Vie privée : Facebook signe un accord avec les autorités américaines (30/11/2011)

Big brother à l'oeuvre de la récupération des données personnelles.

Après le puçage, la récupération des données personnelles par les services secrets US.

Quoi de mieux pour les récupérer que de signer un accord avec Facebook ?

Que font les Anonymous ? Au lieu d'aller alimenter le printemps arabe ils auraient mieux fait de détruire Google et Facebook ?

Les meilleurs agents de renseignement des USA et de ses alliés.

Pour quelles raisons légitimes les Anonymous n'ont-ils pas détruit Facebook comme ils l'avaient prétendu pour le 5 novembre 2011 ?

Sont-ils des agitateurs à la solde des services secrets de renseignements de la CIA et du Mossad  ?

C'est facile de se cacher derrière des masques sans savoir à qui nous avons affaire contrairement aux Indignés qui se montrent et qui ne se cachent pas derrière des masques !
 
S'ils oeuvraient vraiment dans l'intérêt des peuples ils se seraient attaqués à Google le géant du web et à Facebook, et au Réseau Echelon, entre autres, au lieu d'inventer que la Syrie voulait récupérer les données personnelles mises en ligne sur Facebook !


Le réseau Echelon - Le pouvoir secret NSA

http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2010/08/05/le-p-e...

Le Projet Echelon : Nous sommes tous sur écoute
http://www.lepouvoirmondial.com/archive/2008/09/23/le-pro...

Vie privée : Facebook signe un accord avec les autorités américaines

LEMONDE.FR avec AFP et AP | 29.11.11 | 19h12   •  Mis à jour le 29.11.11 | 19h54

 
La page d'accueil de Facebook.









La page d'accueil de Facebook.AFP/JUSTIN SULLIVAN

C'est chose faite : la Federal Trade Commission (FTC), le puissant régulateur américain du commerce, a donné son feu vert à un accord à l'amiable avec Facebook sur ses violations présumées de la vie privée. En décembre 2009, plusieurs associations de défense de protection de la vie privée, comme l'Electronic Privacy Information Center (EPIC), avaient saisi les autorités américaines ; le premier réseau social mondial avait à l'époque rendues publiques par défaut de nombreuses informations personnelles sur les profils Facebook, comme le lieu de résidence de l'utilisateur.

"Je pense que dans l'ensemble, nous avons fait du bon travail sur la manière dont nous donnons (aux utilisateurs de Facebook) le contrôle sur ce qu'ils publient", a commenté Mark Zuckerberg, le PDG de l'entreprise, sur son blog. "Mais je suis le premier à reconnaître que nous avons aussi commis des erreurs", écrit-il, rappelant que son entreprise a mis en place de nombreux outils, ces derniers mois, pour "donner aux utilisateurs encore plus de contrôle". "Le respect de la vie privée est profondément inscrit dans tous nos développements (...). Et avant même la signature de cet accord avec la FTC, nous avions effectué des corrections, de manière proactive, pour tenir compte des inquiétudes qu'elle avait soulevées".

L'accord, qui ne constitue pas une condamnation ni une reconnaissance de manquements à la loi, prévoit plusieurs mesures relativement lourdes.

Un consentement explicite des utilisateurs. Selon les termes de l'accord, le "consentement explicite et affirmatif" des utilisateurs devra être recueilli avant toute modification qui contredirait les préférences générales de vie privée définies par l'utilisateur. Par exemple, Facebook ne pourra plus rendre un élément de profil accessible à tous si l'utilisateur a spécifié qu'il voulait que son profil reste privé, à moins que l'utilisateur ne l'autorise explicitement.

Des audits indépendants pendant vingt ans. Facebook s'est engagé à se soumettre à des audits indépendants de ses pratiques en matière de protection de la vie privée tous les deux ans, pendant une période de vingt ans.

Des règles plus claires. Le réseau social devra développer des règles de protection de la vie privée de ses utilisateurs, pour ses services existants comme pour les nouveaux. Il s'interdira également de présenter "de manière trompeuse" ses pratiques en matière de vie privée.

Google et la FTC avaient conclu un accord à l'amiable similaire en mars dernier, après une enquête visant le service "Buzz" du moteur de recherche. Ce service, qui rendait un très grand nombre d'informations publiques par défaut, avait fait l'objet de très vives critiques, avant que Google ne procède en urgence à des modifications de son outil. Le géant du Web avait dû accepter que des audits de ses pratiques en matière de vie privée soient effectués tous les deux ans pendant vingt ans.

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2011/11/29/don...


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