Epidémies provoquées par les vaccins de 1918 à nos jours
29/08/2009
Epidémies provoquées par les vaccins
La fabrication des « pandémies »
Dr A. True Ott, PhD, ND 23/08/09. (Notes et extraits)
En 1921 l’Amérique entrait dans une période de véritable prospérité. La grande guerre était terminée, les usines travaillaient à plein rendement, les voitures étaient fabriquées en séries, les millionnaires se multipliaient. Les gens étaient en bonne santé et heureux en grande partie parce que la terrible maladie mystérieuse qui fut plus tard baptisée « grippe espagnole de 1918 »
était une chose du passé.
Deux années s’étaient écoulées sans que ne réapparaissent ces « morts mystérieuses ».
L’Amérique ne se priva pas de fêter la chose.
En fait, le public américain était si optimiste et heureux en 1921 que très peu de gens étaient malades. Pour la première fois depuis des dizaines d’années les lits d’hôpitaux étaient pratiquement vides !
La nouvelle et toute jeune Association Médicale Américaine créée par John D. Rockefeller juste quelques années auparavant était véritablement inquiète.
Les affaires dégringolaient.
Les bénéfices réalisés par la vente de vaccins et de médicaments s’effondraient. Il fallait faire quelque chose et il fallait agir vite. Pour résoudre le problème on décida de créer de fausses épidémies de variole afin de maintenir les « rentrées » de la mafia médicale.
C’est grâce à un groupe de citoyens lanceurs d’alerte de Kansas City, Missouri (dénommé « The Advertiser’s Protective Bureau »), que nous savons aujourd’hui que ce plan monstrueux s’est déroulé. Ce groupe de citoyens intentèrent un procès et poursuivirent en justice la Société Médicale Jackson, filiale de l’AMA dans l’état du Missouri.
Dans le rapport officiel du « Protective Bureau » on peut découvrir ce qui suit au sujet de cet affreux complot :
A l’automne 1921 la santé des citoyens de la ville était particulièrement bonne, mais pas tellementidéale pour les médecins. Les membres de la Société Médicale Jackson se réunirent et décidèrent de créer une épidémie dans la ville. Selon les termes mêmes du rapport de cette réunion : « UNE MOTION FUT DECIDEE ET APPUYEE EN VUE DE RECOMMANDER A LA COMMISSION SANTE DE
DECLARER UNE EPIDEMIE DE VARIOLE DANS LA VILLE (Les recherches ultérieures révélèrent qu’il n’y avait aucun signe d’épidémie à cette époque, ni dans la ville, ni dans la région, ni dans l’état !).
Une journée spéciale, appelée « La journée de la vaccination » fut décrétée. Au cours de cette journée de la vaccination, les médecins devaient se présenter dans toutes les écoles, cliniques, bâtiments publics et hôpitaux pour vacciner « gratuitement ».
« IL FUT EN OUTRE RECOMMANDE D’AVOIR RECOURS A LA PLUS LARGE PUBLICITE POSSIBLE POUR FAIRE COMPRENDRE QUE LA VACCINATION CONSTITUAIT UNE MESURE PREVENTIVE CONTRE LA VARIOLE EN SOULIGNANT L’ABSOLUE NECESSITE QU’IL Y AVAIT A VACCINER CHAQUE HOMME, CHAQUE FEMME ET CHAQUE ENFANT DE LA VILLE. »
Le « Protective bureau » a pu prouver devant le tribunal qu’AUCUNE EPIDEMIE N’EXISTAIT AVANT LES VACCINATIONS !! Les rapports du tribunal montrent que la Société Médicale a fait fabriquer d’énormes quantités de posters, de tracts, publier des annonces dans les journaux avec d’horribles et atroces photos d’enfants malades couverts d’ulcères et de plaies ouvertes varioleuses. Le message paniquant était clair : VACCINER TOUT LE MONDE ou subir la menace d’une maladie mortelle. Il y avait, disait-on, une « épidémie ravageante » dans la ville ; la maladie était« hautement contagieuse » et « frapperait tous ceux qui ne seraient pas vaccinés ». Voilà le genre d’informations qui circulaient !
Est-ce que tout ceci ne vous paraît pas familier quelque 88 années plus tard ?
L’attaque éclair de la propagande médicale mafieuse fut un succès : plus d’un million de citoyens américains qui étaient heureux et en bonne santé furent littéralement hypnotisés et terrorisés.
C’est ainsi qu’ils acceptèrent de se laisser inoculer les toxines vaccinales dans le sang. Tous les enfants fréquentant les écoles publiques de la région furent vaccinés à l’école même !
Les parents qui osaient se poser des questions sur la vaccination de leurs enfants furent vilipendés publiquement et rejetés.
LES RAPPORTS DU TRIBUNAL SUR CETTE QUESTION SONT TRES CLAIRS
Au cours des semaines et des mois qui ont suivi les « vaccinations de masse », tous les lits des hôpitaux de la région furent occupés par DES PERSONNES QUI AVAIENT CONTRACTE LA VARIOLE
A LA SUITE DES VACCINATIONS !
Des dizaines de milliers de personnes devinrent malades, des centaines et des centaines d’innocents perdirent la vie et davantage encore de citoyens restèrent handicapés à vie !
Et, il fallait s’y attendre, LES JOURNAUX ne tarirent pas d’éloges quant à la sagesse dont avait fait preuve l’establishment médical en faisant la promotion des vaccins, précisant que le nombre des décès aurait été bien plus élevé s’il n’y avait pas eu la campagne de vaccinations !!
Des millions et des millions de dollars de profit furent engrangés au cours de cette énorme escroquerie « médicale ».
Grâce aux lanceurs d’alerte du « Protective Bureau », l’énorme escroquerie fut dénoncée et fut l’objet de poursuites judiciaires qui finirent par aboutir.
Au cours du procès, trois faits étonnants furent démontrés au-delà de « tout doute possible » :
Fait n°1. Les photos et les posters utilisés par les « médecins » et qui montraient des enfants malades ou mourants N’AVAIENT RIEN A VOIR AVEC LES CAS DE VARIOLE DE L’ENDROIT COMME ON AURAIT PU S’Y ATTENDRE !
Le « Protective Bureau » put établir et prouver qu’il s’agissait d’enfants anglais pour lesquels la justice s’était prononcée et qui avaient été victimes de l’empoisonnement vaccinal !!
Plusieurs jugements eurent lieu en Angleterre. Tous les détails, photos de ces affaires sont repris dans un ouvrage qui porte comme titre « HISTOIRE ET PATHOLOGIE DE LA VACCINATION » par Edgar M. Crookshank, M.D. professeur de bactériologie au Kings College, Londres ;
Fait n°2. Les vaccins contenant des VIRUS VIVANTS (atténués) provoquent généralement plus de maladies que les vaccins pourraient éventuellement éviter.
Fait n°3 Les maladies provoquées par les vaccinations représentent un outil socio-économique extrêmement efficace. Elles sont capables de générer des retombées économiques de billions de dollars, tout en modifiant les structures sociales de larges couches de population.
Alors que le « Protective Bureau » gagnait devant les tribunaux, le peuple américain perdait sur toute la ligne. Ces affaires auraient dû faire la une de tous les journaux du pays, dénonçant le Modus Operandi de certains « médecins » corrompus. Les journaux auraient dû expliquer comment ces gens firent des profits de millions et de millions de dollars par la tricherie, la tromperie, alors que des milliers d’américains naïfs et confiants souffraient et mouraient.
Toute cette sordide affaire avec tous ses détails répugnants fut tue par la presse américaine. L’AMA (Association Médicale Américaine) de John D. Rockefeller s’en était assurée avec le pouvoir de ses millions de dollars d’influence !
Bien que des milliers de personnes soient mo rtes ou restées handicapées par ce massacre organisé, les médecins impliqués ne furent que dérisoirement inquiétés. Ils furent pénalisés d’une amende de pure forme. L’establishment médical en tant que tel ne fut pas le moins du monde inquiété par la révélation de ces faits et a continué à perpétrer les mêmes crimes contre l’humanité en provoquant des maladies dues aux vaccins. Ces médecins, ne furent nullement freinés dans leur zèle d’escroquer le bon peuple jusqu’à ce jour…
AUTRES EXEMPLES D’EPIDEMIES INDUITES PAR LES VACCINS
Cas n°1 : Les mêmes événements qu’à Kansas City se produisirent à Pittsburg, PA à l’automne 1924. Comme à Kansas City, un groupe de lanceurs d’alerte engagea une action en justice à l’encontre du Dr C.J. VOUX, directeur des services de santé à Pittsburg et ses collaborateurs.
Tout comme à Kansas City, les promoteurs du vaccin furent déclarés coupables. Le procès permit de mettre à jour le fait que plus d’un million de doses de vaccin furent « vendues » aux citoyens de Pennsylvanie, bien que pas un seul cas de variole ne fut déclaré dans toute la région.
Il fut clairement démontré que ce fut SEULEMENT APRES l’administration du million de vaccins que l’épidémie de variole se déclara. Cette « épidémie » fabriquée de toutes pièces de main d’homme entraîna 330 décès et au minimum 1.680 cas graves de variole avec dommages et invalidité permanente pour les survivants. Cette « épidémie » coûta en outre à la ville la somme de 3.069.616 dollars ! Bien que le Dr Voux et ses acolytes avaient engrangé plus de 10 millions de dollars (soins et hôpitaux), ils
ne furent pas contraints, en guise de réparation, de payer pour les dommages causés.
Comme pour l’affaire de Kansas City, une amende insignifiante fut infligée aux coupables et l’affaire ne fut jamais l’objet d’une large publication.
Cas n°2 : Les premiers lots du vaccin Salk contre la polio provoquèrent des milliers de cas de poliomyélite chez les vaccinés (L’un de ceux-ci concerna le président Franklin D. Roosevelt qui fut frappé quelques semaines après avoir reçu le vaccin). Cette situation fut attribuée à une quantité trop élevée de virus vivants dans le vaccin. C’est alors, en 1958 que le Dr Sabin mit au point son vaccin « amélioré » avec des virus vivants mais « affaiblis » ou « atténués ». L’année suivante son vaccin fut rendu obligatoire pour tous les enfants en âge d’école dans denombreux états. Le résultat : les cas de polio augmentèrent de 300 % dans ces états !
A titre d’exemples : au Tennessee, on relevait 119 cas de polio en 1958. Après la vaccination on en dénombra 386.
En Ohio on relevait 17 cas de polio en 1958. Ce chiffre passa à 52 en 1959. Au Connecticut on passa de 45 cas en 1958 à 123 cas en 1959. En Caroline du Nord : 78 cas en 1958 contre 312 cas en 1959, tout cela APRES avoir rendu la vaccination obligatoire pour les enfants des écoles. Au cours des dernières années, les SEULS cas de polio enregistrés ont été la suite directe des vaccinations.
Cas n°3 : C’est en 1976 qu’ont été perpétrés le fiasco et l’escroquerie de la « grippe porcine ».
Un soldat s’évanouit à Ft. Dix et meurt après avoir eu une réaction à un vaccin « expérimental », alors qu’il était sous l’effet d’un exercice physique intense, en l’occurrence une « marche forcée ».
Immédiatement le CDC entre en action et déclare que l’on peut s’attendre à UNE PANDEMIE DE GRIPPE PORCINE A L’ECHELLE NATIONALE. L’heureux hasard a voulu que le CDC soit justement en possession d’un stock de plus de 2 millions de doses de vaccin contre la grippe porcine préparés à partir de virus vivants atténués et d’ADJUVANTS expérimentaux… 40 millions de vaccins sont alors administrés à des cobayes humains naïfs.
Quantité de maladies auto-immunes (Syndrome paralytique de Guillain Barré et lupus), de même que de nombreux décès sont immédiatement mis en relation avec le vaccin et… la campagne de vaccination massive est arrêtée…
En 1979 l’émission télévisée « 60 minutes » consacre un documentaire à ce scandale. Contre toute
attente et suite aux menaces de Big Pharma, ce programme parfaitement impartial ne sera diffusé QU’UNE SEULE FOIS.
Il n’y eut aucune suite, aucune mise en accusation. Il n’y eut ni jugement, ni procès !
Il est donc compréhensible que l’Amérique ait oublié ce scandale de la grippe porcine de 1976.
Voir : http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/08/...
porcine-de-1976-epidemie-d-effets-seco.html
Cas n°4 : Au cours de la première guerre du Golfe (Operation desert Storm), un vaccin
expérimental contre l’anthrax fut administré de force à 140.000 soldats. Ce vaccin expérimental contenait un adjuvant huileux appelé squalène. En dépit des volumineuses études menées dans de prestigieux laboratoires comme ceux de l’UCLA et qui en avaient montré le danger et la toxicité,. Les « huiles » militaires n’hésitèrent pas à donner le feu vert pour ces injections expérimentales.
Le résultat : ces 140.000 soldats furent atteints de ce qu’il est convenu d’appeler « le syndrome de la guerre du Golfe » Cette affaire sordide est expliquée très honnêtement dans un ouvrage de Gary Matsumoto appelé « Vaccine-A ».
TOUTES LES « PANDEMIES » MODERNES SONT CAUSEES PAR LES SERINGUES VACCINALES
Comme l’auteur de cet article l’a répété maintes fois au cours d’interviews radiodiffusés, La pandémie de grippe de 1918 a été le résultat direct de vaccins contre la fièvre typhoïde contaminés par virus vivants et qui avaient été administrés de force aux militaires américains et alliés au cours de la première guerre mondiale. A cette époque les virus n’étaient pas encore connus et on imaginait que les maladies avaient une origine bactérienne. Ces vaccins mortels contre la fièvre typhoïde furent fabriqués par les laboratoires de recherche de John D. Rockefeller, ainsi que par les laboratoires pharmaceutiques chinois.
Les souches vaccinales étaient réalisées à partir de virus récoltés chez des malades atteints de fièvre typhoïde et injectées à des troupeaux de porcs afin d’augmenter la réserve de matériel souche. Ces produits étaient ensuite injectés dans des oeufs de dinde et de poules pour permettre l’incubation des éléments pathogènes. Le produit final était ensuite injecté dans LES VEINES DE CENTAINES DE MILLIONS D’ETRES HUMAINS.
Il s’ensuivit une énorme pandémie qui enleva la vie à 50 millions de personnes à travers le monde.
Vaccine-Induced Disease Epidemic Outbreaks – The Engineering of « Pandemics »
By A.TRUE OTT, PhD, ND 23-08 ;2009.
http://www.rense.com/general87/indu.htm
Un million de fois plus de squalène dans le vaccin H1N1 que dans ceux qui provoquèrent la maladie de la guerre du Golfe
Par Gary Jacobucci - 25.08.09 (Notes et extraits)
http://www.rense.com/general87/mill.htm
[Cet article paru en anglais sur rense.com fait référence à une interview le 24-08-09 du Dr Laibow mettant en exergue la quantité très importante de l’adjuvant squalène dans certains vaccins H1N1 et les risques que cela comporte. Pour en savoir plus, Gary Jacobucci a mis en relation deux articles récents : l’un du Dr Anders Bruun Laursen, l’autre du Dr Russel Blaylock, neurochirurgien].
La présentation qu’a faite le Dr Laibow sur le squalène fut impressionnante. En cherchant des vérifications par rapport à ce « million de fois plus de squalène » que la quantité se trouvant dans le « vaccin A » qui a provoqué la maladie catastrophique de la première guerre du golfe (qui a ruiné les vies de centaines de milliers de soldats et tué des milliers d’autres), je suis tombé sur ces articles…
Quel est le danger des vaccinations contre la grippe porcine ?
Par le Dr Anders Bruun Laursen -
http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=14851 - 20-08-2009
« […] Comme vous voyez, il n’y a pas de confusion en ce qui concerne les virus de la grippe porcine et celui de la grippe aviaire. Mais il y a un autre problème très important : le rôle du squalène.
La quantité moyenne de squalène dans le vaccin contre l’anthrax injectée aux soldats américains à l’étranger, comme dans le pays pendant et après la guerre du Golfe a été de 34,2 microgrammes par milliard de microgrammes d’eau [ppb - parts per billion]. C’est à cela qu’une étude attribue la cause du syndrome de la guerre du Golfe chez 25% des 697.000 américains aux Etats-Unis et à l’étranger.
On peut trouver les résultats d’analyses suivantes de la FDA (« from the Gulf War lots on the Military Vaccine Resource directory website » (4)
a) AVA 020 – 11 ppb squalène
b) AVA 030 – 10 ppb squalène
c) AVA 038 – 27 ppb squalène
d) AVA 043 – 40 ppb squalène
e) AVA 047 – 83 ppb squalène
Ces valeurs furent confirmées par le Prof. R.F. Garry devant la Chambre des Représentants. C’est le Prof. Garry qui a découvert le lien entre le syndrome de la guerre du Golfe et le squalène. Selon ses recherches, le syndrome de la guerre du Golfe a été provoqué par le squalène et ce produit a été interdit par un juge fédéral en 2004 pour son utilisation dans le cadre du Pentagone.
Comme on peut le voir sur la page 6 du document de l’EMEA, le vaccin Pandremix contient 10,68 mg de squalène par quantité de 0,5 ml. Ceci correspond à 2.136.0000 microgrammes par billion de microgrammes d’eau, ce qui revient à un million de fois plus de squalène que dans (4).
Il y a toutes les raisons de croire que ceci rendra les gens malades dans des proportions beaucoup plus élevées qu’en 1990/91. Ceci est pour moi réellement meurtrier. »
Le vaccin peut être plus dangereux que la grippe porcine
Par le Dr Russel Blaylock- 15-07-2009
« […] Ce qui est terrifiant c’est que ces vaccins pandémiques contiennent des ingrédients que l’on appelle adjuvants. Nombre d’études ont montré que ces produits pouvaient causer des maladies auto-immunes dévastatrices, comme l’arthrite rhumatoïde, la sclérose en plaques et le lupus. Des études effectuées sur des animaux avec cet adjuvant ont montré le caractère meurtrier de ce produit. Une étude réalisée sur 14 cobayes a montré que quand cet adjuvant particulier fut injecté, un seul animal a pu survivre. Une nouvelle étude a montré les mêmes résultats meurtriers…
[…] J’ai fait une recherche sur pas mal d’études réalisées sur cet adjuvant et trouvé quelque chose de particulièrement intéressant. Plusieurs études réalisées sur des humains ont montré que le MF59 (le MF-59 contient deux principaux ingrédients inquiétants le squalène et le gp120 ) était un adjuvant immunitaire très sûr.
Mais quand j’ai vérifié qui avait réalisé ces études, j’ai trouvé sans surprise qu’elles avaient été réalisées par Novartis Pharmaceutical Company et Chiron Pharmaceutical Company qui ont fusionné. Ces études furent toutes publiées dans de « prestigieux » journaux médicaux. Ce qui ne m’a pas non plus étonné c’est que de nombreuses études réalisées par des laboratoires indépendants et des centres de recherches indépendants ont trouvé une très forte relation entre le MF-59 et les
maladies auto-immunes. Le squalène dans les vaccins a été fortement mis en cause dans le syndrome de la guerre du Golfe.
Au mois d’août 1991, Anthony Principi, Secrétaire aux affaires des vétérans admettait que les soldats qui avaient reçu le vaccin contre l’anthrax entre 1990 et 1991présentaient un risque 200 fois supérieur de développer la maladie meurtrière qu’est la sclérose latérale amyotrophique (ALS) que l’on appelle aussi la maladie de Lou Gehring. Les soldats souffraient aussi de nombre de maladies débilitantes raccourcissant la vie comme la polyarthrite nodosa, la sclérose en plaques (MS), le lupus, la myélite transverse, l’endocardite, la névrite optique avec perte de la vue et la glomérulonéphrite (un type de maladie des reins).
Le second ingrédient qui m’inquiète vraiment s’appelle le gp120, une glycoprotéine. Les chercheurs ont trouvé que quand ce produit était mélangé au squalène, la glycoprotéine devenait très fortement antigénique, c'est-à-dire qu’elle permettait la production d’une réponse immunitaire puissante et prolongée à la vaccination. En fait leurs études montrent qu’avec chaque dose, la forte réaction immunitaire dure plus d’un an. Maintenant ce qui est imbuvable c’est que cette glycoprotéine – gp120, un composant important de l’adjuvant vaccinal MF-59, est le même fragment protéinique qui fut isolé du HIV – le virus responsable de démence précoce chez les malades atteints du sida.
Des études ont montré que quand le gp120 est absorbé par les cellules microgliales dans le cerveau, il se produit une intense inflammation qui rend le cerveau susceptible de dommages excitotoxiques. C’est aussi la cause de la sclérose en plaques et de la névrite optique associée à des vaccins qui contiennent le MF-59.
Mais comment le gp 120 peut-il atteindre le cerveau ?
Des études portant sur d’autres adjuvants et qui ont utilisé des techniques de « marqueurs » ont pu démontrer qu’ils pénètrent généralement dans le cerveau après les vaccinations. Ce que la plupart des gens ne savent pas et même les médecins qui recommandent les vaccins, c’est
que la plupart de ces études réalisées par les compagnies pharmaceutiques font le suivi des patients pendant une ou deux semaines après la vaccination, alors que les types de réactions à ces produits peuvent prendre des mois ou même des années pour se manifester.
Il est évident que les fabricants de vaccins veulent faire des billions de dollars de profit avec cette pandémie promue par l’OMS et le gouvernement. …
Il faut cependant bien garder à l’esprit le fait qu’une fois que le vaccin a été injecté, il n’y a plus grand-chose que vous puissiez faire pour vous protéger – au moins par la médecine conventionnelle. cela voudra dire une vie entière de maladie invalidante et une mort prématurée. Il existe des moyens plus sûrs de se protéger de ce virus de la grippe comme de hautes doses de vitamine D3, des suppléments alimentaires et surtout une excellente alimentation. »
Références
(4) The Military Vaccine Resource Directory
http://www.mvrd.org/showpage.cfm?ID
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