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les zones froides du nord, telles que la côte est des Etats-Unis et l’Europe, et les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre.

Les sécheresses engendrées par ces cycles glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement réduite à cause de la rigueur du climat.Toutes les recherches montrent que le système climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles. Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des glaciers pourraient accélérer le processus.L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des vingt années suivantes.

Les variations ont été moins violentes au cours des derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à rayons énergétiques.

Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chaud/froid s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère US de l’environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.

La recherche indique aussi que le Soleil lui-même est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre, provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées.

On peut attribuer au Soleil environ la moitié du réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit pendant la "Petite Ere Glaciaire" entre le XIIe et le très froid XVIIe siècle.

L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans doute lieu dans trois ans (La période du minimum solaire n’est pas nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire produisent sur Terre des changements à court terme. Au-dessus des USA, une augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements d’orbite utilisant la poussée des navettes.

Il est récemment devenu possible de mesurer l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes longueurs d’ondes et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance (TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère.

Dans une étude récente, les données de six satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affilié à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies, a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés, sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage. Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de 0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.

Manipuler l’ionosphère

Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.

Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des "cheveux d’anges" récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.

En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.

C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un "brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.

Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique" implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales. De récentes informations scientifiques ont déterminé que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... La Dr Rosalie Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains... travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles" utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà "maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980". (Chossudovsky, 2000).Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit "d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense". Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).

HAARP et le programme "Joint Vision 2020"

Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.

Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD
(ministère de la défense) et les Chefs d’Etat Major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : En 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.

HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020.

Un plan de programmation,
le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.

Expériences de rebond lunaire avec HAARP

Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News" rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).

Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales. Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.

Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz...

Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre ? (Cramer 2001).

La voix de la planète : la résonance de Schumann et ses rapports avec l’être humain

Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales.Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.

Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.

"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et la planète entrent en résonance.

C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’" dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.

De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.

Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.

Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana".

Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.

Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique" (le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie. L’objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte. Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10Hz.

Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l’enfance.

Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé.

Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADNIl est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internethttp://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.

Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle). Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance... L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org). En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.

Biosystèmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.

Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.

Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guérison" : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était "synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001). Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.

La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).

Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).

Aussi, un des effets de la méditation est de" "calmer l’esprit" c’est une méthode permettant d’installer le "libre cours" (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de "magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.

Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation aVec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).
Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.
La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les "capacités de réserves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).

Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou "l’entraînement thérapeutique", amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante : Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques). À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaires et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses énergies" (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).

Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.

Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels.

Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et "produire une action mystérieuse à distance" lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.

L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.
À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...

Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.

On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).


HAARP : une menace pour l’humanité et la planète

Les humains que nous sommes possèdent des potentialités extraordinaires que nous avons à peine commencé à étudier et encore moins à comprendre. Des dons de créativité, d’intuition et des talents imprévisibles ou émergents pourraient se stabiliser chez les générations futures. On peut espérer que nous pourrons comprendre notre provenance d’un environnement essentiellement électromagnétique et développer notre potentiel de guérison, de croissance et de communication à distance. Les sommes d’argent faramineuses ont été dépensées pour HAARP et les projets associés (tels que "Star Wars", programme de défense antimissiles), sans que le moindre budget complémentaire soit affecté à l’étude des dangers potentiels. Le coût en dollars et en vies humaines pourrait être stupéfiant comparé aux avantages supposés que pourraient offrir de tels programmes. Durant des millénaires, la RS a donné la mesure régulatrice de la vie sur la planète, notre battement de cœur planétaire qui marque le tempo de la santé et du bien-être.Mais aujourd’hui, selon la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements de Climat (UNFCCC), signée en 1992 au Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, le cœur même de la planète est en danger. L’ONU a condamné l’utilisation hostile de techniques qui modifient l’environnement ou interviennent dans la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotopes, la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère ou l’espace extérieur.

Alors pourquoi, méprisant la Convention ENMOD de 1977 ainsi que sa propre charte, les Nations Unies ont-elles décidé d’exclure de leur ordre du jour les changements climatiques résultant de programmes militaire ?En février 1998, le Comité des Affaires Étrangères, de la Sécurité et de la Politique de Défense du Parlement Européen tint une audience publique à Bruxelles sur la question de HAARP. La "Motion de Résolution " que le Comité présenta au Parlement Européen (document n° A4-0005/99, du 14 janvier 1999) contenait ces termes : Considère que HAARP..., en vertu de son impact étendu sur l’environnement, constitue une préoccupation mondiale et demande que ses implications légales, écologiques et éthiques soient évaluées par un organisme international indépendant... ; [le Comité] regrette le refus réitéré de l’administration des États-Unis... d’apporter des preuves à l’audience publique... concernant les risques pour l’environnement et le public du programme HAARP.Cependant, la requête du Comité d’établir un "Livre Vert" sur "l’impact des activités militaires sur l’environnement" fut rejetée avec désinvolture sous prétexte que la Commission Européenne ne disposait pas de la juridiction nécessaire lui permettant de s’immiscer dans "les liens entre l’environnement et la défense". Bruxelles se soucia d’éviter un conflit avec Washington.

Bien qu’il n’y ait pas de preuves que HAARP ait été utilisé, les informations scientifiques indiquent que le programme est aujourd’hui entièrement opérationnel. Cela signifie que, potentiellement, HAARP pourrait être utilisé par les militaires US pour modifier sélectivement le climat d’une "nation inamicale" ou d’un "état dévoyé" dans le but de déstabiliser son économie nationale...

La "médecine économique" du FMI et de la Banque Mondiale, très documentée, imposée au Tiers-monde et aux pays de l’ancienne Union Soviétique a fortement contribué à déstabiliser l’agriculture domestique. De son côté, les financements de l’OMC ont soutenu les intérêts d’une poignée de conglomérats biotechniques dans leurs efforts d’imposer les semences génétiquement modifiées aux agriculteurs du monde entier. Il est essentiel de comprendre les liens entre les processus économiques, stratégiques et militaires du Nouvel Ordre Mondial. Dans ce contexte, les manipulations climatiques par le programme HAARP (accidentelles ou délibérées) exacerberaient ces changements en affaiblissant les économies nationales, en détruisant les infrastructures et en menaçant de faillite les fermiers sur de vastes régions...(Chossudovsky,2000).
Esp

Lire la suite

17/02/2010 | Lien permanent

Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète, HAARP


Le programme américain HAARP

Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l’ionosphère.

Résonance de Schumann (Fréquences RS) et biocommunications La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et ré-émises par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).

Décodées par le cerveau, elles reviennent presque instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane.

A Sedona, en Arizona, Ben Lonetree (http://sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et géophysiques en temps réel très fiables. Il a un grande expérience de la technologie IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) et des ondes cérébrales. Il est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras basses fréquences).

Rythme et chaos dans l’ionosphère Le rythme de la vie a évolué de façon continue au fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann (RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde stationnaire.

Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à Gakona en Alaska.

Le rythme vibratoire de notre environnement, le moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.

Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières. (Fitrakis, 2002).

L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne soit trop tard pour tout le monde.

Perturbations touchant le climat terrestre

Pour comprendre le fragile équilibre de notre planète il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie Lactée sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.

Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des "marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil. Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent, au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique (apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement Climatique et Glaciation].

Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les zones froides du nord, telles que la côte est des Etats-Unis et l’Europe, et les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre.

Les sécheresses engendrées par ces cycles glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement réduite à cause de la rigueur du climat.

Toutes les recherches montrent que le système climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles. Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des glaciers pourraient accélérer le processus.

L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des vingt années suivantes.

Les variations ont été moins violentes au cours des derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à rayons énergétiques.

Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chaud/froid s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère US de l’environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.

La recherche indique aussi que le Soleil lui-même est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre, provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées.

On peut attribuer au Soleil environ la moitié du réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit pendant la "Petite Ere Glaciaire" entre le XIIe et le très froid XVIIe siècle.

L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans doute lieu dans trois ans (La période du minimum solaire n’est pas nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire produisent sur Terre des changements à court terme. Au-dessus des USA, une augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements d’orbite utilisant la poussée des navettes.

Il est récemment devenu possible de mesurer l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes longueurs d’ondes et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance (TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère.

Dans une étude récente, les données de six satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affilié à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies, a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés, sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage. Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de 0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.

Manipuler l’ionosphère

Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.

Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des "cheveux d’anges" récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.

En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.

C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un "brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.

Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique" implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales. De récentes informations scientifiques ont déterminé que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... La Dr Rosalie Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains... travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles" utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà "maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980". (Chossudovsky, 2000).

Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).

HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit "d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense". Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).

HAARP et le programme "Joint Vision 2020"

Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.

Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD (ministère de la défense) et les Chefs d’Etat Major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : En 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.

HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.

Expériences de rebond lunaire avec HAARP

Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News" rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).

Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales. Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.

Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz...

Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre ? (Cramer 2001).

La voix de la planète : la résonance de Schumann et ses rapports avec l’être humain

Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales.

Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.

Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.

"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et la planète entrent en résonance.

C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’" dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.

De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.

Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.

Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana".

Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.

Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique" (le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).

N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie. L’objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte. Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10Hz.

Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l’enfance.

Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé.

Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADN

Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).

Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.

Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle). Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).

Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance... L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).

D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org). En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.

Biosystèmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :

Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.

Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.

Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guérison" : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était "synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001). Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.

La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).

Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.

Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.

Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).

Aussi, un des effets de la méditation est de" "calmer l’esprit" c’est une méthode permettant d’installer le "libre cours" (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de "magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.

Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation aVec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).

Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.

La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les "capacités de réserves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).

Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou "l’entraînement thérapeutique", amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante : Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques). À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaires et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses énergies" (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).

Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.

Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels.

Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et "produire une action mystérieuse à distance" lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.

L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.

À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...

Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.

On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).

HAARP : une menace pour l’humanité et la planète

Les humains que nous sommes possèdent des potentialités extraordinaires que nous avons à peine commencé à étudier et encore moins à comprendre. Des dons de créativité, d’intuition et des talents imprévisibles ou émergents pourraient se stabiliser chez les générations futures. On peut espérer que nous pourrons comprendre notre provenance d’un environnement essentiellement électromagnétique et développer notre potentiel de guérison, de croissance et de communication à distance. Les sommes d’argent faramineuses ont été dépensées pour HAARP et les projets associés (tels que "Star Wars", programme de défense antimissiles), sans que le moindre budget complémentaire soit affecté à l’étude des dangers potentiels. Le coût en dollars et en vies humaines pourrait être stupéfiant comparé aux avantages supposés que pourraient offrir de tels programmes. Durant des millénaires, la RS a donné la mesure régulatrice de la vie sur la planète, notre battement de cœur planétaire qui marque le tempo de la santé et du bien-être.

Mais aujourd’hui, selon la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements de Climat (UNFCCC), signée en 1992 au Sommet de la Terre de Rio de Janeiro, le cœur même de la planète est en danger. L’ONU a condamné l’utilisation hostile de techniques qui modifient l’environnement ou interviennent dans la dynamique, la composition ou la structure de la Terre, y compris ses biotopes, la lithosphère, l’hydrosphère, l’atmosphère ou l’espace extérieur.

Lire la suite

28/03/2010 | Lien permanent

Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète, HAARP


Le programme américain HAARP

Une menace pour le climat et l’environnement vibratoire de la planète HAARP, une arme de destruction massive qui fait partie du programme militaire américain « Joint Vision 2020 » constitue une menace pour les interactions subtiles entre les écosystèmes de la Terre et l’ionosphère.

Résonance de Schumann (Fréquences RS) et biocommunications La résonance de Schumann (RS) constitue peut-être le support d’un processus de perception extrasensorielle (PES) de type radar pour tous les êtres vivants. Des fréquences quelconques peuvent être absorbées et ré-émises par tout objet selon des schémas d’interférences spécifiques. Ces « ondes résonnantes » peuvent être modulées intentionnellement en fréquence ou en forme dans le but de transmettre certaines informations (schémas d’interférence).

Décodées par le cerveau, elles reviennent presque instantanément sur le « dos » de la résonance de Schumann et sont alors traduites par le cerveau en données conscientes. En outre, la bio information peut être inscrite intentionnellement à distance sur une cible par une interface sensorielle primitive de type radar sur une onde porteuse RS. Tout cela et d’autres mécanismes sont tributaires du fait que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane.

A Sedona, en Arizona, Ben Lonetree (http://sidereal7.org), un ingénieur électricien, observe de manière intensive les fréquences RS, qu’il nomme la « Voix de la Planète », ainsi que le champ magnétique terrestre. Son site Internet livre des relevés atmosphériques et géophysiques en temps réel très fiables. Il a un grande expérience de la technologie IRM (Imagerie par Résonance Magnétique) et des ondes cérébrales. Il est spécialiste en mesures ELF (très basses fréquences) et en ULF (ultras basses fréquences).

Rythme et chaos dans l’ionosphère Le rythme de la vie a évolué de façon continue au fil des ères. Nous vivons dans une matrice complexe de champs oscillants. La moindre fluctuation dans un champ imbriqué provoque des perturbations dans les autres. Des impulsions voyagent tout autour du monde plusieurs fois par seconde entre la surface de la planète et l’ionosphère, envoyant des signaux de coordination à tous les organismes. Ces signaux nous relient au champ électromagnétique global. Du nom de son inventeur, la Résonance de Schumann (RS) est le pouls qui bât la mesure de la vie sur notre planète. Tout comme le battant d’une cloche, les coups de foudre réactivent constamment cette onde stationnaire.

Nous marchons tous à la "cadence de ce tambour cosmique, notre battement de cœur planétaire, qui fixe le tempo de la santé et du bien-être. Endommager ce stimulateur équivaudrait à sonner le glas de la vie telle que nous la connaissons. Or aujourd’hui, sous prétexte de progrès et de défense, ce stimulateur est menacé et de monstrueuses quantités d’argent public sont dépensées pour cette exploitation de l’atmosphère. Des taxes toujours croissantes sont prévues pour financer jusqu’en 2020 cette défense antimissile aberrante, la "guerre des Etoiles", et le faisceau d’énergie HAARP (High-frequency Active Auroral Research Program) qui est déjà opérationnel à Gakona en Alaska.

Le rythme vibratoire de notre environnement, le moteur fondamental de toute vie sur notre petite planète bleue, est menacé par les manipulations humaines de l’ionosphère telle la technologie du programme HAARP. Certains scientifiques sont allés jusqu’à déclarer que la haute atmosphère était "vivante", transmettant une sorte de conscience à tous les êtres vivants. Ainsi que l’ont montré les atteintes à la couche d’ozone et d’autres calamités écologiques, il est dangereux de tripoter Mère Nature. Toucher ce système pourrait le détruire, et nous avec. Il semble évident que les avantages présumés ne justifient pas la prise de tels risques pour notre survie, mais pratiquement aucune recherche sérieuse n’a été menée dans les domaines où des problèmes pourraient se poser.

Il s’avère qu’une partie de l’argent alloué au projet de Guerre des Etoiles de Bush sera utilisée pour de la recherche sur des lasers en orbite... Ce que craignent les Russes... ce sont les intentions américaines de mener, en 2003, des expériences scientifiques à grande échelle avec le programme HAARP basé en Alaska. Quatre-vingt-dix députés russes ont signé une motion contre le programme HAARP, déclarant que ces expériences déboucheraient sur des armes capables de rompre les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux et des fusées, de provoquer de graves accidents dans les réseaux électriques et dans les oléo- et gazoducs et d’avoir des effets négatifs sur la santé mentale des populations de régions entières. (Fitrakis, 2002).

L’ionosphère nous protège des radiations mortelles du Soleil et de l’espace. Et maintenant, avec des ondes radio à hautes fréquences on perce des trous dans cette couverture protectrice, prenant le risque de déchirer accidentellement le cocon fragile de l’évolution planétaire et humaine. Les conséquences pourraient être aussi dévastatrices que la panne d’un stimulateur cardiaque individuel. Les forces du chaos pourraient se déchaîner, provoquant des dégâts irréversibles. La Strategic Defense Initiative (SDI) place cette technologie de modification de l’environnement entre les mains du commandement militaire, une perspective bien inquiétante. Comme ils bénéficient d’un mandat pour la sécurité nationale nous ne savons pas exactement ce qu’ils en font et le pire est à craindre. Espérons que cela sera révélé avant qu’il ne soit trop tard pour tout le monde.

Perturbations touchant le climat terrestre

Pour comprendre le fragile équilibre de notre planète il faut voir notre région de l’espace du point de vue astrophysique. Il apparaît alors que la moindre perturbation de notre atmosphère peut provoquer des ruptures dramatiques dans le cours de notre destinée géophysique. Des forces nombreuses et complexes affectent déjà la Terre et en particulier le schéma climatique mondial. À grande échelle, il existe une menace d’ère glaciaire galactique à cause des supernovas, dont les rayons cosmiques génèrent des nuages lorsqu’ils touchent l’atmosphère, la refroidissant. En outre, le système solaire traverse la partie la plus dense de la Galaxie de la Voie Lactée sur un cycle approximatif de 30 millions d’années.

Ce nuage moléculaire dense et les fluctuations des "marées" galactiques de matière lointaine peuvent déstabiliser des comètes dans le nuage d’Oort et les précipiter vers les planètes et le Soleil. Les pluies de petites comètes, appelées "rafales d’impacts" agissent, au fil des millénaires, sur les mouvements des couches de glace et provoquent des extinctions massives. Elles affectent aussi le thermosiphon océanique (apport excessif d’eau douce) qui fonctionne comme un convoyeur océanique global. [cf. Nexus France n° 26, mai-juin 2003 : Réchauffement Climatique et Glaciation].

Cette pompe à sel déplace l’eau chaude vers les zones froides du nord, telles que la côte est des Etats-Unis et l’Europe, et les rend habitables tandis qu’elle rafraîchit les tropiques. Son effondrement aurait pour conséquence l’arrêt de la circulation des eaux chaudes salées du Gulf Stream vers le nord, ouvrant une nouvelle ère glaciaire. Le moteur de l’évolution n’est pas la sélection naturelle, mais le climat et la glace. Au cours des 2,5 derniers millions d’années, les masses de glace ont migré 30 fois depuis la formation de l’isthme de Panama, lequel a bloqué la circulation tropicale entre le Pacifique et l’Atlantique. Ainsi l’eau chaude a été déviée vers le nord, où elle est retombée en neige et a formé les glaciers. Les glaciers avancent ou régressent en fonction des oscillations de la Terre.

Les sécheresses engendrées par ces cycles glaciaires ont fait régresser les forêts tropicales humides, laissant des savanes, et nos ancêtres ont quitté les forêts, développant leur intelligence pour survivre et devenir les humains modernes. L’intelligence et le pouvoir d’adaptation sont devenus nos caractéristiques parce que nous avons dû survivre dans des climats instables. Mille générations seulement sont passées depuis la dernière ère glaciaire en Europe, alors que la population était incroyablement réduite à cause de la rigueur du climat.

Toutes les recherches montrent que le système climatique terrestre comporte des seuils sensibles qui, lorsqu’ils sont franchis, font basculer le système d’un mode de fonctionnement stable à un autre. Comme on l’a vu avec El Nino, les systèmes océaniques contrôlent les climats des continents. C’est aussi ce que révèlent les sédiments des fonds marins, les couches de glace dans les carottages et le recueil des fossiles. Tous indiquent que le convecteur océanique s’est déjà arrêté dans le passé. On a dit que c’était le talon d’Achille de notre système climatique. D’après les chercheurs, la pompe est en ralentissement et pourrait donner le signal d’un changement brusque et catastrophique.[cf. Nexus France n° 26, idem]. Une étude parue dans Nature en 2002 indique que les courants marins des profondeurs refroidis à 20 %, ce qui n’est pas bon signe. La fonte et la fragmentation des glaciers pourraient accélérer le processus.

L’examen des fossiles prouve qu’un effondrement peut se produire en l’espace d’une décennie et se maintenir pendant des siècles. Cette nouvelle notion de modification climatique rapide est aujourd’hui universellement reconnue. De tels déclenchements peuvent engendrer des variations d’environ 10°C en une décennie, suivies d’une stabilisation sur une vingtaine d’années, puis d’un refroidissement d’environ 20°C au cours des vingt années suivantes.

Les variations ont été moins violentes au cours des derniers 8000 à 10000 ans, mais l’instabilité solaire, l’inclinaison de l’axe et le ralentissement des courants pourraient en précipiter le retour. Il en est de même des manipulations humaines du climat par la technologie et les armes à rayons énergétiques.

Une hausse de la température de 3 à 4°C seulement pourrait déclencher une élévation du niveau des mers de l’ordre de 20 m en dix ans ! La poursuite du réchauffement et de la fonte des glaces créerait un cycle où les températures connaîtraient des écarts de 8 à 10°C en 30 ans. Ensuite les courants océaniques se déplaceraient et de nouveaux rythmes chaud/froid s’installeraient. De nouvelles mers de faible profondeur réduiraient les terres émergées. Les plaines agricoles seraient noyées, entraînant une diminution des ressources alimentaires. Environ 30 à 40% des terres seraient perdus et l’humanité serait chassée des vallées inondées sur tous les continents. Le commerce et l’industrie seraient noyés. En 2003, l’EPA [ministère US de l’environnement] prédisait une hausse de 1,7 à 5°C au cours des cent prochaines années. Les mers tropicales se sont réchauffées de 1 à 1,44°C au cours des cent dernières années et les glaciers fondent en de nombreux endroits de la Terre.

La recherche indique aussi que le Soleil lui-même est dans un cycle de réchauffement et pourrait être un facteur significatif du réchauffement de la planète (0,55°C par an depuis 1880). Les premiers résultats semblent montrer que le Soleil émet 0,05% de radiations en plus par décade depuis 1970. Cette augmentation estimée de l’émission solaire implique que des vents solaires plus puissants balayent la haute atmosphère terrestre, provoquant son excitation et son ionisation par des particules chargées.

On peut attribuer au Soleil environ la moitié du réchauffement global de ce dernier siècle. Plus il chauffe, plus il dévie les rayons cosmiques. Si cela persiste pendant des décennies, des fluctuations climatiques spectaculaires pourraient s’en suivre, ainsi que cela s’est produit pendant la "Petite Ere Glaciaire" entre le XIIe et le très froid XVIIe siècle.

L’émission d’énergie par le Soleil varie selon un cycle de 11 ans et a connu deux pointes en 2000 et 2002. Le minimum aura sans doute lieu dans trois ans (La période du minimum solaire n’est pas nécessairement égale à celle du maximum). Ces changements du cycle solaire produisent sur Terre des changements à court terme. Au-dessus des USA, une augmentation de la couverture nuageuse allant jusqu’à 2% a été observée au moment du maximum solaire. La température de la haute atmosphère est deux fois plus élevée lorsqu’elle est bombardée par un maximum d’émission solaire. Durant ces périodes, l’atmosphère se dilate et s’étend dans l’espace jusqu’à atteindre et dépasser l’orbite de la Station Spatiale Internationale. Cela va jusqu’à augmenter la traînée de la station et nécessite de fréquents ajustements d’orbite utilisant la poussée des navettes.

Il est récemment devenu possible de mesurer l’activité solaire plus facilement et avec plus de précision en dehors de notre atmosphère. Nous pouvons maintenant mesurer l’énergie solaire totale à toutes longueurs d’ondes et en déduire une résultante appelée Total Solar Irradiance (TSI) [éclairement énergétique total de rayonnement solaire]. Il y a un débat sur la question de savoir si les indications d’augmentations actuelles constituent une tendance à long terme ou une aberration passagère.

Dans une étude récente, les données de six satellites en orbite terrestre à diverses périodes durant 24 années ont été analysées. Richard Willson, un chercheur de la Columbia University qui est affilié à la National Academy of Sciences et à la Goddard Institute for Space Studies, a déniché, dans une série de données, des erreurs qui ont empêché que des études précédentes fassent apparaître la tendance. La nouvelle étude montre que le TSI a augmenté d’environ 0,1 % en 24 ans. Cela n’est pas suffisant pour provoquer des changements climatiques significatifs, affirment Willson et ses associés, sauf si ce taux de changement était maintenu pendant un siècle ou davantage. Sur des laps de temps aussi courts que quelques jours, le TSI peut varier de 0,2 % à cause du nombre et de la taille des taches qui traversent la surface du disque solaire. (Britt, 2003). Cependant les chercheurs estiment que cette variation, dont on dit qu’elle ne peut influencer le climat, est égale à la quantité totale d’énergie utilisée globalement pendant un an par l’humanité.

Manipuler l’ionosphère

Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.

Des spéculations récentes ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [Ndt : traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des "cheveux d’anges" récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.

En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.

C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un "brouillard" électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.

Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des "réchauffeurs d’ionosphère" sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc t-il as déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les "armes non mortelles" qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en oeuvre. La "guerre météorologique" implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent "posséder le temps" et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales. De récentes informations scientifiques ont déterminé que HAARP est maintenant entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une "guerre de l’environnement" parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre... La Dr Rosalie Bertell confirme que "les scientifiques militaires américains... travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées... " Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes "non conventionnelles" utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une "guerre du temps", indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà "maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980". (Chossudovsky, 2000).

Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).

HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit "d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense". Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de "modifications ionosphériques induites" en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).

HAARP et le programme "Joint Vision 2020"

Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en oeuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux "Joint Vision 2020" comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision 2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.

Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD (ministère de la défense) et les Chefs d’Etat Major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : En 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.

HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP sera utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.

Expériences de rebond lunaire avec HAARP

Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, "Defense News" rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).

Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3000000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales. Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.

Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz...

Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre ? (Cramer 2001).

La voix de la planète : la résonance de Schumann et ses rapports avec l’être humain

Les fréquences RS sont en rapport mathématiques sans toutefois être des harmoniques exactes. Peut-être est-il plus approprié de considérer la RS comme étant la "Voix .de la Planète", plutôt que comme le battement de son cœur, qui se situe autour des 10 Hz (Lonetree). Il y a une relation harmonique entre la Terre et notre corps/esprit. Le champ isoélectrique de basse fréquence de la Terre, le champ magnétique terrestre et le champ électrostatique qui émane de nos corps sont étroitement imbriqués. Nos rythmes internes interagissent avec les rythmes externes, affectant notre équilibre, nos schémas REM [rapid eye mouvement], notre santé et notre concentration mentale. Les ondes RS participent sans doute à la régulation de notre horloge interne, agissant sur le sommeil et les rêves, les états d’éveil et les sécrétions hormonales.

Les rythmes et pulsations du cerveau humain reflètent les propriétés de résonance de la cavité terrestre qui fonctionne comme un régulateur d’ondes. Cette vibration naturelle n’est pas une valeur fixe mais la moyenne de plusieurs fréquences, de même que les EEG sont des lectures moyennes q’ondes cérébrales. Comme ces dernières, la RS fluctue en fonction de la situation géographique, de la foudre, des éruptions solaires, de l’ionisation atmosphérique et des cycles diurnes.

Le physicien finlandais Matti Pitkanen pense que la vie consciente est même influencée par les champs magnétiques interplanétaires et interstellaires. Il a construit un modèle mettant en corrélation les phénomènes psy et le temps sidéral qui désigne comme optimale une fourchette de temps se situant autour de 01h30. [Ndt : Le temps sidéral en un lieu est l’angle horaire du point vernal en ce lieu. Ce temps n’a donc rien à voir avec l’heure locale ni le temps solaire vrai]. Il y implique le flux magnétique provenant du centre galactique combiné avec un moindre niveau de bruit du champ géomagnétique. L’avancée de ses recherches le conduit à penser que les micro-ondes et les ondes radio jouent un rôle important dans le bio-contrôle, dans l’homéostasie et dans les interactions mentales à distance. Pitkanen suggère que, d’une certaine manière, le système corps/esprit fonctionne comme un bio-ordinateur quantique, dirigeant le couplage des mécanismes de verrouillage moléculaire. Il implique les plasmons comme base des circuits neuraux, et les champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés - dont les noeuds, les liens et les torsions sont entraînés par les forces géomagnétiques - comme générateurs de changements dans la polarité magnétique.

"Allumer" [kindling] est un terme utilisé en particulier à propos de l’entraînement des .neurones dans le cerveau. Ceux-ci sont animés en schémas globaux cohérents qui produisent des ondes plus larges à travers une plus grande surface du cerveau. Il semble évident qu’en état de méditation profonde, lorsque les ondes des rythmes alpha et thêta parcourent le cerveau entier, il devient possible que l’être humain et la planète entrent en résonance.

C’est un transfert d’énergie et d’information qui est "incrusté’" dans un champ mais qui n’est pas le champ. Peut-être que la planète communique avec nous par ce langage premier des fréquences. Ceci expliquerait pourquoi les transes et les guérisons [par magnétisme] semblent se produire dans les fréquences RS primaires associées aux rythmes alpha.

De nombreuses preuves anthropologiques montrent que les humains se sont intuitivement synchronisés, au cours de leur histoire et depuis la nuit des temps, avec la résonance planétaire. Des traces transculturelles révèlent une variété de pratiques rituelles destinées à consacrer cette harmonisation avec le champ planétaire.

Peut-être que les activateurs les plus évidents de ces états de transe sont les tambours chamaniques et les danses extatiques qui semblent avoir existé depuis 50 000 ans. La lumière pulsante ou scintillante est un autre moyen permettant d’obtenir le même résultat. D’autres exemples se retrouvent dans les religions juive et musulmane, dont de nombreux pratiquants s’inclinent et se balancent de façon rythmique en psalmodiant des prières ou des textes sacrés.

Ce phénomène de transe pourrait servir à engrammer des textes à un niveau plus profond et à créer des "expériences" accompagnant un endoctrinement conceptuel. Cela pourrait aussi être lié de quelque façon aux gestes (mudra) et paroles hypnotiques et donc à des personnalités charismatiques ou "mana".

Dans leurs chroniques de la formation des personnalités, Mead et Bateson citent une technique transmise aux enfants balinais, que leur culture utilisait intuitivement pour harmoniser leur communauté. N’importe qui peut faire de même et vous êtes peut-être en train de le faire inconsciemment. Assis sur une chaise, vous déplacez le pied de manière à ce qu’il ne pose que sur les coussinets métatarsiens ; en trouvant le bon angle de pose, vous constaterez que votre jambe entière se met à vibrer ou osciller verticalement. Lorsque cette oscillation sera proche des fréquences RS, la transe sera facilitée.

Les enseignants et les parents sont sans cesse agacés par des enfants turbulents et leur disent de se tenir tranquilles. Cependant en faisant rebondir leurs jambes et en balançant les bras, ils utilisent un moyen naturel de stimuler leurs corps. Et ceci pourrait bien être le fondement de nombreuses expériences cérémonielles, telles que les guérisons. Le corps commence à bouger et les mains à trembler et, lorsqu’il n’y a pas de contrainte ou d’inhibition, le corps entier entre dans un mouvement de résonance qui est le reflet de l’intention de guérison. Par exemple, dans les danses de guérison des Bushmen du Kalahari, des chamans investis de l’énergie vitale entrent en éveil, deviennent chauds et se mettent à trembler. Lorsqu’ils empoignent une autre personne et l’enlacent, l’autre commence aussi à trembler et peut à son tour en enlacer une autre. L’une après l’autre, toutes commencent à vibrer avec cette énergie pulsante. Cependant (comme pour la médecine chinoise), avant que cela n’atteigne notre culture ou d’autres cultures contemporaines, ce phénomène subit une forte contrainte et s’exprime par des pratiques plus subtiles, telle que "l’entraînement thérapeutique" (le rapport d’empathie entre le médecin ou guérisseur et son patient).

N’importe qui peut induire intentionnellement cette fréquence d’énergie de guérison et il n’existe pas de méthode unique idéale. C’est une capacité très naturelle que nos corps sont capables d’activer pour vibrer à l’unisson avec la pulsation de vie. L’objectif de ce mouvement est de sortir des limitations et des contraintes du mental individuel isolé et de se connecter à quelque chose de plus vaste. On peut à cela donner plusieurs noms, mais cet "Esprit plus vaste" nous relie les uns aux autres et à la Nature, manifestant l’axiome métaphysique : "Ce qui est en Bas est comme ce qui est en Haut". Cette interconnexion dynamique établit le lien entre corps/esprit, galaxie/atome et sensation/stimulus en une boucle esprit-dominant-matière, où le sujet et l’objet ne font qu’un, où la conscience galactique et la conscience humaine sont effectivement unies. C.M.Anderson, MD (1998) de Harvard décrit un phénomène dont l’expérience est familière mais mal comprise qu’il nomme "Persistant Oscillatory Sound" (POS) [Son Oscillatoire Persistant]. Beaucoup de gens observent ce "son" généré à l’intérieur, particulièrement en cas de maladie ou de déshydratation, car il semble alors devenir plus fort. Cela ressemble à un bourdonnement d’insecte. Anderson ne l’attribue pas seulement au REM (rapid eye mouvement) ou à l’état de rêve et de désordre de stress post-traumatique (PTSD), mais au rythme normal alpha de 10Hz.

Anderson parle des effets dérangeants de la lumière et des sons qui pourraient provenir d’une perte d’accoutumance due à la déstabilisation de la RF (formation réticulaire), débouchant sur la peur et/ou la rage. Aussi, l’histoire des traumatismes et de l’abus de stupéfiants est fortement associée à l’asymétrie de la fonction hémisphérique. Les structures du lobe temporal, telles que l’hippocampe et l’amygdale cérébelleuse, sont particulièrement sensibles aux effets des mauvais traitements et traumatismes de l’enfance.

Anderson subodore que le son oscillatoire pourrait indiquer une alternance ou cycle rapide de l’attention entre les hémisphères gauche et droit, rétrogradant la rythmicité normalement constante de 10 Hz du système olivo-cérébelleux. Cet effet auditif oscillatoire pourrait fonctionner comme un moteur auditif L’effet de rétrogradation pourrait indiquer une inondation de l’hémisphère gauche par des matériaux provenant du droit non inhibé qui assume la concentration consciente primaire. Ceci, avec les fluctuations phasiques du S-net (réseau sérotonergique du groupe des cellules neurales) et de la PGO (protubérance genouillée occipitale) non inhibée, prépare le terrain au brusque surgissement de l’état SOC (état critique auto organisé) et de la période de rêve éveillé.

Anderson fait allusion aux "rêves éveillés en tant que voyages de guérison à travers l’hyperespace fractal des souvenirs émotionnellement engrangés par la mémoire enfantine... " " Chez l’adulte, le rappel d’expériences traumatisantes de l’enfance, dû à l’immaturité des structures limbiques au moment des traumatismes, pourrait nécessiter la stimulation électrique ou une activité intensive de type PGO présente pendant l’état onirique. La rupture accoutumée des processus normaux du sommeil par le stress associé aux conflits, à la privation, au divorce, aux maltraitements infantiles, à la négligence et à la toxicomanie perturbe la fonction réparatrice naturelle du processus phasique du REM". (1. Miller et G. Swinney, 2001)

Champs Electro-Magnétiques, conscience et ADN

Il est essentiel de poursuivre la recherche sur ces relations électromagnétiques, car peut-être que la survie de notre espèce psychophysique en dépend. Elles affectent notre mental, la structure génétique et cellulaire de notre corps, nos cycles de sommeil et de rêve, nos émotions et peut-être même de notre esprit. Il faut poursuivre la surveillance et le relevé des effets de ces actions sur l’atmosphère et de leur influence potentielle sur l’ionosphère et la RS, et donc sur le cerveau humain et la santé. Nous approchons de la fin d’un cycle de taches solaires et devrions consacrer un cycle complet de 11 années à récolter des résultats précis de données, comme le suggérait Hainsworth (Miller & Miller, 2002-2003).

Divers chercheurs et physiciens sont en train de rassembler des données pertinentes sous les auspices du Journal of Non-Local and Remote Mental Interactions (JNLRMI) (voir site Internet http://www.emergentmind.org), édité par le scientifique Lian Sidorov. Une des hypothèses majeure de ce groupe est que les champs EM extérieurs au corps sont cruciaux pour notre conscience. Matti Pitkanen a mis au point un modèle physique appelé Topological Geometrodynamics (TGD), qui met en lumière la relation étroite entre la physiologie humaine et la RS ainsi que d’autres schémas ELF et électromagnétiques.

Pitkanen pense que le champ magnétique terrestre n’est pas le seul facteur déterminant de la vie consciente, il cite aussi les champs interplanétaires et interstellaires. Ses démonstrations font référence à l’existence de canaux de flux magnétique, composante du champ magnétique mondial, qui se comporte comme un dipôle électrique. Une large gamme d’ondes EM, en particulier les micro-ondes et les ondes radio, joue probablement un rôle clef dans l’homéostasie, dans l’ensemble des interactions mentales à distance entre les cellules et d’autres structures et la représentation sensorielle, ainsi que dans les télé-interactions mentales à la fois dans et hors du corps. Il explique que le niveau de bruit du champ magnétique terrestre doit être assez bas pour permettre l’ESP (la perception extrasensorielle). Il y a plusieurs décennies, Alan Frey avait évoqué des notions de champ similaires, désignant en particulier ta gamme des micro-ondes. Ces champs EM ne sont que corrélatifs à la conscience. Toutefois, le modèle TGD permet d’assigner au champ corporel de quelqu’un une identité quantique de champ topologique. Pitkanen suggère aussi que ces champs et ondes ont une influence lorsque les systèmes biologiques exécutent des processus quantiques analytiques. Son approche biophysique indique que les circuits neuraux et les molécules sont liés par des mécanismes de verrouillage par ce processus de circulation magnétique (champs magnétiques dipolaires topologiquement quantifiés).

Pitkanen considère même le champ magnétique terrestre comme une interaction de champ magnétique dipolaire quantifié de nouage, de liaison et de torsion complexe. Le TGD perçoit le cerveau et le système nerveux comme l’organe sensoriel de notre moi électromagnétique étendu, qui possède une échelle de grandeur au moins égale au diamètre terrestre. Il ajoute que les phénomènes psi et les guérisons à distance pourraient impliquer le transfert de fréquences électromagnétiques spécifiques par les "wormholes" [Ndt : notion propre à la cosmologie, litt. "trous de vers" ; voir théorie des univers jumeaux] à longueur de Plant et par les effets frontières postulés par le TGD, ce qui permettrait le transfert quasi-instantané de l’information. L ’hypothèse du canevas sensoriel magnétique (MSC) décrit un mécanisme permettant de "partager les qualia" [Ndt : "qualia" = aspects phénoménaux de notre vie mentale ; "quale" au singulier] associés à des points distants sur la sphère géomagnétique, essentiellement une forme d’imbrication cognitive entre l’opérateur et la cible... Un des avantages évidents du TGD par rapport à d’autres modèles de transmission subtile d’énergie est que les champs EM ne sont pas directement portés de l’émetteur à la cible, mais sont générés simultanément en chaque lieu par un courant (géométrique) de vide : ainsi demeurent-ils cohérents en évitant le paradoxe de la non atténuation sur la distance... L’illusion de notre localisation est renforcée par les données que nous apportent nos sens, c’est-à-dire les perceptions auxquelles nous sommes accoutumés à prêter attention. (Sidorov, 2002).

D’autres recherches suggèrent que l’interaction fondamentale des champs externes et internes constitue la bonne voie. Joseph Jacobson (2002), du MIT, a trouvé un moyen de connecter et déconnecter des cellules avec les ondes radio. Son équipe a aussi "dézippé" et manipulé l’ADN avec des impulsions de radiofréquences. Le même procédé fonctionne aussi avec les protéines et celles-ci gouvernent presque tous les processus chimiques cellulaires.

D’autre part, le physicien Peter Gariaev a proposé un génome fondé sur les ondes, dont le canal d’information principal est le même pour les biophotons et les ondes radio (cf. http://www.emergentmind.org). En 1973, Miller et Webb décrivirent l’ADN comme un projecteur holographique (cf. Embryonic Holography, 2002). En d’autres termes les gènes sont encodés et se manifestent via la lumière et les ondes radio, ou l’holographie acoustique (cf. Miller, Miller et Webb : Quantum Bioholography, 2002). Des schémas d’interférence délocalisés créent des champs d’étalonnage (schémas directeurs) pour l’organisation spatio-temporelle de notre corps. Le système fonctionne comme un bio-ordinateur à ondes. L’ADN peut aussi fonctionner comme un cristal liquide colloïdal émettant une faible lumière de type laser qui peut être convertie en un signal électroacoustique.

Biosystèmes, Résonance de Schumann et perceptions extra sensorielles Pour conclure, Miller et Miller, ainsi que d’autres, postulent que :

Des champs électromagnétiques complexes déterminent l’organisation de tous les systèmes biologiques. Fondamentalement, nous sommes des êtres électromagnétiques plutôt que chimiques. L’interaction ondulatoire est la clef qui détermine la structure biologique et son fonctionnement optimal. Les biosystèmes sont sensibles aux champs électromagnétiques naturels et artificiels. Les perturbations des champs de l’environnement peuvent induire des changements dans les organismes que ces champs informent. Les fréquences et amplitudes de champs affectent notre état bio-dynamique.

Les fréquences ELF de la Résonance de Schumann sont intimement liées à celles des ondes cérébrales humaines. Des changements induits naturellement ou artificiellement dans la RS pourraient affecter de manière subtile, voire forte, la génération des ondes cérébrales. En particulier, cela pourrait conduire à des changements de schémas de fréquences de résonance et aux phénomènes qui en résultent tels que l’homéostasie, les REM, la psi et la guérison.

Pendant une dizaine d’années, Robert Beck... fit des recherches sur l’activité des ondes cérébrales des guérisseurs de toutes cultures et religions, (il énumère les médiums, les chamans, les radiesthésistes, les guérisseurs chrétiens, les voyants, les lecteurs d’ESP les praticiens de Kahuna, Santeria, Wicca et autres), qui, indépendamment de leurs systèmes de croyances, manifestaient "des signatures EEG quasi identiques" au moment de leurs actions de "guérison" : une activité d’ondes cérébrales de 7,8 à 8 Hz, qui durait d’une à plusieurs secondes et qui était "synchronisée en phase et en fréquence avec les micro-pulsations géo-électriques de la Terre ; la RS". (Sidorov, 2001). Les cristaux liquides (l’ADN, les ventricules cervicaux et les structures cellulaires) du corps humain peuvent fonctionner comme des antennes qui détectent et décodent les signaux ELF globaux et locaux. Beal (1996) suggère que les cristaux liquides (qui sont des éléments intrinsèques des membranes cellulaires) agissent comme des mécanismes de détection, amplification et mémorisation pour les schémas ELF EM de l’environnement. Les protéines tendent à s’orienter selon le EMF (champ électromagnétique) résonnant à 10 Hz et seraient donc très sensibles aux changements d’ELF dans cette gamme. Un champ d’ondes cohérent peut émaner de la matrice de cristaux liquide (LC) du corps.

La structure propre et l’organisation des tissus vivants sont cependant gouvernées par la molécule clé qu’est l’ADN. Le système génétique (qui, pour être plus précis, est constitué d’une fonction de translation equidirectionnelle qui peut partir aussi bien de l’ADN de l’ARN que de la protéine) s’avère être un code complexe, multidimensionnel avec des matériaux (nucléotide) à la fois locaux (codon) et globaux (contexte) et des paramètres de champs (hologramme EM), tous interdépendants et également sujets aux influences externes de l’environnement. (Sidorov, 2002).

Il existe un rapport étroit entre les désordres du comportement humain et les périodes de perturbations solaires et magnétiques.

Réciproquement, des études ont montré que des sujets qui vivent assez longtemps isolés des rythmes électromagnétiques développent des irrégularités croissantes et des rythmes physiologiques chaotiques. Ceux-ci sont rétablis de façon spectaculaire par l’intervention d’un faible champ électrique de 10 Hz. Les premiers astronautes en furent victimes jusqu’au moment où des générateurs RS furent installés dans les vaisseaux spatiaux.

Les anomalies géomagnétiques (tensions tectoniques, earthlights, perturbations du champ géomagnétique) peuvent induire certaines formes de perception paranormale, telles que des hallucinations visuelles et auditives, et les TLT (transitoires du lobe temporal, ou attaque légère).

Aussi, un des effets de la méditation est de" "calmer l’esprit" c’est une méthode permettant d’installer le "libre cours" (ou périodes de silence thalamique) et d’être entraîné par les rythmes géophysiques naturels. Cette forme d’accord ou de "magnéto-réception" est relayée par la glande pinéale (30% de ses cellules sont sensibles au magnétisme) et les tissus organiques contenant de la magnétite.

Persinger (1989) fait observer que l’activité profonde du lobe temporal existe en équilibre avec la condition géomagnétique globale. Lorsqu’il y a une brusque diminution de l’activité géomagnétique, il semble se produire une majoration des processus qui facilitent la perception psi, particulièrement la télépathie et la clairvoyance. Les augmentations de l’activité géomagnétique peuvent réduire le niveau de mélatonine de la glande pinéale et contribuer à réduire les seuils d’attaques corticales. En fait, la mélatonine est en relation aVec les désordres du lobe temporal tels que les dépressions et les attaques. (Krippner 1996).

Les conditions ELF globales optimales (nuit calme, faible activité solaire, faible pollution EM) peuvent faciliter les perceptions paranormales, y compris psi telles que ESP, vision et guérison à distance.

La psi est toujours présente dans l’espace et le temps, attendant d’être activée par une crise, par l’émotion ou par des paramètres de stimulus optimaux en laboratoire. L’activité. géomagnétique est susceptible d’affecter la capacité de détection de cette information par le cerveau, particulièrement les chemins neuraux qui facilitent la consolidation et l’accès conscient à cette information. En l’absence de cette activité géomagnétique, l’éveil au stimulus psi serait moins probable et les "capacités de réserves latentes" du cerveau ne seraient pas utilisées. (Krippner 1996).

Sidorov (2001) et d’autres ont suggéré que l’intention humaine fonctionne comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle, peut-être dans la gamme des fréquences ELF électromagnétiques. La synchronisation cérébrale de l’émetteur et du récepteur avec la RS facilite la psi ou "l’entraînement thérapeutique", amplifiant, ré-émettant des formes d’ondes cohérentes dérivées de l’environnement, imitant le schéma d’ondes de l’environnement. Sidorov avance l’hypothèse suivante : Les ondes cérébrales (particulièrement dans la gamme alpha) peuvent être transmises via le système périneural (ou via l’excitation de Frohlich) vers n’importe quelle zone éloignée du corps, et même vers des organismes adjacents, par les ondes EM ELF Ces fréquences peuvent être amplifiées par des ondes RS voisines ou par un mécanisme de feedback typique des chemins physiologiques du corps (semblables aux cascades immunologiques et neuro-endocrinologiques). À leur tour ces fréquences de base peuvent réactiver les processus de guérison interrompus, favoriser la croissance, accélérer les réponses immunitaires et en général provoquer le démarrage des fonctions inhérentes aux tissus corporels en "rééquilibrant ses énergies" (selon la médecine orientale) ou (dans la terminologie de Real) en reconfigurant l’orientation des cristaux liquides des composants des membranes cellulaires et en déclenchant ainsi des réponses intracellulaires spécifiques. (Sidorov, 2001).

Nous émettons l’hypothèse, avec Pitkanen et Sidorov, que la RS pourrait être le substrat d’un mécanisme de perception extrasensorielle de type radar commun à tous les êtres vivants. De même que l’eau bondissant sur les rochers ou sur tous objets submergés, cette fréquence non-spécifique est absorbée et ré-émise en schémas interférentiels uniques propres à chaque objet rencontré.

Ce schéma d’interférence est un composite de propriétés externes et internes, puisque les atomes et molécules les constituants ainsi que leur assemblage global retransmettent tous cette énergie selon leurs configurations spécifiques. Non seulement cela, mais les "ondes de sonde" peuvent être modulées en fréquence et en forme de manière intentionnelle afin de fournir une information spécifique (schémas d’interférence). Décodées par le cerveau, elles reviennent quasi instantanément "sur le dos" de la RS. Une fois reprises, le cerveau décode le schéma. Dans cette transformation de type Fourier, l’information est traduite en données conscientes, de façon similaire à d’autres processus sensoriels.

Réciproquement, des effets spécifiques peuvent être empreints comme bio information et "produire une action mystérieuse à distance" lorsque le signal arrive à destination. Sous de bonnes conditions globales (préalables), le schéma peut, à son tour, éviter la dissipation usuelle et s’accoupler à l’onde stationnaire dominante (état de conscience") qui est saisie et portée par la RS.

L’intention mentale peut fonctionner comme une fenêtre variable de transmission/réception dans l’échange d’information extrasensorielle. Accordée à la RS, elle peut porter à des cibles lointaines une telle information et fonctionner comme un interface primitif de type radar. Tout ceci et d’autres mécanismes dépend de ce que les fréquences RS demeurent dans leur gamme médiane, en harmonie avec nos ondes cérébrales.

À l’issue de près de huit décades d’EEG et autres études d’imageries du cerveau, nous sommes contraints d’admettre que nous ne pouvons toujours pas préciser avec certitude d’où proviennent les voltages de l’EEG. Becker ; 1985, pg.88)...

Il est concevable que le système périneural selon Becker ou la matrice LC de l’organisme (incluant, sans limitation, les tissus conjonctifs, les membranes cellulaires et IWN) pourrait fonctionner comme un réseau de récepteurs sensoriels du corps entier pour le canevas de signaux sensoriels magnétiques de Pitkanen, avec encodage spécifique de schémas d’excitation pour différents types d’information... Les réseaux de cristaux liquides omniprésents du corps et leurs possibilités de configurations quasi infinies en font des candidats de premier plan pour constituer les récepteurs sensoriels primaires que la parapsychologie espère trouver.

On peut même concevoir que les propriétés de conjugaison de phase de l’ADN (Popp et Chang, 1998) leur confèrent un fonctionnement d’antenne multi-mode, modifiant leurs fonctions selon les champs de signaux environnants et peut-être en agissant non seulement comme un programme régulateur mais aussi un élément de perception "extrasensorielle". (Sidorov, 2002).

HAARP : une menace pour l’humanité et la planète

Les humains que nous sommes possèdent des potentialités extraordinaires que nous avons à peine commencé à étudier et encore moins à comprendre. Des dons de créativité, d’intuition et des talents imprévisibles ou émergents pourraient se stabiliser chez les générations futures. On peut espérer que nous pourrons comprendre notre provenance d’un environnement essentiellement électromagnétique et développer notre potentiel de guérison, de croissance et de communication à distance. Les sommes d’argent faramineuses ont été dépensées pour HAARP et les projets associés (tels que "Star Wars", programme de défense antimissiles), sans que le moindre budget complémentaire soit affecté à l’étude des dangers potentiels. Le coût en dollars et en vies humaines pourrait être stupéfiant comparé aux avantages supposés que pourraient offrir de tels programmes. Durant des millénaires, la RS a donné la mesure régulatrice

Lire la suite

11/02/2010 | Lien permanent

Les Changements cosmiques

Changements Cosmiques
Source : http://nousnesommespasseuls.xooit.com/t4480-Que-pensez-vous-qu'il-se-passera-en-2012-%3F.htm?start=100

Phénomènes Stupéfiants Annoncés par des Scientifiques Russes
(Par Drunvalo (spiritofmaat.com) traduit de l'anglais par Sabine Leurquin)

Des choses étranges se produisent à la fois dans l'espace extérieur et intérieur. Des scientifiques en Russie, plus particulièrement un homme nommé Dmitriev, ont découvert que le Système Solaire, le soleil et la vie elle-même subissent des mutations de manière totalement exceptionnelle.

Le Soleil
Commençons par le Soleil. Le Soleil est le centre de notre Système Solaire et toute la vie qui se trouve sur cette Terre provient du Soleil. S'il n'y avait pas de Soleil, nous ne serions pas en vie. C'est un fait purement scientifique. Et donc n'importe quel changement qui se produit dans ou sur le Soleil affectera en fin de compte toute personne vivante.

L'activité solaire durant le dernier cycle de taches solaires a été plus important que tout ce qui a été vu auparavant. Cependant, tous les astronomes à qui j'ai parlé, à l'exception d'un seul, ont insisté pour affirmer que tout était "normal". Une seule personne, qui travaillait à la NASA, a prétendu que ce qui se passait au niveau du Soleil était absolument incroyable. Elle a également dit qu'elle n'était pas "autorisée" à en parler. Mais elle a parlé malgré tout, parce qu'elle a estimé que le monde avait besoin de savoir, mais en même temps elle a demandé que je ne parle pas publiquement de ce qu'elle avait dit. Une sorte de cercle vicieux. En 2000 je crois, de nombreuses taches solaires encerclant le soleil sur les deux latitudes 19.48 nord et sud. Certains d'entre vous verront la signification de la quantité d'énergie émise à cet endroit précis.

Analysons la question évidente : Qu'est-ce qui est normal ?
Pour les scientifiques, le concept "normal" est construit en faisant une étude à long terme puis en calculant la moyenne des résultats. Mais dans le cas du Soleil, nous ne l'étudions que depuis 100 ans - et ce n'est qu'à partir de la deuxième moitié du 20ème siècle que l'étude a été réalisée avec des instruments qui pourraient être considérés comme particulièrement précis. Et ainsi, puisque le Soleil est âgé d'au moins 4.5 milliards d'années, notre étude de 100 ou 50 ans équivaut à raconter la dernière ou des deux dernières secondes de la vie d'un homme ou d'une femme qui a vécu 100 ans. Considéreriez-vous cette biographie comme étant fiable ?

Nous ne savons en réalité rien du Soleil qui nous permettrait de dire ce qui est "normal".
Nous savons, cependant, que le champ magnétique du Soleil a changé ces 100 dernières années. Il existe une étude réalisée par le Dr Mike Lockwood des Laboratoires Nationaux de Rutherford Appleton, en Californie. Dr Lockwood a examiné le Soleil et rapporte que depuis 1901 la force de tout le champ magnétique du Soleil s'est accrue de 230 pour cent. Personne ne sait ce que cela signifie vraiment ; c'est seulement une observation.
Et nous savons qu'une partie de l'activité solaire durant ce dernier cycle était plus grande que tout ce qui n'a jamais été enregistré auparavant. Mais nous ne savons pas ce que cela signifie non plus.

Le Système Solaire
Puis le mois dernier, arrive une information de Russie, de l'Académie Nationale Russe de Science, en Sibérie, où les scientifiques sont arrivés à la conclusion que nous nous sommes déplacés dans un secteur de l'espace qui est différent et a un niveau d'énergie beaucoup plus élevé.

Les Russes annoncent des changements enregistrés dans l'espace que l'on n'a encore jamais vus auparavant. Nous ne pouvons pas vérifier cette information "à coup sûr," mais nous avons que le corps scientifique qui l'annonce est réel et que le Dr Dmitriev est à la tête de ce corps. J'ai me suis donc rendu personnellement à l'Académie Nationale Russe de Science, à Moscou.

En parlant au nom de l'Académie en Sibérie, le Dr Dmitriev dit que les effets énoncés ci-dessous ont été observés (ce ne sont pas des citations du Dr Dmitriev, mais des extraits de son rapport).

Modification du front de l'Héliosphère
Le Soleil a lui aussi un champ magnétique et ce champ magnétique forme un "œuf" autour du Système Solaire que l'on appelle "héliosphère". L'héliosphère est en forme de larme, la partie longue et mince de la goutte pointant dans la direction opposée à celle dans laquelle nous voyageons.

Les Russes ont examiné le front de cette héliosphère et ils y ont observé une énergie de plasma rayonnante et animée. L'héliosphère du Soleil avait habituellement une épaisseur de 10 unités astronomiques (une unité astronomique correspond à la distance de la Terre au Soleil, soit approximativement 93 millions de milles 150 millions de km) - 10 unités astronomiques représentaient l'épaisseur "normale" de cette énergie rayonnante que nous avions l'habitude de voir dans notre Système Solaire.
Le Dr Dmitriev dit qu'aujourd'hui cette énergie rayonnante a une épaisseur de 100 unités astronomiques.

L'Académie Nationale Russe de Sciences ne nous donne pas de chronologie, mais le changement entre ce qui était connu et accepté et son état actuel représente une augmentation de 1000 pour cent.
Et les Russes prétendent que cette modification du soleil modifie la manière dont les planètes fonctionnent et la forme de vie qu'elles pourraient héberger.
Ils rapportent également, mais ne l'expliquent pas - que la spirale d'ADN elle-même change. Ils ont le sentiment que expansion de l'héliosphère nous entraînera finalement vers un nouveau niveau d'énergie, qu'il y aura probablement une expansion soudaine des longueurs d'ondes harmoniques de base que le Soleil émet à mesure qu'il émet de l'énergie et que cette augmentation d'émissions énergétiques changera la nature basique de toute matière dans le Système Solaire.

C'est une déclaration assez hardie, mais elle est argumentée de données :

Les atmosphères de cinq planètes et de la Lune de la Terre changent.
Lorsque les Etats-Unis ont atterri sur la Lune en 1969, il n'a trouvé aucune atmosphère. Depuis lors, la Lune de la Terre s'entoure d'une atmosphère qui n'était pas là auparavant, constituée d'un composé auquel le Dr Dmitriev se réfère comme du "Natrium". Cette nouvelle atmosphère a maintenant une épaisseur de 6,000 kilomètres.
L'atmosphère de la Terre forme du gaz HO dans les niveaux supérieurs, gaz qui n'était pas là auparavant. Il n'existait tout simplement pas dans les quantités qu'on trouve maintenant. Les Russes disent que ceci n'a pas de rapport avec le réchauffement de la planète et que cela n'a pas de rapport non plus avec les gaz CFCS ou les émissions de fluorocarbone ou quoique ce soit d'autre. Cela apparaît tout simplement .
L'atmosphère Martienne devient considérablement plus épaisse qu'elle ne l'était auparavant. La sonde spatiale Observer envoyée sur Mars en 1997 a perdu un de ses miroirs, ce qui a entraîné sa chute. Cet accident s'est produit parce que l'atmosphère était deux fois plus dense que la NASA ne l'avait calculé. En fait, le vent qui soufflait sur ce petit miroir était si élevé qu'il l'a complètement arraché.

D'après les Russes, les atmosphères de Jupiter, Uranus et Neptune changent aussi, mais ils n'ont pas donné plus d'explications.
La brillance des planètes change.
La brillance générale de Vénus est nettement plus grande.
La charge énergétique de Jupiter est devenue tellement élevée qu'il y a véritablement un tube de radiation ionisante visible qui s'est formé entre la surface de Jupiter et de sa lune Io.
En fait vous pouvez voir le tube d'énergie lumineux sur les photographies prises récemment.
Uranus et Neptune deviennent aussi plus brillants.
Les champs magnétiques changent.
Le champ magnétique de Jupiter a plus que doublé.
Le champ magnétique d'Uranus change - aucune explication.
Le champ magnétique du Neptune augmente.

Ces trois planètes deviennent plus brillantes et leurs qualités atmosphériques, disent les Russes, changent - mais ils n'expliquent pas ce que cela signifie.
Ce qui est vraiment étonnant, puisque certaines personnes ici sur la Terre ont attendu et prédit un basculement des pôles depuis quelques temps maintenant, est que les Russes annoncent que Uranus et Neptune semblent avoir subi des basculement récents des pôles. Lorsque la sonde spatiale Voyageur II est passée à côté d'Uranus et de Neptune, les pôles magnétiques apparents du Nord et du sud ont été considérablement déplacés de l'endroit où se trouvait le pôle rotatif selon des enregistrements précédents. Dans un cas, c'était un différence de 50 degrés et dans l'autre cas la différence était d'environ 40 degrés.

Changements de la Terre
Parlons de la Terre maintenant.
Les Russes annoncent deux autres faits :
Sur la Terre, l'activité volcanique générale a augmenté de 500 pour cent entre 1875 à 1975, et l'activité sismique a augmenté de 400 pour cent depuis 1973.
Docteur Dmitriev affirme qu'en comparant les années 1963 à 1993, le nombre total de catastrophes naturelles - ouragans, typhons, glissements de terrains, raz-de-marée, etc. - a augmenté de 410 pour cent.

Le champ magnétique de la Terre a diminué. Cette diminution a en réalité commencé il y a 2000 ans mais la vitesse de la diminution a soudainement augmenté il y a 500 ans. Maintenant, depuis ces 20 dernières années à peu près, le champ magnétique est devenu imprévisible. Les cartes aéronautiques du monde - qui permettent aux avions de se poser avec le système de pilotage automatique - ont dû être révisées à l'échelle mondiale pour permettre aux systèmes de pilotage automatique de fonctionner. (Ceci est très facile à vérifier. Regardez simplement une carte aéronautique d'avant 1990 de n'importe quel aéroport de la ville et comparez-la ensuite à une carte actualisée.)

À la fin de l'année dernière, la calotte glacière arctique a complètement fondu à l'endroit exact du Pôle Nord, pour la première fois de l'histoire. Green Peace a annoncé qu'en ce qui concerne la glace d'hiver, la calotte avait précédemment reculé de plus de 300 miles (482 km) vers le pôle et qu'à la fin de l'année dernière, des bateaux militaires et civils pouvaient passer directement par le Pôle Nord. C'était de l'eau. Jusqu'à présent, autant que nous sachons, il n'est encore jamais arrivé que la glace avait moins de dix pieds d'épaisseur (3 m).
Par contre, le Pôle Sud a une calotte de glace d'environ trois milles d'épaisseur (4,8 km ) et cependant d'énormes morceaux de glace continuent à se briser et à fondre.

Que se passe-t-il ?
Depuis 1900 nous sommes passés du cheval à la fusée spatiale. De l'époque de la lettre envoyée par coursier à cheval à celle du courrier envoyé instantanément par email, du vidéophone et des satellites.
D'un point de vue négatif, nous sommes passés des guerres avec des armes primitives à la bombe atomique et au bio-terrorisme.
Et d'une manière encore plus significative, en 1900 la Terre comptait 30 millions d'espèces, des espèces qui avaient nécessité des milliards d'années pour être créées. Maintenant, nous avons moins de la moitié de ce nombre - moins de 15 millions d'espèces. Et tout ceci est arrivé en 100 ans : un clin d'œil géologique.

Si quelqu'un d'une autre planète observait la Terre, il dirait qu'elle est en train de mourir.

Mais maintenant il semble que quelque chose se passe, qui se situe au-delà "du train train ordinaire." Dans leur rapport, les Russes disent que ce même genre de phénomène a déjà eu lieu quand les dinosaures se sont éteints - une époque qui a marqué un changement gigantesque dans le climat de la terre et de la météorologie et peut-être également un basculement des pôles.

Restez accordés
En septembre 1999, j'ai parlé au docteur Edgar Mitchell - l'astronaute qui a marché sur la lune - et il m'a dit que la NASA avait récolté autant d'informations en cinq ans que toute l'humanité depuis le début de la civilisation, il y a 6000 ans.
De plus, il a dit que la NASA avait autant appris ces six derniers mois que durant cette période étonnante de 5 ans.
Mais la NASA ne partage pas ces révélations avec nous. De même ils ne révéleraient bien sûr pas d'information aussi radicale que celle annoncée par les Russes. C'est leur nature de rester silencieux au sujet de phénomènes qui pourraient changer la manière dont nous nous percevons dans notre monde qui change rapidement..
Autres liens :

http://atmoz.org/blog/2007/05/08/a-correlation-between-neptune-brightness-earth-temperature-and-total-solar-irradiance/

A prendre en compte aussi des liens sur futura sciences, concernant l'interopérabilité des planètes entres elles.

Cet article fait aussi relation aux éléments cités ci-dessus :  

Lire la suite

28/07/2008 | Lien permanent

Livres : La Science de l'intention. Nos pensées et nos intentions influencent-elles la réalité ?

Voici pourquoi lorsque nous faisons des actions et des demandes collectives, l'Univers nous répond.

Utiliser ses pensées pour transformer sa vie et le monde

La science de l'intention.jpg

Lynne McTaggart

Editeur : Editions Ariane (Mars 2008)

Résumé :   Le livre que vous tenez entre vos mains est un ouvrage révolutionnaire, une exploration inédite de la science de l'intention. C'est également le premier livre qui vous invite à participer activement à sa recherche originale. S'appuyant sur les conclusions de recherches sur la conscience humaine menées par d'éminents scientifiques du monde entier, La Science de l'intention démontre que la pensée est une réalité tangible ayant le pouvoir d'influencer les choses.

 

La pensée génère sa propre énergie bien palpable dont vous pouvez vous servir, aider les autres autour vous, et transformer Dans La Science de l'intention, Lynne McTaggart, auteure à réputation internationale, journaliste scientifique primée et figure de proue parmi ceux et celles qui se consacrent à l'étude de la conscience humaine, présente un palpitant roman policier scientifique et vous entraîne dans un voyage époustouflant jusqu'aux confins. de la conscience. Elle dresse le profil de pionniers ha en couleurs dans la science de l'intention et travaille avec plusieurs équipes scientifiques de renom, notamment le physicien Fritz-Albert Popp, de international de biophysique en Allemagne et le Dr Gary. Schwartz, professeur de psychologie, de médecine et de neurologie a l'Université de L'Arizona.

 

La Science de l'intention poursuit sur la lancée du premier livre de McTaggart, Le Champ de la cohérence universelle (paru antérieurement sous le titre L'Univers informé), un best-seller international décrivant les découvertes qui témoignent de l'existence d' un champ d'énergie quantique l'image d'un univers interconnecté et propose une explication scientifique à quelques-uns des mystères humains les plus profonds, depuis la médecine alternative et la guérison spirituelle jusqu'aux perceptions extrasensorielles et à l'inconscient collectif. La Science de l'intention vous montre une myriade de façons d'intégrer cette information dans votre vie.

http://www.inrees.com/livres/La-Science-de-l-intention/

 


Nos pensées et nos intentions influencent-elles la réalité ?

Nos pensées et nos intentions auraient-elles la capacité d’influencer laréalité ?De changer notre vie et celle desautres ?D’après de nombreuses expériences scientifiques en physique quantique, cette idée ne semble plus irrationnelle. Explications avec la journaliste scientifique américaine Lynne Mc Taggart.

 

© Andrew Myers
Et si nos pensées exerçaient une influence sur la réalité physique ? Et si la vigueur de nos intentions, focalisées sur ce que l’on souhaite vraiment, avait le pouvoir d’induire de véritables changements dans notre vie et de façonner le monde qui nous entoure ? Le Secret, best-seller de Rhonda Byrne, traduit en quarante-six langues, évoquait déjà en 2008 la loi de l’attraction de la pensée. Selon l’auteure, il suffit de visualiser l’objet de nos désirs et d'être convaincu qu’on l’aura pour qu’un message soit alors envoyé à l’Univers, qui se débrouillera pour réaliser notre souhait dans n’importe quel domaine : amour, santé, bonheur mais aussi pouvoir, argent, biens matériels, etc. Une recette simpliste, généreusement saupoudrée de « magie » et de « new age », un peu dure à avaler pour les plus cartésiens – qui taxèrent ce livre de « tissu de mensonges » -, et trop difficile à digérer pour les plus ouverts d’esprit– qui reprochèrent à l’auteure de mélanger ambitions matérialistes et spiritualité.

La même année pourtant, Lynne Mc Taggart, auteure à succès de réputation internationale, journaliste scientifique américaine primée et figure de proue parmi ceux qui se consacrent à l’étude de la conscience humaine, publie un ouvrage révolutionnaire, intitulé La Science de l’intention, dans lequel elle démontre, expériences et données scientifiques à l’appui, que la pensée dirigée ne serait pas une simple croyance et pourrait bien influencer la réalité.

A en croire différentes conclusions de recherches sur la conscience humaine dans le domaine de la physique quantique, menées par d’éminents scientifiques du monde entier -comme le physicien Fritz-Albert Popp de l’Institut international de biophysique ou le Dr Gary Schwartz, professeur de psychologie, de médecine et de neurologie à l’université de l’Arizona -, il semblerait, en effet, que ce potentiel sommeille en chacun de nous. « Les plus récentes études de l’effet de l’esprit sur la matière, précise la journaliste, semblent indiquer que l’intention a des effets variables qui dépendent de l’état du sujet, ainsi que du moment où il émet une pensée et de l’endroit où il se trouve. L’intention a déjà été employée dans maints domaines, notamment pour guérir les maladies, modifier des processus physiques et influencer des événements. Il ne s’agit pas d’un don spécial mais d’une compétence apprise et aisément enseignée. En réalité, nous utilisons tous déjà l’intention dans de nombreux aspects de notre vie quotidienne. »


Concrètement, qu’est-ce qu’une pensée ?


De nombreuses expériences semblent indiquer que notre conscience n’est pas enfermée dans notre crâne, mais semble être une « substance » qui irradie hors des limites du corps physique. Une énergie ordonnée capable de traverser l’espace et le temps. « On sait aujourd’hui que les pensées sont une forme d’émission de biophotons - ces particules de lumière porteuses d’énergie émises par tous les organismes vivants : plantes, animaux, êtres humains. Elles créent une énergie qui émane de nous en permanence, explique la journaliste scientifique. Le fait d’orienter ses pensées vers un objectif précis – ce que les scientifiques appellent « l’intention » ou « l’intentionnalité » - semble produire une énergie assez puissante pour transformer la réalité physique. »

Comment la pensée pourrait-elle influencer la réalité ? L’intention serait-elle une flèche d’information et d’énergie décochée par notre conscience et envoyée à l’Univers ?

« Cela suggère qu’il y a un moyen par lequel l’information est transférée et que le guérisseur, comme d’autres personnes d’ailleurs, est capable de se connecter à quelque chose de plus grand, quelque chose qui nous dépasse, qui va véhiculer la pensée », assure Marilyn Schlitz, chercheuse et présidente de l’Institut des Sciences Noétiques aux Etats-Unis. La physique quantique a, en effet, permis de mettre en évidence ce qu’on appelle le « champ du point zéro ». Un champ généré par les incessants mouvements d’énergie entre les milliards de particules subatomiques, composants de la matière de taille inférieure à celle d’un atome. Un champ auquel l’ensemble de la matière dans l’Univers est connectée grâce à de continuels échanges d’énergie. Lynne Mc Taggart présentait déjà dans son livre, Le Champ de la cohérence universelle, le concept d’un Univers interconnecté, étayé par des hypothèses scientifiques très sérieuses permettant de lever partiellement le voile sur certaines énigmes humaines passionnantes, allant de la médecine alternative – comme les thérapies énergétiques et l’acte de guérison à distance par exemple - aux perceptions extrasensorielles – comme l’intuition, la télépathie, les précognitions, etc. « L’acte de guérison à distance, explique Lynne Mc Taggart, est essentiellement un acte de pensée, une intention de guérir. Si c’est la jambe gauche qui doit être soignée, c’est vers elle que le guérisseur va envoyer l’intention en la dirigeant de manière précise. Comme beaucoup de physiciens quantiques, je suis convaincue que les guérisseurs, dans un « hyperétat » d’intense concentration sont capables d’exploiter ces pensées, pour en créer qui soient très cohérentes et énergisées, et de les projeter, peu importe la distance. Nous ne comprenons pas totalement ces mécanismes. Mais le modèle des biophotons nous permet de saisir que nous envoyons en permanence des instructions à l’Univers sous forme de rayonnements. Les guérisseurs, même à distance, sont, je pense, capables de rendre opérantes ces instructions en vue d’obtenir la guérison. »

Le magnétiseur Jean-Luc Bartoli confirme cette hypothèse : « L’intention au fond c’est quoi ? C’est de la compassion, c’est de l’amour que tu envoies à ton prochain. Moi, je dis tout le temps : ma main c’est le prolongement de mon cœur. Les passes magnétiques ne sont que de l’habillage technique dans le sens où l’intention pourrait suffire. Et pour moi, c’est exactement ce qui explique pourquoi cela marche à distance. »

Le pouvoir de la pensée et de l’intention a déjà été observé dans de tout autres circonstances. Au cours d’une étude américaine appelée « Love Study », impliquant plusieurs couples, l’un des partenaires devait envoyer à distance des pensées de guérison et de compassion à son partenaire malade. Aussi incroyable que cela puisse paraître, on a constaté une corrélation significative entre l’activité physiologique de celui qui émettait ces pensées et l’activité physiologique de celui qui les recevait. Sans le savoir, ce dernier réagissait instantanément. On a même observé, entre les deux partenaires, plusieurs phénomènes de synchronie entre différentes parties de leur corps: leurs ondes cérébrales, leurs rythmes cardiaques, les réponses galvaniques de leur épiderme…

Ce que des siècles de vision mécaniste nous ont appris à considérer comme irrationnel serait en train de devenir parfaitement plausible dans le monde quantique ! Nous nagerions donc dans un gigantesque champ d’énergie, dont nous faisons partie intégrante, et par lequel nous pourrions recevoir et envoyer de l’information, comme l’intention de guérir ou d’être guéri.

« Scientifiquement, explique le Dr Thierry Janssen, ancien chirurgien aujourd’hui psychothérapeute, des études nous ont permis de mieux comprendre la matière dans ces états les plus subtils. Notamment que deux photons ou biophotons jumeaux séparés peuvent continuer de communiquer. Il est intéressant de se dire que la matière, depuis la création du monde, est un grand continuum et que ce sont ces liens qui créent le vivant. J’aime cette phrase du Professeur Linus Pauling, prix Nobel de chimie et Prix Nobel de la paix qui disait : « La vie, ce n’est pas les molécules mais les liens qui existent entre elles. » Si l’on explore cette voie-là, on comprend mieux pourquoi deux individus séparés peuvent communiquer au niveau de l’intention, obtenir des effets sur la santé de l’un et de l’autre... Ces phénomènes de guérison à distance posent d’ailleurs une question très dérangeante pour l’esprit occidental : quels sont ces liens qui nous relient les uns aux autres, et qui relient tous les éléments du vivant ? »

« En s’envoyant et en recevant de l’énergie, précise Lynne Mc Taggart, les particules subatomiques créent, le temps d’un battement de paupière, des particules virtuelles. Ce petit échange ne représente pas beaucoup d’énergie, environ un demi-watt. Mais lorsqu’on additionne toutes les particules subatomiques qui font cet échange d’énergie à travers tous les éléments de l’Univers, on arrive à une quantité d’énergie inimaginable. Ce champ d’énergie géant, nous y sommes tous connectés, même aux plus lointains confins de l’Univers. Nous devons nous concevoir nous-mêmes comme autre chose qu’un ensemble d’éléments solides. Je ne suis pas seulement un paquet de cellules différent du vôtre. A un niveau quantique, nous sommes, vous et moi, comme des petits nœuds sur la même corde, nous faisons partie d’un immense champ d’énergie auquel nous sommes tous reliés : c’est cela, la réalité qui nous englobe. Nous envoyons en permanence de l’information à ce champ. Et c’est aussi par ce moyen que nous pouvons recueillir de l’information. C’est un réseau géant. »

 

http://www.inrees.com/articles/Nos-pensees-et-nos-intenti...

Lire la suite

05/01/2013 | Lien permanent

Espace : L'homme peut-il franchir les ceintures de Van Allen ?

L'homme est-il allé sur la Lune compte tenu de ces données ??

Un article pris sur un forum qui peut servir de base à une bonne réflexion.

L'homme peut-il franchir les ceintures de Van Allen : Forum

Milieu interplanétaire >> Ceintures de radiations

Les ceintures de radiations de Van Allen

Dans la magnétosphère, qui est essentiellement composée de gaz d’origine terrestre, le champ magnétique de notre planète capture les particules chargées très énergétiques émises par le Soleil.


Ces particules se retrouvent dans deux régions bien précises de la magnétosphère appelées ceintures de Van Allen. Elles tirent leur nom du physicien américain James Alfred Van Allen qui les a découvertes en 1958, grâce au premier satellite américain Explorer 1.

  • La ceinture intérieure démarre entre 300 et 1000 kilomètres du sol environ pour atteindre une limite supérieure d’environ 10.000 km. Elle se compose principalement de protons même si on y retrouve aussi des ions et des électrons.
  • La ceinture extérieure évolue pour sa part entre 10.000 et 40.000 kilomètres. Elle se compose principalement d’électrons.

Les particules énergétiques qui évoluent dans les ceintures de radiations y adoptent des trajectoires qui suivent les lignes de force du champ magnétique terrestre.

La figure illustre la trajectoire compliquée suivie
par les particules des ceintures de Van Allen
.

 

Plus d'info :

Découverte des ceintures de radiations (.pdf, 118 KB)
Le champ magnétique terrestre
(.pdf, 81 KB)
Action du champ magnétique (.pdf, 169 KB)
Les particules énergétiques de la magnétosphère (.pdf, 110 KB)
La modélisation du champ magnétique (.pdf, 75 KB)



Bonjour à tous,
Présentation rapide : 30 ans, marié, sans enfant.

Je souhaiterais relancer un sujet dont le fil a été fermé.
Il s'agit des ceintures de Van Allen, pour lesquelles l'argumentation est pour le moment je trouve, très vague.

Exemple : post n° 40
Sur ce forum

En effet, ayant un peu de mal, avec ce sujet, je souhaiterai l'aborder de façon factuelle, et donc il ne faut pas hésiter à me corriger, si je fait une mauvaise interprétation des informations que j'ai trouvé, qui seront donc systématiquement issues d'un lien qui sera fourni lui aussi ...

Partie 1 :
Pour résumer ce sujet, qui est soulevé par les détracteurs vis à vis d'Apollo, je dirais ceci :

Argument détracteurs :
La ceinture de Van Allen est un concentré de particules ionisantes [mod 20/08 : Remplacement "radioactives" par "ionisantes"], dont il faut se protéger pour la traverser. Hors, les astronautes qui l'ont traversés n'en étaient pas protégés, et ont donc été exposés à ces radiations. On peut donc être surpris qu'aujourd'hui aucun d'eux ne présentent des problèmes de santé en conséquence ...

Contre Argument défenseurs :
La traverssé de cette ceinture a été choisie afin d'en traverser la plus faible épaisseur, sur une durée de traverser la plus courte possible. Entre autre, le matériel utilisé assurait une protection suffisante pour cette traversée. Les astronautes ont donc subi une exposition aux radiations qui augmentent leurs risques de cancer, mais un risque n'est pas une obligation ...

Partie 2 :

Je répertorie les éléments d'informations que je considérais factuelles jusqu'à ce qu'on me démontre qu'ils ne le sont pas :
Fait n° 1 :

La radioactivité, c'est l'émission de 4 types de particules : particule Alpha, particule Beta - (électron), Particule beta + (positron), Photon Gamma.
Source :

Les Particules radioactives
Fait n° 2 :
Les particules Alpha, Béta et Gamma sont ionisantes (modifient ce qu'elles traversent)
Source:

Particules ionisantes
Fait n° 3 :
Alors qu'une feuille d'aluminium arrête une particule alpha ou béta, il faut minimun 1,5 cm de plomb pour arrêter 50% des rayons gamma (et donc plus selon leur énergie).
Source :

Protection
Fait n° 4 :
L'émission d'une particule alpha ou beta est toujours accompagnée de l'émission d'un rayonnement gamma, d'un rayonnement X, ou d'un electron Auger.
Source (paragraphe 2-6-3.1 et 2-6-3.2) :

Interdépendance des radiations
Fait n° 5 :
La ceinture de radiation dites de Van Allen, est composées d'une ceinture intérieure comprise 700 à 10000 km (environs 9000 km à traverser) et d'une ceinture extérieure comprise entre 10000 km et 65000km (environs 55000km à traverser)
Source :

Epaisseurs des Ceintures
Fait n° 6 :
La ceinture intérieure est principalement constituée d'un flux de protons de haute énergie. Alors que la ceinture extérieure est principalement constituée d'un flux de neutrons de haute énergie.
Source :

Nature des ceintures
Fait n° 7 :
Le vaisseau Apollo se déplace dans un milieu très chargé de particules ionisantes [mod 20/08 : remplacement "radioactives" par "ionisantes"] en mouvement (à savoir les 2 ceintures). Les parois du vaisseau qui entrent donc en contact direct avec les particules de ces ceintures, vont absorber des particules Alpha et Beta, en générant par cette absorption des rayons Gamma ou des rayons X.
Source (à la fin) :

Gamma secondaire
Fait n° 8 :
Les astronautes d'Apollo étaient protégés par 2,5 cm de panneaux en aluminium alvéolé.
Source :

Apollo Protection
Fait n° 9 :
Le vaisseau type Apollo est constitué d'un module de commande, d'un module de service et d'un module lunaire, et se déplace à 11km/s après avoir quitté sa dernière orbite terrestre.
Source :

Vitesse Apollo
Fait n° 10 :
La durée de traversée de la ceinture de radiation intérieure est de 37 mn environs.
Source :

Temps d'exposition ceinture intérieure
Fait n° 11 :
Dans le lien précèdent, le voyage terre-lune du vaisseau Apollo se décompose en 3 phases :
1: Sol terrestre-orbite de 190km
2: Orbite terrestre de 190km-orbite terrestre de 5800km
3: Orbite terrestre de 5800km-orbite lunaire
Après la 2ème phase et avant la 3ème, les astronautes doivent passer du temps à récupérer le module lunaire ... Il faudrait donc majorer la durée d'exposition aux radiations dans la ceinture intérieure ...

Fait n° 12 :
La durée de traversée de la ceinture extérieure est de 30 mn.
Source : les mathématiques :
- Vitesse Vaisseau d'Apollo : 11km/s=660km/mn=39600 km/h
- Distance à traverser : 20000km (au lieu de 55000km parce que cette donnée varie en fonction des sources)
- Calcul : 20000 : 39600 = 0,5 Heure soit 30 mn.

Fait n° 13 :
Après avoir quitté les ceintures, les astronautes ont au minimum été exposés aux sursauts gamma
(les rayons gamma sont je le rappelle des radiations électromagnétiques).
Source :

Sursaut Gamma
Fait n° 14 :
L'intensité de ces sursauts gamma peut être supérieure aux rayonnements gamma du soleil.
Source (a la fin):

Intensité Sursaut
Fait n° 15 :
La nocivité des ceintures de radiation sont telles qu'un compteur Geiger a été incapable dans mesurer l'intensité.
Source :

Geiger
Fait n° 16 :
L'intensité des radiations des ceintures est mortel.
Source :

Radiations mortelles
Fait n°17 :
La surface de la lune est elle-même radioactive.
Source :

Surface lunaire radioactive
Fait n° 18 :
La

Lire la suite

21/02/2011 | Lien permanent

Gaz : Gaza n'a pas besoin d'aide : elle a un gisement de gaz de près de 3 milliards d'euros !

L'Europe s'occupe du Gaz et Israël de Gaza !
On comprend mieux le silence de la communauté internationale et le soi-disant refus d'Israël de rejetter les résolutions de l'ONU !  
Tous complices de ces massacres !
Silence on tue des enfants et des innocents pour le gaz et le fric !

Gaza na pas besoin d'aide : elle a un gisement de gaz de près de 3 milliards d'euros

A 8 kilomètres des plages de Gaza, trop loin pour le voir à l'oeil nu mais en plein dans les eaux palestiniennes, gît une fortune inexploitée en gaz off-shore.

Par Tim Butcher

source : Oil & Gas Journal
source : Oil & Gas Journal
Les donateurs internationaux vont – encore – se réunir le mois prochain pour promettre de l'argent aux Palestiniens.

Cette fois,
c'est la France qui accueille le cirque de la mendicité et nous entendrons une fois de plus le même choeur qui, depuis des années, nous raconte que l'aide aidera à résoudre les griefs palestiniens.

Tony Blair, dans son boulot d'envoyé spécial auprès des Palestiniens, apparaîtra le plus pressant et parlera publiquement de l'importance du soutien financier accordé par le monde.

Mais au lieu de pointer dans leurs élégants hôtels parisiens, les donateurs feraient mieux d'aller à Gaza pour aider à la libération d'un atout économique palestinien tellement important qu'il permettrait d'en finir avec le besoin de saigner la communauté internationale de millions d'aide chaque année.

A 8 kilomètres des plages de Gaza, trop loin pour le voir à l'oeil nu mais en plein dans les eaux palestiniennes, gît une fortune inexploitée en gaz off-shore. Des navires de prospection ont fait descendre deux sondes il y a sept ans et ce qu'elles ont trouvé a fait fondre les cadres des multinationales pétrolières.

Les experts ont estimé à 2 milliards de livres de gaz naturel la réserve d'un seul champ. Et le potentiel dans d'autres champs est énorme.

Une découverte similaire dans le Golfe Persique aurait été exploitée promptement et, en quelques années, des millions de livres de taxes auraient commencé à se déverser dans les coffres du gouvernement local.
Mais Gaza n'est pas dans le Golfe et l'exploitation de son champ maritime reste piégée dans les filets de l'hostilité mutuelle entre Palestiniens et Israéliens.

Le contrôle d'Israël sur l'Etat palestinien résiduel est si complet que, depuis des années, l'Etat juif a bloqué l'exploitation du champ. A ce moment là, le projet était de vendre le gaz de Gaza à l'Egypte, mais c'était pendant le deuxième Intifada, lorsque le Premier Ministre Ariel Sharon a dit qu'il ne permettrait en aucune façon qu'un projet qui rapporte de l'argent à Yasser Arafat ne se développe.

Les choses ont un peu bougé : Arafat est mort, Sharon est dans le coma à la suite d'une attaque, et un cessez-le-feu, si l'on peut dire, a mis fin à l'Intifada. Ironiquement, les intellos du gouvernement israélien, ceux qui sont responsables de tracer l'avenir, ont aussi changé de ton.

Au lieu qu'à l'avenir ce soit l'Egypte qui achète le gaz de Gaza,
Israël a commencé soudain à songer à devenir l'acheteur : le gisement de gaz indigène d'Israël "au nord du champ maritime de Gaza" pourrait se tarir en quelques années et la seule autre source à long terme serait le gazoduc de l'Egypte voisine.

A première vue, cela apparaît comme une situation gagnant-gagnant. Les Palestiniens auraient un acheteur garanti pour leur gaz qui génèrerait 70 millions d'euros par an pendant 15 ans en revenus de taxes, et fournirait les bases d'une croissance économique durable.

Et les Israéliens auraient une source de gaz sûre et abordable pour garantir leur croissance économique. Cela monterait aussi nettement comment deux ennemis historiques pourraient en arriver à compter l'un sur l'autre pour leur prospérité économique.

Une équipe de négociateurs, menée par Nigel Shaw pour British Gas, la compagnie qui a acheté les droits d'exploitation de Gaza Marine, s'est transportée dans un immeuble de bureaux d'une élégante station balnéaire israélienne et a entrepris d'établir les divers actes et garanties qui sont la norme dans l'industrie gazière et pétrolière internationale.

Mais en dépit des déclarations publiques d'Ehud Olmert, le Premier Ministre israélien, disant qu'il soutenait le projet, et même l'intervention de Gordon Brown, alors Chancelier de l'Echiquier, qui a considéré le marché comme la clef du développement de l'économie palestinienne, les négociations n'ont pas bougé.

Les démarches faites par The Daily Telegraph auprès de parties prenantes clef au sein du gouvernement israélien "le Ministère de l'Infrastructure Nationale et le bureau du Premier Ministre" ont abouti à des déclarations similaires sur "des négociations en progrès" et "des déclarations finales imminentes", mais des initiés de l'industrie ont révélé qu'en réalité, aucun accord n'est en vue.

Il y a eu quelques inquiétudes israéliennes que l'argent du gaz ne finisse dans les mains du Hamas mais elles ont été résolues l'année dernière, lorsqu'un fonds en fidéicommis a été ouvert, qui assure que l'argent international ira seulement au gouvernement palestinien nommé par Mahmoud Abbas, président de l'Autorité Nationale Palestinienne et chef du Fatah.

Si M. Blair était sérieusement investi de sa mission d'aider à développer une économie palestinienne durable, il pèserait de tout son poids pour que le projet de gaz de Gaza sorte de terre.

Jusqu'à présent, il a visé un peu plus bas, ne parlant publiquement que de réaménagement d'une usine de retraitement des eaux usées à Gaza et esquivant soigneusement les tentatives de l'impliquer avec Gaza Marine.

A moins qu'il ne montre un petit peu plus de courage, on peut craindre que la conférence des donateurs du mois prochain ne soit pas la dernière.

Sur le même sujet, lire :
- "
Transformer la plus précieuse ressource naturelle de Palestine en instrument politique"
- "
Pétrole, paix et la Palestine : Energies Clef pour le passé et le futur de la Terre Sainte"
- "
Le gaz naturel découvert à côté de la mer de Gaza est considéré comme un des meilleurs genres de gaz naturel dans le monde entier"

Source : The Daily Telegraph
Traduction : MR pour ISM

Mardi 13 Novembre 2007
 

Lire la suite

12/01/2009 | Lien permanent

Page : 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13