Nicolas Sarkozy mis en examen pour corruption et trafic d'influence actifs (02/07/2014)

Il va bien falloir que la Justice passe n'est-ce pas pour un ancien président qui s'est présenté aux élections présidentielles sous un nom d'emprunt, celui de Nicolas SARKOZY au lieu de celui de Nicolas SARKÖZY de NAGUY BOCSA, grand VRP des Illuminati/Sionistes/Reptiliens promoteurs du Nouvel Ordre Mondial, après avoir vendu la France à ses amis sionistes du CRIF et d'Israël, et privatisé une partie des institutions et du système de santé en privilégiant ses amis banksters et autres, tout en ruinant la France et en violant la supposée constitution française de la république maçonnique afin d'instaurer la dictature au peuple français  pour faire passer en force le Traité Liberticide de Lisbonne et livrer le peuple français aux forces d'occupation fascistes de l'US/UE/Sionistes.

Sans compter que la France est ruinée avec toutes ses manoeuvres, mais pour ses amis sionistes, il s'agit d'un complot organisé par les juges pour empêcher SARKOZY de se présenter à la parodie des élections présidentielles de 2017 lorsque l'on sait que les VRP/présidents sont choisis et placés par tous les lobbies sionistes pour faire avancer les plans des promoteurs du Nouvel Ordre Mondial.

En revanche pour Dieudonné qui est persécuté par le CRIF et les sionistes, il n'y a pas de complot sioniste organisé contre lui.

Rappelez-vous : Nous irons ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial, et personne, je dis bien personne ne pourra l'empêcher. » disait Nicolas SARKOZY....
 
Tout sur SARKOZY et le Nouvel Ordre Mondial : ICI
 

Nicolas Sarkozy mis en examen pour corruption et trafic d'influence actifs

Le Nouvel Observateur avec AFP
Publié le 02-07-2014 à 05h29Mis à jour à 06h48

Avant de recevoir l'ancien président, les juges d'instruction avaient mis en examen dans la soirée son avocat historique, Me Thierry Herzog, et le haut magistrat Gilbert Azibert.

 

Nicolas Sarkozy à la sortie du bureau des juges, cette nuit. (AFP PHOTO / KENZO TRIBOUILLARD)
Nicolas Sarkozy à la sortie du bureau des juges, cette nuit. (AFP PHOTO / KENZO TRIBOUILLARD)
 
 
Nicolas Sarkozy a été mis en examen dans la nuit de mardi 1er à mercredi 2 juillet notamment pour corruption et trafic d'influence actifs. Une mesure spectaculaire au moment où son retour politique est dans tous les esprits.

Avant de recevoir l'ancien président, les juges d'instruction avaient mis en examen dans la soirée son avocat historique, Me Thierry Herzog, et le haut magistrat Gilbert Azibert.

L'ex-président était arrivé peu avant 8 heures à la direction centrale de la police judiciaire à Nanterre (DCPJ), dans la banlieue ouest de Paris, non loin de son ancien fief de Neuilly-sur-Seine.

Après environ 15 heures de garde à vue dans les locaux de l'office anti-corruption (Oclciff) - une première pour un ancien chef de l'Etat - il a été conduit au pôle financier du TGI de Paris pour y être présenté aux juges.

Celles-ci l'ont mis en examen pour recel de violation du secret professionnel, corruption et trafic d'influence actifs, a précisé le parquet dans un communiqué. Il n'est pas soumis à un contrôle judiciaire.

La corruption et le trafic d'influence sont des délits passibles de peines pouvant aller jusqu'à dix ans de prison.

Lire
Comprendre l'affaire en moins de 5 minutes 

Abandonné par l'UMP ?

Ces développements judiciaires interviennent au moment où les rumeurs sur sa volonté de prendre à l'automne la tête de l'UMP se font de plus en plus précises. Si quelques sarkozystes avaient dénoncé dans la journée son placement en garde à vue, aucun ténor de droite n'est monté au créneau pour le défendre.

Dans cette procédure, trois autres personnes avaient été placées en garde à vue lundi : Me Thierry Herzog, Gilbert Azibert et un autre avocat général à la Cour de cassation, Patrick Sassoust, qui n'a toutefois pas été présenté aux juges.

Les juges d'instruction cherchent à établir si l'ancien chef de l'Etat (2007-2012) a essayé d'obtenir des informations couvertes par le secret auprès de Gilbert Azibert sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'une intervention pour un poste de prestige à Monaco.

Lire Que cherchent à savoir les enquêteurs ?

La Cour de cassation devait alors se prononcer sur la saisie dans l'affaire Bettencourt des agendas de Nicolas Sarkozy, susceptibles d'intéresser les juges enquêtant sur d'autres dossiers. Dans le dossier Bettencourt, Nicolas Sarkozy avait été mis en examen avant de bénéficier d'un non-lieu.

De Mouammar Kadhafi à Paul Bismuth

A l'origine de l'affaire qui vaut ces nouveaux déboires à Nicolas Sarkozy, son placement sur écoutes en septembre 2013 dans l'enquête sur les accusations, pour l'heure non étayées, d'un financement par la Libye de Mouammar Kadhafi de sa campagne victorieuse de 2007.

Dans ce dossier libyen, plusieurs de ses proches avaient d'abord été placés sur écoute : Claude Guéant, Brice Hortefeux, mais également Michel Gaudin, ancien patron de la police nationale et ex-préfet de police de Paris.

Ce dernier, devenu son directeur de cabinet après la défaite de 2012, entretient au printemps 2013 plusieurs conversations qui interpellent les enquêteurs. Il semble vouloir, en vain, se renseigner sur l'enquête libyenne auprès d'un responsable policier.

Les juges décident de placer à son tour l'ex-président sur écoute, en particulier le téléphone qu'il utilise sous l'identité d'emprunt de Paul Bismuth pour converser avec Me Herzog.

Lire Comment les écoutes ont conduit Sarkozy en garde à vue 

"La légalité des écoutes sera combattue"

Or, des échanges entre les deux hommes peuvent laisser croire qu'ils ont cherché à obtenir des informations confidentielles auprès de Gilbert Azibert.

Ces faits ne reposent que sur des écoutes que nous contestons et dont la légalité sera fortement combattue. [...] Nous allons nous battre", a promis le conseil de Thierry Herzog, Me Paul-Albert Iweins.

Les obstacles judiciaires se multiplient sur la route d'un retour de Nicolas Sarkozy en politique.

Outre les dossiers de financement libyen et de trafic d'influence présumés, le parquet de Paris a confié à des juges financiers une enquête sur le financement de la campagne de 2012 de Nicolas Sarkozy.

Ses meetings semblent avoir été en grande partie financés par l'UMP afin de masquer un dépassement du plafond des dépenses de campagne autorisé par la loi.

Dans l'arbitrage Tapie, Claude Guéant a été placé en garde à vue, tout comme dans le dossier des primes qu'il a perçues quand il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à l'Intérieur. Michel Gaudin a également été placé en garde à vue dans ce dossier des primes.

http://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20140702.OBS2359/n...

EN DIRECT. Affaire des écoutes : Nicolas Sarkozy mis en examen

Le Nouvel Observateur
 
Avant de recevoir l'ancien président, les juges d'instruction avaient mis en examen dans la soirée son avocat historique, Me Thierry Herzog, et le haut magistrat Gilbert Azibert. Suivez les réactions en direct. 
Nicolas Sarkozy à la sortie du bureau des juges, cette nuit. (AFP PHOTO / KENZO TRIBOUILLARD) 
Nicolas Sarkozy à la sortie du bureau des juges, cette nuit. (AFP PHOTO / KENZO TRIBOUILLARD)
 
 
En bref

6h - Pour les éditorialistes, il faut que justice passe

Si plusieurs éditorialistes considèrent que l'ancien président est un "justiciable" comme un autre et que la justice doit faire son travail, certains estiment cependant qu'elle fait "le sale boulot" pour empêcher l'ancien chef de l'Etat de reprendre la tête de l'UMP, sur fond de guerre des chefs au sein du parti.

Lire "Sarkozy va devoir assumer devant les Français" 

2h30 - Nicolas Sarkozy mis en examen

Nicolas Sarkozy est mis en examen pour corruption active, trafic d'influence actif et recel de violation du secret professionnel, a annoncé le parquet national financier.

Lire Comprendre l'affaire en moins de 5 minutes 

0h30 - Sarkozy devant les juges

Après environ 15 heures de garde à vue dans les locaux de l'office anti-corruption (Oclciff) - une première pour un ancien chef de l'Etat - est conduit au pôle financier du TGI de Paris pour y être présenté aux juges.

Lire Que cherchent à savoir les enquêteurs ?
 

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