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Loi Rothschild du 3 janvier 1973 ou comment les français sont ruinés par la famille Rothschild depuis 40 ans !!!
" Comment une élite de banquiers et de hauts fonctionnaires a endetté la France auprès des banques privées avec un texte obscur "
L'Enquête sur la Loi du 3 janvier est un livre choc.
Il montre, point par point, comment la France a été mise en esclavage par la dette avec juste un simple texte anodin.
Il montre comment, en l'espace de 40 ans, chaque Français s'est retrouvé avec une dette de 30.000 euros sur le dos au nom du pays.
Il montre comment l'élite des hauts fonctionnaires a renoncé, pas à pas, à la Nation française, à son âme et à son indépendance. C'est l'histoire des manipulations successives, organisées et pilotées pour ne profiter qu'à une seule entité : les banques privées.
Grâce à cette loi, la France a été conquise sans bruit, sans une balle tirée et sans aucune résistance : chaque semaine, ce sont 4 nouveaux milliards, empruntés par l'Etat pour payer retraites, salaires et aussi... intérêts de la dette, qui s'ajoutent aux 1700 milliards déjà dus, alors qu'au même moment 800 emplois industriels sont détruits chaque jour.
Ce livre est le récit de la pire trahison de l'Histoire de France.
Faudrait-il aussi considérer que Nicolas Dupont-Aignan soit aussi un fasciste et un antisémite pour être contre la Loi du 3 janvier 1973 sur la banque de France ?
La suite du saccage de la France a été réalisée plus particulièrement par le sioniste SARKOZY qui a placé le clou et ensuite par Hollande qui n'a plus eu qu'à l'enfoncer !
La manipulation a parfaitement fonctionné. Emmanuel Macron sera dans une quinzaine de jours le locataire de l’Elysée. Et tout laisse à penser qu’il sera largement élu le 7 mai au soir. Il est d’ailleurs arrivé en tête, assez nettement, au soir du 23 avril avec 24 % des voix. Cette fois les sondages ne se sont pas trompés et ont annoncé à l’avance les résultats, quasiment à la décimale près. Leur seule erreur fut d’avoir légèrement minoré le taux de participation, finalement très élevé, tout près de 80 %. Alors que cette campagne présidentielle fut particulièrement médiocre et ennuyeuse, que les questions essentielles étaient délaissées, les Français et assimilés se sont déplacés massivement pour aller urner, y compris à l’étranger où les files d’attente devant les consulats étaient impressionnantes, notamment à Berlin, à Londres, à Hongkong ou à Montréal où les électeurs ont fait plus de trois heures de queue pour aller urner. Ces Français souvent très dénationalisés ont massivement voté (à plus de 40 %) pour Macron, le candidat de la mondialisation heureuse et de l’européisme béat.
Le Système peut être content : les Français ont montré une nouvelle fois leur conformisme et leur grégarisme. François Hollande avait demandé que l’on votât massivement pour faire vivre la démocratie et ses valeurs et les opposer au terrorisme, il a été suivi massivement, puisque plus de 37 millions d’électeurs sont passés par l’isoloir le 23 avril. Et ils ont placé en tête le candidat de la banque et de la finance, le poulain des Rothschild, de Minc et d’Attali. Chapeau bas ! Des gens autour de nous étaient contents de nous dire qu’ils avaient patienté longtemps avant de voter dimanche matin. Ils étaient fiers d’avoir fait la queue pour remplir leur devoir civique alors même qu’en sortant de chez eux ils ne savaient pas encore quel bulletin ils mettraient dans la petite enveloppe prévue à cet effet. La démocratie, c’est vraiment fantastique ! Qu’on nous permette de citer à nouveau cette sentence d’Octave Mirbeau qui n’a rien perdu de son actualité : « Les moutons vont à l’abattoir, ils ne disent rien, eux, et ils n’espèrent rien. Mais du moins ils ne votent pas pour le boucher qui les tuera, et pour le bourgeois qui les mangera. Plus bête que les bêtes, plus moutonnier que les moutons, l’électeur nomme son boucher et choisit son bourgeois. Il a fait des révolutions pour conquérir ce droit. » Et le pis, c’est que l’électeur qui participe à une gigantesque mascarade, à une immense farce se croit intelligent et astucieux. Présomptueux, il se pense fin stratège, croit pratiquer le billard à trois bandes, vote pour un tel afin d’éliminer un autre ou de favoriser un troisième. On a les plaisirs qu’on peut dans la vie ! Il ne se rend même pas compte que le cocu à tous les coups c’est lui ! La vanité humaine donne une idée de l’infini ! Les gens auxquels la vie et l’expérience n’apprennent rien sont bien plus nombreux qu’on croit.
Depuis longtemps le Système a préparé un duel final entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen. La qualification de la présidente du Front national pour le second tour était le meilleur moyen d’assurer une élection de maréchal à l’homme des Rothschild. C’est pourquoi il fallait en amont éliminer tous les candidats de la “droite” parlementaire qui, eux, pouvaient l’emporter face à l’ancien ministre de Hollande. D’où d’abord le dézingage de Sarkozy pendant la primaire où matins et soirs les radios et télévisions sortaient contre lui une nouvelle affaire, une autre incrimination. Puis après la victoire triomphale de Fillon aux primaires ce fut le Penelopegate avec un “feuilletonage” des révélations qui rendait impossible toute victoire de l’ancien Premier ministre. Les politiciens étant tous pourris, les révélations étaient parfaitement exactes mais leur extrême médiatisation, la violation permanente du secret de l’instruction, l’ajout presque chaque jour de nouveaux éléments accablants ne pouvaient que conduire le candidat des Républicains au naufrage.
Le principal bénéficiaire de cette chute préméditée et organisée de Fillon était évidemment Macron contre lequel le Canard enchaîné s’est bien gardé de publier des dossiers compromettants. Beaucoup pensaient que le phénomène Macron était une bulle qui éclaterait avant le premier tour. Force est de constater qu’ils se sont trompés. Cela montre une nouvelle fois la puissance et l’efficacité redoutables du système médiatique en général et de la télévision en particulier. On nous avait vanté la force des réseaux sociaux mais cette campagne a montré que l’essentiel se jouait encore et toujours derrière le petit écran.
Depuis de longs mois et même depuis le printemps 2013 on nous prédisait quasi invariablement que Marine Le Pen arriverait largement en tête au soir du premier tour de la présidentielle. Avec la modestie et la lucidité qui la caractérisent, la benjamine de Jean-Marie Le Pen prophétisait encore le 20 avril sur Europe 1 : « Je serai en tête le soir du premier tour parce que je sens qu’il y a une incroyable mobilisation, une incroyable dynamique, je connais assez bien mes électeurs et je pense qu’ils vont me porter en tête dimanche soir. » Nullement échaudée par la fausseté de sa prévision, Marine Le Pen a récidivé dès le 24 avril. Invitée du journal de 20 heures de France 2, elle a dit sa certitude qu’elle allait gagner la présidentielle le 7 mai. Les politiciens ne doutent décidément de rien et ne reculent devant aucune forfanterie !
Marine Le Pen qui s’est mise en congé quinze jours durant de la présidence du FN a frôlé la catastrophe. Il s’en est fallu de peu qu’elle soit éjectée du second tour. Au terme d’une campagne terne, sans élan, sans souffle, sans colonne vertébrale, sans convictions, sans cohérence, sans talent, elle se qualifie d’extrême justesse, avec 21,30 % des suffrages exprimés. Elle n’est qu’à un point de Fillon et à un point et demi de Mélenchon qui, comme elle, ont réuni chacun plus de sept millions de voix. Ce résultat est tout sauf une victoire. Le Pen et Villiers faisaient déjà 20 % en 1995, Le Pen et Mégret 20 % en 2002, Marine Le Pen obtient 21 % en 2017. Un point de gagné en un quart de siècle ! Des reniements et des trahisons en série, des purges et des exclusions en cascade pour faire au final un petit pour cent de plus ! La renonciation à l’abrogation de la loi Gayssot et de la loi Veil, l’abandon de la peine de mort pour les assassins et de la réémigration pour les allogènes, l’apologie de la laïcité et de la République, l’exclusion des cadres et militants historiques, la transformation du parti en un vaste lupanar pédérastique (sur les plateaux de télévision pour porter la parole de la candidate on ne voit et on n’entend que le fondateur de Gay-Lib Sébastien Chenu et Florian Philippot, fervents amateurs de Gay Pride), et tout cela pour 21 % !
Le score obtenu est d’ailleurs le plus mauvais en pourcentage depuis cinq ans, et cela malgré les attentats à répétition, la division de la gauche, l’impopularité de Hollande et le naufrage de Fillon. Le FN avait en effet obtenu 25 % aux européennes de 2014, 26 % aux départementales et 28 % aux régionales de 2015. C’est donc tout sauf un triomphe même si l’augmentation du nombre des inscrits et la forte participation permettent à Marine Le Pen d’augmenter son score en nombre de voix. Symboliquement, à Marseille où Jean-Marie Le Pen arrivait largement en tête en 1988 après avoir rempli quelques jours plus tôt le stade Vélodrome, c’est Jean-Luc Mélenchon qui obtient la première place après avoir tenu une impressionnante réunion publique sur la Canebière. Nous connaissons des électeurs qui votaient naguère pour le FN et qui ont été séduits par le verbe, la faconde, le lyrisme de Mélenchon et sa volonté de renverser la table. « Mélenchon, au moins, croit en ce qu’il dit. Il a des convictions et une vraie culture politique. Marine, elle, ânonne des discours qu’elle lit sans conviction dans ses meetings. Elle est nulle, elle n’est vraiment pas au niveau » nous confiait un chauffeur de taxi qui a voté cette fois pour le candidat de la France insoumise. Une anecdote très révélatrice. Il est fini le temps où l’on votait de père en fils pour le même parti. On est à l’époque du mouchoir jetable, du consommable et du zapping. La plupart des gens sont infidèles en politique comme en amour. Il faut sans cesse les reconquérir en leur faisant la cour.
Ne nous racontons pas d’histoire, voyons la vérité en face : Marine Le Pen sera battue le 7 mai au soir. Ceux qui vous disent le contraire vous mentent ou s’intoxiquent eux-mêmes. La dynamique et l’arithmétique sont contre elle. De plus, si le FN n’a mis dans sa besace aucun département ni aucune région en 2015, malgré les attentats de Charlie puis du Bataclan, comment pourrait-il l’emporter soudainement dans la France entière ? Sans surprise les pro-Macron, de Fillon à Hamon, de Hollande à Sarkozy, du MEDEF à la CFDT appellent à faire barrage « à l’extrême droite ». Notons toutefois que nous n’atteignons pas, tant s’en faut, le degré d’hystérie d’il y a quinze ans contre Jean-Marie Le Pen. Sa fille ayant donné tous les gages nécessaires, elle est traitée avec un minimum d’égards même si elle n’a droit qu’aux miettes du festin. Contrairement à Chirac en 2002, Macron a accepté le débat de l’entre-deux-tours. On ne fait pas défiler contre la candidate du FN les enfants des écoles, on n’appelle pas à des manifestations massives contre l’extrême droite comme l’avait fait Noël Mamère dès l’annonce des résultats le 21 avril 2002. Mélenchon qui a toujours été en pointe contre le FN et qui fut l’un des plus virulents pendant la quinzaine de la haine se paie même le luxe cette fois de ne pas donner de consigne de vote. Christine Boutin appelle, quant à elle, à voter ouvertement pour Marine Le Pen. On n’avait pourtant pas remarqué que cette dernière défendait la famille et l’accueil de la vie, bien au contraire. Mais c’est qu’au fond le Système sait bien que la candidate du néo-Front national ne représente aucun danger véritable. Si un jour elle était élue, ce qui est aujourd’hui une hypothèse d’école, le Système se reconstituerait aussitôt sur ses bases. Marine Le Pen est l’opposition officielle. Quand il est utile de la faire monter, on la met en avant. Quand il faut la rediaboliser artificiellement pour faire gagner son concurrent, on l’attaque un peu, mais pas trop. Tout est question de dosage.
Quant à Emmanuel Macron, il est par excellence le candidat du vide, souriant mais inculte. Quand on l’entend parler, on ne sent en lui aucune flamme, aucun idéal, aucune sincérité. Il n’est pas habité par une idée, une conviction, une certitude. Son discours le soir du premier tour était particulièrement creux et ennuyeux à l’image de ses prestations dans les deux débats télévisés du 20 mars et du 4 avril où il avait été d’une fadeur difficilement égalable. Il est de manière superlative le candidat du mondialisme, de l’européisme et de la finance anonyme et vagabonde, de l’Union européenne, de la commission de Bruxelles, de la Banque mondiale et du FMI. C’est un bobo, un quadragénaire post-soixante-huitard sans foi ni loi, ne croyant ni à Dieu ni à diable, une pure création médiatique, une incarnation de la modernité décadente et du matérialisme le plus mortifère. Macron aurait pu poursuivre sa carrière dans le milieu bancaire, il est entré en politique pour appliquer avec zèle les directives mondialistes. La haute finance ne se cache même plus : avec arrogance elle impose ses hommes. Elle ne se sert plus comme intermédiaire de politiciens professionnels. Elle impose directement, avec cynisme, comme elle l’a fait en Italie après la chute provoquée de Berlusconi, ses hommes-liges.
Oui, cela ne fait aucun doute : Emmanuel Macron sera le prochain président, le successeur de François Hollande dont il est le fils spirituel. L’ancien premier secrétaire du parti socialiste a réussi un de ses coups politiques les plus fumeux : alors qu’il était le président le plus impopulaire de la Ve République au point de ne pas pouvoir se représenter, il est assuré que la politique qu’il a conduite jusque-là sera poursuivie en tous points par son successeur. Et pendant cinq ans, si toutefois le prochain quinquennat va à son terme, la France s’enfoncera un peu plus dans le chaos, plongera davantage encore dans l’abîme. Mais, soyons-en sûrs, lors du prochain scrutin présidentiel, la participation sera à nouveau élevée, la plupart continueront à croire que le salut vient de la sainte urne et ne rechigneront pas à faire la queue pour accomplir scrupuleusement leur « devoir citoyen ». Le peuple a vraiment les dirigeants qu’il mérite !
Voilà pourquoi, il ne suffirait pas de mettre Hollande dehors ! Il faut mettre dehors, toute la Grandee famille sioniste Rothschild et tous ses VRP dits politiques et toutes leurs officines sionistes !
Les Banquiers de chez Rothschild dirigent la France …
Les deux secrétaires généraux adjoints de la présidence de la République nommés par François Hollande sont :
Emmanuel Macron qui s’occupe des questions économiques. Il a pour parrain Jacques Attali (il fut membre de sa commission sur la croissance) . Membre du PS il a milité dans le Pas-de-Calais dans les années 2000. Depuis des mois, M. Macron partageait son temps entre la Banque Rothschild, dont il a été nommé associé-gérant en 2011, et la préparation de l’alternance.
Dans le documentaire de Patrick Rotman, Le Pouvoir, il crève l’écran.
Brillant, sympathique, charmeur, le secrétaire général adjoint de l’Elysée, Emmanuel Macron, a les convictions de la gauche libérale. Mais les prudences de François Hollande l’obligent à la patience.
C’est un dîner comme Paris sait les mitonner. Des banquiers, des communicants, des conseillers de ministre… de droite et de gauche. Nous sommes à la fin de 2008, Nicolas Sarkozy dirige la France, tandis que François Hollande a pris le sombre corridor qui mène aux oubliettes de l’Histoire. Il n’est plus premier secrétaire du PS et les socialistes commencent à regarder Dominique Strauss-Kahn avec les yeux de Chimène.
Autour de la table, deux hommes font connaissance en parlant politique. « En 2012, ce sera François Hollande, je mise sur lui », dit le premier au second, qui le prend pour un fou. En Bourse, on appelle cela « acheter à la baisse » et il n’est pas étonnant que ce hollandais précoce soit directeur à Rothschild & Cie Banque. Il se nomme Emmanuel Macron. Moins de quatre ans plus tard, le 15 mai 2012, il devient, à 34 ans, secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Très vite, Macron se fait remarquer. Par son âge, un objet de curiosité – il fréquente l’école primaire à l’époque où Laurent Fabius habite Matignon. Par son parcours, une hyperbole de l’excellence: en sixième, il connaît déjà les racines grecques et latines de la langue française (1). Par ce supplément d’âme qu’il donne à son CV d’énarque en tâtant de la philosophie – il est un temps l’assistant de Paul Ricoeur – et de la politique – il milite dans le Pas-de-Calais dans les années 2000.
Emmanuel Macron, 35 ans, grand-père…
Par sa vie personnelle, pas banale. Quand il dit qu’il va rejoindre ses petits-enfants en week-end, le trentenaire ne parle pas de ses enfants en bas âge, mais bien de ses petits-enfants. En réalité, ceux de sa femme, vingt ans de plus que lui et mère de trois grands adultes. Cette professeure de français enseigne dans une institution religieuse réputée de la capitale. « Elle est de ces profs dont les élèves se souviennent longtemps, parce qu’elle leur a donné le goût de la littérature », relate l’un de ses collègues.
Avant d’entrer à l’Elysée, il a demandé à avoir la main sur l’économie, le social et l’Europe.REUTERS/Bertrand Langlois/Pool
Ces derniers temps, Emmanuel Macron est dans la peine: en avril, il a perdu sa grand-mère. Une passion. A 5 ans, le petit Amiénois demande à vivre avec cette directrice d’école. En pratique, elle l’élève autant que ses parents, tous deux médecins. Cet enfant de la bourgeoisie et de la province, formaté par les jésuites et les écoles de l’élite, n’a pas le cynisme de son profil. Il est (encore?) protégé par son enthousiasme, voire sa naïveté, et par son humour. A l’Elysée, pendant les réunions ennuyeuses – et il y en a -, il envoie des SMS aux autres conseillers, ceux qu’il aime bien, pour croquer une situation ou moquer un personnage. Il en expédie aussi à 2 heures du matin: le Mozart de l’Elysée dort de quatre à cinq heures par nuit, par obligation, par inclination.
A l’Inspection des finances (2004-2008), il ne se signale pas uniquement par un rapport sur la gestion de la trésorerie de l’Etat. Il fait rire ses camarades. « Il était mon voisin de bureau et, quand je rentrais de mission, j’allais le voir pour décompresser », raconte Sébastien Proto, le jumeau de Macron. Elèves de la promotion Léopold Sédar Senghor de l’ENA (2004), ces deux-là alternent cabinets et banque d’affaires. La gémellité s’arrête là où commence la politique: « Je suis de droite, sarkozyste, il est de gauche », affirme Proto, qui a travaillé avec Eric Woerth et Valérie Pécresse. Les deux hommes ont échangé beaucoup de textos durant la campagne. Ils continuent à se voir et à « se faire la bise ».
La Sarkozie l’a dragué en 2007, en vain
Macron aurait pu, lui aussi, embrasser la Sarkozie, qui l’a sollicité en 2007. « Mais il avait choisi la gauche, confirme un ancien conseiller de l’ex-président, bien que, intellectuellement, je ne voie pas très bien ce qui nous sépare. Du moins en matière économique. » Il n’est pas étonnant que deux tenants d’une gauche pétrie de réalisme, Jean-Pierre Jouyet, ami de Hollande, et Jacques Attali, recruteur du jeune François en 1981, l’aient repéré. Jouyet l’encourage à travailler pour Hollande. Attali aussi, qui l’a présenté au futur président au cours d’un dîner, en 2007, et le choisit pour être rapporteur général adjoint (puis membre) de sa Commission pour la libération de la croissance française. Un concentré d’expertises et d’ego que l’intelligence analytique de Macron réussit à harmoniser.
Au milieu des années 2000, le jeune technocrate produit quelques notes pour l’équipe de DSK. Il est de nouveau sollicité à la fin de 2010. En vain. Il appartient alors à la petite troupe qui se réunit tous les lundis matin du côté du Trocadéro, dans l’appartement parisien d’André Martinez, camarade d’HEC de François Hollande. Puis, de juillet à décembre 2011, il anime un cénacle d’experts et d’économistes, le groupe de la Rotonde, qui rapporte tous les quinze jours au candidat.
Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs (Emmanuel Macron)
Déjà, on parle de lui comme du futur secrétaire général adjoint de l’Elysée. Sûr de sa valeur, il n’acceptera pas moins. Il veut avoir la main sur l’économie, le social et l’Europe, triptyque indissociable selon lui. Au début de mai 2012, il s’est déjà renseigné: le passage de Rothschild à l’Elysée n’est pas contraire aux règles déontologiques. La feuille de route est dans sa tête: redresser les comptes publics et retrouver de la compétitivité, y compris à coups de réformes dites libérales, qui font hurler la moitié des socialistes.
Marché du travail plus flexible, mise sous conditions de ressources des allocations familiales et des remboursements maladie, lutte contre les « rentes de gauche », celles de la fonction publique. Mais il croit aussi que l’on peut augmenter les impôts et qu’ »une société respire mieux quand chacun réussit selon ses mérites et quand l’Etat est présent dans les moments durs de la vie ». En mai 2012, il annonce à un proche: « Je n’irai pas à l’Elysée pour faire des vieux trucs. »
La Macron-économie, c’est quoi?
C’était il y a un siècle. Depuis, l’apprenti du pouvoir a compris la différence entre un rapport de la commission Attali et la politique version Hollande. « Certains jours, il s’en accommode, d’autres, il s’impatiente », dit l’un de ses amis. Pourtant, les grands choix vont dans son sens. La réduction de la dépense publique est engagée, comme la bataille de la compétitivité, certains excès fiscaux du début du quinquennat sont corrigés (mode de paiement de la taxe à 75% sur les très riches, fiscalité des plus-values mobilières), la flexibilité du marché du travail est lancée à travers la loi qui transpose un accord des partenaires sociaux. Macron s’y implique, rencontrant Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, à plusieurs reprises pour le convaincre de grogner avec parcimonie contre ce texte qu’il a refusé de signer.
Le secrétaire général adjoint joue aussi, avec succès, un rôle protecteur des patrons d’entreprises publiques tour à tour menacés: Carlos Ghosn (Renault), Stéphane Richard (France Télécom), Henri Proglio (EDF) et, tout dernièrement, Jean-Paul Bailly (La Poste). Il est enfin le metteur en scène et le pédagogue de la stratégie de redressement des finances publiques, en particulier auprès de Berlin: plaider que la France respectera l’objectif de retour des déficits publics au-dessous de 3 % du PIB, mais plus lentement que prévu.
Dans le film Le Pouvoir, il émerge quand les autres se signalent par leur silence ou leur déférence.J.-C. Coutausse/Divergence
La Macron-économie semble à l’oeuvre, mais il faut un entomologiste très minutieux pour la déceler, tant les piétinements divergents des Ayrault, Moscovici, Montebourg, Le Foll ou Duflot brouillent les pistes. Peu de ministres portent le message de cette social-démocratie chère au secrétaire général adjoint. Si le premier d’entre eux s’en revendique, son expression est couverte par un président soucieux d’équilibres politiques.
Macron semble d’autant plus isolé que le naufrage de Jérôme Cahuzac l’a privé d’un allié. Les deux hommes se connaissent depuis 2008, Macron fait partie de ceux qui ont réconcilié le député de Lot-et-Garonne avec le candidat Hollande. « Pourtant Cahuzac se sentait mal aimé de l’Elysée, Macron y était sa seule attache », note un ministre. En décembre, quelques jours après les révélations de Mediapart, le conseiller de Hollande confie: « Je crois ce qu’il dit, c’est mon ami. ». Aujourd’hui, il conjugue cette amitié à l’imparfait.
Ce que François Hollande pense de lui…
La Macron-économie existe, mais François Hollande n’est pas homme à s’en remettre à un seul inspirateur. Il n’est pas Nicolas Sarkozy, pour qui Xavier Musca, secrétaire général adjoint puis secrétaire général, était le grand chambellan de l’économie. Et Emmanuel Macron n’a ni l’expérience administrative et politique ni la stature internationale d’un Xavier Musca, qu’Angela Merkel reconnaissait et appréciait. D’ailleurs, en Hollandie, les conseillers n’ont pas de vie propre.
C’est un bon élément, original et créatif (François Hollande)
C’est donc à titre exceptionnel que le président a accepté de parler de Macron à L’Express: « C’est un bon élément, original et créatif. » Les deux hommes s’aiment bien, ils partagent le goût des bons mots et la détestation des conflits
Voilà comment on veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes, et l'on détourne l'attention des français de la loi criminelle du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, la loi Pompidou/Rothschid/Giscard. Cette loi criminelle qui ruine la France et les Français depuis 39 ans.
Quand nous voulons défendre notre pays pour que cette loi criminelle soit abrogée, nous sommes antisémites et "fascistes" bien évidemment. Il ne s'agit que de rumeurs véhiculées par l'extrême droite, et nous ne faisons courir que des rumeurs et agitons la propagnade antisémite.
C'est sûr que cette loi profite à la maison Rotshchild, mais il ne faut pas le dire et surtout pas les dénoncer.
Qu'ils viennent nous expliquer surtout, qui a organisé et financé le complot de "mai 68" contre DE GAULLE qui a été remplacé comme par hasard, par son conseiller à l'Elysée, Georges Pompidou qui a travaillé pour la maison Rotshchild durant de longues années avant de rentrer à l'Elysée.
Guy de Rothschild et Georges Pompidou
Guy de Rothschild est le fils du baron Édouard de Rothschild (1868-1949) et de Germaine Halphen (1884-1975).
Il s'est marié en premières noces en 1937 avec une de ses parentes, Alix Schey de Koromla (1911-1982). Il en eut un fils en 1942, David de Rothschild. (Le grand ami de Sarkozy qu'il appelle le roi David).
Guy et Marie-Hélène organisèrent à l'Hôtel Lambert, dans l'île Saint-Louis, les fêtes les plus éblouissantes de Paris.
En 1940, déchu de sa nationalité française à cause de sa judaïté1, il avait été contraint de quitter la France à l'arrivée des troupes nazies pour se réfugier aux États-Unis, avant de rejoindre les Forces françaises libres (FFL) à Londres.
Gaulliste, Guy de Rothschild fut longtemps influent en politique, notamment dans lesannées 1960 et 1970.
Ayant pris sous son aileGeorges Pompidoudès 1954, il en fit un associé extérieur. Il resta proche de lui quand ce dernier devint président de la République en 1969.
2012 sur l'article du Monde d'Alain Beitone (29 déc. 2011) sur la Loi 73 "Pompidou-Rothschild" et les analyses d'E. Chouard. D'après A. Beitone, Cette loi n'existe pas ; il y a simplement une rumeur d'extrême droite qui court de blog en blog pour attribuer la responsabilité de la crise aux banquiers et, plus sournoisement, aux Juifs". Etienne Chouard s'est fâché et a répondu (30 déc. 2011) sur son blog.
LIRE L'ARTICLE DU MONDE :
La "loi Pompidou, Giscard, Rothschild" votée en 1973 empêcherait l'Etat de battre monnaie
Un professeur de Marseille, un certain Monsieur Beitone, vient d'écrire un article dans Le Monde qui dénonce "une rumeur d'extrême droite" incriminant la loi "Pompidou-Rothschild" de 1973 dans la crise de la dette publique.
Décidément, l'anathème "fasciste" et ses dérivés est une arme bien commode, et bien rodée, pour contrer la critique radicale de la création monétaire privée. Manifestement, cette calomnie va resservir dans les mois qui viennent. À se demander s'il n'y a pas un code secret entre les complices du racket, un code dans lequel "extrême droite" signifierait en réalité "ayant compris et dénonçant l'escroquerie monétaire des familles de banquiers privés". Ça expliquerait bien des malentendus.
L'article, intitulé : La "loi Pompidou, Giscard, Rothschild" votée en 1973 empêcherait l'Etat de battre monnaie, se trouve là :
Je regrette un peu mon ton encore agacé dans cette réponse (bien que j'aie beaucoup adouci cette réponse, et que j'en aie retiré toutes les réparties trop vives), mais c'est tellement vexant de se faire traiter de fasciste que ça énerve un peu, quand même. Le gars qui écrit un article pareil peut s'attendre à une certaine... mauvaise humeur.
On pourra ajouter dans les commentaires ci-dessous des arguments supplémentaires, d'un côté comme de l'autre.
Si vous vous demandez encore si votre pays vous appartient ?
La preuve qu'il appartient à la Dynastie des Rothschild depuis longtemps et que nous sommes sous occupation sioniste !
Vous remboursez plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts,sans jamais encore avoir payé le capital emprunté.
Et cela fait 40 ans que cela dure : 45 milliards € X 40 = ??????????
Aussi avant de parler de votre patrie, réfléchissez à deux fois.
Il se pourrait bien, que vous le vouliez ou pas, que vous financiez sur vos propres deniers depuis 1973, toutes les guerres génocidaires orchestrées dans le monde par les USA et l'état sioniste.
Vous allez encore vous plaindre des musulmans qui vous bouffent tout votre agent ?
Rendons à Rothschild ce qui revient à Rothschild, le grand copain de ceux qui vous gouvernent et qui vous musèlent !
Quand allez-vous demander aux traîtres qui vous gouvernement d'abroger cette loi criminelle et d'être exonérés du remboursement de cette dette colossale que vous ne devez pas ?
Rendons à Rothschild, la part de la dette qui lui revient : faites les comptes…
C’est sous la présidence de l’ex-Directeur de la banque Rothschild, Georges Pompidou, que la loi du 3 janvier 1973 dite loi « Pompidou-Giscard-Mesmer« (73-7) ou encore appelée « loi Rothschild », fût votée.Elle est directement responsable du service de la dette (plus de 45 milliards € par an pour les seuls intérêts) et conséquemment de cette situation proche du chaos. Michel Rocard lui même, déclarait(*) fin décembre 2012 sur Europe1 que sans cette loi notre dette serait à un niveau « bénin » (« 16 ou 17 % du PIB »).
(*) »La réforme de la Banque de France de 1973 a interdit que celle-ci prête à l’État à taux zéro. État est donc allé emprunter avec intérêt sur les marchés privés. Si nous en étions restés au système précédant, qui permettait, répétons-le, à la Banque de France de prêter à l’État à taux zéro, notre dette serait de 16 ou 17 % du PIB, soit bénigne. » (Michel Rocard – décembre 2012 Europe1)
Les status actuels de la Banque de France (sous tutelle de la BCE depuis 1997) conforte l’obligation de se soumettre à l’usure des banksters :
Art. L. 141-3. Statuts actuels de la BDF - « Il est interdit à la Banque de France d’autoriser des découverts ou d’accorder tout autre type de crédit au Trésor public ou à tout autre organisme ou entreprise publics. » (banque-de-france.fr)
A rapprocher de la loi de 1973 (loi 73-7, art.25) : « le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France«
Une simple question : si on emprunte de l’argent qu’ils créent (à partir de rien), mais qu’ils nous demandent ensuite de rembourser AVEC des intérêts que ni eux, ni nous, n’avons créés : Dans ce cas, comment rembourser, sans devoir réemprunter à nouveau ? … Il est grand temps que la fête s’arrête, vous ne croyez pas ?
Pour la détente… (comprendre la création monétaire de manière ludique)
Comprendre la dette et la création monétaire en rigolant : c’est possible ? « The American Dream«
Y'EN A MARRE DES BANQUES PRIVÉES DE LA MAFIA SIONISTE INTERNATIONALE DE ROTHSCHILD ET DE SES AGENTS INFILTRÉS QUI GOUVERNENT LA FRANCE AU PROFIT D’ISRAËL !
Outre Emmanuel Macron, Georges Pompidou et Henri Emmanuelli sont notamment passés par l'établissement.
Pour tous ceux qui s'imaginent élire des présidents Français, assurant la protection de la France, de son Peuple et de sa souveraineté, nous rappelons que la France est dirigée depuis avant 1968 par les AGENTS de la Banque privée de Rothschild, à commencer parGeorges Pompidou travaillait pour la Banque Rothschild et qu'il était parallèlement,conseiller et Ministre du Général de Gaulle qui a refusé la proposition de Pompidou de mettre la France sous la tutelle d'une Banque privée, celle de la Mafia sioniste de Rothschild. Ce qui lui valu le coup d'état orchestré par le Juif Allemand et pédophile,Cohn BENDIT, sous couvert la mini-révolution de Mai 68, mais donc le réel but était celui de chasser de Gaulle du Pouvoir pour y placer le Pompidou, l'agent de la Banque privée de Rothschild, pour permettre à la loi Pompidou/Rothschild de passer.La loi Rothschild, cause de l’endettement de la France
L'ancien associé de Rothschild a la lourde tâche de conseiller le Président dans ses choix économiques. Une mission périlleuse pour ce jeune homme pressé.
Monsieur superlatif», selon Le Monde ; «Avec Macron, l'Elysée décroche le poupon», pour Libération ; ou encore: «Le jeune loup de l'Elysée qui rassure les patrons». Quand il a été nommé secrétaire général adjoint de l'Elysée, en mai dernier, membre d'honneur de l'équipe de François Hollande, la presse de gauche s'est pâmée. Emmanuel Macron, ce «M. Parfait» qui arrivait à l'Elysée, semblait sortir du lot. Si jeune (35 ans), si brillant, ouvert, n'ayant pas la grosse tête, cultivé, modeste et capable de ramener Hollande dans le cercle de la raison économique.
La présidente du Front National (FN), Marine Le Pen, s’est prononcée jeudi contre la double nationalité extra-européenne, notamment pour les Franco-israéliens.
« Israël n’est pas un pays européen. Je crois que même Israël accepte de le dire et de le penser, a déclaré sur France 2 la dirigeante frontiste », invitée de « L’Émission Politique ».
« Je suis contre la double nationalité extra-européenne. Ce n’est pas aux Juifs mais aux Israéliens à qui je demande de choisir leur nationalité », a-t-elle précisé.
Un pion de Rothschild semble prêt à devenir le prochain président de la France. Les Français font le choix du suicide national. Le «terrorisme» ne semble même pas les affecter. Rothschild continuera à Gouverner à travers ses marionnettes.
(Macron a épousé sa professeur de lycée, son aînée de 24 ans, victime d’un lifting malheureux. Elle a maintenant 63 ans. Des rumeurs prétendent qu’il serait en fait homosexuel)
Emmanuel Macron est un financier photogénique de 39 ans à la carrière étonnante. Il est devenu le chef de file de la présidentielle en France avec 23,8% des voix, suivi de Marine Le Pen avec 21,7%. Selon les sondages d’opinion, il remportera le deuxième tour contre Marine Le Pen, avec environ 66 pour cent des voix.
Emmanuel Macron n’a aucune expérience politique réelle. Il n’a jamais été élu nulle part auparavant …. Il n’est qu’un banquier d’investissement spécialisé dans les fusions et acquisitions ayant bien réussi sa carrière. Il est diplômé de l’ENA, une université de premier plan pour l’élite française. Il a travaillé pendant plusieurs années au ministère de l’Économie et des finances. Ensuite, en 2007, une année cruciale dans son parcours, l’économiste prometteur de 29 ans a été pris en main par Jacques Attali, un des lèche-botte de Rothschild.
Jacques Attali est un philosophe-mondialiste, un écrivain d’utopies multiculturelles anticipant l’heure où toutes les nations et tous les états disparaîtront de la terre suite à des conflits sanglants pour que les survivants de l’humanité se réunissent sous la bannière de la démocratie et sous le contrôle d’un gouvernement mondial. Pendant de nombreuses années, Attali disposait de ses entrées à l’Élysée et a été l’un des conseillers les plus influents de plusieurs générations de présidents français, de François Mitterrand à François Hollande. Les médias locaux, le désignant comme « le vrai président de la France », exagèrent à peine.
C’est Jacques Attali qui a créé le lien entre le capital financier et l’élite du Parti socialiste au pouvoir, qu’il soutient. Il est exceptionnel dans sa capacité à envelopper habilement les plans prédateurs des banquiers dans de beaux slogans de gauche.
IMMIGRATION = BAISSE DU COUT DU TRAVAIL
En 2008, la Commission Attali a présenté au président Nicolas Sarkozy « 300 propositions pour changer la France » – un plan de modernisation de l’économie destiné à la sauver de longues années de stagnation. L’idée principale peut être formulée comme suit : pour éviter de perdre sa compétitivité sur le marché mondial, le pays doit réduire considérablement le coût du travail. Une façon de le faire est d’accroitre l’immigration en France ; les immigrés récents peu rémunérés, qui ne pourront pas s’organiser en syndicats, remplacent les travailleurs enracinés au sein du secteur primaire et secondaire. En outre, le plan prévoit une réduction considérable des dépenses publiques en matière de santé, d’éducation et de retraite. Sarkozy n’a pas osé accepter ce plan radical.
à gauche, le « vrai » président de la France, le banquier Juif kabbaliste Jacques Attali
Pendant son séjour à la Commission, Macron a réussi à gagner la sympathie d’Attali, qui l’a bientôt présenté à son ami François Enron. Enron, à son tour, est le meilleur ami et partenaire principal de David de Rothschild. En 2008, Macron a été embauché par la Banque Rothschild, où il est passé d’analyste à associé-gérant. Ses commissions dépassaient plus d’un million d’euros par an.
La plus importante contribution de Macron a été son intervention dans l’achat par Nestlé de la division des aliments pour bébés de Pfizer aux États-Unis (pour 11,85 milliards de dollars). À cette époque, Matthieu Pigasse, directeur de la branche française de la banque Lazard Frères, souhaitait faciliter la transaction pour son client, Danone, mais a échoué. Alors Macron trouva en Matthieu Pigasse son plus grand ennemi.
En 2010, Pigasse qui est un banquier de gauche et un ami et patron des socialistes français, avait prévu de devenir conseiller économique de François Hollande mais l’omniprésent Jacques Attali a recommandé Emmanuel Macron à Hollande. Pendant plusieurs années, Macron, parfaitement bilingue en anglais et en allemand, était la liaison entre l’élite socialiste de la France et les milieux financiers étrangers. Comme l’a noté malicieusement le Guardian, tandis que Hollande criait à des rassemblements : « Mon ennemi principal est la finance ! » Macron, l’employé de Rothschild, s’envolait à la City pour rassurer les banquiers ; leur confirmant que sous le mandat du président Hollande, tout continuerait comme avant.
En 2012, Hollande est devenu président et Macron a quitté la maison Rothschild. Il a été nommé secrétaire général adjoint de l’Élysée. En 2014, dans son poste de « jeune réformateur », il a dirigé le ministère de l’Économie et de l’Industrie (prenant la place de l’ami et partenaire commercial de longue date de Pigasse, Arnaud Montebourg). Hollande lui donne carte blanche pour des activités liées à la modernisation de l’économie et Macron présente un projet de loi avec plus de 300 sections, prévoyant la libéralisation du marché français. Les experts disent que la loi Macron incarne toutes les idées de la commission Attali. Y sont intégrés et encouragés : l’immigration, la réduction des effectifs, la concurrence accrue au sein de tous les corps de métier, une augmentation de la journée de travail au détriment des dimanches et des heures de nuit.
Les travailleurs en France n’ont pas approuvé ce projet de loi. Sa discussion a été accompagnée de manifestations massives. Il n’y avait aucune chance de faire passer la loi au parlement. Hollande a ensuite exercé son droit de forcer l’adoption de certaines lois sans l’approbation du Parlement et, en août 2015, a fait approuver la « Loi Macron ». De manière significative, avant de devenir président, Hollande critiquait vertement ce projet de loi, le qualifiant même de « fasciste ».
L’INGÉNIERIE POLITIQUE DU POUVOIR DE L’OMBRE
En 2016, lorsque la cote de popularité de Hollande était honteusement faible, quelque chose d’inhabituel a commencé à se produire autour d’Emmanuel Macron. Ainsi, surgit de sur nulle part, un mouvement, « Les jeunes avec Macron » est apparu. Il est difficile d’imaginer que des jeunes s’agrègent spontanément autour d’un ministre de l’économie aussi impopulaire dans un pays à l’économie exsangue. Cependant, plusieurs milliers de personnes ont participé au nouveau mouvement. Macron a fondé son propre parti le dotant d’un nom vague « En marche ! ». Des meeting ont commencé à rassembler d’énormes foules et ce à un moment où les socialistes ne parvenaient qu’à grand-peine à réunir que quelques centaines de personnes à leurs événements. Le programme de Macron n’était pas encore clair. Condamnant les attentats terroristes, il n’a cependant pas l’intention de fermer les frontières ou de restreindre l’immigration ; Promettant d’augmenter les dépenses militaires du pays, il ne l’éloigne pas pour autant de l’OTAN.
En fait, Macron reste le même mondialiste, un élève exemplaire de Jacques Attali, mettant l’accent sur les slogans de l’unité européenne. Il critique à la fois la gauche et la droite, essayant de distraire les électeurs qui votent traditionnellement pour les socialistes et aussi d’attirer ceux pour qui le Front national de Marine Le Pen est trop radical. Avec son apparition soudaine en politique, Macron a obtenu un taux incroyable. Les journalistes le portent littéralement à bout de bras. Les magazines féminins le qualifient de nouveau sex-symbol et de rêve pour toute femme française. Des journaux influents soulignent les avantages de sa position centriste. Les sociologues prédisent sa victoire. Et personne ne révèle quoi que ce soit de sérieux permettant de le discréditer. En janvier, lorsque certaines critiques ont miné les chances de ses principaux concurrents, Marine Le Pen et Francois Fillon, Macron est resté éloigné de tous scandales.
Le prochain « couple » présidentiel
VIE PRIVÉE
La vie privée de Macron – un sujet potentiellement « mortel » pour un politicien français – peut sembler paradoxale, mais les médias l’ont dépeinte sous un jour purement romantique. Le fait est que la femme du favori de la course présidentielle (Brigitte Trogneux) est plus âgée que lui de 24 ans. En 2007, le jour de son mariage, il avait 29 ans et elle en avait 53 ans. Macron a déclaré aux journalistes qu’il était tombé amoureux de sa future femme à l’âge de 15 ans, alors qu’elle enseignait le français dans son école. Pendant ce temps, il est sortit diplômé du lycée et de l’université, a parcouru le monde, a construit une carrière, mais pendant ces 14 ans, il est resté fidèle à son premier amour. Malgré son invraisemblance, l’histoire est validée par tous les journalistes. Des photos de Macron main dans la main avec sa femme, ou de Macron avec une bouteille de nourriture pour bébé, en train de donner le biberon à ses petits-enfants ont été publiées par tous les journaux du pays. Les magazines de mode ont catapulté sa femme au rang « d’icône du style ». En termes d’ingénierie politique, cela s’est révélé payant : la France vieillit et l’électorat des femmes à la retraite est important. Pour elles, il existe une abondance de films dans lesquels de beaux jeunes hommes tombent amoureux d’une vieille dame. L’idylle familiale de Macron est conçue et projetée pour elles. Il est également vrai que les tabloïds répètent périodiquement des rumeurs selon lesquelles l’amant de Macron serait le président de Radio France, Matthieu Galle, mais il n’existe aucune preuve.
Et comme il est question pour MACRON, le candidat d'Israël, de demeurer dans l'UE et d'aller vers l'instauration du Nouvel Ordre Mondial, après avoir fabriqué le chaos mondial et lancé la 3ème guerre mondiale notamment contre la Russie, il fallait que leur candidat soit contre ASSAD et POUTINE quitte à continuer de violer le Droit International.
Aucune entreprise n’a financé le mouvement [En marche!, NDLR], aucune structure juridique, se défendait Emmanuel Macron sur BFM TV le 24 février.
Certes. Mais il semblerait que ses anciens patrons sponsorisent tout de même l’enfant de la “maison” en toute discrétion. En témoigne ce texto envoyé il y a quelques mois par la direction de Rothschild à un listing très sélect de banquiers d’affaires de la place parisienne :
« Chers amis, un cocktail dînatoire de levée de fonds est organisé pour Emmanuel Macron le 27 septembre à 20 heures à la Terrasse Martini, 50 avenue des Champs-Élysées. À cette occasion, Emmanuel vous fera part de sa vision et de ses propositions, cela sera aussi l’occasion de discuter avec lui de façon informelle. Si vous souhaitez vous joindre à nous, pourriez-vous le confirmer en répondant à ce SMS, en indiquant si vous serez accompagné. Pour des raisons de confidentialité, nous vous demandons une très grande discrétion autour de cet événement. »
Selon En marche!, 6,5 millions d’euros de dons ont été récoltés auprès d’environ 20 000 particuliers. Seulement 3 % de ces dons seraient supérieurs à 5 000 euros.
Le projet est-il celui pour Rothschild et son état privé sioniste d'Israël d'éliminer la Russie pour pouvoir exporter le gaz en Europe, dès l'année 2014, voire d'aller coloniser les réserves de gaz russes ?
Ainsi pendant que l'on nous occupe l'esprit avec l'Ukraine et la Russie, Rothschild et l'état sioniste avancent sur leurs affaires fructueuses. Voir ci-dessous :
Pour comprendre que les évènements en Irak, en Syrie, en Libye, en Ukraine, à Gaz/A au Liban, en Cisjordanie, en Afrique, etc... sont liés, toujours dans l'objectif de permettre à l'Oligarchie financière des banskters de virer les dirigeants mondiaux qui s'opposent à l'empire US/UE/Sioniste/Dollar afin de leur permettre d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial contrôlé par les élites Illuminati/sionistes/reptiliens/jésuites/satanistes et de s'accaparer toutes les richesses de la Terre.
Leurs motifs ne sont donc pas que financiers mais idéologiques, ceux d'instaurer l'Unique Gouvernement Mondial unipolaire soit, leur Nouvel Ordre Mondial.
Lire ci-dessous quelques articles portant sur les projets pétroliers et gaziers d'Israël au détriment de Gaza et d'autres pays limitrophes à Israël :
Extraits : "Sous le mandat britannique, l'Etat juif de Palestine déployait déjà des efforts considérables pour aller chercher ce précieux carburant, le pétrole. Les résultats ne furent pas à la hauteur des espérances. C'est au début des années 1950, après la proclamation de l'Etat, qu'Israël décide de se lancer dans la production d'énergie en reprenant en main ce secteur. Une Loi sur le pétrole est ainsi promulguée en 1952."
"UN PROBLEME GEOPOLITIQUE. Une fois résolu la définition de son périmètre d'extraction, Israël va faire face à un autre défi géopolitique : le choix des pays de destination et des lieux de transit des surplus gaziers.Deux marchés s'ouvrent désormais au gaz israélien : l'Europe et l'Extrême-Orient. Grâce à des gazoducs sous-marins la voie vers l'Europe transiterait soit par la Turquie, soit par la Grèce."
AU LARGE DE LA BANDE DE GAZA. "Les palestiniens pourraient importer du fuel et du pétrole à des prix plus bas de leurs voisins et supposés alliés riches en pétrole, ou puiser dans les réserves de gaz au large de Gaza découvertes il y a 13 ans par British Gas Group. Les gisements sont estimés à 39 milliards de m3, et suffiraient à couvrir les besoins des palestiniens pendant 15 ans. Pour British Gas, les gisements sont financièrement viables, un accord a été signé entre British Gas, le Palestine Investment Fund et une entreprise appelée Consolidated Contractors Company, pour développer et commercialiser les champs. Pourtant, 13 ans après pas un seul gallon n'a été extrait. Le développement des champs gaziers de Gaza briserait un monopole important de l'offre israélienne qui ne veut pas que les Palestiniens accèdent à l'autosuffisance énergétique. Israël n'autoriserait l'accès des Palestiniens à leurs propres gisements gaziers que s'ils promettaient de le vendre à Israël à un prix nettement inférieur aux prix mondiaux. Israël a dit aux hommes d'affaire palestiniens, Nous voulons que vous fassiez des affaires, mais pas sans nous. Monopoliser la possibilité de faire des affaires est un autre moyen de domination qui ne coûte rien à Israël."La suite: ICI
Petit préambule sur l'attaque dirigée contre la Russie par le biais de l'Ukraine en 2008/2009 :
Voyons ce qui s'est passé par le passé concernant les énormes réserves de gaz maritimes qui appartiennent à la Gaz/A (GAZ/A, GAZA a d'énormes réserves de Gaz qui sont convoitées par Israël depuis des années).
Voici comment Israël voit les choses dans l'article ci-dessous, mais la question est celle de savoir: a qui appartiennent les réserves de gaz dites israéliennes, syriennes, libanaises et gazaouis, et si elles ne sont pas les réelles raisons d'orchestrer les guerres et les évènements que nous connaissons ?