La Quenelle de Dieudonné vraiment importante quand en Centrafrique, les enfants sont des cibles des criminels !!!! (31/12/2013)

La propagande médiatique dirigée à l’encontre de Dieudonné qui nous est perfusée par les merdias aux ordres du lobby sioniste qui gouverne la France, l’Europe, les USA et le Monde, et grand promoteur de l’idéologie religieuse sioniste de l’instauration du Nouvel Ordre Mondial pour soumettre tous les peuples à leur dictature et à leur contrôle,  n’aurait-elle pas d’autres buts que de masquer l’état de déliquescence dans lequel se trouvent la France et les pays Européens et les crimes de génocides auxquels a participé et participe la France en Lybie, en Syrie et à présent en Centrafrique, etc… ?

Et si au lieu de parler de provocation à la haine raciale de Dieudonné, nous parlions des génocides humains sponsorisés sur nos propres deniers par Nicolas Sarközy de Naguy Bosca, de Hollande et de toute la clique de criminels qui gouvernent la France depuis quelques décennies ? Là seraient les vrais sujets de débats !

A nous rappeler quand même pour ceux qui ne connaissent pas la véritable histoire de  France que la Révolution Française a été fomentée par la Juiverie et en aucun cas par le Peuple Français. Merci de revoir votre histoire de France à cette occasion.

Voici, ce qui se passe en Centrafrique sur les enfants musulmans qu’il faut sûrement éliminer du milieu, dans l’ombre et le silence, pendant que l’on détourne notre attention vers Dieudonné qui est devenu le bouc émissaire du lobby sioniste qui règne et gouverne en France, en Europe et dans le monde !

En Centrafrique, les enfants sont des cibles

Le Point.fr - Publié le 31/12/2013 à 11:23

Selon la coordinatrice d'une ONG à l'hôpital pédiatrique de Bangui, certains enfants "se sont fait tirer dessus parce qu'ils étaient musulmans". Reportage.

Cet enfant blessé à la tête par un coup de machette "résume, à lui seul, ce qu'on fait à son peuple tout entier", écrit le photographe sur le blog de l'AFP.

Cet enfant blessé à la tête par un coup de machette "résume, à lui seul, ce qu'on fait à son peuple tout entier", écrit le photographe sur le blog de l'AFP. © Fred Dufour / AFP  

Le Point.fr (avec AFP)Par Anne Jeanblanc

"Avant, les enfants étaient des victimes collatérales, maintenant, certains sont directement visés", constate Ombretta Pasotti, coordinatrice de l'ONG Emergency à l'hôpital pédiatrique de Bangui, qui reçoit les premières victimes de la crise centrafricaine, les enfants.

Allongé dans son lit et serré contre sa mère, le regard fixe, David, 13 ans, fait partie des 38 enfants qu'a accueillis l'hôpital au cours du seul mois de décembre. Il a pris une balle dans le bras, et comme tant d'autres il a reçu ici des soins d'urgence gratuits dans cette unité de chirurgie aux murs défraîchis. "Ces enfants sont victimes de balles perdues, d'éclats... certains ont été blessés par hasard, mais nous avons ici des enfants qui se sont fait tirer dessus parce qu'ils étaient musulmans", explique Ombretta.

Depuis la prise de pouvoir en mars par l'ex-rébellion Seleka, de majorité musulmane, et la création de milices chrétiennes d'autodéfense qui s'en prennent majoritairement aux populations civiles musulmanes, les victimes sont nombreuses chaque jour à Bangui comme en province.

Dans l'un des lits, un gamin de moins de dix ans somnole. Il a un large pansement sur la tête, conséquence d'un coup de machette. L'un de ses voisins de chambre a lui été blessé par des éclats de grenade. "Nous faisons de notre mieux, mais à cause de l'insécurité, il est difficile pour nous de travailler, sans compter le manque de matériel qui a du mal à nous parvenir, et surtout le manque de sang...", souligne la coordinatrice.

Sur le blog de l'AFP, le photographe Fred Dufour a raconté ce reportage dans un témoignage poignant, intitulé "Une saison de machette en Centrafrique", allusion au titre d'un livre exceptionnel que Jean Hatzfeld avait consacré au génocide rwandais. "Je remarque un petit garçon, calme, qui a la main bandée et l'air triste. Il me regarde sans rien dire, sans sourire. Je comprends qu'il a encore très mal. Les conditions d'hospitalisation sont précaires, il n'y a probablement pas assez de calmants pour soulager ses souffrances." raconte-t-il.

Cent malades pour 54 lits

Un peu plus loin dans l'hôpital, une autre unité s'occupe elle aussi d'enfants, victimes à un degré différent du drame centrafricain. Dans la cour du service, de nombreuses mères cuisinent au feu de bois dans de lourdes marmites, font tremper du linge ou attendent, tout simplement.

Dans cette unité, qui s'occupe de nutrition, une centaine d'enfants sont traités, certains terriblement affaiblis. Pendant un temps, cet hôpital, appuyé par plusieurs ONG, avait réussi à "inverser la courbe", passant depuis deux ans de 15 à 5 % de mortalité.

"Depuis la reprise des violences, nous sommes remontés à 13 %", constate Jean Chrysostome Gody, le directeur de l'établissement. "Nous avons près de cent malades pour 54 lits, c'est un vrai problème, d'autant que certains enfants, même guéris, ne peuvent rentrer chez eux de peur des violences", explique pour sa part le docteur Touane, médecin nutritionniste.

C'est notamment le cas d'Alima Hamadou, dont l'enfant, pourtant arrivé dans le coma à l'hôpital, a pu être sauvé, mais ne peut plus rentrer au domicile familial. Avec ses quatre enfants, Alima est contrainte d'attendre une hypothétique accalmie pour quitter l'enceinte du complexe pédiatrique.

"La situation n'a jamais été aussi grave", souligne le Dr Touane, devant une tente de l'ONG Action contre la faim, montée dans la cour de l'hôpital pour faire face à l'afflux de patients. Se voulant optimiste, le directeur essaie de remonter le moral de ses troupes : "Il faut s'accrocher, voir le bon côté des choses. Nous avons l'appui de nouveaux médecins, de l'Unicef et des ONG partenaires. C'est notre combat, et je veux espérer qu'un jour tout cela appartiendra au passé..." Mais pour le moment, et depuis des semaines, un flot de patients arrive chaque jour et l'hôpital est débordé.

http://www.lepoint.fr/monde/en-centrafrique-les-enfants-s...

 

 

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