Santé. Pour lutter contre le bioterrorisme des laboratoires pharmaceutiques et des élites ! Le Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux (05/04/2013)

Comme vous l'avez compris, des individus faibles et malades ne peuvent plus combattre contre la dictature qui nous est imposée par l'oligarchie.

Il faut donc alimenter le système médical en vous rendant malades et faibles et ils gagnent sur tous les tableaux en vous injectant des vaccins et en vous faisant avaler des poisons !


Pendant que vous luttez contre les maladies, non seulement ils se gavent sur votre détresse mais avec votre argent et vous leur fichez la paix, car un individu faible et malade ne peut plus se défendre.

Le bioterrorisme institutionnalisé est donc un moyen pour les états de vous contrer et de vous affaiblir pour que vous ne puissiez plus résister à leur dictature.

Après l'article et la vidéo vous avez le Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux à télécharger en PDF.


Un livre choc dénonce l'excès de médicaments inutiles

Mots clés : Médicament
Par figaro iconlefigaro.fr - le 13/09/2012
 
Deux professeurs de médecine, Bernard Debré et Philippe Even, publient un guide des médicaments dans lequel ils affirment qu'un médicament sur 2 est inutile et 1 sur 20 potentiellement dangereux.

 

La France, toujours citée parmi les pays consommant plus de médicaments que de raison, voit paraître un nouvel ouvrage alarmiste sur sa situation pharmaceutique. Dans leur Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles et dangereux, Bernard Debré, chirurgien et député UMP, et Philippe Even, pneumologue, s'attaquent aux inefficacités du système français. Trop de molécules sans intérêt, voire nocives, sont tolérées sur le marché français et remboursées, notamment pour protéger l'industrie pharmaceutique hexagonale, dénoncent-ils. Le tout contribuant, selon eux, à plomber les comptes de l'Assurance-maladie.

Le livre recense ainsi «50% de médicaments inutiles, 20% de mal tolérés, 5% de “potentiellement très dangereux”». Ils en extraient une liste de 56 médicaments à suspendre immédiatement.

L'analyse des deux professeurs de médecine reçoit un accueil mitigé parmi les experts français en pharmacologie. Ceux-ci reconnaissent à l'ouvrage le mérite de soulever des problèmes structurels régulièrement dénoncés depuis une vingtaine d'années: trop de produits inefficaces conservent leur autorisation de mise sur le marché, les consultations des médecins débouchent trop souvent sur des ordonnances inutiles, par réflexe culturel. Mais toutes les conclusions de ce guide colossal - 900 pages, d'une utilisation pas forcément évidente pour le grand public - ne sont pas forcément partagées.

«Des erreurs»

«Il y a dans ce livre beaucoup de choses vraies, mais aussi de choses fausses», déplore ainsi le Pr Jean-François Bergmann, vice-président de la commission d'autorisation de mise sur le marché à l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), et chef de service de médecine interne à l'hôpital Lariboisière. «C'est vrai qu'il y a trop de médicaments redondants (n'apportant pas de réelle amélioration par rapport à la version ancienne, moins chère, NDLR), que la politique du générique n'est pas claire et que le prix de certains médicaments est disproportionné par rapport à leur efficacité. Mais les auteurs font aussi des erreurs. Contrairement à ce qu'ils disent, je considère l'Avastin (anticancéreux) comme un produit important, de même que le Byetta (antidiabétique), alors qu'eux souhaiteraient les suspendre. À l'inverse, ils citent comme produit d'excellence le Sintrom (antiacoagulant) que plus personne ne recommande depuis vingt ans. Leur livre reflète également une méconnaissance du circuit du médicament. Le tout n'inspire pas confiance.»

Pour Jean-Louis Montastruc, professeur de pharmacologie médicale à Toulouse, «il ne faut pas diaboliser les médicaments, qui soignent quand même beaucoup de maladies». «Un médicament s'inscrit toujours dans un contexte: il est donné à un patient avec une pathologie, un âge, des antécédents, qui permettront au médecin d'en estimer les bénéfices au regard des risques, rappelle-t-il. Car n'oublions pas qu'un médicament n'est jamais inoffensif. Sinon, cela voudrait dire qu'il est sans effet.»

Mieux informer les médecins

Avec le Pr Bergmann, il partage le sentiment qu'un effort doit être fait par les autorités sanitaires pour mettre à disposition des médecins une information indépendante sur les médicaments, quasi inexistante en France. «Actuellement, les praticiens de ville sont essentiellement informés par les visiteurs médicaux payés par les laboratoires.»

Le Leem, fédération professionnelle des industriels du médicament, a pour sa part déploré mercredi soir des «amalgames et approximations» qui «contribuent à alarmer inutilement les malades et risquent de les conduire à arrêter de leur propre chef des traitements pourtant adaptés aux maladies dont ils souffrent».

» Le Pr Even interviewé par Le Nouvel Observateur: Vidéo

Dans l'Obs en kiosque jeudi 13 septembre "le Guide des médicaments utiles, inutiles ou dangereux". Rencontre avec le professeur Philippe Even, auteur avec le professseur Bernard Debré, d'un livre de 900 pages, où sont passé au crible 4 000 médicaments. Il explique pourquoi ce livre et pointe les dérives de l'industrie pharmaceutique.
http://www.dailymotion.com/video/xthos4_dans-l-obs-le-gui...


Médicaments dangereux : "Laxisme, démagogie et... par LeNouvelObservateur

Le Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux à télécharger en PDF
 

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