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Rechercher : Les Rothschild et Rockefeller augmentent la pression sur Poutine

Poutine en visite officielle au Kazakhstan, délimitation nord de la Mer Caspienne

Poutine avait déjà interdit l'accès des USA et de l'OTAN à la Mer Caspienne !

Maintenant il la délimite au nord pour réglementer la production pétrolière de l'entreprise "Centralnaya" que la Russie détient conjointement avec le Kazakhstan.

Poutine en visite officielle au Kazakhstan

09:02 15.10.2015(mis à jour 09:15 15.10.2015)

Le président russe Vladimir Poutine et le président kazakh Noursoultan Nazarbaïev

La visite du président russe illustrera le haut niveau de la coopération russo-kazakhe.

Le président russe Vladimir Poutine se rend en visite officielle à Astana, où il rencontrera son homologue kazakh Noursoultan Nazarbaïev.

Les deux présidents évoqueront l'actualité internationale et signeront une série de documents, notamment un accord sur la délimitation de la partie nord de la mer Caspienne, visant à réglementer la production pétrolière de l'entreprise conjointe "Centralnaya".

La visite du président russe "vise à montrer le haut niveau de la coopération russo-kazakhe, et s'effectue sur l'invitation du président Noursoultan Nazarbaïev", a souligné le conseiller du président russe, Iouri Ouchakov.

M.Poutine et M.Nazarbaïev devraient évoquer un certain nombre de questions de l'actualité régionale et internationale. Ainsi, ils procèderont à un échange d'opinions sur la coopération entre russo-kazakhe dans le cadre de l'Union économique eurasiatique, et évoqueront la situation en Syrie et en Ukraine.

Il est à noter que les deux chefs d’État accorderont une attention particulière à la coopération économique et au développement du commerce entre les deux pays.

Il s'agit de la treizième rencontre entre les deux présidents au cours de cette année.

 

 

 

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16/10/2015 | Lien permanent

Vladimir Poutine : «la crise migratoire en Europe était inévitable»

La Russie a souvent mis en garde l'Europe sur les conséquences désastreuses de sa politique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. Pour le président russe, la crise migratoire en Europe n'a aujourd'hui rien de surprenant.


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16/10/2015 | Lien permanent

Poutine critique les Etats-Unis sur la question des frappes en Syrie

Foutage de gueule assuré de Poutine contre les atlantistes et mise en cause directe pour l'organisation des groupes de mercenaires qui combattent Assad et l'armée régulière Syrienne au profit des USA/UE/Israël !

Ils ont fait quoi en Syrie depuis plus de 4 ans ?

Ce d'autant plus que depuis le début :  Syrie: Moscou n'a pas besoin des informations US pour mener son opération

Et qu'aujourd'hui, la Russie a décidé de transmettre sa carte des positions de l'EI aux pays étrangers.

La Russie transmettra sa carte des positions de l'EI aux Etats étrangers

 

Poutine critique les Etats-Unis sur la question des frappes en Syrie

Par RFI Publié le 13-10-2015 Modifié le 13-10-2015 à 23:25

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Le président russe a estimé que les Occidentaux, les Américains notamment, avaient de la «bouillie dans la tête» concernant la lutte contre le terrorisme en Syrie. REUTERS/Alexei Druzhinin/RIA Novosti/Kremlin

La Russie se plaint du manque de bonne volonté des pays occidentaux, en particulier des Américains, qui ne veulent pas coopérer dans la lutte contre le terrorisme en Syrie. Le président Poutine et son ministre des Affaires étrangères ont tous les deux fustigé l'attitude occidentale face à la Russie et la Syrie.

« 500 millions de dollars dépensés, 500 frappes effectuées depuis un an, 11 pays impliqués pour former l’armée syrienne libre à lutter contre le groupe Etat islamique, et le résultat, c’est zéro ! ».

Devant un parterre d’hommes d’affaires, le président Poutine a ironisé sur les Occidentaux qui n’auraient que de « la bouillie dans le crâne », concernant la Syrie.

Il s’est notamment interrogé sur les parachutages d’armes destinés à l'Armée syrienne libre, qui pourraient tomber dans les mains des terroristes, rapporte notre correspondante à Moscou, Muriel Pomponne.

Dialogue difficile

A mots couverts, il a mis en doute la volonté de Washington de lutter réellement contre le terrorisme, les Américains refusant de discuter avec Moscou des cibles à frapper. « Nous avons informé les Etats-Unis de nos frappes en Syrie, alors que Washington ne l'avait pas fait. Nous l'avons fait par respect et par volonté d'établir des contacts », a déclaré Vladimir Poutine.

« Maintenant on nous dit : "nous ne sommes pas prêts à coopérer avec vous, et vous ne frappez pas les bonnes cibles." Alors on a demandé "donnez nous les cibles que vous considérez comme 100% terroriste ". La réponse a été "non, on n'est pas prêt". Après on a posé une autre question : "Dites-nous où il faut frapper." Pas de réponse. Finalement nous avons proposé aux Américains : "Indiquez-nous les sites qu'il ne faut pas frapper." Toujours pas de réponse », a critiqué le président russe.

Il a poursuivi, pointant du doigt la position américaine. « Comment travailler ensemble dans ces conditions ? J'ai l'impression que certains de nos partenaires ont de la bouillie dans la tête. Ils ne voient pas clairement ce qui se passe sur ce territoire, ni les objectifs qu'ils veulent atteindre. Mais nous allons poursuivre nos efforts pour coopérer dans la lutte contre le terrorisme international. Il faut que les objectifs soient clairs, prévisibles, qu'ils visent à combattre la terreur internationale. »

Al-Nosra et l’EI dans le viseur russe

Sur un ton plus sérieux, le ministre des Affaires étrangères s’est félicité que les militaires russes et américains soient parvenus à élaborer un mécanisme pour éviter des incidents dans le ciel syrien.

Serguei Lavrov regrette que la coopération ne puisse pas aller plus loin. Il laisse également entendre que le mouvement « Armée de l’islam » soutenu pas l’Arabie saoudite, est suspect, au même titre que le Front al-Nosra et le groupe Etat islamique, d’être à l’origine des bombardements qui ont touché l’ambassade russe en Syrie, ce qui constitue « un acte terroriste » pour les responsables russes.

 

 

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16/10/2015 | Lien permanent

IMPORTANT ! Poutine convoque le Conseil de sécurité de la Fédération de Russie

Nous croyons que l’heure est grave à Moscou pour que Poutine convoque le conseil de sécurité de la Fédération de Russie et que la Russie doit être en état d’alerte maximale en cas d’attaques de l’OTAN ou des alliés de la coalition internationale illégale qui comprennent les USA, des pays de l’UE, et du proche et moyen orient.

La Russie est encerclée par l’OTAN, un destroyer US est arrivé en Ukraine pour certainement livrer des armes aux Nazis de Kiev, l’Ukraine qui a aussi créé avec la Turquie une Brigade musulmane internationale capable d’attaquer la Crimée par le Sud. Moscou qui a renforcé sa présence militaire à la frontière afghane. Valls qui comme par hasard se déplace au Moyen Orient, en Turquie pour signer la vente des 2 mistrals et en Arabie saoudite pour vendre des armes. Des chefs religieux saoudiens qui ont appelé au djihad contre la Russie, Londres qui a déployé des militaires dans les pays baltes et qui entend reprendre ses exercices nucléaires, bref, autant d’éléments qui doivent nous mettre en état d’alerte sur une possible escalade du conflit en Europe et dans le monde.

Ce qui est très étrange, c’est qu’Israël reste sans réactions et demeure secret quant à ses critiques concernant les frappes russes en Syrie, et ce qui n’est pas forcément un bon signe. 

Quelques titres d’articles ci-dessous pour vous permettre de vous faire votre propre opinion sur ce qui pourrait se passer prochainement et qui aurait pu amener Poutine à réunir le Conseil de Sécurité de la Fédération de Russie en dehors de l'affaire de la Syrie.

Les titres 

L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade musulmane internationale, Un destroyer US arrive en Ukraine, Les Etats-Unis valident 300 millions de dollars d'aide militaire à l'Ukraine, Londres déploiera des militaires dans les pays baltes, L'Otan voit une "escalade inquiétante" de l'activité militaire russe en Syrie, L’OTAN envisage de créer de quartiers généraux en Hongrie et en Slovaquie et augmentera ses forces, Moscou répondra systématiquement aux démarches de l'Otan, Lutter contre l'EI sape l'ordre mondial? La drôle de déclaration du président ukrainien, Le Royaume-Uni pourrait reprendre ses exercices nucléaires datant de la guerre froide, Moscou renforce sa présence militaire à la frontière afghane, L’Arabie a envoyé 500 missiles anti-char aux terroristes, en Syrie, Les chefs religieux saoudiens appellent au djihad contre la Russie, Valls au Moyen-Orient : d’abord l’Egypte, puis l’Arabie saoudite,

 

Poutine convoque le Conseil de sécurité de la Fédération de Russie
20:07 10.10.2015(mis à jour 20:32 10.10.2015)

Совместная пресс-конференция президента РФ В.Путина и канцлера Германии А.Меркель

Le président russe Vladimir Poutine a discuté l'opération de l'Armée de l'air russe en Syrie avec les membres du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie.

"M. Poutine a tenu une réunion avec les membres permanents du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie. Lors de la réunion, ils ont discuté de la situation en Syrie ainsi que du déroulement de l'opération menée par l'Armée de l'air russe afin de soutenir l'offensive de l'armée syrienne", a déclaré le porte-parole du Kremlin Dimitri Peskov.

M. Peskov a estimé que le sujet de la lutte contre le terrorisme et l'extrémisme a été évoqué dans un contexte plus large. "Le président russe a exprimé encore une fois ses condoléances au peuple turc, en rapport avec l'attentat qui a eu lieu aujourd'hui à Ankara", a-t-il déclaré.

D'autres questions sociales et économiques ont également été évoquées lors de la réunion du Conseil.

En septembre, le président russe Vladimir Poutine s'est adressé au Conseil de la Fédération (sénat russe) en vue d'obtenir la permission d'utiliser les forces armées russes à l'étranger et a reçu son accord. Ainsi, le 30 septembre, la Russie lançait une opération aérienne militaire en Syrie.

L'ambassadeur de Syrie en Russie, Riad Haddad, a confirmé que les frappes aériennes russes ciblaient les positions des terroristes et non pas l'opposition ou les civils. Selon M. Haddad, l'armée syrienne dispose des coordonnées exactes des positions des djihadistes.

Depuis le 30 septembre, l'Armée aérienne russe a effectué 200 frappes aériennes sur les positions des islamistes, a éliminé près de 300 combattants djihadistes ainsi que leurs camps et des dépôts de munitions.

M. Peskov a déclaré auparavant que l'opération russe en Syrie serait menée parallèlement avec l'offensive de l'armée syrienne. Le chef de l'administration du Kremlin Sergueï Ivanov a déclaré qu'il ne s'agissait pas d'une opération sur terre.

 

 

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11/10/2015 | Lien permanent

Poutine: pas d'opération terrestre russe en Syrie en vue

Les choses se confirment grâce à Poutine : "Quant à tout ce qui se passe sur le sol et dans le ciel (en Syrie ndlr), il ne s'agit pas d'actions spontanées, mais de la mise en œuvre de projets élaborés à l'avance". Et la coalition internationale illégale refuse toujours de s’allier aux actions militaires légales menées en Syrie par la Russie.

Une preuve que leur soi-disant lutte contre le terrorisme n'était que du pipeau et un moyen de prendre de l'argent aux contribuables pour alimenter le terrorisme au Proche et Moyen Orient pour créer et financer le Grand Israël !