Exclusif: Bernard Henri Lévy prié officiellement de quitter la Tunisie. Une enquête a été ouverte pour connaître la personne qui l'a invité en Tunisie ! (01/11/2014)

Excellent ! Allez oust dehors de Tunisie, le terroriste sioniste !

Qui veut sur son territoire, ce terroriste nuisible qui fabrique des guerres au profit de son lobby sioniste ? On se demande encore pourquoi les Français le tolère sur leur territoire ?  Puisqu'il admire tellement l'état sioniste, terroriste d'Israël, il n'a qu'à y aller ! Un charter et oust, dehors.

Arrivé à Tunis, le 31 octobre, après y avoir été invité par un inconnu, la foule s'est déchaînée contre BHL en scandant " DEGAGE", "BHL ASSASSIN" !

Le gouvernement Tunisien a prié officiellement BHL de quitter son territoire par le premier vol pour Paris, et une enquête a été ouverte pour savoir qui avait invité BHL, sans avoir prévenu les autorités officielles, ainsi que le motif de sa visite en Tunisie !


Exclusif: Bernard Henri Lévy prié officiellement de quitter la Tunisie

Après la mobilisation de la société civile contre sa venue en Tunisie, Bernard Henri Lévy a été prié par le gouvernement tunisien de quitter le pays.Bernard Henri Lévy

Le philosophe français, débarqué à Tunis dans la soirée du vendredi 31 octobre 2014, doit plier bagage et quitter la Tunisie par le premier vol vers Paris. Une source officielle a indiqué à Kapitalis que le gouvernement tunisien a déjà ouvert une enquête pour déterminer la partie qui a invité l’agitateur politique français sans en informer préalablement les autorités.

Mehdi Jomaâ, chef du gouvernement provisoire, n’a pas apprécié, en effet, cette visite intempestive, organisée secrètement par des parties louches, impliquées dans les affaires libyennes.

Accusé par la société civile d’être derrière l’invitation de M. Lévy, un sioniste notoire semeur de désordre dans le monde arabe, Moncef Marzouki, président provisoire de la république, a nié, dans un communiqué publié sur la page Facebook de la présidence, tout lien avec cette invitation.

L’enquête officielle ne tardera pas à dévoiler la partie qui a payé le billet d’avion de M. Lévy et les frais de son séjour à l’hôtel The Residence, à Gammarth, dans la banlieue nord de Tunis, où une chambre lui a été réservée jusqu’à jeudi prochain.

On saura aussi l’objet exact de sa visite, qui prévoyait une tournée à Bizerte, Nabeul et Sfax.


Bernard-Henri Lévy accueilli en Tunisie aux cris de "Dégage !"

Extrait de l'article : Dans la soirée du vendredi 31 octobre 2014, l’information s’est répandue comme une traînée de poudre d’abord sur les réseaux sociaux puis fut reprise par la presse en ligne en Tunisie. Bernard-Henri Lévy, l’écrivain français notoire pour une fortune personnelle inversement proportionnelle à son talent et à l’intérêt intellectuel qu’il suscite, est en Tunisie.

Plusieurs personnes manifestent contre la venue de BHL en Tunisie

La suite de l'article  : ICI

Exclusif: Le gouvernement tunisien ouvre une enquête sur la visite de BHL en Tunisie

Bernard-Henry-Levy-en-Israel

 Le ministère des Affaires étrangères tunisien a demandé à ses services l'ouverture d'une enquête urgente sur la visite en Tunisie de l'intellectuel français Bernard Henri Lévy.

Par Zohra Abid

Joint au téléphone par Kapitalis, Mongi Hamdi, chef de la diplomatie tunisienne, a déclaré que son département n'a pas été informé de cette visite pour le moins bizarre, ajoutant qu'il n'en avait lui-même aucune idée.

«Normalement, il s'agit d'une personnalité connue et nos protocoles doivent être informés. Nous devons connaitre la partie qui a invité secrètement cet homme. Nous allons mener notre enquête et réagir en conséquence. Inviter secrètement une personnalité comme Bernard Henri Lévy n'est pas un acte anodin», nous a déclaré M. Hamdi, ajoutant qu'il assume la responsabilité de ses propos. Ambiance...

Tollé général

Par ailleurs, un groupe d'avocats appelle le procureur de la république à ouvrir une enquête sur le parti ou la partie qui a invité l'intellectuel sioniste Bernard Henri Lévy en Tunisie.

Cette visite est une menace à la sécurité du pays, estiment ces avocats, qui accusent le philosophe français, sur la base de ses engagements antérieurs en Irak, en Syrie et en Libye, de mener des actions visant à déstabiliser le monde arabe et à y semer les graines de l'anarchie au profit de l'Etat d'Israël, dont il est l'un des plus fervents et inconditionnels défenseurs en France.

Me Abdelaziz Essid a, sur sa page Facebook, demandé l'ouverture immédiate d'une enquête pour connaître le nom du parti ou de la personnalité ayant invité le philosophe en Tunisie et pour quel but.

Depuis le début du printemps arabe, Bernard Henri Lévy a toujours affiché son soutien aux groupes islamistes armés. Et ses interventions ont souvent été suivies, comme en Libye, par le déclenchement d'affrontements armés.

Mohamed Chawki Abid, ingénieur économiste, a commenté, lui aussi, sur sa page Facebook, la visite en Tunisie de Bernard Henri Lévy. «Je suis agréablement surpris par la réaction solidaire des avocats tunisiens et des facebookers contre l'arrivée de Bernard-Henry Lévy à Tunis. Je note également qu'un grand nombre de Tunisiens découvre aujourd'hui l'ingénierie perverse de BHL dans la mise en effervescence des pays du printemps arabe», écrit-il.

«Je ne veux accuser personne, mais j'exhorte notre procureur de la république de faire le nécessaire quant à la demande expresse du collectif d'avocats pour identifier la ou les personnes (physiques ou morales) ayant invité BHL à venir en Tunisie. Ce faisant, le peuple tunisien saura qui est l'allié du sionisme dans notre pays», conclue M. Abid.

Interrogé à propos de cette visite, un dirigeant de Nida Tounes,  vainqueur des législatives du 26 octobre 2014, a indiqué à Kapitalis que son parti a appris l'arrivée du philosophe français à Tunis par la voie des médias et qu'il n'y est associé d'aucune manière.

Selon certaines sources, M. Lévy serait l'invité du président du parti islamiste Ennahdha Rached Ghannouchi.

Rappelons aussi que les deux hommes – qui n'ont, apparemment, rien en commun – s'étaient déjà rencontrés, en août 2013, à Paris. Et qu'ils ont un ami commun, le dirigeant islamiste libyen – et ancien combattant d'Al-Qaïda – Abdelhakim Belhaj.

Tout cela est louche, trop louche, au regard des Tunisiens, qui ont réussi leur transition démocratique sans aucune ingérence étrangère et sont en passe de réussir leur seconde alternance démocratique en 3 ans.

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Bernard-Henri Lévy persona non grata en Tunisie

 

 

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