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H1N1 : «Il va falloir vacciner tout le monde»

L'intoxication médiatique continue !

Propos recueillis par Martine Perez
04/06/2009 | Mise à jour : 16:57
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Le Pr Sylvie Van der Werf


Le Pr Sylvie Van der Werf Crédits photo : AFP

INTERVIEW - Le Pr Sylvie Van der Werf, directeur d'une unité de recherches à l'Institut Pasteur et du Centre national de référence pour la région Nord, estime, dans un entretien au « Figaro », que toute la population devra être vaccinée contre le virus H1N1 dès que le vaccin, en cours de préparation, sera disponible.

 Est-on dans une situation inédite avec ce virus A/H1N1 qui a émergé au Mexique ?

Oui, clairement, nous sommes face à un virus nouveau, qui circule dans la «communauté» (c'est-à-dire à partir de foyers autonomes et non plus importés de l'étranger, NDLR), sur plusieurs continents. Nous sommes au bord de la phase 6 d'alerte pandémique de l'Organisation mondiale de la santé. En réalité, la phase 6 se caractérise par la transmission «communautaire» du virus sur au moins deux continents. Nous y sommes. Sauf que ces niveaux d'alerte ont été définis dans l'optique d'une pandémie liée au virus H5N1 de la grippe aviaire, bien plus virulent. Alors que la pathogénicité de ce nouveau virus est pour l'instant modérée. Cela explique la temporisation de l'OMS sur ce sujet.

Est-ce que l'arrivée de l'été va arrêter la circulation du virus en Europe ?

C'est vrai, il y a des facteurs climatiques plus ou moins favorables à la transmission de la grippe. La forme saisonnière se transmet plutôt l'hiver, mais ce n'est pas un critère absolu. En zone tropicale, les virus grippaux circulent toute l'année, avec deux pics, notamment pendant la saison humide. En Europe, l'épidémie démarre plutôt en décembre. Mais nous sommes actuellement dans une situation particulière puisque ce nouveau H1N1 diffuse actuellement aux États-Unis et au Canada, alors que c'est l'été, et donc hors des périodes classiques de circulation. Sans doute, le fait que la population est vierge de toute immunité, la rend plus susceptible. Mais nous ne sommes pas dans des conditions normales de transmission actuellement.

Comment voyez-vous l'évolution de la situation ?

Je n'imagine pas une seconde que la diffusion s'arrête et que ce nouveau virus disparaisse comme par enchantement. Il circule activement notamment dans l'hémisphère sud, avec une situation complexe puisqu'il y a une co-diffusion avec celui de la grippe saisonnière. Jusqu'à présent, chaque fois qu'un nouveau virus apparaissait, il se substituait au saisonnier. Ce n'est pas le cas actuellement. Nous sommes dans une situation nouvelle. Nous ne savons pas s'il y aura une circulation des deux virus ou d'un seul, à l'automne dans l'hémisphère nord. Cela va dépendre de ce qui se passera dans le Sud. En Australie, comme en Amérique du Sud, la transmission communautaire est active. L'Afrique est surveillée de près. Tout laisse à penser que ce virus touchera l'ensemble de l'hémisphère Nord, avec une transmission communautaire. Fin juin? Fin août? Fin septembre? On ne peut pas exclure que le virus se mette à circuler à une période inhabituelle.

La virulence est-elle inquiétante ?

Pour l'instant, le taux de décès est de l'ordre de un pour 1000 malades. Cela reste proche du taux de décès de la grippe saisonnière. Sauf, que habituellement, ce sont des personnes âgées qui sont concernées et que la population est largement immunisée, soit naturellement, soit par le vaccin. Le nombre de malades potentiel pourra donc être très élevé. Pour l'instant nous n'avons pas mis en évidence de marqueurs de virulence. On sait que les virus grippaux mutent en permanence. Et nous ne sommes pas à l'abri d'un changement qui augmenterait sa virulence et sa transmissibilité. Nous sommes en train de répertorier toutes les mutations «dangereuses» possibles. Par ailleurs, notre laboratoire examine la structure génétique chaque virus de cette grippe pour chaque cas français, afin d'en surveiller au plus près l'évolution, comme d'autres labos dans le monde. Nous redoutons aussi des réassortiments génétiques entre ce virus et ceux de la grippe saisonnière, et notamment avec un autre H1N1 majoritairement résistant au Tamiflu.

Va-t-on vers une vaccination systématique de la population contre ce nouveau virus ?

Nous allons être conduit à vacciner tout le monde, au Nord, comme au Sud, dans les pays riches comme dans ceux en voie de développement. Et mon avis est que le plus vite sera le mieux, compte tenu de l'évolution actuelle. Mais il y a des délais incompressibles. L'OMS a donné à tous les laboratoires investis dans les vaccins la souche de virus de base. Si tout va bien, si les rendements sont bons, si cette souche se comporte sans imprévu, il faudra compter quatre à six mois, avant de disposer de vaccins. Par ailleurs, c'est un vaccin nouveau, avec une population naïve, nous ne sommes pas dans des conditions classiques. Il va falloir faire des essais cliniques pour vérifier l'efficacité et l'absence d'effets secondaires. Il faudra sans doute deux doses contre ce nouveau virus. Tout cela prolonge les délais d'obtention. Les travaux de préparation d'un vaccin contre une pandémie liée au H5N1 représentent une aide notable.

Faudra-t-il se faire vacciner contre ce nouveau virus et contre la grippe saisonnière ?

Les stocks contre la grippe saisonnière sont pratiquement déjà constitués. Les laboratoires s'attellent donc au nouveau vaccin. Aucun élément ne permet de dire que la grippe saisonnière, comme ce nouveau H1N1, va arrêter de circuler. Et il y a donc toutes les raisons de prévoir une double vaccination. Mais les décisions prises sont à réévaluer en permanence au regard de l'évolution de la situation.

Source : http://www.lefigaro.fr/sante/2009/06/03/01004-20090603ARTFIG00515-h1n1-il-va-falloir-vacciner-tout-le-monde-.php

 

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05/06/2009 | Lien permanent

Le plan secret de vaccination contre la grippe porcine de Sarkozy

par F. William Engdahl

Selon un article sur des fuites dans un journal français, le gouvernement français est en train de mettre au point des plans secrets, pour imposer à l'ensemble de la population française une campagne de vaccination obligatoire, prétendument contre l’éventuelle maladie de grippe porcine. Ce plan, sans précédent, va même à l’encontre des recommandations des avis de la santé publique. Les géants pharmaceutiques bénéficient de cette mesure, tandis que la grippe porcine pousse la tendance à la militarisation de la santé publique et au recours inutile à la panique dans la population pour faire avancer l'ordre du jour. 
 
Selon un article de l'édition du 30 mai du quotidien français Le Journal du Dimanche, le régime Sarkozy a autorisé une dépense d'environ 1 milliard d’euros pour acheter des vaccins, destinés prétendument à lutter ou à protéger contre le virus H1N1 de la grippe porcine. Le seul problème, c’est que, à ce jour, ni l'OMS, ni le Center for Diseases Control (CDC) des États-Unis n’ont réussi à isoler, photographier au microscope électronique, ni à classer chimiquement le virus Influenza A H1N1. Rien de scientifique n’indique non plus que des virologistes français l'aient fait. Rendre obligatoire des médicaments contre une maladie supposée, qui n'est même pas caractérisée, est pour le moins douteux. 
 
Encore plus étrange, il y a l'aveu de la Food & Drug Administration du régime étasunien, l’organisme chargé de la santé et la sécurité de ses citoyens, selon lequel, le « test » autorisé à sortie prématurée pour contrôler le H1N1 n'est même pas éprouvé. Plus précisément, dans tous les décès présentés à ce jour comme preuve scientifique de mort attribuable au virus H1N1 de la grippe porcine, il n'existe aucune preuve médico-légale qu’ils soient dus effectivement à ce genre de virus. Les épidémiologistes européens pensent que les décès rapportés à ce jour sont « le fruit du hasard » ou de ce qu’on dénomme infections opportunistes. 
 
Ce que nous savons avec certitude, c'est que les gens qui sont morts ont souvent eu avant des complications respiratoires de nature non divulguée. Des gens meurent chaque jour de maladies respiratoires. Aux États-Unis seuls, quelques 36.000 décès liés à la grippe sont enregistrés chaque année, sans panique ni frayeur excessive. La plupart sont des personnes âgées ou des patients atteints de maladies pulmonaires. À ce jour, dans toute la France, 24 personnes ont été identifiées par les autorités de santé comme ayant les « symptômes » du H1N1. Il est intéressant de noter ce que citent l'OMS et le CDC comme symptômes du H1N1 : température, toux, maux de tête, écoulement nasal. Hmmmmm. Connaissez-vous quelqu'un avec les symptômes de la grippe porcine ? On notera aussi que, dans le dépouillement de plus de 15.000 cas de grippe porcine du H1N1 « confirmés » dans le monde, la grande majorité a guéri miraculeusement en trois à sept jours, tout comme dans le cas d'un mauvais rhume.
 
 
Objectif : Militariser la santé publique
 
Il devient de plus en plus évident qu’une arrière-pensée est derrière les vagues successives de panique de masse créées ces dernières années par la CDC, l'OMS et des organismes gouvernementaux. Nous avons été affolés de manger du bœuf quand le bétail, au Royaume-Uni et ailleurs, a développé une maladie mortelle appelée ESB ou « maladie de la vache folle. » Plus tard émergea la preuve du fait que l'ESB était la conséquence de la vaccination des vaches pour tuer des insectes inoffensifs qu’elles ont sous la peau. Plus récemment, après des rapports de cas de ce qu'on appelle la « fièvre catarrhale» chez la vache, le mouton et la chèvre en Belgique et en Hollande en 2006, les autorités vétérinaires d’Allemagne, de Suisse et d’Autriche ont imposé une vaccination obligatoire ou un traitement avec des médicaments pour soi-disant protéger les animaux des morsures d'insectes prétendument porteurs de maladie habituellement inoffensives.
 
La vaccination des animaux des cheptels a été rendue obligatoire contre une maladie qui est en général si anodine qu’elle passe inaperçue, et qui dans de rares cas extrêmes pourrait être liée à la mort. Tous les animaux de plus de trois mois devaient être vaccinés. Les vaccins, selon un rapport de la publication suisse Aegis-Impuls de 2008, ont provoqué la mort en masse, une baisse de la natalité, une diminution de la production laitière, des crises cardiaques et d'autres graves effets. Les vaccins ont été utilisés en dépit du fait que personne apparemment n’avait certifié leur sûreté avant. Ils contenaient typiquement de l'hydroxyde d'aluminium et du Thiomersol ou mercure, en tant qu’adjuvants et/ou conservateurs, tous deux hautement toxiques et tous deux également utilisés dans la plupart des vaccins humains.
 
En dépit de la masse de protestations et de rapports auprès des autorités vétérinaires en Allemagne, en Suisse et en Autriche, il n’a pas été tenu compte des alertes et la vaccination de masse obligatoire a continué. Il n'est guère étonnant que les agriculteurs prennent leurs tracteurs pour protester dans la rue.
 
Le rapport d'un plan secret du gouvernement français, visant à vacciner tous les citoyens français de plus de trois mois, plus de 100 millions de doses, est plus que préoccupant. Selon Le Journal du Dimanche, anticipant un probable retour du virus en automne, le gouvernement français va dépenser près d'un milliard d'euros pour acheter des vaccins. Les autorités annonceront en automne si elles décident de rendre le vaccin obligatoire. « Nous serons prêts à attaquer dans un délai très court, » explique la ministre de la Santé. Selon les sources, l'État veut commander 100 millions de doses vaccinales contre la grippe auprès de trois laboratoires, GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi. Les deux derniers sont des compagnies françaises.
 
Le rapport français vient juste après l’adoption par le Sénat de l'État du Massachusetts d’un projet de loi de vaccination obligatoire contre la prétendue grippe porcine du H1N1. Dans l'hôpital d'État de l'État de New York, le planning des autorités est de débattre de rendre obligatoire la vaccination annuelle contre la grippe pour tout employé de la santé publique, bien qu’il n’existe aucun vaccin approuvé contre le H1N1. De plus en plus, il commence à apparaître que la peur des pandémies d’oiseaux ou de porcs est un prétexte pour justifier les vaccins obligatoires avec des substances dont les effets secondaires néfastes sont manifestement plus grave que la grippe dont ils devraient nous prémunir.
 
Novavax, une compagnie pharmaceutique étasunienne de Rockville dans le Maryland, vient juste d’annoncer assez opportunément qu’elle développe un vaccin contre le H1N1, basé sur des « particules apparentées aux virus, » contenant trois protéines du virus de la grippe sans les gènes nécessaires à la réplication. Le vaccin est produit grâce à des techniques de modification génétique des organismes ou des OGM. L'annonce a été faite dans les jours où la compagnie a annoncé une perte d'exercice financier de 36 millions de dollars.
 
Le médicament Tamiflu, qui est officiellement recommandé par l'OMS comme traitement pour « atténuer » les symptômes d’une éventuelle grippe porcine ou Influenza A H1N1, telle qu'elle a été rebaptisée, est lui-même hautement toxique. Santé Canada a informé les Canadiens de rapports internationaux sur des hallucinations et des comportements anormaux, dont l’automutilation, chez des patients prenant le médicament antiviral Tamiflu. Dans certains cas, la mort a été le résultat, et de graves complications pulmonaires sont largement associées au Tamiflu, le médicament dont le principal bienfaiteur financier est considéré comme son plus grand actionnaire, l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
 
En 1976, aux États-Unis, le Président Gerald Ford, soucieux de remporter une élection serrée, face à une éventuelle pandémie, ordonna une vaccination de masse de la population, pour montrer aux électeurs qu'il était un Président « pratique. » La pandémie de 1976 n’arriva jamais, mais un grand nombre de gens souffrirent des graves effets neurologiques secondaires du vaccin, dont la production avait été précipitée, parmi lesquels furent signalés 25 décès du syndrome de Guillain-Barré.
 
La vaccination obligatoire avec des médicaments dont les effets secondaires sont inconnus, parce qu'ils n'ont pas été rigoureusement testés de façon indépendante, commença à frapper le genre humain aux États-Unis ou en Allemagne durant les années 30, lors d’expériences humaines de masse, effectuées avec des prisonniers handicapés mentaux et d’autres personnes défavorisées. 
 
Article original en anglais, Sarkozy’s Secret Plan for Mandatory Swine Flu Vaccination, publié le 3 juin 2009.
 
Traduction : Pétrus Lombard.

F. William Engdahl est un collaborateur régulier de Mondialisation.ca.  Articles de F. William Engdahl publiés par Mondialisation.ca

Source : http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid...

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05/06/2009 | Lien permanent

Grippe porcine : vers une campagne de vaccination obligatoire

Ben voyons !!!! Et ils vont s'arranger comment pour rendre cette vaccination obligatoire ?
En instaurant la Loi martiale ?

Vers une campagne de vaccination contre la grippe en automne

Par Reuters, publié le 30/05/2009 à 13:58 - mis à jour le 30/05/2009 à 14:06

 

PARIS - Le gouvernement français souhaite mettre en place une campagne de vaccination contre la grippe A (H1N1) à l'automne pour un coût total d'un milliard d'euros, rapporte le Journal du dimanche dans son édition de samedi.

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Vue au microcospe du virus de la grippe A H1N1. Le gouvernement français souhaite mettre en place une campagne de vaccination contre cette grippe à l'automne pour un coût total d'un milliard d'euros, rapporte le Journal du dimanche dans son édition de samedi. (Reuters/C. S. Goldsmith et A. Balish/Handout)

"La France prépare un plan de bataille sans précédent pour cet automne avec, à la clé, une campagne de vaccination obligatoire pour tous les Français de plus de 3 mois", affirme le journal sans citer ses sources.

L'Etat passerait une commande de 100 millions de doses de vaccin contre la grippe A (H1N1) à trois groupes pharmaceutiques: GlaxoSmithKline, Sanofi et Novartis.

Les premières doses pourraient être disponibles dans un délai de quatre à six mois, soit au milieu de l'automne, a dit le groupe Glaxo il y a deux semaines.

"C'est à l'automne que l'on saura exactement comment évolue ce virus", a dit au JDD un porte-parole du ministère de la Santé.

"Nous nous appuierons sur trois piliers: les masques, les antiviraux et les vaccins."

Une campagne nationale "serait une première", souligne Antoine Flahault, directeur de l'Ecole des hautes études de santé publique.

Le britannique Glaxo, le français Sanofi et le Suisse Novartis ont déjà annoncé avoir reçu des commandes massives pour le vaccin contre la grippe A (H1N1). Le groupe britannique a dit le 15 mai que la France avait commandé 50 millions de vaccins.

Sanofi a déclaré lundi avoir reçu des commandes des Etats-Unis, soulignant que cette demande était la première d'une longue série. Novartis a signé un contrat avec la Grande-Bretagne et en attend d'autres.

Vingt-quatre cas de grippe A (H1N1) ont été recensés en France et aucune forme sévère n'a été observée.

Dans son dernier bilan de la pandémie, l'Organisation mondiale de la santé faisait était vendredi de 15.510 cas, dont 99 mortels, dans 53 pays, principalement aux Etats-Unis et au Mexique.

Source : http://www.lexpress.fr/actualites/2/vers-une-campagne-de-vaccination-contre-la-grippe-en-automne_763990.html

 

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31/05/2009 | Lien permanent

La grippe A(H1N1) relance le débat sur la vaccination

"Je refuse, à moins de nouvelles données, de faire le vaccin contre la grippe A(H1N1), à part à deux ou trois enfants qui ont des pathologies sévères. Le serment d'Hippocrate dit "ne pas nuire". Dans ce cas-là, je ne suis pas certaine de ne pas nuire", souligne le docteur Isabelle Lecourtier, pédiatre homéopathe à Paris.

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11/10/2009 | Lien permanent

La grippe A(H1N1) relance le débat sur la vaccination

"Je refuse, à moins de nouvelles données, de faire le vaccin contre la grippe A(H1N1), à part à deux ou trois enfants qui ont des pathologies sévères. Le serment d'Hippocrate dit "ne pas nuire". Dans ce cas-là, je ne suis pas certaine de ne pas nuire", souligne le docteur Isabelle Lecourtier, pédiatre homéopathe à Paris.

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11/10/2009 | Lien permanent

GrippeA/H1N1 : Alerte : vaccination de force

Alerte : vaccination de force dans les écoles françaises.

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Prenez les devants en adressant la déclaration d'opposition à la vaccination aux Directeurs des établissements scolaires auprès desquels sont scolarisés vos enfants.

La déclaration d'opposition ici :
http://dossiers-sosjustice.hautetfort.com/archive/2009/10...

Les rumeurs les plus folles courent sur le vaccin contre la grippe cochonne, du grand complot à la tentative d’empoisonnement de masse. Je ne les ai pas jugées suffisamment crédibles pour les relayer sur ce site.

Ceci étant dit, il me semble aujourd’hui nécessaire d’attirer l’attention sur des faits inquiétants :
  1. La grippe cochonne a causé bien moins de mort dans le monde depuis son apparition que la grippe dite « normale » chaque année. Et je ne parle pas du paludisme. Force est de constater qu’une psychose mondiale a été entretenue (par l’OMS et nos gouvernements avec la complicité des médias de masse). On peut dès lors se poser la question du pourquoi ?

    Je rappellerai simplement un fait : lors de l’apparition de la grippe aviaire, Bush a dépensé des millions de dollars pour équiper les états-unis de vaccins. Aucun cas au états-unis, aucun décès à déplorer. Coup double : des millions de dollars pour une entreprise privée, et les médias focalisés pendant plusieurs semaines sur cette affaire, faisant passer au second plan les difficultés économiques et politiques que traversaient alors les States...

  2. Une vaccination n’est pas une opération médicale anodine. Il faut parfois plusieurs années pour pouvoir étudier les effets secondaires. Je pense notamment aux polémiques, encore d’actualité, sur le vaccin contre l’hépatite B. Comment penser alors qu’un vaccin mis au point en quelques semaines puisse offrir un minimum de garanties pour les humains ?

    Si l’on ajoute à cela que les laboratoires ont obtenu, pandémie oblige, une immunité contre les poursuites judiciaires à venir, il y a de quoi vraiment s’inquiéter.

  3. Des milliards d’euro ont été dépensés par l’état français pour équiper notre pays de stock de Tamiflu et de vaccins. Il va bien falloir les utiliser. Or quand on sait que le corps médical, très exposé à la grippe cochonne, refuse pour plus de la moitié ce vaccin et que l’opinion publique y est également plutôt défavorable...

Notre gouvernement a beaucoup parlé de vaccination obligatoire, mais si cette éventualité semble à l’heure actuelle écartée, il reste une inquiétude majeure concernant la vaccination des enfants dans le cadre scolaire, et de nombreuses voix s’élèvent pour attirer l’attention des parents sur ce point. Si dans les semaines qui viennent des opérations de vaccination sont organisées dans les établissements scolaires, seuls les enfants dont les parents auront clairement pris position contre cette « vaccination de force » auront la possibilité de la refuser.

Tous ces éléments me poussent aujourd’hui à vous transmettre cette information. Aujourd’hui le préfet du département du Lot vient de rendre publiques les mesures prévues pour la vaccination en masse. Plusieurs équipes mobiles seront déployées pour vacciner à tour de bras dans les écoles...

Mieux vaut prendre la précaution d’envoyer une lettre en recommandé avec accusé de réception au directeur de l’établissement scolaire, précisant clairement que vous êtes contre tout vaccin éventuel contre la grippe H1N1 sur votre enfant. Assurez-vous que votre bambin en garde un exemplaire toujours sur lui et garder vous-même un autre exemplaire à la maison.

Si vous êtes inquiets à l’idée que ce vaccin soit inoculé à vos enfants, prenez le temps de faire ce courrier. Si cet épisode de vaccination intervient rapidement, sans cette précaution urgente, il sera trop tard. Mieux vaut prévenir que guérir, n’est ce pas le principe de la vaccination ?

Source : http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/alerte-vaccination-de-force-63004

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12/10/2009 | Lien permanent

Epidémies provoquées par les vaccins de 1918 à nos jours

Epidémies provoquées par les vaccins

 

La fabrication des « pandémies »

Dr A. True Ott, PhD, ND 23/08/09. (Notes et extraits)

En 1921 l’Amérique entrait dans une période de véritable prospérité. La grande guerre était terminée, les usines travaillaient à plein rendement, les voitures étaient fabriquées en séries, les millionnaires se multipliaient. Les gens étaient en bonne santé et heureux en grande partie parce que la terrible maladie mystérieuse qui fut plus tard baptisée « grippe espagnole de 1918 »

était une chose du passé.

 

Deux années s’étaient écoulées sans que ne réapparaissent ces « morts mystérieuses ».

L’Amérique ne se priva pas de fêter la chose.

 

En fait, le public américain était si optimiste et heureux en 1921 que très peu de gens étaient malades. Pour la première fois depuis des dizaines d’années les lits d’hôpitaux étaient pratiquement vides !

 

La nouvelle et toute jeune Association Médicale Américaine créée par John D. Rockefeller juste quelques années auparavant était véritablement inquiète.

 

Les affaires dégringolaient.


Les bénéfices réalisés par la vente de vaccins et de médicaments s’effondraient. Il fallait faire quelque chose et il fallait agir vite. Pour résoudre le problème on décida de créer de fausses épidémies de variole afin de maintenir les « rentrées » de la mafia médicale.

 

C’est grâce à un groupe de citoyens lanceurs d’alerte de Kansas City, Missouri (dénommé « The Advertiser’s Protective Bureau »), que nous savons aujourd’hui que ce plan monstrueux s’est déroulé. Ce groupe de citoyens intentèrent un procès et poursuivirent en justice la Société Médicale Jackson, filiale de l’AMA dans l’état du Missouri.


Dans le rapport officiel du « Protective Bureau » on peut découvrir ce qui suit au sujet de cet affreux complot :

A l’automne 1921 la santé des citoyens de la ville était particulièrement bonne, mais pas tellementidéale pour les médecins. Les membres de la Société Médicale Jackson se réunirent et décidèrent de créer une épidémie dans la ville. Selon les termes mêmes du rapport de cette réunion : « UNE MOTION FUT DECIDEE ET APPUYEE EN VUE DE RECOMMANDER A LA COMMISSION SANTE DE

DECLARER UNE EPIDEMIE DE VARIOLE DANS LA VILLE (Les recherches ultérieures révélèrent qu’il n’y avait aucun signe d’épidémie à cette époque, ni dans la ville, ni dans la région, ni dans l’état !).

 

Une journée spéciale, appelée « La journée de la vaccination » fut décrétée. Au cours de cette journée de la vaccination, les médecins devaient se présenter dans toutes les écoles, cliniques, bâtiments publics et hôpitaux pour vacciner « gratuitement ».

 

« IL FUT EN OUTRE RECOMMANDE D’AVOIR RECOURS A LA PLUS LARGE PUBLICITE POSSIBLE POUR FAIRE COMPRENDRE QUE LA VACCINATION CONSTITUAIT UNE MESURE PREVENTIVE CONTRE LA VARIOLE EN SOULIGNANT L’ABSOLUE NECESSITE QU’IL Y AVAIT A VACCINER CHAQUE HOMME, CHAQUE FEMME ET CHAQUE ENFANT DE LA VILLE. »

 

Le « Protective bureau » a pu prouver devant le tribunal qu’AUCUNE EPIDEMIE N’EXISTAIT AVANT LES VACCINATIONS !! Les rapports du tribunal montrent que la Société Médicale a fait fabriquer d’énormes quantités de posters, de tracts, publier des annonces dans les journaux avec d’horribles et atroces photos d’enfants malades couverts d’ulcères et de plaies ouvertes varioleuses. Le message paniquant était clair : VACCINER TOUT LE MONDE ou subir la menace d’une maladie mortelle. Il y avait, disait-on, une « épidémie ravageante » dans la ville ; la maladie était« hautement contagieuse » et « frapperait tous ceux qui ne seraient pas vaccinés ». Voilà le genre d’informations qui circulaient !

 

Est-ce que tout ceci ne vous paraît pas familier quelque 88 années plus tard ?

L’attaque éclair de la propagande médicale mafieuse fut un succès : plus d’un million de citoyens américains qui étaient heureux et en bonne santé furent littéralement hypnotisés et terrorisés.

 

C’est ainsi qu’ils acceptèrent de se laisser inoculer les toxines vaccinales dans le sang. Tous les enfants fréquentant les écoles publiques de la région furent vaccinés à l’école même !

 

Les parents qui osaient se poser des questions sur la vaccination de leurs enfants furent vilipendés publiquement et rejetés.

LES RAPPORTS DU TRIBUNAL SUR CETTE QUESTION SONT TRES CLAIRS

 

Au cours des semaines et des mois qui ont suivi les « vaccinations de masse », tous les lits des hôpitaux de la région furent occupés par DES PERSONNES QUI AVAIENT CONTRACTE LA VARIOLE

 

A LA SUITE DES VACCINATIONS !


Des dizaines de milliers de personnes devinrent malades, des centaines et des centaines d’innocents perdirent la vie et davantage encore de citoyens restèrent handicapés à vie !


Et, il fallait s’y attendre, LES JOURNAUX ne tarirent pas d’éloges quant à la sagesse dont avait fait preuve l’establishment médical en faisant la promotion des vaccins, précisant que le nombre des décès aurait été bien plus élevé s’il n’y avait pas eu la campagne de vaccinations !!

 

Des millions et des millions de dollars de profit furent engrangés au cours de cette énorme escroquerie « médicale ».

 

Grâce aux lanceurs d’alerte du « Protective Bureau », l’énorme escroquerie fut dénoncée et fut l’objet de poursuites judiciaires qui finirent par aboutir.

 

Au cours du procès, trois faits étonnants furent démontrés au-delà de « tout doute possible » :

 

Fait n°1. Les photos et les posters utilisés par les « médecins » et qui montraient des enfants malades ou mourants N’AVAIENT RIEN A VOIR AVEC LES CAS DE VARIOLE DE L’ENDROIT COMME ON AURAIT PU S’Y ATTENDRE !

 

Le « Protective Bureau » put établir et prouver qu’il s’agissait d’enfants anglais pour lesquels la justice s’était prononcée et qui avaient été victimes de l’empoisonnement vaccinal !!

 

Plusieurs jugements eurent lieu en Angleterre. Tous les détails, photos de ces affaires sont repris dans un ouvrage qui porte comme titre « HISTOIRE ET PATHOLOGIE DE LA VACCINATION » par Edgar M. Crookshank, M.D. professeur de bactériologie au Kings College, Londres ;

 

Fait n°2. Les vaccins contenant des VIRUS VIVANTS (atténués) provoquent généralement plus de maladies que les vaccins pourraient éventuellement éviter.

 

Fait n°3 Les maladies provoquées par les vaccinations représentent un outil socio-économique extrêmement efficace. Elles sont capables de générer des retombées économiques de billions de dollars, tout en modifiant les structures sociales de larges couches de population.

 

Alors que le « Protective Bureau » gagnait devant les tribunaux, le peuple américain perdait sur toute la ligne. Ces affaires auraient dû faire la une de tous les journaux du pays, dénonçant le Modus Operandi de certains « médecins » corrompus. Les journaux auraient dû expliquer comment ces gens firent des profits de millions et de millions de dollars par la tricherie, la tromperie, alors que des milliers d’américains naïfs et confiants souffraient et mouraient.


Toute cette sordide affaire avec tous ses détails répugnants fut tue par la presse américaine. L’AMA (Association Médicale Américaine) de John D. Rockefeller s’en était assurée avec le pouvoir de ses millions de dollars d’influence !

 

Bien que des milliers de personnes soient mo rtes ou restées handicapées par ce massacre organisé, les médecins impliqués ne furent que dérisoirement inquiétés. Ils furent pénalisés d’une amende de pure forme. L’establishment médical en tant que tel ne fut pas le moins du monde inquiété par la révélation de ces faits et a continué à perpétrer les mêmes crimes contre l’humanité en provoquant des maladies dues aux vaccins. Ces médecins, ne furent nullement freinés dans leur zèle d’escroquer le bon peuple jusqu’à ce jour…

 

AUTRES EXEMPLES D’EPIDEMIES INDUITES PAR LES VACCINS

 

Cas n°1 : Les mêmes événements qu’à Kansas City se produisirent à Pittsburg, PA à l’automne 1924. Comme à Kansas City, un groupe de lanceurs d’alerte engagea une action en justice à l’encontre du Dr C.J. VOUX, directeur des services de santé à Pittsburg et ses collaborateurs.

 

Tout comme à Kansas City, les promoteurs du vaccin furent déclarés coupables. Le procès permit de mettre à jour le fait que plus d’un million de doses de vaccin furent « vendues » aux citoyens de Pennsylvanie, bien que pas un seul cas de variole ne fut déclaré dans toute la région.

 

Il fut clairement démontré que ce fut SEULEMENT APRES l’administration du million de vaccins que l’épidémie de variole se déclara. Cette « épidémie » fabriquée de toutes pièces de main d’homme entraîna 330 décès et au minimum 1.680 cas graves de variole avec dommages et invalidité permanente pour les survivants. Cette « épidémie » coûta en outre à la ville la somme de 3.069.616 dollars ! Bien que le Dr Voux et ses acolytes avaient engrangé plus de 10 millions de dollars (soins et hôpitaux), ils

ne furent pas contraints, en guise de réparation, de payer pour les dommages causés.

 

Comme pour l’affaire de Kansas City, une amende insignifiante fut infligée aux coupables et l’affaire ne fut jamais l’objet d’une large publication.

 


Cas n°2 : Les premiers lots du vaccin Salk contre la polio provoquèrent des milliers de cas de poliomyélite chez les vaccinés (L’un de ceux-ci concerna le président Franklin D. Roosevelt qui fut frappé quelques semaines après avoir reçu le vaccin). Cette situation fut attribuée à une quantité trop élevée de virus vivants dans le vaccin. C’est alors, en 1958 que le Dr Sabin mit au point son vaccin « amélioré » avec des virus vivants mais « affaiblis » ou « atténués ». L’année suivante son vaccin fut rendu obligatoire pour tous les enfants en âge d’école dans denombreux états. Le résultat : les cas de polio augmentèrent de 300 % dans ces états !

 

A titre d’exemples : au Tennessee, on relevait 119 cas de polio en 1958. Après la vaccination on en dénombra 386.


En Ohio on relevait 17 cas de polio en 1958. Ce chiffre passa à 52 en 1959. Au Connecticut on passa de 45 cas en 1958 à 123 cas en 1959. En Caroline du Nord : 78 cas en 1958 contre 312 cas en 1959, tout cela APRES avoir rendu la vaccination obligatoire pour les enfants des écoles. Au cours des dernières années, les SEULS cas de polio enregistrés ont été la suite directe des vaccinations.

 

 

Cas n°3 : C’est en 1976 qu’ont été perpétrés le fiasco et l’escroquerie de la « grippe porcine ».

 

Un soldat s’évanouit à Ft. Dix et meurt après avoir eu une réaction à un vaccin « expérimental », alors qu’il était sous l’effet d’un exercice physique intense, en l’occurrence une « marche forcée ».

 

Immédiatement le CDC entre en action et déclare que l’on peut s’attendre à UNE PANDEMIE DE GRIPPE PORCINE A L’ECHELLE NATIONALE. L’heureux hasard a voulu que le CDC soit justement en possession d’un stock de plus de 2 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine préparés à partir de virus vivants atténués et d’ADJUVANTS expérimentaux… 40 millions de vaccins sont alors administrés à des cobayes humains naïfs.


Quantité de maladies auto-immunes (Syndrome paralytique de Guillain Barré et lupus), de même que de nombreux décès sont immédiatement mis en relation avec le vaccin et… la campagne de vaccination massive est arrêtée…

 

En 1979 l’émission télévisée « 60 minutes » consacre un documentaire à ce scandale. Contre toute

attente et suite aux menaces de Big Pharma, ce programme parfaitement impartial ne sera diffusé QU’UNE SEULE FOIS.

 

Il n’y eut aucune suite, aucune mise en accusation. Il n’y eut ni jugement, ni procès !

Il est donc compréhensible que l’Amérique ait oublié ce scandale de la grippe porcine de 1976.

Voir : http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/...

porcine-de-1976-epidemie-d-effets-seco.html


Cas n°4 : Au cours de la première guerre du Golfe (Operation desert Storm), un vaccin

expérimental contre l’anthrax fut administré de force à 140.000 soldats. Ce vaccin expérimental contenait un adjuvant huileux appelé squalène. En dépit des volumineuses études menées dans de prestigieux laboratoires comme ceux de l’UCLA et qui en avaient montré le danger et la toxicité,. Les « huiles » militaires n’hésitèrent pas à donner le feu vert pour ces injections expérimentales.

Le résultat : ces 140.000 soldats furent atteints de ce qu’il est convenu d’appeler « le syndrome de la guerre du Golfe » Cette affaire sordide est expliquée très honnêtement dans un ouvrage de Gary Matsumoto appelé « Vaccine-A ».


TOUTES LES « PANDEMIES » MODERNES SONT CAUSEES PAR LES SERINGUES VACCINALES

 

Comme l’auteur de cet article l’a répété maintes fois au cours d’interviews radiodiffusés, La pandémie de grippe de 1918 a été le résultat direct de vaccins contre la fièvre typhoïde contaminés par virus vivants et qui avaient été administrés de force aux militaires américains et alliés au cours de la première guerre mondiale. A cette époque les virus n’étaient pas encore connus et on imaginait que les maladies avaient une origine bactérienne. Ces vaccins mortels contre la fièvre typhoïde furent fabriqués par les laboratoires de recherche de John D. Rockefeller, ainsi que par les laboratoires pharmaceutiques chinois.

 

Les souches vaccinales étaient réalisées à partir de virus récoltés chez des malades atteints de fièvre typhoïde et injectées à des troupeaux de porcs afin d’augmenter la réserve de matériel souche. Ces produits étaient ensuite injectés dans des oeufs de dinde et de poules pour permettre l’incubation des éléments pathogènes. Le produit final était ensuite injecté dans LES VEINES DE CENTAINES DE MILLIONS D’ETRES HUMAINS.

 

Il s’ensuivit une énorme pandémie qui enleva la vie à 50 millions de personnes à travers le monde.

Vaccine-Induced Disease Epidemic Outbreaks – The Engineering of « Pandemics »

By A.TRUE OTT, PhD, ND 23-08 ;2009.

http://www.rense.com/general87/indu.htm

 

Un million de fois plus de squalène dans le vaccin H1N1 que dans ceux qui provoquèrent la maladie de la guerre du Golfe

Par Gary Jacobucci - 25.08.09 (Notes et extraits)

http://www.rense.com/general87/mill.htm

[Cet article paru en anglais sur rense.com fait référence à une interview le 24-08-09 du Dr Laibow mettant en exergue la quantité très importante de l’adjuvant squalène dans certains vaccins H1N1 et les risques que cela comporte. Pour en savoir plus, Gary Jacobucci a mis en relation deux articles récents : l’un du Dr Anders Bruun Laursen, l’autre du Dr Russel Blaylock, neurochirurgien].

La présentation qu’a faite le Dr Laibow sur le squalène fut impressionnante. En cherchant des vérifications par rapport à ce « million de fois plus de squalène » que la quantité se trouvant dans le « vaccin A » qui a provoqué la maladie catastrophique de la première guerre du golfe (qui a ruiné les vies de centaines de milliers de soldats et tué des milliers d’autres), je suis tombé sur ces articles…

Quel est le danger des vaccinations contre la grippe porcine ?

Par le Dr Anders Bruun Laursen -

http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14851 - 20-08-2009

« […] Comme vous voyez, il n’y a pas de confusion en ce qui concerne les virus de la grippe porcine et celui de la grippe aviaire. Mais il y a un autre problème très important : le rôle du squalène.

 

La quantité moyenne de squalène dans le vaccin contre l’anthrax injectée aux soldats américains à l’étranger, comme dans le pays pendant et après la guerre du Golfe a été de 34,2 microgrammes par milliard de microgrammes d’eau [ppb - parts per billion]. C’est à cela qu’une étude attribue la cause du syndrome de la guerre du Golfe chez 25% des 697.000 américains aux Etats-Unis et à l’étranger.

On peut trouver les résultats d’analyses suivantes de la FDA (« from the Gulf War lots on the Military Vaccine Resource directory website » (4)

a) AVA 020 – 11 ppb squalène

b) AVA 030 – 10 ppb squalène

c) AVA 038 – 27 ppb squalène

d) AVA 043 – 40 ppb squalène

e) AVA 047 – 83 ppb squalène

 

Ces valeurs furent confirmées par le Prof. R.F. Garry devant la Chambre des Représentants. C’est le Prof. Garry qui a découvert le lien entre le syndrome de la guerre du Golfe et le squalène. Selon ses recherches, le syndrome de la guerre du Golfe a été provoqué par le squalène et ce produit a été interdit par un juge fédéral en 2004 pour son utilisation dans le cadre du Pentagone.

Comme on peut le voir sur la page 6 du document de l’EMEA, le vaccin Pandremix contient 10,68 mg de squalène par quantité de 0,5 ml. Ceci correspond à 2.136.0000 microgrammes par billion de microgrammes d’eau, ce qui revient à un million de fois plus de squalène que dans (4).

Il y a toutes les raisons de croire que ceci rendra les gens malades dans des proportions beaucoup plus élevées qu’en 1990/91. Ceci est pour moi réellement meurtrier. »

Le vaccin peut être plus dangereux que la grippe porcine

Par le Dr Russel Blaylock- 15-07-2009

http://socioecohistory.wordpress.com/2009/07/15/drrussel-blaylock-vaccine-may-be-more-dangerous-thanswine-flu/

« […] Ce qui est terrifiant c’est que ces vaccins pandémiques contiennent des ingrédients que l’on appelle adjuvants. Nombre d’études ont montré que ces produits pouvaient causer des maladies auto-immunes dévastatrices, comme l’arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus. Des études effectuées sur des animaux avec cet adjuvant ont montré le caractère meurtrier de ce produit. Une étude réalisée sur 14 cobayes a montré que quand cet adjuvant particulier fut injecté, un seul animal a pu survivre. Une nouvelle étude a montré les mêmes résultats meurtriers…

[…] J’ai fait une recherche sur pas mal d’études réalisées sur cet adjuvant et trouvé quelque chose de particulièrement intéressant. Plusieurs études réalisées sur des humains ont montré que le MF59 (le MF-59 contient deux principaux ingrédients inquiétants le squalène et le gp120 ) était un adjuvant immunitaire très sûr.

Mais quand j’ai vérifié qui avait réalisé ces études, j’ai trouvé sans surprise qu’elles avaient été réalisées par Novartis Pharmaceutical Company et Chiron Pharmaceutical Company qui ont fusionné. Ces études furent toutes publiées dans de « prestigieux » journaux médicaux. Ce qui ne m’a pas non plus étonné c’est que de nombreuses études réalisées par des laboratoires indépendants et des centres de recherches indépendants ont trouvé une très forte relation entre le MF-59 et les

maladies auto-immunes. Le squalène dans les vaccins a été fortement mis en cause dans le syndrome de la guerre du Golfe.

Au mois d’août 1991, Anthony Principi, Secrétaire aux affaires des vétérans admettait que les soldats qui avaient reçu le vaccin contre l’anthrax entre 1990 et 1991présentaient un risque 200 fois supérieur de développer la maladie meurtrière qu’est la sclérose latérale amyotrophique (ALS) que l’on appelle aussi la maladie de Lou Gehring. Les soldats souffraient aussi de nombre de maladies débilitantes raccourcissant la vie comme la polyarthrite nodosa, la sclérose en plaques (MS), le lupus, la myélite transverse, l’endocardite, la névrite optique avec perte de la vue et la glomérulonéphrite (un type de maladie des reins).

Le second ingrédient qui m’inquiète vraiment s’appelle le gp120, une glycoprotéine. Les chercheurs ont trouvé que quand ce produit était mélangé au squalène, la glycoprotéine devenait très fortement antigénique, c'est-à-dire qu’elle permettait la production d’une réponse immunitaire puissante et prolongée à la vaccination. En fait leurs études montrent qu’avec chaque dose, la forte réaction immunitaire dure plus d’un an. Maintenant ce qui est imbuvable c’est que cette glycoprotéine – gp120, un composant important de l’adjuvant vaccinal MF-59, est le même fragment protéinique qui fut isolé du HIV – le virus responsable de démence précoce chez les malades atteints du sida.

Des études ont montré que quand le gp120 est absorbé par les cellules microgliales dans le cerveau, il se produit une intense inflammation qui rend le cerveau susceptible de dommages excitotoxiques. C’est aussi la cause de la sclérose en plaques et de la névrite optique associée à des vaccins qui contiennent le MF-59.

Mais comment le gp 120 peut-il atteindre le cerveau ?

Des études portant sur d’autres adjuvants et qui ont utilisé des techniques de « marqueurs » ont pu démontrer qu’ils pénètrent généralement dans le cerveau après les vaccinations. Ce que la plupart des gens ne savent pas et même les médecins qui recommandent les vaccins, c’est

que la plupart de ces études réalisées par les compagnies pharmaceutiques font le suivi des patients pendant une ou deux semaines après la vaccination, alors que les types de réactions à ces produits peuvent prendre des mois ou même des années pour se manifester.

Il est évident que les fabricants de vaccins veulent faire des billions de dollars de profit avec cette pandémie promue par l’OMS et le gouvernement. …

Il faut cependant bien garder à l’esprit le fait qu’une fois que le vaccin a été injecté, il n’y a plus grand-chose que vous puissiez faire pour vous protéger – au moins par la médecine conventionnelle. cela voudra dire une vie entière de maladie invalidante et une mort prématurée. Il existe des moyens plus sûrs de se protéger de ce virus de la grippe comme de hautes doses de vitamine D3, des suppléments alimentaires et surtout une excellente alimentation. »

Références

(4) The Military Vaccine Resource Directory

http://www.mvrd.org/showpage.cfm?ID

 

A télécharger : http://www.scribd.com/doc/19150195/Epidemies-provoquees-par-les-vaccins-VERSION-CORRIGEE

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29/08/2009 | Lien permanent

USA : La police et les militaires s'entrainent à arrêter les réfractaires au vaccin

Selon certaines rumeurs, la police et les effectifs militaires s'exercent à mettre en place des points de contrôle afin de capturer les personnes qui refusent de prendre le vaccin de grippe porcine, tandis que les services de Santé préparent le terrain pour une campagne de vaccination de masse en avertissant que des problèmes de santé sérieux et potentiellement mortels seront associés au vaccin de H1N1.

Dans cette vidéo You Tube, une femme se présentant comme étant soldat, explique comment elle a participé à un exercice de répétition en Californie,  s'entrainant à mettre des barrages routiers et des points de contrôle, de telle manière que les autorités puissent vérifier qui a reçu le vaccin de grippe porcine. Ceux qui ont été vacciné seront équipés d'un bracelet RFID de façon à être localisé et suivi. A ceux qui n'ont pas pris le vaccin, il leur sera proposé de le prendre sur place et s’ils refusent toujours, ils seront acheminés dans un camp d'internement, selon ce témoignage.

http://www.youtube.com/watch?v=1qQ4iFI5Np8&feature=player_embedded
 

 

Cette personne doit se rendre publique en fournissant son nom et prénoms et son poste, parce qu'elle est déjà connue des autorités. En restant anonyme seulement au public, son témoignage peut être écarté, juste comme quelqu'un qui dit des propos diffamatoires sur You Tube. Cependant, ses propos concernant le suivi des personnes ayant pris le vaccin par l'intermédiaire de bracelets RFID reprennent un plan qui a déjà été bêta-expérimenté par les services de Santé.
L'ancien soldat de l'Etat du Kansas, Greg Evensen, a souligné ce point déjà en Juillet. « Vous a-t-on informé du plan massif de barrage routier, afin d'arrêter tous les voyageurs pour les équiper d'un bracelet  (bande en acier inoxydable équipée d'une puce) qui vous forcera à prendre l'injection ? » a écrit Evensen le 29 Juillet. « Le refuser ? Vous serez placés dans un autobus de la prison et transportés dans un camp de quarantaine. Que feriez-vous quand vos enfants ne seront pas autorisés à aller en cours sans le vaccin ? Que feriez-vous si vous ne pouvez pas aller sur votre lieu de travail sans les justificatifs du vaccin ? Pour faire vos courses? Allez à la banque ? Aller dans n’importe quel magasin? ? Prendre l'avion, l'autobus ou le train ? Utiliser les toilettes publiques ? Rien. Les policiers seront détestés, craints, dédaignés et rappelés à leur mission officielle.»

M. Evensen a formulé le commentaire suivant sur un événement survenu au Texas :

Les autorités à Boston ont déjà expérimenté une telle technologie, en vue de créer une « carte de vaccination » dressant les personnes qui ont pris le vaccin et celles qui ne l'ont pas pris, ou « créant un registre sur toute la ville de tout ceux qui ont reçu une vaccination de grippe, » comme décrit dans un article du Boston Globe.

http://www.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2008/11/21/boston_launches_flu_shot_tracking/

On a donné aux participants un bracelet avec un code d'identification unique, exactement comme décrit dans la video You Tube.
«Des spécialistes en maladie infectieuse de Boston et d'ailleurs prédisent que l'approche d'enregistrer tout le monde, pourrait s'avérer bien plus utile si quelque chose de plus sinistres frappait : une attaque bio-terrorisme ou l'arrivée longtemps crainte d'une épidémie globale de grippe. Dans de telles crises, le registre pourrait être employé pour dépister qui a reçu un vaccin ou un antidote particulier à un germe mortel, » selon l'article.
« N'importe quoi que vous puissiez faire pour améliorer le suivi de qui a été vacciné et qui ne l'est pas, c'est absolument essentielle, » a dit Michael Osterholm, directeur du Centre pour la Recherche des Maladies Infectieuses à l'Université du Minnesota. « Je souhaite que plus de villes fassent ce genre de chose. »
Tandis que les gouvernements ont publiquement soutenu les discussions sur les programmes de vaccination de masse obligatoires, leurs actions en coulisse,  indiquent qu'ils se préparent à une loi martiale médicale.

Une conférence internationale (
http://www.prisonplanet.com/preparing-for-martial-law-international-swine-flu-conference-to-be-held-in-washington.html ) sur la grippe porcine tenue récemment à Washington D.C., et suivie par les chefs des services de Santé à travers le monde, a comporté des ateliers sur les quarantaines imposées, les vaccinations de masse, et sur comment « contrôler et répandre les soulèvements sociaux et les désordres publiques. » Les personnes qui ont essayé d'accéder à la conférence représentant différents médias, ont été contraintes de faire demi-tour par les services de sécurité de la conférence.

http://www.youtube.com/watch?v=_FH2niIlHAQ



Comme nous l'avons rapporté plus tôt ce mois-ci, un document interne choquant décrit le plan du gouvernement Français pour imposer un programme de vaccination de masse de grippe porcine, à la population entière,  qui sera administrée dans des centres de vaccination régionaux et effectuée par des équipes spéciales, contournant complètement les établissements médicaux et les généralistes.

http://www.prisonplanet.com/french-government-plans-to-forcibly-mass-vaccinate-population.html

La loi est également passée aux États-Unis pour permettre aux équipes de vaccinations d’Etat d'aller de porte-à-porte, pour conduire les « interventions »  d'immunisation  et pour rechercher les personnes qui n'ont pas pris l’injection.

http://www.prisonplanet.com/health-care-bill-will-fund-state-vaccine-teams-to-conduct-%E2%80%98interventions%E2%80%99-in-private-homes.html

Il n'est pas clair comment les autorités prévoient d'imposer une telle campagne obligatoire de vaccination, particulièrement à la lumière d’une preuve anecdotique, suggérant qu'une grande majorité de la population refusera de prendre le vaccin. Des sondages réalisés au Royaume-Unis indiquent qu'une majorité d'infirmières et autres professionnels de la santé, les cibles prioritaires pour le premier round de vaccinations, refuseront d'être vaccinés.

http://www.prisonplanet.com/nationwide-revolt-against-mass-swine-flu-vaccination-accelerates.html

Il est probable que les menaces, l'intimidation et le retrait des droits et des convenances forcent la plupart des réfractaires à prendre l'injection. Une fois que les gouvernements commenceront à imposer les quarantaines et les interdictions de voyager pour les personnes n'ayant pas pris le vaccin, un nombre considérable sera susceptible de se plier.
Depuis que les ingrédients dangereux contenus dans le vaccin sont devenus publique, l'opposition aux programmes de vaccination de masse a considérablement augmenté.
Comme nous l'avons précédemment documenté, le vaccin de grippe porcine a été précipité dans les procédures de tests de sûreté, tandis que les gouvernements ont fourni aux entreprises pharmaceutiques l'immunité les couvrant de tout procès lié au vaccin causant la mort et des dommages.

http://www.timesonline.co.uk/tol/news/uk/health/article6694046.ece

Il a été précédemment révélé que certains lots du vaccin contiendront du mercure, une toxine liée à l'autisme et aux désordres neurologiques. Le vaccin contiendra également le Squalène, qui a été directement lié avec des cas de Syndrome de Guerre de Golfe et d'une multitude d'autres maladies débilitantes.
http://www.prisonplanet.com/washington-post-swine-flu-vaccine-will-contain-mercury.html
http://www.prisonplanet.com/12000-u-s-children-to-be-swine-flu-vaccine-guinea-pigs.html

Il a été aussi récemment signalé que le gouvernement Britannique a envoyé une lettre confidentielle aux neurologues leur disant d'être en état d'alerte concernant les cas de désordre du cerveau appelé Syndrome de Guillain-Barré (GBS), qui pourrait être déclenché par le vaccin. La CDC en Amérique a fait de même quelques semaines plus tard.

http://www.telegraph.co.uk/health/swine-flu/6038460/Doctors-told-to-watch-for-Guillain-Barre-syndrome-during-Swine-flu-vaccination-programme.html

http://www.prisonplanet.com/cdc-warns-neurologists-to-watch-for-nerve-disease-following-swine-flu-shots.html

Du fait que les dangers du vaccin soient devenus largement connus, les autorités se détachent de l'histoire en reconnaissant publiquement que des millions de problèmes de santé au lendemain d'une campagne de vaccination seront blâmées au vaccin, citant la débâcle de grippe porcine de 1976 quand le vaccin s’est avéré bien plus mortel que le virus réel.
Reuters signale que les agents de la Santé publique, « s’attendent à une avalanche de soi-disant rapports d'événements défavorables qui concerneront aussi bien des cas de mort, de maladie ou de tout autre trauma de santé qui se produiraient dans un délai de deux semaines après réception du traitement, en réaction à un nombre prévu de « un million de crises cardiaques, à 700.000 attaques et à 900.000 pertes. »

http://www.reuters.com/article/newsOne/idUSTRE58F3A720090916

« Nous allons être accablés avec des événements potentiels, » a dit Mike Osterholm, un expert en matière de Santé Publique à l'Université du Minnesota.
En se montrant tôt et en clamant que ces problèmes se seraient produits de toute façon,  avec ou sans vaccin de grippe porcine, les autorités se dédouane à l'avance de façon plausible en attendant que les effets secondaires du vaccin commencent à apparaître.
Un certain nombre de facteurs indiquent maintenant que les autorités en Amérique et en Europe ne préparent pas seulement des programmes de vaccination de masse, mais forment également la police et les militaires sur la façon dont ils doivent agir avec ceux qui refuseront de prendre le vaccin. Compte tenu du fait qu'environ 150 millions d'Américains possèdent une arme et seraient prêts à s'en servir pour défendre leurs familles contre la police et les troupes cherchant à les piquer de force, il semble peu probable que les services de Santé aux États-Unis emprunteront ce chemin.
Cependant, en mettant en place des interdictions de voyager, des interdictions d'école et d'autres formes générales de quarantaine, un bon nombre de ces réfractaires pourrait par la suite être intimidé pour prendre le dangereux vaccin.
Mais un bon nombre d'entre eux resteront fermes - et c'est probablement là où les camps d'internement et la loi martiale entreront en jeu.
Seulement en répandant l'exagération effrénée sur le relativement inoffensif virus de grippe porcine et en réaffirmant notre droit de refuser les procédures médicales conduites contre notre volonté, selon le code de Nuremberg, nous mettons en évidence ce canular qu’est la grippe porcine, qui est employé par les gouvernements comme un écran de fumée pour accélérer et mettre en application leur état policier.

Traduction
Alter Info
http://www.infowars.com/police-and-military-train-to-intern-swine-flu-vaccine-refusniks/

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19/09/2009 | Lien permanent

Baxter : L'OMS prépare une vaccination de masse forcée

L'OMS prépare une vaccination de masse forcée

http://www.dailymotion.com/video/x9zust_loms-prepare-une-vaccination-de-mas_news

 L'OMS prepare une vaccination de masse forcée
envoyé par tonino17. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

L'OMS prépare une vaccination de masse forcée
http://www.alterinfo.net/L-OMS-avance-en-secret-pour-mener-a-bien-son-projet-de-vaccination-obligatoire-et-son-programme-demographique_a34965.html


A écouter absolument conférence de Sylvie Simon & Marseille sur la vaccination:
http://www.dailymotion.com/user/tonino17/video/x9ibek_sylvie-simon-et-llp-conference-sur_news

Vaccin=Danger par LLP:
http://www.dailymotion.com/user/tonino17/video/xa8t60_vaccin-danger-par-lelibrepenseur_news

Un médecin Canadien déclare que la la vaccination de masse est une arme eugénique pour réduire la population :
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14312

Silence on Vaccine-Vidéos en 4 parties:
http://www.dailymotion.com/group/157376/video/x8lwte_silence-on-vaccine-part-14_news

Vaccins, vaccinations obligatoires, tout ce que vous devez savoir :
http://r-sistons.over-blog.com/article-33454289.html

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12/09/2009 | Lien permanent

L'OMS prépare en secret une vaccination de masse forcée

Argumentation de Jane Burgeimester

http://www.dailymotion.com/video/x9z472_loms-prepare-en-s...

L'OMS prepare en secret une vaccination de masse forcée

envoyé par cubalt. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

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06/09/2009 | Lien permanent

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