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Climategate : il faut annuler le Sommet de Copenhague

Annuler le Sommet de Copenhague, la seule solution pour empêcher l'étalissement du Nouvel Ordre Mondial !

 

Article paru sur le site de Solidarité et Progrès

Climategate : il faut annuler le Sommet de Copenhague
2 décembre 2009 - 20:50

2 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – Le directeur de l’Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia, Phil Jones, a aujourd’hui annoncé qu’il suspendait ses fonctions le temps d’une enquête indépendante sur ses travaux, suspectés d’avoir volontairement surestimé le réchauffement climatique. Cette décision fait suite aux révélations de la semaine dernière sur les « méthodes » scientifiques de la CRU et de ses collaborateurs. Rappelons que les travaux de ce centre ont servi de base à l’alarmisme du GIEC et de la propagande malthusienne sur les origines humaines de ce « réchauffement climatique ». Phil Jones avait déjà été inquiété pour destruction de données et refus de dévoiler ses méthodes de corrections des données météorologique brutes.

Cette annonce survient deux jours après que la Chine, l’Inde, l’Afrique du Sud, le Brésil et le Soudan aient menacé de quitter le Sommet de Copenhague si un traité légalement contraignant sur la réduction des émissions de CO2 venait à être adopté.

Derrière cette escroquerie scientifique lancée dans les années 1970, on trouve le vieil appareil impérial britannique mené par le Prince Philip, et qui vise à réduire la population mondiale, en particulier dans les pays du Sud. L’institution chargée depuis 30 ans de propager le mensonge du réchauffement et du CO2 humain est prise la main dans le sac.

En conséquence, la seule attitude saine pour les gouvernements serait d’annuler purement et simplement le sommet de Copenhague sur le Climat qui doit se tenir dans la capitale danoise du 7 au 18 décembre.


A lire :


L'ONU prête à diriger le Gouvernement Mondial de l'environnement
http://www.spreadthetruth.fr/?p=5901

Le mensonge du réchauffement climatique avait été planifié en 1961
http://www.spreadthetruth.fr/?p=5916

 

 

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04/12/2009 | Lien permanent

Cappadoce, Hopi, Dulce: tous reliés à nos ancêtres extraterrestres.

Extrait de la série Ancient Alien, des vestiges et histoires à couper le souffle ou rallumer votre chandelle.
 
Les bases souterraines de DULCE au Nouveau Mexique et l'histoire racontée par Phill SCHNEIDER, est-ce que cela vous rappelle quelque chose ?
 

Le Nouvel Ordre Mondial, les Illuminati-reptiliens et les ET (Grands gris).


Cappadoce Hopi Dulce: tous reliés à nos ancêtres extraterrestres.

 



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31/08/2012 | Lien permanent

Climategate : le scandale écolo dont on parle si peu

Bernard Mooney . les affaires.com . 04-12-2009

Blogue. Climategate. C'est le nom donné au scandale écolo qui devient un raz-de-marée internet.

En un mot : des courriels incriminants se sont retrouvés sur Internet. Ces courriels démontrent que des scientifiques ont
comploté pour empêcher d'autres scientifiques de publier les résultats de leurs résultats, uniquement parce qu'ils n'allaient pas dans le sens du réchauffement de la planète.

Déjà, le scientifique Phil Jones, de l'Unité de recherche climatique (CRU) de l’Université d’East Anglia, a choisi de démissionner.

La question : pourquoi en parle-t-on si peu?

Pour en savoir davantage, consultez les liens  ci-dessous:

http://www.institutmolinari.org/spip.php?article661


http://blogs.telegraph.co.uk/news/jamesdelingpole/100018847/climategate-goes-uber-viral-gore-flees-leaving-evil-henchmen-to-defend-crumbling-citadel/


http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/Climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html


http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/francois-cardinal/200911/27/01-925730-le-climategate-un-reel-scandale.php

Source : http://www.lesaffaires.com/blogues/bernard-mooney/climate...

 

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05/12/2009 | Lien permanent

Un énorme bolide a traversé le ciel français hier soir

Allez ça commence !

Avez-vous l'habitude de voir passer des bolides dans le ciel ?

Nous rappelons que si ce n'est pas un satellite qui est tombé que Nibiru arrive avec son cortège d'astéroïdes.
 

Un énorme bolide a traversé le ciel français hier soir

Le 22 octobre 2011 à 10h07
 
Par Jean-Baptiste Feldmann, Futura-Sciences
 

L'agitation est à son comble sur la toile où de nombreux internautes évoquent le spectaculaire passage d'un bolide dans le ciel français hier vers 21 heures. Nous rassemblons les témoignages sur notre forum d'astronomie.

Que s'est-il passé exactement au-dessus de notre pays hier soir ? A-t-on assisté à la désintégration d'un morceau du satellite allemand Rosat dont la chute est prévue ce weekend ou s'agit-il de la combustion d'une grosse météorite qui nous rappelle la découverte il y a quelques jours de deux de ces pierres célestes sur des toitures dans l'Essonne ? Ce qui est certain c'est que le spectacle a sans doute été de toute beauté, si l'on en croit les témoignages qui ont été postés sur internet toute la nuit, notamment sur notre forum d'astronomie. Les observateurs, principalement de la région parisienne, décrivent le passage d'une boule de feu qui a traversé une grande partie du ciel (qui par chance était dégagé), une énorme étoile filante.

Une caméra de surveillance installée à La Ferté Alais (Essonne) a même saisi le passage du bolide (image ci-dessous). Témoignages et photographies sont rassemblés dans la discussion météore - Seine et Marne. Venez y raconter ce que vous avez vu avec le maximum de précisions pour que les spécialistes puissent mieux cerner la nature et la trajectoire de ce bolide.

Première image du bolide du 21 octobre 2011 (longue trace lumineuse en haut de la photo) obtenue par une caméra de surveillance du ciel installée dans l'Essonne, à La Ferté Alais. © www.futura-sciences.com/Phil91590
Première image du bolide du 21 octobre 2011 (longue trace lumineuse en haut de la photo) obtenue par une caméra de surveillance du ciel installée dans l'Essonne, à La Ferté Alais. © www.futura-sciences.com/Phil91590

http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/astronomie/d/un-...


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22/10/2011 | Lien permanent

Climategate, deux autres « chercheurs » sous le coup d’une enquête


Climategate, deux autres « chercheurs » sous le coup d’une enquête
3 décembre 2009 - 18:13

 

 

3 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) - Après la démission forcée du « Dr » Phil Jones, chef de l’Unité de recherche sur le climat (CRU) de l’Université d’East Anglia, soupçonné d’avoir manipulé les données statistiques sur le réchauffement du climat en faveur de ses théories fumeuses, deux de ses collaborateurs aux Etats-Unis font face à des enquêtes. Il s’agit de Michael Mann, à l’Université de Penn State, et de Malcom Hughes, à l’Université d’Arizona.

Michael Mann est le très célèbre inventeur du graphique en forme de « crosse de Hockey », une reconstitution frauduleuse de la courbe bien documentée du réchauffement médiéval des Etats-Unis qui couvre la période de 800 à 1300 ans après JC. Pour sa courbe Mann prend plutôt la période de 1000 – 1900. Pourquoi ? Parce que ne couvrant qu’une période de forte croissance de l’humanité, elle lui permet de « confirmer » sa thèse que le réchauffement climatique est provoqué par l’activité économique de l’homme ! Pour ce qui est de Malcom Hughes, collaborateur de Mann et de Jones, il aurait déjà reçu un avertissement contre toute tentative de détruire les traces de ses « recherches », car une enquête est imminente.

Notons aussi qu’aux Etats-Unis, le Sénateur James Inhofe exerce une forte pression pour obtenir une enquête sur les fraudes révélées par les courriels « hackés » du CRU de l’Université d’East Anglia. En Angleterre, dans une interview à la radio le 27 novembre dernier, Lord Christopher Monckton, chef de file de l’opposition aux thèses du réchauffement climatique dans ce pays, a proposé qu’au Royaume Uni, les poursuites soient menées dans le cadre de la Loi sur les fraudes, alors qu’aux Etats-Unis la procédure RICO serait la plus appropriée.

Après la défaite au Sénat australien (41 contre 33) d’une loi organisant le commerce des droits d’émission de carbone, l’opposition grandit à l’échelle internationale contre la fraude du réchauffement climatique.

http://www.solidariteetprogres.org/article6065.html


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04/12/2009 | Lien permanent

La BBC dit «plus de mensonges que les nazis», pour un indépendantiste écossais

Les boîtes à propagande ! Une de plus à rajouter au tableau !

La BBC dit «plus de mensonges que les nazis», pour un indépendantiste écossais

17 oct. 2015, 20:52

Une pancarte pour le "oui" à l'indépendance de l'Ecosse

Une pancarte pour le "oui" à l'indépendance de l'Ecosse

Le Parti national écossais (PNE) accuse la chaîne britannique de parti pris pour l’union du Royaume-Uni, et estime que les indépendantistes y sont sous-représentés.

Présent à une conférence du PNE (le plus grand parti indépendantiste de la nation), Ewan Angus, rédacteur des programmes de la branche écossaise de la BBC, a été interpellé par des activistes. Ceux-ci ont accusé la chaîne de favoriser le parlement de Westminster, favorable à l’union du Royaume-Uni. Selon les militants, les exploits du tennisman écossais Andy Murray (qui s’était prononcé en faveur de l’indépendance) y seraient sous-représentés, de même que les mouvements indépendantistes en général.

A l’occasion d’un discours qu’il tenait à la conférence de vendredi, Phil Greene, un membre du PNE, a laissé entendre que la chaîne mentait plus que les nazis. Il a ainsi évoqué le fait que le propagandiste du IIIe Reich, Joseph Goebbels, estimait que «la BBC avait un plus grand mélange de demi-vérités et de mensonges que les Allemands», avant d’ajouter : «je ne pense pas que les choses aient tellement changé».

Déjà l’année passée, lors du référendum sur l’indépendance de l’Ecosse, des manifestations de partisans du «oui» avaient pointé du doigt un parti pris de la part de la chaîne britannique. Ewan Angus s’est quant à lui défendu que ses programmes soient biaisés, tout en reconnaissant que la BBC devait travailler à améliorer son «offre pour le public d’Ecosse».

En savoir plus : Le Premier ministre de l'Ecosse ne veut plus d'une BBC à la sauce anglaise sur son territoire

 

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18/10/2015 | Lien permanent

Les projets obscurs de la FEMA - USA

Et surtout quand la FEMA vous proposera de vous sauver la vie ! FUYEZ !

 

La chute de Jefferson
L
es projets obscurs de la FEMA

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Depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, la défense américaine, sous couvert de ses services de protection civile, conçoit des plans militaires dont certains prévoient des systèmes de camps de détention en mesure d’accueillir des milliers de personnes en cas de crise majeure. Parallèlement, de nombreuses lois liberticides ont régulièrement été promulguées par les présidences américaines successives. Quelle est la raison d’être de ces camps ? Le gouvernement américain est-il en passe de devenir un Etat police dirigé par une dictature militaire ? Karmapolis fait le point sur ces programmes obscurs de gestion des masses.

Nous aimerions croire que les camps de concentration font partie d'une sombre page de notre histoire. Que, depuis bien longtemps, il n’y a plus de place pour les dictateurs dans nos sociétés occidentales. Que nous sommes à l'abri des extrêmes. Mais les erreurs d’hier pourraient bien se reproduire aujourd’hui. En témoigne cette affaire, amplement documentée, qui rapporte l'existence de plus de 600 camps d'internements civils disséminés aux quatre coins des Etats-Unis. Des camps entourés de miradors. Des camps desservis par des voies ferrées, par la route et parfois même par un aéroport. Des camps vides, mais gardés 24h sur 24h par du personnel militaire. Des camps qui abritent des wagons ressemblant étrangement à des convois de déportation. Des camps dormants qui se languissent d'accueillir, mais d'accueillir qui?  Et pourquoi ?

De nombreuses photographies et films circulent sur Internet. Des témoins décrivent ce que les activistes tendent à considérer comme de véritables sites concentrationnaires. Certains n'hésitent d'ailleurs pas à les comparer aux tristement célèbres camps nazis. Un film (1) tourné à Beach Grove dans l'état d'Indiana montre l’un d’entre eux. La voix off décrit : « Nous nous trouvons dans un immense parking. Nous sommes entourés d’une clôture dont la partie supérieure est coiffée de fils barbelés. Sur le toit du bâtiment opposé se trouve une caméra de surveillance dirigée sur le parking. Des manches à air ont été installées pour diriger des hélicoptères. Toutes les mesures de sécurité prises ici sont particulièrement inhabituelles car il s’agit d’une région très peu touchée par le crime et ce site, qui n’est finalement rien d’autre qu’une ancienne station de réparation de trains, ne contient aucun objet qui vaille la peine d'être volé. A côté du parking, vous pouvez voir un immense bâtiment en briques qui serait approprié pour du traitement industriel. A côté de celui-ci, il y a un accès direct à la voie ferrée, elle-même « contenue » entre deux clôtures. Un train en dépôt arbore les inscriptions « US Army ». Une multitude d’entrepôts sont visibles de l’autre côté du parking. Ce site est supposé avoir été fermé en 1993 afin d’être rénové. Il a d’ailleurs bénéficié de 7 millions de dollars de la part du gouvernement fédéral. Les manches à air et les marques au sol sont présentes partout sur le site. Un seul petit bâtiment permet d’entrer dans la zone protégée. (NDA : l’équipe entre). Ici, à l’intérieur, regardez mieux les tourniquets. Ils sont activés électroniquement.  Ce sont des barreaux de prisons (NDA, c’est un système d’accès au compte-goutte). Les travaux de rénovations qui ont été effectués consistent en l’installation de miradors, de tourniquets électroniques et des revêtements en béton. En outre, des lieux n’ayant jamais été chauffés ces 20 dernières années bénéficient maintenant de chauffages. La partie supérieure des miradors est courbée vers l’intérieur afin d’empêcher les gens de sortir. A côté de la voie ferrée, entre les clôtures, sur les quais, il est indiqué « Red Zone » et sur la clôture sont attachés de petites pancartes numérotées et séparées les unes des autres par intervalles courts et réguliers comme s’il était prévu d’y  aligner des personnes à la sortie d’un wagon. La présence des manches à air confirme qu’il faut s’attendre à un trafic aérien soutenu sur toute la zone. Et là haut, se trouve une imposante antenne radio. Plus loin, dans la zone des entrepôts, il y en a un dont l’entrée est visible, là aussi, le tourniquet constitue le seul accès vers l’intérieur. Toutes les fenêtres et les portes des entrepôts ont été condamnées et à l’extérieur, de toutes nouvelles conduites de gaz ont été construites. Regardez, tandis que nous filmons, un hélicoptère noir vole au-dessus de nous, il observe ce que nous faisons. Les lignes et les conduites de gaz courent tout le long des bâtiments et aboutissent dans de grands fourneaux. On trouve pas mal d’équipements de l’armée ici. On a aussi observé des zones référencées « Green zone » et « Blue zone », chacune très grande et capable de détenir beaucoup de personnes. Les voies ferrées ont été complètement refaites par endroits. Une grande tour de contrôle domine le camp et quatre haut-parleurs y sont accrochés. »

Derrière ces camps se dresse la FEMA (Federal Emergency Management Agency), l’agence gouvernementale chargée de la prévention et de la gestion des catastrophes naturelles. Depuis le début des années 80, celle-ci a connu de nombreuses transformations significatives qui ont fait d’elle une institution aujourd’hui incontournable en matière de gestion des urgences. Bien qu’elle ait été créée pour protéger les civils des catastrophes naturelles, sa mission, maintes fois redéfinie par le gouvernement, se concentre à l’heure actuelle sur la prévention des risques liés au terrorisme. Les changements d’objectifs survenus au fil de l’existence de l’agence ont permis de loger protection et défense civiles à la même enseigne. Une alliance consolidée par l’intégration de la FEMA au nouveau Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security) créé en 2003 par l’administration Bush.
La gestion des urgences est un créneau derrière lequel se profilent beaucoup de possibilités. En effet, quelque puisse être la nature de l'urgence, la menace qu’elle entraînerait pour la continuité du gouvernement américain justifierait la déclaration de la loi martiale qui, elle-même, propulserait la FEMA à la tête du pays. Une fois le gouvernement provisoire instauré, les lois d’exception seraient activées, ainsi que les programmes impliquant les camps d’internements civils. La planification du fonctionnement de l'Etat en cas de crise nationale dépend donc de toute évidence d'une stratégie qui, dans ce cas-ci, a été élaborée dans le cadre d'un plan militaire bien ficelé.

Un plan pour contrôler les masses et emprisonner les dissidents

Les camps de concentration n’ont jamais cessé d’exister. L’idée fut d’abord naturellement importée outre-Atlantique. En effet, après la Seconde Guerre Mondiale, le Congrès américain ratifia un système de camps de détention qui faisait partie du Internal Security Act de 1950, une loi prévue pour lutter contre l’infiltration des communistes aux Etats-Unis. Ce système fut repris par la FEMA lors de sa création en 1979 et ensuite par le Département de Sécurité Intérieure en 2003. Les premières unités furent établies dans le cadre du plan d’urgence Security Portfolio qui, mis en œuvre, permettait au Président Truman de suspendre la Constitution et au FBI d’arrêter jusqu’à 20.000 personnes destinées à être placées en détention sans passer par la case procès.  Le FBI était également en charge d'établir les camps et de dresser des listes de surveillance reprenant les noms d'individus considérés dangereux pour la sécurité intérieure du pays. Depuis, les plans auraient mûri et les listes auraient été mises à jour.  

Il faudra attendre 1987 pour que l’existence des camps soit portée à la connaissance du public. Cette année-là fut marquée par le scandale IRAN-CONTRA, une sombre affaire de vente d'armes à l'Iran dont les profits furent utilisés pour financer illégalement les Contras, une organisation terroriste de droite au Nicaragua. Une Commission d’enquête fut établie. Sur le banc des accusés se trouvait le Colonel Oliver North, un personnage clé dans l’affaire qui nous intéresse puisqu’il était l’architecte d’un plan militaire de défense civile, le plan Rex 84, commandé par nul autre que le directeur de la FEMA, Louis Giuffrida.

Rex 84 était une initiative conjointe de la FEMA et du Département de la défense qui mettait en scène une agitation civile conduisant à une situation d’urgence nationale. En 1984, durant des exercices de simulation, les militaires furent habilités à déclarer la loi martiale et à mettre en place un gouvernement accrédité pour ordonner des mouvements de population tant au niveau régional que national. Cette mise en situation prévoyait l’emprisonnement de 400.000 personnes et leur déportation dans des camps d'internements. A l'époque, les artisans de Rex 84 invoquent le danger d'une traversée massive de réfugiés en provenance d’Amérique centrale ou du Mexique. Cependant, cette version dissimule un plan obscur visant la détention de dissidents politiques étasuniens et dont la particularité est de fonctionner grâce à une série de lois d'exceptions émises entre 1969 et 1984. Ces lois fournissent tous les ingrédients à la mise en place d'une dictature : suspension de la Constitution, augmentation de la surveillance des citoyens et limitation de leur liberté de mouvement, enregistrement de tout homme, femme et enfant, saisie des propriétés individuelles, organisation et contrôle des moyens de production et des flux financiers, rappel des forces  militaires détachées, saisie et contrôle de tous les moyens de transport, régulation des entreprises privées et limitation des voyages. A ces éléments s'ajoute une autre loi stipulant cette fois qu'en cas d'urgence nationale, le Congrès ne peut intervenir sur les affaires d’Etat durant les 6 premiers mois.

Ces 12 dernières années, plusieurs contrats de construction de camps de détention ont été signés entre le gouvernement américain et diverses entreprises. Le prétexte d’une arrivée massive de réfugiés en provenance des pays limitrophes des Etats-Unis semble bien fonctionner puisqu’il reste une excellente façon de justifier lesdits contrats. 

Contrats juteux dans l’industrie de la construction

Début 2006, la presse américaine annonce que Kellogg Brown & Root, une filiale d’Halliburton, un groupe de bâtiments et travaux publics, a obtenu un contrat de 385 millions de dollars avec L’Armée de Corps des Ingénieurs, un montant destiné à la construction de camps de détentions. Dans le New York Times, Jamie Zuieback, la porte-parole de l’Immigration et du Renforcement des Douanes déclarait à ce sujet : « c’est le genre de contrat qui pourrait être utilisé dans une sorte d’immigration de masse ». Et d’ajouter que Kellogg Brown & Root ne construirait les centres qu’en cas d’urgence extrême telle qu’une arrivée massive de Cubains sur le territoire américain. Elle soulignait par ailleurs que les camps ne seraient peut-être d’ailleurs jamais construits si la nécessité ne se présentait pas. Pour Clayton Church, porte-parole de l’Armée de Corps des Ingénieurs la question était claire : « si des clandestins arrivent massivement aux Etats-Unis, comment allons-nous les nourrir, les loger et les protéger ?  C’est pour cela que ces contrats existent ». Selon lui , les centres pourraient être d’anciens sites militaires inutilisés ou des structures temporaires d’une capacité de 5000 personnes par  unité. A noter que Kellogg Brown & Root avait, d’une part, bénéficié d’un contrat similaire pour la période 2000-2005 et, d’autre part, d’un contrat visant la construction d'unités pénitentiaires en Afghanistan et en Irak.

Quelques années auparavant, Phil Schneider, un ancien ingénieur du gouvernement impliqué dans l’élaboration de bases militaires souterraines secrètes, attirait déjà l’attention de son public sur l’existence de ce type de contrat. En effet, peu avant sa mort, lors d’une conférence tenue en mai 1995 à Las Vegas, il expliquait avoir rencontré un employé de la Gunderson Steel Fabrication, une entreprise spécialisée dans la construction de trains et de voitures ferroviaires : « Un jour, il vint me voir, très perturbé en m'affirmant "qu'ils construisaient en fait des wagons pénitentiaires ". Il était nerveux. Gunderson, affirma-t-il, a un contrat avec le gouvernement fédéral qui prévoit de construire près de 107.200 wagons de transport de prisonniers tout équipé chacun de 143 paires de menottes. Il y a en fait 11 sociétés sous-traitantes dans ce gigantesque projet. Gunderson a probablement reçu une somme de 2 milliards de dollars pour ce contrat. Les aciéries Bethlehem ainsi que d'autres fournisseurs sont impliqués dans cette affaire. Cet homme m'a montré l'un de ces wagons de transport de prisonniers qui était stationné sur une voie de service au nord de Portland. Il avait raison. Si vous multipliez 107.200 par 143 et par 11, vous obtenez un chiffre avoisinant les 15 millions. Ce chiffre correspond sans doute au nombre d'individus qui entreront en dissidence avec le gouvernement fédéral. (…) Je crois aussi que le gouvernement américain mène une véritable stratégie afin de mettre en esclavage le peuple américain. Je ne suis pas un très bon orateur et je ne me tairai que lorsque l'on me tirera dessus car il me semble indispensable de révéler (…) l'existence de ce genre d'atrocité. »

 

Le gouvernement fédéral américain est suspecté d’avoir commandé la construction de plus de 100.000 wagons de transport de prisonnier dont la finalité reste mystérieuse.
(source de l'image : Issues and Alibis)


Selon tbrnews.org, il semblerait que le Département de la Sécurité Intérieure ait également commandé à la société israélienne Israeli Prison Systems, la construction de 110 camps d’internement dans des régions inhabitées des Etats-Unis, ainsi qu’en Alaska. En juin 2007, l’entreprise israélienne aurait eu fini de construire 65 camps s’ajoutant aux 600 déjà existants. Cette information reste difficile à vérifier. Néanmoins Naomi Klein, une journaliste activiste indépendante, a écrit : « Gaza, plus qu’une prison, un laboratoire pour un monde-forteresse (2) », un article qui démontre qu’Israël utilise la population palestinienne entière pour mettre au point son industrie d’équipement de sécurité destinée à être vendue dans le monde entier. Ces révélations confirment l’éventualité d’un lien contractuel entre le gouvernement américain et Israeli Prison Systems.

Le tableau se complète peu à peu : il existe donc des contrats pour construire des camps de détention et un plan militaire pour les faire fonctionner. Existe-t-il des camps actifs ? En fait, dans une certaine mesure, les camps de détention des prisonniers de guerre actuellement utilisés à Guantanamo par exemple sont de type concentrationnaire. Ceux-ci donnent d'ailleurs un aperçu du comportement des militaires lorsque carte blanche leur est donnée.

Abou Ghraib et Guantanamo, des modèles pour la FEMA ? 

Les associations de défense des droits de l'homme se sont régulièrement insurgées ces dernières années contre les conditions de détention des prisonniers de guerre dans les centres pénitenciers américains.

Début 2004, des photos prises par des soldats américains dans la prison d'Abou Ghraib, située en Irak créent le scandale. La presse internationale diffuse les images de prisonniers torturés, attachés par des câbles électriques, obligés de poser nus et menacés par des chiens de garde. Dans un rapport publié la même année, Amnesty international dénonce : « Les exactions ne se sont pas produites seulement à Abou Ghraib. De nombreuses personnes détenues sur les bases aériennes de l’armée américaine à Bagram et Kandahar en Afghanistan ont déclaré avoir été soumises à des actes de torture et d’autres traitements cruels, inhumains ou dégradants lors de leur détention ; l’administration américaine n’a pas non plus respecté les Conventions de Genève en ce qui concerne les détenus de Guantánamo. (…) Un ancien prisonnier de Guantánamo, Wazir Mohammad, a parlé à Amnesty International d’un usage excessif et cruel des chaînes aux pieds et des menottes aux mains, de la privation de sommeil et de l’obligation qui lui était faite de ramper à genoux, de sa cellule à la salle d’interrogatoire, au cours de sa détention en Afghanistan. À Bagram et Kandahar, il avait été détenu au secret, sans jamais avoir la possibilité de contester la légalité de sa détention, sans avocat et sans contact avec sa famille. (…) Un autre ancien détenu de Guantánamo, Walid Al Qadasi, a été détenu au secret dans un centre de détention à Kaboul. Il a expliqué que les prisonniers appelaient leur première nuit d’interrogatoire par des agents américains « la nuit noire ». Il a déclaré : « Ils ont découpé nos vêtements avec des ciseaux et nous ont photographiés nus...ils nous ont menotté les mains derrière le dos, nous ont mis un bandeau sur les yeux et ont commencé à nous interroger ... ils m’ont menacé de mort, m’ont accusé de faire partie d’Al Qaida. » Selon lui, on privait les détenus de sommeil, notamment en leur mettant de la musique très fort. Une personne ayant travaillé à Guantánamo a déclaré à Amnesty International que la quasi totalité des détenus avec qui il avait eu des contacts, lui avaient dit avoir été victimes de sévices physiques a Kandahar ou à Bagram. Cette personne n’a montré aucune surprise face aux informations en provenance d’Irak et a expliqué que les violences physiques en Afghanistan semblaient faire partie du processus de préparation des détenus aux interrogatoires et à la détention. (…) Parmi les exemples cités, on a noté des coups de pied et de poing donnés aux détenus ; le fait de sauter sur leurs pieds nus ; de forcer les détenus à prendre diverses positions sexuelles explicites pour les photographier ; de faire monter un détenu entièrement nu sur un carton, un sac de sable sur la tête et d’attacher des électrodes à ses doigts, à ses doigts de pieds et à son pénis pour mimer la torture électrique ; de mettre un collier de chien ou une laisse au cou d’un détenu entièrement dévêtu et de le prendre en photo avec une femme soldat posant près de lui. »

Le journal Le Monde publiait, en octobre 2004, le témoignage de la dernière femme du camp d’Abou Ghraib, Houda Al-Azzawi, une femme d’affaire irakienne : "Je suis arrivée à Abou Ghraib le 4 janvier 2004. On m’a donné le matricule 156283 et une cellule de 2 m-. J’y ai passé 197 jours et subi trente interrogatoires. (…) Le scandale des photos d’Abou Ghraib, je ne l’ai appris qu’à ma sortie. Elles n’ont pas été prises dans notre section, mais nous avons tous été témoins de scènes similaires, ou pires. J’ai vu des hommes à qui les soldats faisaient rentrer de force des bouteilles d’eau dans le derrière."

Le Président Bush déclarait 2 ans plus tard que la prison d'Abou Ghraib était la plus grosse erreur des Américains en Irak. Onze soldats furent jugés et condamnés, mais étonnement tous les hauts gradés furent blanchis.

Au sortir de Guantanamo, les témoignages se succèdent aussi. Le rapport d’Amnesty International sur un ex-détenu est représentatif du modus operanti de l’armée américaine : « Sami al Hajj a été détenu au Pakistan du 15 décembre 2001 au 7 janvier 2002. Son passeport lui a été confisqué, ainsi que sa carte de presse et son visa pour le voyage en Afghanistan. Le 7 janvier, il a été remis aux autorités des États-Unis qui l’ont transféré à la base étasunienne de Bagram en Afghanistan. Sami al Hajj a décrit les seize jours de détention qu’il a passés à la base de Bagram comme les pires de sa vie. Il a, dit-il, été violemment torturé, agressé par des chiens, enfermé dans une cage placée dans un hangar à avions glacial ; les rations alimentaires étaient insuffisantes et la nourriture était souvent gelée. Il a ensuite été transféré à Kandahar où les sévices ont continué. Sami al Hajj décrit comme suit les traitements qu’il y a subis : Il a été agressé sexuellement par des soldats étasuniens, qui ont notamment menacé de le violer. Il a été contraint de garder des positions douloureuses forcé de rester agenouillé sur des sols en ciment pendant de longues périodes. Il a été régulièrement roué de coups par ses gardiens. On lui a arraché un à un tous les poils de sa barbe. Il n’a pas été autorisé à se laver pendant plus de cent jours et il était couvert de poux. Sami al Hajj a été transféré à Guantánamo le 13 juin 2002. Pendant toute la durée du vol il est resté enchaîné, bâillonné, la tête recouverte par une cagoule. S’il s’endormait les soldats le frappaient sur la tête pour le réveiller. À Guantánamo Sami al Hajj n’a pas cessé d’être interrogé sur les liens éventuels existant entre ses employeurs et les islamistes extrémistes. Il a dit que lors de son premier interrogatoire il avait été privé de sommeil pendant plus de deux jours. (…) Il affirme avoir été soumis à toute une série de mauvais traitements et avoir été privé de soins médicaux :  des gardiens ont brisé une de ses rotules en la frappant violemment avec leurs pieds. On lui a administré des coups sur la plante des pieds. À son arrivée à Guantánamo, des chiens de l’armée ont été utilisés pour l’intimider. Il a été l’objet d’insultes racistes et ses périodes de détente ont été réduites parce qu’il était noir. Avant d’être autorisé à voir les agents de renseignement soudanais venus à Guantánamo pour l’interroger, il dit avoir été enchaîné et aspergé de gaz poivre. »

Des récits comme ceux d'Abou Ghraib et de Guantánamo, il y en a pléthore. Cependant, ils ne montrent que la partie visible de l’iceberg. Il semblerait que les camps de détentions des prisonniers de guerre soient de gigantesques laboratoires humains où seraient expérimentées de nouvelles technologies visant à altérer et manipuler la conscience humaine.  Dans un article publié par le Nouvel Observateur en décembre 2004, l’avocat Jacques Debray dévoile que ses clients, Nizar Sassi et Mourad Benchellali, deux ex-détenus de Guantánamo, ont l’impression d’avoir été victimes d’expérimentations : «Nizar m’a raconté qu’ils avaient aussi été enfermés dans une pièce équipée d’une glace sans tain où il faisait extrêmement froid. Ils ont aussi raconté qu’il existait des pièces où était diffusée de la musique ultra-violente. Une fois, suite à la prise d’un de ces médicaments, il a perdu connaissance et a eu l’impression d’être resté un ou deux jours inconscient. Ils ont aussi eu des injections. Ils ne savaient pas quel genre de médicaments on leur donnait, mais tous deux ont affirmé qu’un de leurs co-détenus avait été couvert de boutons après avoir pris un de ces médicaments, et plus largement ils se demandaient s’ils n’étaient pas victimes d’expérimentations. Les fioles qui contenaient les médicaments portaient des numéros, et un médecin passait les voir pour leur demander quels effets avaient les médicaments. Ils n’ont pu voir le médecin, en dehors de ces questionnaires, qu’à une ou deux reprises, parce qu’à Guantanamo tout fonctionnait sur le système de récompense. Nizar a par exemple été contraint d’attendre un an pour voir un dentiste. Il y avait à Guantanamo un nombre impressionnant de psychiatres (…) il existe des unités réservées à ceux qui étaient devenus fous.»

Les psychologues de la Behavioral Science Consultation Team (BSCT) étudient la personnalité des prisonniers pour cerner leurs faiblesses et les signaler à leurs futurs tortionnaires.

Ces expériences sont conduites par un groupe de psychologues connu officiellement sous le nom de Behavioral Science Consultation Teams (BSCTs) (3). Ses méthodes ont été observées par le FBI qui fut chargé de mener l'enquête à Guantánamo à la suite des allégations propagées dans la presse internationale.  En vertu de la loi sur la liberté de l'information, l’American Civil Liberties Union (ACLU) est parvenue à obtenir des échanges d’emails du FBI sur ce sujet. Certains d’entre eux sont disponibles sur le site du Centre des droits humains de l'Université du Minnesota. Dans une note référencée FBI 2776, on peut lire : «Une fois que les détenus sont identifiés, ils deviennent des projets. (…) J’ai rencontré  le BISC (Biscuit) (NDA : jeu de mots désignant le BSCT), ce sont des personnes d’une grande ressource. Ils savent tout de chaque détenu, à qui ils parlent, qui sont les chefs, etc. (…) Nous nous battons toujours avec le DHS (NDA : Département de la sécurité intérieure) qui quotidiennement a un impact négatif sur ce que nous essayons de faire. Hier soir, j’observais une interview (…) la pièce adjacente, observable depuis la cabine de contrôle, était occupée par deux enquêteurs du DHS montrant à un détenu des films pornographiques homosexuels et utilisant un stromboscope dans la pièce.»

 

Les prisonniers du  centre pénitencier de Guantanamo ont été soumis à de nombreux sévices physiques et psychologiques dénoncés par les organisations internationales de défense des droits de l’homme. Parmi les sévices subis par les prisonniers du camp pénitencier de Guantanamo, l’isolement mental par la privation des sens.

 

Guantánamo et tous les autres camps situés au Moyen Orient font partie d’une seule et même réalité, non d’une fiction. Le corps militaire soutenu par le Président en personne s’autorise à bafouer les droits de l’homme au nom de la démocratie. Et bien qu’une partie des exactions révélées ces quatre dernières années ait été discrètement reconnue par le Président Bush et que celui-ci se soit très timidement excusé, sa sincérité semble difficile à croire d’autant qu’aucun haut gradé n’a été jugé coupable devant un tribunal. Les soldats américains auraient-ils agi en électrons libres ? Sans ordres ? Sans consentement de la hiérarchie ? En avril 2005, Reed Brody, conseiller juridique de Human Rights Watch déclarait : “Si les Etats-Unis veulent effacer les horreurs d’Abou Ghraib, ils doivent poursuivre ceux qui, en haut lieu, ont fermé les yeux sur les exactions ou les ont ordonnées. Ils doivent par ailleurs révéler les choses que le président a autorisées. Washington doit répudier une fois pour toutes les mauvais traitements perpétrés sur les détenus au nom de la guerre contre le terrorisme.”. Moins de deux semaines après ces conclusions, le Président Bush, sur recommandation du secrétaire de la défense Donald Rumsfeld, rétrograda Janis Karpinski qui supervisait 17 prisons américaines en Irak. Celle qui fut la générale de réserve à Abou Ghraib a nié avoir été au courant des tortures qui, selon elle, ont été autorisées par les renseignements militaires. Une information récemment confirmée par les soldats ayant écopé de plusieurs années de prison (4).

En outre, en 2006,  Bush reconnaissait pour la première fois l'existence de centres de détention secrets gérés par la CIA à l'extérieur des Etats-Unis. Selon le journal Le Monde, il ne niait pas l'usage de moyens musclés pour obtenir des renseignements et les justifiait même en invoquant le nombre d'innocents que ceux-ci avaient permis de sauver.

A la lecture des informations diffusées par des médias reconnus, il y a lieu de penser que l'existence d'un régime gouvernemental secret aux pratiques "parallèles" existe. Si tel est le cas, pourquoi le gouvernement américain se priverait-il de réserver le même sort aux personnes qu'il jugerait coupables de faits arbitrairement qualifiés de subversifs ? Pour les activistes, Guantanamo et Cie pourraient bien servir de modèles aux camps de la FEMA.

Annihiler les libertés individuelles, une histoire de longue date

Les Etats-Unis sont-il en passe de devenir une dictature militaire? La politique américaine menée dans le cadre de la lutte contre le terrorisme pourrait-elle inspirer la politique intérieure ? Depuis plus de 50 ans, le gouvernement s’atèle à supprimer les libertés individuelles sur son propre sol en promulguant régulièrement des lois d’exceptions. La première d’entre elles remonte aux années soixante. Les agitations civiles liées à la guerre du Vietnam conduisirent le Président Nixon à signer un décret présidentiel (5) qui déléguait les fonctions de planification d’urgence au département fédéral ainsi qu’aux agences fédérales, intégrant ce domaine d’action dans la sphère gouvernementale. 

Ensuite, en 1976, l’administration Ford émît une loi (6) visant à investir la FEPA (Federal Emergency Preparedness Agency), prédécesseur de la FEMA, d’une mission au caractère interpellant : développer des plans visant, en situation d’urgence, à établir un contrôle gouvernemental sur les mécanismes de production et de distribution des sources d’énergie, sur les salaires, ainsi que sur les crédits et les flux financiers entre institutions. Plus inquiétant encore, l’ordre présidentiel prévoyait que les toutes les affaires traitées par le gouvernement provisoire sur le territoire soumis à la loi martiale ne puissent être révisées par le Congrès durant une période de 6 mois.  Ceci est encore d’actualité.

En 1979, l’administration Carter créa la FEMA (7) en fusionnant une centaine d’agences spécialisées dans la planification d’urgence. Cet acte de centralisation permit à la nouvelle entité d’absorber d’importantes responsabilités dans le domaine de la défense civile. Depuis, le financement de la protection et de la défense civiles proviennent de la même enveloppe budgétaire. 

A l’époque, Howard J. Ruff (8), un activiste archi-conservateur, soulignait déjà dans un éditorial que « (…) Seul le manque d’une crise suffisamment grave, un président déterminé, et un public suffisamment conditionné pour le permettre séparent les citoyens d’une dictature qui ne demande qu’à être établie dans une situation qui pourrait être qualifiée d’urgence nationale ». Une analyse qui fait froid dans le dos au vu de la propagande soutenue de Bush depuis 2001, et de sa détermination dans l’accomplissement de son agenda politique.

S'ensuivit l’ère Reagan (1981-1989) qui fut la plus décisive dans l’avènement d’une dictature militaire. C’est en effet sous son administration que furent conçus les plans Cable Spicer I, II et III destinés à légitimer l’arrestation et la détention de dissidents politiques. Un nombre important d’actes présidentiels furent publiés durant ces années afin d’intensifier les efforts dans le renforcement de la sécurité nationale. A partir de 1981, la FEMA conjointement avec le DoD (Department of Defense) conduisirent une série d’exercices portant sur la mobilisation de civils, la gestion des situations d’urgence et le contre-terrorisme. Le Plan REX 84 en faisait partie. En 1982, la FEMA et le DoD publièrent un document intitulé « The civil/Military Alliance in Emergency Management » confirmant la transformation inéluctable de la planification d’urgence en une activité militaire et policière.

Dans la foulée, un projet de décret présidentiel destiné à réviser l’ordre 11490 (9) était sur le point d’être signé. Le bureau fédéral du budget chargea l’avocat général William French Smith d’en vérifier la légalité. Confronté aux abus manifestes du décret, il rédigea une lettre au conseiller de la sécurité nationale :  « Je crois que le rôle assigné à l’Agence de gestion fédérale des secours dans le cadre du décret présidentiel révisé excède sa fonction appropriée en tant qu’agence de coordination pour la préparation des secours (…) Ce service et d’autres ont à plusieurs reprises fait part d’objections politiques et légales sérieuses au rôle de « Souveraine des secours » dévolu à la FEMA. (…) Les objections légales sont liées à l’absence d’une autorisation présidentielle ou du Congrès dans l’émission par la FEMA de directives qui visent à établir de nouvelles structures pour le gouvernement fédéral.». En d’autres termes, William French Smith dénonçait la centralisation des pouvoirs et la possibilité pour la FEMA d’établir un gouvernement provisoire alors que son rôle devait s’en tenir aux secours des citoyens en cas de catastrophe naturelle.

La consolidation des pouvoirs de la FEMA culmina en 2003, lorsqu'elle se joignit à 22 autres agences fédérales, programmes et bureaux pour former le Département de Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security), un nouveau département créé à la suite des attentats du 11 septembre par l’administration Bush. L’approche gouvernementale en matière d’urgence est dorénavant parfaitement intégrée, centralisée et concentrée. Aujourd’hui, que reste-t-il à faire ? D’une part, la FEMA occupe une place charnière, les lois d’exceptions le permettant et d’autre part, elle se retrouve à l’abri des contrôles externes puisque son intégration la lie aux autres services fédéraux. En outre, la propagande a conditionné les citoyens américains et le gouvernement semble de moins en moins se soucier de l’opinion publique. Où en est-on ? Quelle est l’étape suivante ?

Etat d’urgence et loi martiale, C’est pour quand ?

A en croire le baromètre de la FEMA, les Etats-Unis sont perpétuellement menacés, mais à quel point l’état d’urgence est-il imminent ? Difficile à dire, mais de nombreux cas de figure sont possibles. Quoiqu’il en soit le gouvernement américain nous donne lui-même quelques indices. En 2003, le Président Bush présentait un projet de vaccination de masse : le Model State Emergency Health Powers Act, ou Model Act en abrégé, actuellement adopté par 34 états. Ce dernier rappelle étrangement le Plan Rex 84. En effet, il octroie aux gouverneurs, d’une part, les pouvoirs nécessaires à la détection de virus pandémiques et, d’autre part, les outils nécessaires à la protection des civils contre la contamination. Selon le gouvernement, étant donné les risques que posent le bioterrorisme, ce projet de loi est indispensable afin d’anticiper sérieusement et rapidement la potentialité d’une guerre bactériologique.

Cependant, des associations américaines reconnues tel que le National Vaccine Information Center (NVIC) ou la Home School Legal Defense Association (HSLDA), une organisation d’avocats qui défend les droits de la famille, appellent les citoyens à la vigilance face à ce programme et soulignent son caractère anti-constitutionnel. La HSLDA dénonce les pouvoirs accordés aux gouverneurs car ceux-ci les autorisent à enregistrer les données personnelles, à contrôler les biens immobiliers, la population et enfin tous les moyens de communications. En gros, exactement les mêmes mesures répressives que celles des programmes militaires développés dans les années 80, si ce n’est que dans ce cas-ci, des pouvoirs supplémentaires apparaissent tels que la vaccination forcée des individus, l’accès à leurs données médicales, et pire, la localisation et le suivi des individus.

Au sujet de la localisation, le « tracking » des individus, un article publié sur le site de livescience.com en mai 2006 annonçait que la société VeriChip Corporation avait proposé au gouvernement américain d’implanter aux immigrants une puce permettant de les localiser et de les suivre. Cette proposition faisait référence à un appel lancé par le gouvernement intitulé : « Qui est dans notre pays et pourquoi sont-ils là ? ». Cette puce permet d’enregistrer à la frontière les immigrants venus travailler aux Etats-Unis et de vérifier leur identité sur leur lieu de travail. Le « RFID » (Radio Frequency Identification tag) a la taille d’un grain de riz et peut être injecté directement dans le corps. L’implant diffuse ensuite un signal qui émet les données de l’individu. Selon VeriChip, ce type d’implant est utilisé depuis longtemps chez les animaux, notamment chez les chiens et les chats en remplacement du tatouage. Sur son site Internet, VeriChip Corporation présente son système, le VeriTrace. Celui est adapté pour le suivi des patients, la protection des enfants ainsi que pour la gestion des urgences. Les dérives d'un tel système sont évidentes. Dans le cadre du Model Act ou du plan Rex 84, ces implants seraient une atteinte à la liberté individuelle.

 

implants

Les implants sous-cutanés, déjà couramment utilisés pour marquer les animaux de compagnie, pourraient bientôt servir de nouveau moyen de contrôle pour le gouvernement fédéral américain.

 

Quoiqu'il en soit, il saute aux yeux que la mise en œuvre du Model Act  nécessite des sites tels que les camps de la FEMA car il est objectivement impossible, sans infrastructures appropriées, de procéder à une vaccination de masse ou de maintenir les personnes contaminées en quarantaine. 

Steve Watson, journaliste activiste pour Infowars aux côtés d’Alex Jones, concluait, à la suite du passage du cyclone Katrina, par une note apocalyptique : « Pendant des années, nous avons mis en garde les gens contre la mise en place d’un état police, nous les avons averti que la Loi Martiale deviendrait la norme, que les lois anciennes, droits et libertés seraient remplacés par des mécanismes répressifs de contrôle. (…) Pendant des années, les gens ont réfuté l’évidence ou prétexté qu’elle était destinée à autre chose, ou encore l’ont simplement refusée. Maintenant nous vous avertissons que tout cela est en train de se passer. A la suite des catastrophes naturelles récentes, des précédents dangereux ont été mis en place. Nous avons été contraints de constater comment, en temps de crise, nous devons nous soumettre et suivre les ordres des Commandants fédéraux, peu importe s’ils dénigrent les droits humains de base ou non. Que ce soit un coup d’état, une attaque terroriste, un accident ou une catastrophe naturelle, cela importe peu, le résultat sera le même. Nous sommes seulement à un événement près de la Loi Martiale, n’importe quel événement. ».

Ces 60 dernières années ont été déterminantes pour l’avènement d’une dictature militaire. De nombreuses lois d’exceptions ont été mises en place permettant d’une part, de renforcer l’intervention policière et , d’autre part, d’affaiblir des libertés civiles essentielles. Les Américains sont, jour après jour, assommés par une propagande fondée sur la peur de l’autre et du reste du monde. Le sentiment d’insécurité les poussent à tolérer les dérives de son gouvernement et à inconsciemment lui permettre d’instaurer lentement, mais sûrement des mécanismes de contrôle à l’intérieur du pays. Les programmes militaires tels que ceux développés depuis l’ère Reagan ont permis de transformer la protection civile en défense civile. En d’autres termes, le gouvernement semble avoir la ferme intention de protéger le pays contre lui-même puisqu' aujourd’hui s’opposer n’est plus un devoir démocratique, mais un acte subversif. Au risque de se répéter, ce sont généralement les dictateurs qui emprisonnent leurs opposants. En jouant sur le concept de la gestion des urgences et sur la notion de continuité du gouvernement en cas de menace interne ou externe, l'Etat fédéral est parvenu, au terme d'une stratégie de longue durée, à faire croire à la population que son bien-être passait avant tout par le maintien du pouvoir en place.

Kali

 

Sources
1- L’auteur et la date de tournage de cette vidéo sont inconnus. Selon des internautes américains, il semblerait que ce film soit à l’origine un documentaire intitulé Shocker diffusé à la télévision, aux Etats-Unis, dans les années ’90.

2- Cet article est disponible ici en français 

3- Equipe consultative des sciences du comportement

6- EO 11921

7- EO 12148

8- Source : The Rise of the National Security State : FEMA and the NSC de Diana Reynolds, politologue (www.publiceye.org/libery/fema/Fema_1.html)

9- Pour rappel, ce décret fut déclaré par le Président Nixon en 1969. Il assigne les fonctions de préparation à l’urgence aux départements et agences fédérales.

 

Kali © Karmapolis - Janvier 2008

http://www.karmapolis.be/pipeline/fema_secrets.html


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29/01/2011 | Lien permanent

Climategate: pourquoi les médias français gardent le silence

Régis Soubrouillard - Marianne | Jeudi 3 Décembre 2009 à 07:01 |

Depuis plusieurs semaines, les journaux anglo-saxons font leurs choux-gras du « climategate » : des soupçons de manœuvres dans les milieux scientifiques pour balayer les arguments des climato-sceptiques. Cette affaire a été largement ignorée en France.



Climategate: pourquoi les médias français gardent le silence
A la manière du nuage de Tchernobyl, le scandale du climategate s’est arrêté aux frontières de  l’hexagone. Climategate, kézako ? Il y a plusieurs mois des hackers ont récupéré des milliers de données, mails, dix ans de conversations entre scientifiques récupérées dans les ordinateurs d’un centre de recherche anglais. Aux Etats-Unis, et en Angleterre, l’affaire a fait l’effet d’une bombe. Certains mails laissent, en effet, supposer que des scientifiques se seraient entendus pour ne pas diffuser certaines informations qui allaient à l’encontre des thèses du réchauffement climatique.

De nombreux journaux anglo-saxons qu’on qualifierait dans nos contrées « de référence » ou à tout le moins de « sérieux » consacrent quelques pages au climategate, s’interrogeant au moins sur la transparence des milieux scientifiques.
Le site Arrêt sur Images a recensé ces titres qui en ont fait leurs choux gras, posant la question de la transparence des milieux scientifiques, autorisant parfois un débat entre réchauffistes et climato-sceptiques. Le New-York Times y est revenu plusieurs fois, présentant l’affaire et donnant la parole aux critiques. Le Washington Times qui évoque « un réseau de fausse science dévoilé », le Daily Telegraph y a consacré tout un dossier, la BBC en a parlé. Même le très sérieux Guardian y a consacré plusieurs articles. Enfin, au Danemark et en Finlande, le climategate a également retenu l’attention des médias « traditionnels ». Une somme de relais médiatiques qui ne constitue pas pour autant une vérité scientifique, c'est sûr. Mais reflète le trouble qui domine sur un sujet qui a viré à la guerre idéologique - et Orwell a montré dans 1984 les dégâts causés par l'intrusion de l'idéologie dans la détermination de la vérité.

Un débat qui bruisse sur la blogosphère mais pas dans Le Monde

Laurence Ferrari en direct live de la banquise

Laurence Ferrari en direct live de la banquise

En France, le débat reste figé. Gelé, même. Les Arthus Bertrand, Hulot et autres Al Gore, VRP médiatiques du catastrophisme climatique nous l’ont rabaché : « tous les experts sont d’accord ». Circulez, y’a rien à voir. L’affaire a fait pschitt avant même que d’avoir pu être évoquée. Comme si la recherche de la vérité pouvait se passer du doute. A l’ouverture du sommet de Copenhague, aucune tête ne doit dépasser. Greenwashés comme jamais, tout de vert vêtus, les médias ont déjà prévu leurs dossiers spéciaux: Laurence Ferrari, vêtue d’une grosse capuche contre le froid, envoyée filmer des ours sur la banquise. TF1 a choisi d'aider cette noble cause en diffusant un indice CO2 mensuel, sorte de CAC 40 de la pollution atmosphérique. La planète est à l’agonie et la banquise fond à vue d’œil. Il faut du vert, rien que du vert. Partout. Daniel Cohn Bendit a été promu rédacteur en chef du Nouvel Obs. Comme si mettre le vieux Dany à la Une faisait repousser les glaciers.

Le Monde a lui aussi très vite évacué le sujet, ouvrant largement ses pages aux très modérés pourfendeurs des « négateurs du réchauffement », balayant la question d'un trait de plume. Avec un argument de poids: le climategate est un scandale qui bruisse sur la blogosphère. Rien que de très classique. Le blogueur est par nature, ignorant, malhonnête et manipulateur.
Journaliste au service Planète du quotidien de référence, Stéphane Foucart écrit ainsi que « Des milliers de sites Web, de blogs, de forums assurent, preuves à l'appui, que toute la science climatique est fondée sur une gigantesque manipulation, organisée à l'échelle de la planète depuis plus d'une décennie ». Un argument d’autant plus fallacieux que si le climategate ne bruisse que sur la blogosphère c’est bien parce que le « quotidien de référence » n’a jamais favorisé l'émergence d'un débat serein et dépassionné et encore moins une parole contradictoire. Fut-elle moins « savante », elle n'en reste pas moins audible.
Alors qu’on l’a vu aux Etats-Unis, le débat a largement dépassé le seul champ de la blogosphère. CQFD.

Une commission d'enquête et la suspension du directeur du CRU

Un article publié dans le Guardian

Un article publié dans le Guardian

Poursuivant sa démonstration, Stéphane Foucart explique « qu’une seule phrase pourrait accréditer une manipulation de données »: celle où le directeur du Climate Research Unit, Phil Jones use du terme « astuce » pour « masquer le déclin des températures ». Le reste ne relève que de « bricolages, conflits d’ego, tribalisme », comme il en existe tout autant dans le camp d’en face. Dont acte. Au passage, notons que l’agence Reuters avait relevé au moins une deuxième phrase gênante : « Le fait est qu'on ne peut rien dire de l'absence de réchauffement pour le moment et c'est déplorable », écrivait Kevin Trenberth, climatologue au Centre national de recherches atmosphériques.

Une information ignorée par Stéphane Foucart, qui préfère décentrer le débat en concluant sur la vraie question fondamentale posée, selon lui, par le climategate : « la confidentialité de certaines données ». Admirable exercice de diversion pour évacuer une question à ce point anodine que Phil Jones,
le directeur du CRU, a décidé de se suspendre de ses fonctions à l'université d'East Anglia, le temps de permettre à une commission indépendante de faire la lumière sur cette affaire. Un blizzard dans un verre d'eau glacée qui entraîne la mise en retrait -provisoire- du directeur d’un des plus grands centres de recherche sur le climat et la mise en place d'une commission d'enquête indépendante aurait peut-être mérité un traitement au moins plus équilibré, histoire de calmer les esprits de part et d'autre. Plutôt que de balayer d’un revers de main expert, commode et méprisant, un débat censément manipulé par une « webosphère » ignorante et complotiste.

Source : http://www.marianne2.fr/Climategate-pourquoi-les-medias-f...

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05/12/2009 | Lien permanent

Les scientifiques croient-ils aux extraterrestres ?

On nous promène encore dans les mensonges et les manipulations !

Info ou intox pour fréner la divulgation qu'il serait salutaire à l'humanité de connaître, pour avoir confirmation de  l'invasion et de la colonisation de la Terre depuis la civilisation S
umérienne par les ET : Les Grands Gris Reptiliens promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

Comment Stephen Hawking sait-il que des races ET seraient des races prédatrices et pour quelles raisons ne dit-il pas qu'il existe des races alliées de l'Humanité ?

Pas la peine de les appeler pour les faire arriver puisqu'ils sont déjà là depuis des millénaires ! C'est sans doute ce qu'ils veulent continuer à nous cacher, en nous faisons croire que l'homme est un primaire barbare coupable de tout sur la planète !  

Il serait temps en effet qu'ils lèvent le voile :

1 - sur l'invention des religions par les reptiliens,

2 - sur les archives secrètes de la Nasa et du Vatican, et sur le secret de FATIMA, lié aux OVNIS,

3 - sur le secret maçonnique, et

4- sur le secret défense qui pèse sur le dossier ET et OVNIS dans le monde.

S'il n'y avait rien du tout, il n'y aurait pas de secret défense, et comme nous avons affaire à des races prédatrices, ils sont coupables de nous laisser dans l'ignorance !

Les scientifiques croient-ils aux extraterrestres ?

Dans le prolongement de son dossier sur la quête d’une vie extraterrestre par les scientifiques, Sciences et Avenir a organisé un tchat avec l’exobiologiste François Raulin ce lundi 15 novembre à 11h. En exclusivité, un extrait du dossier publié ce mois-ci dans le magazine 

«Ne tentons pas de contacter les extraterrestres ! S’ils nous rendaient visite, nous nous retrouverions dans la même situation catastrophique que les Indiens lorsque Christophe Colomb a débarqué en Amérique ! » Celui qui s’exprime ainsi n’est pas l’un des nombreux exaltés que compte la recherche de la vie extraterrestre, mais le très sérieux physicien britannique Stephen Hawking (1), connu pour ses travaux en cosmologie et dont le dernier ouvrage, The Grand Design, vient de paraître en anglais (2).

S’il n’est pas le seul à faire ainsi publiquement état de ses craintes, sa parole, très médiatisée, porte davantage que celle des autres et remet soudain sur le devant de la scène un sujet que l’on aurait pu croire réservé aux sphères de la « parascience ». Depuis quelques années, en effet, des voix sérieuses s’élèvent pour mettre en garde contre cette recherche de contact à tout prix car une civilisation avancée pourrait bien être… prédatrice ! De quoi faire regretter à Parmi ces voix, figure un autre grand vulgarisateur scientifique, l’Américain Michio Kaku, du département de physique du New York City College. Théoricien des cordes, il est persuadé de l’existence d’autres civilisations extraterrestres et s’est lancé dans la comparaison de leurs degrés d’avancement pour expliquer pourquoi aucune d’entre elles n’est encore venue nous rendre visite. Et, parmi les raisons évoquées, toutes ne sont pas rassurantes !

Si Stephen Hawking s’intéresse aux extraterrestres, c’est que cette fin d’année est placée sous leur signe au travers de diverses commémorations : la Nasa célèbre cinquante ans d’investigations en exobiologie, tandis que le programme Seti (Search of Extraterrestrial Intelligence) commémore, lui, le demi-siècle de la première tentative d’écoute du cosmos à la recherche de signaux éventuels. Cette dernière, baptisée Ozma, avait été menée par l’astronome américain Frank Drake, en 1960.

Pour l’occasion, l’observatoire de Green Bank (Virginie-Occidentale, Etats-Unis) où ces travaux furent réalisés, proposait cet automne une rencontre entre le public et ce mythe vivant de la discipline (3). A 79 ans, l’astronome est en effet considéré comme l’initiateur du programme Seti, même si, en 1959 déjà, deux physiciens de l’université Cornell (Etat de New York), Philip Morrison et Giuseppe Cocconi, avaient publié un article dans la revue Nature sur les moyens de communiquer avec d’autres civilisations galactiques.

La renommée de Frank Drake est surtout due à la fameuse « équation » qui porte son nom : elle fournit une estimation du nombre potentiel de civilisations extraterrestres, cet argument justifiant depuis le financement des programmes de recherche. Même si la Nasa s’est retirée de Seti en 1993, les fonds privés n’ont jamais manqué et ont permis la conception d’un nouveau spectromètre, Serendip V, monté en mai 2009 sur le radiotélescope d’Arecibo (Porto Rico) et géré par l’université de Berkeley (Californie). De même, d’ici à fin 2012, le radiotélescope Allen, financé en grande partie par Paul Allen, cofondateur de Microsoft, disposera de 350 antennes entièrement dédiées à la recherche de civilisations extraterrestres.

La fièvre qui s’est emparée depuis une quinzaine d’années d’une autre communauté, celle des chasseurs d’exoplanètes, explique également ce nouvel engouement pour les civilisations extraterrestres. Depuis la découverte en 1995 de la première planète autour d’une étoile autre que le Soleil, les astronomes ont progressé à pas de géant, relançant l’espoir de surprendre des traces de vie sur ces astres lointains. Tandis que les satellites Kepler de la Nasa et Corot du Cnes, le Centre national d’études spatiales français, dénichent actuellement des planètes de type terrestre, les futures missions se préparent même si le projet de mise en orbite de cinq télescopes d’observation spatiale Darwin, mené par l’ESA, l’agence spatiale européenne, vient d’être ajourné… Enfin, vers 2030, « de très grands télescopes terrestres, comme le SquareKilometer Array (SKA) dont on discute actuellement l’emplacement – en Afrique du Sud ou en Australie – permettront de détecter des structures géologiques ou des constructions vivantes à la surface de ces exoplanètes », prédit Jean Schneider, du Laboratoire univers et théories de l’observatoire de Meudon.

La question des extraterrestres taraudait déjà les Anciens, suscitant craintes et fantasmes. En un demi-siècle, les astronomes ont réussi à la mettre en équation, puis à élaborer une stratégie argumentée pour tenter de cerner ces autres tant recherchés. Aujourd’hui, la perspective que cette quête aboutisse distille de nouveau les craintes et remet au goût du jour la plus vieille des interrogations : s’ils existent, sont-ils à notre image ?

Azar Khalatbari
Sciences et Avenir
novembre 2010

LES AVIS DES EXPERTS, EXTRAITS:

Hubert Reeves, astrophysicien : « Comme Stephen Hawking, je pense que les extraterrestres existent. Mais ce n’est qu’une opinion gratuite, sans nulle preuve. Néanmoins, j’ai l’intuition qu’il y a dans l’Univers beaucoup de mondes habités à des stades différents de développement »

Jean Schneider, astronome à l’Observatoire de Paris : « […]. E.T. est une construction mentale, un concept, et nous lui attribuons une existence concrète. Or sur ce concept nous projetons notre humanité, notre matérialité et nos sentiments. »

Le dossier est à retrouver dans le numéro de novembre 2010 de Sciences et Avenir

(1) Into the Universe with Stephen Hawking, film produit par Discovery Channel
(2) avec Leonard Mlodinov, Bantam Press.
(3) www.nrao.edu/index.php/learn/gbsc/setimonth

http://www.sciencesetavenir.fr//actualite/espace/20101115...

 

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16/11/2010 | Lien permanent

Les astronomes débattent de l'origine de l'OVNI aperçu en Chine samedi

Metatron et Les Hiérarchies Angéliques, vont-elles bientôt se montrer ?

C'est ce que nous espérons, contrairement à ceux qui attendent que les ET viennent nous sauver.

En effet, le Cube de Metatron n'a pas été aperçu près du Soleil il y a quelques mois pour rien !

 

Voir les articles précédents :

Le Cube de Metatron, Prince de la Hiérarchie Angélique à côté du soleil le 27 décembre 2009 ?

Le Cube de Metatron - Prince de la Hiérarchie Angélique

Le Cube de Metatron annoncé par les Crops Circles en juillet 2010 ?

5ème apparition du Cube de Metraton - Prince Régent des Hiérarchies Angéliques dans l'environnement du Soleil !

Depuis, silence radio, mais nous savons aussi que la NASA occulte les images et les données solaires depuis quelques mois.  Du reste nous attendons toujours les résultats de  la conférence donnée dernièrement par la NASA qui concernait l'intensité à venir des tempêtes solaires.

Comme d'habitude, il faut que nous restions ignorants de tout ce qui se passe réellement sur Terre et dans le Cosmos.

Les astronomes débattent de l'origine de l'OVNI aperçu en Chine samedi
 
 
L'image éclaircie

 

Les astronomes débattent de l'origine de l'OVNI aperçu en Chine samedi.

L'immense OVNI lumineux aperçu dans le ciel de Shanghai, Beijing et d'autres régions de Chine samedi soir a provoqué un débat entre les astronomes qui cherchent à expliquer le phénomène.

La « boule blanche » a été détectée vers 21 h au-dessus de Shanghai par des pilotes qui ont rapporté leurs observations au Bureau de contrôle du trafic aérien de Chine orientale. À peu près au même moment, des résidents de Beijing, des provinces du Shanxi et de l'Anhui et de la région autonome de Mongolie intérieure ont observé et photographié le même objet en forme de bulle qui grossissait rapidement dans le ciel.

Yu Jun, ancien éditeur d'un magazine scientifique et astronome amateur ayant aperçu l'objet, a publié une analyse affirmant que la bulle grossissante était probablement un phénomène causé par « le carburant d'un propulseur se diffusant dans l'espace ».

Il compare la bulle à un incident survenu à Hawaï le 22 juin, lorsqu'un objet ressemblant à un nuage s'est élevé de l'horizon, a enflé puis disparu. Les astronomes ont fait le lien avec le lancement d'un missile intercontinental en Californie quatre minutes avant l'apparition de l'objet.

Le rapport citait l'astronome américain Phil Plait, qui pensait que le carburant inutilisé par le missile était resté dans l'espace et avait fusionné en une coquille sphérique croissante, ressemblant à une boule lumineuse à la lumière du soleil.

D'autres astronomes ont rétorqué qu'il s'agissait d'un aéronef au-delà de la technologie humaine après avoir étudié les photographies prises par les témoins et tracé son itinéraire de vol.

« L'objet devait être un vaisseau spatial qui ne peut pas à ce jour être expliqué par notre technologie aérospatiale actuelle », estime Wang Sichao, chercheur à l'Observatoire de la Montagne pourpre relevant de l'Académie chinoise des Sciences de Nanjing.

M. Wang a déclaré à Chinanews.com qu'il avait étudié les OVNI pendant quarante ans et qu'il considérait le dernier évènement comme l'un des vingt phénomènes les plus importants de son expérience d'étude.

Selon lui, l'objet se trouvait à 300 kilomètres au-dessus de la Mongolie intérieure et se déplaçait lentement lorsqu'il a été aperçu. Il explique l'avoir situé en observant la position des étoiles derrière lui à partir de photographies prises de différents endroits.

SOURCE : http://french.china.org.cn/china/txt/2011-08/25/content_23283946.htm

Cette info a été également communiquée aux infos ce soir sur la chaîne française Canal+.

 

 

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26/08/2011 | Lien permanent

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