Un centre d'alerte tsunami va voir le jour en France ! (30/04/2011)

Un centre d'alerte tsunami va voir le jour en France
http://www.20minutes.fr/article/714141/planete-un-centre-alerte-tsunami-va-voir-jour-france

Une nouvelle carte redéfinit les zones de sismicité en France
http://www.20minutes.fr/article/715225/sciences-une-nouve...

Tiens, tiens !!

Y'aurait-il le feu à la maison par hasard à l'horizon des échéances cosmiques, du 28 octobre 2011 et du 21 décembre 2012,  et des explosions solaires prévues par les scientifiques pour s'accentuer au cours des années 2011/2012/2013.

Le gouverne-ment se réveille comme par hasard à la dernière minute.

Il était temps qu'il se réveille pour prévenir et protéger les populations ignorantes des risques qu'elles encourent et sur lesquels nous prévenons depuis l'année 2007, soit depuis 4 ans.

Regardez la date à laquelle le centre d'alerte tsunami sera opérationnel : juillet 2012 !

Ils se moquent de qui ?

Sans doute quand il sera trop tard pour certains.

Le Gouverne-ment, n'a jamais que quelques décennies de retard sur les évènement à venir et sur ceux qui se précipitent actuellement, du reste.

Mais il faut bien éliminer les 2/3 de la population mondiale pour les Agents du NOM, avant l'échéance galactique du 21 décembre 2012, n'est-ce pas ?

Comprenne qui pourra pour se préparer, sans attendre que les médias-menteurs ne viennent vous prévenir.
 
 

Un centre d'alerte tsunami va voir le jour en France

Créé le 27.04.11 à 19h08 -- Mis à jour le 28.04.11 à 12h49

CATASTROPHE - Il couvrira une zone allant des Açores à la Sicile...

Le sénateur Roland Courteau (PS) a annoncé mercredi 27 avril la création prochaine d'un CENALT (centre national d'alerte tsunami). Il couvrira à partir de juillet 2012 une zone comprise entre les Açores et la Sicile. Son fonctionnement sera assuré par le CEA sur son site de Bruyères-Le Chatel dans l'Essonne.

Il réceptionnera les mesures venues de 75 stations sismologiques, et 75 marégraphes, placées tout au long de ces zones côtières... Un budget de 14 millions d'euros a été débloqué pour la mise en place et le fonctionnement du CENALT, par les ministères de l'Intérieur et l'Ecologie. Grace à ce nouvel instrument, l'alerte tsunami pourra être donnée en 15 minutes, et l'information sera immédiatement transmise aux préfectures concernées.

Auteur d'un rapport sur le risque de tsunami en France en 2007 pour l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, le sénateur Courteau déplorait a cette époque «l'impréparation manifeste» du pays face a ce risque qu'il juge réel. Particulièrement sur la zone Méditerranée-Atlantique. «Depuis le 18e siècle, on dénombre 22 tsunamis en Méditerranée, dont un en 1979 qui a fait 11 morts entre Nice et Antibes.» En 1908 un séisme de magnitude 7,5 avait provoqué une vague de huit mètres de haut qui avait frappé le détroit de Messine, faisant 35.000 morts. L'activité sismique en Méditerrannée peut s'avérer intense, particulièrement au niveau de l'Algérie, en raison des mouvements de la plaque Afrique/Europe. Ce sont ces mouvements qui génèrent les tsunamis. «Il ne faut pas confondre la vague d'une tempête, et celle d'un tsunami, dont l'origine est toujours géologique.» L'élu reconnaît toutefois que les séismes relevés en Méditerrannée n'ont jamais atteint l'ampleur de celui du Japon

Trois sites pilotes

Un peu moins de 10% des tsunamis observés depuis le début du 20ème l'ont été en Méditerrannée, et à peu près autant en Atlantique, contre 76% dans l'océan pacifique. «Mais pas un bassin sur la planète n'est à l'abri du risque. Regardez l'océan Indien, où l'on avait relevé seulement 4% de tsunamis jusqu'en 2004 et cette catastrophe qui a fait 250.000 morts.»

D'autres centres d'alerte, en Italie et en Turquie, pourraient aussi voir le jour, ce qui permettrait de mettre en place un véritable réseau d'alerte régional sur le pourtour de la Méditerrannée.

Parallèlement, trois sites pilotes vont voir le jour. Ils serviront à «établir les scénarios de hauteur des vagues en fonction du contexte géographique. Une côte en pente douce est par exemple particulièrement propice à la création de très haurtes vagues». Ces trois sites se situeront dans le Golfe du Lion, dans le Var, et dans les Alpes-Maritimes entre Juan-les-Pins et Villeneuve-Loubet. L'un de ces trois sites sera également désigné pour «faire de la sensibilisation auprès de la population». Le sénateur insiste effectivement sur l'apprentissage aux bons comportements en cas de catastrophe. «Au Japon, 120.000 personnes ont sauvé leur vie car elles savaient exactement ce qu'il fallait faire une fois l'alerte donnée.» L'élu affirme que la France n'a elle «aucune culture du risque» et demande également qu'une «sensibilisation à ces phénomènes soit faite dans les écoles».

Si Roland Courteau se réjouit de la création de ce centre d'alerte, il regrette en revanche que la situation n'avance pas aussi vite pour la zone Outre-Mer, «une zone à risques». «L'Outre-Mer pourrait bientôt être couverte par le centre d'alerte d'Hawaï, mais pour l'instant nous ne dénombrons que quelques instruments de mesure...»

Mickaël Bosredon

http://www.20minutes.fr/article/714141/planete-un-centre-...

Voir aussi: Une nouvelle carte redéfinit les zones de sismicité en France


PARIS - Une nouvelle carte redéfinit les zones de sismicité en France
Créé le 29.04.11 à 09h18 -- Mis à jour le 29.04.11 à 13h26

PARIS - Une nouvelle carte de zonage sismique, qui entre en vigueur dimanche, redéfinit les zones où les risques de séisme sont les plus importants en France, même si elle reste un pays à sismicité modérée.

"Il n'y a pas de changement, avec la nouvelle carte plusieurs zones de sismicité ont été redéfinies, les zones de forte sismicité restent les Antilles et en métropole on trouve les zones avec un risque sismique moindre", a résumé un expert en risques naturels du ministère de l'Ecologie.

Sans lien avec la catastrophe nucléaire après le séisme et le tsunami du 11 mars à Fukushima, la nouvelle carte, qui remplace celle de 2005, divise le territoire français en 5 zones de risque croissant allant de très faible (1), faible (2), modéré (3), moyen (4), à fort (5).

La catégorie 5 s'applique exclusivement aux Antilles françaises, Martinique , Guadeloupe et îlots voisins, l'ensemble de ces territoires étant situés près de la frontière entre deux plaques tectoniques.

En métropole la zone 4 (rouge sur la carte) de sismicité moyenne inclut le sud de l'Alsace, le fossé rhénan ainsi que les massifs alpin et pyrénéen. Dans ces régions montagneuses, outre les effets directs d'un séisme sur les constructions, des mouvements de terrains potentiels peuvent aggraver le danger, selon le ministère.

Dans le cas des Hautes-Pyrénées, par exemple, la nouvelle carte au zonage plus précis, puisqu'à l'échelle communale, étend la zone rouge à 263 communes, contre 134 précédemment.

La zone 1 (blanche), où le risque est qualifié de très faible, comprend les bassins aquitain et parisien. Le reste de la France est classé en zone 2 et en zone 3 (faible à modéré)

L'objectif de l'exercice cartographique, entamé avec le "Plan séisme" lancé en 2005 après le tsunami qui avait dévasté les côtes de l'Océan indien le 26 décembre 2004, était d'intégrer les connaissances scientifiques accumulées lors des 20 dernières années. Cela a permis de modifier les calculs et de les harmoniser au niveau européen sous l'appelation Eurocode 8.

"Derrière cette nouvelle carte il y a surtout les normes de constructions parasismiques pour tout ce qui est bâtiments", selon le ministère.

Les sols sont classés en cinq catégories principales allant de A (sol de type rocheux) à E (sol mou) avec des exigences en matière de conception et construction des bâtiments neufs. Ces exigences elles-mêmes sont liées à l'importance des bâtiments dans leur usage social et de la zone de sismicité.

La construction d'un simple hangar sera libre de contraintes, alors que les immeubles d'habitation, de bureaux, centres de soins, de production d'énergie et de gestion de crise, par exemple, devront répondre à des normes strictes selon l'intensité du risque sismique de leur zone.

"Un bâtiment de gestion de crise aura bien entendu des normes beaucoup plus exigeantes avec le même niveau de sismicité qu'un bâtiment d'habitation normale", selon l'expert du ministère.

Les centrales nucléaires font, elles, l'objet d'études sismologiques particulières et relèvent de la réglementation des installations nucléaires de base, selon le ministère qui précise qu'il y a une analyse du risque sismique dès la conception de l'usine et au cas par cas.

Le site du ministère de l'Ecologie

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